MIKROKOSMOS
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golden days
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le soleil chauffe l'atmosphère, ta main dans celle d'eddie, lunettes de soleil sur le nez. tu ne pensais pas, il y a quelques semaines encore, te balader dans les rues de rio en direction de la plage avec eddie. tu pensais encore moins pouvoir le faire en proclamant à qui veut bien l'entendre qu'il sait de ton petit-ami. malheureusement pour toi, eddie t'empêcher de le dire à qui veut bien l'entendre. tu te pinces les lèvres un bref instant à ces pensées, tournes la tête vers l'anglais. tu esquisses un sourire, tes pas s'enfonçant bientôt dans le sable de la plage de rio. tu ne portes que ton short de bain et un simple t-shirt. deux serviettes, quelques affaires de rechanges dans le sac sur ton dos, ainsi que deux bouteilles d'eau, secrètement ensorcelées pour rester fraîches - et surtout, surtout de la crème solaire. tu as interdit à eddie d'utiliser sa baguette pour ces quelques jours au brésil, mais tu n'as pas envie de mourir de soif sur le bord de l'eau. il t'en voudra sans doute, mais tu sauras te faire pardonner. tu as laissé vos deux baguettes dans la chambre de l'hôtel, cachées dans le fond de tes bagages.
on sera tranquille par là-bas. tu souffles avec un sourire à eddie, l'emmenant avec toi. un petit coin de plage ou il n'y a pas beaucoup de monde, eddie, et le brésil. quoi de mieux pour la fin de tes études ? tu laisses ton sac s'échouer dans le sable, récupères les deux serviettes pour vous installer tranquillement. tu retires ensuite ton t-shirt, profitant du soleil contre ta peau. tu observes eddie un instant. j'ai pris la crème la plus protectrice que j'ai trouvée. tu souffles en esquissant un sourire, sortant le tube du sac. tu te laisses tomber sur la serviette, retirant tes chaussures et tapotant la place devant toi. viens-là. tu souris tendrement, débouchant déjà le tube de crème.
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golden days
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ça lui faisait bizarre. la main d'ilio dans la sienne, le fait d'être en short (avec une chemise quand-même, parce qu'eddie restait eddie même en vacances et sortir sans une chemise ce n'était pas lui), le soleil qui lui tapait sur la tête au point de lui donner un début de migraine. et le fait qu'il n'avait pas sa baguette. c'était sûrement le pire. ne pas avoir sa baguette magique sur lui. vingt-deux ans qu'il était passé en acheter une pour la première fois et pas un jour ne s'était passé sans qu'il ai sa baguette sur lui. puis ilio avait débarqué dans sa vie, il avait proposé de partir au brésil et voilà qu'eddie se retrouvait dans les rues de rio sans sa précieuse baguette avec lui. il se sentait nu. il se sentait amputé d'une partie de lui. et peut-être que tout au fond de son cerveau, il y avait une petite voix qui lui répétait qu'il était tombé bien bas pour être là comme un moldu. la magie, ça avait toujours fait partie de lui. il était né avec. il avait grandi avec. il vivait avec depuis plus de trente ans. faire des vacances à la moldu, ça ne lui plaisait pas vraiment. surtout si en plus il devait dormir dans un hôtel moldu. comment il allait faire pour avoir du jus de citrouille le matin ? il y avait pensé à ce genre de détails ilio en faisant son choix ?
il se contente de hocher la tête quand ilio l’entraîne vers un coin de plage tranquille. ca lui fera déjà des préoccupations en moins. pas trop de risque de se faire juger. pas trop de risque d'avoir la migraine à force d'entendre des gens hurler dans une langue inconnue (c'était peut-être juste lui, mais à ses yeux les brésiliens étaient fort bruyants). puis il pourrait demander à ilio de lui rendre sa baguette sans que ça passe pour une discussion étrange. "au pire si j'ai des coups de soleil, un petit coup de baguette et voilà" tout pour qu'ilio lui rende sa précieuse, il était prêt à tout. il alla se mettre devant ilio, devant se retenir très très fort de ne pas se faire plus petit pour lui faciliter la tâche. ils étaient sur une fichue plage moldue et il ne pouvait pas se permettre de changer de taille à l'envie. merde ! "y'a pas une plage un peu plus sorcière dans le coin ? on y serait mieux."
