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Invité
Anonymous
Invité
sonnets of a sorcerer.
raleigh nazyalensky
FT. im jinah, .unravel


A BRIEF HISTORY OF TIME

— prénom & nom ; raleigh obsession incompréhensible d’une mère à la santé mentale en chute. ville de caroline du nord caractérisée par sa fierté américaine où elle n’a jamais mis les pieds (( un jour peut-être, probablement jamais )). ray car c’est plus simple. une seule syllabe qui glisse sur la langue avec aisance, peut importe la langue. nazyalensky qui foule les langues, s’emmêle constamment dans les bouches. c’est son nom à elle, à défaut d’avoir eu un père pour lui offrir le sien. fille de sa mère, enfant sans père. elle est nazyalensky à défaut de se savoir ryujinchi.

— âge ; trente-et-un ans tout juste. à peine quelques mois, déjà une année d’entamée à sa troisième décennie. le temps qui peinait à s’écouler commence à filer, à s’effriter avec ses doigts comme les grains de sable d’un sablier brisé.

— naissance ; 31.12.1989 11 :59 :59, novosibirsk dernier bébé de l’année, les cris noyés dans les célébrations du nouvel an. naissance oubliée au fond de l’hiver glacial russe.

— origine(s), nationalité(s) ; russo-japonaise mère russe, père japonais (( qu’elle lui a toujours dit, sans pouvoir en dire plus )). au creux des veines le sang sacré des ryujinchi se mélange à la boue moldue des nazyalensky. gamine entre deux mondes, mais dont elle ne connait que l’un. russe sur papier, officiellement. elle n’y est restée que quelques années avant d’être rapatriée sur minami iwo jima. sa vie s’est faite en sol japonais, mais l’hiver russe reste ancrée au fond de l’âme.

— sang ; sang-mêlée tempérament sang de bourbe. si certains prennent honneur à leur sang, il ne s’agit que du liquide coulant entre ses veines pour ray. tous saignent rouge quand les plaies s’ouvrent.

— baguette ; 33.8 cm, mélèze, cheveu de tenaga baba longue baguette aux veines profondes, rigide et capricieuse. de ces baguettes à la personnalité forte et aux idées propres. difficile à maitriser, et encore plus difficile à oublier – elle fait parti d’elle, qu’on a pu entendre ray marmonné. baguette qui prend autant qu’elle rend, osmose parfaite entre les âmes.

— maison ; mizu la carpe qui s’était présentée devant elle quand tous les autres s’étaient tu. étrange choix, encore aujourd’hui, elle ne saurait comprendre le choix du yokai.

— occupation ; propriétaire du all night club quand tous les rêves se sont effondrés, c’est au creux de la nuit qu’elle a trouvé refuge. ténèbres comme meilleurs amis, à panser ses plaies et à couvrir d’un brouillard rassurant ses insuffisances. professeure d’arithmancie bientôt un an qu’elle assume le poste. offre temporaire, le temps qu’il se remette. mais les mois se sont enchainés et le contrat s’est allongé. elle s’est installée, s’est fait à cette nouvelle vie d’enseignante. et la nouvelle année approche, instille la peur dans le myocarde de devoir tout recommencer – de nouveaux étudiants à apprendre à reconnaître.

— club(s) ; aucun

— situation financière ; endettée elle survit, se débrouille. ses gallions durement gagnés s’envolent, servent à rembourser le prêt qui lui a permis de s’offrir le all night club.

— statut civil ; anciennement fiancée tout s’est écroulé, quand l’amour est devenu haine. je t’aime transformé en toxicité, poison s’enfonçant dans les veines jusqu’à pourrir le cœur. elle l’aimait, et il l’a trahie. il l’aimait, et elle lui a brisé le cœur. ensemble mais sans regarder dans la même direction, les insécurités sont venues brisés ce qu’ils auraient pu devenir, s’il savaient seulement eu le courage de se montrer vulnérables. et maintenant, il y a lui. il s’est frayé un chemin à travers les ruines de son myocarde et y a élu domicile (( à sa plus grande surprise )).

— animal de compagnie ; aucun le temps manque. alors à défaut d'avoir un compagnon à son nom, elle partage kiki avec sa colocataire.

— amortentia ; vodka russe – whisky japonais – parfum composite dont les effluves de lui se détache. ça sent le passé, le présent et l’avenir, ça sent la maison, ça sent l’identité qu’elle s’est construite à travers les années, à travers les épreuves.

