Meet me at our spot ♡ Yul

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Colère qui ronge dans le fond de son coeur, ça bouillonne dans son estomac, ça ravage tout son être, quand son sang est chaud, qu'il brûle comme la lave d'un volcan. Et Sia, elle déteste tout ça. Elle déteste ces émotions qu'on lui a demandé de cacher pendant tant d'années. Elle déteste ne pas avoir le contrôle, quand elle sent tout la submerger, quand elle sent que les vagues vont finir par la rattraper, que l'eau finira par s'infiltrer dans le fond de sa gorge. Elle sent le sel marin contre sa langue, dans le soin de ses yeux quand les yeux relisent la conversation. Elle le déteste, parce qu'il a ce pouvoir étrange sur elle, que d'autres n'auront jamais. Et elle ne sait pas en comprendre les sentiments qui animent son coeur, quand il bouscule tout dans sa vie, dans son quotidien. Yul, sa présence est vitale, trop importante ;
Elle glisse sans lui, incapable de se rattraper aux bords du précipice. Elle a peur, quand il menace, elle a peur quand il n'est pas à ses côtés, elle sent son pilier faiblir, son monde prêt à éclater. Parce qu'il est lumière dans le noir, étoile de sureté à l'horizon, comète autour de laquelle elle ne cesse de gravité.
Il est famille, quand elle voudrait tout fuir. Il est sa liberté quand elle est en colère contre le monde entier. Il est la chaleur qui l'enveloppe encore certains jours, comme si l'été était éternel face à l'hiver.
Et quand il n'est pas là ; il y a le vide en elle.
Il y a le froid qui parcoure sa peau.
Il y a les frissons contre sa nuque, elle se sent vulnérable, pour une fois. Elle se sent triste, quand ce sont des sentiments qu'elle a tant préféré bannir de sa vie, pour ne plus jamais souffrir comme avant, des dépendances, du poids sur ses frêles épaules. Et elle a peur, toujours plus chaque jour, qu'il finisse par faire route seul. Qu'il ne se retourne plus vers elle, ne vienne plus l'écouter rire, ni même raconter ces histoires qui n'ont pas de sens. Elle a peur d'en perdre ses couleurs, ses nuances, de finir comme un vieux souvenir dans le fond d'un grenier, sans jamais plus briller.
Elle se sent faible, quand l'enfant d'antan se met à la recherche de cette âme précieuse, quand elle en a compté les jours, sans jamais le retrouver au bout du chemin. Quand elle a espéré qu'il finisse par revenir, encore et encore. Elle en a laissé les larmes coulées, celles qu'elle balaye encore quand les pas sont rapides dans les jardins, que tout est pressé de le trouver, d'en avoir fouillé chaque recoin de l'ile, et elle pourrait continuer des jours, juste pour revoir son visage.
Juste une fois.
Et dans le lointain sa silhouette se dessine, calme, paisible, solitaire. Elle s'arrête un moment, l'observe comme pour graver ce tableau dans sa mémoire, ne pas le laisser s'échapper trop loin. Alors les pas sont plus doux, la colère se tait à mesure qu'elle s'approche sans faire de bruit, colombe sauvage et discrète, quand elle se dépose presque lourdement à ses côtés. Les doigts glissent contre son bras, silencieuse, alors que la tête vient s'échouer contre son épaule, délicatement, laissant son parfum l'apaiser, et Sia est calme. Il n'y a plus rien de sombre, il n'y a plus son sang qui bouillonne. Il est sa paix dans un monde déjà trop prêt à la déchirer, encore. Ses phalanges rencontrent les siennes, se glissent entre elles. Trouvé.
Comme un vieux jeu d'enfant, comme un cache cache qui aurait duré bien trop longtemps, bien trop douloureux, et les tortures s'apaisent. Elle sent la brise caresser ses joues, la froid parcourant ses épaules où ses cheveux retombent, fins et délicats. Je ne suis pas en colère Yul. Je sais pas le rester contre toi. Tu es spécial.
Et tu le seras toujours.
Une part de moi t'appartient, sans même que je puisse le savoir.
J'ai fait quelque chose de mal ? Tu peux me le dire, tu sais. Alors que le corps se tourne lentement vers lui, main libre, quand sa jumelle ne lâche pas la sienne, se déposant délicatement sur le haut de son front pour en écarter les mèches qui gênent, alors que ses lèvres déposent un tendre baiser contre sa joue.
Je ne t'abandonnerais jamais.

