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A BRIEF HISTORY OF TIME
« sonnets of a sorcerer »
☽☽☽.Hui est un homme exubérant et qui aime que l'attention lui soit toute portée. Il se nourrit des regards qu'on lui porte et cela se traduit dans ses tenues souvent hors normes. Pour lui, la mode n'a pas de genre, la mode n'a pas de limite et s'il se plaît à porter des vêtements moldus au quotidien, qu'ils soient féminins ou masculins, il n'est pas rare de le voir se vêtir d'une longue cape tel les sorciers plus traditionnels. Il s'habille lui-même et ne porte que des vêtements qu'il a lui-même conçus car il ne supporte pas l'idée que quelqu'un puisse porter les mêmes pièces que lui.
Dans l'ombre, Hui est un homme dangereux qui se complaît dans la violence. Son don de métamorphomage lui permet de prendre les traits de personnes quelconques et une fois costumé dans la peau d'un autre, il ne se prive pas pour torturer les âmes innocentes. Armé de couteaux, il aime à striller la peau d'inconnu dans le but de voir couler le sang. Parfois bourreau, parfois victime. Il lui arrive de provoquer volontairement quelqu'un pour se faire frapper à son tour et goûter son propre sang.Moodboard♔ I know there's a special place in hell for me, it's called a throne ♔ I tend to think emotions are for ugly people ♔ I like my money right where I can see it…hanging in my closet ♔ A lot of psychopaths are just geniuses who drove so fast that they lost control ♔ I don't design clothes. I design dreams ♔ “Oh, monsters are scared. That's why they're monsters” ♔ Grab me by the throat and call me yours ♔
A WIZARDING GENEALOGY
« the life and lies of (prénom du personnage ici) »
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A BRIEF HISTORY OF TIME
C'est celui de la famille des autres plumées qui se distingue par son aspect et la négativité qui en ressort. Pourtant ne voit-on pas les milles couleurs qui éclairent son plumage lorsque le soleil frappe de sa lumière cet animal peu envié? Son intelligence est souvent une surprise et sa normalité une aberration pour ceux qui croit à sa fourberie. Au final, un corbeau n'est rien d'autre qu'un corbeau. Un oiseau mal aimé. Et comme lui, elle rêve de s'envoler.
AESTHETIC ;;
“I always felt insecure and in the way, but most of all I felt scared. I guess I wanted love more than anything else in the world.”
Brillante Incompréhensible Compréhensive Pourrie Colorfull Perdue
. . . No really who is she? Cause i don't know. Little bit lost. Alice? Am I in wonderland? I should be the March Hare. Rain. Love tea and carrots, am I not the March Hare? *Someone say hello* *Lacie looking behind her to make sure she has been talked to* *generally is not, someone's behind her*. Alone. R a i n. Love the sound of flute and violin. Protective little beast with her loved ones. Making petition every once in a while for strange ideas. One time it was to recycle our tears. The other to save our nails. Don't ask. Never ask 'cause you don't want to hear the answers. Talkative but no one to talk to. A bit too sad. R A I N. Looks like a cinnamon roll, could kill you. But is actually a cinnamon roll. Looking for a mad hatter. Loves hat. HAIL THE R A I N.blood
“I always felt insecure and in the way, but most of all I felt scared. I guess I wanted love more than anything else in the world.”
KEYWORDS
w h o i s L a c i e ?
. . . No really who is she? Cause i don't know. Little bit lost. Alice? Am I in wonderland? I should be the March Hare. Rain. Love tea and carrots, am I not the March Hare? *Someone say hello* *Lacie looking behind her to make sure she has been talked to* *generally is not, someone's behind her*. Alone. R a i n. Love the sound of flute and violin. Protective little beast with her loved ones. Making petition every once in a while for strange ideas. One time it was to recycle our tears. The other to save our nails. Don't ask. Never ask 'cause you don't want to hear the answers. Talkative but no one to talk to. A bit too sad. R A I N. Looks like a cinnamon roll, could kill you. But is actually a cinnamon roll. Looking for a mad hatter. Loves hat. HAIL THE R A I N.
