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Invité
Anonymous
Invité
sonnets of a sorcerer.
Vanda Rosier dolohova
FT. ELLA PURNELL, blood eagle,


A BRIEF HISTORY OF TIME

— prénom & nom ; vanda nastya rosier-dolohova douce vanda, que beaucoup orthographient wanda par habitude ; wanda comme l'héroïne, wanda comme la magie rouge, wanda comme la fille qu'elle aurait pu être. ça ne la dérange pas outre mesure ; elle s'accommode toujours de tout, elle est connue pour ça. quelques uns ignorent encore qu'elle est nommée d'après une espère d'orchidée (les orchidées vanda, fragiles, difficiles à fleurir, mais aux racines imposantes), comme l'exige la tradition chez les rosier. rosier, rosier, les fameux rosier — famille noble, vieille aristocratie, vieille fortune, vieux privilèges. longtemps, ils ont eu les pieds au royaume-uni ; à présent le pays les a chassés et tous se sont empressés de converger vers le lieu gardien de leur âme, qui a toujours été française. nastya, second prénom souvent ignoré des foules, choisi avec attention par la famille de sa regrettée mère, les dolohov. mangemorts notoires, auteurs de sévices incroyables puis battus par la guerre, il ne reste presque plus rien d'eux si ce n'est une grandeur passée — et une poignée d'enfants. derrière la carte vanda rosier se cache immanquablement la russie maternelle : nastya dolohova elle est, nastya dolohova elle restera.

— âge ; 24 ans petite dernière d'une fratrie trop grande et trop diverse pour son propre bien, elle est l'éternelle enfant à protéger malgré ses vingt-quatre ans

— naissance ; 00 00 1995, paris c'est à paris qu'elle est née, un jour d'automne, puis à beauxbâtons qu'elle a mis les pieds.

— origine(s), nationalité(s) ; française, russe & anglaise une bonne moitié d'elle est anglaise, accent à l'appui — huppé et moqueur sans le vouloir. l'autre moitié se divise entre la france et la russie, toutes deux prépondérantes dans sa vie. elle en parle les langues et en épouse les nuances.

— sang ; sang pur les rosier sont la pureté de la france, les dolohov sont la pureté de la russie ; son sang est soit-disant parfait, et elle est la première à n'en avoir rien à faire.

— baguette ; 23cm, mélèze, crin de licorne depuis l'arrivée de vanda au japon un haiku s'y est déposé ; elle l'aime beaucoup, au moins tout autant qu'il lui donne envie de pleurer.

maison en ruine
mais avec le matin
plein soleil

Spoiler:


— maison ; daichi, la terre  incontestable, comme une évidence, ça coulait de source. il n'y a eu aucune hésitation lorsque le chien viverrin s'est avancé. elle a tendu la main, ils se sont adoptés.

— occupation ; potioniste & détective sa passion pour les potions lui a permis de sortir de sa prison dorée, mais aussi d'être repérée. recrutée par mahoutokoro, école d'excellence, grâce à un dossier tout aussi excellent, elle mélange ingrédients saugrenus et soupçon d'audace jusqu'au boom qui détonne avec sa nature de fille renfermée. à la fin d'une journée harassante, c'est sur le canapé en cuir décrépi du bureau de son père qu'elle s'affale - le détective privé refuse de s'épancher sur ses affaires mais même lui ne peut résister à l'invisible curieuse qu'est vanda. sur son temps libre, l'étudiante potioniste foule des sols qu'elle ne devrait pas fouler et entend des conversations qu'elle ne devrait pas entendre, s'improvisant elle aussi détective privée.

— club(s) ; potions précision ici (cf liste et/ou équipes de quidditch).

— situation financière ; riches (officiellement), fauchés (officieusement) la noblesse a chuté mais la noblesse reste dorée ; c'est tout du moins ce qu'elle croit encore, loin de se douter que trône, un milieu du coffre familial, un trou béant. dolohov comme rosier n'ont plus une thune mais se permettent encore de fermer les yeux sur leur chute programmée et de vivre dans des palais à l'image de ce qu'ils étaient.

— statut civil ; célibataire & pansexuelle la belle est prude d'apparence mais incline aux relations charnelles, ne dit presque jamais non et aime goûter. paradoxale — elle est accro aux relations enflammées teintées de respect ; ne conçoit pas de coucher avec quelqu'un qui ne soit pas, finalement, un ami qu'elle aiderait en toutes circonstances mais ne conçoit pas non plus de laisser une occasion filer.

— animal de compagnie ; réponse brève et précisions ici.

