- angie — she/herIRL : christina nadin by SKATE VIBE, sign: astraAvatar, Crédits : 2130Messages : 2RPs : 13 297Gallions :
I've had too much to drink tonight
How did I go from growing up to
breaking down?
And I wake up in the middle of the night
It's like I can feel time moving
- cw:
- uc
mais en vrai, pas grand chose
arrêt du temps, seuil 2 [ hors du monde ]
elle sent le temps couler entre ses doigts; elle s'en empare pour mieux viser, pour mieux conduire, pour mieux tricher. elle n'a jamais emmené qui que ce soit avec elle ((son don est encore secret!)) mais elle sent qu'elle en serait capable, peut-être.
voyage rétrograde, seuil 1 [ passé immédiat ]
des petits bonds en arrières, des modifications presque toujours bénignes ; quelque chose lui murmure pourtant que l'erreur serait si facile à commettre.
EKISHA —un éclair, au milieu d'un cauchemar ; un détail qu'elle note, une histoire qui se forme, un futur qu'elle tente d'éviter grâce à ses retours dans le temps. pourtant, son cauchemar récurrent est toujours le même ((la création d'un paradoxe temporel par sa faute)), et elle n'arrive toujours pas à comprendre comment cela va se produire.
rêves prémonitoires, seuil 2 [ clarté ]
instinct, seuil 0 [ déclenchement ]il s’est éveillé en même temps que les rêves, mais est resté beaucoup plus silencieux ; son instinct lui a permis de comprendre plus facilement ce qu’elle rêvait, ce qu’elle pressentait, mais elle n’a pas tout à fait conscience qu’il est présent en elle.
réserve : 2 ptsParticularité(s) : inner —
osamu; love/hate ((forgive me))
seiya; crush ((i've got a bad idea))
lila & mazra; girl gang
outer —
sonoe; uc
pandore; meh
Relations :— STAFF ❝ i wanna hold hands with you
IRL : angie — she/her
Avatar, Crédits : christina nadin by SKATE VIBE, sign: astra
Messages : 2130
RPs : 2
Gallions : 13 297
I've had too much to drink tonight
How did I go from growing up to
breaking down?
And I wake up in the middle of the night
It's like I can feel time moving
Disclaimer :- cw:
- uc
mais en vrai, pas grand chose
Multicomptes : ambrose sargent
Naissance & Âge : 11.06.98, 23 ans
Pronom(s) du personnage : elle
Couleur de dialogue : #DB7284
Occupation : étudiante en technomagie — son esprit dévoré par la curiosité et les possibilités offertes. pilote du Midnight Club — n°1, ennemie à abattre. Elle y est connue sous le pseudonyme d'Arès. batteuse des GSP — aux cognards précis et à la réputation sulfureuse (elle part au quart de tour, fais attention)
Particularité(s) : — HENSOKU TURNER
arrêt du temps, seuil 2 [ hors du monde ]
elle sent le temps couler entre ses doigts; elle s'en empare pour mieux viser, pour mieux conduire, pour mieux tricher. elle n'a jamais emmené qui que ce soit avec elle ((son don est encore secret!)) mais elle sent qu'elle en serait capable, peut-être.
voyage rétrograde, seuil 1 [ passé immédiat ]
des petits bonds en arrières, des modifications presque toujours bénignes ; quelque chose lui murmure pourtant que l'erreur serait si facile à commettre.
EKISHA —un éclair, au milieu d'un cauchemar ; un détail qu'elle note, une histoire qui se forme, un futur qu'elle tente d'éviter grâce à ses retours dans le temps. pourtant, son cauchemar récurrent est toujours le même ((la création d'un paradoxe temporel par sa faute)), et elle n'arrive toujours pas à comprendre comment cela va se produire.
rêves prémonitoires, seuil 2 [ clarté ]
instinct, seuil 0 [ déclenchement ]il s’est éveillé en même temps que les rêves, mais est resté beaucoup plus silencieux ; son instinct lui a permis de comprendre plus facilement ce qu’elle rêvait, ce qu’elle pressentait, mais elle n’a pas tout à fait conscience qu’il est présent en elle.
réserve : 2 pts
Relations : inner —
osamu; love/hate ((forgive me))
seiya; crush ((i've got a bad idea))
lila & mazra; girl gang
outer —
sonoe; uc
pandore; meh
— Eating me alive until you're gone
La journée avait été difficile ; les nuages avaient gonflé au-dessus d’eux, menaçant à tout instant d’imploser et de déverser leur pluie sur leurs frêles ossatures. Mars était distraite par le temps qui s’écoulait étrangement autour d’elle, par la promesse d’un orage qui ne s’était pas tout à fait réalisée, par les étranges rêves qui avaient peuplé ses nuits – la vision déstabilisante d’un crépuscule qui s’étendait jusqu’à remplir le monde, sans qu’elle ne sache véritablement quoi en penser.
Et puis, il y avait Sam. Il y avait toujours Sam – même lorsqu’ils n’étaient pas sur le terrain de Quidditch ou aux mêmes soirées, il était presque toujours dans son orbite, comme deux trous noirs qui s’observaient avant de décider lequel finirait par dévorer l’autre. Mais Osamu n’était pas un trou noir ; il était plus brillant que la Voie Lactée, plus étincelant qu’une comète qui traverserait le ciel noir de la nuit. Mars était le trou noir en question, et c’était exactement pour cela qu’elle avait tenté de le repousser hors de son attraction, hors de la zone de destruction. Tenté.
Mars s’était donc retrouvée à la traîne, à devoir rattraper tous les cognards et ranger les souaffles alors que tous les autres l’avaient déjà devancée vers les vestiaires en guise de punition pour son jeu atroce – quelque chose que Sam n’avait absolument pas manqué de lui faire remarquer pendant l’entraînement. Elle n’avait rien dit de particulier sur le sujet, pourtant, car elle encaissait ses remarques et sa douleur depuis si longtemps qu’elle y était pratiquement anesthésiée. Elle répondait toujours par automatisme, lâchant des piques et des blagues parce que c’était plus fort qu’elle et parce qu’elle refusait de lui faire l’affront de le prendre en pitié. Mais la fatigue avait peint des hématomes sur la fine peau sous ses yeux que même son maquillage étincelant n’avait pu faire disparaître, alors le poids des reproche avait été un tout petit peu plus difficile à porter que d'habitude.
Alors que le tonnerre commençait enfin à gronder, à s’enrouler dans les nuages un peu plus loin, Mars atterrit sur les gradins, là où elle avait laissé les boîtes d’équipement, un souaffle sous le bras. Perdue dans ses pensées, elle n’entendit pas le début de la phrase qui lui était adressée. La fin, en revanche, était parfaitement ciselée.
Ce fut plus violent qu’un cognard heurtant sa pommette et craquelant les os sous son visage ; plus surprenant que la sensation que le temps s’était arrêté tout autour d’elle alors qu’elle était persuadée de ne pas l’avoir stoppé.
Mars releva lentement la tête pour faire face à Osamu, la bouche entrouverte et les doigts crispés si férocement sur le souaffle qu’elle tenait que la peau sur ses phalanges était devenue blanche.
Brièvement, elle se remémora la sensation des lèvres de Seiya sur les siennes et du temps qui s’apaisait autour d’eux. Cela ne rendit la douleur que plus aiguë encore.
Miura Osamu, Takano Rose, Pandore Águilar et Sawano Akira ont feelsé sur ce message