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tu profites des rayons du soleil, fermant les yeux un instant, écoutant d'une oreille distraite toutes les discussions autour de toi, celles de tes amis, ou bien des étudiants un peu plus loin. tu observes autour de toi, bien heureux de pouvoir te reposer après la visite de l'institut sorcier de botanique zoulou. tu n'es pas le plus attentif quand il s'agit de botanique et de plantes. toi, ton truc, c'est plus la métamorphose, les sortilèges, les duels, le combat. tu te pinces les lèvres, tu as troqué ta tenue du jour pour quelque chose de plus décontracté. un short, un simple t-shirt blanc comme haut, tes lunettes de soleil sur le nez. tu te grattes la joue un instant, distingues la silhouette de stolas, un peu plus loin, qui semble s'éloigner direction du spot indiqué précédemment pas un guide. les baleines, ça ne t'as jamais trop attiré. mais tu vois là, un moyen de te rapprocher un peu du brun.
après tout, vous partagez bien plus que tu aurais pu l'imaginer. tu te lèves en t'excusant auprès de tes amis, et tu laisses tes pas te guider. tu te fies à ton instinct plus qu'autre chose pour retrouver la piste du brun. et peut-être un peu à tes sens d'animagus. les lèvres pincées un instant, tu restes d'abord à quelques mètres du jeune mizu. tu hésites un instant. toi qui es pourtant si spontané. tu hésites, parce que tu ne sais pas ou vas vous mener cette discussion. tu te grattes la joues du bout des doigts, les rayons du soleil tapant agréablement contre ta peau. tu prends une petite inspiration, rassembles ton courage pour finalement rejoindre stolas. la vue est magnifique d'ici. tu souffles, tournant la tête vers le brun, laissant un sourire se dessiner sur tes lèvres. je peux ? tu demandes en désignant une place à côté du brun, esquissant un sourire. tu ne veux pas non plus imposer ta présence à l'étudiant.

tu te pinces les lèvres un instant, tu ne sais pas comment agir face au jeune étudiant. tu n'as jamais eu à gérer ce genre de situations dans ta vie. après tout, tu n'avais encore jamais appris, ne pas être le fils de ton père. tu te tournes vers l'océan, te mordant l'intérieur de la joue un bref instant et observant l'horizon. tu apprécies ce voyage, tu aimes sentir le vent glisser contre ton visage, l'odeur salée et iodée de l'océan. tu restes silencieux de longues secondes, tu viens glisser tes lunettes de soleil à ton t-shirt, préférant regarder directement stolas plutôt que de le faire à travers des verres teintés. tu viens t'installer prêt du brun après quelques instants d'hésitation. comment tu te sens ? tu demandes doucement. pas simplement son humeur du moment, et vous le savez tous les deux. tu esquisses un sourire plus timide que les autres. c'est étrange de se retrouver seul, avec l'étudiant. avec ce demi-frère dont tu ignorais encore l’existence il y a quelques jours.
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Invité
Après trois journées de marche, de balai, des randonnées à n'en plus finir, Stolas ne rêve que de s’asseoir un moment, d'être tranquille, loin des énergumènes qui fonctionnent sur batterie solaire et des cliques de filles tournant autour des élèves célibataires comme des groupes de vautours. L'institut de botanique a permis à tous de prendre un nombre correct de selfies pour inonder instagram, et il s'est lui même pris au jeu, mais il a toujours été meilleur pour utiliser les plantes dans des potions de soin que pour les faire pousser, alors la visite s'est vite transformée en fatigue supplémentaire. Il comprend et soutient le besoin qu'ont les professeurs à leur montrer des choses nouvelles tout en les rattachant à leurs cours, à leur avenir, mais s'il participe à ce voyage, c'est aussi pour être complètement dépaysé, challengé, autrement que scolairement. Il se fiche bien d'augmenter sa moyenne en rendant un parchemin de plus sur les plantes indigènes à l'Afrique du Sud, il n'est pas là pour ça.
La visite finie, il profite du quartier libre pour rejoindre l'extérieur, se dirigeant vers l'océan comme à l'habitude, pour marcher le long de la cote et laisser le ressac l'apaiser. Avant même de devenir Mizu, il faisait le tour du lac de Poudlard, se perdait le long des plages de Santorini, les pieds enfoncés dans le sable, tournant en rond jusqu'à revenir à son point de départ. Rien à ses oreilles que les bruits de la nature, le chant des oiseaux et celui des insectes, si semblable et pourtant si différent de chez lui.

Il en revient au spot, une fois plus calme, celui qu'un guide mignon lui a conseillé pour voir les baleines, et il s'installe à même le sol, replie les jambes sous lui pour y poser le menton, plissant les yeux pour échapper au soleil aveuglant de l'après-midi. Sa peau a pris des couleurs, lui qui bronze déjà facilement même au Japon, et son corps est bariolé des couches successives de bronze dues aux vêtements choisis pour la journée, alors que son col baille pour laisser apercevoir son torse blanc. Il compte bien remédier aux plus grosses différences de teinte demain, lors de la journée qu'il attend le plus, celle de la plongée, mais en attendant, il s'expose à un cancer de la peau sans plus s'en soucier.

Quelques minutes passent sans la moindre baleine à l'horizon, avant que quelqu'un ne s'approche. Le grec se raidit, espérant éviter une altercation de plus avec Ingrid, à deux doigts de la balancer de la falaise, mais c'est Sid qui arrive, vers lequel il tourne la tête.
Il acquiesce et se repositionne, le regard lointain, laissant au professeur le temps de s'installer à son tour. Oui, c'est magnifique, et c'est pour ça qu'il est venu. Pour se changer les idées. Si, dans leurs textos, Stolas avait exprimé la drôle d'envie de faire ce voyage ensemble, il restait déchiré entre deux sentiments contraires, alors que tout s'était enchaîné si vite, sans leur laisser le temps de se faire à la situation.

