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Niko Aoki
ft. kim yerim, me_irl

A BRIEF HISTORY OF TIME

— prénom & nom ;

niko aoki

Niko (二湖) née dans une jolie famille, une belle famille aux haies taillées, aux fleurs arrosées. Aoki qui se tiennent droit, qu'elle n'arrive plus à savoir si elle voudrait leur ressembler ou s'enfuir en courant.



— naissance & âge ;

02 05 00, tokyo

grand soleil à sa naissance, la météo annonçait de la pluie. bébé qui naît sans pleurs, qu'on se demande si elle n'a pas un problème, qu'on saura plus tard qu'elle sait très bien utiliser sa voix, quand l'ado crie en claquant des portes, quand elle rigole trop fort, qu'on lui dit de baisser de ton à nouveau, d'agir comme une gentille jeune fille qu'elle n'est pas.


— nationalité ;

japonaise, parents sorciers

de générations en générations, le japon et la capitale, le tourbillon des gens qui ne s'arrêtent pas de marcher au feu rouge, la sorcellerie du quotidien.


— baguette ;

acajou, crin de licorne, 25.2 cms, souple.

l'acajou, efficace pour les métamorphoses. le crin de licorne, flexible et loyal, difficile de soumettre aux forces du mal. une baguette souple, ouverte aux changements.


— maison, groupe ;

kasai

les braises sanguines, la maîtrise de soi dont elle manque cruellement quand sa voix vacille sous la colère, le besoin d'indépendance, de se sentir un peu moins inadaptée.


— occupations ;


droit et sciences politicomagiques

parce qu'elle n'a pas eu le cran de leur dire qu'elle ne voulait pas ça, mais elle continue d'exceller dans les débats, quand il faut ouvrir sa voix, défendre et contrer les injustices, parce qu'au final c'est aussi une partie d'elle.


capitaine des fiery fireflies, attrapeuse

s'envoler loin des tracas, prendre des risques n'étant pas un choix mais une seconde nature. ça a toujours été son échappatoire, les cieux calmes, ne plus penser, apostat. elle s'est réellement impliquée dans l'équipe en même temps que le début de ses études supérieures, ayant besoin d'avoir une raison pour tenir, de ne pas avoir à justifier les mauvaises chutes. elle dit ce qu'elle pense, un peu trop, profite de partir à la poursuite du vif d'or pour glisser des ordres en cours de route sur le terrain. elle préfère ça qu'avoir le nez dans des bouquins.


— situation financière ;

riche

l'argent ne fait pas le bonheur et si elle le veut elle l'aura, c'est pas compliqué d'être heureux. des ancêtres optique bon endroit/bon moment, tourné vers le bien, le droit, la politique, ce qui est honorable et pourra enrichir (moralement ? moralement )


— orientation & statut civil ;

célibatante


language de l'amour : quality time, besoin d'attention ininterrompu, de ne pas regarder ton portable pendant que tu lui parles ; words of affirmation, des petits compliments de rien et elle chavire, ne pas remarquer un effort et elle s'en va. l'orientation : pan, libre, toujours un peu de mal à se sociabiliser même si ça va mieux, pas trop d'expérience avec l'Amour sans minuscule.


— particularité(s) ;
métamorphomage

depuis qu'elle s'est rendue compte qu'elle pouvait changer ses traits et que les autres ne pouvaient normalement pas (sauf potion), la première chose qu'elle a essayé c'était de ressembler à son frère. alors elle abandonnait quand elle était trop petite, que son visage n'était pas parfait, que c'était trop évident. mais plus le temps passe, et maintenant elle arrive à lui ressembler. pas assez longtemps, la voix qui déraille par moment. mais quelque chose de ressemblant. et regarder les autres, observer encore plus, les voir plus qu'ils ne se voient eux-mêmes
 

— amortentia ;

matcha, cotton candy, fire


il y a la cérémonie rituelle du thé chez les aoki, des gestes répétés, l'odeur qui envahit la pièce. instant de calme, où personne n'a le droit de parler, de blasphémer.

il y a le sucre sur le bout des lèvres, le festival d'été, les lampions et son frère qui la tire par la main, les rires en écho qui tourbillonnent dans le vent.

il y a le feu d'hiver dans la cheminée, la flamme vacillante encore et encore, le bois qu'elle remue du bout du tisonnier, les bougies allumées le soir, les doigts emplis de cire chaude pour voir ce que ça fait.


— patronus ;

un lièvre

elle lisait plein de livres, niko. des livres pour apprendre à se protéger, à devenir plus forte. alors elle s'est entraînée, le plus dur était de trouver une pensée heureuse et de s'y accrocher si fort que ses mains lui faisait mal. elle s'attendait à un lion rugissant, quelque chose de grand pour dire : je suis là, mais au moment où la déception atteint sa baguette, le lièvre disparu.


— épouvantard ;

balai cassé

(tw:emotional abuse) ça a l'air drôle, oui, un simple balai. mais ça lui revient parfois dans ses cauchemars, c'est plus que cela : c'est ses parents qui lui disent qu'il n'y a que les ratés et les idiots qui se mettent au quidditch, mais qu'ils l'aiment quand même bien sûr, non ils ne la traite pas d'idiote, c'est elle qui comprend mal; elle comprend toujours mal. c'est son premier balai qu'elle avait acheté avec son argent de poche et qui avait fini brisé en deux, bien au milieu.


— risèd ;

ticket gagnant

elle est en équipe professionnelle de quidditch, ils gagnent la coupe, des fois ses parents sont dans le miroir et lui disent qu'ils sont fiers, des fois ils ont complètement disparu et elle ne sait pas si elle s'en voudrait de ne pas les vouloir dans le cadre doré.



« sonnets of a sorcerer »

I used to be like “I wonder what would happen if I set this thing on fire” and since then I’ve learned that more often than not the answer is “it’ll be on fire”



( TAURUS ) sun  
( PISCES ) moon
( SCORPIO ) rising


everything i'm not made me everything i am ; dessine des fleurs et des sourires sur ses bras ; cotton scented candles ; la poitrine qui risque d'exploser à tout moments de l'insistance cardinale du besoin d'exister, de se demander s'il y a de la vie sur mars ; est-ce qu'avec son balai elle pourrait y arriver ; h é m a t o m e s qui ne vieillissent pas ; écriture désordonnée ; laisser les coccinelles grimper sur sa main, elles doivent avoir leur petites vies de coccinelles à vivre ; (parfois) trop honnête ; la voix e r a i l l é e des lendemains d'alcool ; no children by the mountain goats ; sunflower dresses et limonade d'été.



Snakes in the grass beneath our feet, rain in the clouds above
Some moments last forever, but some flare out with love, love, love


A WIZARDING GENEALOGY

— chronologie ; 2000 naissance, deux ans d'écart avec son grand frère, qui la regarde avec des grands yeux, infatué devant la fragilité du poupon rose.

six ans elle le regarde. elle le regarde, encore et encore. elle peut entendre quelqu'un l'appeler au loin, mais rien n'empêchera ses yeux de dériver, c'est toujours droit devant, toujours sur lui. qu'est-ce qu'il a de si différent ? ils partagent les mêmes gènes. c'est là qu'elle le sent, la peau qui se transforme, qui tiraille, comme les insectes lorsqu'on est allongé trop longtemps dans l'herbe, elle est petite mais elle le sait, il n'y a qu'une obsession : essayer de lui ressembler, de se métamorphoser en lui, de voler un peu d'amour qu'on lui réserve uniquement à lui, son frère, parce qu'il est parfait, parce qu'il est prodige, parce qu'il n'est pas elle.

sept anstw family abuse, ils ne veulent pas qu'elle soit vue ainsi, les yeux qui deviennent bleus, les cheveux blancs, du jour au lendemain, d'heure en heure, ne correspondant pas à la précellence de la lignée, elle entame des cours par correspondance à Mahoutokoro. il faut qu'elle se contrôle, que ses parents lui répète en boucle. tiens-toi droit, et tais-toi.

neuf anselle vole le balai de sa mère, elle découvre qu'elle peut en profiter quand elle veut après les cours, la maison trop vide pour qu'on remarque son absence

quatorze ans on estime qu'elle se tient assez droit, on lui laisse le droit de venir apprendre parmi les autres, de se mêler à la foule à partir du secondaire. et lorsqu'on lui demande où elle était, elle aime bien répondre qu'elle était à l'étranger, en voyage au tour du monde, à se battre contre des dragons, à découvrir des trésors cachés. peu d'amis, peu de distraction, elle obtient ses certificats avec mention.

dix-huit ans l'impression de frôler la liberté, de sentir la chaleur des jours bénis dans la paume de ses mains. elle choisit la politicomagie, une part d'elle voulant plaire, toujours plaire, mais elle choisit le club de quidditch aussi, rachète de la crème hydratante pour la sécheresse de ses mains et des fleurs dans ses cheveux qui s'envolent à chaque fois qu'elle s'élance dans l'inconnu.

vingts ans troisième année, préparation du gakushi, même année où elle devient capitaine de l'équipe, et elle se demande ce qui est le plus important, si ça serait pas d'être heureux, de laisser les monstres au placard, même s'ils finissent toujours par déménager, de placard en placard.

« the life and lies of niko »
.✎✎✎
{#}1{/#} un chat blanc pour familier, tâche parmi les sorciers; mais qu'elle aime de tout son coeur, qui commence à vieillir depuis qu'elle l'a eut vers ses dix ans. elle aime bien prendre sa frimousse délicate entre ses mains et lui dire qu'il est le seul qu'elle aime. c'est de l'amour disproportionné qu'on a enfoui dans le corps de niko, même si elle a tendance à garder les vieilles habitudes de se méfier, de ne pas se donner complètement. elle aime secrètement, les papillons, les nuages en forme de coeur, les pissenlits qui poussent entre deux failles dans le goudron, les inconnus qui se tiennent des portes, la façon dont les gens ont de semi-courir au passage piéton.

{#}2{/#} malgré tout, malgré tout, elle n'arrive pas à détester sa famille. elle déteste les mauvais moments, elle aime bien la pluie pour se rappeler qu'il y aura du soleil après, le genre d'optimiste insupportable à se dire qu'il y a pire ailleurs. il y a tant de chose qu'on accepte comme normal sans se rendre compte. mais aujourd'hui elle se détache un peu plus, elle essaye de se concentrer sur elle, de mener son équipe, elle se demande parfois si elle arrêterait pas complètement ses études pour vivre au jour le jour, mais son reflet dans les flaques d'eau le sait : elle a peur.

{#}3{/#} alors il faut vivre le moment présent sans penser au futur, sans essayer de s'imaginer dans cinq ans, c'est des questions faites pour faire peur aux entretiens d'embauche. elle est là pour sentir le soleil sur sa peau en haut sur son balais, l'impression que ça tape encore plus fort. se dire que c'est pas grave de finir ses révisions à la dernière minute parce qu'ils ont fêté une victoire au bar du coin, que tout aura forcément un sens plus tard.



My life as a muggle
cha it girl.


(j'étais passée y'a quarante cinq ans vers 2019 une autre époque, ma première qualité c'est d'être nctzen et aries)

Invité le Lun 22 Fév 2021, 22:08aera ; don't call me ♥

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Aera Seong
ft. lee sunmi, wild heart, pinkytape (tumblr)

A BRIEF HISTORY OF TIME

— prénom & nom ; Aera Seong Un prénom simple et mélodique, le même que celui de sa grand mère maternelle. Ainée d'une famille de 5 enfants, elle a eu plus de chances que ses frères et sœurs Ameno, Dorime, Omena et Ravi. Nombreux sont cependant ceux qui pensent que leur famille est cinglée dans sa totalité.  

— naissance & âge ; 18 07 1995, londres Aera est née à Londres 25 ans plus tôt. Elle n'y a vécu que sept ans, ses parents s'y étant installé quelques années seulement pour affaires dans les années 90. Le reste de son enfance, elle l'a passée ici, sur l'île, qu'elle ne compte d'ailleurs jamais quitter.

— nationalité ; coréenne Par sang. Son père est un né-moldu coréen ayant gardé ses racines à Daegu, là où toute sa famille habite encore aujourd'hui. Après avoir passé une dizaine d'années à Londres, ils se sont accordés à retourner vivre ici, à Kanto, avec la mère sorcière d'Aera y étant née, comme les 4 générations de femmes de sa famille avant elle.

— baguette ; 27 centimètres, bois d'orme et plume d'hippogriffe Symbolisant l’énergie naturelle, les cycles de la vie, la fidélité et la maniabilité, la baguette d’Aera la protège et la renforce. Son cœur renferme la plume d’un hippogriffe, la liant ainsi à toute sa fratrie, et la rendant particulièrement adaptée pour se défendre.

— maison, groupe ; Daichi Daichi. La terre. C’est la maison qui l’a choisie. Choix prévisible, attendu par tous ceux qui la connaisse, sa cérémonie d’appartenance ne s’est pourtant pas déroulée comme dans les rêves qu’elle se rejoue depuis l’enfance...

— occupations ; 7ème année, pôle sciences, magizoologie, membre du club d’équitation, ancienne membre du club de nihon teien Parcours tout tracé, aucune surprise. Proche de la nature et de ses amis les animaux, Aera s'est efforcée à travers les années de toujours donner le meilleur d'elle même pour atteindre son objectif : reprendre le business familial et dédier sa vie à la faune et à la flore.

— situation financière ; Moyenne/aisée Sa situation financière est confortable, sans rentrer dans l'excessif. Aera a été élevée en sachant faire attention et être raisonnable, dans une famille ne croulant pas sous l'or mais sachant gérer ses dépenses et qui n'a jamais connu la misère.

— orientation & statut civil ; Célibataire Vouée à le rester ? Ce sont des questions qu'elle essaye de ne plus se poser. Romantique, positive, pleine d'espoir et désireuse de fonder une famille qu'elle chérira autant qu'elle l'a été, Aera n'a pourtant connu que des déceptions amoureuses. Elle est ce qu'on pourrait qualifier d'incapable lorsqu'il s'agit de relations romantiques et amoureuses. Consciente de sa légère bizarrerie et des rumeurs loufoques sur sa famille, elle se console en se persuadant que quelque part, quelqu'un de spécial l'attend surement. Mais peut-être que, encore une fois, ce qu'elle espère et attend n'arrivera pas et qu'il faut qu'elle arrête de visualiser sa vie comme dans les films ?

— particularité(s) ; aucune  

— amortentia ; café fort, crottin de cheval, lessive fraiche Ce sont les trois odeurs qui lui rappellent le plus sa maison, son confort et là où elle se sent vraiment elle-même.

— patronus ; un petit chien Là où, encore une fois, tout le monde s'attendait à ce qu'un cheval ailé surgisse de sa baguette, c'est un petit chien moldu qui a fini par apparaitre. A vrai dire, c'est le premier animal avec lequel elle s'est liée d'amitié lors des ses premières années de vie à Londres.

— épouvantard ; la nature morte C'est un cauchemar qui la poursuit depuis l'enfance : l'absence de vie animale, la nature morte et desséchée, être entourée de béton sans lumière du jour.



« sonnets of a sorcerer »
☽☽☽.

curieuse • passionnée • introvertie • idéaliste • cancer • travailleuse acharnée • dramatique • toujours un peu à l'ouest • ou à côté de la plaque • esprit pratique • sens de la famille • innovante • simplette • se satisfait de peu • amoureuse de la nature • amoureuse de la vie • émerveillée par la magie • émerveillée par la technologie • cavalière hors pair • apparence de pierre • apparence trompeuse • cœur en guimauve • cœur sur la main • chaleureuse • attachante • attentionnée • aime faire des cadeaux • ailes en déploiement • calme • discrète • rigolote • peu bavarde • intuitive • empathique • lunatique  


i sat in your life with nowhere to hide and still you couldn't find me, maybe you could find me somewhere else that i could be


era - cat & dog


you've given up on the things that you told me to believe in, i remember the look on your face when you told me you were leaving




A WIZARDING GENEALOGY


— chronologie ;


18 juillet 1995 naissance à Londres ; sa magie se déclare très tôt dans son enfance, ses parents étant tout deux sorciers et ayant grandit entourée d'animaux magiques.

