5. HYBRIDES; ❝ vélanes, loups, ayakashi (êtres de l'eau) et rokurokubi (vampires)

Réputation
Les relations entre les communautés sorcière et vélane ne sont pas spécialement au beau fixe. Du côté des sorciers, les vélanes ont la réputation de détruire des mariages en provoquant des infidélités, voir de se prétendre amoureux·se le temps d'avoir des enfants, qu'iels emportent ensuite sur leur territoire pour ne plus réapparaître. Du côté des vélanes, les sorcier·e·s sont dépeint·e·s comme dangereux·ses et indignes de confiance. Les jeunes sont découragés par leurs aînés lorsqu'ils expliquent leur envie d'étudier ou de vivre parmi les sorciers. Derrière cette haine mutuelle se cache un ancien et terrible conflit : lorsqu'iels ont été découvert·e·s par les sorciers, iels ont été classé·e·s comme des créatures plutôt que des êtres, statut qui leur a valu d'être traquées (ongles, peaux et cheveux utilisés pour la création de baguettes). Le préjudice a été légalement réparé, mais les blessures et la méfiance demeurent intactes.

Communauté Vélane
Raffinées, savantes (en soins, notamment) et très repliées sur elles-mêmes, les communautés vélanes possèdent généralement leur propre territoire, afin de limiter au maximum les échanges non souhaités avec les sorciers. Elles ont un fonctionnement matriarcal et sont extrêmement attachées à chacun de leur membre. Lorsqu’un enfant leur est arraché, iels ne renoncent jamais à la volonté de le récupérer. La fierté vis-à-vis de leurs origines coule dans leurs veines. L’éducation et l’apprentissage de la magie (instinctive, liée à leur et à la nature) sont à la charge des Anciens et des parents, qui valorisent énormément le devoir de transmission de savoir. Dans leur grande majorité, les vélanes ont peu d’égards pour les sorciers, à moins qu’ils ne fassent leurs preuves.

Communauté d’Asie de l’Est Elle vit en autarcie sur son île, Arlathan, et donne chaque année, de plein gré, quelques cheveux, seul composant de vélane encore utilisé pour les baguettes. Il n'est pas rare que quelques-uns de leurs enfants métissés choisissent de se rendre à Minami Iwo Jima, pour étudier à l’université de Mahoutokoro ou simplement découvrir un nouveau mode de vie, de nouveaux horizons.

C'est le monstre dont se servent les parents pour convaincre leurs enfants de rester sages et obéissants et, s’il arrive que quelqu'un disparaisse, on s'imagine aussitôt que le sorcier en question a été dévoré ou enlevé — à tort ou à raison. Il est aussi le monstre par le biais duquel les plus viles font disparaître ceux qui les dérangent. Par la faute des ayakashi, les plages sont infréquentables la nuit, mais bien des jeunes en font un défi au péril de leur vie. Bien que respecté en tant que gardien de l'île et créature de légende, l'ayakashi est surtout synonyme de danger et aisé à haïr — hormis pour les Aya, peuple autochtone de l'île (explications).

Contamination La proie enlevée est emportée au fond de l'eau et enfermée dans un cocon de salive durcie créé par l'ayakashi, qui le protège rigoureusement, comme un oeuf. La transformation s'achève au lever de soleil suivant : la peau du/de la sorcier·e se couvre d'écailles, son squelette se disloque et s'allonge. Une fois apte à respirer dans l'eau, iel brise sa prison pour s'en extirper. Semblable à ce que les occidentaux nomment sirène, le·a maledictus a le réflexe de rejoindre la côte, où l'entraînent ses souvenirs fractionnés.

PREMIER STADE (premier mois) Monstre le jour, iel peut retrouver forme humaine la nuit.

