into the mirror ((ft. usagi))

into the mirror
and I'll let you my hand to bloom again ( outfit )
Odeur à venir embellir les regards, s'échauffent les étoiles pour scintiller à chaque geste ,, c'est que les verres en venaient à se transformer en miroirs, refléter les iris, figures à se déformer ! quand tout en était si intriguant : car des visions, chacune en était différente. rosée à venir se déposer contre ses doigts, à créer lumière là où il n'y en avait jamais eu ,, ô ici : il avait l'impression de renaître. des parfums à envoûter les salles, il y passerait heures interminables ! à sourire ,, montrer ce qu'il savait le mieux faire, quand chacune des douceurs venaient s'apposer dans les commandes servies, sucreries merveilleuses, quand d'un peu de temps libre il en tenait livre entre les paumes comme pour en raviver les passions. alors chantaient les poèmes, dans sa tête, ivre des mots qui s'en déposaient contre ses tempes, à parfois venir admirer les salles, sourire aux douceurs lui faisant face comme endroit merveilleux.
à en aimer,
chacun des recoins.
jusqu'à recommencer !
alors les poumons fleurissaient, des calmes permanents : jusqu'aux éclats de voix ! à attirer regards sinueux, attentions captivées de ses doigts à préparer mélanges automatiquement. quand délicate figure ,, en semblait si dépourvue face aux énervements palpables ,, à en subir gestes trop violents pour les lieux. de quelques regards, yeux à se plisser, il déposa son verre fini sur un plateau ; à en saisir à la place quelques biscuits comme présents miraculés. doigts à se frotter contre son uniforme, corps à se dégager de derrière les comptoirs, il se mit à sourire bien trop poliment, main à se poser délicatement sur l'épaule de celle aux parfums d'aurore ((Usagi)) ; quand d'un corps à se placer discrètement devant elle, il voulait en faire taire les chaos. "je peux vous aider ?", d'une politesse sans faille, voix si légère, quand il en prendrait relai des situations si épuisantes, à saluer tout doucement cliente aux ardeurs sans faille. "je vais m'occuper de vous si vous le voulez bien. mais veuillez baisser votre voix je vous prie et ne pas toucher le personnel. veuillez accepter cela pour nous excuser.", à déposer assiette devant les figures en colère, quand pourtant les préoccupations en étaient ailleurs.

de ces envies :
de vouloir en calmer ,,
les pulsions.

c'est qu'il viendrait à tout doucement se pencher vers la plus petite, pour en murmurer quelques mots. "tout va bien ?" à vouloir s'assurer : que la situation n'en était pas plus grave ,, quand les regards n'en étaient qu'auprès d'elle, lui qui n'en hésiterai pas à froisser la clientèle pour le bien être de ceux qui l'entouraient. alors il voulait en tenter diplomatie, quand tout en semblait disharmonie, face à eux ! tester les limites : de ce que les miroirs pouvaient refléter, au devant des scènes éclairées et bordées de pivoines si gracieuses.

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Douceur d'un printemps qui vient presque à toucher à sa fin ; il y a des pétales qui volent dans les airs, se mélangent aux effluves sucrés, quand le monde en accueille les merveilles de ses bras grands ouverts. Gigi est petite danseuse étoile au milieu de ces joyaux, elle prend soin d'en abîmer aucun, de soigner chaque blessure du bout de ses doigts malgré la maladresse de ses gestes, malgré l'idiotie de ses paroles. Jamais une grande sorcière, elle ne sera jamais citée dans les contes que l'on murmurera aux enfants plus tard. Elle ne marquera aucun esprit, en dehors de ceux qui sont à ses côtés. Non, Usagi n'est pas très puissante, pas très douée. Elle perd tout, comme elle se perd souvent dans les rues, dans les couloirs, ne retrouve son chemin qu'avec la chance du monde ! De sa joie qu'elle ne sait pas perdre ;
Son coeur est bourré d'amour, il ne fleurit qu'aux baisers doucereux.
Aux affections qui font rougir ses pommettes,
Encore candide de l'enfance qui ne semble pas si loin quand on l'admire rayonner de joie et de toutes les plus belles nuances du monde ! Quand on dépose les yeux sur elle, quand on entend son rire résonner entre chaque pièce. Elle court parfois pour attraper les papillons, mais ses ailes n'ont pas encore pu éclore assez pour qu'elle puisse s'envoler avec eux ! Petite fée qui reste accrochée à la terre, à en observer les violences d'un chaos qu'elle ne saura jamais maitriser. Elle est simple, pure, ne pense pas toujours à tout, et ses jambes sont des cannes à sucre qui ne sont que se briser, glisser, quand tout tremble. Comme aujourd'hui. Pieds qui s'entrechoquent jusqu'à renverser les boissons que tenaient fermement ses mains, cristal à s'éclater sur le sol. Verre rapidement ramassé alors qu'il n'y a que des excuses qui s'étouffent entre ses lèvres, des larmes dans le coin de ses yeux, quand client se montre soudainement trop colérique, à élever la voix sur elle, petite, fragile à se briser à la moindre brise ! Les épaules tremblantes de peur, quand ange à venir la protéger, dos derrière lequel elle se cache, écoutant attentivement la conversation. Doigts qui s'accroche au tissu alors que le front se réfugie quelques secondes contre lui. Hmhm... Thank you... Voix qui ne s'élève pas comme d'habitude, la gorge nouée des larmes qu'elle voudrait évacuer, mais elle ne se brise pas, pas encore, parce qu'elle déteste se montrer faible, triste, ou même en colère. Masque derrière lequel elle a toujours su se cacher, à chaque instant de sa vie ; parce que Gigi est toujours plus belle lorsqu'elle est joyeuse. I’m gonna go throw this away and clean my hands... Alors qu'elle croise son regard quand elle lui montre les morceaux cristallins dans ses paumes, avant de s'échapper rapidement derrière le bar, quelques larmes qui s'envolent dans les airs.

