Ce n’est pas une journée ordinaire. C’est celle du grand départ. Snorri a appris le français pour l’occasion. Non, pas vraiment, il a seulement appris la chanson de Louane, pour ajouter un effet dramatique dans le dortoir. Il était absolument nul, mais il avait beaucoup de plaisir, même si les étudiants de Beauxbâtons se mettaient les mains sur les oreilles, en attendant, probablement avec impatience, que la terreur du dortoir quitte enfin les lieux. Non seulement, Snorri n’était pas un cadeau, mais en plus, il n’avait aucun don pour le chant. Fort heureusement, sa bonne volonté compensait largement son manque de talent. ♡
Sortant de sa chambre, il met sa capuche sur sa tête et commence à crier, plus qu’il ne chante, dans les couloirs. « Mes chers amis, je pars, je vous aime, mais je pars ! Vous n’aurez plus de préfet, ce soir ! » Il éclate de rire, en saluant tout le monde dans la salle commune. « Non, je déconne, vous avez toujours Naeun ! » Il l’avait avisée, mais depuis la forêt, il semblerait qu’elle soit moins enthousiaste aux idées de sorties de Snorri. Ce dernier redevient plus sérieux. « Si vous voyez Willow, dites-lui que je suis parti ! Le Vortex Club peut nous faire attendre, mais nous ne pouvons pas nous permettre de faire attendre le Cosmos ! »
Cosmos était importante pour lui. Elle était sa partenaire d’enquête, mais aussi, sa plus grande rivale. Par contre, lorsqu’ils n'étaient pas Snorri Holmes et Cosmos Moriarty, cherchant à déterminer qui balançait des rumeurs sur les étudiants, ils discutaient, de tout, de rien, mais souvent de choses importantes. Snorri savait que la jeune femme souffrait de sa condition de créature magique. Il avait fait des recherches pour l’aider, mais il n’avait jamais pu comprendre comment Cosmos ne pouvait pas voir l’aspect noble de cette créature. Pour lui, l’ayakashi n'était que le gardien des îles et créatrice de légendes, protégeant les plages des sorciers envahisseurs... mais il ne pouvait pas se mettre à la place de sa camarade.
Alors, il avait tenté une autre approche. Il lui avait parlé de son village en Angleterre. Les siens étaient parvenus à demeurer sur le territoire britannique, parce qu’ils avaient choisi de vivre en isolement, avec leurs échanges, leurs lois, leur société. Snorri avait dit à Cosmos que c’était un peu similaire à Arlathan, et c'est ainsi que l'idée est née.
Peu après, le jeune homme avait expliqué la situation à Willow, et lui avait demandé s’il serait possible de passer deux jours sur l’île, simplement pour que leur camarade puisse voir que les gens comme eux étaient capables de s’accepter et de se débrouiller, qu'ils avaient leur place en ce monde. Elle avait accepté et les avaient aidé pour obtenir un permis de la part des archivistes. Avec Willow, ils seraient plus légitimes sur l’île, et Snorri savait qu'il avait encore des choses à apprendre. Il n'était jamais allé sur Arlathan. Dans son étui, l’érable de sa baguette brille. L'instrument de bois anticipe, autant que son propriétaire, les explorations et les nouvelles aventures.
