MIKROKOSMOS
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Somi Hanaoka
Somi Hanaoka
hope of morning (bemi) ENM4ltEE_omae — elleIRL : jeon somi (doublon prénom not intended) | by j-mikiAvatar, Crédits : 5051Messages : 9RPs : 28 816Gallions :
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hope of morning (bemi) ENM4ltEE_o
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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] staring at the mirror with only myself to blame Elle avait un peu hésité avant de prendre son téléphone pour envoyer le message. Les questions habituelles avaient freiné ses doigts jusqu'au moment d'appuyer sur send. Puis elle avait posé le portable en y jetant des coups d'oeil à chaque fois que l'écran s'illuminait d'une notification. « Somi ? » Des doigts claquent près de son oreille lui faisant prendre conscience de son étourderie. « Is it my turn already ? » La question enclenche quelques soupirs autour d'elle mais la présidente du club de musique s'efforce de les ignorer. Après tout, il s'agissait de Somi. Elle tourne plusieurs pages du carnet de partitions ouvert devant l'idole pour lui indiquer l'endroit où ils sont. « There, it's your solo. » Puis elle ajoute. « If you don't feel like playing today, you can switch with someone else. » La kasai s'agite immédiatement sur son siège. « I'm fine, it was just a tiny mistake. » Elle se défend comme elle peut et pose ses doigts sur les touches du piano devant elle.

« Somi ? » Elle lève les yeux dans un effet de déjà-vu. Mince. Le téléphone devant elle venait de s'illuminer d'un message qu'elle anticipait depuis le début de la répétition. Elle hésite, Somi. Entre défendre une nouvelle fois sa cause - c'est qu'elle avait des tas de soucis qui la préoccupaient - ou abandonner.  Le silence de la présidente est cependant assez équivoque pour que la pianiste décide de quitter son poste. « Just take a break, alright ? » entend Somi pendant qu'elle rassemble ses affaires. Un haussement d'épaules en guise réponse, l'idole traverse la pièce.

Fuck. Elle marmonne entre ses lèvres une fois seule dans le couloir. « I don't need a break, son dos se colle au mur le temps de se calmer, i need… something else. » Babylone. Elle soupire. Ou peut-être Keita. Sa main vient aussitôt cogner son front pour s'enlever cette pensée. Et bizarrement elle se rappelle l'objet de sa distraction ; le message de Berlioz. La sorcière s'empresse de rejoindre le lieu évoqué par le daichi. Toc, toc. Elle frappe toujours deux fois. Toc, toc, toc. Et termine par trois petits coups. La kasai ouvre la porte, passe d'abord la tête dans la pièce pour repérer Berlioz, et y entre entièrement pour le saluer. Aussi naturellement que possible. « Hi, elle s'avance, you look busy so… i won't stay long. » Ou peut-être essayait-elle simplement de ne pas trop s'attarder auprès de son ancien beau-frère. « Can I have the pictures ? »
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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] staring at the mirror with only myself to blame le second semestre a débuté sur une note positive, la première après de longs mois dans le brouillard : berlioz a décroché le stage dont il rêvait. quiconque le connaît sait son admiration pour ushida sensei, et c'est avec détermination qu'il a accepté la première tâche, décrite comme capitale, qu'a souhaité lui confier son mentor, à savoir—

le café.
l'annonce a été une douche glaciale mais les traits du vieil homme sont restés durs et sérieux ; il ne s'agissait pas d'une blague. alors chaque matin depuis septembre, à 6h30 tapantes, berlioz lui amène une coupe de café en souhaitant être n'importe où ailleurs. il avait des espoirs en pagaille ; découvrir que le chercheur, médecin et alchimiste de renom exploite ses étudiants et signe dans les revues scientifiques des articles qu'il n'avait même pas aidé à rédiger n'en faisait pas partie. et lorsqu'il songe à tous les numéros du « mensuel de médicomagie  » dont il a dévoré les unes portant sa griffe durant ses trajets en magicobus, berlioz se sent simplement stupide. sera-t-il lui aussi annoté en petits caractères lors de la publication de sa thèse, recalé dans l'ombre des grands de la profession sans qu'ils ne l'aient ne serait-ce que guidé ?

