love sick ★ (nuri&hikaru)

jeu désastreux, car l'enfant été tous sauf concentrer. il n'y arrivait juste pas. après des heures et des heures d'entrainement, après avoir braver vent et tempête, il n'y arrivait juste pas. alors à la mi-temps, il échange pour donner la chance à son équipe de gagner. ravale sa fierté et s'assoie sur le banc des remplaçants.

son coeur n'avait jamais battue aussi fort et il n'avait jamais eu autant envie de pleurer. il se souvient de kaoru qui lui avait casser un de ses jouets préférés, de la découverte du père noel, de la fois ou il s'est assis sur le sandwich qu'il venait de commander. et la sensation été encore plus douloureuse. larme et tristesse, haine et férocité. il devrait s'éclipser et taper dans des  choses, des gens, de l'air. juste pour laisser s'échapper cette rage si forte qu'il s'oblige à se mordre l'intérieur de la bouche pour ne pas hurler.
cette rage qui est sienne.
qui ne la quitte jamais.

il la cherche du regard, hikaru. quand le calme revient, quand le match est fini, qu'il a bien fait de donner sa place. le coach passe une main sur son épaule, sans rien dire, et ils hochent mutuellement la tête comme si c'était une vrai conversation. et il se retourne, dernier a rejoindre les vestiaires pour la retrouve. belle demoiselle qui fait tourner sa tête, bien qu'il sait très bien qu'il n'a aucune chance. mais on lui a trop souvent dit que sans jouer on ne peux pas gagner. alors comme le loto et le pas ridicule entre la pauvreté et le millions de gallons, il joue ses chiffres préférés et tant pis si il perd, au moins, il ne s'en voudras pas de ne pas avoir essayer.

« I didn't hear you calling my name ? I thought you will make a fanchan for cheering me. » un fin sourire sur sa bouche quand il la retrouve enfin. émerveiller. il ne se souvenez plus qu'elle été aussi jolie. après tout, il ne la voit que d'un oeil, une dizaine de minute avant de monter dans son bolide et si les Dieux lui sourit, une nouvelle fois quand il repart. mais c'est toujours rapide, et flou. « Thanks for coming, my lady.  » qu'est-ce qu'il avait prévu ? aucune idée, rien du tout, il est si nul pour organiser les choses. toutes fois, il avait acheter une bouteille de sake et avait voler des verres en plastique dans le bureau du coach, se disant que ça fera l'affaire et puis il a pris son cerf volant. « what if.. I change the plan ? We don't go drink a beer with my team, but make .. TADAM ! a kite !  » et il montre son cerf volant fièrement, comme si c'était quelque choses de grandiose.

ça faisait un moment que son coeur n’avait pas battue aussi fort, sur le terrain, il ne ressent jamais le myocarde s’emballer, il le laisse tambouriner à tout vas et reste concentrer sur le terrain. ici bas, sur la terre ferme, et ses yeux dans les siens, il se demande si celui-ci va traverser a cage thoracique pour s’effondrer sur le capot de sa vielle voiture. n’avait-elle jamais été aussi belle ? de son fin sourire à cet air si nonchalant  ? Une partie d’Hikaru aimerai croire qu’une lueur d’espoir pointe le bout de son nez, mais le sorcier cacher un être pessimiste et malchanceux, à contrario de ce qu’il aime montrer aux yeux de tous.

le papier torturer avec son prénom écrit dessus n’avait pas échapper à son attention. et il souriait avec douceur en imaginant la gamine prendre soin d’écrire son prénom au gros feutre, assez gros pour qu’il puisse voir de son spot, là haut, dans le ciel. « You can be my personnel cheerleaders. » un grand sourire cette fois-ci, tout aussi flirty dans la vrai vie que par message, bien que cette fois-ci, ses joues vire un peu au rose, peut on mentir en disant que c’est la chaleur du match qui vient de s’écouler ? « I never lie on the marchandise, my lady. » il fait une petite courbette, suivi d’un gloussement débile. peut-il s’empêcher d’être aussi gêner ? ses joues sont encore rouge, et il frotte énergiquement ses paumes contre elles pour les rendre plus naturel.

il est à l’aise et gêner à la fois.
presque intimidé.
il ne se souvient d’elle que dans la tour de contrôle.
de sa voix qui dirige fermement les courses.
il ne se souvient d’elle que d’une poupée intouchable dans sa tour d’ivoire.
et voilà qu’il la devant lui.
mon nom écris par ses mains. pensait-il alors qu’il ranger de nouveau le cerf volant près des bouteilles et de la nappe de table.

