- SFS — elleIRL : Lee Donghyuck (Haechan, NCT) ⊱ childishAvatar, Crédits : 1980Messages : 6RPs : 11 000Gallions : ucNaeun LeeMulticomptes : 24 ans (14.04.1998)Naissance & Âge : he/himPronom(s) du personnage : <den>Couleur de dialogue : Diplomé d'un double shūshi en étude des vestiges et civilisations sorcières pour exercer en tant que briseur de sorts et en brigade de police magique. Actuellement en 6ème année seule de brigade de police magique pour exercer en tireur de baguette d'élite. A fait partie du club d'élaboration de sortilèges & de duel. Capitaine & batteur chez les Komodo Dragons. Travaille à la brigade de Fuji. Occupation : POINTS DE COMPÉTENCE 5
Godaï Foudre
Défense & Attaque : Seuil 1 (Défense), Seuil 2 (Attaque), Seuil 3 (Champ Électrique), Seuil 4 (Perception).
Communication : Seuil 1 (Système nerveux) Particularité(s) :— ÉLÈVE ❝ in a mood for love
IRL : SFS — elle
Avatar, Crédits : Lee Donghyuck (Haechan, NCT) ⊱ childish
Messages : 1980
RPs : 6
Gallions : 11 000
uc
Multicomptes : Naeun Lee
Naissance & Âge : 24 ans (14.04.1998)
Pronom(s) du personnage : he/him
Couleur de dialogue : <den>
Occupation : Diplomé d'un double shūshi en étude des vestiges et civilisations sorcières pour exercer en tant que briseur de sorts et en brigade de police magique. Actuellement en 6ème année seule de brigade de police magique pour exercer en tireur de baguette d'élite. A fait partie du club d'élaboration de sortilèges & de duel. Capitaine & batteur chez les Komodo Dragons. Travaille à la brigade de Fuji.
Particularité(s) : POINTS DE COMPÉTENCE 5
Godaï Foudre
Défense & Attaque : Seuil 1 (Défense), Seuil 2 (Attaque), Seuil 3 (Champ Électrique), Seuil 4 (Perception).
Communication : Seuil 1 (Système nerveux)
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we'll meet again
21.12.2021 \ [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Quelque chose avait changé. Changé dans son regard, infime : dans sa stature. Geonu qui levé à l’aube arpentait les rives de Minami comme il ne le faisait jamais. Tout était si beau. Il n’arrivait encore à exprimer ces sentiments enfouis au fond de lui, mais commençait à les comprendre. Il sentait plus qu’il n’arrivait à mettre de mots sur cette chose lourde en lui. Le douze octobre l’avait marqué et malgré sa résilience, il se savait fragilisé.
Semblait redécouvrir le monde sous un autre angle, ne pouvait s’empêcher de s’attarder sur le rire d’un enfant, le sourire d’un ami ou le mouvement des cheveux d’un passant dans la rue. Geonu sensible à son environnement et à la beauté du tout : mais des détails surtout. Il l’avait toujours su mais avait du réaliser de nouveau face à la mort à quel point tout était précieux.
Éphémère.
Aussi se sentait-il serein, en ce matin d’hiver où la lumière commençait à peine à percer. Il se sentait bien, oui. Geonu paisible qui aimait ces rayons doux, d’un ton presque blanc : aimait la quiétude et ce silence si particulier. Bientôt viendrait un jaune plus vif, et avec lui les premiers bruits. Il aurait souhaité que le temps se fige pour qu’il puisse continuer à profiter de cette vue exclusive de l’île : avait traversé un marché de Noël désert pour finir vers le lac gelé, sur lequel chaque année il finissait par tomber.
Le patin n’était pas sa grande spécialité, mais il s’en sortait. Du moins, pour quelqu’un qui pratiquait deux à trois fois par an, toujours à la même période. Il avançait, reculait : savait même freiner. Ne comptait cependant plus les bleus (ni les éclats de rire).
Qu’il faisait bon d’être en vie, entouré : qu’il faisait bon de partager de si précieux souvenirs tout en sachant que cette année encore ils continueraient d’en construire.
Et il n’était pas seul, Geonu; qui les mains dans les poches avait fini par entendre le bruit singulier d’un patin sur la glace. Cherchant sur l’horizon glacée, il l’avait entraperçue (était resté coi).
Une femme dansait plus qu’elle ne glissait sur le lac, gracieuse et légère. Sur elle brillait les rayons d’un soleil timide mais bien présent, annonçant peu à peu la fin de l’aube et le début d’une radieuse journée. Sans bouger, il était resté à la contempler, admirant ce spectacle privé. Il avait eu l’impression de plonger dans l’intimité d’une personne dont il ignorait tout.
Car il ne l’avait pas reconnue non, Sunhee. Il lui avait fallu du temps, avait fallu qu’il se souvienne de ce post récent dans son feed instagram : que la culpabilité et la gêne lui reviennent. Geonu qui avait tout gâché d’une rencontre à l’envolée après tant d’années. Les deux amis d’enfance s’étaient croisés en coup de vent à la fin de l’été. Il ne savait pas qui avait reconnu qui en premier, mais son sourire était resté gravé dans sa mémoire. Elle avait semblé si heureuse de le croiser là que lui-même s’était surpris à réciproquer l’esquisse bienheureuse. Ils avaient échangé deux mots, s’étaient partagés leur compte instagram et s’étaient promis de se revoir.
Puis plus rien.
Le tournoi des éléments, la mort de la grand-mère de JP et l’accident. Le service réanimation, l’hôpital et les tests psychologiques : la sortie, la soirée d’Halloween, la reprise des cours puis du travail. Des jours qui s’étaient transformées en semaines puis en mois.
Puis en trop tard.
Trop tard pour oser reprendre contact, car tout était à présent si gênant. Une story puis un post sur instagram pour lui rappeler qu’il avait fauté, avait laissé un message sans réponse et était passé pour le pire des types. Une déception parmi les autres qui lui avait opprimé la poitrine, mais la vie avait repris son cours (vite vite vite). Geonu qui s’était attardé sur ce sourire et n’avait pu s’empêcher de se souvenir de flous moments partagés tant d’années auparavant. Elle semblait ne pas avoir changé, ou presque. Ses traits étaient toujours aussi ronds, doux.
Elle était différente, pourtant.
Sans qu’il ne sache trop dire pourquoi, comment : tous deux avaient grandi, tout simplement.
Elle était belle et l’était encore à ce moment sur la glace. Car par la force du temps il l’avait enfin reconnue, Sunhee, à voler sur cette surface lisse, sur ce miroir d’eau gelée. Un sourire avait tout naturellement fleuri sur ses lèvres et il s’était approché. Geonu accoudé à une barrière en bois qui avait attendu qu’elle s’arrête, le remarque (regarde vers sa direction).
Alors il avait fait un reste du bras, de loin. S’était demandé si elle le reconnaitrait, si elle arriverait à lire de si loin que sous cette esquisse gentille se cachait une grimace désolée. S’était promis alors qu’elle s’était avancée vers lui que cette fois-ci il ne lâcherait pas, ne disparaitrait pas.
Cette fois-ci, il serait là.
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