A WIZARDING GENEALOGY
Père Where where you? A-t-il jamais réellement été là? Toujours perdu dans des sentiments interdit et de lointains souvenirs qui entachaient son futur, il ne vit sa fille la première fois qu'au travers d'une maladie qu'il ne pouvait plus empêcher. Jamais père et fille ne se sont connus, de bref inconnus se croisant dans une maison devenue trop grande pour eux lorsqu'elle est partie. Une déception de plus dans sa vie et déjà au fond du trou, jamais il n'en ressortira. Alors il attend la mort comme une délivrance dans ce vieux fauteuil miteux en face de la cheminée. Il n'a plus rien à perdre. Where are you?
Grand-père & Grand-mère Why won't you look at me? Que peut-on attendre de grand parents japonais? Un peu d'amour? Un peu de tendresse? Des regards tendus? Toujours fiers parce que la petite s'en sortait en cours mais pas assez pour gagner leurs respect. Et puis il y eut le drame et depuis dans les yeux de Lacie, ils ne peuvent voir que leurs propre enfant, enfermée et hurlant quelque part où ils ne se sont jamais rendus. Par honte, fierté ou incapable de soutenir cette vision? Brisés par une malédiction que leurs descendances ne méritaient pas, ils pensent avoir offensé les dieux alors ils essaient de se rattraper auprès d'eux, en oubliant les vivants qui ne demandent qu'à apparaître. Please look at me.
Famille bancale dès le départ, quel avenir pouvait bien amener un rayon de soleil? Les nuages se sont épaissis au dessus de leurs tête et n'ont laissé derrière la tempête que drame et cruauté, éveillant dans leurs sillage une haine et une amertume incertaine. Alors ils s'entretuent, se déchirent un peu plus et dans l'ombre, la dernière pleure les miettes d'une vie qui ne lui appartient plus.
- Il ne va plus en rester aucune pour ton père... gronda-t-elle en passant une main dans la chevelure emmêlée de l'enfant qui tenta de l'éviter.
- Il n'avait qu'à être là et puis c'mon anniversaire! rétorqua Lacie en se goinfrant d'un trop gros morceau.
- Tu sais qu'il n'aime pas tellement la brise marine.
- C'est nous qu'il aime pas...
Le silence prît place suite à la révélation pourtant peu pensée de l'enfant. Alors la mère se contenta de continuer à démêler les cheveux de sa fille pour finir par les faire tenir en couettes malgré les protestations de la gamine.
- Nous n'aurons qu'à lui dire que les mouettes ont mangées toutes les pommes, ce sera notre petit secret..
- Ma maman est une kaze, annonça-t-elle subitement au milieu de la dispute.
Et lorsque les deux statuts qui se battaient se tournèrent vers elle d'un même mouvement, elle déglutit audiblement en déchirant presque le tissu qu'elle tenait trop fermement. Finalement, après quelques secondes à la dévisager, la koï et le tanuki semblèrent se mettre d'accord silencieusement et c'est la koï qui s'avança vers la petite pour la toucher. Elle venait d'être proclamée Mizu.
La petite, recroquevillée dans les escaliers, tenant sa joue douloureuse dans sa main ne pouvait pas voir mais qu'entendre la dispute de ses parents dans le salon. Une deuxième assiette sembla aller s'écraser quelque part.
- Aux dernières nouvelles, c'est chez moi aussi ici Byul! hurla le père en réponse.
S'en suivit l’incantation d'un sort que Lacie ne connaissait pas encore, l'exclamation de douleur du paternel et à nouveau une assiette.
- Ne lève PLUS JAMAIS la main sur ma fille! SORS D'ICI!
Encore une assiette, certainement une autre incantation venant du père cette fois, une assiette et des bruits d'étouffements suivi par une grande inspiration. Et finalement, la porte d'entrée claqua sur la silhouette d'un homme devenu un inconnu dans sa propre maison, s'exilant lui-même un peu plus chaque année loin d'une famille qu'il n'avait jamais désirée. Lacie attendit sur les marches poussiéreuses des escaliers, sans un bruit, la main toujours contre sa joue, des larmes silencieuses dévalant ses joues rondes. Et assez vite, la silhouette échevelés de sa mère apparut. Elles se regardèrent un instant sans bruit avant qu'elle ne vienne la prendre dans ses bras, murmurant dans ses cheveux que tout irait bien. Elles s'avaient toutes les deux et n'avaient besoin de rien d'autres.
- Pourquoi papa ne m'aime pas?
- Je suis désolée...
- Non ne t'excuse pas! Tu dois reprendre des forces et on ira se promener sur la plage... J'éplucherais des pommes qu'on mangera devant les vagues et la brise marine... murmura la fille en caressant les cheveux de la mère.