2000 Naissande d'Ameno

2002 Après sept années au Royaume Uni, les Seong rentrent sur l'île pour la scolarité d'Aera. Elle rentre à Mahoutokoro sans encombre et commence son apprentissage de la magie en sachant dès les premières années qu'elle se spécialisera en magizoologie.

2003 Naissance de Dorime

2013-2015 Aera effectue les deux dernières années de son cycle secondaire en échange universitaire, de retour en Angleterre, à Poudlard, où elle est acceptée dans la maison Poufsouffle ! Très attachée à Minami Iwo Jima, ces deux années ont été assez compliquées, bien que nécessaires pour parfaire son apprentissage assez spécifique.

Aujourd'hui Il reste une année et demi d'études à Aera avant qu'elle ne puisse terminer son parcours d'étudiante. Son futur est déjà tracé. Une place l'attend au sein de l'entreprise familiale pour étudier les animaux, développer des soins pour ces derniers et des cures magiques à base de plantes et de vie.

« the life and lies of aera seong »
.✎✎✎


{#}1{/#} Avant de la connaître, vous pensez peut-être qu'elle est froide et distante. Bien au contraire, elle vous laissera entrer dans sa vie à la vitesse de la lumière. Vous l'apprivoiserez plus vite que n'importe qui avant, mais peut-être ne verrez vous pas d'intérêt à la garder près de vous.

{#}2{/#} Pour gagner son cœur, rien de plus simple qu'un sourire, un compliment envers ses fleurs, ses plantes, ou ses nombreux animaux. Sa famille est la chose la plus importante à ses yeux.

{#}3{/#} Aera peut passer extrêmement vite de l'ordre au chaos. Plutôt ordonnée et calme, il lui arrive d'avoir des excès rares et destructeurs de colère ou de folie, d'énergie créative et débordante. En général, ça se calme en quelques jours. Elle se fâche très rarement mais quand l'injustice frappe à sa porte, les gonds sautent en une seconde et dans ces cas-là, il vaut mieux ne pas croiser sa route. La souffrance des autres lui fait beaucoup de peine. Les larmes lui viennent très facilement quand on touche à ceux qu'elle aime, ou quand elle ressent autour d'elle une vulnérabilité excessive, sa sensibilité mise à l'épreuve.

{#}4{/#} La famille Seong possède sur l'île un haras gigantesque et prend soin de plusieurs centaines d'espèces d'animaux. Elle a grandit entourée par ces derniers, passionnée par la faune et la flore, persuadée qu'elle en ferait aussi son métier. Les équidés, ailés, à corne, à griffes ou bec, magiques ou moldus, sont ses créatures préférées et son domaine de spécialisation.



My life as a muggle
HJ coucou :coeur: moi c'est Auxane, auxie, j'ai 25 ans et j'ai connu MK grâce à Lola/Shilo avec qui je faisais du rp en 2013 à l'ancienne cc Lola jtm!!! Voilà sinon j'ai retenté plusieurs fois l'aventure rpg en m'inscrivant sur des forums par ci par là mais celui ci m'a l'air vraiment tout particulièrement très très cool et je compte sur votre accueil pour m'y faire rester  :perv:. Sinon dans la vie de tous les jours je suis très fan de Taemin ce qui résume en gros mon existence ah oui et aussi j'aime les PONEYS et les PUPPIES :fire:
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sun jeong
ft. dahye jang, hoodwink ; astra

A BRIEF HISTORY OF TIME

— prénom & nom ; sun jeong par opposition à sa sœur lunaire, sun a toujours porté la lumière au sein du foyer si tôt décimé par les épreuves. Attrapant la main nécessiteuse, ouvrant la porte accueillante, étreignant le corps glacé d’effroi, la jeune femme, ou plutôt sa conscience, a toujours choisi lâchement la fausse perfection du soleil plutôt que d’affronter ses propres démons enfouis : un résultat qui n’a visiblement pas bien réussi à sa cadette ; s’empêchant d’admettre que ses choix ne faisaient qu’enfouir son manque de courage.

— naissance & âge ; 16 01 1994, séoul bien effacée dans son esprit, sa terre natale n’est plus qu’un pâle souvenir qu’elle a en photo dans son micro studio, au-dessus de sa corbeille, prête à être arrachée au moindre signe de désarroi. Le papier représentant les montagnes avoisinantes et pourtant si lointaines ont d’ailleurs connu bons nombres de chagrins dont témoignent les coins cornés et froissés. Une tâche de larme sur le bas de la photo jaunit la rosée matinale. La corée oubliée, volontairement mise sous silence, ne semble pas prête à laisser en paix la jeune fille.

— nationalité ; coréenne toujours tabou, toujours délicat à évoquer, voyant cette annotation à son identité comme un fil qui la ramène sans cesse à l’origine de ses douleurs.

— baguette ; chêne, poils de rougarou, rigide, 23 cm. fidèle, têtue, inadaptable aux autres sorciers daignant poser leurs phalanges en son sein ; sa tenue abrite l’impétuosité, l’indifférence et le défi.

— maison, groupe ; kantō jadis en accord avec la maison denki dont elle a été d’ailleurs une préfète tyrannique et maternelle, sun met désormais à profit son leadership et son diplôme d’économiste au service de l’alestra qu’elle a rejoint à la suite de la disparition de sa sœur. Tenant les ficelles de son nouveau commerce d’une poigne de fer, tantôt entrepreneuse, tantôt véritable pilier de bar derrière son comptoir ; vous trouverez souvent ses grands ongles manucurés pianoter soigneusement sur la caisse et sur les livres de compte, quand elle n’est pas en train de railler auprès d’un client aux manières douteuses.

— occupations ; gérante de l’alestra après une scolarité brillante à mahoutokoro et l’obtention d’un shūshi en économie et gestion, sun ne se destinait pas à bosser dans l’espèce de bar à drogues que feu sa sœur et son ex copain avaient ouvert et qui, étrangement, fonctionne plutôt bien. Rêvant de grandes entreprises, d’un poste qui pourrait lui assurer qu’elle ne se retrouve pas dans la merde à chaque fin de mois, sun a, une fois encore, mis ses désirs sous cloche face au désarroi (et à son turn-over déroutant) de, désormais, son coéquipier ; ne pouvant se féliciter que d’avoir assis sa petite autorité malvenue, comme du temps où elle était préfète des denki.

— situation financière ; affreusement instable toujours effrayée par l’idée de manquer de quoique ce soit, sun passe son temps à inspecter la grosseur de la caisse et l’importance de sa paye. Pourtant, la monnaie durement gagnée est vite dilapidée dans l’esthétique et dans les soirées ; gamine adulte, envieuse de richesses avides et de beaux quartiers ; escroc au luxe, visant des proies aux poches toujours bien remplies pour mieux convaincre de se faire payer un verre. Moralisatrice qui aurait bien besoin d’être remise sur le droit chemin.

— orientation & statut civil ; bisexuelle le sujet de sa sexualité n’a jamais été un souci pour sun, surtout au vue de ses nombreux déboires amoureux et de ses relations proches du néant. Eperdument éprise de yian kyôdo, la culpabilité ne cesse de la traverser de toutes parts. Relation à sens unique ; elle déteste ce ressentiment encore plus aujourd’hui. Yian, le cousin de hatsuharu. Lui et lua n’appartenaient définitivement pas au même monde, monde qui a broyé les rêves de la gamine sitôt leur relation foireuse exposée au grand jour. Hatsu, gosse insouciant des conséquences, volatile, innocent de leurs malheurs. Sun ne l’a jamais vu de cet œil et au fond d’elle toujours : il doit payer.
Payer aussi pour ses sentiments incontrôlables qui l’anéantissent elle, et ses plans dont le plus gâché de tous : akihito. Jouant de son immense attirance pour lui pour taire ce vide dans le cœur qu’elle ne pouvait combler que par des caresses indiscrètes aux côtés du brigand aujourd’hui perdu.


— particularité(s) ; aucune  

— amortentia ; le bois qui brûle, feu dans l’âtre l’odeur qui enivrait la première famille d’accueil qui les a accepté ensemble, elle et lua. La cheminée était ouverte sur une salle à manger primaire ; mais les gamines aimaient à s’assoir au coin du feu. La peau de leurs visages se colorait alors d’un rouge flamboyant. Les aisselles transpiraient dans leurs pyjamas, sous la chaleur excessive du foyer. Les yeux se fermaient parfois sous l’insupportable brûlure et pourtant personne ne pouvait les déloger de ce feu de bois.

le citron sun est une adepte de ce fruit, le glissant dans chaque concoction : mal de gorge, maux de tête, fatigue, gueule de bois. A la fois acide seul, et réconfortant quand fondu dans une tisane, les mains se joignent, peureuses, autour de la tasse bouillante. La fumée s’échappe, les lèvres s’effritent au fur et à mesure qu’elles entrent en contact avec le nectar. Malheureusement pour sun, le citron ne soigne pas toutes les blessures.

le gin alcool importé des pays-bas, à chaque soirée, la coréenne remercie le marché international d’avoir permis à l’île de s’approvisionner dans ce nectar qu’elle délecte un peu trop facilement aux yeux de son entourage. Enfant passée directement au titre de femme, sun n’a jamais pu se tromper, expérimenter, se faire assister et conseiller ; dès lors son apprentissage présente de nombreuses carences et failles et sa consommation de gin tonic en fait délibérément partie. Un réconfort dont elle ne peut se passer aujourd’hui mais qu’elle dissimule pourtant, tentant toujours de peindre son statut de grande sœur à la perfection face au monde.

— patronus ; belette tant avisée et curieuse, sage et parfois irresponsable, l’animal traduit la vacillante instabilité dont a toujours fait preuve sun : tantôt retenue par ses devoirs, tantôt désireuse de lâcher prise ; à deux doigts de quitter son terrier pour aller s’aventurer dans la neige glacée et ne jamais revenir.

— épouvantard ; l’ancienne demeure de séoul
tw:
endroit privé d’amour, traduisant la misère et ensuite la mort. L’endroit n’était que trop dépeint par la pauvreté des sentiments et de la dévotion. Tout n’était qu’une question malheureuse de subvenir aux besoins primaires de la nourriture, mais sans affection aucune les corps restaient désespérément vides. Pourtant la perte des géniteurs fut des plus douloureuses, non pas par tristesse mais par peur d’affronter l’inconnu.


— risèd ; lua la fratrie réunie dans une maison en périphérie de la ville ; un jardin fleuri où l’innocence de sa sœur est encore préservée et intacte. Des sourires sincères et paisibles sur leurs visages lumineux. Aucune douleur, aucune peur déplorées.


« sonnets of a sorcerer »
☽☽☽.
ambitieuse ☽ attentionnée ☽ froide ☽ belliqueuse ☽ instable ☽ tyrannique ☽ sévère ☽ protectrice ☽ destructrice ☽ oscillant entre responsable et immature.

she rings like a bell through the night
and wouldn't you love to love her ?
she rules her life like a bird in flight
and who will be her lover ?

all your life you've never seen
woman taken by the wind
would you stay if she promised you heaven ?
will you ever win ?

rhiannon.fleetwoodmac.


A WIZARDING GENEALOGY

— chronologie ; 26 avril 2008
tw:
la canicule de ce printemps s’est vite transformée en glacier. On ne leur a jamais vraiment expliqué comment ils étaient morts. Lua était, de toute façon, trop petite pour comprendre. Quant à sun, elle voyait ce départ comme un simple abandon ; une lassitude qui lui brisait le cœur malgré elle. A 13 ans l’on est, après tout, censé détester ses parents et non les enterrer.
Les foyers et les familles d’accueil sont comme on peut l’imaginer : l’atmosphère chaleureuse peut laisser place à l’indifférence, la méchanceté et parfois c’est tout à fait l’inverse. Le tout était de ne pas être séparée de sa moitié, et ceci, les gamines l’avaient bien réussi. Au fil des crises de nerfs et des fugues, la résignation les a fait vivre à nouveau ensemble.


2001 à 2018 mahoutokoro est un lieu que sun affectionne particulièrement, sûrement parce qu’après avoir vécu à séoul, tous les endroits qui l’emmenaient loin étaient les bienvenus dans son quotidien. Elle aime l’île dans son ensemble, pourtant la présence encore trop grande des déplacements de familles en familles a très tôt marqué une cicatrice invisible, se développant au fur et à mesure de ses doutes, comme une gangrène.
Brillante, avisée, téméraire et méthodique, c’est tout naturellement que la cérémonie d’entrée l’a fait intégrer les denki ; une communauté qui deviendra un véritable pilier dans son apprentissage personnel. C’est parmi elle qu’elle ressentira ses premières attirances, ses premiers désarrois et chagrins et surtout le changement de son corps et l’affirmation de sa personnalité.
Préfète ; sa confiance et son assurance l’aidèrent à vaincre l’instabilité qui était toujours installée là, bien au chaud dans son esprit et dans ses actions. Ce poste à responsabilité lui permit d’arriver à faire le tri au-delà des ombres encore existantes.
Des années paisibles en somme, malgré les premières peines de cœur dont elle aurait bien pu se passer. Et toujours le bienêtre de sa sœur qui rôdait dans un coin de sa tête, comme pour lui rappeler qu’elle ne vivait, pour l’instant, que pour la voir heureuse.


5 mai 2020
tw:
date à marquer au fer rouge. Alors que sun tente de trouver un boulot grâce à son diplôme et aux nombreuses années sacrifiées ; elle voit le nom des jeong dépérir au fil des jours, au travers des yeux vitreux de sa cadette. Lua adepte des plans merdiques, suivie de très près par son nouveau mec, certainement un pansement dans sa lourde déception passée.
Le trou dans son cœur s’agrandit en l’espace de quelques minutes : la violence du choc et le sentiment coupable de soulagement l’ont fait s’évanouir à l’annonce de sa fin. Lua partie, lua plus là : un morceau d’elle effondrée en même temps que le premier jour du reste de sa vie, lui, pointa. Sun essayait de ravaler ces pensées mais elles étaient déjà trop ancrées en elle.
Ce pourquoi elle avait toujours survécu venait de partir en fumée et personne ne semblait saisir réellement sa peine. Elle avait failli à sa mission : sa sœur avait eu trop mal pour continuer à vivre. Et tous les acharnements, toute cette passion que sun avait démontrée pour faire au mieux s’étaient avérés bien insuffisants et jamais, ne furent, ne seront, récompensés.
Alors sun est en colère contre lua, contre elle, contre reyn, et bien plus encore : contre tous ceux qui l’ont entraîné dans sa chute.


2020 - 2021 après la perte de lua, d’akihito et des beaux jours, sun s’isola quelques mois, les noms des gens qu’elle tenait pour responsables de la perte de sa sœur résonnaient et défilaient sans cesse dans sa tête.
Puis un jour, un appel passé à reyn, la jeune femme se triturant les lèvres d'inquiétude ; elle espère qu'il va bien depuis ...
Ils se voient alors : renouant chacun un peu plus avec un passé que la jeune femme aurait préféré garder sous silence. l'alestra, le vr : ils avaient bien changé désormais et ce coup d'éclat la rassure quelque peu.

L'esprit lourd de mauvaises pensées quand il vient le temps de confronter la réalité revenue au galop. Les paumés préfèrent la compagnie du toit où ils fuient, et là reyn lui pose la question : reprendre l'alestra. Longue réflexion, au rythme d’un cœur qui tambourinait douloureusement, d’une respiration bruyante presque rauque à force d’enchaîner les cigarettes. Elle écouta la demande : s’occuper de l’alestra, le bébé de sa cadette, semblait être un autre projet douteux et actuellement, elle ne se sentait pas capable d'offrir une quelconque réponse, pourtant, par opposition avec la bataille qui se déroulait dans son crâne, c'est un oui certain qui s'échappe de sa bouche. Oui mais moyennant un délai ; délai pour se préparer à retrouver cette normalité perdue.