Caractéristiques physiques communes Torse humain, queue de dragon d’eau, crocs acérés.
Caractéristiques physiques aléatoires Bras et/ou joues parsemés d'écailles, mains palmées, nageoire dorsale, branchies apparentes, peau bleue lumineuse…
Comportement (bah ouais) Iel est agressif·ve en cas de menace, mais la persuasion peut faire émerger sa conscience. Horrifié·e et déboussolé·e par son mal, iel peut se raccrocher un peu plus longtemps à cette identité humaine s'iel est épaulé·e par des amis assez téméraires (ou suicidaires) pour rester à ses côtés la nuit. A contrario, un·e maledictus abandonné·e à son sort devient plus rapidement amer·e et malveillant·e.

SECOND STADE (deuxième mois) Le monstre prend de plus en plus le pas sur l'humain·e ; le·a maledictus use de la confiance tissée avec les humains qui le visitent pour les charmer et les entraîner dans l'eau. De plus en plus pressant·e, iel devient agressif·ve lorsque sa séduction n'opère pas assez efficacement. Lui résister devient très difficile.

STADE FINAL (troisième à quatrième mois) La contamination se complète, l'individu est irrécupérable. La maladie atteint tout le corps, donnant à l'akayashi son apparence finale — celle d'un dragon d'eau.

Remède Aya (originel) Le remède créé par la population autochtone ne soigne pas, mais retarde la transformation complète de deux mois et inverse les transformations sur cette durée (humain le jour, monstre la nuit) pour faciliter les adieux. À leurs yeux, le passage d'humain à gardien est une étape du cycle de la vie.

Remède sorcier (élaboré en 2008) Il doit être préparé par temps de tempête et administré avant la phase finale de son évolution. L'ingrédient clé est un échantillon de l’ayakashi sous sa forme de monstre (écaille, sang…). La durée de préparation étant, par conséquent, imprévisible, il ne peut pas sauver 100% des sorciers atteints.

Une fois le remède ingéré (soit par les veines, soit bu), le maledictus redevient humain et le monstre est sous contrôle, à deux exceptions près :

Lorsque immergé (bain, baignade) il est semi-monstre, d'une forme identique à celle des premiers stades de la maladie, mais il conserve sa conscience d'humain ;
Une fois par mois il redevient dragon d'eau à la date anniversaire de sa morsure. Le monstre reprend le contrôle, il ne doit pas être approché.

Le·a sorcier·e soigné·e garde toutefois un lien particulier avec l'ayakashi l'ayant capturé : affection-rancœur qui cause, durant les deux nuits précédant et suivant la transformation, une attraction irrésistible vers la plage. Son parent l'y attend généralement près de l'eau (sous forme de monstre ou d'homme, aléatoirement) et peut tantôt le couvrir d'affection tantôt essayer de le noyer, regrettant qu'iel l'ait abandonné·e.

Réputation
Si la nature d’un·e rokurokubi est révélée publiquement, il lui devient très difficile d'obtenir un emploi ou encore la garde d'un enfant (en cas de divorce par exemple). Certains·es sorciers·es et lieux sont toutefois plus tolérants — à Mahoutokoro, par exemple, des dispositions sont prises pour les accueillir en tant qu'élèves et professeurs, de façon discrète et sécuritaire. Soleil et magie, chez les rokurokubi, ne vont pas de paire. Leur magie est moins puissante la journée, mais décuplée la nuit. En cas d'exposition prolongée au soleil, il arrive que la magie se mette en pause. Afin qu’elle fonctionne de nouveau correctement, rien de mieux qu’une dose de sang, qui la fortifie et apporte en plus réflexes, vitesse et sens surdéveloppés.