— patronus ; changeant la forme de son patronus n’est jamais la même. il change constamment comme les traits de la belle. elle ne sait pas qui il est, n’arrive pas à reconnaître ses traits et son patronus miroite ce combat constant dans l’âme de la russe.

— épouvantard ; néant enfermée dans un abysse sans temps, sans espace. le plus total des rien l’entourant, l’étouffant. seule avec ses pensées, avec ses insécurités, avec sa vulnérabilité. seule, face à face avec le trou noir qu’est son identité.

— risèd ; traits leurs visages, ceux qui peuplent ses jours et qui noient ses nuits, les traits uniques clairement visibles à ses prunelles autrefois défectueuse. elle veut seulement voir ray, voir comme tous les autres. le sourire éclatant de gin, les sourires timides de lucifer, les prunelles sévères de dante et l’étincelle d’intelligence au creux du regard de minki, ses propres traits alors que les larmes de joie coulent sur l'épiderme porcelaine.

— particularité(s) ; métamorphomage les traits changent, se modulent selon les désirs. elle pourrait être qui elle le voulait ray, pourrait s’inventer une nouvelle identité. et pourtant, elle ne veut que se trouver, savoir enfin qui elle est. prosopagnosie malade, aveugle des visages. elle ne sait pas qui elle est, n’arrive pas à reconnaitre ses traits dans la glace, n’arrive pas à reconnaitre les traits de quiconque, continuellement plongée dans un brouillard. elle avance à tâtons pour essayer de se retrouver.

— mode de vie ; ray fume et boit à outrance ; belle fatale entourée des nuages multicolores de ses cigarettes sorcières, verre au liquide complexe à la main. des années à trop se privé, à trop vouloir atteindre une perfection qui ne faisait que s’éloigner. elle s’est redécouverte à travers la nuit, s’est retrouvée entre les corps dans les ténèbres oppressants. relativement sage pour une femme de la nuit, les écarts sont pour les jours de congé (( si rares )) et les occasions spéciales.  
AESTHETIC ;;

Running low on patience, running low on fumes, I'm never gonna make it halfway to the moon
persévérante influençable ouverte d'esprit cachottière coopérative complexée


KEYWORDS

never have i dealt with anything more difficult than my own SOUL »»» lonely heart club »»» bring on the night »»» i wanted to L O V E but all i got was pain »»» s'étourdir pour oublier »»» good heart, bad temper »»» beware of the WITCH »»» always hopeless, sometimes romantic »»» i will turn this anger into something beautiful »»» filled with poison but blessed with beauty and rage »»» danger »»» breathe through the F E A R and walk through the fire »»» what am i
A WIZARDING GENEALOGY

— Famille ; seule au monde. il y avait autrefois cette femme qui lui a donné son nom. longtemps disparue du quotidien, longtemps effacée des souvenirs. seulement une génitrice à l’esprit fou, aveuglée par ses rêves de jeunesse éternelle. elle garde des souvenirs complexes de ces années en captivité.

un géniteur disparu avant sa naissance. japonais, sorcier, comme seuls indices sur son identité. elle le cherche ray, désespérément sous un couvert d’indifférence. elle appréhende ce qu’elle pourrait y trouver, mais ressent un besoin morbide de savoir, de trouver une nouvelle information sur son identité. frères et sœurs à l’identité inconnue, sans savoir qu’ils sont si près.


— Chronologie ; 1989 naissance dans un grand appartement de novosibirsk. fille d’une modèle russe et d’un père japonais déjà absent. mannequin loufoque, extravertie. femme brisée par les abus, l’esprit obsédé par cette magie dont on lui a soufflé l’existence à l’oreille. ryujinchi tombe dans ses filets, s’offre la beauté exotique le temps d’une soirée, d’une semaine, d’un mois. voyage d’affaire qui ne peut s’éternisé, et il l’abandonne pour retourner à sa femme et sa famille, la vraie. elle a ce qu’elle voulait la nazyalensky alors que le ventre gonfle de cette gamine magie.

mom, why can’t I go out ?” elle a les traits changeants la gamine, alors on la garde en sécurité, on l’enferme dans sa tour dorée. on espère qu’en grandissant, elle saura trouver une potion de jouvence, on espère quand l’esprit divague, quand les mots perdent leur sens. elle lui dit que c’est pour son bien, que l’extérieur est dangereux et qu’il vaut mieux rester à l’intérieur avec maman.