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Et il le sent ,,
au fond de lui :
ces violences acharnées !
à dépasser les bornes, de ces jalousies ancrées si profondément. à ne pourtant pas devoir en cracher les venins, quand les mots eux-mêmes en blessaient les egos. et il savait, Yul, qu'elle n'en méritait aucun ressenti. nymphe à venir hanter les nuits, sentir ses doigts contre ses joues quand les solitudes s'en ressentaient bien trop. alors il n'avait fait que fuir : fuir les beautés d'un monde qu'il ne pourrait jamais atteindre, à les regarder de loin ,, comme musée d'un autre monde. Odyssées qui en avaient tracé chemin jusqu'aux limbes, à les faire perdre leurs couleurs, fleurs mortes comme présents, quand les cœurs en souffraient tant. à battre un peu trop, ne plus arriver à respirer , si loin d'elle. et pourtant il s'était échappé, avait tenté d'en briser les présences en ne donnant plus signe de vie. venir s'effacer, pours e demander s'il en était réellement important.
quand lui n'y voyait là,
que fantaisies d'un esprit :
qui voulait lui nuire.
enfant dépassé de tout. dépassé de ces merveilles. car tristesse sur les épaules, quand il aimerait en avoir les visages tout près de lui. lui chuchoter, ô combien elle en était précieuse. plus qu'une famille, toujours un peu plus qu'une amie : pureté d'un amour à sens unique où les pulsations en devenaient disharmonieux, à ses visions. mots coupant, à manipuler avec précaution, quand les poésies perdues dérivaient sur les pulpeuses, quand les parfums en étaient plus belle des symphonies, à ses tympans. et Sia ((confusion)) de tous les sens, à en devenir bouquet de celles cueillies comme fragiles. violettes, à l'aimer en silence ,, pivoines, à en être de jalousies dévorantes. ne l'avoir jamais été, sauf pour elle. quand il s'en contrôlait pourtant si bien ! de ses calmes fugaces, de ces sourires qu'il n'affichait qu'à elle.

épaules si frêles,
quand les figures :
n'en étaient pas à ses côtés.

car il pouvait se montrer si fort, si courageux, grâce à elle. quand elle en devenait artéfacts de ses tranquillités, de ses beautés à rassurer les myocardes : de ses douces vocales. mais Yul, il ne serait jamais eux. pas assez grand, pas assez beau, bien trop simple, trop ((ami)). à s'énerver contre lui même, quand il n'en deviendrait jamais druide aux doigts d'or ,, quand il n'y aurait que les mots des droitures sur le bout de ses lippes. et il n'était pas parfait ; juste lui. défaillant, comme feuille tombée de son arbre que l'on avait piétiné. mais ce n'était plus les automnes ,, mais les chaleurs en étaient bien trop épaisses, à présent.
à regarder les nuages ,
sursauter : sous les silhouettes rejointes.
à s'étonner. sourire.
de la voir là, de la retrouver sous les mêmes cieux, sans ne jamais le lui dire ; qu'elle en était merveille d'un ciel aux océans ravagés. aucun mot, simple contact de ces visages contre son épaule ; et c'en était tout un monde qui s'en recolorait. de ces colères dissipées, à ne plus voir qu'elle, même quand les cygnes volages en capturaient les attentions du monde. capturer ses doigts posés contre les siens, venir en offrir chaleureuses étreintes, pour en réchauffer les précieuses phalanges. "hmm... on dirait bien.", murmure fragile, comme pour ne pas en briser les silences. et qu'étaient-ils, sous ces cocons ? quand il en avait peur de la perdre. "tu pourrais. être fâchée je veux dire...contre moi....puis en quoi je spécial ? j'ai fait que me planquer.", à avouer contre elle, quand il ne pourrait jamais rien lui refuser. "non. rien. c'est juste moi. j'avais besoin de...de rester seul." , mensonge ! quand il ne lui en reprochait ,, que de ne pas le voir comme lui l'admirait. "désolé...de t'avoir inquiété. c'était pas le but.", lèvre mordue, quand d'un regard, il en détailla ses traits, à frissonner sous ses doigts qui en effleuraient son visage. apocalypse ! de ces joues touchées par la grâce de sa muse.