Quand la rousse arrive, le jeune homme fait les présentations. « Cosmos, je te présente Willow. Ce sera notre guide pour cette expédition, non seulement elle fait partie de la meilleure maison, mais en plus, elle connait Arlathan mieux que personne ! » Snorri sourit et lui fait un clin d’œil. « Ne t’en fais pas, personne ne soupçonnera rien, officiellement, nous sommes partis pour découvrir le lien entre Arlathan et le jeu Dragon Age. » Le jeune homme montre son téléphone à la jeune femme, pour qu'elle voit la [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], et le range rapidement. Reprenant son sérieux, il s’adresse, cette fois-ci, à Willow. « Comment se rend-on sur Arlathan ? »
Un loup, une vélane et un ayakashi, on dirait le début d’une mauvaise blague, mais dans tous les cas, l’aventure promettait d’être inoubliable. ♡
cosmos était très nerveuse à l’idée de ce week-end improvisé. depuis que la famille rosier était arrivée au japon, cosmos n’avait jamais trop osé s’aventurer plus loin que l’école (plus ou moins). elle n’avait trop osé explorer, si ce n’est lors de ses enquêtes et lors de ses recherches pour retrouver sa mère. et surtout, cosmos était parfaitement au courant de la petite obsession de snorri pour sa condition d’ayakashi. snorri était un garçon agréable et incroyablement positif. il voyait son statut de loup-garou comme une bénédiction, ce que cosmos ne parvenait pas réellement à comprendre. il lui avait expliqué beaucoup de choses le concernant, et cosmos devait avouer avoir une certaine fascination pour son psychisme. elle aurait adoré voir les choses des yeux de snorri. et ils s’étaient rapprochés un peu naturellement. s’ils se considéraient davantage comme holmes et moriarty, cosmos regardait surtout snorri comme un ami. personne n’avait pris autant de temps que lui à essayer de faire accepter à cosmos ce qu’elle était.
n'empêche que passer deux jours avec un ami et une semi-inconnue sur une île au beau milieu de nulle part avec des gens pas forcément très ouverts qui préféraient vivre sur une île perdue plutôt que de vivre avec les sorciers. puisque les trois comparses étaient autant sorciers que créatures magiques (logiquement), ils n’étaient pas forcément les bienvenues. l’idée était de venir avec willow, si cosmos avait tout compris. parce qu’elle savait comment les soudoyer peut-être ? ou au moins comment leur parler.
cosmos ne tarde pas à rejoindre snorri et à voir willow arriver. je ne l’avais pas imaginée comme ça, pense cosmos. elle était clairement plus jeune qu’eux, mais cosmos sentait bien son côté vélane se manifester contre son gré. c’était très similaire avec ce que cosmos avait ressenti pour daisy, et plus ou moins semblable à ce qu’elle avait ressenti pour ses ex-copines de beauxbâtons. mais cosmos savait se tenir, surtout depuis qu’elle ne parvenait plus à se sortir daisy du crâne (malgré le fait que les choses étaient très compliquées entre elles).
« Cosmos, je te présente Willow. Ce sera notre guide pour cette expédition, non seulement elle fait partie de la meilleure maison, mais en plus, elle connait Arlathan mieux que personne ! »
cosmos ne peut s’empêcher de détailler un peu willow. elle a l’air si jeune que cosmos se méfie un peu, et pourtant, la jeune rosier parierait que ce n’est qu’une façade ; elle a l’air de s’y connaître.
- salut.
baragouine cosmos avec un sourire. elle aurait sans doute préféré partir juste avec snorri pour ne pas avoir à composer avec une personne qu’elle ne connait pas. mais c’est comme ça qu’on agrandit son cercle d’amis, il paraît. cosmos n’est pas la personne la plus ouverte qui soit, même si elle n’a aucun mal à parler avec des inconnus. c’est juste que partir un week-end avec quelqu’un, ce n’est pas forcément facile.
« Ne t’en fais pas, personne ne soupçonnera rien, officiellement, nous sommes partis pour découvrir le lien entre Arlathan et le jeu Dragon Age. »
cosmos regarde la publication de snorri en riant.
- tout le monde sait que moriarty est plus doué que sherlock.
elle répond avec un petit haussement d’épaules. elle sourit à snorri.
- j’oublie toujours que tu es un vrai poète.
elle ajoute en riant.
« Comment se rend-on sur Arlathan ? »
il demande à willow, et cosmos s’empresse d’ajouter :
- arlathan, ça ressemble vraiment à dragon age ?
elle marque une pause, réfléchit.
