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Le chant de Pando
Dans le silence de la forêt, les secrets deviennent des cries


forêt de pando

D'un geste impatient de la main, So Yeong Moon chasse la bestiole qui s'est approchée de trop près de son visage. Elle n'en peut plus, seuls ses lectures dans les livres de la bibliothèque de Ilvermorny l'avait motivé à venir. Sinon elle serait dans sa chambre à réfléchir, à lire, à résoudre mais pas à passer par dessus des branches dans une forêt. A jurer sincèrement que la prochaine bestiole qui l'approche, elle la grille d'un sort bien placé.
La promesse des livres avait intérêt à être à la hauteur sinon rien n'empêcherait So Yeong Moon de retourner dans ce maudit château pour le geler en commencer par cette bibliothèque. Ou alors la brûler. Sa raison de venir crapahuter dans une forêt pleine de bestioles et de mysticisme -il n'y avait pas grande chose de plus qu'elle détestait plus que le mysticisme, c'était la preuve d'un manque d'intelligence ennuyant et sans la moindre originalité- c'était sa réponse au malédiction. Les phrases abscons des recoins de livres, les rumeurs des premières années interrogées entre cajoleries et menaces parlaient de réponse au malédiction. Et au vu des phrases de So-Y, il avait évoqué une malédiction et récemment il la laissait douteuse, méfiante. Il y avait un élément caché mais elle ne savait pas lequel et c'est bien une chose qu'elle comptait découvrir.
Son cerveau fonctionnait à pleine puissance de balais quand un nouvel insecte s'approcha trop près de son visage avant quelques mots prononcés bien trop fort d'un faux savant. Une barrière magique contre les insectes plus tard, elle s'approche involontairement acerbe du touriste si mal vêtu. "Vous devriez vous taire, tout le monde est capable de lire un livre." La phrase est acerbe alors qu'elle se retourne vers Alix qu'elle ne connait que de loin. Elle le suit parce qu'elle ne sait pas où aller et que c'est bien plus efficace. "On est encore loin ?" Maudit soit les Parques et So-Y.

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Dans le silence de la forêt, les secrets deviennent des cries


forêt de pando

les lèvres pincées, tu observes tout autour de toi, essayant d'apercevoir des licornes, mais vous faites sans doute trop de bruit. avant de partir, tu t'es enduit de répulsif, priant silencieusement pour ne pas être piqué par les moustiques - ou bien une tout autre bestiole. tu as déjà prit des couleurs durant se voyage, enfin. tu as pris quelques coups de soleil et pas vraiment de bronzage, mais bon. tu te mords l'intérieur de la joue un bref instant, glisses une main dans tes cheveux et soupirant un peu en t'avançant dans la forêt. tu te grattes la joue du bout des doigts et tu observes so yeong, quelques pas devant toi. tu n'as pas eu le choix que de suivre la jeune femme - préfère - que tu connais peu. pourquoi pas, après tout ? tu penches un peu la tête sur le côté, les lèvres pincées, t'avançant dans les branchages. tu retiens un petit soupir. on est encore loin ? tu relèves la tête, te tirant de tes contemplations sur le paysage. tu te sens bien, dans la forêt. t'as toujours aimé te retrouver en pleine nature. je ne sais pas ... tu avoues en observant ta carte, entre les doigts. tu te pinces les lèvres un instant. on cherche quoi déjà ? une feuille ? tu hausses un peu les épaules, te mordant l'intérieur de la joue un bref instant. cet objet n'est pas ce qui t'intéresse le plus, quand tu y penses. on ne devrait plus être très loin, on marche depuis quelque temps déjà. tu ajoutes avec un sourire sur les lèvres, te tournant vers la jeune femme. tu te grattes la joue du bout des doigts.
tu ne trouves pas cet endroit extraordinaire ? ça change tellement du japon c'est ... un autre monde. tu ajoutes, observant les arbres vous entourant, un sourire sur les lèvres, les sourcils froncés quand le soleil vient rencontrer tes rétines. tu as toujours aimé la nature. toujours très proches. tu aurais pu être un daichi, tu le sais. mais tu as toujours été plus proche de ta mère, très proche de l'eau. elle t'a transmis cette passion avant même que tu n'envisages de rejoindre mahoutokoro pour tes études.
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forêt de pando

