- anae — she/herIRL : park jihoon (av. moonset ; icon. cha)Avatar, Crédits : 517Messages : 2RPs : 6127Gallions :☆ミtw mort (de la petite soeur de haruka) et violence intrafamiliale (père violent, surtout sur des objets mais occasionnellement contre sa femme ou son fils)Disclaimer :
i hope some day I'll make it out of here
even if it takes all night or a hundred years
ENFP – the campaigner
.·:*¨༺ ༻¨*:·.
SAKURAI NEJI ((the storm))Multicomptes : 20.03.99 ; 23yo.Naissance & Âge : he/himPronom(s) du personnage : #99cc99Couleur de dialogue : ETUDIANT cinquième année de sciences médicomagiques.
YANG HANA ((the flower))
CHOI SUNHEE ((the sun))
NA JUNSEO ((the breeze))
SEITOKAI bien qu'il ne soit pas le plus assidu des membres.Occupation :
LEGILIMANCIE
LECTURE CONTRÔLE DES EMOTIONS seuil 3
6 points de compétence (0 points en réserve). Particularité(s) :.☆。• *₊°。 ✮°。
☆°。 ☆°
❝ ― le vent de la nuit froide
me renvoie la ballade
que j'avais écrite pour toi ❞
✮°。 ✮°
.✮。• *₊°。 ☆°。
((love line))NATSUKI — romeo & juliet((positive))KOUTA — his broken best friend
MONA — best friend
AMU — studious best friend
NAEUN — close friend((blurry))TIANYI — color & demi-frèreRelations :
「and as the earth runs to the ground,,」「„oh girl it's you that i lie with」
Plume à Papote :— seitokai ❝ say you were made to be mine
IRL : anae — she/her
Avatar, Crédits : park jihoon (av. moonset ; icon. cha)
Messages : 517
RPs : 2
Gallions : 6127☆ミ
i hope some day I'll make it out of here
even if it takes all night or a hundred years
ENFP – the campaigner
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Disclaimer : tw mort (de la petite soeur de haruka) et violence intrafamiliale (père violent, surtout sur des objets mais occasionnellement contre sa femme ou son fils)
Multicomptes :SAKURAI NEJI ((the storm))
YANG HANA ((the flower))
CHOI SUNHEE ((the sun))
NA JUNSEO ((the breeze))
Naissance & Âge : 20.03.99 ; 23yo.
Pronom(s) du personnage : he/him
Couleur de dialogue : #99cc99
Occupation : ETUDIANT cinquième année de sciences médicomagiques.
SEITOKAI bien qu'il ne soit pas le plus assidu des membres.
Particularité(s) :
LEGILIMANCIE
LECTURE CONTRÔLE DES EMOTIONS seuil 3
6 points de compétence (0 points en réserve).
Relations :.☆。• *₊°。 ✮°。
☆°。 ☆°
❝ ― le vent de la nuit froide
me renvoie la ballade
que j'avais écrite pour toi ❞
✮°。 ✮°
.✮。• *₊°。 ☆°。
((love line))NATSUKI — romeo & juliet((positive))KOUTA — his broken best friend
MONA — best friend
AMU — studious best friend
NAEUN — close friend((blurry))TIANYI — color & demi-frère
Plume à Papote :
「and as the earth runs to the ground,,」「„oh girl it's you that i lie with」
— and it setting fire to my mind .
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Haruka n’est pas peu fier de ses vêtements ; il a mis du temps à trouver qui il voulait imiter, et plus encore à trouver une façon d’évoquer Alphée sans pour autant être tout nu avec un drap pour recouvrir ses parties intimes. Au final, sa chemise blanche, son pantalon et sa toge rouges et pour finir sa décoration pour cheveux en forme de goûte, pour évoquer le fleuve Alphée, le rendent entièrement satisfait. Il s’est senti encore plus joyeux quand il a vu Natsuki arriver dans sa tenue, magnifique revisite de la tenue de Aréthuse ; bien qu’elle ait l’air de compléter la tenue de son fiancée, avec qui elle est venue, Haruka sait la vérité. Il sait que le vrai couple, ce soir, c’est Natsu et lui.
Il aurait aimé pouvoir le montrer, raconter à tous les passants l’histoire d’Alphée et Aréthuse, et en quoi le mythe leur ressemble ; il aurait aimé pouvoir tenir sa main, et passer son bras autour de sa taille, lui murmurer dans l’oreille à quel point elle est belle et danser à ses côtés. Il aurait aimé ne pas avoir à cacher ce qu’ils sont, ni ce qu’ils ressentent, mais il sait qu’elle est supposée jouer le rôle de la fiancée parfaite — pour l’instant, en tout cas. Alors il n’a rien exprimé de ses désirs refoulés, il a profité de sa soirée au mieux qu’il a pu, et a mimé le hasard quand sa route a croisé celle de Natsuki. Quelques secondes simplement, deux regards qui se croisent, une lueur de complicité, et une phrase discrètement chuchotée à son oreille : rejoins moi dans le jardin d’eden à vingt-trois heures.
En apparence, rien du tout.
Mais tous les deux savent.
Lui qui est toujours en retard ne l’est pas cette fois-ci ; il est à l’entrée du jardin à vingt-deux heures cinquante-neuf, et Natsuki n’est pas encore arrivée. Il ne veut pas perdre une minute en sa présence, est déjà frustré d’avoir perdu plusieurs heures à faire autre chose. Il tape nerveusement du pied jusqu’à ce que le bleu de la splendide robe bleue de la jeune femme fasse son entrée dans son champs de vision. Alors, de suite, son visage s’illumine avec un grand sourire et une lueur d’admiration plus du tout dissimulés.