- il y a des dragons ?
elle demande finalement, les yeux grands comme des soucoupes. cosmos n’est pas le genre de gamine à avoir peur du monde qui l’entoure, mais la question mérite d’être posée. cela dit, il est certain qu’il y en aura au moins un : cosmos. dragon, dragon des mers, c’est un peu la même chose non ?
n'empêche que passer deux jours avec un ami et une semi-inconnue sur une île au beau milieu de nulle part avec des gens pas forcément très ouverts qui préféraient vivre sur une île perdue plutôt que de vivre avec les sorciers. puisque les trois comparses étaient autant sorciers que créatures magiques (logiquement), ils n’étaient pas forcément les bienvenues. l’idée était de venir avec willow, si cosmos avait tout compris. parce qu’elle savait comment les soudoyer peut-être ? ou au moins comment leur parler.
cosmos ne tarde pas à rejoindre snorri et à voir willow arriver. je ne l’avais pas imaginée comme ça, pense cosmos. elle était clairement plus jeune qu’eux, mais cosmos sentait bien son côté vélane se manifester contre son gré. c’était très similaire avec ce que cosmos avait ressenti pour daisy, et plus ou moins semblable à ce qu’elle avait ressenti pour ses ex-copines de beauxbâtons. mais cosmos savait se tenir, surtout depuis qu’elle ne parvenait plus à se sortir daisy du crâne (malgré le fait que les choses étaient très compliquées entre elles).
« Cosmos, je te présente Willow. Ce sera notre guide pour cette expédition, non seulement elle fait partie de la meilleure maison, mais en plus, elle connait Arlathan mieux que personne ! »
cosmos ne peut s’empêcher de détailler un peu willow. elle a l’air si jeune que cosmos se méfie un peu, et pourtant, la jeune rosier parierait que ce n’est qu’une façade ; elle a l’air de s’y connaître.
- salut.
baragouine cosmos avec un sourire. elle aurait sans doute préféré partir juste avec snorri pour ne pas avoir à composer avec une personne qu’elle ne connait pas. mais c’est comme ça qu’on agrandit son cercle d’amis, il paraît. cosmos n’est pas la personne la plus ouverte qui soit, même si elle n’a aucun mal à parler avec des inconnus. c’est juste que partir un week-end avec quelqu’un, ce n’est pas forcément facile.
« Ne t’en fais pas, personne ne soupçonnera rien, officiellement, nous sommes partis pour découvrir le lien entre Arlathan et le jeu Dragon Age. »
cosmos regarde la publication de snorri en riant.
- tout le monde sait que moriarty est plus doué que sherlock.
elle répond avec un petit haussement d’épaules. elle sourit à snorri.
- j’oublie toujours que tu es un vrai poète.
elle ajoute en riant.
« Comment se rend-on sur Arlathan ? »
il demande à willow, et cosmos s’empresse d’ajouter :
- arlathan, ça ressemble vraiment à dragon age ?
elle marque une pause, réfléchit.
- il y a des dragons ?
elle demande finalement, les yeux grands comme des soucoupes. cosmos n’est pas le genre de gamine à avoir peur du monde qui l’entoure, mais la question mérite d’être posée. cela dit, il est certain qu’il y en aura au moins un : cosmos. dragon, dragon des mers, c’est un peu la même chose non ?
Elle n'avait pas très bien compris pourquoi Snorri lui avait proposé de venir. Hormis le fait qu'elle connaisse les lieux comme sa poche. Mais elle n'avait pas dit non. L'envie de retourner à Arlathan était bien trop forte. Être à la maison, même le temps d'un week-end. L'idée d'y amener des sorciers était un peu dérangeante. Pas vraiment raccord avec la mentalité des siens. Mais elle s'était quand-même arranger pour leur obtenir à tous les deux un droit d'accès à l’île. Pas vraiment facile, vu qu'ils ne venaient pas pour une raison utile ou importante, en tout cas aux yeux des archivistes. Elle avait plaidé Willow. Promis que tout se passerait bien. Portée garante d'eux aussi, pour prouver à sa grand-mère qu'on pouvait leur faire confiance.