La nature n’était pas un endroit agréable pour So Yeong, elle ne trouvait pas cela spécifiquement beau, intéressant ou digne de son intérêt. C’était plein de bestioles à l’esprit encore moins optimisé que ses congénères homo sapiens, sans aucune conversation et surtout avec aucun intérêt dans son esprit. C’est peut-être limité, potentiellement le signe que son intelligence n’était pas à la hauteur de ce que l’on prétendait. Peut-être mais elle n’y croyait pas, la demoiselle n’avait absolument aucun goût pour la campagne ou la mer ou ce genre de chose qui laissait les bouches grandes ouvertes à toutes les grinchebourdons. Ce qui n’était définitivement pas du goût de la brunette, d’un sort précis, elle tue une BVNI -son nouvel acronyme pour bestiole volante non identifiée- dans une légère odeur de grillée qui lui attire des regards courroucés. Qu’elle ignore, violemment. De son pas décidé, avant de s’arrêter en attendant la réponse d’Alix. La préfète ne savait pas trop pourquoi elle l’avait choisi, une danse où elle n’avait pas eu envie de le frapper. Tout en lui clamer cette douceur qu’elle trouvait un peu ridicule d’amour un peu niais de la nature, cette douceur presque mélancolique qui sortait par vague de lui.

Sauf qu’il n’a pas l’air de réussir à se diriger avec une carte et une forêt. Est-ce que sa croix était d’êtres entouré d’incompétents en plus qu’ils soient par nature idiot ? So Yeong ne savait pas mais elle ne put se retenir de souffler, bien trop fort. Avant de soupirer une nouvelle fois devant sa question, d’accord la mémoire humaine était assez faible au point de se dégrader en deux secondes mais pas à ce point. « Une feuille ou un parchemin permettant de lutter contre les malédictions » Bien sûr. Elle préfère avancer à ses côtés dans un premier temps que de répondre, Alix était très peu précis. On va marcher encore un peu parce qu’on marche depuis quelque temps ; C’est fou comme la précision mathématique de Jina lui manquait, il n’y avait aucune information précise simplement des mots tellement vagues qui lui donner des maux de tête. Sauf qu’il ralentit de son pas, So Yeong continue de son pas décidé avant d’entendre une voix qui résonne au loin, elle se retourne sans cesser de progresser pour le voir. Déjà se complaire devant cette beauté, illuminer du soleil d’un autre monde. La raison pour laquelle la Kaze l’avait choisi est devenue la raison pour laquelle elle ne retient pas un roulement de regard. « Ce n’est pas si différent du Japon mais surtout bien sûr que non ce n’est pas un autre monde. Soit c’est le même soit ça en est un autre et c’est le même. » Dans sa voix, il n’y avait pas de méchanceté, simplement l’énoncé d’une vérité générale. Elle ne visait pas à vexer tout comme ce qui vient après malgré les résonances d’autorités qui sortaient des inflexions de sa voix. « Tu as vraiment tout du garçon qui aime si fort la nature, c’est écrit sur toi mais viens. » Parce que j’ai besoin de cette qualité pour me diriger. Elle ne savait même pas si ce qu’elle cherchait été un parchemin ou la feuille de cette arbre géant. L’une des raisons pour laquelle elle ne supportait pas les vieux parchemins.
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tu profites de la nature tout autour de toi. tu as toujours aimé la nature, les rivières, l'océan, et tout ce qui tourne autour de l'eau. tu es a ta place, dans ta maison, et tu le sais. tu observes la jeune kaze du coin de l’œil, tu te mords l'intérieur de la joue un bref instant. tu laisses tes doigts effleurer quelques fougères, et tu t'avances en direction de la jeune femme, la rejoignant en quelques pas. une feuille ou un parchemin permettant de lutter contre les malédictions tu hoches doucement la tête, pensif un bref instant. un parchemin, permettant de lutter contre les malédictions. tu te pinces les lèvres un bref instant,penchant un peu la tête sur le côté. tu n'as jamais totalement compris ce genre d'intérêt, mais tu respectes le souhait de so yeong de vouloir trouver cet objet. après tout, tu ne connais pas grand chose de sa vie, et de ses ambitions. tu glisses tes doigts dans tes cheveux.
ce n’est pas si différent du japon mais surtout bien sûr que non ce n’est pas un autre monde. soit c’est le même soit ça en est un autre et c’est le même. tu te pinces les lèvres, ne te vexes pas des mots de la jeune femme. tu hausses un peu les épaules. oui c'est sûr. mais ça n'empêche pas de se sentir totalement dépayser. tu murmures doucement. tu n'as pas grand chose en commun avec la jeune femme, vos caractère sont relativement éloignés. tu glisses une main dans tes cheveux et tu retiens un léger soupir. tu as vraiment tout du garçon qui aime si fort la nature, c’est écrit sur toi mais viens. tu ris un peu, rejoins la brune en quelques enjambées. tu devrais profiter de l'instant. tu souffles doucement en l'observant, te remettant en route au travers de la forêt. pas spécialement d'être dans la forêt, c'est clair que ce n'est pas ton terrain de prédilection. tu parles sans vouloir vexer la jeune femme. tu te pinces les lèvres un instant. je veux dire ... je ne connais rien de ta vie bien évidemment, mais tu m'as l'air souvent ... sur la défensive. tu murmures, un peu plus bas. tu retiens un léger soupir. ça fait parfois du bien de se laisser aller au moment présent. comme quand on disait, par exemple. tu ajoutes en esquissant un sourire. j'ai apprécié danser avec toi. tu souffles finalement en observant la jeune femme. tu te racles la gorge un bref instant. tu observes so yeong un bref instant. ne ... je ne veux pas essayer de te faire changer ou autre. et je m'excuse si j'ai pu te blesser d'une quelconque manière. c'est simplement mon point de vue sur les choses. et je t'apprécie. tu murmures finalement en haussant un peu les épaules, récupérant ta baguette pour vous frayer un passage dans la forêt.
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Les lumières qui jetaient des tâches dorées sur la terre humide odeur pétrichor et l’ombre des fleurs vertes forêts comme des éclats de jade répartis. So Yeong aurait pu voir ça, mais les lumières qui transmettaient les informations à son esprit ne donnaient rien de cela. Elle n’y voyait que de la terre, de la lumière et des arbres, pas de quoi y accorder une attention plus particulière, si dévorante. Au fond, elle n’avait aucun goût pour la nature, commençait lentement à ne plus en pouvoir des personnes qui la déifiait après l’avoir humaniser. Comme si leur réflexion ne pouvait se séparer un être n’existant pas comme figure d’autorité inexistante pour appuyer leur absence de rationalité et du moindre résonnement logique. Et cela l’épuise la cartésienne Kaze.

