This love will keep us through blinding of the eyes

l’enfant s’est réveiller en sursaut. les murs sont vide, et ne ressemble en rien à ceux qu’il a l’habitude côtoyer. pas de petite sculpture, pas de bijoux qui trainent, pas de photo qui y trône, rien qui ressemble de près ou de loin à ce qu’il avait connue, avant, le denki. alors ses pas s’évade du lit et il s’abandonne sur le canapé. aozora en a peut être assez de le voir s’agiter, et c’était déjà assez dur de se maintenir à l’extrémité du lit. sur le canapé, il pouvait étendre ses langues jambes et laisser sa tête caler contre l’accoudoir. il fix le plafond, à la recherche de cette berceuse que sa mère lui chanter quand il été enfant, et doucement, morphée l’accueil de nouveau.

« Reina? » il était de nouveau dans son apparement, leur apparement, pensait-il, et elle était endormie, comme un enfant, paisiblement. sa peau été delicate et velouter, comme avant, et elle sentait la rose. il se pense vers elle et frotte son nez contre son épaule avant de venir jusqu’à son oreille pour déposer un baiser sur sa tempe. « Pourquoi tu dors encore ? T’as pas cours grosse tête? » ses doigts caresse son bras, de long en large et il s’achève sa main dans la sienne. c’est un rêve, c’est un trop beau rêve. tout est à sa place, exactement comme dans son souvenir et le gout sur ses lèvres est si particulier qu’il se demande si un jour ça deviendra réalité. il se laisse couler de nouveau à ses coter, chercher cette chaleur qui lui manquait temps, de cette fille qu’il aimais tant et un sourire béat sur sa bouche. « Vient on sèche et on va se promener ? On va à la mer ? » les joues du sorcier virent aux roses, comme si il ne l’avait pas vu depuis si longtemps qu’il en oublie ce que ça fait d’être à ses coter.

Le corps endormi, entrelaçait dans la couette si chaude, elle entendit une voix qui l'appela. D'abord lointaine avant de sentir un corps, quelqu'un près d'elle. Des caresses si tendre qui font frissonner de plaisir son corps avant que doucement, ses yeux chocolats se posent sur lui. Hikaru, son si doux hikaru. Elle sourit immédiatement, sourire d'une enfant heureuse. "Parce que tu ne m'as pas réveillé". Son corps s'entremêle un peu plus au sien, cherchant sa chaleur et son touché. Comme elle avait toujours fait. Comme elle voulait toujours faire. Se coller un peu plus au garçon sans savoir que tout ceci n'était le fruit de son imagination. Elle dénoue leur doigt pour venir l'enlacer et serrer son corps. Elle soupira d'aise la jeune femme. Elle aimait tant cette position, elle se sentait tellement bien. "Je n'ai pas envie d'aller en cours"" avoua-t-elle. Sauf quand c'était la danse, la, elle y courrait sans rechigner. La danse. Elle aimait tellement ça. Elle se sentait libérée et libre des fardeaux de la vie.

Son sourire s'élargit alors que des étoiles dansaient dans ses yeux. " A la plage? Maintenant? Pour de vrai?" On pouvait y lire clairement son envie d'y aller. Elle ne dirait jamais non. Pas à la mer. Elle embrassa doucement ses joues. "Pourquoi tu rougis Hikaru? Il n'y a pas de raison de rougir..." Rien ne laissait des rougeurs dans cette situation banale. Ses lèvres vinrent se poser naturellement sur ses lèvres. Comme elles avaient toujours fait, comme elle voulait toujours faire. Elle lui vola un baiser, puis deux, puis trois. Elle ne s'arrêtait pas la jeune fille. Ô non? Pourquoi faire?
Elle frôla son nez du sien, un sourire enfantin sur les lèvres. "On mange là-bas? Petite pique nique? Rien que nous deux?" Elle se leva, ne lui laissant même pas le temps de refuser ou d'émettre une opinion, elle voulait déjà le faire, terriblement le faire. La Kasaï s'envola dans la cuisine, ouvrant le frigo pour voir ce qu'ils pouvaient faire ou amener. Défaitiste devant ce dernier vide, elle se servit à boire. "On va devoir acheter Hika! On a rien pour en faire un ! Autant acheter pleins de cochonneries !" Elle se rapprocha du jeune homme, se fondant dans ses bras, le regardant avec sa bouille adorable. "Je mets quel maillot de bain Hikaru?" Elle en avait tellement la jeune femme. Elle en avait sûrement trop. Mais elle s'en moquait, elle aimait ça. Elle vola un énième baiser au jeune homme comme pour montrer que tout ceci n'était qu'un rêve beaucoup trop beau.