« the life and lies of sun jeong »
.✎✎✎


{#}1{/#} sun cherche un mari ou une femme riche : pour faire taire ses propres sentiments insatisfaits et pour arrêter cette vie incessante menée par le besoin et la nécessité. Elle aime l’opulence, le bling bling parfois même à manquer de classe. Maintenant qu’elle vit pour elle, elle peut entamer sa propre descente aux enfers.

{#}2{/#} depuis 3 ans, sun est l’heureuse propriétaire d’un crapaud buffle du nom de gary. Une consolation moindre à son drame futur et pourtant il est le seul fils légitime qui lui apporte réconfort et chaleur. Gary est ce qui se rapproche le plus d’un prince charmant pour elle. reyn et sun lui ont, d'ailleurs, offert une place de choix sur le comptoir de l'alestra où ce dernier fait la police et prévient, à sa manière, quand quelque chose ne tourne pas rond.

{#}3{/#} sun fume depuis qu’elle assez jeune et n’est pas prête d’arrêter : ayant commencé en se cachant de tous regards, tous soupçons, désormais, elle se jette sur son paquet dès que l’envie ou le besoin s’en font sentir.
Elle a aussi un piercing au nombril qu’elle ne regrette pas du tout malgré ce que certains de ses intimes partenaires puissent en dire.

{#}4{/#} jamais loin de ses citrons et malheureusement allergique au latex.



My life as a muggle
HJ bsr, ade ou adélaïde, jvais sur mes 24 ans, je m'étais déjà inscrite mais j'avais pas fini ma fiche snif, mauvaise période tu coco  :pedro:  
je reviens pske j'ai retrouvé une joueuse puis bon on va pas se mentir, le scénario est juste ouf  :urgh: j'espère ne pas vous décevoir  :sry:

Invité le Mer 17 Fév 2021, 22:27A diamond in my heart

tw:
NIU QIŪ
daydream ; crédits images


ID CARD

fiche ·· kaze ·· 19 yo ·· études : brigade de police magique ·· club tir à l'arc

❝ ⋆ scorpio ; ↑ aries ; ☽ aquarius ❞


Résumé
anecdotes
#1. niu a deux phobies qu'elle n'arrive pas à contrôler. la première et sûrement la plus importante est celle du sang. elle ne se souvient pas de la mort de sa mère mais elle se souvient du sang. elle est tétanisée à chaque fois qu'elle en voit. c'est un handicap concernant son choix de métier, mais elle essaie d'y faire face. la seconde a un rapport avec les animaux, notamment les araignées. ces petites bêtes lui hérissent le poils et la font hurler de peur. #2. couche tard et lève tôt, la jeune femme n'a pas besoin de beaucoup d'heures de sommeil. pour elle dormir est une perte de temps parce qu'elle ne peut pas réviser si elle le fait. elle dort donc entre 5 et 6h dans les grosses nuits. il peut lui arriver de faire des nuits blanches, mais cela reste très rare. elle a du mal à suivre ses cours après. #3. pour faire honneur à son père, niu a essayé de voler sur un balai. mauvaise idée. pire idée de sa vie. ses jambes se sont mises à trembler, sa vision à se flouter et elle a pleuré devant tout le monde. c'est ainsi qu'elle s'est rendu compte qu'elle avait le vertige. à la place, elle a appris le tir à l'arc. #4. la jeune femme a cousu à la main une poche sur le devant de chacune de ses tenues d'uniforme, parce qu'elle transporte avec elle un animal de compagnie, un botruc qu'elle a appelé lev. elle ne se souvient plus de comment leur relation a commencé mais il est apparu quelques mois après qu'elle soit arrivée chez nanny. elle l'a d'abord caché à son arrière grand mère avant de le laisser faire sa vie. #5. rapidement gênée ou timide, niu se cache derrière ses cheveux et doit donc les replacer derrière son oreille quand elle parle à quelqu'un. elle fronce aussi énormément le nez quand quelque chose la tracasse. elle se replie dans le mutisme dès qu'elle ne va pas bien. il lui faut alors quelques jours pour aller mieux. #6. très grande lectrice, elle passe beaucoup de temps dans la bibliothèque. elle lit assez vite et malgré la présence d'outils qui peuvent lui permettre de lire plus rapidement, elle préfère la version moldue de la lecture. elle y trouve plus de satisfaction.


Aesthetic
MOODBOARD

fière - à l'écoute - persévérante - aventurière - assidue - observatrice - économe - rancunière - franche - un peu naïve - affectueuse - tactile - ambitieuse - perfectionniste - impulsive - rêveuse - parfois réservée - râleuse - organisée - pragmatique - prévoyante - souriante - passionnée - rusée - vraie - bavarde - hésitante - obstinée - complexe - jalouse - possessive - casse cou - curieuse - sincère - gourmande - têtue - bornée - timide - économe.


Invité le Mar 16 Fév 2021, 17:34it goes and it's golden.

tw:


daeshim sada
ft. steven yeun, kiddressources @ tumblr (av), pinterest (pics)

A BRIEF HISTORY OF TIME

— prénom & nom ;
DAESHIM (대심) SADA (真)

son prénom et son nom se mêlent comme le font ses origines dans ses veines : né d'une mère coréenne, il en a hérité son prénom quand son père, lui, japonais, lui a transmis son nom. daeshim, great mind. le grand esprit. comme si elle avait cherché à lui insuffler un plan de vie, une ligne conductrice dès sa naissance, pour le mener vers un chemin glorieux - de bien des façons différentes. les japonais l'écrivent 大伸 (les kanjis 大 signifiant grand, et 伸 signifiant allongé), prononcé daishin. sada, écrit avec le kanji de la vérité, pour insuffler une touche paradoxalement ironique, et en même temps terriblement significative.


— naissance & âge ;
dix novembre 1982, 38 ans

né le dix novembre 1982, dans un petit village japonais au nom si vite oublié de par son insignifiance que daeshim a arrêté de le prononcé. il ne représente plus grand-chose, de toute façon. plus après tant d'années sans avoir voulu revoir sa famille de sang. vingt-huit ans de séparation effacent bien des choses, et même ce que l'on pouvait penser d'immuable.


— nationalité ;
japonais

il n'a pris la nationalité que de son père. né au japon, ayant grandi au japon, ne connaissant que brièvement la corée dont il est à moitié originaire après un voyage de trois semaines à ses dix-sept ans, daeshim, se présentant parfois comme daishin, se sent bien plus japonais qu'il ne se sent coréen de toute façon.


— baguette ;
noyer noir, plume de phénix
trente-quatre centimètres, flexible

liée à la hanche par un étui qui semble avoir traversé les âges, la baguette ne quitte que très rarement son propriétaire. faite en noyer noir, pour sorciers perspicaces et à l'instinct sûr, elle perdra toutes ses capacités à fonctionner si daeshim perd sa sincérité ou sa conscience de soi. la plume de phénix, elle, offre un large éventail de capacités magiques.


— maison, groupe ;
sensei, ancien kasai

ancien élève de kasai, il se souvient encore aujourd'hui de la cérémonie de répartition. des deux yokaï qui se sont avancés vers lui, offrant deux destins différents. denki, ou kasai? les caractéristiques étaient convaincantes des deux côtés mais le choix, lui, fut vite fait : daeshim coupa tous les liens potentiels avec le kitsune, pour rejoindre la maison du bakeneko.


— occupations ;
directeur de la maison kasai,
professeur de psychomagie et psychopathologie sorcière

daeshim est un homme brillant, nul ne peut en douter. et n'ont pas pu, non plus, les membres à la tête de mahoutokoro, lorsqu'ils lui offrirent le poste de professeur dans une matière dans laquelle 1) il excellait (sorti major de sa promotion quant à la psychomagie et psychopathologie sorcière), 2) il s'était montré plus que compétent durant les années qui suivirent son diplôme. depuis la rentrée 2019, il a également endossé le rôle de directeur de la maison kasai.

yakuza

il n'a pas obtenu son appartenance par le droit de naissance, contrairement aux ryujinchi. daeshim est là par adoption, car lui est tombé sur les épaules le poids d'une responsabilité qu'un enfant de dix ans ne devrait jamais avoir à assumer : payer les dettes de ses parents, par son "adoption" au sein d'une famille qui n'était pas la sienne. malgré des débuts difficiles, daeshim s'est formé, et surtout formaté à ce que lui offrait la vie auprès des ryujinchi. artiste de la discrétion, il œuvre en secret, protégeant les membres du clan encore présents à mahoutokoro et permettant, de par ses postes, de faire un pont entre l'enseignement et le trafic d'hensokus qui a lieu entre ses murs.


— situation financière ;

confortable


lui qui a passé les premières années de sa vie dans une misère au souvenir plus vif que le visage de ses propres parents, frères et soeurs, se retrouve aujourd'hui avec une situation confortable, dont il prend soin à sa façon ; daeshim n'est pas particulièrement dépensier, et ne tombe jamais dans les excès.

— orientation & statut civil ;
pansexuel


s'il est indispensable de mettre une étiquette, sans doute celle-ci conviendrait-elle le mieux. les corps ou les genres ne définissent pas son attraction ; il se laisse guider par le coeur, faisant taire, pour une fois, ce que son cerveau voudrait lui souffler.

célibataire, endeuillé

tw deuil / tout à chacun connaît son quota de drame dans son existence, mais perdre l'homme qu'il aimait, il y a trois ans, au cœur d'un conflit sorcier reste le pire que daeshim a pu expérimenter. s'il a connu d'autres bras, d'autres draps, il ne s'est toujours pas pleinement remis de sa perte, quand bien même il n'en parle jamais ; il n'y a que cette photo, cachée dans la poche intérieure de sa veste, posée contre son cœur, qui peut encore trahir le poids du deuil qu'il n'a toujours pas perdu.


— amortentia ;
vanille noire, thé au jasmin, pelure de clémentine

tw deuil / un mélange d'odeur qui se glisse dans ses narines et l'apaise, autant qu'il lui enserre le cœur. dans toutes ces senteurs, il reconnait l'amour qu'il a perdu il y a plusieurs années et qu'il est persuadé qu'il ne le retrouvera jamais, nulle part. alors lorsqu'il les sent, un sourire triste s'appose sur son visage, et le laisse songeur l'espace d'un instant - plus ou moins long, plus ou moins intense, aussi.


— patronus ;

tanuki

tw deuil / pendant des années et des années, son patronus a pris la forme d'une tortue ; symbole de sagesse, de chance, de protection et de longévité, elle laissait transparaître une partie de lui que daeshim en personne ne soupçonnait pas réellement, plus fougueux à l'époque qu'il ne l'est désormais. mais la tortue a laissé place à un tanuki, espiègle et joyeux, symbole d'une bonne fortune, et surtout patronus de shoto lorsqu'il était encore en vie. par amour, celui de daeshim s'est mué et transformé, le poussant parfois, dans ses soirs de solitude, à l'invoquer, ne voyant qu'une lumière faiblarde prendre la forme du chien viverrin.

— épouvantard ;
sa famille de sang

des visages si inconnus qu'ils ne sont plus que des tâches floues aux couleurs entremêlés. il n'y a plus d'yeux, plus de bouche, plus d'âme ; juste un masque de peau étrangement colorée, assurant l'anonymat de ceux qu'il devrait pourtant ne connaître que trop bien. ils représente l'abandon qu'il a subit, enfant, et celui qu'il subirait à nouveau s'il venait à les retrouver ; la preuve qu'il s'est, une fois de plus, retrouvé lâché par ceux qu'il considère comme ses proches.


— risèd ;

réponse inconnue

daeshim ne sait pas, car il ne regarderait pas, de peur de trouver dans le reflet du miroir quelque chose qu'il ne serait jamais en mesure d'obtenir : l'évidence de la clef de son bonheur parfait, si elle est inaccessible, ne ferait qu'augmenter cet état entre peine et colère dans lequel il se trouve, et daeshim préférerait ne pas en arriver là.



« sonnets of a sorcerer »

magie usuelle t'inspirera peut-être !

{#}4{/#} des tocs, des manies, des choses à savoir ?


My life as a muggle
HJ connue (lmao genre) sous le pseudo de kidd, je m'appelle faustine, j'ai 25 ans, et j'habite en angleterre. vous allez vite vous rendre compte de mes goûts si vous m'écoutez parler, donc on va garder un peu de suspens pour l'instant (ptdr ils seront sans doute partout dans ma fiche mais bon pas grave). je suis arrivée là grâce aux louanges soutenues d'anne (cc {@=659}mazra white{/@}) à votre propos - embauchez-la, elle est super en marketing.  :hearts: et dédicace à {@=540}kuro ryujinchi{/@}, {@=838}seido ryujinchi{/@}, {@=508}akane ryujinchi{/@} et  {@=738}altaïr mastriani{/@} pour leur accueil et leur aide précieuse.  :coeur:

Invité le Mar 16 Fév 2021, 00:39Ω SLOW DANCING IN THE DARK. (jisoo)

tw:


Jisoo Park
ft. hwasa, liste des crédits

A BRIEF HISTORY OF TIME

— prénom & nom ; Ses ongles parfaitement manucurés et recouverts d’un profond rouge sang pianotent patiemment sur l’accoudoir de sa chaise en fer. Elle a beau être vêtue d’un uniforme de prison, sa façon de se tenir lui donne l’air d’être en pleine séance photos. La plume enchantée est immobile sur le parchemin, dans l’attente de sa réponse. Une mèche couleur corbeau dissimule brièvement le regard vénéneux qu’elle vous lance, avant qu’elle ne la glisse derrière son oreille et que son visage ne redevienne de marbre. Jisoo Park, finit-elle par souffler comme si elle se parlait à elle-même. Un frisson vous parcourt l’échine. Peur ? Excitation ? Malaise ? Difficile d’en déterminer l’origine.
Peut-être un peu des trois à la fois.


— naissance & âge ; Née le 25/05/1991, à Seoul. Exact ? Le coin de sa bouche tressaille, de manière si infime que vous ne l’auriez presque pas remarqué si vous ne l’aviez pas regardée en cet instant. Elle décroise et recroise les jambes, s’enfonce contre le dossier de sa chaise. Ses onyx s’accrochent à vous, vous jaugent, vous hypnotisent. Elle acquiesce à votre question, puis hausse un sourcil pour vous inciter à continuer.

— nationalité ; Vous cochez machinalement la nationalité coréenne, surveillant du coin de l’œil les expressions de la prisonnière. Une nouvelle fois, le sentiment étrange vous assaille ; il rampe le long de votre colonne vertébrale comme un mille-pattes gigantesque. Une lueur danse dans les abysses de Jisoo.

— baguette ; De la mallette sur votre gauche, vous extirpez un coffret transparent que vous posez entre vous deux. Le cliquetis des bracelets métalliques trahit le soudain mouvement de la sorcière qui serre les poings en reprenant sa position. Ses mains se sont instinctivement tendues vers sa baguette. Et, vous auriez pu le jurer, le coffret a semblé bouger de quelques millimètres vers sa position. Bois d’aubépine, vingt-sept centimètres… La plume note vos mots, puis s’immobilise. Pour la première fois depuis le début de l’entretien, la jeune femme détourne le regard vers le sol et ses épaules semblent s’affaisser. Elle paraît si petite, d’un coup, si fragile. Un cheveu de Curupira. Vous le saviez, évidemment, mais cela vous surprend quand même. C’est très exotique. Même si on dit que la baguette choisit son utilisateur, ça ne devait pas être donné d’en acheter une avec un ingrédient aussi insolite. Mais Jisoo Park n’était pas n’importe qui avant d’échouer de l’autre côté de cette table. En silence, vous rangez le coffret et elle reprend son aplomb, se redressant sur sa chaise.