1997 gamine a découvert comment crocheter la serrure de sa chambre, s’échappe. elle ne fait pas long chemin avant de tomber nez à nez avec le voisin. panique qui s’empare du myocarde et les traits qui morphent, l’œil gauche s’agrandit, le nez se rétrécit jusqu’à disparaitre et les dents deviennent acérées en un sourire meurtrier. il cri, elle hurle, ils sont consumés par la peur et c’est cloitrée dans sa chambre qu’elle terminera son escapade.

quelques jours plus tard, les sorciers viennent cogner à la pote (( services sociaux qu’ils disent )) et ils l’emportent, l’arrachent à cette mère hurlant de lui rendre sa précieuse source de magie.

le cœur bat à en exploser, myocarde sous pression alors qu’elle pénètre dans l’immense bâtisse. tout lui est nouveau, tout est étrange à ses pupilles d’enfant sauvage. la nervosité fait serrer les points, cause des changements erratiques sur ses traits – le nez prend la place de la bouche, les yeux se font stroboscope de couleurs, les lippes changent de tailles, formes et couleurs, et elle est la seule à ne pas avoir conscience des changements.


1999 il lui faut deux années de travail intensif pour atteindre une certaine stabilité. la magie s’est calmée, apprivoisée. les médicomages sont sceptiques, son cas se veut spécial, et à défaut d’avoir la réponse parfaite, on enterre le tout d’un simple diagnostic : vivre en séclusion avec ses traits changeants ont fait que l’enfant n’a pas pu développer sa capacité à reconnaître les visages. on ne sait pas si les conséquences seront permanentes ou si elles sauront s’estomper à travers les efforts fournis, mais on l’encourage de leurs paroles sans fond.

2004 elle se trompe constamment, les noms et les corps attribués à la mauvaise personne, et si le monde se voulait compréhensif de sa condition, la répétition se fait lassante. la patience s’effrite et les amitiés se meurent. on doute, on dit qu’elle fait exprès, qu’il est impossible de ne pas reconnaître les visages. ils se distancent, et son myocarde saigne, la peur s’insinue dans les plaies béantes jusqu’à empoisonner tout le système. il vaut être seule que mal accompagnée, leitmotiv vide de sens qu’elle se répète sans cesse. hypnose pour combler le trou au fond de la poitrine.

2008 fin du lycée. dix-neuf ans quand ils en ont dix-sept, seule, toujours. autant par choix que par circonstance qu’elle continue de se dire. cursus en études des vestiges et des civilisations sorcières débute, elle y rencontrera dante et minki qui viendront l’accompagner dans ses ténèbres.

2011 obtention de son gakushi.

2013 obtention de son shûshi, et offre d’un emploi de briseuse de sort au ministère. nouvelle vie difficile, les aléas de la vie de simple employée épuisent, éreintent. toutes les nouveautés menacent d’exploser la mémoire, et il vaut mieux ignorer ses supérieurs que d’appeler le mauvais nom (( information appris à la dure )).

2014 à peine une année qu’elle se fait renvoyer. piège tendu, peut-être spécialement pour elle, ou simplement un mauvais sort du destin. nom de son supérieur, même carrure et même maniérisme, cette même impatience sur les lippes et la facilité aux insultes. alors elle avait cédé, avait offert l’artéfact sans plus de cérémonie pour apprendre qu’il avait disparu le lendemain.

suite à son renvoi, elle sombre ray, perd le nord, le sud, l’est et l’ouest. perdue dans cette vie qu’elle a mené et qui semble s’arrêter soudainement. embarassée, honteuse, elle se déteste plus que jamais. bonne gamine s’enfonce dans les ténèbres, découvre la vie de nuit pour fuir les cauchemars, cherche la quiétude dans le fond des bouteilles, l’alcool brûlant la trachée et les corps pressés contre le sien, sans lendemain.

c’est au bord du bar qu’elle le rencontre : yian. bel homme, bonne famille, bon avenir, charmeur, drôle. il sait la faire sentir importante alors qu’elle se sent insignifiante, et aussi simplement que ça, elle chavire.


