fun & fights

Sora pouvait essayer autant qu’elle voulait, son brownie n’aura jamais le même goût que celui que sa grand mère faisait. sucrée mais pas trop, épais mais fondant avec une touche de croquant, peut être les pépites de chocolats ou la croute parfaitement cuite. on avait pas super soif après l’avoir dégusté, on avait pas la bouche et les dents salie par le sucre et le chocolat. il était délicieux, et Sora pouvait bien essayer, encore et encore, le gout ne reviendras jamais. le savoir faire de sa grand mère et l’amour qu’elle y transmetait ne se vend pas en magasin. il a disparue, comme elle, et ne reste d’eux que les souvenirs de cette enfance bénis sous le soleil.

il faisait plus beau avant, elle en est persuadée.
Les nuages ne rodent pas au dessus de leur crâne, menaçant à chaque seconde de s’effondrer. il faisait beau tout le temps, et le vent faisait claquer les fenêtre, et Neji courrais si vite que Sora en avait le couple coupé. et la forêt ne finissait pas, jamais, elle été dense et immense, et eux n’étaient que des enfants.
ça semble si loin.
mais il faisait beau pas vrai?
elle s’en souvient plus vraiment.

c’est akio qui la ramène à la réalité, il tape sur l’écran de son portable, 23h40. il fallait décorer le gâteau pour qu’il soit tout beau. les deux enfants se mettent à la tâche, très appliqué dans leur travail. Sora n’a jamais grandit, elle est rester cette enfant qui crois que tout fini toujours par s’arranger, avec un peu de bonheur, et de grand sourire. il n’y a pas de problème, que des solutions.

« Ne me dit pas que tu avais oublié? » elle profite d’un moment égarer pour piéger le bien aimer dans leur bulle d’amour. il devrait s’en douter, non ? il devrait connaitre ce schéma si prévisible. Sora est amusée en voyant ses grands yeux globuleux, quand dans la pénombre les bougies illumines la pièce. « Fais un voeux. Mais ne le dit pas à haute voix, sinon, il ne se réalisera pas. » elle glousse, puis racle sa gorge pour chanter tout doucement : « Joyeux anniversaire, Neji. joyeux anniversaire, Neji. mes voeux les plus sincère, Neji, pour ton anniversaire. » elle tape avec ardeur dans ses mains, en gloussant. les souvenirs refont surface, ces 12 ans, ses 11 ans, ces 18 ans, ses 17 ans. Et ce sera toujours comme ça, non ? Elle qui le suis et lui qui la devance. Elle sera toujours son ombre, cacher bien derrière ces grandes épaules. « Lumos! » les lumières se rallumes, et sora prend place à coter de son grand frère, amusé et surtout : affamée. elle n’attend pas, avant de plonger sa cuillère  dedans et manger un bout.

« Je peux devinez ton voeux? » elle fait mine de réfléchir, tout est tellement possible avec ce garçon. « Une nouvelle copine ? Non, une nouvelle moto? » elle lache un rire amuser. sora avait chercher des semaines et des semaines, un cadeau qui serai à la fois utile et désirer. elle pose sur la table, une petite boite bleu, cachant un minuscule [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] bleu marine, dedans. « Que tu soit au bout du monde, ou près de moi. Il veillera sur toi, il connais ton poids, ta taille, et dès que tu l’aurais synchroniser il aura le même battement de coeur que toi. et si un jour il t’arrive quelques choses de grave, alors je serai prévenue. » plus utile que désirer, pas vrai sora ?

lointain souvenir qui submerge à chaque anniversaire. comme un déjà vu, pourtant la sensation est toujours différente. un large sourire sur son visage quand la chanson s’achève. elle avait fini rapidement pour se jeter sur le gâteau, ventre qui gronde d’un appétit monstre. le cadeau avait l’air de lui plaire, elle en était contente. c’était un baymax de poche, prêt à s’assurer que son utilisateur est en bonne santé, un mec du taf les donner aux vieux qui avait du mal à se repéré, sora s’est dit qu’après tout neji été comme les vieux dont elle s’occupe : il oublie tout, tout le temps, si sa tête n’était pas visser sur son crâne alors il le laisserai dans les toilettes en oubliant de le reprendre, un peu comme son portable. mais elle ne souligne pas, elle lui répond avec un sourire malicieux et des yeux moqueur, avant de rire, finalement. « Heureusement que ta nuque se charge de garder ta tête à sa place, sinon on retrouverai ce gros trucs sous ton lit, 3 jours après que tu l’es perdu. » un sourire amusée et une boucher du gâteau. il est pas mal, akio fait toujours de bonne chose.

si elle voulait que l’ambiance soit enfantine et drôle comme à leur habitude, la conversation tourne rapidement en procès. sora les mains liées dans son dos et debout devant la cours, le juge de la horny jail aller savoir si oui ou non elle pourrais en sortir. elle avale de travers et tousse brusquement, n’étant pas du tout prête à recevoir ce genre de question. « Hein? Quoi ? Comment? » oui, neji avait le don d’être intrusif dans sa vie, mais elle l’avait bien mérité, car la daichi avait aussi ce don maladif de mettre son pif là ou il ne fallait pas. et ça, bien plus d’une fois. elle n’avait jamais penser que la donne aller changer un jour. qu’elle serai celle qu’on interroge et non l’interroger. « Tu peux pas avoir de vrai voeux et pas des voeux nul comme ça? » elle soupire, et se laisse tomber dans le canapé.