— maison, groupe ; Avant de ranger le coffret, votre regard s’attarde sur le symbole qui y est gravé. Elle sembl percevoir votre intérêt, car elle prend l’initiative de répondre avant que vous ne posiez la prochaine question. Mizu… je me suis toujours sentie acceptée là-bas. C’était bien plus ma famille que n’importe quel lien du sang. Et quand elle dit ça, c’est sans la moindre émotion qui vient faire trembler sa voix. Ce n’est pas froid pour autant, c’est plutôt comme si elle énonçait un fait scientifique avec des termes simplifiés. Docte. C’est le mot. Mais je n’ai jamais eu la patience de mes professeurs, alors y retourner pour enseigner est impossible. Une ombre passe dans ses prunelles, altère ses traits si harmonieux. Quelque chose d’autre l’empêche de retourner là-bas. Ou peut-être qu’une partie d’elle y réside toujours. Elle n’ajoute rien de plus et vous vous résignez à continuer.

— occupations ; Il vous faut quelques minutes pour lire la liste exhaustive des activités de la sorcière avant qu’elle ne quitte Mahoutokoro – brillante élève, intelligente, pleine de ressources. Des notes exemplaires, des recommandations à en faire pâlir de jalousie. Certaines dues à la renommée de sa famille, évidemment, mais la plupart étaient sincères. Comment une Auror d’un tel calibre a-t-elle pu se retrouver en face de vous, aujourd’hui ? Pendant que vous lisez, tentez de comprendre, elle s’impatiente et claque de la langue pour attirer votre attention. J’ai été première de ma promotion. J’étais efficace et rapide. Je passais plus de temps à chasser les mages noirs que dans mon appartement. Alors pourquoi ? Votre question silencieuse trouve réponse sur les écorchures de ses phalanges. C’est la première fois que vous les remarquez. Ses mains sont abîmées, blessées, malgré le vernis impeccable. Elle voit votre regard et referme les poings, le coin de sa bouche se soulevant légèrement. Vous avez été arrêtée suite à un usage abusif de violence contre un sorcier français, lequel s’est révélé innocent après enquête. Elle ne prend pas la peine de nier. La vérité ne peut être dissimulée ici. Alors pourquoi ? La réponse ne vient pas cette fois. Elle est enfouie si loin, si profondément dans son âme, que l’arracher reviendrait à la mutiler un peu plus. Pas sûr qu’elle y survivrait, cette fois.

— situation financière ; C’est avec une encre rouge que le mot déshéritée est inscrit. Vous n’en parlez pas. Le mot se suffit à lui-même. Qui voudrait d’une honte pareille dans la famille ? Pas les Park. Mieux vaut prétendre ne jamais avoir eu de fille. Cacher le monstre qu’elle est devenue dans le placard. Danseuse désarticulée, parfum ferreux et abysses infernales.

— orientation & statut civil ; Elle lit la prochaine question sur votre parchemin avant que vous ne puissiez la poser et cette fois, c’est un large sourire qui naît sur ses lèvres pulpeuses. Elle est… amusée ? Mais elle ne dit rien, la diablesse. Tout ce qu’elle fait, c’est vous fixer avec une langueur brûlante. Vous vous apprêtez à l’interroger lorsque que quelque chose vous effleure la jambe. Incapable de réprimer le sursaut qui vous fait reculer bruyamment, vous constatez que c’est son pied qui vous a touché. Et elle rit, Jisoo, elle rit si fort que sa tête se renverse en arrière. Folle à lier. Voilà ce qu’elle est. Obsédée probablement. Totalement instable, dans ses mots comme dans ses actes. Connait-elle seulement le sens de l’amour, du désir ? Vous scrutez ses prunelles fauves, puis décidez de garder votre curiosité pour vous. De toute manière, plus personne ne voudra d’elle maintenant. Le jouet est cassé, au-delà du réparable.

— particularité(s) ; réponse brève demande à poster magie usuelle t'inspirera peut-être !

{#}4{/#} des tocs, des manies, des choses à savoir ?



My life as a muggle
HJ HEYO, ici Dreamcatcher, ça fait un bail que je connais le monde du rp, mais ça fait aussi un p'tit bout de temps que j'ai pas écris, j'espère que ça va pas être si catastrophique que ça  :joy: j'ai déjà envahi l'espace vital de Minki pour poser quelques questions  ::3: votre forum est magnifique, et le codage est vraiment super bien pensé, ça évite d'avoir les yeux explosés  :oui oui:

Invité le Dim 14 Fév 2021, 13:08— light bulb ☾ jun

tw:


jun matsui
ft. kim jungwoo, kawaiinekoj & blancheisi (icons) ; hanatsuki (avatar)

A BRIEF HISTORY OF TIME

— prénom & nom ; jun matsui D'une touche d'ambivalence, Jun est, comme lui, courte perle adaptable à deux contrées qu'il porte en fier héritage. Court, tendre, parfait, parfaite association à l'héritier du nom pourtant froid, imposant des Matsui. Car ils ne sont ni tendres ni discrets, car le patronyme se veut à l'image d'un père-requin. L'image autrefois lisse, tinte comme les poches remplies d'une famille au nom trop peu modeste.

— naissance & âge ; 10 10 98, kanto C'est presque charmant qu'une date de naissance aussi balancée ! Charmant comme un premier cri poussée sous l'averse automnale, comme une vingtaine timide qui peine à s'affirmer, comme le ciel embrasé de Kanto lorsqu'il pointa le bout de son nez.

— nationalité ; Japonaise Papa et maman étaient un amour de bancs d'école, raconte une histoire tendre qui cache quelques technicités un peu plus austères. Papa et maman étaient chacun fier de porter l'étendard de deux pays différents - on ne sait plus si le soleil est levant ou le matin calme, mais en revanche, c'est bien sous le ciel japonais que leur premier enfant a vu le jour, avec, en guise de prénom, tendre syllabe s'adaptant tant au Japon du père qu'à la Corée maternelle.

— baguette ; 26 centimètres, bois de saule, crin de licorne Celle qui ne lui a jamais fait défaut, camarade de ses premiers apprentissages d'enfant, de ses trébuchements d'adultes.

— maison, groupe ; daichi Les Yokai se sont pourtant voulus hésitants - il est lui-même un peu mélangé, entre le désir et le devoir. Mais voilà qu'il semble ici avoir trouvé sa place, après toutes ses années, se sent ici comme ce qu'il est, toujours les pieds sur terre.

— occupations ; économie & gestion - 4e année Pas tant de passion, pas tant d'intérêt, pourtant, une rigueur et une motivation sans failles. Depuis l'enfance, on lui rabâche, encore et encore, que c'est à lui d'incombera de prendre la tête des affaires familiales, quand son frère a préféré le feu des projecteurs, puis la laideur de la débauche. Alors, Jun se prépare, Jun étudie, Jun se saigne, encore et encore, s'écorche l'esprit contre les feuilles de parchemins, les manuscrits ennuyeux, les chiffres qui l'assomment. Au fond, Jun n'a jamais eu le choix.

— situation financière ; riche Matsui l'austère se voudrait empire. Sous sa coupe, un label ayant vu naître quelques groupes à succès, et une réputation à reconstruire - malgré tout, dans les poches, on ne manque jamais d'entendre le son familiers de gallions sonnants et trébuchants.

— orientation & statut civil ; bisexuel & célibataire On l'entendra dire qu'il n'y a que les filles qui lui plaisent. Il voudrait aussi le penser - après tout, il faut bien que quelqu'un s'occupe de garder pérenne la branche des Matsui, de la seule manière que la famille de traditions juge acceptable. Alors, Jun veut se convaincre qu'il a le choix, qu'il peut contrôler le cœur, porter ses affections uniquement vers ces demoiselles. En réalité, pourtant, il n'en contrôle pas les battements affolés devant quelques jolis garçons aux regards doux.

— amortentia ; chocolat, lilas, thé au jasmin. L'odeur ramène aux souvenirs : la mémoire olfactive est des plus tenaces. Enfant, il flânait de longues heures en compagnie de sa tendre grand-mère, dans sa grande maison pleine d'horloges, son jardin aux fleurs plus étonnantes les unes que les autres. Mamie sentait le lilas à des kilomètres à la ronde, d'un parfum venu d'Europe dont elle s'aspergeait sans compter. Et lorsque venait l'heure du goûter, on trouvait toujours, à sa table, une tasse de thé au jasmin et un gâteau au chocolat. Ces souvenirs-ci sont chéris sans y penser, pourtant parmi les plus précieux que Jun puisse posséder.

— patronus ; beagle Un peu décevant, pour Jun qui aurait rêvé de plus de majesté. Pas si surprenant, au fond, lorsqu'on regarde ce visage, et puis sa loyauté.

— risèd ; famille rééquilibrée Derrière lui, se tiendrait son frère en parfaite stabilité, tiré aux quatre épingles. Peut-être a-t-il, finalement, repris ces assommantes affaires ? Son père le regarderait d'un air fier. Un air rare. Et lui, lui ne serait que Jun, en toute simplicité, avec pourtant, dans le regard, un éclat de liberté.


« sonnets of a sorcerer »
☽☽☽.
☉ libra ☾ gemini ↑ taurus


"This is like a drama without a script, it’s an ending you’ve never thought of - the dust that covered my heart before now presses down on my dreams (...) Imma look forward into the sea, oblivious sea I call “history”, thunderous waves that rage destroying the maze of memories I wanna see" (skz, maze of memories)

L'esprit ne reflète que le calme plat de la mer un jour sans brise. Dompté, il se fait de plus en plus docile à mesure que l'océan son frère se montre plus sauvage, incontrôlable. Jun est fait d'une eau calme mais pourtant trouble. Du genre qu'on ne peut pas vraiment déchiffrer, celles dont on ne sait jamais ce qu'elles cachent. S'il hoche la tête, s'il se plie sans broncher, s'il veut plaire, pacifier, Dieu sait ce qui se trame derrière ses yeux sombres. Quels sont ses désirs, quels sont ses rêves ? Ceux qui se trahissent sous l'éclat d'un regard, un peu plus vif ou plus terne selon qu'il aime ce qu'il voit, selon qu'il regarde, à nouveau, tout ce dont il est privé. L'eau trouble est pleine de sable qui tourbillonne : voilà les restes, volatiles et éparpillés, de tous ses rêves écrasés.


A WIZARDING GENEALOGY

— chronologie ;

trigger warning : usage & abus de drogue, détournement de mineur.

10.10.98 Son premier cri fut poussé sous un ciel pluvieux. Jun était attendu, quoique d'abord pas espéré - surprise du sort, la famille possédait déjà un premier trésor, lui qui deviendra plus tard ombre au tableau. Ayato qu'on l'appelait, de cinq ans son aîné, déjà, refusait de voir sa place être partagée.

avril 2006 Son premier jour d'école se portait de milles émotions. Jun aurait bien pu s'évanouir, en voyant l'hésitation des yokaï, dans la crainte furtive de n'être acceptée nulle part. Si jeune, il avait peur, déjà, peur de décevoir.

2007 "Ici, c'est moi qui brille, Jun. Toi...toi, plus tard, tu gratteras le papier."

Ayato n'était plus. Désormais, on en connaîtrait Starlord. Starlord, Hiroto, Elliot et...Seiji. À eux quatre, d'ici quelques années, ils ravageraient le monde - son père en était convaincu. Jun les observait, depuis un coin de la pièce. L'œil brillant d'envie.


2010 Une fois de plus, dans l'ombre, Jun observe le monde briller. Son frère et ses quatre acolytes, petit acte d'abord, première partie de la tournée d'Akira Sawada. La fierté de la famille. Quant à lui ? Il le sent de plus en plus, même du haut de ses douze ans. Plus tard, la charge de coordonner tout ce beau monde retombera sur ses frêles épaules.

mars 2015 "Fils, il serait temps de parler de ton futur."

Des mots comme une chape de plomb. Au fond, ce futur, il le connaissait déjà - ses BUSEs en poche, il était désormais l'heure de le confirmer, l'affiner. Jun ne savait pas s'il en voulait, sans avoir non plus le choix. Ayato - pardon, Starlord - devenait doucement coqueluche des foules, en compagnie de ce groupe dont il se voulait l'idole, nouvelle perle du label familial. Modest, sans aucune trace de modestie. Un jour, il l'avait compris, il lui faudrait en tirer les ficelles.


octobre 2015 Un baiser anonyme, baiser masqué, posé lâchement sur les lèvres d'un Seiji qui ne se doutait de rien. Effrayant, mais dangereusement libérateur. C'était la première fois, pour lui, qu'un garçon faisait ainsi réagir son pauvre cœur. Il ne se passerait rien. Mais au fond, Jun ne faisait que suivre ses conseils.

avril 2016 C'est la gorge un peu serrée que Jun pousse les portes, pourtant familières, de l'école, ce jour-là. Le cycle supérieur, la confirmation. L'enfermement dans un futur que l'on a choisi pour lui. Regarder en arrière lui semble impossible.

2018 (tw : usage & abus de drogue, détournement de mineur) On hurlait, criait de partout. Une fois de plus, Starlord se trouvait en couverture de tous les journaux, cette fois décrié, cette fois dénoncé. Une idiotie. Une fan obsédée qui avait menti sur son âge, plaidait-il. Et, de son ego blessé, avait offert aux Internets une hémorragie d'images impardonnables : le nez dans la poudre, le regard éteint, jusqu'aux impensables, jusqu'aux vidéos tirées d'instants intimes, avec celle qu'il disait ne pas savoir trop jeune. Pour lui, comme pour tous ceux qui l'entourent, voilà l'explosion, le début de l'enfer. Depuis sa maison parcourue par les cris, Jun observe, doucement, tout son monde s'écrouler.

2021 (tw : usage & abus de drogue) Presque trois ans. De procès incessants, de passages en tribunaux qui n'en finissent plus, pour le frère déchu. Ayato tente de faire profil bas, la tête trop noyée dans la substance, et le nom de sa famille traîné dans la boue, le nom à reconstruire, le nom déshonoré. Les temps ont été durs, pour ceux qui n'y pouvaient rien. La famille, poursuivie pour les fautes de l'un d'entre eux, a du changer d'adresse. Se battre, encore et encore, pour voir son nom racheté, son prestige reconstruit. De procès en procès, il lui semble, pourtant, commencer à en voir le bout - quant à lui, le déchu ? C'est à peine si on le regarde. Il ne mérite pas mieux.

« the life and lies of (prénom du personnage ici) »
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{#}1{/#} -- modest! labels L'affaire familiale, porteuse de succès. Modest! a l'ironie de ne porter aucune modestie, mais au contraire, de gonfler ses têtes pensantes d'une fierté un peu trop grande, peut-être, de privilégier avant tout le futur du label. Depuis toujours, le destin de Jun a été d'en reprendre la tête, lorsque viendra pour Hideyoshi Matsui l'heure de la retraite. Jun est le cadet, pourtant, le second enfant - celui qu'on aurait voulu protéger. Mais l'aîné des enfants Matsui voulait briller. Se voulait étoile, et a toujours refusé ces responsabilités écrasantes que l'on s'est, alors, vu offrir à son petit frère.

{#}2{/#} -- starlord (tw : drug use) Ayato a toujours été une ombre immense au-dessus de lui. Il se voulait le soleil, le plus brillant de tous - Starlord surpasse le reste du monde. Centre de la Terre. Vite, Jun l'a compris, entendu de sa bouche : lui serait fait pour briller, le petit frère n'avait plus qu'à gratter le papier. Un esprit égocentrique et pervers qui, porté au sommet, devint acteur de sa propre chute. Aujourd'hui, "Starlord" n'est plus que l'ombre d'Ayato, de tribunal en désintox', la tête jamais hors de l'eau assez longtemps pour voir le mal fait autour de lui. Depuis toujours, au fond, Ayato est, pour Jun, celui qui lui gâche la vie.