Cette dernière sourit et hocha simplement la tête avant de fermer les yeux pour profiter d'un sommeil qu'ils espéraient tous réparateur.
- Maman?
- Le vendeur m'a dit qu'ils étaient d'excellentes compagnie lorsqu'ils font confiance à leurs propriétaire... tenta le paternel en montrant la boîte comme si elle n'avait pas comprit de quoi il parlait.
Mais elle ne répondit pas, se contenant d'un simplement hochement de tête en serrant ses poings sur ses genoux, jouant avec le tissu de ses collants, souhaitant les déchirer comme elle aimerait déchirer sa propre peau et la laisser derrière.
- Je n'ai jamais su quoi t'offrir, souffla finalement le père en baissant la tête.
Une piètre tentative après des années d'absences amer. Une excuse qui quelques mois plus tôt, l'aurait pourtant rempli de joie. Avant tout ça. Avant de tout perdre. Mais elle haussa encore les épaules en soupirant, son regard se perdant sur la femme qui n'était plus une mère et qui refusait de les regarder.
- Tout ce que je souhaite tu n'aurais pas pu me l'offrir de toute manière... finit-elle par déclarer.
Lacie ne pleurerait plus.
THE LIFE AND LIES OF LACIE DE SADE
MY LIFE AS A MUGGLE
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A BRIEF HISTORY OF TIME
Godaï ; Shiro s'est lié à ses 7 ans à l'esprit de l'eau. Une surprise pour lui qui avait espéré la main tendue du Godaï du feu, en vain. L'enfant tout feu tout flamme avait été recueilli par le doux bercement de l'eau. Avec les années, le recul, Shiro comprit peu à peu pourquoi. La force de son élément l'accompagnait à travers ses tourments, ses combats ; il lui avait offert le courage de se relever. Encore. Et ce fut presque un choix du coeur plutôt que de raison que d'emprunter la branche du soin.
L'eau l'apaisait. Pas seulement pour sa connexion avec elle, mais aussi pour la sensation sur sa peau, fluide, omniprésente, mais presque aussi légère que le vent. Les plongeons dans la mer, les fleuves, les lacs, devinrent un rituel, sa façon à lui de se défouler lorsqu'il était encore trop jeune pour prendre part aux combats. Sa frustration de ne pouvoir s'immerger aussi longtemps qu'il le voudrait le fit développer le premier seuil de la branche.
Le deuxième vint tout aussi naturellement, comme une échappatoire à son quotidien. S'il ne nageait pas, Shiro pouvait passer des heures le nez en l'air, dans les étoiles, à faire glisser ses doigts le long de ses bras, de sa nuque, pour y faire circuler le chi et, enfin, respirer - fermer les yeux. Oublier.
Puis le troisième seuil, les premiers soins. Sans doute pas la branche qu'on aurait attendue d'un Ryujinchi mais il s'en fichait, ça l'amusait, même. C'était un pied de nez à ces valeurs familiales qu'il ne comprenait pas. Réparer ses plaies pour repartir de plus belle sur le ring - et, parfois, soigner ceux qui sont tombés trop fort sous ses coups, loin des regards, parce qu'il n'est pas comme ça, Shiro - il ne soigne pas, il frappe - c'est tout.
LIFE AND LIES
Première petite amie, premiers émois, premiers touts, Shiro était fou amoureux d'elle, à s'en rendre niais, même, mais il s'en foutait. Il voulait lui offrir le monde et son coeur avec.
Il faisait nuit noire lorsqu'ils posèrent le pied sur le sable cristallin de la plage. Cet endroit de la côte, bien qu'aussi dangereux que les autres, était moins surveillé, sans doute à cause de son isolement : le chemin pour parvenir jusqu'ici avait été éprouvant. Le vent s'engouffrait sous leurs vêtements et soulevaient les boucles de Taliyah dans une drôle de danse. Shiro rit et l'entraîna par la main. Leurs sacs à dos s'échouèrent sur le sol. Ils étaient jeunes, un peu cons aussi, et l'interdit ne faisait que rendre leur excursion plus excitante.
Le son des vagues et le clapotis de l'eau vinrent chatouiller leurs oreilles. Taliyah lui sourit. Shiro rougit et détourna les yeux sur la mer. Il voulait lui montrer un truc cool. "Regarde," murmura-t-il, un sourire assuré au coin des lèvres avant qu'il ne s'immerge dans l'eau. Il avait atteint le premier seuil il y a peu ; il se savait capable de rester sous la surface pendant 4 bonnes minutes. L'eau était son cocon. Elle le calmait. Le bleu de la mer et celui du ciel se mouvaient ensemble dans un sombre tableau. Mais il n'avait pas peur.