— amortentia ; réponse brève trois odeurs représentant ce que le personnage aime le plus (exemple: aliment, objet, personne…).

— patronus ; rouge-george

— épouvantard ; réponse brève facultatif.

— risèd ; réponse brève facultatif.

— particularité(s) ; invisibilité Précisions précisions uc.

— mode de vie ; rangée, elle ne fume pas, ne boit qu'occasionnellement, n'a aucun problème alimentaire, ne se pose pas de questions, se laisse vivre, boit quand elle est soif et mange quand elle a faim. un peu bordélique, chambre en fouillis, bordel joyeux et joyeux bordel. pleine de vie, sauf lorsque le manque vient frapper, que la drogue se rappelle à son bon souvenir, foutu potion qu'elle a elle-même créée.  
AESTHETIC ;;

citation de ton choix ou lyrics de chanson ici pour représenter ton personnage
qualité ici défaut 1 une qualité encore un défaut encore une qualité et un défaut


KEYWORDS

paroles de chanson, citations, mots clés qui représentent ton personnage
A WIZARDING GENEALOGY

— Famille ; au milieu des tempêtes trône toujours aspen, oiseau-corbeau entouré d'un halo de lumière, enfant-démon qui, seul, la comprenait, la comprend encore et la comprendra toujours. rien n'arrive à la cheville de son demi-frère, enfant d'une autre mère qui, pourtant, l'a toujours laissée vivre sous son aile.
puis la marmaille bruyante se décline au féminin uniquement, succession de femmes aux airs d'oeuvres d'art. dalhia est mère avant l'âge, enfant tuée, responsabilités écrasantes sur des épaules qui ne veulent que se briser. caspia est artiste, illusions, rêves qui jamais ne se réaliseront. vanda campe la troisième position, suivi de près par les jumelles : cosmos et ses boots noires, ses facilités, sa nonchalance et son excellence ; ivy et ses ongles vernis, sa peur du rejet, ses hurlements internes perchés sur de hauts talons.
elle les aime, et elle les aime, et elle les aime à s'en faire mal.
papa n'est pas le monstre que les procès de guerre ont dépeint. papa n'est pas juste un ancien mangemort. papa n'a jamais tué personne et n'a jamais considéré que seules ses filles étaient pures. c'est faux. il est différent maintenant ; il se rachète, elle le voit, son cabinet de détective remet souvent des étoiles dans les yeux des gens. elle ne voit pas de quoi il veut se racheter (ne veut pas le voir). en revanche elle voit qu'il se spécialise dans les disparitions étranges à cause de maman.
maman n'est plus. fière dolohova au sourire aussi carmin que ses cheveux, c'est du gouvernement russe sorcier dont elle était la black widow. ses pas l'ont menée dans tant de pays, tant d'histoires, tant de secrets interdits qu'elle a tout oublié. obliviate, a dit son employeur. et bientôt sa mémoire s'est mise à déconner, elle mettait ses chaussures dans le frigo, mélangeait les prénoms de ses filles, crisait devant un arbre qui ne voulait pas lui répondre. folle, ont dit certains, malade, a dit papa, malade d'un sortilège qui a déconné, et un jour elle est partie, ou elle a été enlevée, ou bien elle est morte, périssante dans un fossé, dans tous les cas maman n'est plus.


— Chronologie ; date ici description là

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THE LIFE AND LIES OF vanda rosier

soleil.en.sursis DAMN THOSE EYES makeup charbonneux, yeux toujours très noirs, et pourtant somehow elle fait toujours office de douceur incarnée. certains sont perturbés, tes yeux ne sont pas normaux, ils sont trop grands, ils sont trop clairs, d'autres chavirent, tous ont quelque chose à dire.

ROSE TATOO elle possède, comme tous les membres de sa famille, un tatouage sorcier représentant un rosier. chaque rose est associée à l'un d'eux et en porte des traits caractéristiques (ainsi, depuis la disparition de leur mère, sa rose se pâme d'un manque de couleur criant ; seuls les contours noirs sont encore visibles). l'encre se déplace aisément mais, dans le cas de vanda la discrète, reste majoritairement dans des endroits que le lambda ne peut pas voir — le dos, la plupart du temps.

LANGUAGE ! elle parle russe (sa mère), anglais et français (son père) ; depuis quelques années, elle baragouine quelques mots dans un japonais mal assuré. non respect des formules de politesse qu'elle peine à intégrer — on lui passe tout, ses grands yeux y sont pour beaucoup.
dans toutes les langues du monde, aspen l'affuble de surnoms qu'ils sont seuls à assumer. elle est son rayon de soleil, il est son beau brin, un roseau, un petit diamant, toujours elle le défend.