Les réactions d’Alix glissent sur elle, les ignorant pour continuer son chemin. Pas volontairement, même si So Yeong était exceptionnellement observatrice sur certains éléments, parfois elle était totalement aveugle sur des éléments absolument basiques. Et le charme simple de la nature en faisait partie comme son observation. Même la remarque la laisse de marbre, elle ne relève pas trop la remarque. Par contre sa remarque sur l’instant la fit encore une fois monter les yeux à la cime des arbres qui cachaient le ciel. Profiter de l’instant ? Même quand elle l’ignorait, cette situation l’ennuyait profondément. Ignorant complètement, elle s’avance jusque dans un coin où une feuille lui apparaît plus étrange. Elle ignorerait bien la psychologie de comptoir  et encore plus ses élucubrations sur le fait qu’elle soit défensive, parce qu’elle s’en fichait, parce que même elle voyait l’erreur d’analyse. Commune mais épuisante. La Kaze n’en avait même plus marre, simplement ennuyée, encore et à nouveau. Parce que cette analyse était lente, paresseuse, ratée et bien trop peu pensée, plus une accumulation d’informations dont elle se fout. Donc elle ne prend pas la peine de le relever. Même si elle note d’un air satisfait que le moment de la danse a plu, elle n’aime que cela, la logique des danses de salons mais surtout elle aussi.« Moi aussi j’ai apprécié ». Elle relève les yeux vers lui, emportant avec elle la feuille d’une main avant de se rapprocher alors qu’il s’excuse, comme si cela l’avait touché. Et c’est un air étonné qui s’étale sur son visage, sur les abords bien plus qu’en totalité. Ce n’était qu’un léger effet comme la lumière des étoiles.