Les cris de peur de Taliyah moururent lorsqu'il ressurgit des flots pour l'attraper dans ses bras, riant comme un chiot devant les remontrances apeurées de sa petite amie. "Je vais bien. Alors, combien de temps j'ai tenu ?" "Qu'est-ce que j'en sais, moi ? Tu crois que j'ai pris le temps de compter ?" Elle était furieuse, et lui hilare. Mais elle ne pouvait jamais rester en colère bien longtemps contre lui.
Ils s'allongèrent sur le sable, leurs doigts entrelacés, les yeux perdus dans les astres - ceux du ciel et ceux de Taliyah. Shiro tira de son sac les bouteilles de saké qu'il avait emprunté à son père. Leurs lèvres passèrent de goulots en goulots. Il ne saurait dire à quel moment ils ont commencé à boire trop, à quel instant leur esprit s'est troublé. Leurs gestes devinrent flous, maladroits, leurs rires plus forts encore. Ils dansèrent et s'embrassèrent sur le bord de la plage, les pieds léchés par les vagues, perdus sous les étoiles trop brillantes.
Et puis le noir. Il rouvre les yeux et Taliyah n'est plus là. Est-ce qu'il s'est endormi ? "Taliyah ?" Le silence. L'écume s'échoue devant lui.
Il plonge dans la mer, hurle son nom, crache et pleure lorsque le sel lui brûle la gorge et les yeux. Il fouille les profondeurs sans relâche. Mais il n'y a rien. Rien que l'eau, insaisissable, intangible, qui l'enveloppe comme un cocon.
Shiro émerge soudain, les poumons en feu. Les larmes ont creusé des sillons sur ses joues et son regard tremble alors que il entoure sa poitrine de ses bras. Il l'a revue, encore. Dans son esprit. Le silence de la mer. Ses cauchemars où le visage de Taliyah sombre dans les flots, où l'eau s'engouffre dans sa bouche, où sa main se tend vers lui, où elle le supplie - mais il ne lui répond jamais.
Ses larmes se transforment en sanglots. Il ne parvient plus à dormir. Ses nuits sont ponctuées de rêves atroces et, le jour, son père ne cesse de briser ses barrières et de lui faire revivre, encore et encore, la mort de sa petite amie. Il n'en peut plus. Il faut qu'il parvienne à reprendre le contrôle. Il le faut... S'il ne voulait pas sombrer dans la démence, comme les autres.
Il avait abandonné. Échoué.
Ses deux dernières années d'études avaient été un échec cuisant. Il ne parvenait pas à se concentrer. Malgré les heures passées sur ses livres, les soirées perdues en études supplémentaires et les cours de soutien qu'il avait quémandé auprès de ses senpais, Shiro stagnait en bas de la liste. Il ne comprenait pas. À quel point pouvait-il être stupide pour ne pas être capable de suivre un cursus ? Un bon rien. Un imbécile. Tout juste bon à sortir les poings lorsque ses mots ne suivaient plus. Un gamin emplit de colère. Stupide.
"Tu me déçois, mon fils."
Shiro serra les poings. Ne pleure pas, putain. Ne t'abaisse pas à ça. Tu es déjà tombé bien assez bas...
Alors un peu plus ou un peu moins, qu'est-ce que ça changerait ?
La foule rugit dans son dos.
Il avait gagné, cette fois.
Le sorcier essuya le sang qui coulait de sa lèvre éclatée et passa entre le filet de sécurité pour rejoindre les loges. Putain. Son épaule lui faisait un mal de chien. Il était encore allé trop loin. Il sourit. Un drôle de sourire, cassé, rongé par la colère. Peu importe. Il pourrait le soigner.
Ses doigts glissèrent sur la chair meurtrie et ferma les yeux. Il sentait le sang ruisseler dans ses veines. Les battements de son coeur animés par l'adrénaline. La douleur qui pulsait dans ses veines. Il n'avait qu'à faire plier sa volonté pour réparer les nerfs.
Il rouvrit les paupières et enfouit ses mains dans ses poches. Le mouvement le fit grimacer. Pas encore. Il ne méritait pas encore d'être soigné.
