A BRIEF HISTORY OF TIME
entendre la mélodie des vagues contre la hiénal température. patronyme volage, attachant des âmes au alentour des constellations et brisant la pureté territoire. dessin balayant les hyalines contrées. et émotion de ce jour, l'enfant en divague.
dieu déchu, tombant dans les cendres tel un tombeau. et la lumière des lucioles n'y est assez forte, que s'oublier un honneur en crachant horreur. honte, les mortels crient à vengeance, mais l'être ne veut voir cette iconoclasme.
borée trahi, lentement renaît.
blessure vide, vice lasure.
équilibre discontinu, balance le pousse, au fur et à mesure, à rejoindre la fin. peut-être demain ?
atmosphère éphémère dans lequel il s'est réveillé. les bruits de la ville, les feux couleurs chantantes de ce monde, et les rêves se mélangeant dans sa tête. gémeaux âmes, résilles cauchemar.
simplement écrit sur le papyrus, rien de réel. on lui parle souvent de cette côte d'où il vient, d'où ses ancêtres sont partis à la recherche de découverte. et puis, la tradition l'oblige, mais le gamin connaît cette langue sans n'avoir jamais poser le pas là-bas.
plaine d'horizon, nœud infini. moitié du myocarde venant de cette terre, celle pleine d'angoisse et de démons.
artefact imparfait, bancal, t o x i c.
être de carmin captieux des précieuses, ecchymose sur la poitrine.
tellement coloré de différentes perles, les veines sectionnelles réveiller être de partout.
mensonge d'une fois. avec neptune, plus jeune, ils adoraient jouer avec la baguette de leurs parents. inventant des sortilèges, sans rien ne se passe jamais. quand il eut sa réelle baguette, jupiter fût légèrement déçu de ne pas avoir eu celle qu'il aurait toujours voulu, celle de son père. mais le temps est dessiné pour un raison, et ce morceau de féerie lui est comme trésor à ses yeux.
ptdr quelle question.
avenir dressage, passage commun des héritiers.
car magie des créatures circulent dans le sang, l'enfant comprends les erreurs de ses ancêtres et tente de les surpasser.
il n'a jamais été bon en cela, faute qu'il essaye de réparer. jusqu'à que la curiosité s'invite et danse dans sa tête. la lumière imagination le poussant à continuer, le sourire aux lèvres.
actuellement en recherche d'un sugar daddy pour pouvoir s'acheter pleins de choses. il attend nos candidatures.
et des maux du gamin. il regarde les autres, pour l'instant. jouant avec n'importe quel être qui veut de lui, mais ne comprenant pas vraiment ses sentiments. vivant dans cet amour mécanique, les secondes
s l o w
et la jalousie meurtrière. et les lettres qu'il, souvent, envoyait à ces derniers amis. un bon souvenir, poétique de calligraphie. et cette odeur lui sonnant comme écrivain de son futur, il la reçoit dans son myocarde, tapant dans chaque battement de cadence. et puis, elles étaient belles les larmes. ce sentiment synonyme de désastre est comme questionnement. il les a très bien connus, il en était le maître et victime. mais chacune a une différente couleur et au fond, ça le rappelle à la lumière. puis, il divague. vagues abysses qui lui montent à la tête. le sentiment de pression qu'il faut vivre rapidement, à la course contre la faucheuse. il faillit d'une seconde pour que le môme se retourne et s'arrête, pour devenir amant de la mort et observer le vivant.
grande fût surprise en le découvrant. il en a pleuré, le fil de lumière lui montre le même qu'était celui de sa mère.
ça lui hante la caboche, les lettres se cognant contre chaque paroi. il l'a entendu une fois, durant un voyage. deux mois après la mort de sa mère, et il a failli en finir avant qu'on le rappelle à la raison.
parce que ce scénario passe et repasse, imaginant des possibilités de futur sans lui. s'il avait eu le choix, son bonheur aurait été d’échanger sa vitalité avec sa génitrice pour qu’allégresse soit à nouveau maîtresse.
aventure sombre, quand les âmes s'en mêlent avec morphée. l'enfant règne sur ténèbre et rêverie. ça le tue, ça le ronge. car ce n'est pas un don mais malédiction. messagerie du passé en capitale, criant de la vengeance clémente. lumineuses enfers dans lequel il ne veut mettre les pieds. le trou noir le mangeant, scalpant sa volonté et ses nuitées. longtemps, il s'en ai détesté. mais s'apprendre fait découvrir que chaque pellicules d'une biographie est importante pour la prochaine page.
