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Titre
La peinture était pour moi toute ma vie à présent. Elle était mes études, mais surtout depuis quelques années mon moyen d’exprimer mes sentiments les plus profond. Aussi bien la joie que la tristesse ou peut-être même la colère et la peur. Lorsque quelque chose me tracassait et que je n’arrivait pas à l’exprimer il me suffisait de me munir de mes pinceaux, afin de régler ce problème. J’en avais souvent besoin et je dessinais presque chaque minutes où j’étais éveillé. Je ne tenais que très peu en place, j’avais toujours la bougeotte et Arasy avait sans cesse envie de me tuer parce que je remuais de trop. Elle avait même mis en place une boîte pour que je lui accorde quelques instants de silence, qui pour moi était une véritable torture mais pour elle une vraie bénédiction.
Aujourd’hui était un jour que j’adorais, je devais recevoir l’un de mes modèle. Snorri.J’avais hâte qu’il arrive, parce qu’une fois en place je savais que mon esprit pourrait se focaliser sur la peinture et que les pensées qui l’assaillait sans cesse se mettraient en pause durant quelques minutes au moins. Et ça s’était bénéfique pour mon corps, parce qu’ainsi j’arrêtais de me torturer.
J’avais donc tout préparé pour l’arrivée de mon invité, de la star du jour. J’allais enfin le peindre, et j’espérais qu’il serait patient parce que je voulais que cette séance soit longue. Je détestait commencer une toile et la laisser inachevé, tout simplement parce qu’il m’étais ensuite impossible de la reprendre des jours plus tard. Car mon esprit s’était alors focalisé sur un autre sujet. C’était certainement la chose la plus dur auquel je devais faire face. parce que les heures de travailles m’épuisaient bien souvent, et je finissait toujours par m’endormir le nez dans ma peinture, réveillé par les cris de ma grande soeur qui me hurlait que ce n’était pas normal de s’endormir ainsi, et surtout sans avoir l’envie de poursuivre ma toile. Beaucoup de mes tableaux était des oeuvres inachevé, ceci dit au moins elles illustraient bel et bien mes pensées parce que souvent elles se succédaient sans même que je ne puisse aller au bout de mes réflexions. J’avais préparé la plus grande des toiles que j’avais en ma possession. Ainsi, dans ma chambre j’avais tout rangé, et mis mon lit à disposition. de nombreux accessoires et des draps de différentes couleurs avaient aussi été mis à disposition ainsi Snorri n’aurait que l’embarras du choix pour prendre la pose. Le seul truc que j’allais imposer, n’était autre que la luminosité. J’avais fermé quelque peu mes stores, mais pas complètement, juste suffisamment pour que la pièce soit baigné d’une douce lumière. Il ne suffisait plus que les couleur vire au noir et blanc et mon tableau pourrait devenir une véritable photographie de Metzker. Mais avant ça je devais attendre que mon modèle arrive. Et pour attendre il n’y avait rien de mieux que de marcher dans le penthouse et de parler tout seul.
Aujourd’hui était un jour que j’adorais, je devais recevoir l’un de mes modèle. Snorri.J’avais hâte qu’il arrive, parce qu’une fois en place je savais que mon esprit pourrait se focaliser sur la peinture et que les pensées qui l’assaillait sans cesse se mettraient en pause durant quelques minutes au moins. Et ça s’était bénéfique pour mon corps, parce qu’ainsi j’arrêtais de me torturer.
J’avais donc tout préparé pour l’arrivée de mon invité, de la star du jour. J’allais enfin le peindre, et j’espérais qu’il serait patient parce que je voulais que cette séance soit longue. Je détestait commencer une toile et la laisser inachevé, tout simplement parce qu’il m’étais ensuite impossible de la reprendre des jours plus tard. Car mon esprit s’était alors focalisé sur un autre sujet. C’était certainement la chose la plus dur auquel je devais faire face. parce que les heures de travailles m’épuisaient bien souvent, et je finissait toujours par m’endormir le nez dans ma peinture, réveillé par les cris de ma grande soeur qui me hurlait que ce n’était pas normal de s’endormir ainsi, et surtout sans avoir l’envie de poursuivre ma toile. Beaucoup de mes tableaux était des oeuvres inachevé, ceci dit au moins elles illustraient bel et bien mes pensées parce que souvent elles se succédaient sans même que je ne puisse aller au bout de mes réflexions. J’avais préparé la plus grande des toiles que j’avais en ma possession. Ainsi, dans ma chambre j’avais tout rangé, et mis mon lit à disposition. de nombreux accessoires et des draps de différentes couleurs avaient aussi été mis à disposition ainsi Snorri n’aurait que l’embarras du choix pour prendre la pose. Le seul truc que j’allais imposer, n’était autre que la luminosité. J’avais fermé quelque peu mes stores, mais pas complètement, juste suffisamment pour que la pièce soit baigné d’une douce lumière. Il ne suffisait plus que les couleur vire au noir et blanc et mon tableau pourrait devenir une véritable photographie de Metzker. Mais avant ça je devais attendre que mon modèle arrive. Et pour attendre il n’y avait rien de mieux que de marcher dans le penthouse et de parler tout seul.