idylle parfaite, lui et elle. rien que tout les deux. romance qui n’a jamais fini et qui venait à peine de pointer le bout de son nez. le coeur tambourine encore s fort à la présence de l’autre, et les joues rosisse comme des enfants qu’on aurait pris au piège. c’est bien ce qu’ils sont : des enfants. « c’est de ma faute maintenant? » dit-il dans un rire, alors que ses doigts caresse la chair de sa bien aimer. il la recouvre de ses bras, elle été si fine sous son poids. sa taille se fond dans l’immensité des bras du jeune homme et il niche sa tête contre la sienne, un fin sourire aux lèvres. il été d’accord, c’était un trop beau jour pour aller en cours. il fallait séché, se donner un day off. c’est ça aussi les plaisirs de la vie d’adulte : s’autorisé a ne pas être une bonne personne, et se laisser aller dans la malice d’une journée d’école buissonnière.

nez contre nez, coeur contre coeur, c’était bien un rêve. si proche de la réaité, de ce qu’ils pouvaient être et de ce qu’ils auraient été si tout été rentrée dans l’ordre. elle s’échappe et hikaru la suis du regard, dans cette apparement qui est déformer le leur. il la suis d’un pas rapide et la voit dans la cuisine, il reste dans l’encadrement de la porte, zieutant de haut en bas son corps magnifiquement bien dessiné. il en oublie même de répondre quand elle s’adresse à lui, remettant les pieds sur terre avec une certaine difficulté. « Mh? » dit-il en s’approchant un peu plus, ses pas s’arrête sur la table de la cuisine et il s’y accoude en haussant les épaules. « Rien que nous deux, oui. ou alors tu veux invités toutes tes copines? pour qu’elles nous voient nous rouler de grosse pêle sur la plage? » il rit bêtement, stupide hika. il ne peut s’empêcher de l’attraper par la tête, et déposer un baiser dans sa nuque. ils regardent encore dans le frigo, se rendant à l’evidence  : ils ne mangeant presque jamais ici, favorisant leur restaurant préféré ou des ramens vites fait bien fait. « on achètera du poulet fries là bas, ou de la pizza? t’as envie de quoi? » lui, il avait envie de tout. « j’ai envie de dire, sans maillot mais tu vas choquer les enfants et les vieux. » un autre rire, alors qu’ils s’évadent de nouveau vers la penderie.

Reina éclata de rire, rire enfantin qui résonnait dans jusqu'à son coeur, le regard rempli de malice, elle lui lècha la lèvre. "C'est toujours de ta faute Hikaru. Et ça sera toujours ta faute car j'ai toujours raison !" Douce euphorie, caractère enfantin surtout à ses côtés, elle n'avait peur de rien Reina à ses côtés, elle n'avait jamais peur en réalité. Mais aux côtés d'Hikaru, chaque peur semblait inexistante.
Les idées s'évadèrent et l'envie de fuir la sensation d'être enfermée entre quatre murs un peu plus. Il lui dépeignait une image tendre, réaliste et surtout séduisante. Aussi séduisante que sa façon de la serrer contre lui, de la caresser comme si elle était une beauté sans nom. Oui, Reina aimait ce tableau qui se dévoilait sous ses yeux. Et la plage semblait être l'endroit parfait pour s'évader.