l'ensemble de ce stage a tout d'une plaisanterie de mauvais goût et pourtant, à chaque fois qu'il l'évoque à des étudiants en médicomagie curieux de son apprentissage, ou qu'il se rend à l'herboristerie pour la corvée de restockage ((une tâche de première année, ffs)), personne ne manque jamais de s'extasier sur son incroyable chance, car ushida sensei ne se laisse approcher que par les meilleurs. foutaises. berlioz ravale sa bile amère et rentre chaque soir dans un loft vide de reyn ; et il ravale les plaintes et confidences que personne n'est là pour entendre. mais les journées sont longues et épuisantes, de basse besogne en tâches exagérément ardues, et s'écrouler sans la moindre énergie pour penser lui évite de ruminer l'absence de reyn, la haine de gaïa et la détresse de kei.

réalité qui le rattrape en un sms de somi, dont la notification le cueille alors qu'il s'accorde une pause désespérée durant une lutte contre l'énième invasion de puces lunaires menaçant de décimer la réserve de pierres de lunes du professeur. le message le prend de court. c'est le premier échange qu'elle initie depuis des mois — depuis la rupture avec keita, quoi qu'oz ait tardé plus que le commun des mortels à prendre conscience de la nouvelle. ses doigts criblés d'ampoules ((gracieusement offertes par la flopée d'insectes dont il peine à venir à bout)) glissent rapidement sur l'écran le temps de répondre un rapide : meet at the lab n°19 in 5. cette rupture ne le concerne pas ; la boule de nerfs qui enfle au creux de sa gorge n'a rien à y faire, et berlioz s'efforce de la ravaler.

du dos de la main, il repousse les mèches trop longues qui lui chatouilles déjà les paupières alors que mal ne les lui a coupées que récemment. ses doigts plongent au creux d'une poche spéciale de la malle que lui a offerte reyn : les quelques dossiers importants qu'il y puise sont, en réalité, placés dans un casier lié, à l'appartement — mais aisément accessible où qu'il se trouve. il parcourt rapidement celui qu'il a ainsi attiré à lui : photographies et suivi scrupuleux des soins prodigués à somi durant les mois nécessaires à la disparition de sa plaie ; il s'est appliqué, comme il le fait toujours pour les causes importantes.

somi apparaît à l'entrée du labo à peine plus tard que l'heure prévue, et berlioz ne contrôle pas son mordant lorsqu'il l'accueille d'un froid : you're late. il est échevelé, du fait de la tâche effectuée et des potions en préparation qui surchauffent chaque recoin du labo, mais surtout : il a une sale tête, toute faite de cernes, de tracas et d'animosité. le dossier glisse de ses mains à celles de somi et son estomac chute dans ses talons. c'est comme une closure, et berlioz a toujours haï cette sensation. yeah, don't let me keep you. leaving is kind of a habit of yours, isn't it ? elle n'en avait pas l'air et pourtant, somi lui apparaît désormais comme étant de ceux qui tissent des promesses en soie, pour ensuite en couper les fils.