2015 le all night club lui tape dans l’œil, tout chez lui l’appelle malgré l'apparence un peu décrépite. elle se cherche, et ce bar est à son image. elle le sent au fond de ses entrailles que ce pourrait devenir son nouveau chez elle, et les chiffres s’accordent à ses espoirs. maigres économies sont utilisées en entier, et un emprunt colossal lui permet de se l’offrir – quand bien même elle se devra de le rembourser pour les trente années à venir.

2016 réouverture du all night club, une année de travaux, de retapage. elle en est fière, s’est donnée corps et âme pour en faire un succès. yian l’aide, l’encourage de baisers semés sur l’épiderme et de mots doux murmurés dans la chevelure. mais l’amour s’épuise, la jalousie et les insécurités corrodent les entrailles. il se sent négligé pour ce bar miteux, a l’impression qu’elle ne l’aime pas, ne l’intéresse pas réellement (( elle l’ignore parfois, dans les endroits bondés et s’il pouvait lui pardonner les premières fois, chaque récurrence s’enfonce dans le cœur comme un pieu )).

2019 la relation implose. ray forcée de le confronter car elle ne peut plus faire l’autruche. il la trompe, impunément, sous son nez. le myocarde se fracasse, tous les mensonges en ayant abîmé le fonctionnement. les mots poison blâmant sur sa jalousie, sur sa paranoïa, ses méfaits à lui. lui qui, des années durant, s’était joué d’elle, à utiliser ses vulnérabilités comme des armes pour la faire taire et la soumettre. lui aux yeux écartés de surprise, de quels droits elle faisait une scène soudainement, alors qu’elle l’avait abandonné en premier. amour consumé jusqu’à n’être plus que cendre, et c’est la bague qui vole, et des fiançailles qui s’effondrent. cinq années de relation dissipée en fumée.

appel surprise, on lui offre un poste temporaire d’enseignante en arithmancie. remplacement de congé ou de maladie, chose qui lui échappe à cause de la surprise. première de classe depuis toujours quand il s’agissait de lire l’avenir dans les chiffres, car les chiffres sont simple, sans fioritures, ils n’ont pas d’émotions à blesser ou d’état d’âme à jauger, par d’égo à froisser, ils sont simplement. elle accepte, n’a rien à y perdre de plus. un peu excitée, à l’idée de partager sa passion avec les nouvelles générations de sorciers. nerveuse, beaucoup.


2020 première année d’enseignement qui se termine, le all night club continue de fructifier. tout semble aller bien dans sa vie, mais elle se sent vide ray, se sent vidée de devoir se battre tous les jours, contre sa condition qui ne s’améliore pas, contre le froid glacial entre ses draps où il était avant. mais elle continue, parce qu’elle ne sait pas abandonner la belle, et que peu importe combien de fois elle tombera, toujours elle se relèvera.
THE LIFE AND LIES OF raleigh

I'm running out of oxygen, I'll never be the same again reflection elle ne se voit pas ray, ne s'est jamais vue. à travers la glace, ce n'est qu'un trou noir qui lui revient. les traits s'évadent, refusent de se dévoiler à ses prunelles paniquées. jamais elle n'a vu les regards envieux de sa mère, les sourires faux de ces "amis" l'ayant abandonné, la machoire serrée d'yian quand le charme a commencé à se lever. elle voit sans réellement voir, ces visages, ces prunelles qui se veulent être le miroir de l'âme. elle ne voit que les corps, que les vêtements, les couleurs, les textures, les habitudes et il est si facile de s'y perdre - un changement simple peut la plonger dans l'incertitude, la peur de se méprendre enserrant le myocarde jusqu'à la tétaniser. chaque jour un combat pour vaincre ses angoisses, pour continuer à avancer dans un monde qui lui est hostile.

u and i romantique, jusqu'au bout des doigts. elle croit à l'amour, au vrai, s'y accroche. espère encore qu'il existe sur cette terre la personne parfaite, celle qui saura accepter ses insuffisances, comprendre sa douleur et se fera baume plutôt qu'arme. alors qu'elle devrait se faire protectrice, elle chavire trop facilement. myocarde précieux trop souvent abimé, trop facilement malmené entre les mains des autres. et pourtant, elle continue de l'offrir, et de le récupérer un peu plus brisé. c'est viscéral, parce qu'à défaut de s'aimer, elle ne peut espérer qu'il y ait une âme destinée à se damner pour ses beaux yeux.

