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Invité le Dim 01 Mar 2020, 18:15Heartless Diva ♔ Hui Ikeda

Hui (Lou) Ikeda
ft. Kim Hongjoong (ateez) pinterest ; aftermath

A BRIEF HISTORY OF TIME

— prénom & nom ; Hui - 惠 Prénom féminin trahissant les origines chinoises de la mère. Persuadé d'attendre une fille durant les premiers mois de la grossesse, le prénom est resté même lorsque le garçon est né. Prénom qui signifie gentilesse ou encore bienveillance, deux qualités qui n'habiteront jamais celui qui répond au prénom. Lou Surnom qu'il s'est donné lorsqu'il a commencé à créer. Aimant son prénom épicène, il a trouvé un surnom qui le soit également. Aujourd'hui on l'appelle plus souvent par ce dernier que par son vrai prénom. Ikeda Nom d'un père qui s'est enfuit lorsque l'enfant n'avait que deux mois. Caractères venus du pays du soleil levant, terre d'accueil d'un garçon en quête de magie.

— naissance & âge ; 04 11 99, Shanghai Parfait petit scorpion né dans la capitale économique chinoise qu'il ne connaîtra que quelques années. 20 ans Majorité sur l'archipel nippon dont il jouit depuis déjà 3 ans dans le monde sorcier. Un âge qui ne représente que le nombre d'années qu'il a passés sur terre mais par lequel il ne se définit pas.

— origines & sang ; Sino-japonaise Reconnu par son père à sa naissance, Hui possède la joie d'une double nationalité dont il ne se sert plus depuis trop longtemps. Sang Mêlé Son père sorcier a réussi à cacher sa nature à la belle chinoise moldue. Pourtant lorsque Hui est né, les choses se sont compliqués car l'enfant possède un don qu'on ne peut dissimuler. Alors le père a disparu et abandonné la moldue face à une magie dont elle ne connaissait rien. Hui se considère plutôt comme né moldu car sa mère n'a jamais pu faire son éducation sur le sujet.

— baguette ; 18 cm, noyer, corne de basilic Les baguettes ont en général une taille entre 22 et 30 cm, cependant celle de Hui n'en fait que 18. Il a appris en l'achetant que les baguettes les plus courtes étaient généralement plutôt destinées aux personnes dont la personnalité présente une déficience. S'il n'a pas compris à l'époque car il n'était qu'enfant, il sait désormais très bien pourquoi sa baguette est plus courte que la moyenne. Une baguette de noyer se retrouve généralement entre les mains d'inventeurs et d'innovateurs, extrêmement docile si elle est maîtrisée, Hui s'imagine donc qu'elle la choisit grâce à son talent inné pour la couture et la création. La corne de basilic est le reflet de la dangerosité de l'être humain, tantôt docile, tantôt sauvage. Il suffit d'un regard de la part de Hui pour figer d'horreur quiconque lui désobéit. Quand à donner la mort... Hui préfère ne pas se prononcer.

— maison, groupe ; Ancien Kaze - Kantō Lorsque l'enfant s'est présenté aux Yokai, aucun n'a fait de bruit, aucun n'a fait de geste. Ils sont restés muets un instant avant que le bruit se fasse entendre. Ils ne se battaient pas pour l'avoir auprès d'eux, non, mais pour le rejeter. Un échange long durant lequel chaque statues a énoncés les raisons pour lesquelles le jeune Hui serait mieux ailleurs. C'est finalement à lui qu'est revenue la lourde décision de choisir son élément. C'est un peu par hasard qu'il a choisit la grue, parce qu'elle lui semblait moins véhémente dans son refus. | Diplômé en 2020, il consacre désormais l’entièreté de son temps à son travail.

— occupations ; Heartless Diva Créateur et directeur de sa propre maison de haute couture, Hui est un homme dont le talent est de plus en plus prisé. Surdoué de la mode, il a cependant entamé des études supérieures dans la Mode lorsqu'il a eut 17 ans. Bénéficiant d'une avance considérable de part son métier, il termine son gakushi avec un an d'avance.

— situation financière ; Récemment aisée Le plaisir de vivre de sa passion, de son talent. Depuis qu'il enchaîne les podiums, Hui n'a plus aucun soucis à se faire du côté financier. Une aisance qu'il apprécie car son enfance est loin d'avoir été pavée de pièces d'or.

— orientation & statut civil ; Homosexuel - Célibataire Libre de corps et d'esprit, c'est du moins ce que Hui aime répéter à celui qui le croit. Hui ne peut se passer de sa présence trop longtemps, il ne peut se passer de son attention, du regard possessif qu'il pose sur lui. Hui ne veut qu'un homme, un seul. Celui qui cède à ses caprices, celui qui pourrait tuer pour lui.

— particularité(s) ; Métamorphomage Grâce à l'aide d'un précepteur, Hui a atteint le seuil 3 dans le domaine des changements faciaux. Il peut désormais transformer son visage selon ses souhaits et garder les nouveaux traits durant une période pouvant couvrir plusieurs heures. Un don dont il aime se servir pour assouvir ses vices  

— amortentia ; Sang Douce odeur métallique qui attire Hui bien plus qu'il ne saurait l'admettre. Sora La sécurité, le besoin, l'amour. Ce sont toutes ces choses qui appaisent Hui lorsqu'il sent son odeur, pas celle de son parfum mais l'odeur de sa peau, si particulière. Curry Cuisine de sa mère dont il ne se souvient pourtant que vaguement. C'est ce plat si particulier qui le berce et le rassure lorsqu'il sent son esprit devenir fou.

— patronus ; Aucun Impossible pour Hui de créer cet animal de lumière, sans doute à cause de sa psychopathie qui l'empêche d’appréhender les sentiments de manière appropriée.

— épouvantard ; Inconnu Hui ne s'est jamais retrouvé en présence d'une de ces créatures et si cela venait à arriver, il n'a aucune idée de la forme qu'elle prendrait.

— risèd ; Heartless Diva Hui voit les podiums, il voit les gens qui célèbrent son talent. Il pense son risèd déjà atteint et apprécie de vivre dans une quiétude qui ne durera sans doute pas.


« sonnets of a sorcerer »
☽☽☽.
Hui est un homme exubérant et qui aime que l'attention lui soit toute portée. Il se nourrit des regards qu'on lui porte et cela se traduit dans ses tenues souvent hors normes. Pour lui, la mode n'a pas de genre, la mode n'a pas de limite et s'il se plaît à porter des vêtements moldus au quotidien, qu'ils soient féminins ou masculins, il n'est pas rare de le voir se vêtir d'une longue cape tel les sorciers plus traditionnels. Il s'habille lui-même et ne porte que des vêtements qu'il a lui-même conçus car il ne supporte pas l'idée que quelqu'un puisse porter les mêmes pièces que lui.
Dans l'ombre, Hui est un homme dangereux qui se complaît dans la violence. Son don de métamorphomage lui permet de prendre les traits de personnes quelconques et une fois costumé dans la peau d'un autre, il ne se prive pas pour torturer les âmes innocentes. Armé de couteaux, il aime à striller la peau d'inconnu dans le but de voir couler le sang. Parfois bourreau, parfois victime. Il lui arrive de provoquer volontairement quelqu'un pour se faire frapper à son tour et goûter son propre sang.

Moodboard
♔ I know there's a special place in hell for me, it's called a throne ♔ I tend to think emotions are for ugly people ♔ I like my money right where I can see it…hanging in my closet ♔ A lot of psychopaths are just geniuses who drove so fast that they lost control ♔ I don't design clothes. I design dreams ♔ “Oh, monsters are scared. That's why they're monsters” ♔ Grab me by the throat and call me yours ♔



A WIZARDING GENEALOGY

— chronologie ; 04.11.1999 Naissance de Hui à Shanghai

07.2000 Premier changement physique de Hui dû à sa capacité de Henge. L'enfant change la couleur de ses yeux lorsqu'il a peur, agrandit ses oreilles lorsqu'il est excité, allonge son nez lorsqu'une odeur l'attire. Peu à peu le père ne peut plus le cacher, alors il s'enfuit et laisse la mère dans l'ignorance quand à la véritable nature de leur fils.

08.2000 à 2004 La mère croit son enfant possédé par un esprit malin alors elle enchaîne les rendez-vous avec des exorciseurs. Parfois cela calme les transformations car le fils est épuisé, si petit. Lorsque les changements reviennent, la mère rencontre un nouveau marabout pour tenter de sauver son fils. Cela durera cinq longues années. L'esprit du fils en sera pour toujours traumatisé.

06.12.2004 Pour la première fois, la mère doit laisser son enfant à une nourrice le temps d'un rendez-vous important. Les transformations du garçon se sont calmés alors elle prend le risque. La disparition de sa mère et l'arrivée d'une nourrice provoque cependant une hausse de stress importante pour Hui et son visage se transforme sans qu'il ne puisse rien maîtriser. Horrifié, la nourrice s'enfuie et colporte la rumeur. Le fils Ikeda est un monstre. Les curieux viennent alors rendre visite à la mère en espérant voir l'enfant se modifier. La rumeur enfle.

08.12.2004 Des hommes du ministère de la magie débarque dans l'appartement de Shanghai et prenne l'enfant. Le secret magique est mit en danger et afin d'éradiquer tous risques de propagations, le sort d'oubliettes est utilisé sur chaque personne du quartier, chaque moldu étant entré en contact avec la rumeur. Cela comprend la mère, impuissant. Elle oubliera qu'elle a fait naître un fils, elle oubliera les cinq longues années de souffrance durant lesquelles elle s'est sacrifié pour l'être qu'elle aimait le plus au monde.

2004-2006 Formation à son henge par un précepteur à l'orphelinat dans lequel il grandit. Hui est un garçon étrange que l'on ne parvient à cerner que lorsqu'il est happé par la couture. Le garçon, malgré son jeune âge, se passionne pour le fil et l'aiguille et surprend ses tuteurs en modifiant les tenues qu'on lui offre, les customisant à son image. Lorsqu'il ne coud pas, cependant, on le surprend à provoquer les autres enfants, à essayer de les blesser psychologiquement ou physiquement. Tant et si bien que les couteaux, qui semble particulièrement attirer le garçon, sont mit sous scellés.  

2006-2015 Hui est un bon élève mais il ne peut rester en place trop longtemps. Du moins pas lorsqu'il se trouve loin d'une machine à coudre. Il continue à créer, à dessiner, il ne s'arrête jamais. S'évadant, il s'invite aux défilés prisés des fashion week de l'archipel japonais en prenant le visage des célébrités qu'il distingue pour entrer. Malgré son jeune âge, on ne se méfie pas de lui car il a le don de captiver l'attention avec son charisme et ses dessins. Son enthousiasme plaît et il se trouve des sponsors. Naît alors son personnage de Lou et le nom de Heartless Diva.

2017 Premier défilé pour Lou et Hearless Diva. Véritable succès dans le monde moldu comme sorcier. On l'érige en prodige, on l'appelle l'héritier de la mode. Les moldus aiment ses créations aux allures de contes de fées et d'épopée médiévale. Les sorciers, eux, aiment son respect de la mode sorcière et le souffle de nouveauté qu'il y apporte. Succès fulgurant pour un garçon qui se cherche encore. Il est propulsé sur le devant de la scène et cela l'aidera à entrer directement en deuxième année de mode à mahoutokoro.

2020 Diplômé de son gakushi, Hui préfère stopper ses études pour se consacrer pleinement à son empire. Il vit de paillettes et de création et s'est attaché à la notoriété telle une drogue sauvage sans laquelle il ne saurait vivre.


« the life and lies of (prénom du personnage ici) »
.✎✎✎
{#}1{/#} Hui est un être particulier qui ne se complaît qu'à travers les autres. Il ne se sent heureux qu'on le voit. Que ce soit parce qu'on l'admire ou parce qu'on le craint. Il aime à se sentir au centre de l'attention et la recherche constamment, par son style comme par ses attitudes.

{#}2{/#} Heartless Diva est son bébé. Il ne tolère aucune critique négative et ne laisse personne l'influencer. Il se charge lui-même de toute la partie créative et ne laisse ses employés aux commandes que lorsqu'il s'agit de coudre et réaliser le vêtement. Là encore, il se permet de nombreuses visites aux ateliers où il scrute le moindre détail. Il lui est déjà arrivé de faire refaire une robe à moins de 24 heures d'un défilé.

{#}3{/#} Sa psychopathie, indue par les nombreux exorcismes qu'il a subit enfant et le traumatisme qui en résulte, l'empêche d'analyser correctement les sentiments. Il s'agit d'une déficience du contrôle des émotions et des impulsions, d'une incapacité d'adaptation au milieu menant à des conduites antisociales. En pleine foule, il peut soudainement avoir besoin de s'isoler et se muer dans un silence glacial ou, au contraire, avoir besoin de bruit et d'attention dans un environnement plus calme.

{#}4{/#} Il est incapable d'éprouver la moindre empathie pour la plupart des personnes. À ce jour, seul Sora arrive parfois à atteindre ses sentiments. C'est le seul homme qu'il laisse venir à lui, le seul homme dont il a besoin pour avoir l'impression de ne pas devenir fou.

{#}5{/#} Hui aime le goût et la vue du sang, que ce soit sur lui ou sur les autres. Souvent armé d'un couteau, il lui arrive de le laisser courir sur sa peau lorsqu'il a besoin de calmer une crise d'anxiété. Scarifications nombreuses sur sa peau, il lui arrive également parfois de provoquer une bagarre pour sentir les poings des autres s'écraser sur lui. La douleur lui rappelle qu'il est vivant.



My life as a muggle
Leilei :anna:

Charon Marlow le Dim 01 Mar 2020, 16:38charon marlow

sonnets of a sorcerer.
Lacie De Sade
FT. NICHA YONTARARAK, canopus


A BRIEF HISTORY OF TIME

— prénom & nom ; LACIE DE SADE Lacie prénom offert après une mère défunte d'un père au complexe d'oedipe prédominant. Collé sur le front d'une gamine à peine née qui ne se doutait point de la complexité de l'existence et son attrait à vouloir maudire tout être sur son passage. Lacie ne sera jamais ce que l'on eut attendu d'elle. De Marque un ablatif. Mot indiquant la provenance, l’origine. Cela aurait dû l'aider à comprendre des origines flous mais il ne remplira jamais ses fonctions. Sade il y a beaucoup d'on dit sur les Sade, riche famille Italianno Coréenne et maintenant Japonaise après le mariage du fils avec une sorcière de ce continent. Une famille riche ayant fait bénéfices sur le marché des cosmétiques pour sorcières en vogues mais dont la faillite fût radicale en 1986. Depuis reconvertie dans les plantes, le journalisme et tout ce qu'ils peuvent faire pour gagner leurs croûtes, les rumeurs vont encore bon train sur la raison de leurs faillite. Aujourd'hui de ce nom ils n'ont plus qu'une fortune, que beaucoup questionne dû à la date de la faillite, ainsi qu'une volonté de renouveler l'héritage familial.