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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] staring at the mirror with only myself to blame You're late. Elle avait anticipé l'acceuil froid du daichi, ne s'attendait pas une seule seconde à quelque chose d'autre que le strict minimum et quelques reproches. Elle avait eu la chance d'y échapper avec Rose - douce amie qui avait vu cette rupture comme un simple aléa de la vie quand tout était encore compliqué entre le cadet des Savage et elle. Impossible cependant d'en vouloir au grand-frère de ne pas comprendre ce qui était impossible à comprendre. Alors elle se balance d'un pied à l'autre devant un Berlioz bien fatigué et ses ongles tapent nerveusement sur l'écran de son téléphone. « I was busy too, you know. » tente-t-elle de se défendre tout de même. Et elle enchaîne sur un sujet lambda pour combler chaque seconde de silence qui se creuse entre eux. « … School is quite overwhelming lately, right ? » Affirmation qui, elle le sait, devrait trouver son approbation auprès du daichi. Mais peut-être n'est-ce pas le bon moment pour faire la conversation - pas quand Berlioz semble si contrariée par quelques pierres posées devant lui. Somi demande donc le document, seule raison de sa venue ici, et se met en tête l'objectif de vite s'en aller. Lorsque le dossier lui est tendu, Somi pense alors la mission accomplie ; elle tend la main mais ses doigts hésitent à se refermer sur la pochette quand le sorcier s'adresse à elle. « It's not… elle soupire et récupère tout de même le précieux, I mean I just need the whole thing for… something. » Et le silence se réinstalle mais cette fois-ci Somi l'accepte - le temps de réfléchir à quoi dire et quoi faire.

Les mots de Berlioz ont peut-être l'effet escompté ; impossible pour elle de partir, de prendre la fuite en donnant ainsi raison au daichi. « … You're saying this because of Keita. » Ses paroles sonnent comme une observation alors qu'elle les voulaient question. « But I didn't leave him. » Elle sait qu'ils se sont tous les deux accordés, que les choses se sont terminées - suspendues ? - sur un accord commun. « Not really. » Elle tempère finalement son propos. Keita lui avait rejeté la faute dessus et elle aussi en faisait maintenant de même, aucun des deux ne voulait accepter le blame d'avoir laissé l'autre partir. Elle avait cogité sur la rupture, acceptait parfois qu'elle était à l'origine de tous leurs problèmes et refusait tout autant de fois de vouloir être tenue pour responsable - pas quand elle avait fait tout ça pour le protéger. « Did he even tell you what happened ? » Elle pose pour la première fois un regard jugeur sur le cadet. How can you judge me so fast ? « You shouldn't talk to people like this if you want them to stay. » partage la sorcière, piquée plus que d'habitude par les mots d'un Berlioz maussade. En opposition à la prédiction du daichi, Somi s'avance vers lui et prend la chaise la plus proche d'elle. La kasai s'installe à l'envers, profite du dossier du siège pour y poser ses coudes. « I'm quite busy but, son regard se pose sur l'horloge accroché au mur avant de se concentrer sur Berlioz, i have some time, annonce la chanteuse, … so what are you doing ? » Elle contemple les pierres de lune pendant plusieurs secondes, en se demandant ce qu'elles pouvaient avoir de si spécial pour que Berlioz lui-même s'occupe de les désinfecter. « Isn't that something for a second year or so ? » elle s'interroge, arque un sourcil devant la minutie du Savage malgré ses mains abîmées. « … Do you need help ? » propose-t-elle maladroitement, comme si son cursus d'arts était suffisant pour être une assistante utile.
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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] staring at the mirror with only myself to blame la frustration lui cuirasse le cœur comme un nid d'épines ; elles s'enfoncent à chaque battement et rendent son timbre plus aigre. I was busy too, you know, justifie somi, et berlioz est à ça de répliquer : yeah, new boyfriend, i heard, mais le respect qu'il éprouve néanmoins pour elle parvient à percer les ténèbres de son aigreur juste à temps pour le museler. … school is quite overwhelming lately, right ? il peut le lui accorder. en témoigne la façon dont ses épaules s'affaissent sous le poids d'un épuisement évident, mais sa mâchoire se crispe en un message clair : il ne compte pas lui faciliter la tâche, ne souhaite pas lui concéder un terrain d'entente. un grognement indistinct est la seule réponse qu'il offre.