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golden days
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tu te mordilles les lèvres un bref instant, conscient que c'est insurmontable pour eddie de sortir sans sa baguette. mais cette vie, c'est un peu de toi, aussi. t'as beau être sorcier, tu as vécu tellement de temps de cette manière. tu veux le faire découvrir à eddie, partager. partager des souvenirs, des nouvelles expériences, des sourires, un petit bout de ton pays. (tu ne lui as pas encore parlé d'aller rendre visite à ta mère, tu attends un peu pour ça.) tu l'attires avec toi vers un coin un peu plus tranquille de la plage. tu t'installes sur une des deux serviettes, invitant eddie à te rejoindre. au pire si j'ai des coups de soleil, un petit coup de baguette et voilà. tu ris un peu à ses mots, sourire sur les lèvres malgré tout. on verra ça. tu réponds l'air de rien, tapotant la serviette devant toi, laissant eddie s'installer entre tes jambes. tu commences à étaler la crème solaire sur ses épaules et son dos, laissant une couche assez épaisse de produit, sa peau semblant encore plus blanche, maintenant. y'a pas une plage un peu plus sorcière dans le coin ? on y serait mieux. tu te pinces les lèvres, tes mains massant ses épaules pour essayer de le détendre un peu. on est très bien ici. détends-toi. tu viens souffler contre son oreille, continuant de le masser. on est en vacances, il fait beau, je suis certain que l'eau est bonne ... tu ajoutes en haussant les épaules. tu descends tes mains plus bas dans le dos d'eddie pour y appliquer la crème. tu en profites pour caresser sa peau.
on est juste tous les deux ... personne nous connais. tu ris un peu. on a besoin de rien d'autre. tu ajoutes en étalant un peu de crème sur tes mains, avant d'attirer eddie contre ton torse, tes mains glissant contre le sien, continuant d'appliquer la crème. tu viens embrasser le coin de peau juste derrière son oreille. tes mains glissent de son ventre à son torse. pour moi ? tu demandes avec une petite moue, bien évidemment à propos de sa baguette et de la magie.
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eddie, il avait besoin de sa baguette. encore plus qu'un enfant à besoin de son ours en peluche. il ne se sentait pas complet sans. il faisait tout avec, vraiment tout. il n'avait pas plaisanté, la fois où il avait dit à ilio qu'il changeait ses ampoules à coup de magie. eddie, la méthode moldue, il ne connaissait pas le moins du monde. "je trouverais un moyen de te faire craquer." petit sourire en coin qui laissait bien présager quel genre de moyens il pourrait utiliser. juste pour récupérer sa précieuse baguette. et un peu pour son plaisir personnel aussi. il laisse ilio lui étaler de la crème sur le dos, espérant vraiment qu'il n'ait pas pris la version pour enfant bleu qui faisait schtroumpf. être un petit bonhomme bleu, très peu pour lui. "oui on est très bien ici. mais on serait encore mieux chez les sorciers." entourés de gens comme eux, où ils pourraient profiter sans avoir à constamment faire attention à ne pas utiliser la magie. c'était peut-être facile pour ilio qui avait vécu comme ça pendant des années mais pour eddie, c'était quelque chose de particulièrement compliqué qui lui demandait de faire attention à chaque instant. "oui mais y'a le gamin à notre gauche qui arrête pas de nous regarder." et eddie il avait presque envie de faire le gamin aussi et de tirer la langue au mioche qui était là, juste pour qu'il arrête de le fixer.
ilio continuait à lui mettre de la crème solaire sur le corps et eddie le laissait faire, quand-même il avait envie de le repousser. il adorait avoir les mains d'ilio sur lui. il adorait énormément, il ne pouvait pas le nier. mais ils étaient en public et ca le mettaient un peu mal à l'aise. il ne répondit qu'un petit humm à la remarque d'ilio, signe qu'il n'était pas vraiment convaincu. ils étaient peut-être bien tous les deux mais il y avait du monde autour d'eux. et ça restait un problème majeur. "ok pour toi. mais c'est seulement parce que je t'aime bien." il allait faire un effort. ce n'était que le temps de quelques jours, il pouvait bien y survivre n'est-ce pas ?