— âge ; DIX HUIT ANNÉES d'illusions écoulées sur ses prunelles claires, vivacité perdue d'une époque révolue. Lacie n'est plus qu'une apparition fantomatique glissant dans les couloirs du temps à la recherche d'un moyen d'effacer son existence de tout livres. En attendant de savoir comment s'y prendre, elle se perd dans les méandres de ce qu'on voudrait qu'elle soit.

— naissance ; 02 02 02, à  minami iwo jima sur le territoire natale de la maternelle. Et tandis que les vagues s'écrasaient avec violence sur le rivage, qu'une tempête faisait gronder le ciel, ses premiers cris furent poussés, échos à ceux qui surviendront tout le long de sa vie. Le 2 février 2002, n'est-ce pas comique? Annonciateur de sa vie qui ne sera qu'une putain de comédie.

— origine(s), nationalité(s) ; ITALIANNO, CORÉENNE, JAPONAISE Un mixte qui vient de partout et de nul part à la fois, de ce que l'on pourrait penser être une affaire d'amour transcendant les frontières. Mais la grand-mère italienne à épousé le grand-père coréen pour la réputation et l'argent. Alors le père italianno coréen a épousé la mère japonaise parce qu'elle était jolie et qu'elle passait par là. Déception lorsqu'il apprit qu'elle ne venait que d'une famille modeste vivant d'agriculture et de professorat.

— sang ; PUR du moins c'est ce que hurlait la grand-mère italienne à qui voulait bien l'entendre tout en brandissant les poings dès qu'on lui rappelait que certains de ses ancêtres avaient fricotés avec des sang mêlés. Alors il est écrit sur bien des papiers que les De Sade sont des sang purs mais la véracité de ces propos ne tiennent qu'à un fil.

— baguette ; 27CM, BOIS DE SORBIER, COEUR CONTENANT UN CRIN DE SOMBRAL assez agitée à cause des troubles de son possesseur et quelque part toujours rassurante au fond; D'une souplesse affolante, sa baguette est son unité. Gentiment prénommée Framboise, l'une de ses seules amies dans l'esprit délurée de Lacie.

— maison ; MIZU L'eau, intrigante et si attirante dans son sillage de milles bleu étincelants. Lacie se souvient encore de ses mains d'enfant plongeant dans les doux courants de ce liquide, s'épatant du froid mordant sa peau de porcelaine. L'odeur salée de la mer chatouillant ses narines accompagnée d'un rire innocent. Et le bruit relaxant de la pluie frappant la terre lui offrant le bénéfice de s'abreuver. Lors de son initiation, il n'était pas question qu'une autre maison ne clame la petite dont le cœur voguera toujours par delà les marées.

— occupation ; étudiante en sciences naturelles, sciences de l'environnement │ à la recherche d'un stage Lacie aurait rêvé de poursuivre des études en sciences médicomagiques mais a fait une jolie croix dessus il y a des années de cela. Pas que son dossier aurait été refusé, tête pensante malgré ses airs ahuris, elle a sauté une année, l'avant dernière pour accéder directement aux examens. Mais à la fin à quoi cela sert-il de risquer d'avaler toutes ces connaissances lorsque personne ne voudra embaucher une personne comme elle en tant que médicomage? Alors elle a fermé les yeux sur bien des choses et dans l'obscurité de sa chambre a posé le doigt sur une feuille aux gribouillis rapide et en ouvrait ses yeux a lu qu'elle se dirigerait vers ce cursus. Et ça lui plaît parce que chaque nouveautés lui plaisent et lui montrent des bouts de rares beauté dans son univers bien trop calciné. Comme 98% de son cursus, Lacie a décidé de se lancer et trouver un stage pour ajouter une touche sur son futur CV. Mais sa condition lui ferme bien des portes alors elle garde le sourire Lacie, parce que c'est tout ce qui lui reste.

— club(s) ; seitokai Parce que sa mère lui a dit que se faire des amis en intégrant un club était la solution la plus facile et qu'elle-même avait créé de belles amitiés dans son club de jardinage lorsqu'elle était à l'école. Donc Lacie a écouté sa maman pour faire bon genre et avec les yeux plein d'espoir. C'est ainsi que tous les clubs sans exception ont reçu une demande d'adhésion parfois de trois pages. Peu ont accepté parce que la De Sade elle est bizarre et doublée d'une créature dont on veut pas. Alors elle a tenté, vainement, d'aider à droite à gauche, maladroitement, un peu difficilement et ça a eut le mérite d'attirer l’œil des seitokai. Et puis ça faisait bon genre d'accepter cette chose dans les rangs, ça montrait l'ouverture d'esprit. Elle comprend pas toujours tout Lacie mais elle sourit beaucoup et à la fin c'est presque tout ce qu'on demande d'elle en lui donnant des tâches.

— situation financière ; stable Un héritage des De Sade plutôt convenable permettant d'éviter les dettes et une rentrée d'argent chaque mois du père et des grands parents maternelle assez pour se permettre de payer les études de la gamine mais surtout les soins de la mère internée.

— statut civil ; célibataire Lacie elle a jamais eu un bon exemple de ce que pouvait représenter un amour brut et sincère. Pour elle ce mot n'est synonyme que d'un mirage brisée d'un miroir qui reflète ce que souhaite le plus achever l'humanité. Et puis dans son lit, baignée par les rayons de la lune, le fer des attaches entravant son corps lui barrant la liberté, elle se demande: Comment pourrait-elle donner de l'amour à un individu lorsqu'elle n'en a pas une once pour sa propre âme? Dans une danse lugubre avec la solitude, elle se complaît à se dire qu'est ici son âme sœur de toujours et qu'au moins, ce dernier ne la laissera pas même dans la doucereuse fin aux promesses alléchantes. Néanmoins, et peut-être par stupidité, Lacie serait prête à offrir son cœur à celui qui réussira à le réchauffer, une seule fois dans une douce étreinte qui lui sera certainement mortelle.

— animal de compagnie ; Takurôbi & Firedrake Lorsque Lacie rentre pour les vacances dans la petite maisonnet familiale au bord de la mer, le plus souvent c'est le Takurôbi des De Sade qui l’accueille avec chaleur. Chaque jour elle change son nom et cela ne semble pas déranger la petite flamme qui alimente la maison depuis aussi longtemps qu'elle puisse s'en souvenir. Il y a de cela un an et demi, lorsqu'elle est rentrée en étude supérieur, son père lui a offert deux firedrake sans qu'elle n'ait rien demandé et cela ne démontrait qu'une absence certaine de goût envers la petite pour qui il n'avait once d'attention. En mémoire de cela elle les a nommé respectivement panique et peine. Ces derniers se cachent toujours sur elle et crache sur quiconque les approche d'un peu trop près. Et si vous venez à la croiser dans les couloirs et vous demandez si elle parle seule, sachez qu'elle discute certainement avec panique ou peine qui sont la plupart du temps nichés dans ses cheveux.

— amortentia ; une terre pluvieuse Fille d'une tempête, Lacie s'éberlue devant chaque gouttes qui peuvent tomber sur une terre s'assouplissant sous les coups des conjointes. Et sous chaque averse elle se perd et s’enivre de cette odeur si particulière et relaxante. Jamais l'on eut vu plus beau sourire que celui de Lacie sous une pluie battante car c'est ici que tout a commencé et ici que tout se finira. des vagues agitées Cette odeur salée d'une douce promesse de plus. Chaque éclaboussure comme une gorgée vivifiante du plus fort des alcools, Lacie aime s'y perdre sur cette grand étendue où elle souhaiterait un jour se noyer. Parce que les remous du courant lui rappelle chaque fluctuation d'une vie qui n'a jamais semblé être la sienne. Alors un jour elle s'est promit qu'elle irait visiter les grands fonds de l'océan Lacie parce qu'elle l'aime comme ça, passionnément.Les carottes cuites C'est une odeur sucrée et plaisante qui lui remémore les soupes pas assez mixées de sa mère et les repas partagées devant le feu de cheminée lorsque la maternelle passait doucement ses doigts dans la chevelure brune et épaisse d'une petite fille comblée finissant presque le nez assoupis dans son bol de soupe à la carotte.

— patronus ; Corbeau
C'est celui de la famille des autres plumées qui se distingue par son aspect et la négativité qui en ressort. Pourtant ne voit-on pas les milles couleurs qui éclairent son plumage lorsque le soleil frappe de sa lumière cet animal peu envié? Son intelligence est souvent une surprise et sa normalité une aberration pour ceux qui croit à sa fourberie. Au final, un corbeau n'est rien d'autre qu'un corbeau. Un oiseau mal aimé. Et comme lui, elle rêve de s'envoler.


— épouvantard ; Sa mère Plus précisément, le monstre qu'elle était lorsqu'elle l'a mordu quand personne ne s'y attendait, lorsque personne ne regardait. Alors dans cet épouvantard elle la revoit, la fixant de ses grands yeux qui ne sont plus les siens, prête à mettre un terme à une vie qui ne faisait que commencer, une vie qu'elle avait créé de ses propres entrailles. Lacie voit cette femme qui ne sera plus jamais sa mère.

— risèd ; Lacie De Sade Elle se voit, elle-même, dans les bras de son autre elle, cette partie maudite. Représentation d'une acceptation de sois-même et sa réalité. Parce qu'au final, tout ce que souhaiterait Lacie avant d'être aimée par les autres c'est s'aimer sois-même. Mais surtout se pardonner ces erreurs qu'elle a commise et qui au fond ne sont que le reflet d'une victime qu'on l'a obligé à jouer. Cette image qui au final prouve qu'elle rêve de vivre plutôt que survivre.

— particularité(s) ; rokurokubi Une bien triste histoire que la raison pour laquelle cette maladie court maintenant dans son sang et lui fait vouloir celui d'autrui jusqu'à en perdre la raison. La malédiction d'une vie prise au moment où les dents d'une mère inconsciente se sont attaquées au cou gracile d'une petite fille qui aujourd'hui pleure encore la perte de celle qu'elle aurait dû être. Pourtant, Lacie elle tente d'accepter cet autre, de faire de cette faiblesse sa force. Mais la tâche est si dure lorsque personne d'autre n'y croit, lorsqu'elle est seule dans un combat dont elle n'a jamais voulu. Peut-être un jour pourra-t-elle le montrer au monde entier et hurler qu'au fond... Ce n'est rien de plus qu'une autre tare humaine.

— mode de vie ; Lacie attend insatiablement sa fin pour quitter ces couleurs souvent bien trop fades à ses yeux fatigués. Elle s’enivre et s'entiche de la moindre parcelle de vie pour y arracher une once de beauté dont elle aimerait s'inspirer. Assidue aux cours pour ne pas s'amenuiser de ce que l'on dit déjà d'elle car souvent le nez en l'air les murmures souffle "folle", comme sa pauvre mère. Un cas comme un autre, un visage parmi des millions, souvent elle se dit qu'il n'y a rien de pire qu'être seule au milieu de cette foule et pourtant c'est son triste quotidien. Elle s'arrache sa nature et s'éprend d'une multitudes de questions. Ô qu'elle souhaiterait que chacun voit le monde comme elle l’aperçoit, scintillant et éclatant d'une beauté qu'on lui interdit. Alors elle se défait et se cherche encore et encore, au fondement de son paroxysme quand rien arrive parce qu'elle ne s'y prête pas pleinement. Peut-être qu'au final, elle s'enchaîne toute seule Lacie, parce que c'est plus simple que d'y être obligée. Elle fume parce qu'en expiant cette douceur âcre dans l'air, ça fait des formes qui la font rire et elle aime bien ça, rire. Elle aimerait des tatouages mais ne se décide pas, alors elle dessine à même sa peau des formes burlesques aux couleurs vives, pour égailler ses journées et que jamais hier ne ressemble à demain. Afin de différencier son passé de son futur qui sont pourtant trop enlacés. Alors au final, Lacie elle est pas si difficile à comprendre tout en l'étant pour une seule raison, p't'être qu'elle se comprend pas non plus.  
AESTHETIC ;;

“I always felt insecure and in the way, but most of all I felt scared. I guess I wanted love more than anything else in the world.”
Brillante Incompréhensible Compréhensive Pourrie Colorfull Perdue


KEYWORDS


w h o i s  L a c i e ?

. . . No really who is she? Cause i don't know. Little bit lost. Alice? Am I in wonderland? I should be the March Hare. Rain. Love tea and carrots, am I not the March Hare? *Someone say hello* *Lacie looking behind her to make sure she has been talked to* *generally is not, someone's behind her*. Alone. R a i n. Love the sound of flute and violin. Protective little beast with her loved ones. Making petition every once in a while for strange ideas. One time it was to recycle our tears. The other to save our nails. Don't ask. Never ask 'cause you don't want to hear the answers. Talkative but no one to talk to. A bit too sad. R A I N. Looks like a cinnamon roll, could kill you. But is actually a cinnamon roll. Looking for a mad hatter. Loves hat. HAIL THE R A I N. blood
A WIZARDING GENEALOGY

— Famille ; Mère How can i express how sorry i am? Elle était magnifique, plus qu'aucun n'aurait pu le croire, du moins à travers les yeux admiratifs de la fille qui ne cessait de la suivre comme un canard. Ses doux gestes et ses paroles toujours criante de vérité lorsqu'elle caressait avec tendresse les cheveux de son enfant perchée sur ses genoux. Elles s'adoraient plus que de raison et si l'on demande à Lacie, elle ne se souviendra que des beaux moments passées sur le bord de mer, non loin de la maison, avec un panier d'osier contenant des sandwichs mal préparé qu'elles dévoraient tout en s'amusant à se faire chatouiller les orteilles par les remous des vagues. Et puis comme la vie la lui avait offert, elle lui a reprit sa mère, lui enlevant ces délicieux souvenirs, les teintant de sang dans une esclandre et refusant à la petite une innocence pourtant bien préservée. I'm sorry.