{#}3{/#} -- The Aftermath Après des débuts timides en 2010, le band, composé de quatre membres (Starlord, Hiroto, Seiji et Elliot), prit un tel coup d'éclat en quelques années qu'il devint la production la plus populaire des labels familiaux. Connus dans le monde entier, Jun les a toujours regardé briller de loin, parfois envieux, souvent jaloux, mais toujours silencieux. 2018 les voit tout à fait éclater, sombre sans possibilité de retour, face au scandale gargantuesque dans lequel se voit empêtrer le chanteur principal et guitariste du groupe, lui qui s'accaparait toute l'attention...et n'était nul autre que Starlord, l'aîné des garçons Matsui. Le début d'un cauchemar judiciaire dont la famille commence à peine à voir le bout.

{#}4{/#} -- dreams Y en a pour lui, Ayato, pour eux, le groupe, pour ça, le label. Y en a pour plein de choses. Et Jun, dans tous ça ? Jun aurait parfois préféré ne rien en savoir. Au fond, toujours il a rêvé de voir son frère abandonner la musique pour prendre la place qui lui revenait, le libérer de l'écrasante obligation. Un espoir écrasé en même temps que l'image de l'aîné. Aujourd'hui, le nom de la famille éclaboussé plus que jamais, Jun observe, anxieux, s'approcher de plus en plus le jour où il devra reprendre les rênes d'une compagnie toujours à redresser. Il aimait la musique, il aimait les notes, sans avoir à y lier l'assommante bureaucratie, toute la gestion, et les chiffres ennuyeux. Aimerait connaître la douceur d'un quotidien où rien ne l'attend. Trop loyal, pourtant, n'en fera rien : après tout, désormais, l'avenir, c'est lui.

{#}5{/#} -- Miscellanous Jun adore la couleur orange, sous sa forme pastel - quelque part près d'un coucher de soleil. ☆ People pleaser, il est parfois très agaçant de ne pas savoir ce qu'il pense réellement - on aimerait qu'il donne plus facilement son véritable avis. ☆ Récemment, il alterne entre l'étouffante maison familiale, située à Nawa, et le studio qu'il a récemment pris à Hinaï (pour avoir mon espace, a-t-il négocié). ☆ Heureux propriétaire d'un moon rabbit, grâcieusement (ou pas) nommé Billy. ☆ Les soirs de semaine, on le trouvera souvent installé à son bureau, une cup de daemon ramen à moitié vide près de lui, le nez dans les livres, avec, non loin, un cendrier plein à ras-bords. ☆ Ice cream enthusiast, il pourrait en manger en continu sans se lasser. ☆ Ses séries préférées sont One Spell Away et Attack on Oni. ☆ S'il suit un cursus d'économie et gestion, Jun a, en plus, quelques cours liés à la musique : après tout, quitte à reprendre le business familial, il vaut mieux qu'il sache faire autre chose que s'occuper de finances et de contrats. Son père tente également de lui inculquer son savoir musical et entreuprenarial, depuis de nombreuses années.



My life as a muggle
HJ bjr bjr, moi c'est rose, j'ai 20 ans (j'me sens grande mais askip j'suis un bébé), étudiante en histoire débordée, nct trash et rpgiste dans l'abus et la faiblesse constants  :pedro: j'aime le rose et les ours, et sinon c'est tout pour moi,,,j'espère que el bebito vous plaira !!  :potte: (ps : non contentes de monter un forum super BEAU, l'univers est tellement riche développé et complet omg ??? j'avais la flemme de lire les annexes mais au final j'ai dévoré, puis j'me suis tapé un sacré fou-rire devant certaines parties sur les oeuvres sorcières, genre...la comédie sorcière...j'aime vos cerveaux)
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Niu Qiū
ft. kim chaewon (iz*one), unravel

A BRIEF HISTORY OF TIME

— prénom & nom ; niu qiū
niu, prénom aux sonorités étrangères par rapport à son lieu de naissance qui rappelle ses origines. elle l'aime beaucoup et se plait à l'entendre de la bouche de son entourage. pendant un temps, elle détestait qu'on l'appelle comme ça et demandait à ce qu'on utilise son nom de famille qiū. nom de famille qui ne laisse planer aucun doute sur ses origines chinoises. elle le chérit, l'adore et le porte avec fierté. il a été pendant quelques années, le seul vestige de ce père à qui elle a été arrachée.


— naissance & âge ; 26.10.2001, tokyo, japon
née en octobre, niu est un petit scorpion de 19 ans tentant de se faire une place dans ce monde. place qu'elle trouve difficilement au côté de son père qu'elle n'arrive pas à appeler papa. elle a vu le jour dans la capitale du pays du soleil levant, auprès d'une famille aimante et chaleureuse. enlevée à sa terre natale et à sa seule famille restante, elle a vécu quelques années à hong kong aux côtés de la famille de sa mère décédée.


— nationalité ; chinoise
nom de famille qui souligne ses origines chinoises qu'elle arbore fièrement. origine qu'elle tient de son père. de sa mère dont elle n'a aucun souvenir, elle tient ses origines hongkongaises. ville dans laquelle elle a grandi pendant quelques temps loin de son pays natal, elle est heureuse d'être de retour. pour rien au monde, elle ne partirait à nouveau, se sentant enfin chez elle.


— baguette ; 17,5 cm, sycomore, plume de phénix
baguette légèrement plus petite que la moyenne, cette dernière convient très bien à la main minuscule de niu. faite de bois de sycomore, souple et facile à manier, elle s'accorde parfaitement au désir de sa propriétaire avide de découvertes et d'expériences. dotée d'une plume de phénix, la baguette réagit bien à toutes les commandes de niu. si elle devait parler de ce bout de bois, elle dirait que c'est une extension de son bras et de sa magie.


— maison, groupe ;kaze
loin d'être une évidence pour niu, le silence a suivi son arrivée devant les yokaï. effrayée par ces statues, fermant les yeux pour faire taire cette peur qui lui comprimait les entrailles, elle ne les a rouvert que lorsqu'un vent frais et réconfortant a réussi à apaiser son cœur. réalité ou imagination, niu ne saurait dire. mais la voilà étudiante dans la maison du vent.


— occupations ; brigade de police magique ; tirc à l'arc
en 2e année pour devenir un membre de la police magique, elle cherche l'adrénaline que cela fournira dans l'avenir. très assidue pendant ses cours, mais loin d'être la meilleure, elle excelle dans certaines matières (profilage, sport, duels) mais a du mal à tenir la distance au niveau du droit.
membre du club de tir à l'arc depuis son entrée, n'ayant pas spécialement envie de faire parti d'un autre club, elle a choisi celui là. de plus, le fait que ce soit en extérieur et qu'elle l'avait pratiqué en version moldue, l'a aidé dans son choix.


— situation financière ; confortable
ayant bien compris que son père avait mis de côté pour elle, niu est économe, ne demandant de l'argent que lorsqu'elle en a réellement besoin. elle n'est pas à la pointe de la mode, pas plus qu'elle ne veut de choses chères. elle se complait dans un rythme de vie moyen. puis elle aimerait que son père se fasse plus plaisir et pense moins à elle.


— orientation & statut civil ; aucune idée
jusqu'à maintenant, ce genre de choses ne l'a jamais intéressé, bien trop occupée à réviser ses cours et à s'entrainer pour devenir une meilleure sorcière. elle n'a donc aucune expérience dans le domaine et ne pense même pas avoir été amoureuse une seule fois. peut-être qu'un jour cela changera, mais ce n'est pas dans ces projets.


— particularité(s) ; aucune
lorsqu'elle voit les autres autour d'elle, niu se plait à n'être qu'ordinaire. ainsi, elle peut vivre sa vie sans avoir peur d'un pouvoir qu'elle ne peut pas contrôler.
 

— amortentia ; mangue ; livre ancien ; parfum inconnu
les deux premières senteurs viennent tout droit de ce que niu aime le plus au monde. la mangue est le fruit dont elle ne peut se passer, pouvant même se nourrir que de ça. les livres anciens ont une odeur reconnaissable parce qu'ils sentent le renfermé, le vieux et surtout de quelque chose qui a vécu. pour la dernière senteur, ne l'ayant jamais senti, elle ne peut mettre un mot sur ce que c'est. ça ne l'a jamais intéressé de trouver d'ailleurs.


— patronus ; chouette
bien qu'elle ne l'ait fait apparaitre qu'une seule fois et une forme plutôt floue, elle a reconnu la forme de la chouette. après quelques recherches elle a découvert que la symbolique de la chouette était liée à la magie, la clairvoyance, la sagesse, ainsi que le discernement et la capacité de voir et d'entendre ce que les autres ne perçoivent pas. elle est l'aigle de la nuit. cette description lui plait bien. et elle espère un jour arriver à la faire apparaitre entièrement et correctement.


— épouvantard ; son père mort
ayant déjà perdu sa mère, dont la perte lui a fait effacé la plupart de ses souvenirs, ce qui effraie le plus niu est de perdre son père également, le dernier pilier de sa vie. elle ne le supporterait pas. bien qu'elle ne l'avouera pour le moment pas, elle l'aime cet homme plus que tout au monde.


— risèd ; sa famille complète
bien que son cerveau ait bloqué les souvenirs concernant sa mère, niu connait son visage à cause des photos qu'elle a vu. ainsi, elle peut aisément imaginer ses parents heureux ensemble, à la cérémonie de remise de diplôme ou alors lors de la prise de ses fonctions dans la police magique.



« sonnets of a sorcerer »
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fière - à l'écoute - persévérante - aventurière - assidue - observatrice - économe - rancunière - franche - un peu naïve - affectueuse - tactile - ambitieuse - perfectionniste - impulsive - rêveuse - parfois réservée - râleuse - organisée - pragmatique - prévoyante - souriante - passionnée - rusée - vraie - bavarde - hésitante - obstinée - complexe - jalouse - possessive - casse cou - curieuse - sincère - gourmande - têtue - bornée - timide - économe.



A WIZARDING GENEALOGY

— chronologie ; 26.10.2001
naissance de niu au japon de parents adolescents. elle ne manque de rien, aimée et protégée par deux enfants. elle n'a aucun souvenirs de cette époque bien trop jeune pour que ce soit le cas. cependant, elle sait qu'elle a été aimée et qu'elle était heureuse avec eux. si elle n'a pas d'images précises en tête, elle se rappelle de sensations. de la douceur, de l'amour, de la gentillesse et cette voix qui résonne à ses oreilles dans les mauvais moments. voix qui appartenait à sa mère et qui lui chantait des berceuses pour qu'elle s'endorme plus facilement le soir. encore maintenant, des années après, niu l'entend ou croit l'entendre quand elle ne va pas bien. fantasme ou réalité, encore une fois c'est un mystère.


2005 tw ; mort, sang ;
4 ans après sa naissance, niu perd sa mère, son repère, la femme de sa vie. elle ne comprend pas très bien ce qui se passe, pleure sans s'arrêter, la réclamant encore et encore. la petite a assistée à la mort de sa mère, traumatisme bien trop grand pour son cerveau, il bloque la totalité de ses souvenirs d'elle. elle ne se souvient que de la couleur du sang, ce sang qui lui fait maintenant peur. niu ne sait pas comment faire pour surmonter la mort de cette personne tant importante dans sa vie. elle s'enferme dans le silence quelques temps, les pleurs étant son seul moyen de communication. elle qui marchait, parlait, était propre et avait tout d'une grande fille, elle régresse, redevenant un bébé, quelqu'un qui a besoin qu'on prenne soin d'elle. ils quittent le japon pour retourner à hong kong. niu ne se rend pas forcément compte de ce qui se passe. la vie suit son train quotidien et malgré qu'elle n'ait pas connaissance du monde magique, ses pouvoirs se réveillent et ils rentrent au japon. son père s'installe alors avec son meilleur ami, bagheera et ils élèvent la petite ensemble. elle retrouve un équilibre même si la présence féminine de sa mère lui manque. mais elle est heureuse avec eux, plus qu'elle ne le dirait. elle les aime tous les deux très fort, plus qu'elle ne pourrait le quantifier. ils sont sa vie, ses piliers. elle entre à l'école, mahoutoko. c'est grand, beaucoup trop grand pour la petite fille qu'elle est. elle ne se rend pas encore compte que cette école va être le lieu où elle deviendrait une grande sorcière. pour le moment, elle écoute simplement ses cours, se concentrant sur son projet, rendre fier son père.


2010 tw ; kidnapping ;
elle pleure, crie, réclame son père. niu ne comprend pas ce qui s'est passé. pourquoi n'est-elle plus auprès de son papa ? pourquoi sa poupée qui vole n'est plus à côté d'elle ? pourquoi n'a-t-elle plus le droit de voir son père ? elle ne saisit pas la situation. elle n'est pas trop petite pour la comprendre, mais elle est bien trop jeune pour pleinement se rendre compte qu'elle vient de se faire kidnapper. niu ne veut pas vivre avec ses grands parents. elle veut retrouver papa et bagheera... elle ne veut pas changer de pays. elle veut rester au japon. mais niu n'a pas le choix. elle suit donc ses grands parents, pleure en silence. crier et réclamer son père ne changera rien, elle l'a bien compris. encore une fois, elle se retire dans un mutisme volontaire. si elle ne peut pas vivre avec son père, elle ne parlera pas aux parents de sa mère. seulement, ce n'est pas à elle qu'elle est confiée, mais à son arrière grand-mère. niu est encore plus perdue. elle ne comprend pas ce qui se passe. cependant, avec elle, le courant passe bien. elles s'entendent bien et la jeune fille sort de son mutisme. elle reprend des couleurs, se sociabilise un peu plus.


2011 tw ; mort ;
une sorcière ? son arrière grand mère est comme elle. niu apprend énormément de cette femme, de nanny. elle l'aime beaucoup et elle retrouve ce qui lui manquait avec la mort de sa mère, la présence d'une femme. bien entendu, ce n'est pas sa mère mais nanny fait tout pour que l'enfant se sente chez elle et bien. elle lui parle même de son père, sujet tabou pour ses grands parents, un sorcier comme elles. père dont elle a été arrachée. tout le monde lui a dit qu'il était mort. seulement au fond d'elle, niu n'arrive pas à y croire. il ne peut pas être mort. elle se souvient de la dernière fois qu'elle l'a vu. il dormait. mais était-il réellement endormi ? ou était-il mort ? elle ne savait pas. mais elle espère qu'il va bien et qu'il est heureux. elle se surprend à parler à ses parents le soir, leur raconte sa journée, comme s'ils pouvaient l'entendre. elle leur souhaite bonne nuit chaque soir et bonjour chaque matin. ils lui manquent, mais elle ne peut pas faire autrement. elle doit vivre sans eux. niu continue alors d'apprendre la magie, dans le dos de ses grands parents, par correspondance. elle se perfectionne dans quelque chose qui la passionne. elle ne comprend pas encore tout, mais elle aime ce qu'elle fait. c'est une nouvelle façon d'étudier qui s'ouvre à elle, et sans savoir pourquoi, elle ne l'aime pas vraiment. ses amis lui manque, ses professeurs aussi. cependant, elle se sent entière, totalement elle-même, comme si elle avait retrouvé quelque chose qui lui manquait.