main alors resserrée autour de la sienne, comme promesse de ne plus jamais en recommencer là ces tours de faiblesses, ô il voulait la voir fleurir. auprès de lui ,, ou loin de lui. à juste vouloir qu'elle ne soit heureuse, sans réellement se préoccuper de lui. car il ne valait rien, Yul, car il se contenterait : de pouvoir la voir sourire. sentir ses parfums, effleurer ses longues mèches du bout des doigts. se contenter : de futilités merveilleuses. et pourtant, main libre à venir lui en tendre léger paquet, il soupira légèrement. bien trop bête, bien trop amoureux. "tient...j'ai pas pu te les donner...le jour du gala...", chocolats délicats ,, aux violettes : synonyme de celui qu'il deviendrait. oubli merveilleux,, à ne jamais être remémoré. "j'espère au moins...que tu t'es bien amusée." ,, car lui...
n'avait fait que penser
à toi.

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Tout est différent avec Yul.
Tout a toujours été différent avec lui, parce qu'il est pas son frère, n'est pas sa soeur ou bien Ailin. Il est lui, et c'est suffisant, ça a toujours été suffisant mais jamais de la bonne manière. Sia est aveugle à tout ce que l'univers voudrait lui offrir, quand elle se laisse se faire éblouir par des lumières qui ne sont pas pour elle. Trop sauvages, trop lumineuses. Elle prend des chemins qui ne sont pas pour elle, embrasse des lèvres qui ne lui sont pas destinées. Elle aimerait y croire, mais il y a la nécrose au fond de son coeur, ça l'emporte, petit à petit, comme le courant emporte les feuilles en automne.
Et Yul, il est comme un soleil qui guette l'hiver. Il réchauffe la terre, juste assez pour que les coeurs ne cessent pas de battre. Juste assez pour que les bourgeons restent sublimes, glorieux. Il est l'air frais que l'on attend après un été trop chaud, celui qui brûle les peaux, calcine les âmes jusqu'à ce qu'il n'en reste plus rien ;
Les amours aussi, ceux qui s'évanouissent quand l'été quitte la terre ! Tout redevient un peu plus froid, un plus tiède, et c'est peut-être ce qu'elle préfèrera toujours chez lui. Ce contraste quand elle annonce le printemps de ses pétales qui valsent dans les yeux, quand les roses viennent fleurir avec la rosée du matin.
Deux opposés, à toujours se compléter.
Malgré les douleurs, les regards qui se portent ailleurs.
Malgré les colères, quand elle ne sait jamais le rester contre lui, efface la rancune qui habite son coeur si rapidement. Rien n'est de sa faute, parce que c'est un peu de la sienne au fond, sans même le savoir. Parce qu'elle ne regarde jamais dans la même directement que lui, ne lui montre jamais ce qu'il aimerait, ce qu'elle aimerait aussi au fond, sans même se l'avouer, sans même regarder à travers des miroirs révélateurs.
Ses doigts caressent les siens, comme des joyaux qu'elle n'espérait plus jamais quand il n'était que mirage pendant tant de temps, quand elle a cru le perdre ! Dans les méandres de ses songes. Elle voulait qu'il revienne, qu'il reste pour toujours, Yul.
Elle voudrait qu'il soit éternel ! Qu'il ne s'envole jamais, mais elle ne pourra jamais le retenir, s'il veut être libre, partir vers des horizons qu'elle n'a jamais vu elle-même.
Elle comprendrait, après l'orage, après la pluie.
Il ne peut pas rester pour toujours.
« En tout. Je sais pas dire pourquoi, mais si t'es pas là, je me sens... Toujours très incomplète. » Vérité de l'âme, quand il est fil rouge relié tant de fois à elle, quand son âme finirait par en mourir de solitude, sans lui !
Sans lui, il n'y a plus rien, les mondes s'écroulent ; et son coeur avec.
Sans même s'en rendre compte. « Ne t'excuse pas, je comprends. Ca arrive. Je suis pas non plus facile avec toi, je crois. » Alors que le silence s'installe de nouveau, tête confortable contre son épaule, bien plus grande, si forte qu'elle pourrait en porter les poids du monde ! Les paupières fermées, elle n'en admire pas la vue, se laissant bercée par son odeur, sa chaleur, sa présence bien plus que suffisante alors que les yeux se rouvrent au son de sa voix, se déposant sur les chocolats offerts. « Oh... » Les doigts libres s'en emparent sans lacher sa main, caressant la boite avec délicatesse alors qu'elle la repose sur ses genoux. « Cette soirée était chaotique, oui. Désolée, et merci. » Alors qu'un nouveau baiser est déposé sur sa joue, le sourire qui se forme de nouveau sur ses lèvres. « Pas vraiment, et toi ? » Alors que le rire s'échappe un peu, tendre, aux souvenirs de cette soirée, aux souvenirs douloureux comme plus doux ; alors qu'elle connaît la réalité de ces sentiments qui vivent au fond de son coeur, mais Sia en reste aveugle.
Écrin échoué dans le fond de sa veste, qu'elle vient révélé au monde alors qu'elle lui tend lentement, se tournant un peu plus vers lui pour en ouvrir la boite, laissant le bracelet fin et sublime apparaître sous ses yeux. Tu m'as offert chaque année des chocolats et bien plus que je pouvais espérer. C'est peut-être pas grand chose mais... J'y tenais. Tends ton poignet, Yul. Alors que les yeux pétillent de toute l'affection qu'elle veut lui porter, pour toujours.
Parce que sans lui,
Elle n'est rien.