Père Where where you? A-t-il jamais réellement été là? Toujours perdu dans des sentiments interdit et de lointains souvenirs qui entachaient son futur, il ne vit sa fille la première fois qu'au travers d'une maladie qu'il ne pouvait plus empêcher. Jamais père et fille ne se sont connus, de bref inconnus se croisant dans une maison devenue trop grande pour eux lorsqu'elle est partie. Une déception de plus dans sa vie et déjà au fond du trou, jamais il n'en ressortira. Alors il attend la mort comme une délivrance dans ce vieux fauteuil miteux en face de la cheminée. Il n'a plus rien à perdre. Where are you?

Grand-père & Grand-mère Why won't you look at me? Que peut-on attendre de grand parents japonais? Un peu d'amour? Un peu de tendresse? Des regards tendus? Toujours fiers parce que la petite s'en sortait en cours mais pas assez pour gagner leurs respect. Et puis il y eut le drame et depuis dans les yeux de Lacie, ils ne peuvent voir que leurs propre enfant, enfermée et hurlant quelque part où ils ne se sont jamais rendus. Par honte, fierté ou incapable de soutenir cette vision? Brisés par une malédiction que leurs descendances ne méritaient pas, ils pensent avoir offensé les dieux alors ils essaient de se rattraper auprès d'eux, en oubliant les vivants qui ne demandent qu'à apparaître. Please look at me.

Famille bancale dès le départ, quel avenir pouvait bien amener un rayon de soleil? Les nuages se sont épaissis au dessus de leurs tête et n'ont laissé derrière la tempête que drame et cruauté, éveillant dans leurs sillage une haine et une amertume incertaine. Alors ils s'entretuent, se déchirent un peu plus et dans l'ombre, la dernière pleure les miettes d'une vie qui ne lui appartient plus.


— Chronologie ;

02/02/07 Le bruit des vagues s'échouant sur le sable fin accompagné le rire d'une Lacie tout juste âgée de 5 ans courant pieds nus sur la plage afin de rejoindre une femme d'une vingtaine d'années, aux traits tirés mais aux yeux si doux. Ses longs cheveux noirs flottaient dans le vent et bientôt l'enfant tenta d'en attraper les mèches comme un jeu, mais celles-ci lui filaient toujours entre les doigts, portées par le vent. L'élément de sa mère qui en était une digne représentante. Finalement, Lacie trébucha en chassant une mèche et se mit à sangloter; Malice afin que la mère s'occupe d'elle et arrête d'éplucher les pommes. Cela fonctionna puisque bientôt les deux s'enlacèrent et du bout de la baguette, la sorcière fit apparaître une micro tornade qui se prit dans le sable et forma une jolie valse. Mais la petite était plus concentrée sur voler des bouts de pommes ce qui fît glousser la mère.

- Il ne va plus en rester aucune pour ton père... gronda-t-elle en passant une main dans la chevelure emmêlée de l'enfant qui tenta de l'éviter.
- Il n'avait qu'à être là et puis c'mon anniversaire! rétorqua Lacie en se goinfrant d'un trop gros morceau.
- Tu sais qu'il n'aime pas tellement la brise marine.
- C'est nous qu'il aime pas...

Le silence prît place suite à la révélation pourtant peu pensée de l'enfant. Alors la mère se contenta de continuer à démêler les cheveux de sa fille pour finir par les faire tenir en couettes malgré les protestations de la gamine.

- Nous n'aurons qu'à lui dire que les mouettes ont mangées toutes les pommes, ce sera notre petit secret..


04/09 Il y avait une foule incroyable rassemblée sur la petite place devant le portail, autour des statuts qui étaient si imposantes que Lacie sentait son estomac se serrait rien qu'à les regarder. Elle connaissait déjà la cérémonie de nom, et sa mère lui avait tant parlé du jour où elle-même avait été choisie par tsuru qui n'avait pas hésité une seule seconde. La petite brune avait grandit au milieu de l'élément de l'air que sa mère maîtrisait si bien (du moins aux yeux de l'enfant toujours éberluée par la magie malgré l'omniprésence de cette dernière auprès d'elle). Alors elle s'émerveilla encore un peu plus au fur et à mesure que les jeunes de son âge défilés vers les statuts souvent peu d'accord, parfois en harmonie. Elle vit un garçon se mettre à pleurer lorsque les statuts ne dirent rien pendant une bonne dizaine de minutes puis elles lui demandèrent de faire un choix et cela doubla encore plus les larmes du petit qui était incapable de parler. Finalement, il fût accepté chez les denki. Et avant qu'elle ne s'y soit préparée, c'était son tour. Une toute petite Lacie s'avança alors en triturant le tissu de sa robe, nerveuse. Il n'y eut que trente secondes de silence avant que le tanuki et la koï ne se mettent à se chamailler bruyamment faisant un boucan pas possible qui fît sursauter l'enfant. Elle regarda autour d'elle mais ne vit que des expressions sereines ou amusées, comme si cela était tout à fait normal. Alors elle ne dit rien et attendit avec ses grands yeux intrigués posés sur les statuts qui continuaient à se hurler dessus comme de vieux ennemis.

- Ma maman est une kaze, annonça-t-elle subitement au milieu de la dispute.

Et lorsque les deux statuts qui se battaient se tournèrent vers elle d'un même mouvement, elle déglutit audiblement en déchirant presque le tissu qu'elle tenait trop fermement. Finalement, après quelques secondes à la dévisager, la koï et le tanuki semblèrent se mettre d'accord silencieusement et c'est la koï qui s'avança vers la petite pour la toucher. Elle venait d'être proclamée Mizu.


03/11 - Je veux que tu sorte de chez moi! hurla une voix féminine suivit d'une explosion d'une... Assiette?

La petite, recroquevillée dans les escaliers, tenant sa joue douloureuse dans sa main ne pouvait pas voir mais qu'entendre la dispute de ses parents dans le salon. Une deuxième assiette sembla aller s'écraser quelque part.

- Aux dernières nouvelles, c'est chez moi aussi ici Byul! hurla le père en réponse.

S'en suivit l’incantation d'un sort que Lacie ne connaissait pas encore, l'exclamation de douleur du paternel et à nouveau une assiette.

- Ne lève PLUS JAMAIS la main sur ma fille! SORS D'ICI!

Encore une assiette, certainement une autre incantation venant du père cette fois, une assiette et des bruits d'étouffements suivi par une grande inspiration. Et finalement, la porte d'entrée claqua sur la silhouette d'un homme devenu un inconnu dans sa propre maison, s'exilant lui-même un peu plus chaque année loin d'une famille qu'il n'avait jamais désirée. Lacie attendit sur les marches poussiéreuses des escaliers, sans un bruit, la main toujours contre sa joue, des larmes silencieuses dévalant ses joues rondes. Et assez vite, la silhouette échevelés de sa mère apparut. Elles se regardèrent un instant sans bruit avant qu'elle ne vienne la prendre dans ses bras, murmurant dans ses cheveux que tout irait bien. Elles s'avaient toutes les deux et n'avaient besoin de rien d'autres.

- Pourquoi papa ne m'aime pas?


03/18 La petite famille est réunie autour de Lacie qui n'est plus si jeune maintenant. Il fallait fêter la nouvelle, cette précieuse nouvelle qui valait aux grands parents d'enfin regarder leurs petite fille sous un nouveau jour et pas simplement une pleurnicharde dans les jupons de sa mère. En effet la sorcière venait de fièrement sauter son avant dernière année, la projetant plus proche des ASPICS qu'elle commencerait à préparer dans un mois à peine. Alors il avait fallu fêter la nouvelle. Pourtant le cœur de la plus jeune n'était pas à la fête, et tandis que personne ne faisait attention à elle, la grand-mère et le père trop occupés à se lancer des piques tandis que le grand-père soutenait sa femme, elle se faufila hors de la table, emmenant avec elle une part de gâteau qu'elle amena à l'étage. Toquant doucement contre la porte en bois, elle pénétra dans la chambre parentale où le Takurôbi familial émanait une douce chaleur pour la mère allongée sous les couvertures, le teint pâle. Lacie déposa le gâteau sur la table de chevet et prit place à côté de la plus âgée qui lui offrit un doux sourire, un peu déformé à cause de la fatigue. Une maladie aussi fulgurante que rapide, personne ne l'avait vu venir et pourtant, il n'y a même pas trois jours, la maternelle s'était retrouvée alitée, ses maigres forces ne lui permettant que de communiquer.

- Je suis désolée...
- Non ne t'excuse pas! Tu dois reprendre des forces et on ira se promener sur la plage... J'éplucherais des pommes qu'on mangera devant les vagues et la brise marine... murmura la fille en caressant les cheveux de la mère.

Cette dernière sourit et hocha simplement la tête avant de fermer les yeux pour profiter d'un sommeil qu'ils espéraient tous réparateur.


08/18 Un foutu bordel de noir et de rouge se mélangeant dans l'illustration des dents maternelle tentant d'aspirer la vie qu'elle avait créé, reprendre ce qu'elle avait façonnait. Les cris, le trouble et puis la peine. Une peine qui ne s'en ira jamais vraiment car elle s'effacera physiquement mais la profondeur mental lui laissera des cicatrices qu'elle tentera à jamais de faire disparaître. Et comme un doux songe, tout ce dont elle se souvient c'est ce mot murmuré à peine audible d'une supplique. Pourvue qu'elle vive et pas moi...

- Maman?


12/19 Les deux créatures lui brûlèrent les doigts lorsqu'elle tenta de les touches sous le regard navré du père qui tenta de les attraper aussi mais en vain. Le visage neutre, Lacie haussa simplement les épaules lorsqu'il s'excusa et entreprit de refermer la boîte dans laquelle se débattait les firedrake, symbole d'un cadeau de noël sans celle qui savait toujours quoi lui offrir. Sa gorge se noua mais elle déglutit simplement en posant son regard sur la forme se balançant d'avant en arrière dans sa chaise en métal devant une table sur laquelle un pauvre gâteau acheté en boulangerie trônait. Non touché par les personnes attablés dont l'appétit ne souhaitait pas se montrer.

- Le vendeur m'a dit qu'ils étaient d'excellentes compagnie lorsqu'ils font confiance à leurs propriétaire... tenta le paternel en montrant la boîte comme si elle n'avait pas comprit de quoi il parlait.

Mais elle ne répondit pas, se contenant d'un simplement hochement de tête en serrant ses poings sur ses genoux, jouant avec le tissu de ses collants, souhaitant les déchirer comme elle aimerait déchirer sa propre peau et la laisser derrière.

- Je n'ai jamais su quoi t'offrir, souffla finalement le père en baissant la tête.

Une piètre tentative après des années d'absences amer. Une excuse qui quelques mois plus tôt, l'aurait pourtant rempli de joie. Avant tout ça. Avant de tout perdre. Mais elle haussa encore les épaules en soupirant, son regard se perdant sur la femme qui n'était plus une mère et qui refusait de les regarder.

- Tout ce que je souhaite tu n'aurais pas pu me l'offrir de toute manière... finit-elle par déclarer.

Lacie ne pleurerait plus.

THE LIFE AND LIES OF LACIE DE SADE

“Creativity has got to start with humanity and when you’re a human being, you feel, you suffer.” {#}1{/#} Lacie est seule, pas faute de vouloir se faire des amis mais elle n'y arrive pas. Souvent synonyme de trop trop, on la retrouve souvent le nez en l'air et discutant des sujets qu'elle aimerait partager à Panique et Peine. Parce qu'ils l'écoutent et ce tout ce qu'elle demande.

{#}2{/#} Elle sent trop fort le parfum synthétique des fruits rouge parce qu'elle tente d'effacer cette odeur de mort qui la suit et que seulement elle arrive à sentir. Illusion de son cerveau qui tente de s'éloigner d'une réalité un peu trop étouffante.

{#}3{/#} Hormis les tartes aux framboises ou/et aux fraises, elle déteste plus que tout les sucreries. C'est trop doux pour son palais. Lacie elle aime le sucré et plus principalement l'épicé. La sensation de brûlure qui envahit son palais, ça lui fait du bien, comme une thérapie certaine.

{#}4{/#} Comme tout bon Mizu, son esprit se perd et se prélasse au son de l'eau. Cet élément enchaîne chaque mouvement de sa vie et elle ne se déplace jamais sans un petit flacon d'eau autour du cou, avec un bouchon en liège qui n'a aucune histoire mais auquel elle tient bizarrement.

{#}5{/#}  Le silence d'une solitude, elle l'apprécie autant qu'elle le fuit. Elle est lasse d'une vie qui la rend pourtant si curieuse. Parce qu'au final Lacie c'est un paroxysme à elle seule. Bien souvent maudite, trop souvent chanceuse. Elle se perd et se retrouve dans des déboires magiques d'où peu voudrait ressortir.

Hecata
MY LIFE AS A MUGGLE

HJ Hello there, moi c'est Hecata, j'ai 22 ans, bientôt 23 et j'ai découvert le forum par les topsites ainsi que le bouche à oreille. Voilà on va pas se mentir Mikrokosmos c'est le rpg forum du coup j'ai longuement hésité à tenter l'aventure parce qu'il y a énormément de monde et que j'ai peur qu'il y ait des sortes de sectes etc. MAIS au final, après avoir demandé un peu à droite et à gauche j'ai finis par me lancer histoire de me faire mon propre opinion, parce qu'on est jamais mieux servit que par sois-même! Am i right or am i right? Et puis finally un rpg sur la fameuse école japonaise décrite par JK Rowling de manière mystérieuse, je ne pouvais résister plus longtemps. Voilà, donc j'espère grandement que la petite Lacie vous plaira et que l'on pourra écrire tout un tas de chouettes aventures ensemble! :lama:


Invité le Dim 01 Mar 2020, 00:33Boom baby. {Shiro

chroniques de (prénom)
sous-titre Lorem ipsum dolor sit



A BRIEF HISTORY OF TIME

— prénom & nom ; Shiro Ryujinchi Le dragon blanc. Couleur de pureté et d'innocence en Europe, symbole de la mort au Japon. Ce prénom lui colle à la peau. Il le porte comme un étendard, comme une promesse, une menace ; comme un voile pour cacher la douceur de son coeur.

— âge ; 31 ans Les années passent et rien ne change. Il s'enfonce un peu plus dans ses travers, sa déchéance. Il regarde passer la vie des autres et contemple la sienne ; un mauvais film sur grand écran.

— naissance ; 9 avril 1988, Tokyo Deuxième garçon de la fratrie, sa mère le met au monde deux ans à peine après la naissance de l'ainé parfait. Il ne trouvera jamais réellement sa place dans cette hiérarchie familiale.