AESTHETIC ;;
même les monstres rêvent d'amour
à l'écoute possessif franc colérique patience manipulateur observatif compétitf orateur sarcastique lumineux ambitieux
sang ciel ; au revoir là haut
astro désastre
même les monstres rêvent d'amour
KEYWORDS
now or n e v e r
nightmare, the hills, je sais dire je t'aime et je te baise en pleins de langues
A WIZARDING GENEALOGY
rédaction dramatique, inspiration des ancêtres théâtrales.
le cœur éternellement regroupé.
les voyageurs vivent ensemble, et meurent à cascade.
maître du circus, chapelier fou. le chapeau tombant sur ses yeux, et les notes écrites sur son carnet devenant rempli. enfant du monde, grandissant dans des milliers de transports vers un autre horizon. norvégien de sang, mêlé depuis des générations qu'on se demande s'il a été pur un jour. venant d'une famille de magizoologiste, kristian a donné une vie synonyme de la sienne à ses enfants. imprimerie futur fratrie du passé, devers l'un à l'autre. tombé amoureux d'une femme, une américaine alors qu'il passait noël à new york avec sa famille. un coup de foudre, l'enfant du monde rencontrant la nymphe citadine. elle l'a rejoint à l'aventure.
enfant de la ville, sang tâché de petites couleurs. une belle américaine, elle aurait pu devenir mannequin, disait le père en pleurant. elsa, elle était le savoir de la culture. polyglotte, c'était souvent à elle qu'on s'adressait. elle adorait les langues étrangères, elle en parlait quatre courants et sept autres à perfectionner. elle écrivait, c'était une auteur pour moldus. des romans de sciences fictions en majorité, des best-sellers. elle aimait les sensations, problèmes et énigmes. sa vie était comme un labyrinthe la dirigeant vers un bonheur paradis.
sauf que, démon lui perd sa vie.
les enfants désastres, les jumeaux démons. naissant dans le cœur noirceur d'un diable, mordant les monstres compagnons pour devenir ange à immortelle. alliance méli-mélo, myocarde serpent dansant avec l'auréole. des âmes sœurs au sang semblable, la bague de carmin. ils ont toujours vécu ensemble. les moments maux de roses et les épines infinies, le secret que la maladie coule dans leurs veines, les anciens dieux sont punis dans leur vie mortelle. force intemporelle, la haine ne peut pas vivre dans leur relation d'un être reflet. vision de l'autre d'un film d'horreur, les deux petites filles de l'hôtel, c'est vous.
l'avant détruit l'après
l'enfance à travers l'horizon
l'adolescence au pays du soleil levant
l'adulte sur papier
THE LIFE AND LIES OF (JUPITER)
un amour poésie, lyrisme définition.
des aventuriers sans pose, tombant dans leur cocon deux petits êtres en plus. tout était beau.
le temps était
b o n
b o n
des centaines de pays visités, des pieds enflammés sur différents sols. l'éducation à travers le monde, apprenant un début de français mêlé à du russe. la culture des créatures, de cette planète où chaque mystère en cache un autre. jupiter, il a grandi avec l'école de la vie, les cours fait par ses parents avec l'accord d'ilvermorny. il a connu les tempêtes du désert en cherchant un éruptif, les pluies au beau regard d'une licorne et de son petit, ou encore, la fatigue de la poursuite d'un zouwu. chaque de ces voyages, il s'en souvient par cœur.
les astres étaient douceur.
- trigger warning:
- hawaii, 2 mai 2007
maman, elle a toujours vécu dans sa mauvaise amie l'angoisse. développé par l'univers scolaire, se poursuivant par la pression de son métier. elle avait un doux équilibre, selon du bonheur familial toujours proche d'elle et qui la plaçait dans un cocon d'idylle.panspermie des êtres néant
tout allait bien. la balance de vitalité était droite, rien à l'horizon du désastre. et puis, il a fallu d'un cauchemar passage pour atomiser cet équilibre. une présence qu'elsa a senti dans son esprit, un silouhette venant parfois dans ces cauchemars qu'elle chassa en se réveillant des pleures et hurlements. personne n'a jamais compris, jupiter non plus. mais ce qu'il vivait, il l'associait logiquement avec l'état de sa mère.
saf a u t e
deux années, deux ans où le visage angélique meurt doucement. les anges préparaient déjà son lit, orée et beauté. la mère, personne ne la voyait. elle suivait la famille comme âme égarée, pleurant de folie derrière eux alors que jupiter lui tendant la main pour aider hypothèse. elle l'a toujours refusé.
et enfin, une nuit.
ombre astre reignant, adamantin éclat d'une songe soirée. la signature des cieux a thèse détruction. l'orbe de la lune les observant, les enfants du monde allongés au sol à regarder les étoiles. maman était là, aussi. elle n'avait pas dormi depuis deux jours, comme souvent. mais sa présence rare n'était une bonne idée. les jumeaux, victimes marionettes d'un futur, étaient déjà partis au marchand de sable.