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Maux ressentis,
dans les estomacs.
et Yul avait mal : sans le comprendre.
de ces regards lointaine, elle en semblait printemps. pétale rosé à tomber des cieux, quand les plus doux tentaient d'en accrocher les doigts pour en cueillir les baisers des nymphes. à y croire amour éternel ,, quand lui n'en voyait que simple pétale. sans don, sans fortune, à avoir été le seul déchu, le seul ignoré. de ces soleils brûlant les peaux ! à rendre sacré les cristallins tombés sur les joues. car il avait réfléchi, sans doute bien trop, Yul. et peut-être était-il simplement fautif de ses propres malheurs, à en avoir trop demandé, à celle aux sourires éternels. muses ,, à lui avoir murmuré tous ses mots sauf eux. et comment le lui dire ? quand les regards en étaient ailleurs. à ne pas vouloir poser les doigts sur elle : œuvre d'art ; quand d'autres s'en montraient plus vaniteux encore. qu'importe. il en bannirait les horreurs, viendrait soigner les cœurs de quelques potions venant calmer les peines.

obliviate
à penser les plaies ,,
en faire croire illusions.

courage qui lui manquait : pour réellement le faire. quand seul, il en sentait les poumons si vides de ses parfums, quand sans elle, il avait l'impression de ne plus être réellement lui. quand pourtant l'avoir contre lui en était suffisant pour apaiser les colères. à ne toute façon par réussir à lui tenir tête. de ces peaux contre les siennes, à les épouser comme naturel si flagrant ,, il viendrait l'emmener danser un jour, dans ces nuits sans vie ,, à recolorer les sols de leurs pas : comme si tout pouvait être différent. à ne faire que l'espérer, quand il n'était capable que de misères. se lamenter, comme s'il n'était que spectateur à ne plus pouvoir bouger. rester sur place ,, quand les doigts n'en étaient que contre les siens, à ne pas vouloir les lâcher, dans ces quelques contacts. parce que lui ne voit à ses côtés, que celle qui en rendait les journées plus animées ,, plus chaleureuses : quand il en serait sans doute si seul, sans elle. "j'imagine qu'on est deux alors. à être incomplets sans l'autre.", car rien n'était jamais pareille, sans elle.
car les sourires n'étaient pas si beaux,
étoiles jamais aussi scintillantes ,,
et Sia : tu en étais toutes les causes.
"tu crois ? moi je pense que t'es pas la plus compliquée. y'a qu'à voir comment tu me supportes tous les jours.", qu'il préférait tenter les humours. mais rien ne viendrait en apaiser les battements, et muse si parfaite, qui en semblait flocon inatteignable. et peut-être qu'à poser ses doigts sur elle, il en ferait fondre les beautés. ô Yul ,, à en être poisons dès la naissance. quand il voudrait lui en offrir tout ce qu'il ne pouvait pas; décrocher les soleils, pour lui en montrer son existence. à être capable de tout, s'il pouvait l'avoir à ses côtés. joyaux galets, à n'être sans doute que trop peu ,, ô il en aurait aimé lui offrir bien plus que de simples friandises : à pourtant ne pas en avoir eu l'occasion. "chaotique ? vraiment ? alors j'imagine que presque personne ne s'est amusé. parce que moi non plus, c'était pas très amusant.", car elle n'avait pas été avec lui.

de ces danses oubliées,
il en aurait prié au ciel :
de pouvoir en tenir ses doigts.

"heureusement que tout est fini alors.", à pourtant se demander, ce que pourraient en venir les cauchemars. quand ils viendraient le dévorer de l'intérieur, lui en montrer scénarii catastrophiques, de ces morceaux de palpitant délaissés derrière lui. "j'espère qu'ils te plairont..., alors qu'il en aimerait tellement pouvoir retisser ces rubans si défaits ,, venir se contenter de ces étreintes, pour en apaiser les douleurs. et lui, en était-il réellement précieux ? quand il s'en sentait si petit, contre elle. de ces regards presque étonnés, à la voir glisser sous ses yeux merveille si bellâtre. et Yul, il ne s'y était pas attendu, quand pour lui ces semaines en avaient été horreurs. quand pourtant les doigts en trembleraient presque, à hésiter à en pencher les doigts vers les précieux quand demandé. lui en montrer son poignet de quelques rougeurs aux joues. "t'étais pas...obligée tu sais ...? je t'ai même pas offert grand chose...des chocolats...j'ai l'air de quoi maintenant....", d'une moue au visage, bien trop touché : de ce qu'il ne ferait qu'admirer à présent.
car jamais,
il n'en aurait
si précieux.
"il est...magnifique. merci, Sia.", d'un sourire bien trop honnête ! bien trop doux sans doute. quand tout doucement il en laissa ses mains se poser autour de ses fines joues pour en embrasser son front. "et encore désolé. pour t'avoir inquiété.", d'une douceur subtile, à ne lui montrer qu'affections sans ne lui en confier les significations. "et pour me faire pardonner...hmm...que dis tu que...l'on fasse un truc ensemble la prochaine fois ? je m'occupe de tout. un pique nique ? pour se sortir des examens.", quand lui voulait se faire pardonner, de ces caractères bien trop sensibles. bien trop sentimentaux. à venir reprendre tout doucement sa main, pour juste profiter de l'instant. "mais...juste pour aujourd'hui...si...on pouvait rester juste un peu comme ça." effleurer les tendresses ...
pour en effleurer ;
ces impossibles.