LONELY IN THE CROWD tendance à être seule, même dans une fratrie nombreuse et bruyante, à ne pas parler trop fort, ne pas se faire entendre ni être écoutée, à ne pas marquer les esprits et rester invisible. elle se perd dans les foules, s'y noie. préfère largement les dynamiques en duo, voir en trio - se sent à son aise lorsque son âme s'entremêle à une personne.

SICK & TIRED OF BEING SICK & TIRED quatre murs. parfois cinq. elle vit sa vie recluse, elle n'a pas le droit de sortir, on le lui a dit, si tu sors, tu meurs. elle est d'un type étrange, une plante d'intérieur, ses feuilles sont rongées d'une étrange maladie que personne ne parvient à comprendre. les médicomages se succèdent et ne se ressemblent pas. l'un explique qu'elle est fragile, qu'un coup de vent la renversera et la rendra terriblement malade, qu'à l'extérieur, elle s'abimera inexorablement. dégénérescence programmée, elle entend l'expression une fois, à la radio, elle a sept ans, elle ne sait pas si elle comprend mais ça sonne comme elle. elle est malade, malade, malade, tout le monde agit comme si elle était malade, parce qu'elle l'est, et les malades ils ne vivent pas, ils attendent. seul aspen brave les interdits, lui ramène des bouts d'extérieur, se fait disputer mais recommence. maman dit qu'il est inconscient, mais elle, vanda, elle sait mieux que tout le monde, il fait ça pour la sauver, il fait ça parce qu'il a vu, lui, qu'elle allait mourir dans sa prison dorée, qu'elle allait crever si on la gardait sous cloche, comme une rose très précieuse.

sa condition n'a pas de nom, mais elle a une hypothèse : sa mère, pour l'avoir, a consommé beaucoup de potions censées augmenter sa fertilité. et vanda, il fallait l'avoir, pour sauver son mariage, pour garder son mari infidèle, qui avait déjà eu aspen avec une autre, une faute, alors vanda, il fallait qu'elle vienne au monde, petit instrument pour forcer la main de son daron, c'était important, très important. il fallait qu'elle naisse, peu importe comment, quitte à ne naître qu'à moitié.

ses mains tremblent, elle est très fatiguée, très souvent, s'allonge beaucoup, tombe malade très vite, on la ménage, elle est petite, et puis fragile, tousse beaucoup, sourit tout autant, n'arrive pas à courir, hors de question de monter sur un balais, sa magie la met à plat, elle dit alohomora et s'effondre, c'est une catastrophe, cette fille, cette vie, une catastrophe.
elle ne sort pas, on lui promet que ça va s'arranger, un jour on saura ce que c'est. en attendant elle doit être patiente, tu seras patiente, pas vrai, ma chérie ? un jour on trouvera un remède, et alors tout sera mieux pire.

THE CURE le remède, elle l'a trouvé. quinze ans enfermée. permission de sortie le dimanche, une heure, celle du repas, qu'ils prennent en famille dans les jardins français du château. quinze ans à chercher, c'était une question de survie, alors ça motivait, elle s'y est mise tôt, dès qu'elle a su lire, des ouvrages innombrables sur les potions, les composants, ingrédients étranges et savants, et elle ne comprenait rien, au départ, pendant des années elle n'a rien compris. pièce aménagée dans la cave des rosiers, dans lequel elle se faufile, invisible au monde, elle s'y coule en douce et sur les étagères les bocaux se succèdent. les mélanges sont verts, oranges, violets, noirs, font des bulles, des nuages de fumée, crépitent, frémissent, elle s'acharne, elle veut vivre, et personne ne parvient à la faire vivre, alors tant pis, elle se fera vivre toute seule.
c'est un quatre juillet,
boom.

sang de salamandre et ongle de griffon, comme dans la potion de force.
crochet de serpent et fleur à corne, comme dans la potion de puissance.
dards séchés de billywig et aconit, comme dans la potion d'éveil.
poudre de pieuvre pour augmenter les effets.
attention, mélange toxique.