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Et dans les souvenirs, tout se redessinait. il n'était que simple pantin sans pensée, à errer comme si les vies s'étaient échappées de lui. trou béant ! là, au creux de la poitrine, sorcier aux failles si importantes, quand les sourires en seraient son meilleur sortilège pour en contrer les blessures. magie à faire flotter verres et fleurs ! quand valsait autour de lui les souvenirs, pour en faire rêves éveillés, d'attentions capturées par les chaos qui prenaient place comme théâtre en plein air. monologues aux airs à venir traîner les esprits dans les limbes ,, et même la plus belle des tragédies ne parviendrait à en faire resplendir les poèmes qui en semblaient violences. de quelques éclats, s'abattraient les plus comme calomnies : quand il en avait décidé de reconstruire toute une épopée. nouvelle vie ((où les couleurs du monde seraient harmonies)).
d'un cœur,
à nouveau vivant :
à crier ,,
tous ses amours.
et les rires se faisaient rois, ici, comme si les épaules si grandes ne pouvaient plus s'en briser. car il y avait les fées qui venaient danser, dans les salles, de leurs sourires, de leurs timidités. quand bien trop souvent les regards venaient en observer les tendresses comme désillusions. ô virtuosité des pas, jusqu'aux maladresses les plus délicates ; il en viendrait épauler la jeune fille aux verres brisés ((aux voix déchaînées.)) c'est qu'Ari, il viendrait tout doucement en cacher les figures de celles aux candeurs si parfaites, pour ne pas que l'on vienne les lui briser. à en sentir sa présence, d'un front posé quelques secondes contre lui quand il n'en perdait pas les faces.  "That's okay. don't worry." sourire qui se voulait rassurant, pour celle aux étoiles flottant tout autour d'elle ,, ô il s'en tiendrait si droit ! quand les erreurs en étaient normales ; que même lui, avait déjà cassé et briser porcelaine la plus précieuse.

à ne faire ,,
que politesse :
là où irrespects dénotaient.

c'est qu'il viendrait à en refaire la commande de la petite table, quand une voix si légère se faufila à ses oreilles. paupières à se cligner pour en afficher les réalités de ses mains aux figures rougies de glace ,, ô il s'inclina rapidement pour venir la suivre derrière le bar, à venir en interrompre ses gestes en lui saisissant tendrement le poignet pour observer l'une de ses mains. "did you hurt your hands with some glass ?", qu'il demanda tout doucement, à passer un instant l'un de ses doigts contre sa paume pour vérifier : car fragilité entre les mains,, à être dotées de tant d'importance. "if it hurts tell me I'll help you remove the fragment.", à sourire tout doucement comme pour en apaiser légèrement ses fines épaules, quand pour lui ,, elle en était plus importante que les colères de quelques clients. "and don't worry about that table. they don't look really...nice. it happens to break things. the most important is that you're okay.", importance à venir lui dire ,, quand il ne voulait pas en voir larmes causées par les horreurs des autres. "I'll redo their order. just stay here to rest a bit hmm ?", de mains à toujours s'occuper, glisser les verres, les couleurs au creux des recettes : à veiller sur elle,, quand les concentrations en semblaient pourtant imperturbables.