— origine(s), nationalité(s) ; japonaise Sans la moindre goutte de sang étranger. Le clan des Ryujinchi ne se mélange pas avec la plèbe. La pureté de leur lignée japonaise perdure depuis des siècles ; descendants des dieux, à ce qu'il parait, ils en ont en tout cas l'indécence et l'égo.

— sang ; sang-pur Même si cela ne porte aucun sens, ici. Shiro se rappelle en avoir tiré une certaine satisfaction lorsqu'il était plus jeune et qu'il avait compris que, dans les autres sociétés sorcières, cela leur conférait une énième supériorité. Aujourd'hui, pourtant, il n'en a plus que faire.

— baguette ; 32.4cm, aubépine, ventricule de dragon Une baguette complexe, aussi douée pour les sortilèges de guérison que pour les maléfices et particulièrement adaptée pour les sorciers tourmentés. Il la considère comme une extension de lui-même et n'en prend donc pas particulièrement soin : le bois est abimé, couvert de stries et asséché par le temps et les utilisations répétées.

— maison ; Mizu L'élément de l'eau, tortueux, insaisissable, le pilier qui lui apportait le courage dont il avait terriblement besoin. La voix du contrôle, du bien-être ; le clapotis des vagues quand il ferme les yeux apaise ses tourments, et celui qui navigue dans ses veines se ploie à sa volonté.

— occupation ; éternel vagabond Plus jeune, Shiro avait tenté la filière droit et sciences politicomagiques. Ce fut un échec complet. Sa plus grande honte. Depuis son abandon, le sorcier fréquente les pires endroits de la ville, se plait à former les relations les plus destructrices, et abandonne son corps aux combats clandestins. C'est sa façon à lui de se repentir, de se punir, d'oublier.

— club(s) ; aucun Sauf si l'on peut considérer le fight club comme l'un d'entre eux.

— situation financière ; indécemment riche Couvert d'argent depuis son plus jeune âge, Shiro n'a aucune conscience de la valeur des choses. Il dépense sans compter pour ses propres plaisirs, futiles, et se complait à voir les billets partir en fumée. Il comble son ennui et le désastre de sa vie par le luxe et l'alcool et se noie dans les volutes d'or gravées sur ses bouteilles, sur les cicatrices gravées dans sa chair.

— statut civil ; âme floue Il erre, d'hommes en femmes, sans trop quoi faire de son coeur qui bat encore malgré tout ce qu'il lui fait subir. Il se dit que l'amour c'est pas franchement pour lui, que les autres c'est pas trop sa came. Il a du mal à s'attacher tout autant qu'à se défaire de sa famille.

— animal de compagnie ; aucun Il ne sait déjà pas s'occuper d'une plante, alors un animal ? Il serait bien mieux dehors que dans ses bras.

— amortentia ; algue marine, poussière d'étoile et essence

— patronus ; inconnu Shiro n'a jamais réussi à créer un patronus.

— épouvantard ; sa famille entière se détournant de lui pour faire face à un autre Shiro, propre sur lui, souriant, avenant, un Shiro qui a réussi - une chimère.

— risèd ; une mer calme Son esprit. Il désire plus que tout trouver la paix intérieure.

— particularité(s) ; réponse brève Occlumens ; En tant qu'enfant de la famille Ryujinchi, Shiro n'a pas eu d'autre choix que d'apprendre l'occlumancie dès que la possibilité s'est offerte à lui. Au sein de leur fratrie, c'était soit fermer son esprit, soit subir les attaques mentales incessantes et cruelles de leur père. L'occlumancie, c'était la paix - et rendre otoosan fier, aussi. Le seuil 3, le minimum afin de protéger son esprit, lui suffit pour l'instant.

Godaï ; Shiro s'est lié à ses 7 ans à l'esprit de l'eau. Une surprise pour lui qui avait espéré la main tendue du Godaï du feu, en vain. L'enfant tout feu tout flamme avait été recueilli par le doux bercement de l'eau. Avec les années, le recul, Shiro comprit peu à peu pourquoi. La force de son élément l'accompagnait à travers ses tourments, ses combats ; il lui avait offert le courage de se relever. Encore. Et ce fut presque un choix du coeur plutôt que de raison que d'emprunter la branche du soin.
L'eau l'apaisait. Pas seulement pour sa connexion avec elle, mais aussi pour la sensation sur sa peau, fluide, omniprésente, mais presque aussi légère que le vent. Les plongeons dans la mer, les fleuves, les lacs, devinrent un rituel, sa façon à lui de se défouler lorsqu'il était encore trop jeune pour prendre part aux combats. Sa frustration de ne pouvoir s'immerger aussi longtemps qu'il le voudrait le fit développer le premier seuil de la branche.
Le deuxième vint tout aussi naturellement, comme une échappatoire à son quotidien. S'il ne nageait pas, Shiro pouvait passer des heures le nez en l'air, dans les étoiles, à faire glisser ses doigts le long de ses bras, de sa nuque, pour y faire circuler le chi et, enfin, respirer - fermer les yeux. Oublier.
Puis le troisième seuil, les premiers soins. Sans doute pas la branche qu'on aurait attendue d'un Ryujinchi mais il s'en fichait, ça l'amusait, même. C'était un pied de nez à ces valeurs familiales qu'il ne comprenait pas. Réparer ses plaies pour repartir de plus belle sur le ring - et, parfois, soigner ceux qui sont tombés trop fort sous ses coups, loin des regards, parce qu'il n'est pas comme ça, Shiro - il ne soigne pas, il frappe - c'est tout.


— mode de vie ; Shiro n'est pas ce qu'on pourrait appeler un enfant de coeur. Il a toujours été un garçon à problèmes. Il cherche les limites, les coups, les mauvais plans, il sait mieux que personne se fourrer dans la merde et bien remuer le tas. On dirait que ça l'amuse de provoquer les ennuis. C'est peut-être bien son dernier plaisir, dans cette vie. Tourmenté par son passé et ses ratés, sans emploi, sans avenir, Shiro erre dans les clubs de combats illégaux, dans les mauvais quartiers et les sales fréquentations. Il dilapide l'argent que son père lui donne à la recherche d'un quelconque frisson. L'alcool, surtout, parce que la drogue, c'est pas son truc. Il s'offre des fringues hors de prix et des restaurants trop chics pour son visage tuméfié, mais son nom faire taire les culs serrés de la haute. Mais c'est pas suffisant pour apaiser son coeur.  
LIFE AND LIES

{#}1{/#}  Taliyah. Son nom résonne sur ses lèvres, une tendre mélodie qui entre en résonance avec son coeur. D'une année plus jeune que lui, liée à l'élément du feu, Shiro lui vola son premier baiser la veille de ses 16 ans. Elle lui offrira son deuxième dans la foulée.
Première petite amie, premiers émois, premiers touts, Shiro était fou amoureux d'elle, à s'en rendre niais, même, mais il s'en foutait. Il voulait lui offrir le monde et son coeur avec.

Il faisait nuit noire lorsqu'ils posèrent le pied sur le sable cristallin de la plage. Cet endroit de la côte, bien qu'aussi dangereux que les autres, était moins surveillé, sans doute à cause de son isolement : le chemin pour parvenir jusqu'ici avait été éprouvant. Le vent s'engouffrait sous leurs vêtements et soulevaient les boucles de Taliyah dans une drôle de danse. Shiro rit et l'entraîna par la main. Leurs sacs à dos s'échouèrent sur le sol. Ils étaient jeunes, un peu cons aussi, et l'interdit ne faisait que rendre leur excursion plus excitante.
Le son des vagues et le clapotis de l'eau vinrent chatouiller leurs oreilles. Taliyah lui sourit. Shiro rougit et détourna les yeux sur la mer. Il voulait lui montrer un truc cool. "Regarde," murmura-t-il, un sourire assuré au coin des lèvres avant qu'il ne s'immerge dans l'eau. Il avait atteint le premier seuil il y a peu ; il se savait capable de rester sous la surface pendant 4 bonnes minutes. L'eau était son cocon. Elle le calmait. Le bleu de la mer et celui du ciel se mouvaient ensemble dans un sombre tableau. Mais il n'avait pas peur.
Les cris de peur de Taliyah moururent lorsqu'il ressurgit des flots pour l'attraper dans ses bras, riant comme un chiot devant les remontrances apeurées de sa petite amie. "Je vais bien. Alors, combien de temps j'ai tenu ?" "Qu'est-ce que j'en sais, moi ? Tu crois que j'ai pris le temps de compter ?" Elle était furieuse, et lui hilare. Mais elle ne pouvait jamais rester en colère bien longtemps contre lui.

Ils s'allongèrent sur le sable, leurs doigts entrelacés, les yeux perdus dans les astres - ceux du ciel et ceux de Taliyah. Shiro tira de son sac les bouteilles de saké qu'il avait emprunté à son père. Leurs lèvres passèrent de goulots en goulots. Il ne saurait dire à quel moment ils ont commencé à boire trop, à quel instant leur esprit s'est troublé. Leurs gestes devinrent flous, maladroits, leurs rires plus forts encore. Ils dansèrent et s'embrassèrent sur le bord de la plage, les pieds léchés par les vagues, perdus sous les étoiles trop brillantes.

Et puis le noir. Il rouvre les yeux et Taliyah n'est plus là. Est-ce qu'il s'est endormi ? "Taliyah ?" Le silence. L'écume s'échoue devant lui.
Il plonge dans la mer, hurle son nom, crache et pleure lorsque le sel lui brûle la gorge et les yeux. Il fouille les profondeurs sans relâche. Mais il n'y a rien. Rien que l'eau, insaisissable, intangible, qui l'enveloppe comme un cocon.


{#}2{/#} "Assez, père... Assez... S'IL VOUS PLAIT !"
Shiro émerge soudain, les poumons en feu. Les larmes ont creusé des sillons sur ses joues et son regard tremble alors que il entoure sa poitrine de ses bras. Il l'a revue, encore. Dans son esprit. Le silence de la mer. Ses cauchemars où le visage de Taliyah sombre dans les flots, où l'eau s'engouffre dans sa bouche, où sa main se tend vers lui, où elle le supplie - mais il ne lui répond jamais.

Ses larmes se transforment en sanglots. Il ne parvient plus à dormir. Ses nuits sont ponctuées de rêves atroces et, le jour, son père ne cesse de briser ses barrières et de lui faire revivre, encore et encore, la mort de sa petite amie. Il n'en peut plus. Il faut qu'il parvienne à reprendre le contrôle. Il le faut... S'il ne voulait pas sombrer dans la démence, comme les autres.


{#}3{/#} Shiro est immobile. Malgré la douleur qui perce ses genoux, il ne bouge pas, les mains pressées contre les lattes de bambou pour implorer le pardon de son père.

Il avait abandonné. Échoué.

Ses deux dernières années d'études avaient été un échec cuisant. Il ne parvenait pas à se concentrer. Malgré les heures passées sur ses livres, les soirées perdues en études supplémentaires et les cours de soutien qu'il avait quémandé auprès de ses senpais, Shiro stagnait en bas de la liste. Il ne comprenait pas. À quel point pouvait-il être stupide pour ne pas être capable de suivre un cursus ? Un bon rien. Un imbécile. Tout juste bon à sortir les poings lorsque ses mots ne suivaient plus. Un gamin emplit de colère. Stupide.

"Tu me déçois, mon fils."

Shiro serra les poings. Ne pleure pas, putain. Ne t'abaisse pas à ça. Tu es déjà tombé bien assez bas...

Alors un peu plus ou un peu moins, qu'est-ce que ça changerait ?


{#}4{/#} Son poing fendit l'air et fracassa la mâchoire de son adversaire dans un crissement d'os affreux. L'homme lâcha un grognement, roula ses yeux dans ses orbites et s'effondra.
La foule rugit dans son dos.

Il avait gagné, cette fois.

Le sorcier essuya le sang qui coulait de sa lèvre éclatée et passa entre le filet de sécurité pour rejoindre les loges. Putain. Son épaule lui faisait un mal de chien. Il était encore allé trop loin. Il sourit. Un drôle de sourire, cassé, rongé par la colère. Peu importe. Il pourrait le soigner.
Ses doigts glissèrent sur la chair meurtrie et ferma les yeux. Il sentait le sang ruisseler dans ses veines. Les battements de son coeur animés par l'adrénaline. La douleur qui pulsait dans ses veines. Il n'avait qu'à faire plier sa volonté pour réparer les nerfs.

Il rouvrit les paupières et enfouit ses mains dans ses poches. Le mouvement le fit grimacer. Pas encore. Il ne méritait pas encore d'être soigné.


WANTED DEAD OR ALIVE

fight-club Autres combattant.e.s du fight-club - ceux qui l'ont vaincu, ceux qu'il a vécu, ceux qu'il a soigné avec sa magie de l'eau ; petits chefs de la place ; parieurs ; videurs ; curieux ; ceux qui veulent risquer leur vie, endurcir leur corps, recevoir un shot d'adrénaline, oublier la magie pour un soir, trouver un sens à leur vie ou au contraire l'oublier ; ...


ryujinchi Toute personne apparentée à la famille Ryujinchi ; yakuza et famille de yakuza ; endettés ; ennemis ; clients ; ceux qui sont dans la merde, ceux qui veulent s'en sortir, ceux dans la famille les a condamné, ceux qui traînent dans de sales affaires, les hommes de main comme les hommes de tête ; ...


Mahoutokoro Ancien camarades d'écoles ou de promo en études supérieures politicomagiques ; autres godaï mizu ; étudiants ou futurs étudiants en médicomagie ; les bons élèves lécheurs de bottes, les perturbateurs, les abonnés absents, ceux qui ont réussi là où lui a échoué, ceux qui portent les mêmes aspirations ; ...
sonnets of a sorcerer.
Sora Natsuya
FT. Yuta Nakamato, myself


A BRIEF HISTORY OF TIME

— prénom & nom ; Sora Natsuya Sora ( c i e l ), un prénom pour la pureté de ses traits et la délicatesse de ses manières. Un prénom pour un garçon à l’apparence angélique, mais aux desseins futiles et aux ambitions mesquines. Si Sora se veut perfection, il n’est en réalité que bassesses et jalousies. Natsuya ( é t é ) qui n'est pas le nom qu'il aurait aimé porter, qui n'est que le nom d'un couple de moldus tout ce qu'il y a de plus ordinaire, ses grands-parents, les autres. Comme sa mère, il aurait voulu naître pur Vallière.

— âge ; 21 ans ou l'éclosion d'un jeune adulte, un enfant, vraiment, qui se cherche encore, ne se trouve pas. Confusion, désirs, peurs infinies.