WANTED DEAD OR ALIVE
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A BRIEF HISTORY OF TIME
AESTHETIC ;;
J'te fous un chasse et
J'te casse le nez
Tignasse tu t'relèves
Mais tu croises mes pieds
Et même si tu flanches
J'te pète les hanches
J'explose mes phalanges
Sur ta gueule d'ange
Charmant Vaniteux Colérique Passionné Jaloux Soigné Susceptible Paranoïaque Futé Narquois Violent
soumis soumis à la social pression | i can't stand to love you | être contesté, c’est être constaté | i'll fight you | you can never be overdressed or overeducated | i'm so much better | look at me | tout s'embrase dans mes rêves synthétiques | du sang bleu à la clé | i hate myself | pay attention to me | never love anyone who treats you like you're ordinary | look at me | look at me | look at me
J'te fous un chasse et
J'te casse le nez
Tignasse tu t'relèves
Mais tu croises mes pieds
Et même si tu flanches
J'te pète les hanches
J'explose mes phalanges
Sur ta gueule d'ange
KEYWORDS
A WIZARDING GENEALOGY
THE LIFE AND LIES OF Sora Natsuya
MY LIFE AS A MUGGLE
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A BRIEF HISTORY OF TIME
Épris de ce besoin de te rapprocher encore plus de cette osmose avec ton animal totem, tu as ensuite décidé - il y a seulement 4 ans - de pousser ce parcours jusqu'à devenir animagus. Contrairement à ce que ton caractère peut laisser supposer, tu n'as pas un animal totem très imposant, mais le yama-neko est aussi et surtout un animal sauvage qui ne se laisse pas dompter facilement. Tout comme toi, c'est un chasseur, un territorial, un être indépendant mais aussi terriblement lié à son élément.
Amateur de cigarettes sorcières et de tatouages, tu ne te refuses rien, peu importe l'image que ça donne de toi. Plus elle sera mauvaise et plus tu seras satisfait.
AESTHETIC ;;
I'm the truth that you're afraid of
I'm a fever that you made up
impulsif possessif calculateur menteur joueur borné caractériel égoïste
« Whatever it takes
'Cause I love the adrenaline in my veins
I do whatever it takes
'Cause I love how it feels when I break the chains
Whatever it takes
You take me to the top I'm ready for
Whatever it takes
'Cause I love the adrenaline in my veins
I do what it takes »
imagine dragons
I'm the truth that you're afraid of
I'm a fever that you made up
KEYWORDS
'Cause I love the adrenaline in my veins
I do whatever it takes
'Cause I love how it feels when I break the chains
Whatever it takes
You take me to the top I'm ready for
Whatever it takes
'Cause I love the adrenaline in my veins
I do what it takes »
A WIZARDING GENEALOGY
THE LIFE AND LIES OF WENDELL
MY LIFE AS A MUGGLE
ici en amont. Précisions précisions uc.
— mode de vie ; si drogue(s), cigarettes sorcières, tatouages, piercings, personnage rangé, etc.
AESTHETIC ;;
she is a flower,
but she isn't soft;
when her petals fall,
they hit like bullets
captivante désinvolte utopiste sensible sociable caustique
paroles de chanson, citations, mots clés qui représentent ton personnage
she is a flower,
but she isn't soft;
when her petals fall,
they hit like bullets
KEYWORDS
A WIZARDING GENEALOGY
THE LIFE AND LIES OF LOTUS
MY LIFE AS A MUGGLE
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A BRIEF HISTORY OF TIME
J’avais de nombreuses fois plié courbé l’échine devant lui, le nom de mon père. J'ai longtemps pensé qu’en suivant les règles qui l’accompagnaient, je serais quelqu’un, une personne respectée, et pourquoi le taire, ces échos à peine dissimulés à la divinité de la légende japonaise, y était pour beaucoup. Pourtant, chaque syllabe de ce dernier est un poids de plus ajouté aux chaînes qu’il comporte. Un embarras, voilà, ce qu’il est pour moi et je préfère ne pas le donner lors de premières rencontres.
Ils pouvaient bien attendre, que je m’effondre, peu importait le nombre de fois où je trébucherais, je savais que ce serait toujours avec la tête haute, que je me redresserais.