Les rokurokubi sont morts (FAUX) iels sont vulnérables aux blessures, bien qu'iels se régénèrent très rapidement en consommant du sang (surtout si humain).
Iels ne dorment pas (FAUX) toutefois, il est vrai que la plupart préfèrent vivre la nuit et dormir le jour, puisqu’iels sont photosensibles.
Iels sont immortels (FAUX) iels vieillissent à la même vitesse que les sorciers·es (donc presque deux fois plus lentement que les moldus).
Iels craignent l'ail (FAUX) certains mets à base de sang/sang de synthèse peuvent d'ailleurs en consommer, et les rokurokubi peuvent ingurgiter de la nourriture humaine sans risque (bien qu'elle n’ait, pour eux, ni goût ni intérêt énergétique).
Iels sont immunisé·e·s à l'alcool et à la drogue (FAUX) les effets et les risques perdurent, bien qu'iels soient plus sensibles à une potentielle addiction au sang humain.

Statut légal Les rokurokubi doivent être déclaré·e·s au gouvernement pour être recensé·e·s sur un registre extrêmement confidentiel. C’est une protection pour lui/elle et pour son entourage, et les avantages sont non négligeables : tous les suivis médicomagiques (rendez-vous avec des psychomages spécialisés en addictologie, groupes de parole) liés à la maladie sont remboursés et l’accès au sang de synthèse est gratuit et facilité, à toute heure du jour et de la nuit. Se déclarer ne dénonce pas le·a rokurokubi à la communauté de l’île et n’est donc pas lié aux risques de discrimination.

Transformation La transformation survient lorsqu'un·e rokurokubi boit le sang d'un·e sorcier·e et vice versa. Devenu·e zensha, le·a rokurokubi doit veiller à ce que la transformation se passe correctement, lui trouver de quoi se nourrir pendant les premiers jours, lui apprendre les rudiments de cette nouvelle condition. La durée de la transformation varie de quelques heures à quelques semaines et est extrêmement douloureuse (maux de tête insoutenables, fatigue extrême, courbatures étranges). Agonie qui peut heureusement être apaisée par la simple présence du/de la Zensha dont la proximité agit comme un calmant. Durant les semaines, et même mois, qui suivent la contamination, la faim taraude inexorablement le·a nouveau·elle transformé·e.

Effet de la faim & sensation de manque ils sont comparables à un manque de drogue et vont en s’intensifiant, jusqu’à s’atténuer une fois le·a rokurokubi rassasié·e : fatigue intense, cernes, tremblements, irritabilité, sons et sensations décuplés et insupportables, intolérance au soleil et à la luminosité.

Lien avec le·a Zensha Le·a zensha est relié·e à la personne mordue par un lien de télépathie et d’empathie, qui se déclenche lors de la transformation (voir branche 3). Mais l’abandon, bien que contre nature et très mal vu parmi les buveurs de sang, n’est pas impossible, condamnant le·a transformé·e à une terrible souffrance. Le lien s’atténue alors, et meurt en quelques jours, laissant une sensation de manque impossible à combler. Il peut être reformé (avec le·a même zensha), mais sera nettement moins intense.

Lien entre transformés Les rokurokubi ayant le·a même zensha partagent également entre eux un lien de téléphatie et d'empathie, formant ainsi une sorte de toile, reliée et connectée.

Rokurokubi inconscient Si un·e jeune rokurokubi est abandonné·e par son/sa zensha et se réveille donc confus, sans le moindre souvenir de l’attaque, iel n'a pas conscience d'être transformé·e, et peut passer par une phase de déni. Ces rokurokubi sont particulièrement dangereux puisqu’iels n’ont aucun moyen de contrôler leur soif. Lorsque le manque devient trop fort (au bout de quelques jours), ils tombent dans un état second, comparable au somnambulisme, et cherchent une proie pendant la nuit, avant de se réveiller sans autre souvenir qu'une sensation de plénitude.

Lois (appliquées aux rokurokubi inconscients) Il est impossible de transformer un·e sorcier·e dans cet état. Le plus souvent, la victime meurt de ses blessures et le corps, abandonné sur place, est pris en charge par la Brigade de Police Magique, qui possède un département spécialisé dans les crimes rokurokubi. Si l’état d’inconscience est prouvé, le meurtre est jugé involontaire. Le·a rokurokubi est placé·e sous surveillance (bracelet électronique, interdiction de quitter l’île sans autorisation) avec l’obligation de se rendre une fois par semaine dans un centre de traitement (voir plus bas).