— naissance ; 21 01 1999, Minami Iwo Jima C'est en plein drame familial que Sora, enfant unique des Natsuya, vit le jour. Son grand-père maternel emprisonné à Azkaban, sa grand-mère rejoint au Japon sa fille étudiante à Mahoukotoro pour découvrir celle-ci enceinte hors mariage d'un né-moldu. Une cérémonie discrète permet à Sora de naître du couple marié, mais les tensions et dissensions feront toujours part intégrante de sa vie.

— origine(s), nationalité(s) ; Franco-japonais Sora s'enorgueillit d’une famille maternelle française issue de l’ancienne noblesse et dont il aurait hérité des traits délicats tout autant que du sang bleu, à défaut d’en avoir hérité le nom. L'histoire des Vallière s'égrène au long des siècles, famille sorcière à la lignée restée pure et dont le nom ne finit par s’entacher que lorsque le grand-père de Sora, Gustave Vallière, rejoint le rang des fidèles de Voldemort. Un passé familial que sa mère cherche à laisser dans l'ombre mais sur lequel Sora s'interroge, et, sous l'influence de sa grand-mère, se prend à tirer une certaine fierté.

— sang ; Sang-mêlé Le mariage de sa mère avec un né-moldu n’a pas été extrêmement bien accepté par les parents de celle-ci. Bien qu’au Japon il ne soit pas vraiment mal vu d’être issu d’une famille moldue, Sora, qui se raccroche fortement au statut social de ses grands-parents et, dans la même logique, à leur opinion, ne peut s’empêcher d’en éprouver une grande honte.

— baguette ; 32cm, saule, cheveu de vélane Un objet délicat aux réactions parfois détonantes. Son bois est lisse, son manche ouvragé. Contrairement à la tradition nippone, Sora ne tient d'ailleurs pas particulièrement à la garder cachée.

— maison ; Kaze Ce sont trois yokais qui se sont présentés devant le jeune et indécis Sora. Timidement, c'est la grue qu'il a fini par approcher, sans grande conviction, mais la préférant instinctivement au koï et au bakaneko. Aujourd'hui encore, ne se sentant nulle part vraiment à sa place, le jeune homme doute de sa véritable appartenance à la maison de l'air.

— occupation ; Étudiant - Vestiges et civilisations sorcières (2ème année) Il ne savait pas, Sora. Il a préféré fuir, car qu'est-ce que pouvait vraiment lui offrir l'avenir ? Se sentant prisonnier de sa situation, ne se trouvant aucun talent, plein d'angoisses quant à son identité propre, quant à elle, quant à lui ... Il a fui. En Europe, pendant 1 an. Puis, pas tellement apaisé mais peut-être faute de mieux, le voilà revenu au bercail, sans un mot d'explication à quiconque. Il se lance alors dans des études qui lui semblent un peu plus intéressantes que d'autres. Peut-être y trouvera-t-il l'inspiration.

— club(s) ; Club de potions Si Sora avait pour habitude de considérer les potions comme quelque chose de sale, une base besogne, en comparaison aux sortilèges, il a, depuis peu, une obsession: depuis l'épisode malheureux du gala de St-Valentin, il a réalisé à quel point les filtres d'amour pouvaient être puissants. Obliger les gens à l'aimer, voilà peut-être qui lui permettrait de ne plus douter.

— situation financière ; Relativement aisée Sora ne profite peut-être pas de la même aisance qui avait été celle de sa famille en France, à l'époque, mais les Natsuya n'ont clairement pas à se plaindre et ne souffrent d'aucune privation Enfant unique, le jeune sorcier en profite amplement.

— statut civil ; Célibataire Ne peut admettre aimer tout en aimant avec passion, ne peut admettre avoir besoin de lui tout en étant incapable de fonctionner sans lui. A fucking wreck.

— animal de compagnie ; Aucun -

— amortentia ; Chocolat, roses et Hui Ayant toujours adoré le parfum lourd et sulfureux des roses, le chocolat étant son péché mignon, c’est finalement l’odeur de l’être aimé, de ses cheveux plus précisément, qui pourrait le rendre le fou, une drogue à laquelle il s’adonne bien plus volontiers qu’il ne peut se l’avouer.

— patronus ; Magpie Sans être maîtrisé à la perfection, le patronus lancé par Sora laisse aisément reconnaître une pie bavarde et, semblerait-il, particulièrement agressive..

— épouvantard ; Rose flétrie Un jeune homme défiguré, les cheveux éparses sur un crâne couvert de plaques rouges, purulentes, les yeux jaunes et le regard éteint, les membres décharnés et la bouche édentée; c’est une vision cauchemardesque de lui-même que Sora, pour qui sa propre beauté est sa plus grande préoccupation, ne peut supporter..

— risèd ; Gloire et reconnaissance Entouré d’une foule admirative, la chaleur de leur adoration presque palpable, certaine. Et Hui à son bras, sans que ne soit possible le doute: il est sien et l’assumer est si simple, ne pose aucune question.

— particularité(s) ; Aucune -

— mode de vie ; Le fils des Natsuya a été habitué à mener une vie bien rangée, peu exposé aux excès durant son enfance et son adolescence. Si ce n’est quelques piercings et le tatouage magique d’une rose dans le creux de son poignet, Sora reste plutôt propre sur lui. Il ne fume pas, mais à force de chercher comment se débarrasser de ses démons, a eu l’occasion de tester toute une série d’alcools et de drogues qu’il commence de manière régulière, cherchant parfois simplement à s'anesthésier le cerveau.  
AESTHETIC ;;

J'te fous un chasse et
J'te casse le nez
Tignasse tu t'relèves
Mais tu croises mes pieds
Et même si tu flanches
J'te pète les hanches
J'explose mes phalanges
Sur ta gueule d'ange

Charmant Vaniteux Colérique PassionnéJaloux Soigné Susceptible Paranoïaque Futé Narquois Violent


KEYWORDS

soumis soumis à la social pression | i can't stand to love you | être contesté, c’est être constaté | i'll fight you | you can never be overdressed or overeducated | i'm so much better | look at me | tout s'embrase dans mes rêves synthétiques | du sang bleu à la clé | i hate myself | pay attention to me | never love anyone who treats you like you're ordinary | look at me | look at me | look at me
A WIZARDING GENEALOGY

— Famille ; Vallière Établie comme une ancienne famille sorcière sur le sol français, ses origines se tracent aisément jusqu’au début du Moyen-Âge. Si nombre d’illustres sorciers ont, au cours des siècles, porté ce nom, la famille s’est plus récemment illustrée pour son idéologie pro-sang pur et l’héritier de la branche principale, Gustave Vallière, fut l’un des plus fervents suiveurs de Lord Voldemort jusqu’à sa chute en 1998. Il croupit désormais à Azkaban, mais ses enfants ainsi que sa femme n’ont pas été inquiétés bien qu’on les soupçonne fortement de partager les idées qui le conduisirent à sa perte.

Natsuya Une simple famille de cultivateurs de riz, un couple moldu sans histoire et sans éclat, dont la naissance d’un fils doté de magie ne chamboula finalement que peu l’existence. Le petit fut envoyé à Mahoutokoro, ne rejoignant ses parents que pendant quelques courtes périodes de vacances, s’épanouissant pleinement de son côté, dans son monde, celui de la magie. Sora ne connaît au final que très peu ses grands-parents maternels et n’est à vrai dire, pas du tout intéressé par l’idée d’approfondir cette relation.


— Chronologie ; 21 janvier 1999 Naissance de Sora alors que ses parents sont tout juste mariés et encore étudiants. Sa mère préférera d’ailleurs abandonner sa formation en magizoologie pour prendre soin de son fils.

Mars 2006 Entrée à Mahoutokoro, sous la protection de la grue (KAZE).

Avril 2017 Son diplôme en poche, Sora décide sur un coup de tête de partir pour l’Europe où passera un an entre la France, l’Angleterre et la Scandinavie.

Septembre 2017 Visite à Azkaban de son grand-père maternel, ancien mangemort condamné à la prison à perpétuité pour avoir combattu aux côtés de Voldemort lors de la deuxième guerre des sorciers. La rencontre le marque profondément et le fait s’interroger plus avant sur ses propres croyances.

Mars 2018 Retour au Japon

Avril 2018 Sora se lance dans les études supérieures, sans grande conviction, et choisit la filière d’étude des vestiges et civilisations sorcières.

2019 S’étant fortement rapproché de Hui Ikeda, il commence à défiler avec les créations de ce dernier.
THE LIFE AND LIES OF Sora Natsuya

I'm waiting for you For I'm broken down Coming down this time For my heart lies {#}1{/#} L’enfant a les traits délicats, de longs cils foncés au-dessus d’un regard aux yeux ouverts, presque occidentaux, le métissage de son sang asiatique et européen se révélant de la manière la plus exquise dans ce petit être que ses parents auraient pu aisément lancé dans une carrière publicitaire. Pourtant, lorsque le jeune Sora s’observe dans un miroir, son reflet le dégoûte, le repousse instinctivement. Les traits asiatiques y sont trop présents, l’éloigne, lui semble-t-il, de son héritage français. Il aurait voulu naître en étant le portrait craché de sa mère, avoir ses yeux bleus et ses cheveux blonds. Son sang pur qu’elle a si honteusement souillé en le mêlant à celui de son père. Parfois, Sora les déteste. Souvent, Sora se déteste lui-même.

{#}2{/#} Il a du mal à accorder sa confiance, Sora. Il se sent constamment jugé et n’a lui-même que peu d’estime pour ses semblables. Sa grand-mère lui a si bien rempli la tête de ses propres convictions qu’il n’arrive à se sentir bien qu’en compagnie de véritables sang-pur. Ce qu’il n’est pas lui-même et cela le déchire. Et puis il y a Nuri. Nuri aussi, elle est un peu à part. Elle aussi, elle a le sang métissé. Ils se comprennent, il y a quelque chose, un courant, qui passe naturellement entre eux. Sora et Nuri se sont vite rapprochés, se sont trouvés, et le garçon a trouvé en elle l’âme soeur dont il avait besoin pour ne plus avoir à affronter seul les difficultés de la vie. Une relation qui n’avait fait que devenir plus complice et fusionnelle au fil des années. C’est avec Nuri qu’il connut sa première relation amoureuse et c’est avec Nuri qu’il découvrit également le sens du mot jalousie. La peur de perdre une personne chère, de perdre son attention au profit d’un autre. Et ça le rendait fou, parfois, Sora.

{#}3{/#} C’est trop difficile ! Ne plus savoir que penser, ne plus savoir vers quoi se projeter. Vouloir vaguement le monde, n’avoir envie de rien. Et puis, surtout, ce doute affreux, ce malaise au fond de lui. Sora ne se supporte plus et ne supporte plus les autres. Le voilà à la fin de ses études et il se sent soudain prisonnier. Prisonnier de sa vie, prisonnier de sa relation, prisonnier d’une identité pourtant fragile qu’il croyait être la sienne … C’est trop difficile d’assumer ses doutes, ce n’est pas l’image qu’il veut renvoyé. Trop difficile de rester entre ses parents et sa grand-mère, trop difficile d’affronter Nuri, de lui faire part de ses doutes. C’est plus facile, plus facile de disparaître sans rien dire à personne. Fuir les décisions autant que les questions. Plutôt s’envoler, quitter le Japon pour la première fois. Découvrir la France, le pays de ses origines mais surtout l’objet de tous ses fantasmes. Profiter pleinement de sa majorité nouvellement acquise sans en prendre les responsabilités. Sora, le ciel, il est vaste, il s’étend à l’infini. Il ne supporte plus de se sentir si à l’étroit.

{#}4{/#} Strictement encadrées, les visites à Azkaban n’étaient accordées qu’aux sorciers majeurs, pouvant démontrer d’un lien familial direct avec la personne incarcérée. Sora avait d’abord longuement hésité, alors qu’il séjournait en Angleterre, avant de déposer une demande officielle auprès du Ministère de la magie. Sans vraiment savoir ce qu’il attendait de cette rencontre avec ce grand-père qu’il ne connaissait jusqu’ici qu’au travers des récits héroïques qu’en faisait sa grand-mère, Sora avait arpenté les couloirs sinistres de la forteresse. Même si les détraqueurs en avaient été chassés alors qu’il n’était pas encore né, c’est comme si les murs avaient continué à suinter de la folie et du désespoir de ses occupants d’alors, les créatures semblant avoir imprégné à jamais l’endroit de leur terrible présence. Son grand-père occupait une cellule taillée à même la roche, froid et humide avec une unique lucarne donnant sur la mer. L’homme, le grand homme, avait levé les yeux sur son petit-fils et Sora s’était senti minuscule. Malgré les années passées en captivité, Gustave Vallière avait gardé intacte toute la férocité de son regard. La marque des ténèbres restait clairement visible sur son avant-bras ridé et il avait esquissé un léger sourire en constatant que le regard du jeune garçon s’y était instinctivement porté. “Ainsi c’est donc toi, mon petit-fils.” avait-il lâché dans un français que Sora ne comprenait que très mal. Il n’avait cependant eu aucune difficulté à comprendre les insultes qui avaient suivi: sa mère, sa propre fille, souillée à jamais. Vermine, erreur de la nature. Sang-de-bourbe.

{#}5{/#} C’était plus fort que lui. Bien qu’il ne puisse se l’avouer, Hui était sa nouvelle obsession. Mais Hui était aussi insaisissable qu’un courant d’air. Ce sentiment de jalousie, si Sora l’avait déjà expérimenté par le passé, personne ne s’en était jamais joué comme le jeune créateur le faisait à présent, jouant avec son coeur avec une aisance déconcertante. Voir son attention se diriger vers l’un ou l’autre garçon le rendait fou de rage. Cette facette violente de sa personnalité, s’il avait toujours eu diffusément conscience de son existence, il était toujours parvenu à la canaliser. Jusqu’à Hui. Hui qui se faisait un malin plaisir à titiller ses démons intérieurs, Hui qui se réjouissait de le retrouver le visage en sang, les jointures éclatées, la peau de ses rivaux coincée sous les ongles. Mais Sora de foncer à nouveau, ne pouvant résister à ce besoin impérieux de détruire tout ce qui risquerait de se mettre entre lui et l’objet de ses désirs les plus impérieux.