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Moitié de son âme, Yul est pièce manquante d'une existence longtemps passée dans l'ombre, à en guider bien des pas pour que cette soeur ne se perde jamais, quand Sia elle, aurait aimé prendre un peu plus son temps sur les sentiers du monde, s'arrêter pour observer les étoiles comme les fleurs sur ces par terres sublimes. Mais tout était pressant, ils étaient tous pressés d'avancer, de peur de retarder un temps précieux qui ne leur appartenait pas. Et peut-être que si les choses avaient été faites autrement ; Sia ne serait pas petite étoile seule dans un cosmos bien trop grand pour elle. Les mains se sont éloignées, les regards ne se croisent plus dans les couloirs, de cette jumelle qui lui semble toujours plus loin que la veille ; et si un jour tu disparais, je deviendrais quoi ?
Au bord d'un précipice, au bord de l'océan, les vagues frappent ses chevilles, violemment, elles appellent à la noyade ! Sans que jamais le corps ne sombre, rattrapé par des bras plus forts, plus puissants, quand on la serre contre les poitrines, pour la rassurer au rythme des battements d'un coeur faussement amoureux. Elle n'appartient pas à ce monde ; ni même à cet homme, pas à cet amour. Elle a été sculptée pour des ailleurs différents, quand elle glisse ses doigts dans une main chaude, familière, quand elle lui rappelle l'enfance, la véritable nature de son coeur. Peut-être qu'elle est faite pour lui, Yul, sans même s'en rendre compte ; sans même le comprendre.
Quand elle ne voit dans ses regards, que des joyaux légendaires, jamais toute l'affection qu'il peut lui porter. Et Sia l'aime, d'un amour un peu différent. Elle l'aime, jamais comme lui voudrait. Ne le sait pas, saura t-elle se pardonner un jour ?
Je ne te trouve pas compliqué, moi. Quand elle vient s'en amuser, le regard toujours ailleurs alors qu'il n'y a qu'à ses côtés qu'elle se sent bien, qu'elle se sent complète, loin d'être imposteur, de laisser le poison qui l'anime l'empoisonner, nécrosant ses chairs, et ses rêves. Elle a des ambitions grandioses, Sia, et peut-être que ça finira par l'entrainer dans les profondeurs du monde, quand elle en découvrira les secrets malsains ! On s'amusera peut-être, la prochaine fois. Qui sait. Haussant les épaules, sans même savoir ce qu'elle fera demain.
Sans savoir si elle sera toujours là, l'année d'après, quand les études touchent à leur fin ! Une ère qui s'apprête à trépasser dans les oublis, une ère qu'elle regrettera surement, comme les courbes de ses meurs tant aimés, quand admirés. Tout lui manquera, ici. Elle ne sait rien de son avenir, et le coeur se gonfle de peur. Comme quand il se gonfle aux présents offerts, mutuels, elle laisse les sourires glisser sur ses lèvres, les mots embraser les estomacs, ses veines bouillonnes de toute l'affection qu'elle lui porte, cet amour si grand ! Incompris.