Il y avait néanmoins dans mon sang, ce mélange, cette origine, que j’aurais pu continuer à honnir du plus profond de mes entrailles. Celle qui avait finit par me déraciner, pour me plonger dans un inconnu hostile tissé de paraître et de masques de théâtres hideux. Dès lors, cette figure paternelle, source du conflit qui scinda mon âme, devint l'élément que j’aurais voulu changer.
Ce sang, que beaucoup nommaient mêlés, qui faisait murmurer certains domestiques et les sorciers les plus âgés de ma famille, sur mon passage, à leurs yeux entaché par l’origine de ma mère. N’était en réalité que ternis par celui, qu’ils avaient mis tant d’années à fabriqué par des mariages arrangés et des manigances d’un autre temps. Cette moitié de sang-pur, si jalousement gardé, n’avait et n’a aucune importance pour moi.
Rigide, à l’égale de mon esprit si difficile à changer, de cette tendance à ne pas changer facilement d’idée ou d’envie, mais aussi la croyance en mes convictions profondes. Aussi sombre que pouvait être ce qui me compose, alliage d’un bois aussi imposant, qu’il est rare, pour assurer une résistance optimale, en dépit des tempêtes qui pourrait essuyer son corps harmonieux. Abritant en son sein, une partie du cœur d’une créature endémique de mon pays d’origine. Mi-cerf, mi-oiseau de proie, aussi redoutable que plaisant à observer. Elle m'avait choisie et je savais à présent qu'elle représentait ce que j'étais, ce qui me composait.
La danse. Elle faisait partie de mon être. Il était mon moyen d’expression privilégié, avec le rythme, avec l’expression la plus brute de mes désirs et de mon corps, je n’avais nul besoin de ces mots qui me faisaient défaut. Je n’avais pas à me soucier, d’être compréhensive, ni même de me demander, si c’était correct ou non. Je voulais que ce moyen de communication purement physique et honnête, devienne mon métier, que je puisse vivre de ces ensembles de symphonies qui avaient jusqu’alors guidés mes pas rythmés.
De langues étrangères aux expressions autres, j’ai voulu pratiquer également la zoomagie, je ne voulais pas me contenter de l’exploitation de mon don, d’emprunter purement et simplement des émotions et des ressentis qui n’étaient pas mien, je voulais également les comprendre de manière profonde, mais également, pouvoir les soigner. J’avais toujours été entourés par cette faune, par ces êtres aux langages différents et ces blessures qu’ils m’avaient aidés à refermer, me rendit quelque part redevable. Une dette que je n’étais pas assuré de pouvoir ‘rembourser”, mais dont je comptais bien m’acquitter.
Je n’avais jamais pu rester éloigné trop longtemps de la flore, quelle qu’elle soit. Peu importait l’origine de cette dernière, je ne pouvais lui en tenir rigueur, beaucoup trop occupé à l’admirer, à la choyer, certainement mené par cette nostalgie qui ne me quittait jamais bien longtemps. Cette activité était également une source de calme, dans cette vie tumultueuse que j'avais décidé d'épouser, un besoin quasiment vital.J’étais né proche de cette dernière et je mourrais aussi proche que possible d’elle.
Je les entendais, les corbeaux, de ma famille ou d’horizons plus lointains, qui tournoyaient au-dessus de mon crâne, m’attribuant de tous les noms d’oiseaux. Je n’étais pas personne m'embarrasser de règles ou de convenances, si je voulais quelque chose, je m’en saisissais, mais jamais pour un toujours hypothétique. Tout cela au grand dam de mon père et de sa pléthore de fiancés que j’ai vite débouté.
Reginald est sans aucun doute, mon ami le plus précieux. Il me demande peu d’attention et nous sommes inséparables. Ce n’est sans aucun doute que par manque de temps et d’espace, que je ne possède pas une véritable ménagerie.
La forêt humide me rappelle avec justesse le lieu d’où je viens, et plus précisément mon temps favori, celui pluvieux, où les gouttes de la voûte céleste en pleure, produise cette douce musique, sur les feuilles épaisses des arbres immenses et sans âge. Un mélange de souvenirs d’enfance, d’indolence et de douloureux regrets.
Le miel me rappelle l’un des aliments que je préfère et pour cause, il était présent dans chacun de ses desserts que ma mère me faisait autrefois. De mon regard encore emplis d’innocence, je la regardais faire, infatigable, alors que ses mains expertes exerçaient devant mes yeux ébahis, la plus pure et la plus puissante de toutes les magies.