La demoiselle s'évada de ses bras sans qu'il ne puisse prendre un souffle, elle virevoltait dans leur appartement, à la recherche de quoi faire, comment égayer cette journée qui se profilait. Sauf que lui, il semblait perdu dans ses pensées, sans lui accorder une réponse avant de revenir sur terre. Elle arqua un sourcil avant de rire. "Juste pour les entendre râler oui, je te roulerais la pelle de ta vie devant elles". Elle rit un peu plus, se mélangeant à celui de Hikaru. Des enfants ensemble. Des enfants perdus peut-être. Elle se laissa faire, le laissa embrasser sa peau comme elle en avait si bien l'habitude. Son regard se perdait dans le frigo comme si il allait se remplir par magie. "Des deux?" Son regard taquin se leva vers celui d'Hikaru. Il y en aurait sûrement trop et il devrait probablement finir le repas de Reina. Ou alors, ils en mangeraient encore le soir. Peut-êre sur la plage de nouveau. Pour le coucher de soleil, pour passer un peu plus de temps ensemble.

Reina s'envola de nouveau ailleurs, un peu trop rapidement, subtilement. Et devant son armoire, elle rit un peu plus à son réponse. "Si on trouve une plage tranquille, à l'écart, je peux être nue." Elle lui fit un clin d'oeil avant de sortir sa caisse de maillot de bain. La jeune femme resta plusieurs minutes à observer avant d'en sortir deux. Deux rouges parce qu'elle faisait simplement parti des couleurs préférés de Reina. Elle lui montra un [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] pièce et un [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]pièces. "Lequel préfères-tu?" Elle les avait mis chacun qu'une fois, c'était dommage mais c'était le moment parfait pour y remédier. Reina avait tellement de maillots de bains qu'elle pourrait en changer toutes les heures. Mais elle aimait la mode et réussissait toujours à mettre au moins une fois un habit. "Dans lequel je serais le plus sexy?" plaisanta-t-elle pour l'embêter un peu plus.

le jeu est toujours aussi divin est succulent au coter de sa bien aimé. il n’aime pas se mentir, hikaru. il aime la sécurité des choses réelles, et bien que ceci est un rêve, il représente avec perfection ce qu’il attend de la réalité. une simplicité a porter de main, et un jeu enfantin qui se dessine dans le décors le plus basique qui soit : chez eux. il avait du mal à le dire, ça, hikaru, chez eux. et pourtant c’était bien ce que s’était. il ne vis pas et ne vivra jamais dans cette pièce ou s’entrepose affaire de quidditch et vêtement trop petit, il vit ici : sa brosse à dent embrassant celle de sa petite amie, ses chaussures pleine de terre à l’entrée et sa tasse dans le lavabo, encore chaud du chocolat chaud de la vielle. son coeur habite ici, entre ses coussins et cette demoiselle, mais ça, son vrai lui avait bien du mal à le concevoir. l’amour n’est fait que pour décevoir, dit le coeur si émécher et pourtant l’esprit lui, est bien heureux de retrouver cet espace de confort.

rien ne sera pareille demain.
mais pour l’instant, aujourd’hui semble si doux.
qu’on en oublie tout ce que demain pour être.
si le sorcier pouvait figer le temps alors il le ferai, il tournerai cette scène un milliard de fois.
succomberai de nouveau au baiser et au réveil matinal.
caresserai de nouveau la chair et mordiller les bouts d’oreilles.
et il laisserai sonner ce rire cristallin qui le répare tel une potion magique.
ne te réveil pas - plus jamais.