« we are done for the moment, take a sit, mademoiselle. » et il tape sur le capot de sa vielle voiture, avant de monter coter conducteur. elle l’a surement déjà vu conduire, mais il en reste tout autant stresse. son coeur se calme quand la playlist : lovely night, se met à tourner. « Oh.. sorry, it’s make me feel better before a match. » il baisse le volume mais sans pour autant l’éteindre, laissant les génériques de Naruto s’enchainer à voix basse. il ne veux pas qu’un silence gêne leur route et gâche ce qu’ils ont. « it’s weird isn’t it ? » vaut mieux briser la glace que de risque d’y glisser, pas vrai? « I mean, I thought that you’ll never say yes to me, not cause you didn’t want to, but just because it’s you. » il caresse le volant pour tourner, roule un peu plus vite, sans pour autant la brusquer. la musique enchainer sur l’opening de your lie in april, et il ne peux s’empêcher de sourire à l’idée qu’une musique aussi douce puisse accompagner leur trajet. « You are Nuri Savage, after all. »

hikaru où est-il ?
cacher sous cette soudaine maladresse.
loin du grand garçon, les épaules solides et le rire un peu trop facile.
ce flirte sans cesse, ces sous entendues qu’il glisse par-ci, par-là ?
où est-il maintenant ? cacher par ce grand garçon aux joues trop rosie ?
la musique n’aide en rien, soudainement romantique, qu’il baisse sans pour autant la faire taire. le rythme lui plait bien et adoucit sa tête, il pianote un peu anxieux sur le cuire abimé par les années passer. la voiture été à sa mère, elle n’est plus capable de conduire, et Kaoru ne l’a jamais réclamer, le denki en a donc fait le sien.

ses yeux vacillent entre la route et elle, feu rouge oblige, il prend le temps de s’arrêtait. sous les néons du feu rouge, elle est encore plus belle. ça lui rappel le départ de chaque course en voiture, le coeur qui tambourine à chaque fois que le feu vert arrive, mais cette fois-ci, il ne tambourine pas pour le stresse d’une course interdite. « And i’m Hikaru Ueno. » un fin sourire. le taquin serait-il de retour ? le timide Hikaru est-il rentrait chez lui? « You already ask me that, I told you : if you don’t buy your loto ticket everyday, you wouldn’t have the chance to become billionaire. » et c’est ce que tu voulais, non ? Nuri ? Est-ce que je t’ai promis, non, Nuri ? Que je serai billionaire un jour, et que je t’offrirais toutes les îles, les voitures et les ramens que tu voudrais. ses doigts caresse le volant jusqu’au parking, il arrête la voiture et se fond dans le fond de son siège, les mains poser le long du corps. « I’ll give you all you want, i promise. Just wait for me, let me become.. a better playeur, for begining. and after, I’ll be famous, and rich. with a better car. » chose promise, chose dû et il compte bien y arrivait, hikaru. pour lui, pour elle, pour tout ce qu’il a du faire depuis, pour le seul don dont il a été bénis.

l’enfant tapote sa main sur la vielle voiture de sa mère, un rire entre les lèvres. un date dans une voiture pareil, mais quel idée. « You are cold, but I’m warm, maybe it’s gonna work? maybe not, maybe our child will have your pretty nose and my sweet lips? » son doigt touche le bout de son nez, sans pour autant lui faire mal et lui envoie un baiser avant de s’enfuir à l’extérieur de la voiture.
il y croit le gamin, il y croit dur comme fer.
que ça peut marcher.
que ça peut donner quelque chose.
qu’avec de la persévérance et beaucoup de courage on peut tout réussi.
il sort le cerf volant, les bières et le plaide.
avec beaucoup de courage, on peut tout réussir.