« Je te demande moi avec qui tu fais tes affaires? » oui elle l’a fait, mais elle espère que sa mémoire se trouble pour qu’il ne s’en rappel pas. « Chuu et moi c’était juste une.. petite histoire. et j’ai demander à akio et echo de te faire croire que c’était note ami à tous, la vérité ce que n’était que le miens. enfin, on est pas vraiment ami, on a juste.. fin, oui, tu as compris. » elle s’arrête, les joues rosissent avant de reprendre. « non, non, pas comme tu l’as compris, on a rien fait, on a juste eu un ou deux baiser et.. c’est tout. » elle soupire encore et se redresse. « tu veux qu’on retourne avec les autres? peut être qu’ils t’attendent pour lancer le beerpong? » éviter totalement le sujet qu’est Kida, car ce n’est pas le moment d’en parler. et puis qu’est-ce qu’elle peut lui dire ? c’est tout si flou dans sa tête.

« C’est quoi ton vrai voeux, est-ce que tu vas encore partir? »

le moment d’amour se transforme en procès et sora soupire grandement. elle ne boude pas souvent, sora, elle est compréhensive, et très à l’écoute. elle comprend quand on lui dit non et accepte sans rétorquer. l’enfant ne cherche jamais à avoir raison, et préfère d’avantage se pliée à la volonté de la personne d’en face, pour évite tout conflit. neji et elle avait été élevé dans ce même cadre, famille douce et à l’écoute des uns des autres, de la faune et la nature. c’était étrange de se disputé, ils le font comme tout le monde, mais la sensation se rapproche plus de la nouvelle vie sans les grands parents, que d’un gout de déjà vu.

« c’est nul comme voeux. »
surtout un soir d’anniversaire, sora pourrais en pleurer.
mais elle ne peut s’en vouloir qu’à elle même, elle s’est emmêler les pinceaux, mensonge sur mensonge, magouille sur magouille, voilà ou ça nous mène.

« calme toi, j’ai 21 ans Neji, je suis une adulte et lui aussi. » elle aurait fait pareille, si Neji avait eu l’audace de faire un pas romantique vers Mia, ou Sky, ou n’importe lequel de ses amies qu’elle connais depuis des années. « chuu et moi.. on est pas compatible, et puis, l’autre, et bien.. » les mots lui manque et la voilà depuis à faire les cents pas pour savoir comment tourner les choses. il devait savoir qu’elle a toujours été indécise, qu’elle cherche sans cesse une réponse divine dans le ciel pour savoir si oui ou non la réponse est bien celle qu’il faut prendre. pourtant, cette fois-ci, ça semblait comme une évidence, Kida sonne comme une évidence, mais elle a fait l’erreur de faire les choses à l’envers. « Tu sais que je t’ai dit que je ferai tout pour sauvez les gens ? je le pensait sincèrement. » elle ne prend pas la peine de s’assoir mais s’accroupi devant la table basse pour prendre un bout de gateau. « Maman a accepter que je fasse une année de stage de découverte, dans l’hopital ou elle travail, je n’ai pas le droit de toucher aux patients mais je peut voir comment se faire la prise de contacte avec un malade et comment on gère les grosses crises, la seule condition : la stabilité. » peut être que maman avait juste peur que sora s’envole comme neji a l’habitude de s’envoler, peut être qu’elle voulait s’assurer de la voir chaque matin, comme son planning l’indique. elle avait déduit les choses elle même quand celle-ci se pointé tout les jeudi matin, juste pour voir si sa fille été là. elle avale une boucher, et continue. « Je pense qu’elle a peur que je devienne… comme toi. » elle ne précise pas comment il est, elle émet juste une idée « Alors je suis devenue préfète des Daichi, j’ai augmenter mes notes de 2 points, et … j’ai trouver un petit ami. enfin, un garçon qui a accepter de jouer mon petit ami. » elle laisse planter sa fourchette une autre fois dans le gateau et l’amène a sa bouche. elle même, n’a aucune idée de comment cette idée avait germer, mais ça avait marcher. « Tu sais que maman souhaité si fort que mon lesbianisme ne soit qu’une phase… je te laisse imaginer comment elle a sauter de joie quand je lui ai ramener un brun, grand, de bonne famille et intelligent. »