Depuis combien de temps il ne l’a pas vue habillée comme ça ? Bien sûr, elle est toujours belle ; mais ce soir, sa beauté n’a plus rien de discret, elle explose à ses yeux comme jamais auparavant. Son coeur s’emballe, son ventre se retourne, même le jardin — pourtant magnifique — n’a plus aucune chance d’attirer son attention.
Dès qu’elle arrive à ses côtés, Haruka saisit doucement sa main, et ce contact le rend fou — il en a rêvé toute la soirée. Sourire taquin sur le visage, il tire sur son bras délicatement pour qu’elle le suive, afin qu’ils s’enfoncent et se cachent dans le jardin, tels deux adolescents amoureux qui doivent se cacher de leurs parents. Pas un mot n’est échangé jusqu’à ce qu’ils s’arrêtent près d’une fontaine. Alors il se retourne, mais ne la lâche pas ; sa main libre se pose sur la joue de Natsuki, son visage se rapproche lentement, mais les derniers centimètres sont franchis rapidement, l’impatience remportant le reste. C’est un baiser court, doux. Quand il s’éloigne un peu, Haruka ne peut s’empêcher de sourire au goût fraise des lèvres de Natsuki. « Tu as vraiment mis du stick à lèvres fraise ? » Son ton amusé trahit sa surprise ; il pensait avoir tout vu de la jeune femme, tellement il l’a observé toute la soirée, mais il n’aurait pas pu savoir ça. « Je voulais te dire que tu es magnifique, mais mon impatience a pris le dessus » Sa voix est à peine plus forte qu’un murmure, comme s’il ne voulait pas être entendu, alors qu’ils sont seuls.
Haruka n’est pas peu fier de ses vêtements ; il a mis du temps à trouver qui il voulait imiter, et plus encore à trouver une façon d’évoquer Alphée sans pour autant être tout nu avec un drap pour recouvrir ses parties intimes. Au final, sa chemise blanche, son pantalon et sa toge rouges et pour finir sa décoration pour cheveux en forme de goûte, pour évoquer le fleuve Alphée, le rendent entièrement satisfait. Il s’est senti encore plus joyeux quand il a vu Natsuki arriver dans sa tenue, magnifique revisite de la tenue de Aréthuse ; bien qu’elle ait l’air de compléter la tenue de son fiancée, avec qui elle est venue, Haruka sait la vérité. Il sait que le vrai couple, ce soir, c’est Natsu et lui.
Il aurait aimé pouvoir le montrer, raconter à tous les passants l’histoire d’Alphée et Aréthuse, et en quoi le mythe leur ressemble ; il aurait aimé pouvoir tenir sa main, et passer son bras autour de sa taille, lui murmurer dans l’oreille à quel point elle est belle et danser à ses côtés. Il aurait aimé ne pas avoir à cacher ce qu’ils sont, ni ce qu’ils ressentent, mais il sait qu’elle est supposée jouer le rôle de la fiancée parfaite — pour l’instant, en tout cas. Alors il n’a rien exprimé de ses désirs refoulés, il a profité de sa soirée au mieux qu’il a pu, et a mimé le hasard quand sa route a croisé celle de Natsuki. Quelques secondes simplement, deux regards qui se croisent, une lueur de complicité, et une phrase discrètement chuchotée à son oreille : rejoins moi dans le jardin d’eden à vingt-trois heures.
En apparence, rien du tout.
Mais tous les deux savent.
Lui qui est toujours en retard ne l’est pas cette fois-ci ; il est à l’entrée du jardin à vingt-deux heures cinquante-neuf, et Natsuki n’est pas encore arrivée. Il ne veut pas perdre une minute en sa présence, est déjà frustré d’avoir perdu plusieurs heures à faire autre chose. Il tape nerveusement du pied jusqu’à ce que le bleu de la splendide robe bleue de la jeune femme fasse son entrée dans son champs de vision. Alors, de suite, son visage s’illumine avec un grand sourire et une lueur d’admiration plus du tout dissimulés.
Depuis combien de temps il ne l’a pas vue habillée comme ça ? Bien sûr, elle est toujours belle ; mais ce soir, sa beauté n’a plus rien de discret, elle explose à ses yeux comme jamais auparavant. Son coeur s’emballe, son ventre se retourne, même le jardin — pourtant magnifique — n’a plus aucune chance d’attirer son attention.
Dès qu’elle arrive à ses côtés, Haruka saisit doucement sa main, et ce contact le rend fou — il en a rêvé toute la soirée. Sourire taquin sur le visage, il tire sur son bras délicatement pour qu’elle le suive, afin qu’ils s’enfoncent et se cachent dans le jardin, tels deux adolescents amoureux qui doivent se cacher de leurs parents. Pas un mot n’est échangé jusqu’à ce qu’ils s’arrêtent près d’une fontaine. Alors il se retourne, mais ne la lâche pas ; sa main libre se pose sur la joue de Natsuki, son visage se rapproche lentement, mais les derniers centimètres sont franchis rapidement, l’impatience remportant le reste. C’est un baiser court, doux. Quand il s’éloigne un peu, Haruka ne peut s’empêcher de sourire au goût fraise des lèvres de Natsuki.