broken compass survivre avant tout. elle est douce ray, vulnérable, mais au fond du myocarde brûle une colère insatiable. contre ce père qui l'a abandonné, contre cette mère qui a abusé de ses droits de génétrice, contre cette école qui n'a jamais su la protéger après l'avoir arrachée à son monde, contre cet ex qui s'était cru tout permi, contre cette destinée moqueuse de l'avoir créée défectueuse. et elle explose parfois, quand la ligne a été franchie à répétition. elle n'est pas blanche colombe - la violence l'habite, et l'éthique s'effrite. elle le regrette, parfois, souvent, mais c'est un vice ancré dans l'ichor.

honesty femme-enfant pleine de failles, elle a le coeur tendre sous une carapace souple. masque d'indifférence s'effrite dès qu'on lui sourit, dès qu'on lui tend la main. forteresse aux milles entrés, elle cherche l'acceptance et l'amour au creux des prunelles, s'essoufflerait sans hésitation pour mettre un sourire sur les lippes. premières impressions trompeuses qui se dissipe dès qu'on l'aborde réellement. ray, elle n'a rien de la gamine froide et hautaine qu'on la prétend être ; elle n'est pas ce monstre de méchanceté - gamine prête à tout, même aux plus horribles bassesses - ne l'a jamais été. c'est simplement que la solitude lui a fait endosser un rôle qui lui convient bien peu.

neon lights la nuit sombre se fait berceuse quand l’esprit fourmille de possibilités avortées. ray a du mal à dormir, ses rêves transformés en cauchemars de ses propres insécurités – chimères qu’elle s’imagine prophétique alors qu’ils ne sont qu’introspection. alors elle cherche la quiétude dans les étoiles, dans les néons, elle se recouvre de la noirceur pour disparaître ; infiniment petite dans cet infiniment grand. et ça la console de se sentir insignifiante dans ce monde (( alors qu’elle rêverait pourtant d’être quelqu’un pour ceux qui l’ont rejetée )). alors ses nuits sont occupées, au nightclub à travers les néons, anonymat accordée par le brouillard éthylique à l’arrière-goût d’illicite ou sur un toit à observer les étoiles, à écouter le grésillement d’une société endormie.

.unravel
MY LIFE AS A MUGGLE

HJ im back, back again  [ ray ] of f*cking sunshine 1f62c


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stan bang yedam for clear skin

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FIRST FIRST FIRST
MA SOEUR
HALF SISTER
MA FEMME AUSSI PTDRRRR
LA PLUS BELLE, LA BADDEST BIATCHHHH
JTM JSUIS TOUJOURS PAS REMISE DE TON INTERPRETATION DE RAY
BISOUX
TRAVAILLE BIEN
N'OUBLIE PAS PAUL AHN :boum: :boum:

edit, comme d'hab amimi toujours là pour stalk ses siblings sur leur fiche :hihi: :hihi: certaines choses ne changeront jamais ici :hihi: :hihi:
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MA PRINCESSE :urgh:

rebienvue ici :pedro:
Andrea Davis
Andrea Davis
[ ray ] of f*cking sunshine H45ncd - elleIRL : x bambieyestuffAvatar, Crédits : 9549Messages : 12RPs : 56 657Gallions :
24 graines de vie. 18 pincées de lycanthropie.
2 cuillères à café de tentative de décès.
Remuer bien fort et laisser reposer une année.
Rajouter autant de vifs d'or que vous le souhaitez.
Pour plus de goût, placez le tout dans une pièce ni trop sèche ni trop humide en jour de pleine lune.


[ ray ] of f*cking sunshine Qq3iPe01_o
Spoiler:
Disclaimer :
naomiMulticomptes : 24Naissance & Âge : var(--kas)Couleur de dialogue : Petit endurci de la vie

-Etudiant en médicomagie ( thèse sur la Poudre d'Argent) - thèse en standby
- Attrapeur de Quidditch au sein des Three Headed Dogs depuis 2011
- Attrapeur des Koide no Kyojin depuis 2020 (equipe pro)


Twenty-four-year-old Andrea returns home from rehab with no plans to stay clean.