2015
un homme entre chez nanny. il semble bouleversé, niu n'y fait pas plus attention que ça, reportant son attention sur son dessin. elle n'entend pas ce qu'ils se disent, mais ce n'est pas grave, elle ne cherche pas à savoir. ce n'est pas rare que nanny reçoit des gens qu'elle ne connait pas chez elle. niu vaque donc à ses occupations comme elle l'aurait fait avec n'importe qui. seulement, la voix de nanny s'élève, l'appelant. l'adolescente relève la tête de son dessin, pose les yeux sur cet inconnu et croit reconnaitre certains traits. il ne lui est pas inconu mais elle n'arrive pas à savoir où elle l'a vu, ni même quand. niu cherche dans ses souvenirs, se bat avec cette mémoire qui lui est défaillante et finit par abandonner. elle n'avait plus accès à ses souvenirs et elle haussa les épaules attendant que nanny lui dise qui était cet homme. son père, un murmure soufflé comme si la vieille femme avait peur de lui faire peur, de faire remonter à la surface de sa conscience des choses qu'elle avait enfoui en elle. niu le regarde, la tête penchée sans parler. son père est en vie. son cerveau a du mal à se faire à l'idée et elle lui sourit timidement. que pouvait-elle faire de plus ? elle n'était plus une enfant. elle n'allait pas lui sauter dans les bras. cependant, ce n'était pas l'envie qui lui manquait. mais quelque chose l'en empêchait et elle ne saurait dire quoi. peut-être qu'elle avait encore du mal à réaliser ? peut-être qu'elle aurait préféré qu'il ne vienne jamais la chercher ? peut-être qu'elle n'était pas si heureuse que ça ? trop de sentiments qui se mélangeaient en elle et la jeune fille se met à pleurer. des larmes de joie de le retrouver, de tristesse parce qu'elle va devoir se séparer de nanny, et d'angoisse. qu'allait-il lui arriver, leur arriver maintenant ?


2020
5 ans sont passés depuis qu'elle est de retour au japon en compagnie de ce père dont elle avait été séparée pendant cinq ans. ils apprennent à vivre ensemble, à se redécouvrir, mais niu sent que quelque chose ne va pas. elle n'est plus une enfant et il n'arrive pas à se faire à l'idée. elle avait neuf ans quand ses grands parents l'ont enlevé, et maintenant, elle en a dix de plus. ils ne savent pas réellement communiqué. lui aimerait retrouver sa petite fille, mais elle n'est plus. niu a grandit, elle est une femme maintenant. il faudrait qu'il l'accepte. mais c'est compliqué pour lui. encore plus quand il doit la laissé partir faire ses études. niu est une étudiante maintenant pour rentrer dans les forces de police magiques. elle est retournée en cours à mahoutoko dès qu'elle est rentrée au japon avec son père. elle étudie plus que n'importe qui pour réaliser son rêve. elle veut éviter un nouvel accident comme avec sa mère. elle veut offrir un monde sécurisé à tout le monde, sorcier comme moldu. utopique, elle le sait, mais niu est une grande rêveuse et elle sait qu'elle y arrivera un jour.


« the life and lies of (niu) »
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pluie de printemps -
toute chose
embellit.
bien que d'apparence frêle, niu ne l'est pas vraiment. elle a appris à se défendre, à se battre autant physiquement que pour ses convictions et ses valeurs. étant une sorcière, elle n'a pas réellement besoin de savoir utiliser ses poings pour se défendre. mais elle a pensé à l'éventualité qu'elle tombe sur un moldu. elle se devait donc d'apprendre à se défendre. elle a donc pris des cours de boxe et d'initiation à pleins d'arts martiaux. il ne faut donc pas se fier à son apparence douce. de même quand elle débat de quelque chose qui lui tient à coeur. elle n'a pas forcément tout le temps raison, mais si elle pense que c'est le cas, elle soutiendra sa pensée contre vents et marrés.


parfois les nuages
viennent reposer les gens
d'admirer la lune

ayant passé quelques années dans le monde moldu, niu est très friande de leur musique. elle dira qu'elle la préfère même à celle du monde magique. cependant, elle n'est pas fermée à ce qui l'entoure et pourra même trouver du réconfort dans des musiques de sorciers. ça l'apaise et elle en écoute énormément, notamment le soir, allongée dans l'herbe, le regard rivé vers le ciel. c'est quelque chose qu'elle a développé, une façon pour elle de communiquer avec sa mère. elle écoute la musique, chantant parfois à la lune ou parlant pendant des heures aux étoiles. elle n'est pas bizarre, juste un peu décalée quand ça concerne sa mère.


the love between
a father and a daughter
knows no distance
et pourtant, c'est le cas. niu, même après cinq ans de retrouvailles ne sait pas l'appeler papa. il l'est mais il y a une barrière quelque chose qui l'empêche de le faire. ce n'est pas faute d'essayer, mais elle n'y parvient pas comme si ces cinq années avaient cassé quelque chose. comme si ce n'était pas réel. il lui a manqué et lui manque toujours, mais c'est différent. elle ne peut l'expliquer. même en parlant à nanny, elle n'a pas réussi à mettre des mots sur ce qu'elle ressentait. niu est bien plus perturbée par ces retrouvailles qu'elle ne le laisse paraitre. elle sourit toujours, fait comme si tout allait bien. mais quelque chose en elle est bloqué et elle n'a pas réussi à trouver la clé.


it's all about pain
the ink is just
a souvenir

sa mémoire est comme une page de parchemin vide. elle a oublié beaucoup d'éléments de son passé et a peur que cela se reproduise. ainsi, elle a donc un carnet, offert par nanny qu'elle emporte partout avec elle, rajoutant magiquement des feuilles au fur et à mesure qu'elle écrit. niu est effrayée à l'idée de perdre encore des souvenirs. ainsi, elle a décidé de faire marquer sa peau. elle n'a pas grand choses d'écris, seulement des dates, trois pour être exact : des dates de naissance, celle de sa mère, de son père et la sienne. trois dates extrêmement importantes à ses yeux et qui lui rappellent encore et toujours ce qu'elle a et ce qu'elle a perdu. ce tatouage est inscris sur ses côtes du côté gauche, côté de son coeur. et à l'intérieur du poignet gauche, elle a nanny tatoué parce que c'est une personne aussi importante à sa vie. niu a également les oreilles percées et différentes sorte de piercings à cet endroit.


anecdotes
#1. niu a deux phobies qu'elle n'arrive pas à contrôler. la première et sûrement la plus importante est celle du sang. elle ne se souvient pas de la mort de sa mère mais elle se souvient du sang. elle est tétanisée à chaque fois qu'elle en voit. c'est un handicap concernant son choix de métier, mais elle essaie d'y faire face. la seconde a un rapport avec les animaux, notamment les araignées. ces petites bêtes lui hérissent le poils et la font hurler de peur. #2. couche tard et lève tôt, la jeune femme n'a pas besoin de beaucoup d'heures de sommeil. pour elle dormir est une perte de temps parce qu'elle ne peut pas réviser si elle le fait. elle dort donc entre 5 et 6h dans les grosses nuits. il peut lui arriver de faire des nuits blanches, mais cela reste très rare. elle a du mal à suivre ses cours après. #3. pour faire honneur à son père, niu a essayé de voler sur un balai. mauvaise idée. pire idée de sa vie. ses jambes se sont mises à trembler, sa vision à se flouter et elle a pleuré devant tout le monde. c'est ainsi qu'elle s'est rendu compte qu'elle avait le vertige. à la place, elle a appris le tir à l'arc. #4. la jeune femme a cousu à la main une poche sur le devant de chacune de ses tenues d'uniforme, parce qu'elle transporte avec elle un animal de compagnie, un botruc qu'elle a appelé lev. elle ne se souvient plus de comment leur relation a commencé mais il est apparu quelques mois après qu'elle soit arrivée chez nanny. elle l'a d'abord caché à son arrière grand mère avant de le laisser faire sa vie. #5. rapidement gênée ou timide, niu se cache derrière ses cheveux et doit donc les replacer derrière son oreille quand elle parle à quelqu'un. elle fronce aussi énormément le nez quand quelque chose la tracasse. elle se replie dans le mutisme dès qu'elle ne va pas bien. il lui faut alors quelques jours pour aller mieux. #6. très grande lectrice, elle passe beaucoup de temps dans la bibliothèque. elle lit assez vite et malgré la présence d'outils qui peuvent lui permettre de lire plus rapidement, elle préfère la version moldue de la lecture. elle y trouve plus de satisfaction.



My life as a muggle
HJ marion, 27 ans, j'ai découvert le forum par partenariat il me semble, mais ensuite, on me l'a vendu et finalement j'ai craqué. j'ai des chaussettes blanches avec le nom du jour écris sur la plante :shame:. c'est mardi :hehe:. et sinon y a pas grand chose à dire, juste que le forum est vraiment magnifique :lian: bravo à vous :sry: !
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Raphaël De Vincent
ft. Diego Barrueco, Tumblr, Neverland, google

A BRIEF HISTORY OF TIME

— prénom & nom ; Raphaël De Vincent De Vincent, oui oui, comme la célèbre famille aristocratique d’Angleterre, bien connu de tous. Certains les admirent, d’autres les craignent. A vous de choisir.

Raphaël faute de mieux. Ses parents manquaient sans doute d’imagination. Ils avaient tout donné pour son frère et sa sœur. Le plus souvent surnommé Raph, parce que ça fait plus court et un peu moins angélique aussi.


— naissance & âge ; 01 11 1990, Londres Né sur la propriété familiale, comme les autres enfants.

— nationalité ; Sang -pur, Anglais avec des origines européennes diverses.

Le terme de Sang-pur a-t-il encore du sens ? Surement pour les vieilles et vieux aristos coincés qui composent sa famille et quelques autres. Ceux-là même qui vivent encore dans un monde où la femme reste à la maison à s'occuper des gosses, où le premier fils à l'ascendant sur ceux qui suivront, où faire preuve de sentiments équivaut à étaler ses faiblesses. Des visions étriquées d'une époque dépassée qui lui donne envie de vomir.


— baguette ; 33 cm, bois d’aubépine et et plume de phénix, relativement souple.

À l'image de son propriétaire emporté et complexe, cette fichue tige de bois peut se montrer particulièrement capricieuse. En effet, s’il paraît naturel que l’humeur et l’état mental de son détenteur influx de manière conséquente sur son bon fonctionnement, dans le cas de Raph, cela peut le conduire à faire des étincelles, au propre comme au figuré. Par ailleurs, il s’avère aussi que comme celui-ci, cette charmante baguette ait parfois la flemme de faire quoi que ce soit.


— maison, groupe ; Ancien Serpentard, Senseï

Ancien Serpentard et fier de l’être, à la réputation quelque peu sulfureuse. La rumeur laissait entendre que cet élève brillant, bien qu’un poil irrespectueux avec une tendance à la provocation, s’amusait à séduire certaines élèves d’autres maisons. Par ennui ou dans un but précis ? Seul l’intéressé pourra vous le dire.

Senseï ? Vraiment ? Qui aurait pu deviner qu’il allait devenir prof ? Certainement pas lui. S’il s’occupe principalement de la classe de Sortilège, il avoue être assez fasciné par la métamorphose.


— occupations ; Sensei, Joe l'incruste, Quidditch, Ovni Sensei : Il aimerait prétendre qu’enseigner lui prend tout son temps, mais ce n’est manifestement pas le cas. Même si cette activité s’avère particulièrement chronophage, il doit avouer disposer d’un peu de temps libre, trop peut-être.

Concernant sa façon d’enseigner ? Disons qu’il oscille entre exigeance, tradition et nouveauté. Ca vous aide, hein ?

Joe l’incruste : Sinon, il s’amuse régulièrement à s’incruster dans les cours des autres professeurs. Quant il y a beaucoup d’élèves, ils mettent généralement du temps à le répérer. Par ailleurs ça lui permet d’apprendre autant d’un point de vue de méthode d’enseignement, que sur ses collègues ou sur les élèves.

Quidditch party : Ancien batteur de l’équipe de Quidditch de Serpentard à l’époque, il assiste régulièrement aux matchs et entrainements. Ca passe le temps et c’est assez drôle à regarder.

Ovni : Il aime bien les objets moldus et surtout leur inventé une vie qui n’a généralement rien à voir avec leur usage de base.


— situation financière ; Du genre fauché Il exagère à peine. C’est pas son métier qui lui rapporte grand-chose et il se demande assez régulièrement où part l’argent. "Gallions gallions ? Petits petits ? Où êtes vous ?"  Bien qu’issue d’une famille fort aisé, son frère et sa sœur se sont arrangés pour lui bloquer l’accès aux ressources familiales.

— orientation & statut civil ; Hétéro confus, traumatisé et traumatisant Il a suffi d’une fille, une seule. Rencontré par erreur et qui s'est incrusté jusque dans les tréfonds de son coeur. Une trace indélébile. Pas comme un tatouage mais plutôt une cicatrice, qui prouve que foncièrement à un moment, ça a dû faire mal. Et mal, c’est peu dire.

Déjà traumatisé par la violence de son frère, il avait néanmoins fallu que par manque de chance, il croise la route d’un autre monstre avant celle de cette jeune fille. Méfiant et brusque, la patience et douceur avait officié comme bouée de sauvetage.

Mais qui dit contaminé, dit contaminant. Et les éraflures ont la vie dure. Aussi leur relation bien trop intense et dévorante était ponctuée de fractures. Et surtout, elle était mal vue. D'amour en écueil, de langueur en longueur, il avait fini par couper la corde qui les retenait l’un à l’autre. Vaut toujours mieux sauter dans le vide que d’attendre qu’on vous y pousse.


— particularité(s) ; Jeune et célèbre De par sa famille régulièrement sous le feu des projecteurs, son nom ne laisse que rarement indifférent. Il n’apprécie d’ailleurs que très peu d’être reconnu et accosté par des gens en manque de célébrités. Ce qui s’y risque son rarement déçu.

Il fait généralement plus jeune que son âge. Ce qui peut être un avantage comme un inconvénient. Il passera facilement pour un étudiant, pourra créer un cercle social relativement jeune mais manquera inévitablement de crédibilité aux yeux de certains.
 

— amortentia ; Son parfum à elle, les livres, le sucreSon parfum à elle, un mélange de tout et de rien, de vie et d’ailleurs. Là où tout est confortable et sécurisant.

L’odeur des livres. Vieux ou neuf, d'occasion, malmené ou bien conservé, ils ont tous une odeur qui leur est propre.

Les aliments sucrés. C’est un ventre sur pattes qui pourrait monter sur le balai du premier venu qui lui en proposerait. Gâteaux, tartes, mignardises, bonbons, chocolats, il n’est pas très difficile.


— patronus ; Une mouffette sauvage.  Oui lui aussi ça l'a surprit. Il s'était imaginé un animal un peu plus prestigieux, mais bon du moment qu’elle fait son taf.

— épouvantard ; Son frère.  Une silhouette aux contours flous qui sort de l’obscurité et qui se précise un pas après l’autre. Regard, voix froide et tranchante. Peu importe ce qu’il tient, c’est toujours une menace. Coup de baguette cinglant le visage, sort jeté à la volée ou objet traversant la pièce à destination de sa personne, c'est toujours trop réel.

— risèd ; Une famille.D’abord ses parents, parfois son frère et sa sœur, de l’époque d’avant, quand ils étaient plus jeunes et qu’ils s’entendaient encore un peu. Et puis cette fille, toujours elle, main dans la sienne. Parfois le ventre arrondit, d’autres fois avec un enfant dans les bras, où même juste plantée là, avec des promesses plein le regard.


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« J'ai les fantasmes d'un ado et l'aigreur d'un p'tit vieux. Tout ce que je voudrais, c'est trouver un juste milieu » J'essaye, j'essaye - Orelsan

Qualités : Empathique, Attractif, intelligent, intuitif, drôle, sociable

Défauts :  Impatient, colérique, Rancunier, abrupt, impulsif, têtu

"Dis-moi, c’est quand le bonheur ? C’est pas quand mais c’est quoi. C’est le quoi le bonheur ? Le bonheur c’est qu’un mot que tu connaitras jamais, un peu comme quand on t’a pété les deux jambes et que t’envies ceux qui vont marcher. C’est l’objectif ultime que tu n’atteindras pas, parce que t’as loupé le panneau qui t’indiquait que c’était à portée de bras."