Sa question l'étonne un peu. Il aurait pensé Sid plus rentre dedans, mais il peut aussi s'accommoder d'un parent prévenant, alors qu'il rumine sa réponse, détournant les yeux de l'océan pour regarder son ainé. « Un peu perdu. Toi ? » Après avoir été vrai, il se veut désormais sincère. S'ils doivent construire quoi que ce soit, il faut éviter des fondations basées sur le mensonge. Sid se rendra bien assez vite compte qu'il a ses sautes d'humeur, ses introspections, ses angoisses, aiglon aux plumes juvéniles prenant son envol avec bien du mal.

« Le voyage se passe bien mais ça fait beaucoup d'informations à analyser. » Les paysages, leur histoire, les anecdotes, les sorts, les plantes, les animaux, et puis tout ce qui découle du voyage, l'aspect social sur lequel il est si défaillant. Sorti de sa tour ou des bras de son petit ami, ayant épuisé tout son courage, l'érudit est un peu dépassé par la réalité qu'il ne peut tenir à bout de bras.

« Pardon encore pour la jeep, j'ai vraiment paniqué. Pourtant j'en ai vu des voitures, mais elles me font toujours peur. » Qu'il devait être risible, le sang pur aux nerfs fragiles confronté à des technologies moldues. Mais il avait été élevé ainsi, loin de cette seconde culture. Contrairement à l'homme à ses cotés, qui par la force des choses, avait du vivre l'expérience inverse. « Comment tu as su, que tu étais un sorcier ? » Il voulait en savoir plus, sur sa vie, son passé, apprendre à le connaître, sans savoir par où commencer, quels sujets éviter. Autant commencer par le commencement.
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tu observes stolas de longues secondes avant d'approcher, lui offrant un sourire avant de demander si tu peux t'installer à ses côtés. peut-être qu'il n'a simplement pas envie de parler. qui sait ? quand l'étudiant acquiesces, tu viens t'asseoir à ses côtés, les jambes dépliées contrairement à ton vis-à-vis. tu viens t'appuyer sur tes mains, légèrement penché en arrière, et tu portes ton regard sur l'océan face à vous. il paraît qu'on peu voir des baleines. tu restes silencieux de longues secondes, profitant simplement de la présence de l'autre, réfléchissant aussi aux mots que tu peux, ou non, prononcer. tu n'es pas très doué, tu sais que vous devez vous parler, mais tu ne sais pas comment aborder stolas. tu ne le connais pas, après tout. tu ne connais rien de lui, de sa famille - ta famille - ou même de ses habitudes. c'est à peine si tu sais ce qu'il étudie. un peu perdu. toi ? tu te contentes d'un vague haussement d'épaules. tu te grattes la joue, tournes un peu la tête vers stolas. un peu perdu. tu avoues à ton tour. tu observes un instant tes doigts, ta peau un peu plus bronzée qu'à ton habitude. tu fermes les yeux et tu laisses le soleil caresser ton épiderme. c'est étrange, de te retrouver là, en compagnie de stolas, à l'autre bout du monde. et c'est aussi étrange, de te dire qu'il s'agit de ton frère. ou plutôt, de ton demi-frère.

le voyage se passe bien mais ça fait beaucoup d'informations à analyser. tu hoches doucement la tête, comprenant totalement ce qu'il peut ressentir. même s'il s'agit simplement du voyage. c'est beaucoup d'informations à assimiler, pour toi aussi. un nouveau pays que tu découvres. des habitudes que tu découvres, des gens aussi. parfois tu te dis que tu serais bien, ici. il fait chaud, c'est agréable. un nouveau pays à découvrir. mais ... le japon te manquerait sans doute trop. pardon encore pour la jeep, j'ai vraiment paniqué. pourtant j'en ai vu des voitures, mais elles me font toujours peur. tu ris un peu à ses mots. tu penches un peu la tête sur le côté. les voitures ... ça te paraît totalement banal, quand tu y penses. tu as vécu avec, en même temps. pendant plusieurs années de ta vie, tu ne pensais pas que la magie pouvait exister. ce n'est rien. ça arrive. tu souffles pour le rassurer.
votre discussion est sans sens, timide, un peu trop sans doute. tu fermes les yeux un instant et tu te redresses un peu, t'asseyant en tailleur pour observer la vue face à toi. tu ne sais pas quoi dire. tu n'en as aucune idée. absolument aucune. comment tu as su, que tu étais un sorcier ? tu te tournes un peu vers stolas, te désintéressant totalement du paysage. tu hausses un peu les épaules. je crois que ... je m'en suis réellement rendu compte quand j'ai reçu ma lettre pour ilvermorny. tu souffles après quelques secondes de réflexions. mais en y réfléchissant bien, j'ai beaucoup de souvenirs ... étranges. tu avoues en suite, un petit rire sur les lèvres. tu hausses un peu les épaules et tu pivotes un peu plus vers le brun, toujours installé en tailleur. il y avait toujours des choses étranges qui se passaient, quand j'étais énervé. ou contrarié. mes ... parents trouvaient toujours des raisons pour rendre ça logique. tu ajoutes ensuite. le carreau qui explose, l'électricité qui flanche, ... ce genre de choses. tu retiens un petit soupir. je me suis rendu compte plus tard que c'était la magie qui coulait dans mes veines. ça semblait logique, en y repensant. comme beaucoup d'autre choses. tu soupires lentement. tu fermes les yeux un bref instant, prends une inspiration tremblante. tu observes stolas, avant de tourner la tête vers l'océan. on a le droit à une question chacun ? tu demandes, amusé.
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