ATTENTION L’état d’inconscience ne dure jamais plus de 5 mois : tôt ou tard, une cible survit à une attaque et dénonce son agresseur ou un meurtre involontaire permet de remonter jusqu’au rokurokubi.

Rokurokubi conscient Soit le·a rokurokubi s’auto-déclare, soit iel est dénoncé·e par un tiers. Dès lors, iel peut recevoir de l’aide.

Sang synthétique Il est impossible de se nourrir d’un·e sorcier·e au quotidien sans qu’iel n’en pâtisse. C’est pourquoi le traitement est un sang synthétique, nettement plus nourrissant, et ayant pour caractéristique de limiter les risques de pertes de contrôle. Alternative à la fois légale et morale, il a toutefois un goût exécrable et ses effets positifs sont moins intenses sur la magie que le vrai sang. Il peut être difficile de s’en contenter, car le sang humain est addictif (notamment pour ceux en ayant consommé à de multiples reprises).

Une prise en charge en centre de désintoxication (patient interne ou externe, selon la nécessité) peut s’avérer indispensable. La dépendance s’atténue à mesure que s’établissent de bonnes habitudes alimentaires ; mais le·a rokurokubi reste toutefois sensible à la vue et à l’odeur du sang et les risques de replonger sont non négligeables. Deux facteurs peuvent aider à y résister : la volonté de contrôler ses pulsions et le lien établi avec le·a zensha.

Lois (appliquées aux rokurokubi conscients)

Morsure elle est légale si consentie.

Transformation & meurtre La justice magique est stricte, car des extrémistes ont parfois contaminé sciemment des individus qu’ils estimaient prometteurs pour agrandir leur communauté. Ces crimes peuvent donc être lourdement condamnés. Si la victime porte plainte contre son·a zensha au moment de se déclarer, le procès vise à déterminer les circonstances de la transformation : la peine encourue peut aller de l’amende (si transformation amorcée pour sauver la vie d’une personne grièvement blessée) à la peine de prison (si attaque ou transformation causée par négligence ou perte de contrôle…). La justice s’assure que la victime n’est pas sous influence : certaines prétendent que leur Zensha les a abandonné·e·s, qu’iels n’ont aucun souvenir de la personne qui les a transformé·e·s ou encore, que leur Zensha les a trouvé·e·s à l’article de la mort et les a sauvé·e·s.

Trafics de sang humain (ATTENTION : les trafics ne sont pas un substitut viable au sang de synthèse, qui demeure bien plus accessible et sécuritaire). Parce que chaque sang développe un goût différent, en fonction de la créature dont il provient (vélane, loup, ayakashi, sorcier, moldu, etc), du lien émotionnel qui unit le rokurokubi et la personne mordue, etc, un vaste réseau illégal est né, allant du simple bar au commerce tentaculaire. La vente et la possession de stocks de sang humain sont donc strictement règlementées et condamnées.

Commerce légal Il n'est possible de stocker que des quantités très limitées de sang réel, avec des licences spécifiques (exemple : restauration). Les préparations sont faites à base de sang de synthèse (donc nourrissantes), dont le goût exécrable est masqué et amélioré par des doses contrôlées de vrai sang. C'est une alternative qualitative pour les rokurokubi sous contrôle, mais qui demeure cheap au palais de celleux qui ont connu (ou qui vivent) l'accoutumance au vrai sang.

Procréation Il est possible d’enfanter, mais pour une mère rokurokubi la grossesse est compliquée (risques de malformations élevés, fausses couches fréquentes, enfant condamné à hériter de son mal).