A WIZARDING GENEALOGY

— chronologie ; « Mais jme rappelle que jme rappelle pas d’avant ma naissance » Elle viendra quand même- Orelsan

1er novembre 1990

Soir d’orage, cris, pleurs et sang. Ni plus ni moins que la naissance d’un enfant. Une arrivée en grande pompe sous le signe du scorpion, dommage que derrière il fut ascendant poisson. Les parents s'étaient dit, au moins celui-ci, il sera pas trop complaisant. Et d’une certaine façon, ils avaient raison.

Tout le monde était là et voulait voir le garçon, un nouvel évènement dans leur vie comme si c’était le premier. Même le frère et la soeur s'étaient précipités. Manque de chance ou destin scabreux, l’enfant n’émit aucun son, pas même le bout du bout d’une ébauche de respiration.

Panique et agitation se firent dans l’assistance, ce jusqu’à que ce que la providence décida d’accorder sa clémence. Mais forcé de croire qu’on avait rien sans rien, ce n’était pas innocent mais plutôt dent pour dent, à presque cent pour cent. Et dans les années qui suivraient la famille apprendrait que c’était une vie pour deux.

« Un jour, tu me donnes la vie, puis l'autre, tu m'abandonnes. Si je cherche ton fantôme, comment devenir un homme » Pièces détachées -Gringe.

1er novembre 2000

Déambulé dans les couloirs comme un fantôme tellement la baraque était grande. Délirant. Comme si les murs se voyaient soudainement pourvus d’extensions. Comme si la soudaine absence de ses parents donnait à la demeure une allure distendue et fantomatique. Une maison qui n’en était plus une.

Angoisse et respiration saccadée tandis que la porte jusqu’à sa chambre continuée de s’éloigner. Comment l’atteindre, si elle ne faisait que se sauver ? Il aurait voulu lui crier de revenir. Mais depuis l’accident les mots restaient coincés dans le fond de sa gorge. C’était pas un coup du sort mais bien un état de choc qui avait mis sa parole sur pause.

Bref moment de répit en atteignant la pièce. Lumière et objets familiers qui lui accordaient bienveillance et moment de sursis. Parce qu’évidemment, à s’apercevoir que la douleur se taisait, il savait d’avance que ça n’allait pas durer. Enfoui sous les couvertures ou roulé en boule à côté, ça empêchait pas le film sous ses paupières de se rembobiner et de recommencer et de recommencer et de recommencer et de recommencer. Et de recommencer comme une journée sans fin qui cherchait à l’achever.

Crissement de pneus et vitre éclatés, c’est pas le monde mais juste l’habitacle qui basculait. Les objets volaient tandis que la tôle s’écrasait, le bruit déchirant du métal qu’on étripait résonnait dans ses oreilles comme autant de plaintes et de cris de douleur, inconcevable jusqu’à l’instant t. Des klaxons, des cris, parce qu’autour d’eux ça s’agitait et le noir total.

Plus tard il se demanderait comment une voiture ensorcelée avait pu se retrouver prise dans un accident typique et débile de moldus. Coup du destin ? Simple événement traumatique malsain ? Hasard ou préméditation ? La question resterait en suspens.

Si personne ne connaissait réellement le pourquoi du comment, son frère passé du statut d’héritier à celui de chef de famille autoproclamé, avait décidé pour eux. Unique survivant donc unique coupable. Comme si la culpabilité d’être celui qui restait n’était pas suffisamment écrasante pour un enfant de dix ans. Prit de court et sans point de retour, il en resta muet.

« Come on little girl, kiss me please et ferme ta gueule. Me laisse pas seul, j'ai froid. » Me laisse pas seul -Soan

Décembre 2005

Courir les deux pieds dans la neige, facile. Courir pieds nus dans la neige, moins facile.  Il avait quitté la maison avec tant de précipitation que sautée dans une paire chaussures paraissait de l’ordre du détail. Il n’aurait pas sur dire combien de temps sa course avait duré. Le jeune homme ne cherchait pas la performance mais bien à mettre le plus de distance possible entre lui et la maison.

Parce que son frère n’était pas le seul monstre à se tapir dedans.

Famille en pièces détachées ou famille de timbrés ? Toujours était-il qu’on ne lui laissait pas une minute de répit. Il n’avait la paix qu’à l’école et les vacances s’avéraient synonymes de supplice. Pourquoi revenir alors ? Parce que la pression imposée était bien trop forte. Parce qu’au fond, il n’avait dit à personne ce qui se passait. Personne ne connaissait l’envers du décor, la face cachée de sa famille médiatique et absolument parfaitement parfaite sous le feu des projecteurs. Seul contre tous ? À quoi bon. Il s'était construit une image différente, une réputation qu’il tenait à conserver. Il imaginait que montrer ses faiblesses n’était pas très vendeur.

Mais ce jour-là, ce n’était pas la question. Mordu et scié entre le froid et sa course, il avait trouvé refuge aux abords d’une vieille ferme. Une grand poussiéreuse dont ne personne ne gardait l’accès, un endroit parfait.
Il était resté là trois jours.

Et puis, elle avait surgi sans prévenir. Hurlements et grosse frayeur au rendez-vous. Recroquevillé dans un coin, il avait hésité à partir, mais pour aller où ? Il ne savait pas si c’était son immobilité de statue ou son air désespéré qui avait fait mouche. Toujours était-il qu’elle avait choisi de l’aider et par la suite de l’aimer aussi.

« Abattu par la fatigue d'avoir rien branlé. Le projet c'était d'rien foutre, et j'ai aucun plan B » Regarde comme il fait beau – Casseurs Flowters.


1er novembre 2010

Le clappement de fin de ses études avait sonné comme un mauvais réveil. Si on l’avait maintes fois encouragé à envisager diverses professions, à s’orienter, il n’en avait fait qu’à sa tête. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il ne parvenait à se projeter nulle part, si ce n’était avec elle. Or, être avec quelqu’un n’était pas vraiment un plan de carrière. De même, qu’être brillant ne faisait pas tout.

La perspective de rentrer une nouvelle fois sur le domaine familial pour une période indéterminée et pour assigner à il ne savait quelle entreprise abjecte, ne l’enchantait pas. Sa compagne n’ignorait pas l’animosité chronique régnant entre les deux frères, sans parler de l’absence quasi totale d’opinion de la sœur, bien qu’elle ne sut pas tout, elle l’encouragea à s’installer avec elle.

Nouveau départ, nouveaux moments qu’à eux. Ce fut suffisant pour un temps. Il se laissa convaincre d’occuper un poste de réceptionniste dans l’auberge magique où l’élue de son cœur se voyait elle-même cuisinière. Et si elle avait le don de faire des plats extrêmement intéressants, enthousiasmant bon nombre de clients, qu’elle se montrait toujours de bonne humeur, il savait qu’elle méritait mieux. Elle aurait pu faire de grandes choses. Mais de par sa présence et son impact dans sa vie, elle la gâchait.

Comme si ses doutes et interrogations ne suffisaient pas, il y avait eu le retour du monstre. Et cette abomination bien particulière, dont elle, ne connaissait rien, ressemblait à une femme. Une sorcière, dans tous les sens du terme, qui n’avait pas dit son dernier mot et refusait obstinément de relâcher son emprise sur lui. Les cauchemars redoublèrent, de même que l'angoisse constante et les sorties nocturnes aux horaires improbables. Un enfer à vivre pour l'autre. Le fait de ne pas vouloir en parler occasionna fractures et écueils qui le conduisirent immanquablement à tout laisser derrière lui.

« Mais j'suis fatigué, tellement qu'souvent qu'j'rêve que j'suis en train d'dormir » Paradis noir - Gringe

1er novembre 2020

Cela faisait un environ un an qu’il avait débarqué ici. Loin de sa terre d’origine, cet espace lui offrait une éventuelle perspective de calme au milieu de la tempête. Nouveau monde, nouvelle mode, nouvelles normes, avec lesquelles il se débattait encore un peu.

En effet, son arrivée sur l’île s'était faite plus compliquée que prévu. Les gens lui avaient paru méfiant. Quoi de plus normal face à un étranger dont ne connaissait rien à part le nom ? Et quel nom ! Les exploits, de même que les rumeurs les concernant semblaient même s’être étendues jusqu’ici. Il avait ainsi dû s’armer de patience pour s’intégrer. Et patience n’était pas son fort.

Finalement un jour, il avait passé un entretien dans cette école, dont il écoutait beaucoup parler. S’il était encore surpris d’avoir réussi à obtenir un poste à Mahoutokoro, il ne s’en plaignait pas, loin de là. L’école lui apprenait beaucoup, à travers sa façon de fonctionner, des élèves, des autres profs. Et puis, chose étrange, il semblait réellement apprécier le rythme de cette vie d’enseignant.  Peut-être était-ce là l’occasion d’oublier le reste, enfin et de commencer à vivre. Non ?


« the life and lies of Raphaël »
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{#}1{/#} Sa couleur préférée est le vert.

{#}2{/#} Ses tatouages aux bras cachent des cicatrices.

{#}3{/#} Il dort peu et mal, notamment à cause de cauchemars récurrents.

{#}4{/#} C’est l’ami des chats.

{#}5{/#}La règle est simple : si tu frappes, tu es frappé. Il rend coup pour coup, sans distinction.

{#}6{/#}Il connaît bien le monde moldu, pour s’y être assez souvent réfugié.

{#}7{/#}Il déteste les nains de jardin et le jus de citrouille.

{#}8{/#}Il est sujet à de fortes migraines. Contrecoup des exploits de son frère.

{#}9{/#}La promiscuité des gens qui lui parle d’un peu trop près, le rend nerveux.

{#}10{/#}Les examens médicaux lui font horreur.

{#}11{/#}Le personnel médical lui fait peur.

{#}12{/#}Son chat s’appelle Hector de la bute aux tilleuls mais il l’appelle plus communément minou.





My life as a muggle
HJ ton pseudo : JJ / Jean-Jacques, ton prénom : Lauriane, ton âge : J'ai arrêtée de vieillir à 25 ans.  Comment tu as découvert le forum ? Grace à {@=772}Soojin Go{/@}. La couleur de tes chaussettes ? Aujourd'hui,  blanche au bout rose avec des point noirs. Que dire sur moi ? 1)Serpentard forever ! Même si je me déguise en Gryffondor à l'occasion. 2) Mon chat est mon fils préféré et je lui voue un amour inconditionnel.  3)Quand tout le monde m'a bien saoulé, j'ai régulièrement envie d'aller m'installer dans une cahute au bord de la mer.  4) J'attends le making off du tournage de Franklin (oui oui la tortue), pour qu'il nous montre toutes les chaussures qu'il ne met pas.  Parce que je vous le rappel : " "Franklin savait compter deux par deux et lacer ses chaussures". Donc à moins qu'il ne lace les chaussures des autres, il y a un truc que j'ai pas compris. 5) On peut facilement m'acheter avec du chocolat, des bonbons et des pâtisseries. Je suis faible. 6) En règle général (sans vouloir m'envoyer des fleurs), je suis plutôt drôle et sympa.  

Invité le Mer 10 Fév 2021, 16:54So put away your make up (Roxanne)

Roxanne Weasley
ft. Audreyana Michelle, icons by divinebeauties, avatar by noemie

A BRIEF HISTORY OF TIME

— prénom & nom ; Roxanne un prénom doux, et qui, pour son plus grand plaisir, ne reprend pas celui d'un de ses ancêtres. (Elle a toujours sincèrement plaint son frère Fred et le lien qu'il avait avec leur oncle Fred.)
Alexandra un second prénom plus commun mais dont elle apprécie les sonorités.
Weasley un nom connu au Royaume-Uni, même si elle dénote un peu, avec ses cheveux crépus et foncés. Elle aime avec cette part d'originalité, chose précieuse dans une famille nombreuse.


— naissance & âge ; 18 03 02, Sainte-Mangouste (Angleterre) au sein de la maternité de l'unique hôpital magique anglais.

— nationalité ; Anglaise Elle est née et a grandi en Angleterre, comme ses ancêtres avant elle. L'histoire de sa famille (notamment paternelle) est infiniment liée à celle du pays. Elle connaît moins bien sa famille maternelle, et ses origines de ce côté-là (ses grands-parents, moldus, n'ont apparemment pas bien apprécié d'avoir une fille sorcière).
Sang-mêlé il paraît. La pureté du sang n'est pas une préoccupation familiale, et c'est un sujet qui l'intéresse assez peu - à Poudlard, elle défendait ses camarades moqués pour leurs origines, mais personne n'est jamais venu lui chercher des noises à elle.


— baguette ; 30cm, bois d'aulne, plume de phénix une baguette légère et souple, composée de son bois de naissance, symbolisant la renaissance et le renouveau. Le cœur en phénix montre son esprit d'initiative.

— maison, groupe ; Serdaigle curieuse, littéraire, avide de nouvelles expériences mais aimant intellectualiser les choses. Comme le parfait complément de Fred, parfait Gryffondor préférant frapper puis réfléchir aux conséquences.
Kasai la passion et l'énergie. Elle avait l'impression que cette part de sa personnalité était majorée depuis son entrée sous l'égide du Bakeneko, forçant son indépendance mais mettant un peu à mal sa maîtrise d'elle-même.


— occupations ; Lettres & sciences humaines et sociales (1ère année) parce qu'elle aime écrire Roxanne, mais elle aime encore plus lire. Apprendre comment décortiquer une oeuvre, c'est quelque part aussi apprendre à en composer une. Elle aime repérer les mécanismes d'écriture des autres. Elle pensait détester la partie sociologie, mais elle se retrouve passionnée par ce point de vue sur les sorciers auquel elle n'avait jamais réfléchi jusqu'ici.
Ecrivaine de romans érotiques pas la fierté de sa mère, mais Roxanne n'est pas du genre à chercher l'approbation de sa famille. Et puis, ça fait rire son père, et ça, ça n'a pas de prix.
(Parfois, souvent, Roxanne se demande encore comment ça a pu lui arriver. Comment elle peut être celle qui écrit des scènes de sexe faisant vibrer une bonne partie de l'Angleterre alors qu'elle n'a jamais eu personne dans son lit.)
Journaliste en herbe parce qu'écrire, c'est un peu sa passion. L'exercice est différent de ce qu'elle fait habituellement avec ses romans. Mais ça l'aide à progresser en japonais, car si elle maîtrise plutôt bien l'oral, les différents alphabets sont encore un peu compliqués pour elle - notamment celui des kanjis.
Mentor (anglais) pour se rendre utile. Elle sait combien l'anglais aide à voyager, et si elle peut aider ses nouveaux camarades à apprendre cette langue et à ne pas se reposer sur des potions ou sortilèges de traduction, elle est ravie de pouvoir aider.
Poursuiveuse (Raven Circle) le Quidditch, c'est une affaire de famille. Comment ne pas jouer, alors qu'elle est montée sur un balai dès le moment où elle a su rester assise ? Elle adore jouer et a un bon niveau, même si elle ne prévoit pas d'en faire son métier.


— situation financière ; Classe moyenne même si ses grands-parents étaient plutôt pauvres, son père est un commerçant plutôt florissant et sa mère est Auror. La famille est donc plutôt à l'aise et a les moyens de faire étudier ses enfants.

— orientation & statut civil ; Hétérosexuelle attirée par les hommes. Surtout quand elle est ivre. Pas le genre d'informations dont elle se vante. Elle en est même plutôt honteuse.
Célibataire elle attend le bon, aussi romantique et niais que ce soit.


— particularité(s) ; réponse brève demande à poster ici en premier lieu : tu ne peux pas être validé.e sans !  