elsa, elle s'est dormi. et cauchemar, la silouhette venant pour cette dernière fois dans sa tête.crie
CRIE
hurlement
H U R L E M E N T
la belle se leva, réveillant tout le petit groupe et courant dans la maison. les constellations riant à un funestre passage. neptune se dépêcha de la rejoindre, voyant de la lumière dans la salle de bain.
le temps estb o ncrie
CRIE
hurlement
H U R L E M E N T
maman, au secours
un dernier son, celui de la môme. et des pleures, de nombreuses pleures. les deux garçons couraient les rejoindre mais le drame était déjà fais. jupiter se souvient à moitié de ce tableau démon. la première fois que la particularité de neptune s'est vu aux yeux de tous, donnant chemin à la fin d'une biographie. les morceaux du corps disparus, neptune pleurait. et jupiter, il observait.le cou tranché libérant le carmin pourpre, les yeux blancs appelant les souffrances de ce monde, les membres tordus par la forme de la pièce et la chute de l'ange déchue dans le décor, les tâches de vitalité criant culpabilité aux démons jumeaux.
c'est de leur
faute.
le monde, il l'a vu de toutes les formes. comme un labyrinthe sans fin, un jeu de dame de joueurs légendes. les cartes maîtresses connues par cœur, jusqu'à oublier son origine. ça aurait pu continuer à jamais. mais les constellations n'aiment pas la routine, et le malheur a une jolie couleur chez cette famille.
alors que les survivants vivaient dans les maux cicatrices et les pansements mensonges, ils arrivèrent au japon en début 2015. visitant de vieilles connaissances familiales dans la campagne japonaise, kristian décida de partir explorer les forêts de ce paysage.
vengeance u l t i m a
kristian mettait plus de temps que prévu. alors, les êtres partèrent à sa cherche. hélas, le père était piqué par un frêlon géant japonais et direction hôtipal. il en mourut point, mais le venin était trop fort pour laisser l'homme reprendre le cour norme de sa vitalité.
les valises posées, la famille reste au japon en définitif.
poussé par sa mère, jupiter a commencé à écrire à une fille connaissance de sa famille sans jamais l'avoir rencontrer. au début, c'était pour l'entraîner à écrire anglais, lui faire apprendre de nouveaux mots pour s'exprimer avec elle. puis, petit à petit, c'était pour garder une stabilité univers au môme. les lettres se sont multipliées, aux quatre coins du monde elles arrivaient quand même. c'était son petit moment, comme s'il pouvait communiquer avec elle, en face. les lèvres bougeant au rythme de sa lecture, il le faisait toujours en présence de neptune pour qu'elle l'aide à rédiger et bien réaliser que la jeune fille disait. il tremblait, peur qu'un jour, la jeune fille s'arrête à cause de lui.
mais, c'est lui qui a tout balancé au trou noir.
dans un excès de colère, brûlant chaque morceau de papier pour embraser sa peine. il n'avait pas le droit d'écrire, c'était le domaine d'elsa et elle n'était plus par sa faute.
alors, il a stoppé la correspondance du jour au lendemain, sans envoyer une dernière lettre disant un simple adieu. sans doute que son père a prévenant son ami, mais les enfants ne se sont plus jamais parlés.
jusqu'à que le môme lui renvoie sa réponse avec plusieurs années de retards.
il est myope, porte des lentilles la plupart du temps parce qu'il déteste devoir enlever ses lunettes quand il pose sa tête sur son oreiller + il a peur du vide, une forme de vertige + son voyage préféré était à ushuaia, argentine + il est allergique au pollen + il parle anglais, norvégien et japonais par vécu ou tradition + il n'est pas photogénique, donc préfère photographier d'autres personnes, des créatures ou des lieux plutôt que lui-même + il lit beaucoup, ça lui rappelle l'époque où ses parents leur lisaient des contes traditionnelles du pays où ils étaient pour mieux comprendre la culture, quand ils étaient petits + il connaît pas sa taille de vêtements, et donc fait toujours au hasard + il pourrait passer sa vie avec ses écouteurs et sa playlist jusqu'à même oublier de manger ou dormir + petit, il rêvait de reprendre l'image famille du voyage. maintenant, il en a peur + fan numéro 1 de l'équipe d'e-sport de so yeong.
MY LIFE AS A MUGGLE
toujours manon, j'ai pas changé d'identité
toujours dix-sept ans, j'ai pas grandi
toujours aussi idiote, lente et timide, un désastre reste un désastre
et toujours plein de love pour vous
et j'ai déjà une idée pour un autre compte, my bad mais c'est pas fini