Le sujet été à peine sérieux, elle ne voulait pas lui dire Sora, à Neji que leur mère voulait une deuxième version d’elle même et qu’elle donnerai tout pour que ce soit Sora. elle ne lui dit pas non plus, que ses absences sont si fréquente qu’elle a l’impression qu’il n’est jamais là, qu’il lui appris à fuir et que maintenant c’était devenue sa seule porte de secours. elle aimerais lui blâmer cette solution de facilité qu’il lui a trop souvent montrer, mais Sora n’aime pas le conflit, et puis elle ne le penser pas réellement, elle avait juste envie qu’il se sente mal comme elle, se sentait mal actuellement.

« Oui, je prétend sortir avec un gars pour sauver des gens. » elle s’enfonce un peu plus dans le canapé, après avoir avaler une dernière boucher de gâteau. ça semble si horrible que ça ? ça le serai si la suite n’était pas aussi évidente. « Et je suis tomber amoureuse de ce garçon…. » de la mise en scène au coeur, n’est-ce pas dramatique ? n’est-ce pas si évident ? elle se sent si bête Sora, elle qui a toujours géré ses relations avec une main ferme se retrouve à éprouver des sentiments si fort envers un garçon qui lui jouait probablement la comédie, du moins c’est ce qu’elle pensait. « Et lui aussi.. et on est.. ensemble. Pour de vrai. » elle a un peu de mal à la dire Sora, pourtant la voilà la vérité : le jeu été beaucoup trop prenant et ils ont fini tout les deux par y ceder. c’était étrange à dire, Sora n’est sortie avec personne après qu’elle est brisée le coeur de Nuri, et elle pensait intimement qu’elle ne sortait plus jamais avec qui que ce soit. Kida est arrivé comme la solution à tous ses problèmes et tout c’est fait dans une facilité qu’elle a, elle même du mal à comprendre. « Je pensais pas que j’avais le droit à un tel amour.. aimer et être aimer en retour. j’ai toujours penser que j’étais maudite après l’histoire avec Nuri, que j’avais plus le droit au bonheur. et puis.. et puis, il est arrivé et il a tout régler. » du bout de ses doigts, de son toucher à ses lèvres sucrées, Sora en rougit presque.

Neji reste Neji, et Sora comprend l’inquiétude de son ainée. elle ne peut retenir un rire quand il se met à chercher ses mots. « Que vous soyez ensemble, tous ça. » répète t-elle sur un ton amusée, la voix beaucoup plus grave qu’elle ne l’a d’habitude. elle avale une dernière boucher de gâteau, détend ses épaules et les hausse simplement. Que dire de plus ? On ne choisi pas de qui on tombe amoureux, et Neji est assez bien placer pour le savoir, les histoires qu’il a pu avoir n’ont jamais eu de sens, des coups de coeurs sur des gens qu’il ne contrôle pas, des profils tous aussi différent les uns que les autres. « Tu sais ce qu’on dit ? Quand on tombe amoureux, on a du mal à se relever. » un fin sourire se dessine sur son visage en imaginant Kida l’entendre dire ce genre de phrase, elle voit ses yeux lever aux ciels mais lui offrir tout de même un sourire ou un faux rire pour l’embêter. Elle l’aimait vraiment, Sora, et c’était pas prévue, c’était pas écrit dans son planning de vie. « Et toi? » curieuse, elle se demande ou pouvait se trouver Neji dans sa recherche d’amour. Peut être que lui aussi pensait ne mérité personne, peut être que comme elle, il été perdue et chercher boussole dans toutes les personnes qu’il rencontrait ? Pourtant, Kô avait souffler une idée à l’oreille de Sora, il lui avait dit de faire attention à ce que Neji et Hikaru pouvait faire quand ils étaient tout les deux. Elle n’aurait jamais penser, Sora, que le garçon aux cheveux noire et à la l’allure de crackhead pouvait faire fondre son frère, il se trouve que Wakatsuki Kô a un meilleur oeil que Sora Sakurai. « Tu vois quelqu’un en ce moment? » elle lève les yeux vers elle, curieuse de voir si il allait en parler ou pas. « Ou quelqu’un que tu vois souvent… Et que tu as décidé de voir autrement? » plus précise, mais surtout plus maligne, elle affiche un sourire amusée. « T’es pas obliger de m’en parler si t’as pas envie, Neji. Sache juste que j’ai un oeil partout, et que je sais tout. Je suis ton pire cauchemar, je suis au courant de tous tes secrets. » un ton malicieux dans sa voix, et elle fait semblant de bouger tous ses doigts comme si elle allait lui lancer un sors, là tout de suite maintenant, avant de rire bêtement. « On est pas doué avec l’amour, pas vrai ? Tu penses que c’est de famille? »