Héra
MY LIFE AS A MUGGLE

HJ nouveau mois, nouveau perso ? Non ?  Non ?? (toujours aussi inspirant par ici, toujours autant votre faute :vnr: )


Invité le Sam 29 Fév 2020, 18:14(( Wen )) demons hiding underneath

sonnets of a sorcerer.
Wendell Selwyn
FT. francisco Lachowski, LISTE DES CRÉDITS


A BRIEF HISTORY OF TIME

— prénom & nom ; SELWYN. un nom qui a provoqué des murmures sur ton passage lors de tes années à Poudlard. Et tu en retires une certaine fierté. Peu importe ce qu’ils pensaient de tes ancêtres, ils étaient occupés à parler de toi, à craindre tes penchants. Autant dire que tu en as joué, parfois même abusé. Tout était une excuse à manipuler ton monde, pour y avoir la place que tu convoitais, en tant que digne héritier de l’entreprise familiale. WENDELL. Une douceur qui n’est qu’un mensonge lorsque l’on croise l’abysse de ton regard. Féroce et égoïste, tu fais toujours passer tes intérêts en priorité, ne dérogeant pas à l’enseignement familial qui ne t’a jamais prôné l’altruisme.    

— âge ; Vingt-neuf ans à l’orée de la trentaine, c’est une nouvelle décennie qui s’annonce et que tu accueilles sans la moindre angoisse. Cette maturité croissante ne t’offre pourtant aucun changement, aucune rédemption. Mais depuis des années déjà, tu ne vis plus seulement pour toi, tu œuvres pour tes fils et ils sont le moteur de toutes les stratégies que tu mets en place. Bien décidé à leur léguer bien plus que ce que tu as reçu.  

— naissance ; 09 09 90, Sidney Né sous le chiffre neuf, tu l’as choisi comme porte bonheur. Mais cette date n’a rien de particulière pour toi, tu as bien d'autre choses en tête que ce jour où tu es né. Chaque journée est une occasion pour te mettre en valeur, pour obtenir ce que tu désires.  

— origine(s), nationalité(s) ; anglaise & australienne Tes origines britanniques sont encore ancrées dans vos traditions, dans cet héritage familial qui a bercé ton enfance. En leur honneur, tu as même été étudier à Poudlard, jusqu’à ta majorité avant de rejoindre Mahoutokoro. Mais c’est bien en Australie que tu es né, que tu as grandi, sous un soleil écrasant, cerné par un paysage parfois hostile.  

— sang ; sang pur autrefois, ça avait une importance, une signification dont tes ancêtres étaient très fiers. Et tes parents essaient encore d’y trouver une légitimité, sans grand succès. Plus personne n’est intéressé par la pureté du sang et c’est dans tes affaires, dans l’argent que tu amasses pour l’entreprise familiale que tu veux gagner en notoriété et non plus à travers le liquide qui coule dans tes veines.  

— baguette ; 32cm en bois d'acacia avec un corne de basilic un tempérament difficile qui n'est pas sans rappeler le tien. Loyale jusqu'au bout, tu es le seul à pouvoir la manier, et si tu as eu du mal à la dompter au début, aujourd'hui elle te confère la maîtrise et la précision que tu attends.  

— maison ; daichi lié à la terre lors de tes études à Mahou, tu t'es retrouvé dans les valeurs de réussite et de prospérité de cette maison. Sans compter qu'à l'image de son totem le Tanuki, tu n'hésites pas à duper pour obtenir ce que tu veux.  

— occupation ; Gérant du Cabinet of curiosities Dès la fin de tes études des vestiges et des civilisations sorcières, il était prévu que tu serais gérant de ton propre cabinet des curiosités au Japon. La boutique de Kanto est en effet reliée à celle que tes parents tiennent encore en Australie, bien que tu prennes tes propres décisions. Il est néanmoins évident que c'est un ajout considérable au patrimoine familial et une passion qui coule dans vos veines depuis toujours. A aucun moment tu ne t'es imaginé une autre carrière et c'est bien la seule chose que tes parents n'ont jamais eu à t'imposer. Lyra, ta soeur, travaille à tes côtés, bien qu'elle ait ses propres spécialités en la matière. & Dark Phoenix Derrière l'enseigne de façade et les antiquités et autre objets en dépôt-vente se trouve la réelle activité familiale. Comme toujours, au-delà de cette activité honnête qui vous permet de trafiquer librement se cache un véritable recel d'objets magiques volés et de malédictions. Les connaisseurs mais aussi voleurs en tout genre savent où vous trouver, mais ton petit plaisir reste de traquer les opportunités, de suivre la trace des objets magiques rares et dont la valeur attire ton attention. Véritable chasseur et trafiquant aguerri, tu prends plaisir à dérober ce qui ne t'appartient pas afin de le revendre au plus offrant.    

— club(s) ; ancien batteur des Three-Headed Dogs tu as toujours été un peu sanguin, impulsif. Le quidditch a été ton exutoire, le lieu idéal où te défouler en envoyant des cognards dans la tête de tes adversaires.

— situation financière ; aisé ta famille ne le cache pas, au contraire, l'argent a toujours été là pour assurer votre confort. Tu n'as jamais été dans le besoin et tu refuses que tes fils connaissent une vie où il faut se priver pour pouvoir payer les frais de la vie quotidienne. Pour autant, tu ne veux pas qu'ils se laissent aller dans une richesse trop facilement acquise. Une fois adulte, tu veux qu'ils travaillent dur comme leurs prédécesseurs afin de pouvoir accroître la fortune familiale.  

— statut civil ; Veuf elle était ta femme, aux yeux de la loi, aux yeux de ta famille, mais en réalité, elle était surtout ta meilleure amie. Entre vous, il n'y avait qu'un amour fraternel, une complicité née de ses années d'amitié, mais rien de romantique. Elle l'a toujours su, qu'elle ne serait que la mère de tes enfants et chacun de vous à fermer les yeux sur les petits secrets de l'autre. Malgré tout, vous formiez une famille, elle comptait pour toi, bien que cette affection ne soit pas celle que l'on attendait de toi, tu n'as pas supporté de devoir la perdre, de la voir mourir à cause de tes affaires douteuses. Et si tu as payé lourdement pour tes erreurs, ce sont tes fils qui en souffriront le plus. Car si tu as perdu ta plus proche amie, eux ont perdu leur mère.  

— animal de compagnie ; deux enfants & un chien il te fallait un animal, pour tenir compagnie aux enfants, pour les rassurer lorsque tu rentres tard. Et ce chien, t'as beau dire, mais il a fini par trouver sa place. Pas seulement auprès des enfants. Orri est une ombre qui suit tes pas, qui dort près des chambres de tes fils la nuit et qui rejoint leur lit au moindre pleur.  

— amortentia ; acacia la fleur de ton enfance, celle qui poussait dans l'immense jardin de votre demeure en Australie et qui a accompagné tes premiers jeux d'enfant. sable chaud comme une réminiscence de cette époque où la plage était ton royaume, le lieu de tes premières bêtises, de tes premières fois, de tes rendez-vous d'adolescent et de tes secrets enfouis. café fraîchement moulu des vices, tu en possèdes tellement qu'il serait vain de les compter, mais le café est la première drogue de ton existence. Tu en bois suffisamment pour que les tasses s'accumulent partout dans ton appartement et dans chaque recoin de ton bureau.

— patronus ; un sombral effrayant de par le mystère et la mauvaise augure qu'il inspire, ton patronus t'a beaucoup fasciné lors de ta scolarité. Encore aujourd'hui, tu apprécies le message qu'il envoie et la beauté de cette créature qui s'élance hors de ta baguette.

— épouvantard ; le corps de tes fils Après la mort de leur mère, tu n'en parles pas, mais tu crains qu'ils soient les prochains. Et bien que tu sembles détaché de tout lien, de tout autre être que toi-même, ce qui t'unit à tes fils est bien plus fort que tout ce qu'on peut imaginer. T'es prêt à tout pour les protéger et leur offrir cet avenir que tu as construit pour eux, pour toi, pour cette famille que vous formez à vous trois. Les perdre est pour toi une idée insupportable, la pire chose qui pourrait à présent t'arriver et certainement la seule véritable peur qui pourrait te rendre fou au point de perdre toute notion de la réalité. Toi qui a toujours été sans attache, attiré par le moindre défi, tu ne peux nié que devenir père a tout fait basculer.

— risèd ; deux silhouettes semblables à la tienne devant une troisième boutique ton avenir réside dans ce que tu pourras transmettre et inculquer à tes fils. Et en homme d'affaire, en trafiquant sans scrupule, tu ne vois rien d'autre qu'une pérennité de ce que tu as construit, à travers ceux qui tu élèves à ton image.

— particularité(s) ; Godaï de la terre & animagus yama-neko Profondément lié à ton élément et particulièrement à la faune qui t'a toujours davantage inspirée confiance que tes pairs, tu as cherché dès ton arrivée à Mahou à en apprendre plus sur le contrôle de la terre. Toute ton énergie a donc été tourné vers ce lien instinctif envers la faune qui t'entoure. Tu avais déjà conscience du pouvoir que les animaux pouvaient te donner si tu parvenais à gagner leur confiance, à te lier à eux, à partager vos secrets. Et tu n'as jamais rien lâché, tu y as consacré parfois des nuits entières, obsédé par cette idée que tu serais capable un jour de t'en faire des alliés, une source d'informations et de soutien que tu ne trouves que très peu auprès des autres sorciers (et encore moins auprès des moldus).
Épris de ce besoin de te rapprocher encore plus de cette osmose avec ton animal totem, tu as ensuite décidé - il y a seulement 4 ans - de pousser ce parcours jusqu'à devenir animagus. Contrairement à ce que ton caractère peut laisser supposer, tu n'as pas un animal totem très imposant, mais le yama-neko est aussi et surtout un animal sauvage qui ne se laisse pas dompter facilement. Tout comme toi, c'est un chasseur, un territorial, un être indépendant mais aussi terriblement lié à son élément.


— mode de vie ; L'âge n'est pas venu avec la raison et la sagesse escomptées et ton mode de vie reste celui d'un homme qui aime jouer, qui aime chasser. L'alcool, mais aussi quelques drogues parfois, remplissent tes soirées, et tu as tes propres limites. Rien ne semble trop osé si cela te permet de prendre ton pied, de te sentir vivant. A trop joué à l'homme rangé, droit dans ses bottes pour plaire à tes parents, tu as toujours eu cette double vie débridée et il n'y a pas que dans les affaires que tes méthodes sont louches. Tu n'hésites pas à séduire des hommes plus jeunes, à te montrer libéré à la frontière de l'indécence. Et tu ne promets jamais rien. Seulement la jouissance de l'instant présent.
Amateur de cigarettes sorcières et de tatouages, tu ne te refuses rien, peu importe l'image que ça donne de toi. Plus elle sera mauvaise et plus tu seras satisfait.
 
AESTHETIC ;;

I'm the truth that you're afraid of
I'm a fever that you made up

impulsif possessif calculateur menteur joueur borné caractériel égoïste


KEYWORDS

« Whatever it takes
'Cause I love the adrenaline in my veins
I do whatever it takes
'Cause I love how it feels when I break the chains
Whatever it takes
You take me to the top I'm ready for
Whatever it takes
'Cause I love the adrenaline in my veins
I do what it takes »
imagine dragons
A WIZARDING GENEALOGY

— Famille ; Elevé dans une famille classique, aux traditions bien ancrées, tu as eu deux parents qui, s'ils t'ont donné tout le confort financier, ne t'ont jamais donné la moindre affection. Tu as appris à grandir sans ces émotions qui lient normalement les enfants à ceux qui leur ont donné la vie. Tu ne devais pas les décevoir, être un autre pour les satisfaire. Evidemment, ta soeur et ton frère n'ont jamais été dupes, ils savaient bien que tu n'étais pas entièrement toi-même. Tu jouais déjà ton rôle d'héritier alors même que tu n'étais qu'un enfant. Grandir en refoulant tes attirances, tes désirs et tes secrets les plus intimes. Avec eux, tu n'avais pas envie d'être un autre, et tu as dû jongler, te perdre un peu, te cacher, avec leur aide ou non. Votre fratrie est souvent atypique mais les liens sont réels entre vous. Depuis la naissance de tes deux fils (Emery & Caelan) tu ne veux pas faire la même erreur que tes parents, les priver de ce soutien inconditionnel et de cette protection dont ils ont cruellement besoin. Maladroitement, tu essaies de les aimer et de les accepter comme tu ne l'as jamais été, mais ta nature ressort malgré tout et tu sais que tu auras du mal à ne pas leur imposer un avenir que tu as déjà imaginé pour eux.

— Chronologie ; 9 sept. 1990 ce jour sans importance où t'es venu emmerder le monde, criant déjà pour exiger qu'on te nourrisse. Et ce n'était que le commencement.

1994 Dans cette vie, tu ne seras pas vraiment seul parce que Lyra est née. Au début, t'as eu peur qu'elle prenne le peu de place que tu avais dans la vie de tes parents. Mais au final, c'est dans ta vie qu'elle a pris de la place, beaucoup de place.  

1997 Et de deux, vous êtes passé à trois. Dans un équilibre instable qui vous ressemble bien. Parce que trois, ce n'est pas un chiffre pair, et il y en a toujours un qui est à la traîne.

sept 2001 T'es fier d'entrer à Poudlard, de rejoindre les serpentards et d'apprendre enfin la magie. Tellement fier que t'en garde un souvenir mémorable.

fin 2008 Le grand départ pour le Japon. C'est décidé depuis longtemps, tu veux y faire tes études supérieures avant de gérer ta propre boutique là-bas et enfin te démarquer de tes parents.

mars 2013 Enfin diplômé, t'as toute ta vie devant toi, un avenir qui te tend les bras. Et une boutique qui t'appartient enfin.

mai 2013 Tu n'as pas vraiment eu le choix. Ce mariage, c'était une obligation, alors autant épouser ta meilleure amie. Tu ne pourras jamais la rendre heureuse mais au moins, vous avez cette connexion entre vous, cette amitié qui pourra sauver les apparences et vous permettre de vous protéger mutuellement, gardant vos petits secrets. Du moins, c'était ce que tu pensais, que tu pourrais la protéger.

juin 2014 Tu as tout juste eu le temps de t'y faire que t'es déjà devenu père. Emery est né, chamboulant ton existence.

février 2017 C'est au tour de Caelan de venir bousculer ton quotidien. Avec deux fils, t'es à présent comblé - et tes parents aussi - puisque la descendance est assurée.

août 2019 Un règlement de compte - dont tu étais la cible - a arraché la vie de ta femme, de ta meilleure amie. Tu te retrouves seul à élever tes fils qui n'ont à présent plus de mère, plus de repère.
THE LIFE AND LIES OF WENDELL

Can you see my scars? Can you feel my heart? This is all of me for all of the world to see {#}1{/#} shady t'es pas très attaché à la loi, ni à ce qu'elle autorise. Tant que tes affaires se portent bien, peu importe ce qui te permet de faire du profit ; t'as l'habitude de flirter avec l'illégalité, de jouer un double jeu. Tu fonces, tête baissée, tu prends des risques et tu te sens un peu plus vivant à chaque fois. Tu vibres face au danger et tu ne crains pas les conséquences de tes actes. Les cicatrices, ce sont les souvenirs de tes batailles, celles que tu as perdu, celles que tu as gagné. Tu ne les caches pas, tu ne cherches pas à te justifier. Quitte à user de ta mauvaise foi pour appuyer tes décisions, camoufler tes incertitudes et te donner raison. Tu collectionnes les mensonges comme les objets magiques volés, avec un certain aplomb, une certaine fierté aussi. Ce n'est qu'un jeu dont tu as su faire ton métier. Comme tes ancêtres avant toi. Comme tes enfants dans quelques années, quand ils seront en âge de suivre tes pas.