Le cuivre. L’odeur de sang versé. La récompense des guerriers et la preuve de la bataille. Le cuivre, pour chacune de ses blessures physiques et psychique qui marque mon être et font ce que je suis. Je l’affectionne, car sans ces douleurs, sans ces combats perdus d’avance, je n’aurais jamais su, jamais réussis à devenir ce que je voulais être.
J’eus bien des difficultés à l’invoquer, cette expression de liberté pure, pour la simple et bonne raison, que libre, je ne l’étais pas. Je me souvenais de la déconvenue, de la honte que j’avais ressentis, quand moi, bonne dans toutes ces matières, je n’avais été capable de produire cette extension de mon âme, sur demande, alors que j’avais tant travaillé pour le faire.
Il m’avait fallu comprendre combien j’étais entravé par cette image et par ses attentes impossible, pour finalement me reconnecter avec ses souvenirs lointains et bénéfiques, pour parvenir à le faire sortir de ma baguette. C’était une sorte de promesse à moi-même, celle de ne plus jamais suivre une voie qui n’était pas la même.
Néanmoins, cette absence n’est pas caractérisée de manière purement physique, elle est pour moi également intellectuelle. Il n’y a rien de pire qu’une situation qui n’évolue pas, qu’un ennuie dans lequel il est impossible de se tirer. L’immobilité est ma plus grande crainte.
S’il est vu par les sorciers comme une sorte de tare, il a toujours été perçu par les anciens de mon village, comme une bénédiction, un cadeau des dieux, pour mieux comprendre les ressentis de cette faune qui nous entoure et qui m’a accompagnée, jusqu’à maintenant dans cette vie.
Une libération ne vient jamais sans quelques chaos et la mienne n’avait pas dérogé à la règle. Drogue, alcool, encre et excès. J’avais cherché par tous les moyens à détruire cette image du moi d’avant, ne restait à présent que ces dessins empreints de significations, ses piercings et cette fragrance évanescente de cigarette. L’envie de nouveauté et cette peur de l’ennui en revanche, ne sont qu’un ensemble qui est voué à demeurer pour alimenter ce feu en moi.
AESTHETIC ;;
I'm runnin' like a river full of hunger
Oh, I'm dancin' on the edge tonight
Intrépide Froide Intelligente Entêté Protectrice Sauvage Rigoureuse Impatiente Sincère Intense
The lights spark and flicker, with monsters much bigger, than I can control now - Rien ne semble jamais retenir bien longtemps mon attention, tout doit être toujours plus à vif, toujours plus sincère, toujours plus captivant. Mon esprit ne semble trouver de repos. - I can't hold me down 'cause you know I'm a fighter ... Find me and I'm gonna bleed with ya - Cette solitude, elle me dévore, je la sens griffer sous la surface et déformer mon épiderme. Je suis ma propre prison. - I'm addicted to you, toxic ... You the answer, never question - Je sais me faire si charmante, si plaisante, comme s'il s'agissait d'un jeu. Exaltant. Jusqu'à ce que tout semble désuet une fois qu'il se trouve entre mes doigts.
I'm runnin' like a river full of hunger
Oh, I'm dancin' on the edge tonight
KEYWORDS
A WIZARDING GENEALOGY
Ces membres sont le plus souvent issus de la maison Kaze, ayant participé à faire rayonner la grandeur de cette dernière par leurs exploits et leurs accomplissements. Avoir été choisi par le gardien du vent est pour eux une fierté, un honneur et la preuve que l’on est digne de porter ce nom dont ils sont si fiers. Tout pur qu’ils sont, ils ont longtemps par le passé cherché à préserver ce sang, par envie de puissance ou simplement, pour ce besoin obsessionnel de pouvoir exhiber fièrement leur arbre généalogique.
Mon père néanmoins, en choisissant de m’avoir avec une “simple” moldue, a brisé cette tradition étrange, au grand dam de ses parents, qui virent ainsi, leur fils unique, bafouer tout ce qu’ils lui avaient fait entrer de force dans le crâne. Je suis donc une bâtarde, née hors mariage, la benjamine, de la fratrie, tous issue eux, d’un mariage légitime avec une sang-pur, dont je préfère ignorer l’existence. Je possède des frères et sœurs au sang immaculé et à l'intellectuel variable, avec qui je n’entretiens aucun lien, pour ma santé mentale.
THE LIFE AND LIES OF (Arasy)
I'll just give 'em back
'cause the only way to my heart is with an axe
MY LIFE AS A MUGGLE