« nue? »  le mot l’interpèle alors que son subconscient veux le ranimer. non, encore une minute. il se laisse porter dans une autre pièce par reina, il la suis sans vraiment comprendre comment, mais le voilà assis avec sa tasse de café à la main, à l’admirer entrain de s’agiter pour un maillot de bain. sa peau est si claire, laiteuse et douce. hikaru rêve de se fondre contre elle, laisser le soleil les attraper et les endormir sur le sable chaud.  « les deux pièces mettent en valeur tes seins. » porte la tasse à sa bouche de son oeil expers, gloussant bêtement dans la fouler. rien n’avait le même gout depuis qu’il été avec Reina, chaque jour, elle se dévoile à lui. elle ne se fane pas, bien au contraire, elle s’embellie, s’intensifie, chaque histoire le fait tomber amoureux, et chaque fou rire le rend accro. aujourd’hui, le café a un gout de noisette, comme la couleur de ses yeux, demain ? c’est encore une autre histoire.  « Allons-y. » la hate le gagne et le voilà déjà changer, ses yeux accompagne chaque forme de la gamine, rejoint ensuite ses iris pour s’y plonger dedans, tandis qu’un large sourire béant décore son visage. « Tu es radieuse. » et sans attendre son avis, il la tire contre lui et les emportes jusqu’à la plage. c’est son rêve, ici, il est maitre de tout. comme demander, la plage est vide et comme il le souhaité, le soleil est au rendez-vous.

idylle parfaite peut encore continuer.

Ici, tout pue l'amour. Tout pue l'irréalisme de la situation. Tout est beau. Tout est simple. Tout est rose. Tout va bien. La beauté a un sourire magnifique sur les lèvres, des étoiles pleins les yeux. Tout pue au mensonge, à la corruption. Aux rêves. Cet espace si grand et pourtant si étroit pour eux deux, cette appartement qu'elle aime appeler notre maison. Tout était si parfait ici. Tout était fait pour eux ici.

Don't worry child.
Tout restera ainsi.
Oublie tes peurs et reste dans ton rêve.
La réalité est beaucoup trop cruel pour la vivre.
Continue de rêver et les larmes disparaitront.

La malice prit place sur ses lèvres. Un seul mot le ramener toujours à la réalité. "Oui, nue Hikaru". Toute nue. Rien que pour cet homme. Au moins, son bronzage serait parfait ainsi. Les secondes défilent, le corps de Reina se téléporte ailleurs. Elle lui présenta ses deux maillots de bain et le gosse ne semblait pas vouloir faire de choix. Alors elle dut le faire, prenant le bikini, les traces de bronzages seraient moins étranges si elle arrivait à en avoir. La demoiselle se dépêchait de se changer pour pouvoir enfiler sa tenue de plage. Avait-elle fini que le denki lui disait d'y aller. Un sourire malicieux prit place et la fête était de main mise. Ils allaient pouvoir profiter de cette belle journée comme ils aimaient. "Evidemment que je suis radieuse...vu comment je prends soin de moi". Rire enfantin qui s'échappa de ses lèvres, la plage se dévoila rapidement sous ses yeux. Elle s'étira la jeune fille, fermant les yeux, aimant la sensation de chaud sur son visage.

Ni une ni deux, elle déposa sa serviette, tirant sans plus attendre le jeune homme vers l'eau. Elle rit, innocente comme jamais, heureuse sans souci, la tête vide et rempli de bonheur. Douce illusion tangente qui était bien loin de la réalité. " Bébé..." Ses lèvres bougèrent pour former ses mots si spécial avant de venir l'embrasser. On dirait une adolescente Reina, un sourire niais sur son visage de poupée. Elle ne respirait que bonheur la gamine. Elle l'entraina plus loin. Toujours plus loin, l'eau enveloppant leur corps, plus le sien que celui du Denki. Ses lèvres ne quittaient pas vraiment les siennes alors qu'elle lui susurrait des mots doux. "Hikaru". Ton malicieux qui ne laissait penser qu'à une bêtise. Et c'est avec un rire cristallin qu'elle essaya de couler son humain favori sur terre.

la plage s’offrent aux amoureux.
la mer, l’odeur du sel, le sable sous leurs pieds.
reina n’existe plus que dans ses rêves, elle flotte par dessus tout le reste, elle glisse dans ses pensers. ici, leur disputes n’existe pas, ils n’existent que leurs amours si fort et si doux qu’il résiste aux restes. ces choses qu’on n’osent pas ce dire, cette peur de s’abandonner qu’on cache si bien sous nos oreillers.