{#}2{/#} lost & guilt ce qui pourrait t'arriver n'a pas vraiment d'importance. Tu sais qu'ils t'attendent au tournant, que les affaires ne sont pas toujours en ta faveur, que certains conflits dans ce commerce parallèle peuvent avoir de lourdes conséquences. Et tu en as durement payé le prix. Ta femme a été utilisé pour t'atteindre. C'était une menace évidente, une exécution froide qui a attisé ta haine et ton désir de vengeance. Si tu ne l'aimais pas comme tout mari est censé le faire, elle était ta famille, la mère de tes enfants, cette amie qui a accompagné ton adolescence, qui a gardé tes secrets. En l'éliminant, ils ont réussi à te toucher plus sûrement que s'ils avaient eu le courage de t'affronter. Parce que tu n'as pas pu la protéger et aujourd'hui, tes fils n'ont plus que toi. Un seul parent, un seul pilier, un seul repère. Et un jour tu devras leur dire, que c'était toi qui était visé, toi qui aurait dû mourir. Deux parents (quel que soit leur genre) valent toujours mieux qu'un et ce ne sont pas tes conquêtes frivoles qui pourront leur donner une seconde figure parentale.

{#}3{/#} tale of two sons avant tu ne vivais que pour toi, que pour ton propre profit. Mis à part ton confort personnel, rien d'autre ne comptait vraiment. Une vie d'égoïsme assumé qui te convenait à merveille. Tu n'avais jamais vraiment songé à ce moment où tu deviendrais père, où tu devrais protéger une autre vie que la tienne. Penser à l'avenir en dehors de tes activités professionnelles n'avait jamais été dans tes habitudes. Mais à présent, il y a deux vies qui comptent bien plus que la tienne. Une faiblesse que tu ne peux pas afficher sans les exposer eux aussi, comme leur mère. Pourtant, c'est plus fort que toi. Ce que tu ressens pour eux, tu ne l'as jamais ressenti auparavant. C'est un sentiment inconnu, qui te dépasse, qui t'effraie.

{#}4{/#} loveless tu détestes t'attacher, laisser les sentiments t'atteindre et encore moins les exposer. Ta spécialité c'est surtout de tout gâcher, de dissimuler la moindre étincelle. Tu ne te penses pas fait pour l'amour. Parce qu'on te l'a interdit, t'enfermant dans un mariage de convenance. Parce que ce n'est pas pour toi, un être qui ne sais pas aimer correctement. Alors t'aimes de travers, tu mens, tu te caches derrières des pulsions, des désirs souverains, impérieux, éphémères. Mais ton coeur, tout comme toi, ne demandera l'avis de personne, pas même le tien. tu le sais, tu le sens, quand tu essaies de le contenir, de taire cette possessivité qui n'a pas lieu d'être. Mais tu aimes collectionner ce qui t'attire et c'est plus fort que toi. t'aimes comme tu vis, sans limite, sans penser aux conséquence. Tant pis si ça fait mal, si ça éclate en mille morceaux. Tu vis intensément, ou tu ne vis pas du tout.

{#}5{/#} wild  cette pulsion qui monte en toi, qui ravage tout sur son passage, tu la connais bien. Elle vit en toi, cette violence, cette frustration que tu ne maîtrises pas. Tu es sauvage dans tout ce que tu fais. Tu te laisses emporter par tes émotions et lorsque tu perds tout contrôle, lorsque tu refuses d'admettre tes torts, c'est ton poing qui finit dans un mur, jusqu'à ce que le sang coule de tes phalanges. Pourtant, jamais tu ne cherches à blesser tes proches, jamais tu n'as frappé tes enfants. Mais ton propre poing lui se souvient de ces coups de sang, de cette colère soudaine. Et tes ennemis eux, n'ont pas la chance de pouvoir échapper à cet élan furieux.

{#}6{/#} spy parce que le vol et le recel ne sont pas tes seuls talents, tu aimes également récolter des informations. Et tes meilleurs alliés sont sans aucune doute les animaux avec lesquels tu te plais à tisser un lien. Plus fiables que des hommes, plus loyaux aussi, les créatures se fondent dans le paysage, passant inaperçues aux yeux de ceux qu'elles observent pour toi. Grâce à ton don de godaï mais aussi d'animagus, tu parviens à gagner leur confiance, bien conscient que pour la mériter tu ne dois jamais les mettre en danger. A ce titre, tu as toujours été bien plus doux avec eux qu'avec tes propres congénères. En effet, ils sont bien plus que des pions sur ton échiquier géant, ils ont ce que peu de sorciers obtiennent de toi : ton respect et ta protection.

Leïlan
MY LIFE AS A MUGGLE

HJ C’est encore moi, sauf que cette fois, j’ai 31 ans (ça pique...) mais je ne suis pas plus sage, je me montre toujours aussi faible. Mais ce forum m’offre trop de possibilités :sry: Love you  :keur:


Invité le Mer 26 Fév 2020, 21:39((flower power)) lotus

sonnets of a sorcerer.
ici en amont. Précisions précisions uc.

— mode de vie ; si drogue(s), cigarettes sorcières, tatouages, piercings, personnage rangé, etc.  
AESTHETIC ;;

she is a flower,
but she isn't soft;
when her petals fall,
they hit like bullets

captivante désinvolte utopiste sensible sociable caustique


KEYWORDS

paroles de chanson, citations, mots clés qui représentent ton personnage
A WIZARDING GENEALOGY

— Famille ; dynamique & membres.

— Chronologie ; date ici description là

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THE LIFE AND LIES OF LOTUS

Extrait de chanson ou citation ici pour introduire tes anecdotes {#}1{/#} Le Lorem Ipsum est simplement du faux texte employé dans la composition et la mise en page avant impression. Le Lorem Ipsum est le faux texte standard de l'imprimerie depuis les années 1500, quand un imprimeur anonyme assembla ensemble des morceaux de texte pour réaliser un livre spécimen de polices de texte.

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Anna
MY LIFE AS A MUGGLE

HJavant tout, j'tiens à dire que j'stan cette beauté depuis un p'tit moment et je ne peux que me prosterner devant les créas ! les couleurs, les codes, l'aesthetic.. je. :dcd: forcément, j'ai fini par craquer et me voilà, à vouloir pondre un personnage autour de ce contexte, bien trop canon. me concernant, je suis anna. enchantée !  :pls2:  j'ai dix-huit ans et je me suis lancé dans le RP il y'a déjà deux bonnes années. j'aime beaucoup le cinéma, également surtout les films HP qui sont des véritables chefs-d'oeuvre (sans oublier les livres). créer un OC autour de cet univers-là me tente beaucoup, surtout si les événements se passent au Japon. fin, que demande le peuple ! bref, j'ai hâte de finir ma fiche et rejoindre vos rangs. :oui oui:


Invité le Mar 25 Fév 2020, 02:57The best things in life are already mine - Arasy.

sonnets of a sorcerer.
Arasy Fūjin
FT. Ahn Lina, LISTE DES CRÉDITS


A BRIEF HISTORY OF TIME

— prénom & nom ; Arasy FūjinCet ensemble de lettres avait existé, bien avant même que je ne vois le jour. Il avait certainement, été porté par bien des âmes et pourtant, rien n’avait ternie sa puissance. Homonyme de la créatrice de paradis et liée à lune, déesse du peuple dont je porte les origines dans mon sang, il avait été mis en lumière par ma grand-mère avant moi et par les femmes avant elle. C’était un héritage, une fierté et s’il se glisse sur vos lèvres, il devra être traité avec respect ou ne jamais être prononcé par vos lippes impies.

J’avais de nombreuses fois plié courbé l’échine devant lui, le nom de mon père. J'ai longtemps pensé qu’en suivant les règles qui l’accompagnaient, je serais quelqu’un, une personne respectée, et pourquoi le taire, ces échos à peine dissimulés à la divinité de la légende japonaise, y était pour beaucoup. Pourtant, chaque syllabe de ce dernier est un poids de plus ajouté aux chaînes qu’il comporte. Un embarras, voilà, ce qu’il est pour moi et je préfère ne pas le donner lors de premières rencontres.


— âge ; 22 AnsCe n’était qu’un assemblage chaotique d’années réunies ensemble et pourtant, j’avais l’impression d’être déjà lasse de ces dernières. Lasse, mais nullement abattue par ces dernières. Vingt-deux années de découverte, pour une vie scindée en deux, l’enfance où la liberté m’était comme due et le reste, celle où j’ai appris ce qu’était qu’être différente, jugée, épiée en attendant une possible chute.

Ils pouvaient bien attendre, que je m’effondre, peu importait le nombre de fois où je trébucherais, je savais que ce serait toujours avec la tête haute, que je me redresserais.


— naissance ; 20 07 98, Salta,Argentine.Mes premiers cris, furent étouffés par l’eau du ciel, balayés par l’aster chaud de la période estivale. Une infinité de liens invisibles et éphémères entre la terre et la voûte céleste, avait produit une musique que je ne savais pouvoir oublier. Un temps alliant la pluie et le soleil, mené par ce vent chargé de ces fragrances unique et endémique.

— origine(s), nationalité(s) ; Argentine, Japonaise. J’avais vu le jour, sur les terres qui avaient vu grandir et mourir mes ancêtres. Issue de la grande et ancienne tribu des Guaranís, comme ma mère avant moi, j’ai toujours été entouré d’une faune et d’une flore luxuriante, qui m’ont compris de comprendre le monde différemment. Inspiré par nos cultes et une culture riche, je n’avais qu’à peine conscience du bonheur que procurait le fait d’être soi-même, sans artifices superflus. Où le simple fait d’exister était suffisant pour avoir une importance, au sein de ce système restreint et organisé qu’était le nôtre.

Il y avait néanmoins dans mon sang, ce mélange, cette origine, que j’aurais pu continuer à honnir du plus profond de mes entrailles. Celle qui avait finit par me déraciner, pour me plonger dans un inconnu hostile tissé de paraître et de masques de théâtres hideux. Dès lors, cette figure paternelle, source du conflit qui scinda mon âme, devint l'élément que j’aurais voulu changer.


— sang ; Sang mêlé Je savais ce qu’était le sang, avant de parvenir jusqu’à la contrée de mon père. Je savais que c’était une chose précieuse, qui ne devait jamais quitter la toile fragile qu’était notre épiderme, toile qui pouvait se tordre sous les crocs et les griffes, sous les assauts, pour la bravoure, pour protéger… Mais certainement pas pour une fausse impression de grandeur.

Ce sang, que beaucoup nommaient mêlés, qui faisait murmurer certains domestiques et les sorciers les plus âgés de ma famille, sur mon passage, à leurs yeux entaché par l’origine de ma mère. N’était en réalité que ternis par celui, qu’ils avaient mis tant d’années à fabriqué par des mariages arrangés et des manigances d’un autre temps. Cette moitié de sang-pur, si jalousement gardé, n’avait et n’a aucune importance pour moi.


— baguette ; 42 cm, rigide,  ébène du Mozambique, coeur de PerytonLa première fois que j’ai posé les yeux sur elle et qu’on l’a mise entre mes doigts, je fus assez surprise et fière. Ce petit-bout de bois semblait si fragile et pourtant, je savais que cette apparence aussi chétive, qu’elle était belle, était en de devenirs l'extension de mon être, de mes pensées et de mon bras.

Rigide, à l’égale de mon esprit si difficile à changer, de cette tendance à ne pas changer facilement d’idée ou d’envie, mais aussi la croyance en mes convictions profondes. Aussi sombre que pouvait être ce qui me compose, alliage d’un bois aussi imposant, qu’il est rare, pour assurer une résistance optimale, en dépit des tempêtes qui pourrait essuyer son corps harmonieux. Abritant en son sein, une partie du cœur d’une créature endémique de mon pays d’origine. Mi-cerf, mi-oiseau de proie, aussi redoutable que plaisant à observer. Elle m'avait choisie et je savais à présent qu'elle représentait ce que j'étais, ce qui me composait.


— maison ; Daichi Ce que j’avais pu la détester, cette sélection, qui m’avait mené à cette maison. J’avais été furieuse durant mon jeune âge, de ne pas avoir été sélectionné, tout comme mes frères et sœurs partageant la moitié de mon sang, chez Kaze. Pourtant, avec du recul, je suis certaine que cette maison me convient parfaitement, que l’essence de ce qu’elle est, fait écho à ce qui gronde au fond de moi.

— occupation ; arts & Spectacles & MagizoologieJe n’avais jamais été un modèle en matière de certitudes. Il m’était souvent arrivé de laisser le doute se jouer de mes convictions, pourtant, après avoir terminé ce premier cycle d’étude, je n’avais pas hésité une seconde.

La danse. Elle faisait partie de mon être. Il était mon moyen d’expression privilégié, avec le rythme, avec l’expression la plus brute de mes désirs et de mon corps, je n’avais nul besoin de ces mots qui me faisaient défaut. Je n’avais pas à me soucier, d’être compréhensive, ni même de me demander, si c’était correct ou non. Je voulais que ce moyen de communication purement physique et honnête, devienne mon métier, que je puisse vivre de ces ensembles de symphonies qui avaient jusqu’alors guidés mes pas rythmés.