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Délicatesse du bout des doigts, quand les cristaux ne font que se briser à chaque fois que les doigts se posent dessus. Maladresse divine, d'une enfant qui n'a jamais réellement fait attention aux valeurs de ce qui l'entoure. Elle est belle, Usagi, grâce d'un ange quand elle reste pourtant ô grande candeur enfantine. Elle est douce, il y a un peu de rouge à lèvres contre les pulpeuses, un peu de fard à paupières sur ses yeux, les joues rougies, souvent, par les tendresses ou la honte. Elle a les mains fines et argentés, d'une pâleur à contraster avec le soleil !
Finesse d'une nymphe, elle est loin de ces jardins d'Eden, loin de tout ce qui la rend belle, sublime fleur, soyeuse de ses pétales délicates. Loin des colères à en faire frissonner le coeur, les peaux. Elle a peur, petite fée qui vient se rouler en boule sous les couvertures dès que les erreurs se font violentes dans le fond des gorges. Alors elle ne fait que fuir ; toujours.
A porter ces cristaux loin des yeux des clients, alors que goute de sang glisse et coule contre sa peau, rapidement essuyé dans un torchon qui se trouvait près du bar ; elle ne laissera jamais les faiblesses éclairer aux yeux du monde. Secret qu'elle ne pourra garder très longtemps, quand la chaleur d'une autre main vient s'emparer de son poignet, fin et délicat. It’s nothing. It’s not very deep... Rougeurs sur les pommettes, de peur de n'être qu'une gêne, une étoile de trop dans le cosmos qui brille déjà bien, mieux sans elle. Elle est petite et fébrile. Et elle n'a aucun talent, magie illusoire, et tout vient lui rappeler, sans cesse. No, it’s okay, they’re right, I’m too clumsy. I shouldn’t bring the orders. Tête secouée, mèches qui volent quelques instants dans les airs alors que le sourire n'est qu'une mascarade sur son visage de poupée, elle se force à lui apporter lumière quand la sienne s'est éteinte de culpabilité. I'm sorry, I didn’t want to disturb you. I promise I won’t be noticed. S'effaçant avec douceur, le corps glisse un peu plus loin, attrapant les verres à sécher, avant de les ranger sur les grandes étagères, sur la pointe de ses pieds, enfant trop petite pour en atteindre les cieux ; elle ne fera jamais partie de l'Olympe.

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Les muses viendraient à pleurer ,, des beautés de celle qui avait été dotée de tant de grâces ,, joyaux à scintiller ! sourire ! même quand les chaos en étaient permanents. de ses sourires, s'éteignaient les peurs, et peut-être que derrière ces commissures s'en cachaient là blessures à ne faire que dissimuler. car Ari n'en connaissait que trop ce que les blessures en faisaient ; quand se brisaient les fenêtres sous les cris, quand les cieux s'en couvraient sous les nuages et pluies. et il n'y avait plus rien d'aimant, dans les organes où les fleurs venaient en créer cage autour des sentiments.

à captiver ,,
les gentillesses !

Usagi ,, victime des tendresses, candeurs à faire sourire, quand il y avait étrangement les envies d'en voir de réelles étoiles, derrière les artifices ,, qui en semblaient donner vie aux fées de tout un monde. car elle en était gardienne des temples, ici, quand de ses regards posés sur elle, il n'en ferait aucun blasphème. de quelques verres brisés se rependant, saluer figures si désagréables pour en rejoindre ses côtés, ô il en découvrirait les secrets tentés d'être gardés : d'une main à effleurer les paumes, de sourcils à se plisser. "not very deep but still. it might hurt, so stay here I'll disinfect it.", douceur éclatante, à faire vibrer les sourires ,, quand si petite auprès de lui, si fragile, il voulait sans doute en faire perdurer un peu plus ses bonheurs sans ne même s'en rendre compte.
car les fleurs ,,
fanent toujours :
avant de renaître.
"no they're not right. I have broken things too, it happens. no need to yell and be agressive to you. never. plus you have your place here, and I'm sure every client would be really happy to see your smile.", car ses mains à lui en venaient à trembler : quand les perfections n'étaient jamais acquises ! à être incontrôlé, simple vestige du temps, Ari ne faisait que vivre dans le passé, quand pourtant les regards s'en posaient sur les chaleurs d'un moment. main légère à s'élever vers le haut de sa tête, timidité factice pour en apaiser les épaules, il ne ferait que la regarder un instant, à finir les boissons avant de la rejoindre, à saisir les verres lui-même pour les ranger à sa place. "you don't disturb me Usagi. really. so stay here I'll show you something." à s'en écarter du bar pour en donner commande nouvelle, revenir auprès de la douce pour en saisir tout doucement les mains et venir en nettoyer les quelques blessures même si légères, il souffla délicatement sur les paumes rosées pour en épargner les douleurs, avant de ne prendre un nouveau verre, comme pour distraire les attentions de la jeune fille. "what's your favorite color Usagi ?", bienveillance au visage, et il voulait en faire briller les étoiles : de quelques créations miraculée.