— amortentia ; Sunday roast le repas familial au Terrier le dimanche. Les bons plats de mamie Molly, les rires des cousins, les éclats de voix des adultes. C'est son petit paradis mental, de se souvenir de tous ces dimanches passés ensemble, à manger ou jouer au Quidditch, à discuter ou se taquiner.
Livre neuf ce sursaut de fierté quand elle a ouvert la première édition de son premier livre. Avant, elle aimait l'odeur renfermée des vieux bouquins, qu'elle allait dévorer dans la bibliothèque de Poudlard. Mais depuis qu'elle était devenue écrivaine, depuis qu'elle avait eu entre ses mains son livre à elle... Tout avait changé.
Fraise des bois son fruit préféré, glané à même les arbustes quand elle se baladait dans la campagne avec ses parents. Elle avait des gels douche à la fraise, du gloss à la fraise, tout pour pouvoir se plonger dans cette odeur réconfortante.


— patronus ; Ecureuil d'Abert corporel. Symbole d'indépendance et de vivacité, son écureuil est un beau miroir de qui elle est elle-même. Roxanne a toujours été une fille vive d'esprit, réagissant vite et intelligemment aux stimulis. C'est ce qui l'a poussée à accepter d'être éditée, après tout. D'être maîtresse de sa destinée, de décider elle-même de ce qu'elle veut et surtout de ce qu'elle ne veut pas.
Son souvenir heureux est celui de la victoire de son équipe au Quidditch, quand elle était en dernière année à Poudlard. L'euphorie de la victoire, la communion de l'équipe autour de la coupe, les félicitations du reste de leur maison. Elle n'a pas gardé trop de choses en mémoire de cette soirée - trop d'alcool - mais elle en garde un souvenir heureux, une nostalgie la faisant toujours sourire.


— épouvantard ; Le corps de son frère elle a toujours su que le jumeau de son père était décédé pendant la guerre. Fred était une ombre au-dessus de leur famille, le manque encore présent chez George et le reste de sa fratrie. Alors Roxanne n'a qu'une peur, c'est de perdre son propre frère, fauché en pleine jeunesse. Ils sont tellement proches qu'elle n'est pas sûre de pouvoir s'en remettre...

— risèd ; Son oncle Fred elle aurait aimé pouvoir le connaître autrement qu'à travers les histoires de sa famille. Quand son frère Fred se présentait, il y avait toujours quelqu'un pour parler de cet autre Fred, celui qu'aucun d'eux n'avait connu. Et peut-être qu'elle serait déçue si ça devait arriver, peut-être que cet oncle n'était pas si drôle ou pas si intéressant que ce que tout le monde leur en disait. Ou peut-être qu'il était mille fois plus brillant que ça. Et elle ne le saurait jamais.


« sonnets of a sorcerer »
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— Poisson, ascendant Verseau ; un signe qui la fait clairvoyante et intuitive, un peu mystérieuse aussi, loin des standards. Et un ascendant qui met en valeur son originalité, mais aussi à s'immerger dans ses relations à sa famille et à ses amis. Pas qu'elle croit vraiment à tout ça, mais ça l'amuse toujours de lire les horoscopes moldus.
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Roxanne, The Police ; la chanson qu'elle ne supporte plus. Celle qu'on susurre dès qu'elle prononce son prénom. Elle est presque prête à écrire une autre mélodie avec ce titre-là, juste pour s'acheter un peu de répit. (Elle ne sait pas composer, et écrire des chansons la barbe énormément.)
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Le sacrement de la famille ; ces gens sans qui elle ne peut pas vivre. On lui a souvent dit que c'était étrange qu'elle soit si proche d'eux. Indépendante et capable de vivre seule, mais préférant rester avec ses cousines ou traîner avec son frère. Parce qu'ils sont son monde, ses repères, sa base. Ils la connaissent et savent qui elle est, et qu'ils l'aiment comme elle est.
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— Le bruit de la machine à écrire ; offerte par sa tante Hermione. Qui n'aurait sans doute pas osé imaginer ce que Roxanne allait écrire avec. La jeune fille aime le cliquetis devenu familier, la facilité d'écrire - plus qu'avec la plume, dont elle aime le glissement sur la feuille mais qui finit toujours par lui faire mal à la main au bout de plusieurs heures d'écriture.
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Extravertie ☽. Intuitive ☽. Oreille attentive ☽. Sait garder les secrets ☽. Utopique ☽.
A du mal avec les contraintes ☽. Contradictoire ☽. Insaisissable ☽. Pessimiste ☽. Séductrice (surtout quand elle a trop bu) ☽.


A WIZARDING GENEALOGY

— chronologie ; 18 03 2002 naissance à Londres. Deuxième de sa fratrie, avec un grand frère à peine plus âgé puisqu'ils ont à peine un an d'écart. Ils ont grandi ensemble, ont tout appris ensemble et ils sont extrêmement proches l'un de l'autre.

01 09 2013 entrée à Poudlard. Elle a eu la surprise d'être envoyée à Serdaigle, alors qu'elle pensait rejoindre Fred chez les Gryffondor. Mais elle a aimé sa maison. Elle y a appris à découvrir une autre façon d'aimer les livres, loin du cliché des Serdaigle aimant les vieux recueils éducatifs et poussiéreux. C'est là qu'elle a appris à lire pour le plaisir, dévorant les romans moldus ramenés par ses camarades, si différents des contes sorciers avec lesquels elle avait été bercée.

16 05 2018 les filles du dortoir parlaient de leurs expériences avec les garçons, et des fantasmes qu'elles voulaient expérimenter. Roxanne, elle, n'avait pas de copains, et à part quelques baisers échangés avec un garçon deux ans plus tôt, quand elle était en quatrième année, elle n'avait pas trop connu le frisson des premières relations.
Alors elle avait commencé à inventer, piquant les anecdotes de Victoire quand elle avait commencé à fréquenter Teddy. Elle avait toujours eu de l'imagination à revendre, et c'était facile de manier les mots, de mêler ses idées fantasmées aux souvenirs de ses cousines.
C'était d'abord innocent, juste pour se sentir intégrée parmi les filles de son dortoir. Et puis les choses étaient devenues un peu plus intimes, et Roxanne s'était amusée des joues rouges de ses amies. La soirée s'était arrêtée là, mais les filles étaient revenues lui demander la suite. Alors Rox l'avait écrite, imaginant des scènes torrides, s'appuyant sur des films ou des livres auxquels elle avait accès pendant ses vacances, quand elle allait dans le monde moldu.
Elle n'avait pas imaginé que ses histoires prennent si bien, au point que des filles d'autres années ou d'autres maisons viennent la voir pour avoir accès aux histoires qu'elle écrivait. Et puis, elle avait commencé à les monnayer. Quelques mornilles, trois fois rien. Mais elle avait tellement de clientes que ça finissait par lui faire un joli complément d'argent de poche.


12 10 2018 l'article de Rita Skeeter. La révélation du petit commerce juteux de Roxanne avait mis les Weasley à feu et à sang. Fred et leur père étaient amusés, sa mère l'avait ensevelie de beuglantes clamant la honte qu'elle apportait sur la famille. Bizarrement, ça n'avait fait qu'augmenter la population qu'elle touchait - après l'article, elle avait reçu des demandes d'anciens élèves pour avoir accès à ses petites histoires, et aussi de quelques élèves masculins moins timides, venant demander de la lecture ou des conseils pour que ça se passe mieux avec leurs copines>.

20 04 2019 le commerce dans la peau, comme son père. C'est ce jour-là que Roxanne a signé avec son éditrice, contre l'avis de sa famille. Quoi que Fred était très fier d'elle, et un poil jaloux de l'incroyable tour de force qu'elle avait réussi à faire seulement avec ses histoires. Elle finissait sa sixième année mais était déjà majeure aux yeux des sorciers. (Le seul point non négociable pour ses parents était qu'elle passe ses ASPIC. Même si son propre père était parti de l'école avant de pouvoir s'y présenter.)

01 07 2020 ses ASPIC en poche (bonnes notes en métamorphoses et défenses contre les forces du mal, plus limite en études des runes et en potions), elle a dû choisir quoi faire ensuite. Elle a passé l'été et l'automne en salons littéraires, à présenter son livre et à teaser sur le suivant.Tout en préparant son admission à Mahoutokoro pour le printemps 2021. Elle voulait s'échapper un peu de l'Angleterre, de l'influence de sa famille, des histoires de pureté du sang. Alors elle s'est embarquée avec ses cousins. (Elle est indépendante, Rox, mais elle choisit de rester proche de sa famille. Ils sont son équilibre, et elle a besoin d'eux pour garder les pieds sur terre.)

05 01 2021 elle avait lu une myriade de livres sur la "répartition" à Mahoutokoro, cherchant à comprendre comment ils plaçaient leurs élèves et essayant de deviner à quelle maison elle appartenait le plus. Rien ne l'avait pourtant préparée à la cérémonie des yokaïs. Les statues étaient impressionnantes, la faisant se sentir toute petite alors qu'elles discutaient d'elle sans qu'elle n'arrive à suivre vraiment leur conversation.
Elle ne savait pas trop où se penser, peinant à répartir les qualités et défauts des Serdaigle dans les maisons japonaises. Si les Anglais cherchaient à développer certaines parties de leurs personnalités pour se positionner dans un groupe, les Japonais semblaient plutôt promouvoir l'influence de l'environnement sur les pouvoirs d'un sorcier.
Alors elle avait attendu, calme et sereine, jusqu'à ce que le Bakeneko s'approche seul d'elle, touchant doucement son épaule et l'acceptant au sein de la maison des Kazai. Finalement, elle porterait elle aussi le rouge, même s'il lui avait fallu aller à l'autre bout du monde pour ça - ses parents avaient beaucoup ri quand elle les avait appelés pour leur faire part du résultat final.


« the life and lies of (prénom du personnage ici) »
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{#}1{/#} La famille Weasley est une famille célèbre en Grande-Bretagne. Trop célèbre peut-être. Roxanne avait parfois l'impression que les gens autour d'elle connaissaient mieux ses oncles et tantes qu'elle-même. Et puis, il y avait toute la pression qu'ils avaient sur le dos, en tant qu'enfants de héros de guerre. Comme s'ils n'avaient pas d'autres choix que d'être parfaits, leurs moindres incartades sévèrement sanctionnées. Heureusement qu'elle avait Fred avec elle. Son frère qui avait juste quelques mois de plus qu'elle et dont elle avait toujours été si proche. Ils se comprenaient parfaitement et savaient comment prendre soin de l'autre.

{#}2{/#} Roxanne avait aussi tous ses cousins. Elle avait des amis à Poudlard, de son année ou de sa maison. Mais sa myriade de cousins était ce que Roxanne avait de plus précieux. Elle n'aurait pas pu partir seule au Japon, mais partir avec Tori et Domi, plus Teddy, était rassurant. Peut-être que ça enlevait un peu du charme d'aller découvrir un pays étranger, mais ce n'était pas grave pour elle. Elle aimait le côté un peu "meute" des Weasley.

{#}3{/#} Elle aimerait vivre sa grande histoire d'amour. Comme Tori et Teddy. Elle écrit sur l'amour et le sexe, comme si elle savait ce que ça faisait d'avoir un compagnon de vie, un homme sur qui elle pourrait compter. Elle ne doutait pas qu'elle savait être réaliste - le succès de ses nouvelles et de son roman en attestait. Mais elle voulait expérimenter tout ça. Et peut-être que ça enlèverait un peu du sentiment d'imposture qu'elle découvrait en elle depuis la signature de son contrat.

{#}4{/#} A Poudlard, Roxanne profitait de Poppy, la chouette effraie de Fred, pour envoyer des lettres à sa famille. La dernière année, elle utilisait les hiboux de l'école ou de Pré-au-Lard, ne voulant pas avoir d'oiseaux.
Quand elle a annoncé sa décision d'aller étudier à Mahoutokoro, son père lui a offert un scarabée. Pas parce que c'était un symbole de renaissance. Juste parce que c'était grâce à Rita Skeeter qu'elle se retrouvait à étudier sérieusement la littérature, après des années à hésiter sur la direction qu'elle voulait prendre. Et sur les bons conseils de Fred, elle l'a appelé Margarita.
Il trône sur l'étagère de sa chambre, dans un gros vivarium, entre ses livres de cours et son dictionnaire de japonais. Comme un rappel constant de ce qu'est sa nouvelle vie.

{#}5{/#} Elle adore le réglisse. Elle sait que la plupart des gens détestent ça, mais c'est son petit plaisir coupable, à boulotter devant un bon film. Ou à grignoter pendant qu'elle passait ses examens.
Elle dévore les onigiris sorciers depuis qu'elle a posé les pieds au Japon. Et elle s'amuse avec les prédictions des sushis destins. Elle a toujours aimé les horoscopes moldus, elle a choisi le cours de Divination autant pour s'éclater à rédiger les devoirs - elle avait grandi avec les histoires de son oncle Ron, après tout - que parce qu'elle aime jouer avec la voyance. Elle n'a aucun don, pas de troisième œil ou de compétences particulières, mais elle a un certain intérêt pour cette branche de la magie qu'elle ne s'explique pas vraiment.

{#}6{/#} Roxanne est une sportive émérite, née sur un balai. Toute sa famille joue au Quidditch. Ses parents se sont rencontrés dans l'équipe de leur maison, elle a joué contre ou avec son frère et ses cousins.
Mais elle aime aussi jouer en ligne, avec ses amis ou des inconnus. Elle n'est pas très douée, mais elle s'amuse beaucoup, et c'est tout ce qui l'intéresse. Elle est particulièrement accro à FIQA20, où elle essaye toujours de faire gagner les Harpies de Holyhead.

{#}7{/#} Elle adore la musique. Qu'elle révise, écrive ou joue les touristes, Roxanne a toujours son casque sur les oreilles. Du classique, de la variété anglaise, de la jpop... Elle choisit selon son humeur et son besoin - du rythmé quand elle va faire son footing, du calme quand elle révise, la BO parfaite pour illustrer ce qu'elle écrit.

{#}8{/#} L'été qui a suivi ses dix-huit ans, Fred l'a emmenée se faire tatouer. Une petite belette, le même dessin, qu'elle a placé sur sa cheville gauche et qu'il a choisi sur son poignet gauche.
Quelques mois plus tard, elle a ajouté un attrape-rêve entre ses omoplates, les plumes comme mobiles sur ses muscles, voyageant au gré de ses mouvements. Elle voulait repousser les cauchemars et voir la vie avec plus d'optimisme qu'elle ne le faisait déjà, et ça semble plutôt lui réussir jusqu'à maintenant.

{#}9{/#} Elle déteste qu'on l'appelle Roxy. Une information que les membres de sa famille semble oublier une fois sur deux, et qu'elle leur rappelle rapidement d'un coup d’œil furieux.
La cousine avec qui elle s'entend le mieux est Lucy. Cette dernière est pourtant plus sérieuse et terre à terre, pas du genre à se laisser embarquer dans les blagues et coups fourrés du reste de la famille. Mais elles se sont toujours bien entendues - la folie douce et la sage raison, comme deux miroirs parfaitement synchronisés.
Elle a gardé tous les pulls offerts par sa grand-mère Molly. Ceux qui ne sont pas à sa taille sont dans un carton dans le grenier de ses parents, mais elle a amené tous les autres avec elle et les porte fièrement pour lutter contre les températures hivernales.

{#}10{/#} Elle aime écouter les histoires des autres. Sombres ou sexys, tristes ou heureuses, elle aime être simplement présente pour ses amis, et les conseiller ou juste les soutenir pendant qu'ils font leurs choix. Parfois, bien sûr, elle s'en inspire pour ses écrits. Mais la plupart du temps, elle veut juste être là, à garder leurs secrets tant qu'ils en ont besoin.



My life as a muggle
HJ Lucy, déjà trop âgée, infirmière.
En coloc avec mon chat (c'est lui qui prend les décisions, c'est moi qui fait le ménage).
Amatrice de thé, qui ne comprend pas qu'on puisse boire du café.
J'aime beaucoup trop Esprits Criminels.
Bloc-Notes