Pré-requis Seul un·e rokurokubi conscient·e de sa nature peut apprendre à la maîtriser. S'il est très peu fréquent qu'un·e rokurokubi non guidé·e par un·e zensha parvienne à débloquer les deux premières branches, la branche Contrôle de la Morsure est une exception : elle se développe à la manière d'un instinct de survie.

Les loups ont mauvaise réputation. Stigmatisés, ils sont terriblement mal considérés par la société, souvent chassés par leurs familles, parfois discriminés à l'emploi. Ces dernières années, quelques progrès ont néanmoins été faits, suite à l'adoption d'un code de conduite à l'intention des loups. Il a été une réussite au Japon ; pétri de bonnes intentions et de messages de paix (promesse des loups de s'attacher à chaque pleine lune afin de ne pas prendre de vie, etc...), il est obligatoirement signé quand la nature du loup-garou est déclarée au ministère.

Transmission
La lycanthropie n'est pas héréditaire. Pour devenir un·e loup·ve, il faut nécessairement être mordu·e (pas griffé·e) par un·e LG transformé·e. Les cicatrices qui résultent de cette attaque sont indélébiles. Dans de très rares cas, il peut arriver que la malédiction soit transmise même si les conditions ne sont pas réunies. Les moldus peuvent également être mordus, mais succombent généralement à leurs blessures.

Transformation & Remède
Il n'existe pas de véritable remède. La potion tue-loup peut néanmoins permettre au/à la sorcier·e de retarder une transformation (environ 2h) de la limiter au maximum ; le changement d'apparence n'a lieu que lorsque les rayons de la lune le·a touchent directement. La transformation reste inévitable chaque mois et s'accompagne immanquablement d'horribles douleurs, de perte de contrôle et de morale, ainsi que d'une agressivité accrue envers les humains.

Système de Meute
Les meutes sont une nécessité pour les loups. Appartenir à l'une d'elles est la seule façon d'être potentiellement accepté.e au sein de la communauté, mais certains préfèrent garder leur condition secrète. Elles sont généralement dirigées par les plus capables et / ou les plus protecteurs, ainsi la meute prend facilement un air de famille improvisée ; les douleurs liées à la transformation sont partagées, et donc allégées. Les meutes doivent souvent faire face au braconnage (aujourd'hui restreint et interdit par la loi).

Si l'entraide doit rester au cœur de la dynamique, la meute n'en garde pas moins sa hiérarchie la plus basique : deux alphas se partagent la lourde tâche de prendre les décisions les plus importantes. La majorité des loups sont considérés bêtas ; ils sont avant tout le cœur de la meute, absolument nécessaires à son bon fonctionnement. Enfin, les meutes cherchent à tout prix des omégas ; généralement calmes, ils ont cette étrange faculté de pouvoir apaiser les tensions. Ils sont rares et difficiles à trouver : la plupart des omégas étant des sorciers·ères à la santé fragile avant d'être mordus, beaucoup sont morts lors de leur première transformation.

Une meute sans oméga est fragile, instable, sujette aux luttes de pouvoir. Le combat est rarement la solution privilégiée en cas de conflit : les membres trop dominants et trop souvent en opposition avec le duo de tête sont incités à quitter la meute — plutôt qu'affrontés en duel et tués en cas d'échec. Un loup chassé qui ne parvient pas à former sa propre meute est condamné à la solitude et tend à sombrer rapidement dans la folie.

Loup solitaire
L'isolement n'est que temporairement viable pour un·e lycanthrope. Les désavantages d'être solitaires finissent par être insupportables : santé vacillante, fatigue, douleur, humeurs instables, colères brutales et surtout, transformations extrêmement douloureuses. L'espérance de vie est considérablement réduite et se solde fatalement par une mort prématurée. Par ailleurs, une contamination tardive complique plus encore l'adaptation. Un loup solitaire ne dépasse donc que de peu le cap de la vingtaine, et ce, quel que soit l'âge auquel il est mordu.