le goût n'est pas bon. amer, et elle grimace, mais se force à boire.
elle dort moins, bouge plus, cavale, rit aux éclats, progressivement, la santé revient, elle vit pour la première fois, elle passe la porte qui mène au jardin, non plus en douce, la nuit, frissonnante contre aspen, ni de midi à treize heures le dimanche, non, un matin, avec la rosée, et le soleil se lève, et elle se met à pleurer.
ce n'était pas normal, pour elle, de grandir sous serre, c'est une fleur du grand air, il lui faut des arbres autour desquels s'enraciner, et puis de la terre sous les pieds, et il fait si beau, même quand il pleut, elle voit le soleil et le sent sur elle, il chauffe sa peau.

elle a quinze ans, c'est la première fois que le soleil chauffe sa peau.  
chaque jour elle boit sa potion et n'en dit pas un mot.

neuf ans plus tard, il est inutile de la boire ; ses veines noircissent, serpentent, elle est experte en garrot, et en sort pour camoufler les traces de piqûres,
et le soleil lui chauffe la peau.

WE HAVE ALWAYS LIVED IN THE CASTLE elle était très attachée au château familial, en france, et quand ils ont déménagé au japon, elle a crisé, a paniqué, c'était une partie d'eux qui s'en allait, ou plutôt, qu'ils abandonnaient. ils avait déjà dû quitter l'angleterre, elle ne voulait pas vivre sur les routes, aucun d'eux ne le voulait, il avait fallu qu'une guerre les chasse pour qu'ils en arrivent là, en france, leur patrie, leur fief. dorures et jardins façon Le Nôtre, et dire que tous ces moldus le pensent l'un des leurs, lui, alors qu'il suffit de voir son ouvrage pour y déceler la magie. escaliers massif, marbre sinueux, grands portraits de famille dans l'entrée, qui se répandent en formule de politesse, dans la cuisine des elfes de maison s'activent, elle y passe souvent, ils s'entendent bien, étrangement, et elle ne peut pas se résoudre à laisser cette vie-là, ça ne peut pas être déjà la fin.
son père lui promet : je reconstruirai tout à l'identique.
au japon, c'est ce qu'ils font.
après tout, ils peuvent bien se le permettre, ils sont riches et nobles, non ?
(non)
elle ne sait pas qu'ils sont fauchés, drainés par la guerre, seul le patriarche le sait, et bientôt, au revoir le château.

THERE'S NO REMEDY FOR MEMORY « dahlia ? » sa mère a une drôle de façon de dire dahlia, elle en prononce toujours toutes les syllabes, da-li-ah ? « vanda » qu'elle corrige d'une voix douce. elle est très patiente, et elle n'est pas heurtée. elle sait que sa mère ne va plus très bien, quelque chose dans son cerveau déconne, ce n'est pas vraiment de la folie, ni de l'oubli, peut-être un mélange des deux. elle se souvient de sa mère, avant, quand elle était enfant, cheveux roux et port altier, actions précises, esprit rapide. elle l'admirait tellement, disait sans cesse ma maman, elle travaille pour le gouvernement. elle a fait des voyages en russie avec elle dès qu'elle a pu sortir, et tout le monde l'appelait madame dolohov, ou natasha, elle seule pouvait se targuer de l'appeler maman. mot précieux, elle le serre contre elle, l'observe entre ses petits doigts, le garde comme une dragonne garderait son oeuf, maman. aujourd'hui maman est rouillée, c'est l'histoire d'un obliviate qui a mal fonctionné, et pour elle ses filles sont toutes les mêmes. « mais non, dahlia, tu sais bien. avec le bleu et les algues. » ses mots n'ont plus de sens, plus de logique, plus de rien.
c'était une grande femme, elle a assisté à l'ascension puis a la chute de voldemort en angleterre, elle a multiplié des missions en russie, a formé des recrues en france, a survécu à l'explosion d'un laboratoire au japon et-
souvent elle hurle, se tape la tête contre la table, déracine furieusement les plantes, au bord de la fenêtre, elle dit qu'elle est un oiseau, coupe ses cheveux et tente de les manger, et puis souvent elle hurle, mélange les prénoms de ses filles, et puis souvent elle hurle...
(elle l'admirait tellement)
(et disait maman)
elle est très patiente, et elle est très heurtée.

CURIOSITY KILLED THE CAT elle est si douce, presque passive, dit-on parfois, âme libre, toujours, humeur vagabonde, pieds qui jamais ne s'arrêtent. sa curiosité la perdra, on l'a prévenue maintes fois, mais elle continue à écouter aux portes, elle se fond dans la masse, dans les foules, contre les murs, capte chaque murmure. aucune information ne lui échappe, vanda, elle sait tout, elle est toujours là quand il faut et encore plus quand il ne le faut pas. son père s'oppose à ses tentatives, refuse son aide, prétend vouloir gérer le business seul mais s'incline enfin à la fin, abdique devant sa fille, intrépide et discrète, petit espion en mission.