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je trouverais un moyen de te faire craquer. tu pouffes un peu de rire en entendant eddie, une mou sur les lèvres. je serais curieux de savoir comment tu comptes t'y prendre. tu réponds innocemment. si tu ne portais pas tes lunettes, eddie aurait pu tout lire dans ton regard. tu glisses une main dans tes mèches, avant de commencer à étaler de la crème sur le dos d'eddie, massant ses épaules par la même occasion, essayant de le détendre un peu. tu te mords l'intérieur de la joue, tes mains glissant contre sa peau pâle. tu es toujours hypnotisé par le contraste de ta peau contre celle d'eddie. oui on est très bien ici. mais on serait encore mieux chez les sorciers. tu lèves les yeux au ciel un bref instant, te contentant de masser les épaules de ton petit-ami. (tu aimes bien trop penser à eddie de cette manière.)
oui mais y'a le gamin à notre gauche qui arrête pas de nous regard. tu tournes un peu la tête, ne peux t'empêcher de rire un peu à la remarque d'eddie. et alors ? tu demandes en haussant un peu les épaules, déposant un baiser dans la nuque. tu fermes les yeux un bref instant. tu aimerais pouvoir lui retirer ce sentiment, quand vous êtes en public. tu aimerais pouvoir lui prouver à tout jamais que les gens - pour la plupart - se fichent de savoir ce que vous faites le soir dans votre chambre d'hôtel. tu te pinces les lèvres un bref instant, tu attires eddie contre ton torse, viens glisser tes mains contre son torse pour y étaler de la crème solaire. ok pour toi. mais c'est seulement parce que je t'aime bien. tu ris un peu, tu continues de glisser tes mains contre sa peau. tu caresses doucement son torse plus qu'autre chose. tu m'aimes bien ? juste ça ? tu demandes en riant, le serrant toujours contre toi. tu vas te retrouver avec de la crème solaire un peu partout contre ton torse, mais tu t'en fiches. tu récupères le pot de crème et tu viens glisser tes mains contre les cuisses d'eddie, là ou tu peux les atteindre dans votre position. tu ne peux t'empêcher d'esquisser un petit sourire. parce que je t'aime beaucoup, moi. tu murmures avec un sourire, te penchant un peu pour déposer un baiser contre la joue d'eddie. tu devrais en mettre sur le visage aussi, vu ta peau. tu souffles avec un sourire. tu embrasses une nouvelle fois sa joue.
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"tu sais très bien comment je compte m'y prendre." le sous-entendu n'est même plus discret, il sait très bien qu'ilio a compris. même si eddie pourrait se creuser la tête pour trouver autre chose, histoire de ne pas être trop prévisible. quoique il aimait bien être prévisible. en train de râler sur le fait qu'il préférerait être chez les sorciers alors qu'ilio lui étale de la crème solaire sur le dos. il ne se sent pas spécialement à l'aise, dans cet environnement qui n'est pas le sien. il a trop peur de faire une boulette et de se faire taper sur les doigts après. peut-être que c'est une bonne chose qu'ilio lui ai pris sa baguette, sinon eddie s'en serrait sûrement servi sans même s'en rendre compte, trop habituée à utiliser la magie pour tout et n'importe quoi.