De langues étrangères aux expressions autres, j’ai voulu pratiquer également la zoomagie, je ne voulais pas me contenter de l’exploitation de mon don, d’emprunter purement et simplement des émotions et des ressentis qui n’étaient pas mien, je voulais également les comprendre de manière profonde, mais également, pouvoir les soigner. J’avais toujours été entourés par cette faune, par ces êtres aux langages différents et ces blessures qu’ils m’avaient aidés à refermer, me rendit quelque part redevable. Une dette que je n’étais pas assuré de pouvoir ‘rembourser”, mais dont je comptais bien m’acquitter.


— club(s) ; Danse et expression & Nihon Teien Elles étaient innombrables, le nombre de blessures ou de meurtrissures, que cet amour indécent pour cet art brut, m’avait causé. Pourtant, jamais, ô grand jamais, je n’avais regretté une seule fois, les morsures de passion que cette dernière m’avait causé. La danse, c’était l’un des poumons de mon être, l’expression de ce que je pouvais être, sans risque de jugement. Mon précieux talent, dont j’usais assidûment.

Je n’avais jamais pu rester éloigné trop longtemps de la flore, quelle qu’elle soit. Peu importait l’origine de cette dernière, je ne pouvais lui en tenir rigueur, beaucoup trop occupé à l’admirer, à la choyer, certainement mené par cette nostalgie qui ne me quittait jamais bien longtemps. Cette activité était également une source de calme, dans cette vie tumultueuse que j'avais décidé d'épouser, un besoin quasiment vital.J’étais né proche de cette dernière et je mourrais aussi proche que possible d’elle.


— situation financière ; Aisée Pouvais-je véritablement considérer cet ensemble de gallions comme étant mien, alors que je n’avais rien fait pour contribuer à cet assemblage de richesses dénuées d’intérêt ? Je n’étais pas émancipé, mais si je l’étais, je savais que ma fortune serait tout juste convenable, composée de ces représentations de danse de haut-niveau auxquelles je participais. Je n’étais pas encore assez connue pour prétendre me faire un nom, mais ce n’était qu’une question de temps. Il ne pouvait en être autrement.

— statut civil ; Célibataire Cela n’avait jamais été qu’un ensemble d’échanges fugaces, un mélange de non-promesses et d’étreintes furtives, qui ne m'avaient jamais donné envie de rester bien longtemps. La peur de l’ennui, l’attachement désuet, l’impression que tout n’était qu’un ensemble de notes éphémère vouées à disparaître. Je n’avais jamais été assez bonne menteuse pour témoigner suffisamment d’intérêt pour les pousser à rester et j’étais beaucoup trop libre, pour vouloir m’entraver d’un autre esprit que le mien.

Je les entendais, les corbeaux, de ma famille ou d’horizons plus lointains, qui tournoyaient au-dessus de mon crâne, m’attribuant de tous les noms d’oiseaux. Je n’étais pas personne m'embarrasser de règles ou de convenances, si je voulais quelque chose, je m’en saisissais, mais jamais pour un toujours hypothétique. Tout cela au grand dam de mon père et de sa pléthore de fiancés que j’ai vite débouté.


— animal de compagnie ; Reginald, un Python noir à lèvres blanches Je n’arriverais jamais à comprendre comment, créature aussi douce pouvait être crainte ou détesté. Il a de quoi plaire, avec ses écailles d'ébènes, qui sous la lumière révèle un ensemble de couleurs iridescentes, semblables à celles de l'arc-en-ciel, avec sa bouche finement ciselées, bordée de cette ourlet blanc, qui lui confère un air distingué certain.

Reginald est sans aucun doute, mon ami le plus précieux. Il me demande peu d’attention et nous sommes inséparables. Ce n’est sans aucun doute que par manque de temps et d’espace, que je ne possède pas une véritable ménagerie.


— amortentia ; Foret humide,miel & cuivre J’avais toujours pensé, que tout comme les souvenirs, les odeurs avaient leur propre cheminement dans notre précieuse matière grise.

La forêt humide me rappelle avec justesse le lieu d’où je viens, et plus précisément mon temps favori, celui pluvieux, où les gouttes de la voûte céleste en pleure, produise cette douce musique, sur les feuilles épaisses des arbres immenses et sans âge. Un mélange de souvenirs d’enfance, d’indolence et de douloureux regrets.

Le miel me rappelle l’un des aliments que je préfère et pour cause, il était présent dans chacun de ses desserts que ma mère me faisait autrefois. De mon regard encore emplis d’innocence, je la regardais faire, infatigable, alors que ses mains expertes exerçaient devant mes yeux ébahis, la plus pure et la plus puissante de toutes les magies.

Le cuivre. L’odeur de sang versé. La récompense des guerriers et la preuve de la bataille. Le cuivre, pour chacune de ses blessures physiques et psychique qui marque mon être et font ce que je suis. Je l’affectionne, car sans ces douleurs, sans ces combats perdus d’avance, je n’aurais jamais su, jamais réussis à devenir ce que je voulais être.


— patronus ; Aigle HarpieJe ne l’avais pas choisi et pourtant, il était pour moi l’incarnation parfaite de ma personne, mais aussi de mon lieu de vie. J’en avais que rarement vu, lorsque je partais en exploration, dans les bois, en compagnie des anciens de ma tribu, mais je me souvenais du bonheur que je ressentais, à chaque fois que je trouvais l’une de ses plumes immenses, cette impression et fierté et d’intimidation mêlés, lorsque je voyais cette imposante créature, là perché au-dessus de ma tête, frôlant les nuages et les feuillages.

J’eus bien des difficultés à l’invoquer, cette expression de liberté pure, pour la simple et bonne raison, que libre, je ne l’étais pas. Je me souvenais de la déconvenue, de la honte que j’avais ressentis, quand moi, bonne dans toutes ces matières, je n’avais été capable de produire cette extension de mon âme, sur demande, alors que j’avais tant travaillé pour le faire.

Il m’avait fallu comprendre combien j’étais entravé par cette image et par ses attentes impossible, pour finalement me reconnecter avec ses souvenirs lointains et bénéfiques, pour parvenir à le faire sortir de ma baguette. C’était une sorte de promesse à moi-même, celle de ne plus jamais suivre une voie qui n’était pas la même.


— épouvantard ; Inertie Rien ne m’a jamais fait aussi peur que de ne plus pouvoir me mouvoir. La danse repose dans le mouvement, la torsion d’un corps pour exprimer toute son essence, et même s’il est possible de suspendre l’espace, en allongeant le temps d’une inertie passagère, cette dernière ne doit jamais durer trop longtemps. J’ai toujours été effrayée par le fait de ne plus avoir ce contrôle, cette maîtrise et que ma carcasse ne puisse plus expier mes ressentis.

Néanmoins, cette absence n’est pas caractérisée de manière purement physique, elle est pour moi également intellectuelle. Il n’y a rien de pire qu’une situation qui n’évolue pas, qu’un ennuie dans lequel il est impossible de se tirer. L’immobilité est ma plus grande crainte.


— risèd ; None Cette réflexion, n’a eut de cesse de changer, je n’ai jamais véritablement su, ce que je désirais profondément pour cet avenir. Je n’ai jamais eu assez de patience, pour espérer y entrevoir quelque chose un jour.

— particularité(s) ; Henge - THERIANTHROPE Tout comme beaucoup de chose dans cette vie, il m’a demandé des sacrifices et du travail, mais tout comme la danse, jamais je n’ai regretté de l’avoir épousé, de l’avoir considéré pleinement comme mien, ce don.

S’il est vu par les sorciers comme une sorte de tare, il a toujours été perçu par les anciens de mon village, comme une bénédiction, un cadeau des dieux, pour mieux comprendre les ressentis de cette faune qui nous entoure et qui m’a accompagnée, jusqu’à maintenant dans cette vie.


— mode de vie ; Been There Done That.

Une libération ne vient jamais sans quelques chaos et la mienne n’avait pas dérogé à la règle. Drogue, alcool, encre et excès. J’avais cherché par tous les moyens à détruire cette image du moi d’avant, ne restait à présent que ces dessins empreints de significations, ses piercings et cette fragrance évanescente de cigarette. L’envie de nouveauté et cette peur de l’ennui en revanche, ne sont qu’un ensemble qui est voué à demeurer pour alimenter ce feu en moi.
 
AESTHETIC ;;

I'm runnin' like a river full of hunger
Oh, I'm dancin' on the edge tonight

Intrépide Froide Intelligente Entêté Protectrice SauvageRigoureuseImpatienteSincèreIntense


KEYWORDS

The lights spark and flicker, with monsters much bigger, than I can control now - Rien ne semble jamais retenir bien longtemps mon attention, tout doit être toujours plus à vif, toujours plus sincère, toujours plus captivant. Mon esprit ne semble trouver de repos. - I can't hold me down 'cause you know I'm a fighter ... Find me and I'm gonna bleed with ya - Cette solitude, elle me dévore, je la sens griffer sous la surface et déformer mon épiderme. Je suis ma propre prison. - I'm addicted to you, toxic ... You the answer, never question - Je sais me faire si charmante, si plaisante, comme s'il s'agissait d'un jeu. Exaltant. Jusqu'à ce que tout semble désuet une fois qu'il se trouve entre mes doigts.
A WIZARDING GENEALOGY

— Famille ; Mon père m’avait dit un jour, que ce nom n’était pas de ceux que l’on chuchotait, mais plutôt un ensemble de syllabe à clamer avec fierté. Il me disait que nos racines étaient aussi anciennes, que ces arbres gigantesques, sous lesquels j’avais l’habitude de courir, lorsque je n’étais qu’une enfant. Que tout comme eux, ce nom faisait partie de l’histoire sorcière et qu’il était aussi vieux, qu’il était solide et fier. Après tout, n’était-il pas lié au Dieu du vent lui-même ?

Ces membres sont le plus souvent issus de la maison Kaze, ayant participé à faire rayonner la grandeur de cette dernière par leurs exploits et leurs accomplissements. Avoir été choisi par le gardien du vent est pour eux une fierté, un honneur et la preuve que l’on est digne de porter ce nom dont ils sont si fiers. Tout pur qu’ils sont, ils ont longtemps par le passé cherché à préserver ce sang, par envie de puissance ou simplement, pour ce besoin obsessionnel de pouvoir exhiber fièrement leur arbre généalogique.

Mon père néanmoins, en choisissant de m’avoir avec une “simple” moldue, a brisé cette tradition étrange, au grand dam de ses parents, qui virent ainsi, leur fils unique, bafouer tout ce qu’ils lui avaient fait entrer de force dans le crâne. Je suis donc une bâtarde, née hors mariage, la benjamine, de la fratrie, tous issue eux, d’un mariage légitime avec une sang-pur, dont je préfère ignorer l’existence. Je possède des frères et sœurs au sang immaculé et à l'intellectuel variable, avec qui je n’entretiens aucun lien, pour ma santé mentale.


— Chronologie ; 1998 Une nouvelle vie. J’ai ouvert les yeux en Argentine, plus exactement à Salta, dans une tribu Guarani, bercé par le son des feuillages et les histoires de nos dieux. Inconsciente du don, qui coulait déjà dans mes veines.

2003J’ai quitté les terres qui m’ont vu naître, pour découvrir celle de mon père. Mes premiers débuts furent chaotiques, je ne me suis jamais senti à ma place ici, dans cette nouvelle famille, si différente de celle que j’avais quittée.


2005Premier pas officiel dans le monde sorcier et rencontre, avec les affreux qui me servent de frères et sœurs, ajoutez à cela, le fait d’hériter d’une maison différente de celle prisée par ma famille et vous obtiendrez, un malaise des plus complets.

2009 Cette acceptation, je l’avais désiré, presque autant que la maîtrise complète de mes pouvoirs. Je rendais ma famille fière, j’étais l’élève modèle, je faisais honneur à mon nom, marchant fière et sans peur. Je pensais réellement que mon existence était complète à cet instant T. J'étais tellement naïve.

2015  Première fissure, premier réveil. J’ai appris à mes dépens, qu’il n’y avait nullement besoin d’avoir la validation d’un ensemble pour se sentir à sa place. C’est aussi à ce moment, que la créature la plus bruyante de l’univers est arrivée dans mon existence et que j’ai réussi à invoquer mon Patronus pour la première fois.

2018L’encre a peu à peu prit le contrôle de mon épiderme, certains magique, s’agite sur cette dernière, alors que d’autres, traditionnels et moldus, marque mes origines et ces significations, que mon peuple et moi sommes les seuls à connaître. J’apprends à me libérer, j’expérimente et ce don m’accompagne, avec autant de fidélité que ma passion.
THE LIFE AND LIES OF (Arasy)

Keep the flowers
I'll just give 'em back
'cause the only way to my heart is with an axe
{#}1{/#}Lorsque j’étais enfant, à cause de ce prénom que je portais, je pensais réellement qu’il y avait cette personne unique, qui comme dans la légende, serait mon dieu du soleil. Je croyais en la destiné et à toutes ces choses idiotes, à présent, je ne crois qu’en moi et en mes capacités.

{#}2{/#}Je vis avec un type qui a prétendu être mon frère, pour habiter avec moi. Je pense que si je finis en prison un jour, ce sera parce que je l’ai étouffé pour qu’il arrête de crier à tout bout de champ ou alors parce qu’il a fait une overdose de Silencio. Sérieusement, j’espère que c’est impossible de faire une overdose d’un sort, parce que j’en use souvent…

{#}3{/#} Je possède une vingtaine de tatouages, répartis sur plusieurs zones de mon anatomie, ils sont le plus souvent cachés par mes vêtements, mais je n’en ai pas honte, bien au contraire. Mon seul regret ? Que ma peau soit limitée à celle présente sur mon corps.

{#}4{/#}J’ai un faible pour la nourriture sucrée, cela ne colle pas vraiment avec l’image de “Tough Girl”, mais j’aime particulièrement cela.

{#}5{/#}Je n’ai jamais manqué un entraînement de danse, qu’importait la substance que j’avais pu consommé et même si j’ai failli me blesser parfois à cause de cela et de l’usage de mon don, dans un même élan, j’aurais préféré me briser quelque chose, plutôt que de manquer une occasion de m’exprimer de cette manière.

SirOrion
MY LIFE AS A MUGGLE

HJ Estelle, nonante ans :pedro: , Sur un Top-Site en farfouillant furet style :malademaiscont , Alors rose à pois et zébré orange, toujours dépareillé, il faut! — Alors, je consomme beaucoup de musique, je suis accroc, c'est terrible. J'aime les jeux vidéos (je veux bosser dedans, donc c'est pas négociable :joy: ) et je dessine aussi. J'ai un TRES problème, avec ces petites choses  :keur:  :heart1:  :nanmeho:   :danse:  :boum: . Bisous sur vos fesses  :fesse:


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