il ne souhaite pas qu'elle s'en aille, car il y aurait dans cet au revoir quelque chose de définitif. or il ne souhaite pas qu'elle reste, car sa gorge n'est emplie que du venin que lui inspire l'état dont il a désormais le devoir d'arracher son petit frère. l'agacement de ne pas savoir ce qu'il veut d'elle lui fait poser un peu trop fort une fiole, verre claquant contre la surface de la table. ce n'est pas comme s'il s'était jamais senti concerné par les relations ((ou non-relations)) de keita ; habituellement si fluctuantes et inconsistantes, que l'aîné ne s'est jamais attardé plus que le temps d'un coup d'œil dédaigneux sur les conquêtes s'amourachant du kasai. peut-être a-t-il voulu percevoir une lueur d'espoir dans la façon inédite qu'avait somi de tirer le meilleur de kei. peut-être se sent-il simplement stupide d'avoir cru qu'elle était différente des précédentes — et de celles qui suivraient.

but I didn't leave him, nie-t-elle pourtant, et les sourcils du daichi se perchent si haut qu'ils disparaissent dans sa frange. not really. à cela, il exhale un souffle d'exaspération moqueuse. how can you "not really" dump someone ? what a concept. did he even tell you what happened ? elle proteste, et la réponse est évidente : he never shares much. et ses prunelles défient les siennes lorsqu'il ajoute avec amertume : and i don't care anyway. il n'est pourtant pas nécessaire d'être ekisha pour savoir combien ses mots sont mensonges. you shouldn't talk to people like this if you want them to stay. et s'il est tenté de cracher qu'elle peut bien s'en aller, il se mord la langue, ravalant sa mauvaise foi criante. leurs regards se soutiennent un instant avant qu'il ne détourne le sien, moitié par nécessité de se concentrer sur la tâche qu'il néglige depuis son arrivée et moitié par honte de son attitude envers elle.

une fois de plus, il tente de s'assurer qu'il s'en moque. elle peut sortir de la vie de kei — et de la sienne par extension. sans y laisser de trace. no big deal.

i have some time, offre-t-elle, et l'instinct d'oz lui souffle que ce n'est pas tout à fait vrai ; pourtant : … so what are you doing ? il lui lance un coup d'œil cryptique : ne comprend pas qu'elle prenne le temps. isn't that something for a second year or so ? aoutch, il grimace, sarcastique, avouant à demi-mot qu'elle a tapé dans le mille. mais à sa proposition d'aide, il stoppe l'approche de sa main d'un : don't- ! abrupt, qui sonne comme un rejet. s'éclaircit la gorge en regardant ailleurs au moment de clarifier : … they're infested with moon fleas. those fucking space bugs are such a pain in the ass, they give the worst blisters. berlioz lui donne le dos quelques secondes, le temps de récupérer quelque chose sous un autre comptoir — et revient armé d'une paire de gant, qu'il enfile sur ses mains délicates. here, il murmure, avant de retourner à ses pierres de lune et aux sortilèges informulés qui en délogent les intrus.

le silence qui s'installe entre eux est inconfortable, comme un bond en arrière. il est à l'image de l'étrangeté de leur relation : deux inconnus ayant partagé quelques lourds secrets avant même de tout à fait se comprendre. les gestes de berlioz sont précautionneux, mais ses pensées sont ailleurs. people never stay. no matter how much we want them to. il n'interrompt pas sa tâche. calant chaque étape sur un décompte méthodique qui rythme ses mouvements et stabilise ses émotions ; les engourdit. i know next to nothing about your relationship and you probably had your reasons, il admet ; it's just that… kei's not doing well. at all. il y a bien des mots qui en découlent. des i'm worried et autres i don't know how to help him qui se lisent dans les plis soucieux de son front, mais qu'il ne formulera pas. and it hurts, seeing him like that. le sentiment d'impuissance qui lui ravage le cœur ne semble pas vouloir s'atténuer. il s'empresse tout de même d'ajouter : not that it's your problem anymore. i'm not trying to guilt-trip you or anything. le fait est qu'il lui en a terriblement voulu… ou a cru lui en vouloir. il ne sait plus, oz. car à la voir ainsi devant lui, gamine aux épaules trop frêles pour porter le fardeau de tous les démons de kei, berlioz s'aperçoit qu'il ne voulait que quelqu'un à blâmer, sans se soucier de si c'était juste ou non. et pour la première fois il se demande : hm- what about you ? are you- uh, are you okay ?
 
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