le regard fixé sur le petit garçon qui n'arrête pas de les regarder, il est loin de se sentir à l'aise l'anglais. il a cette impression d'être jugé, alors même qu'il ne fait rien. il se doute bien que la façon dont ilio lui met de la crème est loin du "en toute amitié" et que tout le monde s'en rend compte. "je suis sur qu'il est en train de nous juger." c'était sa plus grande peur, depuis toujours. eddie, il ne voulait pas voir le regard des gens sur lui changer. il ne voulait pas qu'on le considère différemment parce qu'il sortait avec un homme. mais il savait que c'est ce qu'il se passait bien trop souvent. il se répétait que c'était des inconnus qu'il ne reverrait jamais et il se détendit petit à petit dans les bras d'ilio juste derrière lui. "non pas juste ça." il était loin de juste bien aimer ilio. il ne serait pas sur une plage au brésil, en train de se faire tartiner de crème solaire, si c'était juste ça. il ne kidnapperait pas le chat si régulièrement, juste pour voir le propriétaire du félin venir le rechercher s'il l'aimait juste bien. il faisait des tas d'efforts, parce que c'était ilio et qu'il l'aimait plus que bien. "je t'aime beaucoup aussi. genre vraiment beaucoup." trop peut-être. trop vite aussi. comment ils en étaient arrivés là en si peu de temps ? quoique ce n'était pas vraiment important. eddie se retourna pour faire face à ilio. il avait envie de l'embrasser mais il n'osait pas, avec les gens autour d'eux. il ne pouvait pas faire le premier pas, quand bien même il l'aurait voulu. "j'ai envie de t'embrasser." il demandait silencieusement à ilio de prendre les rênes à sa place, parce qu'il en était incapable.
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tu ne comptes pas laisser eddie gagner sur ce coup. mais tu ne le forcera pas non plus à se faire à un mode de vie qui ne lui convient pas. tu lui réponds plus pour la taquinerie que par réelle conviction et réelle envie de le forcer à s'acclimater à la vie moldue. mais tu n'en démordras pas pour cette sortie plage : pas de baguette. tu sais très bien comment je compte m'y prendre. tu te pinces les lèvres un bref instant, arques un sourcil et tu ris un peu. tu commences à faire des sous-entendus sexuels : bien, bien, je déteins donc sur toi. tu pouffes un peu, serrant le brun contre toi, venant déposer un baiser sur le carré de peau à l'arrière de ton oreille. tu tournes ensuite la tête vers l'enfant dont parle eddie, et tu te contentes de hausser un peu les épaules, l'observant brièvement. je suis sur qu'il est en train de nous juger. tu te pinces les lèvres. et même si c'était le cas : la terre n'arrêtera pas de tourner, eddie. tu murmures doucement en venant caresser son bras distraitement. tu restes silencieux un bref instant, tandis que tu peux sentir ton petit-ami se détendre un peu entre tes bras. tu décides de ne pas relancer la discussion à l'encontre du garçon, qui s'est éloigné.

non pas juste ça. tu esquisses un sourire qu'eddie ne peut pas voir : celui du con heureux que tu es à l'instant même. tu tournes un peu la tête vers l'océan, et tu refuses de lâcher eddie malgré la chaleur. je t'aime beaucoup aussi. genre vraiment beaucoup. tu fermes les yeux un instant et tu penches un peu la tête en avant pour venir déposer un baiser sur son épaule. tu fronces un peu les sourcils. rappelle-moi de plus faire ça quand t'es couvert de crème solaire. tu souffles avec une moue en venant t'essuyer les lèvres. c'est pas agréable comme sensation... comme goût non plus c'est pas top. je préfère ton parfum. tu ris un peu. tu te penches un peu pour venir plutôt déposer un baiser sur sa joue. tu desserres ton emprise sur eddie quand tu le sens se retourner, et tu souris en l'observant sans jamais t'en lasser. j'ai envie de t'embrasser. tu souris un peu plus, remontes une main dans la nuque du brun pour l'attirer tendrement à toi, caressant sa la base de ses cheveux pour venir déposer un tendre baiser sur ses lèvres. tu fermes les yeux un instant, soupires lentement d'aise avant de te redresser.
tu tournes un peu la tête, remarques au loin le gamin qui posait problème à eddie. et tu ne peux retenir un petit rire. tiens, regarde. tu souffles simplement, notant le couple de femmes échangeant un baiser sur la même serviette que l'enfant. tu te contentes d'un haussement d'épaule. si eddie était plus à l'aise, tu te serais sans doute levé pour aller leur parler, juste pour l'emmerder un peu. mais tu as peur qu'il te fasse une crise cardiaque sur place, si tu fais ça. on va se baigner ? tu proposes, récupérant tout de même le tube de crème solaire entre-temps, pour venir en étaler délicatement sur les joues et le visage de ton mec.
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