elle le tire dans l’eau et il la suit au même rythme, envouter par son être, sirène si douce et si enchanteresse. ses bras entoure ses hanches par réflexe, un fin sourire sur ses lèvres quand ils viennent rencontrer ses siennes. son nom traverse ses lippes adorable et hikaru ne sait rien faire d’autre que de sourire à ce mot si doux qui caresse ses oreilles. « oui, reina ? » il l’imite, la même voix, la même douceur, le même ton si félin qui se veux sensuelle et désireux. mais le jeu commence et elle essaie de la couler, il rit à gorge déployé après avoir bu la tasse et lui cours après pour essayer de prendre sa revanche. il l’attrape de nouveau par la taille et l’entraine dans l’eau geler. à son tour, il essaie de la noyer mais lui offre toujours un moyen de s’évader. il ne lui ferai jamais du mal à la gamine, il veux juste se venger tendrement.

« la vengeance est un plat qui… se boit. » dit-il dans un rire, se trouvant soudainement drôle. il lui tire la langue et cours sur la plage pour lui échapper, plus de noyade envisageable. « ton maillot est de travers. » heureusement, personne n’etait sur la plage, à part eux d’eux. ils n’y avait que leur deux âmes en cet après midi, ce temps calme, cette brise agréable et le doux son de la mer pour eux, rien que pour eux. « vient là. embrasse moi. » il lui ordonne presque, mais il vient surtout accourir vers elle pour cacher ces parties intimes avec son corps. personne, même dans son imaginaire n’avait le droit de regarder son être à lui. il enroule ses bras autour de ses épaules et la colle contre lui, embrassons son front pour la trainer jusqu’à leur transat.

Tendre paresse amoureuse, moment idyllique, sorti de nulle part. Plaisir non dissimulé entre les retrouvailles de ces deux êtres. Êtres flous, perdus dans la réalité d'un rêve. Le soleil tapant, les rires et sourires. Tout était si parfait. Peut-être trop parfait.  Petite poupée profitant de ce moment paradisiaque avec cet homme si spécial, elle l'entraînait dans sa folie.
Tentative infructueuse de couler ce géant des sables, incapacité à le faire. Tentative échouée soldée par un essai contre elle. Mais elle pouvait sentir sa tendresse dans son geste, capable de s'envoler loin de cette eau troublante. "Hum...ça dépend ce qu'on boit, ça peut-être intéressant!" Ton taquin, sourire enjôleur, l'espièglerie de la gamine pouvait en faire soupirer plus d'un.  En avait-elle quelque chose à faire l'enfant? Non. Esprit libre et sans pression, elle voguait à ses envies sans se soucier du regard du monde.

Maillot à moitié échoué au travers de son corps, rire sans gêne, bien trop tranquille pour être la réalité. L'enfant haussa des épaules, ne prenant pas forcément la peine de remettre en place, souriant en le voyant arriver vers elle.  Mains baladeuses, cachant le tout à l'aide du tissu. Petit ordre sorti de ses lèvres, rires de la gamine alors qu'elle vint déposer avec délicatesses ses lèvres contre les siennes. Sortie de l'eau en douceur, elle s'installa sur les transats avec un petit sourire. Caresses du bout des doigts l'épiderme doux de son compagnon. "Dors mon ange..." Voix enchanteresse aux mots magiques, une idée derrière la tête. "Tu verras...tout ira bien, je te le promets Hikaru..." Sourire tendre, appui sur un coude, sa chevelure de princesse caressant le torse du joueur de Quidditch. "C'est l'heure maintenant de se réveiller..." Image floue, la réalité reprenant doucement le dessus. "Je t'aime". Réalité ou rêve, mot prononcé par la Kasaï. Il puait la vérité dans ce monde de rêve, des paroles sincères à démêler pour connaître la certitude de la situation. En un éclair, elle avait filé la belle brune. Moment tendre et doux envolé, retour brutal à la réalité.

Est-ce que tout était fini? Ou tout recommencé.