Elle se dépêche de se rendre sur le lieu de rendez-vous. Snorri est déjà parti, c'est ce qu'on lui a dit quand elle est sorti de sa chambre pour arriver dans la salle commune. Elle n'a pas envie d'être en retard. Pas cette fois. Trop impatiente de rentrer à la maison. Ça lui donnerai presque envie de courir jusque là. Presque car l'angoisse de ce qui l'attend est quand-même là. Si elle connaît Snorri, elle ne sait pas du tout qui est Cosmos. Elle ne sait pas à quoi s'attendre, ni comment elle est censée se comporter. Elle a vaguement compris la situation mais elle n'a pas totalement saisi en quoi elle pourrait se montrer utile. Pas plus qu'elle ne sait comment ils vont réagir au fait de se coltiner une ado tout le week-end.
Ils sont déjà là tous les deux quand elle arrive et Snorri se lance directement dans les présentation. "Salut". Grand sourire pour Cosmos. Elle a à peine entendu ce qu'elle vient de dire. Les gens qui baragouinent sérieusement. Willow elle pourrait demander de parler plus fort mais elle décide de ne pas commencer à faire son emmerdeuse dès le début. De toute manière, ce n'est pas comme si elle avait besoin de tout entendre pour comprendre. Elle les laisse parler de l'excuse qu'ils comptent utiliser pour justifier leur présence sur Arlathan et elle ne peut s'empêcher de lever les yeux au ciel. Ils auraient au moins pu réfléchir à quelque chose de plausible. Comme si les archivistes leur auraient accorder un droit d'accès pour une raison aussi bancale. le seul moyen qu'on ne leur pose pas de questions, c'était d'ignorer tout des règles en vigueurs pour poser le pied sur l’île.
Des questions arrivent les unes après les autres et il lui faut quelques secondes pour comprendre que c'est à elle qu'on s'adresse. "Euh je connais pas dragon age. Mais non, il n'y a pas de dragons." Encore heureux. La cohabitation deviendrait bien plus difficile si les vélanes devaient se retrouver à partager leur île avec des gros reptiles cracheurs de feu. La vie deviendrait un peu plus dangereuse et surtout, c'était un coup à se retrouver avec des sorciers débarquant de tous les cotés pour les étudier. "Portauloin, transplanage, balai, bateau, ça dépend un peu de ce que tu préfères. Mais là, ce sera à la rame, j'ai pas réussi à nous dégoter un portauloin." Et elle ne savait évidemment pas encore transplaner, pas plus qu'elle ne se sentait suffisamment à l'aise pour traverser une étendue d'eau sur un balai. Elle les entraîne vers une embarcation qui les attend là. Trafiquée magiquement pour avancer toute seule, bien évidemment. Ce serait un peu épuisant aussi non. "Bon, on m'a demandé de vous rappeler de pas faire de conneries. Donc pas d'agression de vélane, de destruction ou de vol, fin tous les trucs comme ça." Elle ne faisait que transmettre les paroles de sa grand-mère, pendant que le bateau avançait vers leur destination.
Le jeune homme a conscience de sa chance. Rares sont les loups qui peuvent explorer le monde comme il a eu l’occasion de le faire. S’il était plus jeune et plus soucieux des tendances, il aurait une carte du monde à gratter, sur laquelle il aurait rayé l’Angleterre, l’Écosse, la Chine et le Japon. Peu importe si Arlathan était incartable. Elle aurait toujours une place chère dans son cœur.