Phalanges délicates à venir refermer le bijou autour de son poignet, l'admirant quelques secondes avant de le relever la tête, fierté et gloire sur son visage ! En constater les rougeurs délicates. Tu m'offres tellement de choses, mais tu sais, certaines fois, on a pas besoin de le dire. Tu es toujours là avec moi malgré toutes ces années. Tu aurais pu partir, ou juste trouver quelqu'un de plus intéressant. Je sais pas. Moi je t'aime. Alors je suis contente qu'il te plaise. Qu'elle en caresse les joyaux du bout de ses doigts, en frôle la peau tendre et fine, quand elle ne cessera jamais de l'admirer lui, sans que les sentiments soient encore réciproques. Sia l'aime, comme cet ami toujours debout à ses côtés depuis l'enfance. Comme ce pilier qu'il est, à tenir tout son monde sur ses épaules plus fortes que les siennes ! Ne t'excuse pas. Tu avais tes raisons, j'ai pas besoin d'en savoir plus. Sans en comprendre les maux du coeur ! Tu sais que je ne sais pas dire non quand il s'agit de nourriture, et en plus tu cuisines bien mieux que moi, alors je te laisse l'honneur de préparer ça. Moi j'apporterai... De l'alcool et des gateaux. Je pense pas que ça soit si difficile, ça. Elle rit, laisse les éclats s'envoler dans les cieux, dans les airs, il n'y a que ça de vivant, il n'y a que ça de beau, probablement. Alors que ses doigts viennent retrouver les siens, sa tête se reposer contre son épaule où elle trouve chaleur, quand les siennes sont fragiles, encore un peu froide de cette brise d'hiver qui touche bientôt à sa fin. J'ai pas envie de bouger de toute façon. C'est toujours aussi beau. Je comprends pourquoi tu aimes cet endroit. ca fait longtemps que t'es là ? Alors que les yeux en détaillent la végatation, les nuages qui glissent au dessus de leur tête, inspire les effluves douces et colorés qui ravivent ses rêves, ses nuances parfois trop fades, trop grises. Hm, tu sais. Je crois que j'aimerais bien reprendre le dessin, un jour. Je pourrais te dessiner ? La tête se redresse doucement alors qu'elle se penche vers son visage pour en détailler ses traits. Tu es beau, tu pourrais être ma muse. Les lèvres s'élargissent doucement, alors qu'elle passe un doigt le long de sa joue. Mais si tu veux pas, je dessinerais Ailin.
En piquer les curiosités, quand elle en connaît presque la jalousie, s'en doute, des regards parfois envieux, parfois mauvais envers ce dernier.
Il n'y a pourtant que toi que je veux revoir dans mes songes.