Occupation :
pas du tout maîtrisée . (loup-garou, omega)Particularité(s) : en couple avec le loto de mk

En couple avec ses balais surtout :
Liste des balais:
Relations :
[ ray ] of f*cking sunshine Giphy
x Né un 29 décembre 97 à Cardiff, Pays de Galles
x Fashion terrorist : adepte de la chaussette par dessus le jogging since 2008
x Aime jouer aux échecs
x Askip son oncle maternel c'est George Harrison des Beatles
x Cigarettes et joints magiques en toutes circonstances
x Mélanges douteux dans les veines (Kelz sous forme d'injections & potions )
x Dépression chronique qui défraie la chronique
x Fan de Lil Wiz' , Twenty One Pills, Rammstang, et Expecto The Disco
x Porte du Belladone by Impero Armanium
x Better have poils au cul than be a moldu.
Plume à Papote :
— PRÉFET KASAIMISTER ST-VALENTIN 2020 & vainqueur carte d'amour 2022

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j'aime pas trop ça :eyes:
allez la rebienvenue
Invité
Anonymous
Invité
My sis, la plus belle, the sun of my life :heart1:
J'espère que tu seras plus douce que Gin (quoique j'en doute ptdr)

En vrai tellement happy de te voir la jouer, ce gros secret de demi-soeur cachée, I know that the drama will be on point [ ray ] of f*cking sunshine 1f44c

Rebienvenue ici :pedro:
Charon Marlow
Charon Marlow
[ ray ] of f*cking sunshine Wy8qspuf, Léa — elle/she/herIRL : jacob bixenman (self) ; signa (diatypose)Avatar, Crédits : 2314Messages : 1RPs : 17186Gallions :
I am the monster you created
you ripped out all my parts
TW:
Disclaimer :
noé, le soleilkenzo, la luneMulticomptes : ((30.04.93)) (( vingt-huit ans )) trempe dans la fleur d'un âge en plein spleen.Naissance & Âge : ((il/he/him))Pronom(s) du personnage : steelblueCouleur de dialogue : INTERVENANTl'ancien couturier prodige déchu dans son ascension offre ses connaissances en mode aux étudiants de Mahoutokoro par interventions, pédagogie bancale, passion féroce enflammant les discours

STYLISTEpremier amour, passion prodige pour la couture renaissant de ses cendres, il œuvre à son compte, d'une réputation faite dans les bas fonds aujourd'hui portée aux oreilles d'or des grands

TEMPLE D'IZANAMIvipère bitume balance sa rage et sa violence au détour de combats crevures. unique endroit où la déraison embrasse la passion de la mort

KIRORSA-KAÏshuhensha au marché noir, cherche et revend des artefacts à prix d'or. Occupation :
ayakashi (soigné), première transformation le 17.02.2015Particularité(s) : akirathe underdogs
alistairhey brother
anlasweet mind to play, iron heart to tease
atlasa beautifully bad idea
calistathe rose and the snake
felixlover's gone, friends back in sight
jppain in the ass
lloydgoing under tortuous ways
morganestrange mentorship
pandorememories never die
remiu.cRelations :
— SORCIER ❝ magic in my veins
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IRL : spuf, Léa — elle/she/her
Avatar, Crédits : jacob bixenman (self) ; signa (diatypose)
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KIRORSA-KAÏshuhensha au marché noir, cherche et revend des artefacts à prix d'or.
Particularité(s) : ayakashi (soigné), première transformation le 17.02.2015

Relations : akirathe underdogs
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Ce beau perso que voilà :cry: Je suis love des premières info qui se grignotent, et j'ai bien hâte de pouvoir en mâchouiller plus :hearteyes:
Ces origines, meilleur mélange ever :omg:
Rebienvenue :lian: Bon courage pour la suite :lama:
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Olaaaa quelle beauté cette Nana, je m'en remettrai jamais :pedro:
C'EST BIEN AVEC CE NOUVEAU COMPTE TU T’ÉLOIGNES PAS TROP DES TOLKIENS EN FAIT :eyes: J'ai trop hâte de voir vos plans avec Gin, my gosh :urgh: Rebienvenue à la maison <3
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Invité
Mais c'est quoi ce début de fiche déjà parfait jpp :nabilla:
Bon j'ai un peu honte je suis grave en retard mais euh, non j'ai pas d'excuses en fait
Grave hâte de te voir débarquer et remuer le bazard de la famille :pedro:
Invité
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Invité
le personnage n'aurait pas pu être joué par des plus jolies mains que les tiennes. :heart: les premières informations laissent entrevoir de belles possibilités de jeu et la bouille choisie est magnifique. :hearts: rebienvenue chez toi, bon courage pour la rédaction, bien hâte de te lire davantage :bsx:
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