Snorri fait un sourire encourageant à Cosmos, pour lui assurer que tout irait bien. Il aimait bien la jeune femme, même si celle-ci semblait un peu réfractaire à son statut de créature magique. Il espérait que cette aventure la pousse à réfléchir, à reconsidérer ses opinions, à prendre conscience que les gens comme eux ont une chance incontestable, celle d’appartenir à la fois au monde des sorciers et à celui de la nature. Cosmos semble penser à beaucoup de choses, ce qui dépasse largement les compétences de Snorri, incapable de mettre des mots sur ses émotions, préférant nettement les ressentir plutôt que de tenter de les expliquer. Il sait, cependant, que le tout est gagné quand elle lui dit que Moriarty est plus doué que Sherlock. Si elle a la tête à l’humour, alors rien ne pourrait les arrêter. ♡
Cosmos pose des questions sur les dragons, ne semblant pas enthousiaste à l’idée d’en rencontrer. Snorri se mord la lèvre, se retenant pour ne pas lâcher que tous les dragons sont enfermés dans les sous-sols de Gringotts. Willow explique, plus simplement et sobrement, qu’ils ne rencontreraient pas de telles créatures sur cette île.
La rouquine retourne ensuite à l’essentiel. Le groupe se rendrait à Arlathan par bateau. Snorri approuve et monte dans l’embarcation, prenant la main de Cosmos pour l’aider à monter, se doutant que Willow devait avoir l’habitude de faire le voyage. « Tu n’as pas à t’inquiéter. L’eau prendra soin de toi. » assure-t-il à la brunette, avec une rare innocence dans son regard. Snorri est persuadé de ses paroles. Dans sa tête, l’eau était pour Cosmos ce que la Lune était pour lui, une mère, une déesse, un ange gardien.
Le jeune homme s’assoit dans l’embarcation et écoute Willow, les avisant de faire attention et de respecter son île. Pour une jeune femme de son âge, elle est sérieuse et Snorri la prend au sérieux. « Ne t’en fais pas. » Il regarde l’île au loin, perdant le sourire qu’il expose habituellement aux sorciers. Il est bien placé pour comprendre la situation.
« J’espère que tu n’as pas dit aux Vélanes que nous venons chez vous pour enquêter sur un jeu vidéo. Ce serait embarrassant. » Snorri passe la main dans ses cheveux, les joues rouges. « J’avais juste besoin d’une excuse débile pour ne pas que les sorciers me posent de questions sur mon absence. » Il ne tient pas à dire au monde entier que Cosmos est une ayakashi ; il préfère largement se faire passer pour un idiot qui fait des liens un peu douteux, si cela lui permettait de protéger les gens auxquels il tenait. « Il y a des choses plus importantes que les enquêtes. » reconnait-il, en haussant les épaules. Il prend un moment, soupirant avant de continuer.
« Je comprends ta situation. Je viens d’un village qui ressemble un peu à ton île. Il est autosuffisant, mais il est moins ouvert à la communauté sorcière. Seuls les loups peuvent y avoir accès. » Contrairement à Arlathan, il n’y avait aucun droit de visite. « Les plus jeunes apprennent à maitriser leur transformation et les plus vieux peuvent se reposer, sans crainte de se faire chasser par les sorciers. Les crocs de loup-garou sont encore utilisés dans les baguettes et ma famille n’est pas particulièrement appréciée des sorciers, vu qu’elle a été… un peu impliquée, pendant la guerre. » C’est un euphémisme, et Snorri ne compte pas trop s’attarder sur la situation des Greyback. S’ils vivent encore en Angleterre, c’est bien parce qu’ils vivent de manière isolée. Autrement, ils en aurait été exilés.
« Je voulais montrer à Cosmos que les créatures magiques sont capables d’avoir leur propre société, de se suffire à elles-mêmes. Les livres sorciers ne nous décrivent pas bien. Ils ne connaissent pas notre histoire. Nous sommes autres choses que des bêtes sanguinaires ou des briseurs de ménage. Nous sommes des êtres forts, résilients, capables de monter nos sociétés. » Il a vécu toute sa vie en tentant d’échapper aux stéréotypes. « Nous traiterons Arlathan avec tout le respect qu’il se doit. » Snorri ne plaisante plus.
C’est une promesse.