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Et de ses doigts,
il en avait sculpté en secret
son visage.
encore et encore, modeler l'argile pour en retracer ses traits. tracer la courbe de ses cils, dessiner sa mâchoire pour en relier ses lobes éthérés. et Yul, sans doute ne faisait-il que rêver un peu trop, devant ses portraits délusoires. à idolâtrer seule muse ,, à en admirer les beautés en silences : pour finir par tout détruire de ses paumes. recommencer ; tout effacer, pour se morfondre sur son sort sans ne jamais vouloir en changer le cours des choses. et c'était une simple disharmonie, symphonie illusoire et désaccordée qui ne finirait jamais de se détruire sous ses regards. car parmi tout cela : il était si seul, Yul. quand loin d'elle, il n'en finirait jamais les épopées sans doute. personnage secondaire, de ces récits fantabulesques ,, qui ne verront jamais la lueur du jour. alors il priait silencieusement ,, quand les cœurs finissaient par s'en briser encore et encore, sans s'arrêter. il en perdait morceaux à chaque pas qu'il faisait, à chaque fois qu'il en croisait son regard. à finir par ne plus les ramasser, les laisser traîner derrière lui comme simple déchets.

alors de ses doigts contre les siens ,,
elle n'y verrait :
que chaleurs éprises.

sans même ne s'en rendre compte, elle le verrait toujours à ses côtés, tout près d'elle, jamais réellement loin. car elle en était seul refuge, pour lui qui ne savait plus en trouver repères. mais un jour peut-être finirait-elle par s'écarter loin de lui. partir ,, si loin : qu'il ne pourrait plus en rattraper sa main à elle et la laisser partir. peut-être en était-ce là simple destin qui le consumerait ; à vouloir se montrer bien trop avide de ce qu'il ne pourrait jamais, à finir par pourrir de ces jalousies si nécroses. car le pulsant en était rongé de ces maux invisibles, intarissables, qui ne pourraient jamais en réparer les trous laissés béants. mais peut-être que de lui en offrir quelques affections finirait par le tuer : à juste vouloir la voir heureuse, bien que loin de lui. "ah oui ? tu trouves ?", car tu n'en voyais pas les berceuses qu'il voulait chanter en ton honneur , ô déesse des apogées. où ses côtés en étaient réconforts, à pouvoir se laisser tomber près d'elle sans ne jamais avoir peur d'en être abandonné, car sans doute était-ce de cela qu'il avait si peur, Yul. être laissé derrière par celle qu'il en affectionnait tant, qu'on en oublie son visage : quand lui n'en oublierait jamais le sien gravé dans le marbre.
à murmurer silencieusement ,
qu'il en aimerait chacun de ses traits,
sa voix dans sa tête.
à résonner ! écho infernal qu'il voudrait tant oublier sans y parvenir. et Yul en serait presque hanté de ces souvenirs d'enfance ,, à vouloir en forger de nouveaux à présent. "hmm...c'est vrai, qui sait.", à lui ne plus rien espérer de ces journées censées en émerveiller les regards de tous. car il les éviterait à présent, ne viendrait plus, pour simplement danser en solitaire parmi les statues de marbre. fiertés abandonnées, pour en recueillir les présents à ses poignets. à ne presque plus y croire, quand pourtant tendresse venait s'emparer de lui sous les simples gestes qu'il ne méritait pas. pas après en avoir été tant absent. "quelqu'un de plus intéressant ? y'a pas plus intéressant que toi Sia. Puis tu veux que j'aille où ? pas faute que je te suive depuis gamin.", car son chez lui était là où elle irait. "puis...moi aussi je t'aime.", à faire mal, lui arracher les respirations de ses entrailles, quand de ses sourires tout se faisait plus mélancolique ,, à n'être que vérité incomprise ! c'est qu'elle en effleurait ses peaux, à venir le faire frissonner, captiver son regard comme s'il en était si docile face à elle.