(curiosity killed the cat)
(but satisfaction brought it back)

LONELY TOWN elle n'existait pas mais elle était là mais elle n'existait pas. dans le brouhaha de la fratrie elle se noyait, on pouvait voir sa main dépasser de l'eau et des mots. « vous ne m'entendez pas ? » sa voix ne porte pas, ivy fait des siennes, lavande lève les yeux au ciel, toutes ripostent. personne ne la remarque, elle est invisible.
dans les rues dans les chambres dans les vies, invisible.
« vous ne m'entendez pas ? » aspen se tourne vers elle, il ne voit qu'un mur, il a les yeux dans le vague, cherche un point, fronce les sourcils. peu à peu les autres oiseaux deviennent silencieux, l'une des princesses appelle la matriarche à l'aide. vanda est invisible, maman.
on fait vite le lien, peut-être est-ce pour ça qu'elle est d'une santé si médiocre. après tout, elle est en train de se dissoudre.

elle ne rejette pas sa particularité, c'est une partie d'elle. c'est familier et même si elle le voulait, elle ne pourrait pas s'y opposer. elle disparaît, n'existe plus, même si elle est encore là, tout de même -- elle évolue dans son propre monde, elle est un fantôme dans sa propre ville fantôme. elle peut tout y faire, personne ne l'y voit ; liberté pure qu'elle savoure, loin des yeux du monde. elle est dans sa réalité, une réalité qui n'est pas celle des autres, elle y est seule mais confortablement installée, c'est une heure bleue, parfois grise, souvent pastels, le genre de sensation totalement à part qu'on ne trouve qu'à minuit : elle vit et personne n'est là pour en témoigner.

(soleil en sursis)

et toi
tu penses
que je vais vivre
encore
combien de temps ?

(even the sun will die someday)

neir./halamshiral
MY LIFE AS A MUGGLE

HJ je sais, vous ne l'attentiez plus, cette fiche  :wat: dc de yiren araï, fait il y a longtemps déjà, j'ai honte :pls: j'espère que ma petite vanda plaira  :hearts:  :coeur:


Invité
Anonymous
Invité
FIRST SORRY ASPEN.

EDIT ; VANDA, VANDA.
CETTE DOUCEUR, je ne puis....
even the sun will die someday (vanda) Tenor
MA NURSE, MA POSSESSION (future ok, tmtc j'ai déjà préparé le cash, on est ready pour les enchères). zfjizjfizjf on l'a attendue, mais alors comme jaja, moi j'en pouvais plus. je suis joie de pouvoir ENFIN m'en mettre sous les crocs, tu sais pas. mtn ils sont plantés, ils bougent plus.

trop hâte de jouer notre lien.
trop hâte de jouer ses évolutions.
I'M SO FCKING THIRSTY RN AND BELIEVE ME.... :
even the sun will die someday (vanda) Tenor
Invité
Anonymous
Invité
CE NON RESPECT
CE FAUX FRÈRE

MA FRANGINE MA DOUCEUR MA BATAILLE
Invité
Anonymous
Invité
tu passes le lien 4 ans après jsuis ta tchoin ou?????????? t'as de la chance tu sens le printemps ts
Invité
Anonymous
Invité
jspr pendant le temps où tu me fumais tu pensais à me proposer un lien
Invité
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Invité
jrigole qu'un peu
#edit on me dit dans l'oreillette que vanda c ma meuf mtn allez oust les blaireaux
Invité
Anonymous
Invité
c'est bien tu te fais désirer :smirk:
on apprécie encore plus ta fiche :jesus:
genre cette plume de malade :pls:
:rm: :rm:
Invité
Anonymous
Invité
je me suis demandée si tu faisais un reboot de persos que la fiche débarquait que maintenant, je me suis demandée ce qu'il se passait :arrow:

ta plume et ce perso, i love :boum:
Invité
Anonymous
Invité
des fiches comme ça, moi, je les attendrai toute ma vie :hearts:
toujours aussi talentueuse, tes présentations sont des plaisirs à lire
bon courage pour le reste de la rédaction, tu es la meilleure :<4:
Invité
Anonymous
Invité
sous le charme,
:sehun:
(re)bienvenue par ici,
trop de beauté ici,
tant dans la plume que dans le personnage.
:help:
Invité
Anonymous
Invité
AH BAH ENFIN :eyes:
qu'est-ce qu'elle est canon vanda quand même :heart: :eyes:
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