Alors qu’elle se relève pour le suivre un peu plus loin dans la forêt. Son regard parcourt cette nouvelle zone dont les couleurs oscillent vers le bleu-vert de façon assez sublime, dans un œil plus intéressé, plus que celui de la préfète. « C’est simplement qu’à mes yeux rien n’a un intérêt particulier sur cette planète. Ce monde est ennuyeux, la majorité des gens et des choses sont ennuyeuses. Savourer un moment qui n’a rien d’intéressant ? Inutile et lassant » So Yeong était honnête, aussi durs soient ses mots, ils étaient simplement prononcé avec le ton neutre et sans le moindre trémolo pour agiter les ondes sonores de sa voix. « Après, les gens capables d’aussi peu d’activité intellectuelle me laisse perplexe » Sans la moindre méchanceté, même avec une certaine interrogation malgré ses dons de legilimens, travailler les émotions ne l’avaient pas rendu plus capable de les appréhender et de les comprendre rapidement. Et c’était une véritable interrogation qu’elle a posé en le regardant avant de détourner le regard pour se penser sur une nouvelle feuille bleutée. Regard accaparée en caressant la feuille pour vérifier la texture par rapport à celle du grimoire.
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moi aussi j’ai apprécié. tu observes la jeune femme un instant, penches un peu la tête sur le côté. tu offres un sourire face à so yeong, et vous continuez de marchez au travers de la forêt. tu te grattes la joue du bout des doigts, observes attentivement la kaze, durant un bref instant. c’est simplement qu’à mes yeux rien n’a un intérêt particulier sur cette planète. ce monde est ennuyeux, la majorité des gens et des choses sont ennuyeuses. savourer un moment qui n’a rien d’intéressant ? inutile et lassant. tu te pinces les lèvres un instant, essayes de comprendre le point de vue de l'étudiante sur le monde qui l'entoure. mais vous êtes radicalement différents. tu aimes la nature, les gens, passer du temps à ne rien faire et à rêvasser. cela ne semble pas être le cas de ta camarade préfète. après, les gens capables d’aussi peu d’activité intellectuelle me laisse perplexe. tu esquisses un petit sourire amusé, t'approchant de la jeune femme. je te laisse perplexe alors ? tu la taquines un peu, t'avançant dans la forêt. j'ose au moins espérer que tu m'apprécies. tu ajoutes avec une petite moue. tu t'en fiches bien, au fond. on ne peut pas plaire à tout le monde. tu observes so yeong un bref instant.
tu récupères ta baguette pour vous frayer un peu plus facilement un trajet dans la forêt. peut-être qu'on aura un peu plus de chance en s'enfonçant plus au centre de la forêt. tu proposes, pas totalement certain de cette idée. tu te mords l'intérieur de la joue un bref instant et un petit soupir manque de t'échapper. tu laisses la jeune femme te rejoindre et tu cales ton rythme sur le sien. je peux te poser une question ? tu demandes, tournant la tête sur le côté. tu te pinces les lèvres un instant, conscient de le faire une première fois. tu esquisses un sourire face à l'étudiante. tu attends quelques instants la réponse de la brune. c'est quoi tes passes-temps ? tu questionnes quelques instants plus tard. véritable curiosité qui glisse dans tes veines face à so yeong, l'envie d'en apprendre un peu plus sur la jeune femme. tu souris un peu, ne sait même pas si tu peux t'attendre à une réponse ou pas.
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Le bleu avait toujours était une couleur énormément présente dans sa vie. Du bleu clair si semblable au ciel qu'il semblait presque aussi transparent de l'atmosphère aux bleus céruléens qui se perdaient dans les rainures du blasons des Moon. Le bleu comme couleur symbolique. Si So Yeong tenait aux symboles. Elle, elle opérait sur des méthodes scientifiques avec des données et des expériences écartant les arguments purement idiots comme celui du bon sens. Ou l'appel à la tradition. Ou l'appel à la nature comme celle qui les entoure. Parce que les réponses seraient dans ces arbres nécessairement bons, par nature. Ironique. Pendant qu'Alix parle, la préfète se saisit de la feuille moirant de reflets irisés bleutés et l'arracha d'un coup sec. Ses yeux attrapent ceux du mizu, les harponnant pour scanner ce qui semblait l'intérieur de son esprit limité. « Acceptablement. Tu ne fais pas parti des gens qui cumulent l'idiotie et la petitesse de l'âme. » La voix est neutre, sans véritablement d'intonations aux oreilles inattentive. Froide de celle qui énonce une vérité dont la remise en cause n'a pas le moindre intérêt. N'a même pas de sens.

La Moon suit Alix qui a récupéré sa baguette pour leur frayer un chemin. Sa proposition lui tire un simple assentiment. « Oui. » Les plantes s'écartent et ses yeux parcourent à la recherche d'une feuille semblable à un parchemin. La kaze ne savait pas vraiment ce que ces données feraient ici, elle n'avait pas pris la peine de s'intéresser aux sorciers à l'origine. Il l'attend avant de lui demander s'il peut poser une question alors qu'elle hoche la tête. Bien sûr c'était une de plus mais seuls les imbéciles se sentaient de devoir le dire à l'oral.

Il sourit avant l'interrogation, elle reste neutre devant la banalité de la question, son manque d'intérêt et sa voix le traduit bien. « l'esport sorcier, la technomagies et plus particulièrement les sciences. » Ses hobbys ne t'intéressent pas mais So Yeong relève les yeux pour cesser de l'effleurer et l'analyser avant de débiter d'une voix monotone au sein de laquelle la pointe d'orgueil parfait à peine.« Quant à toi, tu es un mizu pratiquant la danse avec un certain talent, tu es doué avec les créatures magiques avec lesquels tu as la patience et l'attention nécessaire et tu es doué en potions. » Une trace suspect par ici, une odeur entêtante par là, sa capacité à être dans la nature et à se mouvoir avant attention en général. C'est ce qu'elle faisait.
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