à ne plus rien éprouver :
que beauté d'un amour ,,
si discret.

amitié aux symboles accrochés au poignet, il s'en réjouirait quand sous les étoiles, il viendrait y graver son nom. "je ferai ce que t'aimes le plus alors. puis va pour l'alcool et les gâteaux. tu sais bien les choisir en plus." que les rires en ravivaient les joies ,, ô qu'il aimerait les entendre chanter en permanence, lui, dans les horizons lointains. doigts qui en retrouvaient leurs places, à venir tout doucement entrelacer les siens à ceux de la plus petite. observer le vide comme s'il ne faisait que jouer avec, à compter les secondes de ces Paradis retrouvés jusqu'à ce qu'ils ne se brisent de nouveau. "c'est toujours calme, ici. mais...ouais. j'y suis allé directement après mes cours. donc pas mal de temps on va dire." à en fermer les yeux, respirer les tranquillités qui en étaient bercées de sa voix. "le dessin ? pourquoi pas. sûre que t'es douée en plus. mais je vois pas pourquoi tu pourrais pas me dessiner.", jusqu'à en sentir ses regards sur lui, rire légèrement ! quand il en venait lui aussi à la fixer pour jouer de ces jeux. "dis pas...", qu'il en venait à soupirer, presque prêt à en attaquer l'enfant ! quand tout doucement de sa main lâchée, il en vint à faire une moue pour en chatouiller délicatement sa taille. "non dessine moi.", bien trop sérieux, à venir se pencher vers elle quand il voulait l'en attaquer de ces abus sentimentaux. "à moins que tu trouves Ailin plus beau ? tu m'aurais donc menti. peut-être que tu te trompes de muse, Mademoiselle Kurenai." à détester le visage de celui qu'il ne voulait pas voir, venir pourtant rire, quand tout doucement il en pinça ses joues entre ses doigts, jusqu'à en embrasser l'une d'elle.
car jamais,
il n'y aurait plus doux
que lui.
"mais soit. tu peux me dessiner. on peut s'y mettre maintenant si tu veux.", à lui offrir là regard des plus plissés : pour ne pas la laisser fuir. "je te prends aux mots fais attention. maintenant t'as pas le droit de dessiner Ailin. je vérifierai tes carnets.", mensonges. car trop personnel, lui qui n'irait jamais regarder les œuvres inaccomplies ,, celles gardées comme secrets aux regards de tous. à juste accepter, ce qu'elle lui montrerait.
à alors rire : de ces arrogances enfantines.
à juste vouloir qu'elle en soit heureuse.

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Sans un bruit, les étoiles dansent dans les yeux, à se chercher, s'attraper par les mains, laisser les tailles se frôler, les lèvres en délivrer les rires soyeux. Les cristallins au bord des yeux, de ces larmes joyeuses, d'un bonheur à en exploser les tympans, à en imploser dans les battants qui ne demandent qu'à s'aimer ! Se chérir, sans le secret de ces univers, sans qu'ils n'arrivent à le comprendre ; sans même le voir. Quand destiné finira toujours par les réunir, et Sia, ô aveugle de ces maux, sourde à ces mots qu'on voudrait lui glisser dans le creux de ses oreilles, en faire naître les merveilles, les douceurs, les rêves quand dans ces songes, elle s'imagine partir à l'aventure, sa main dans la sienne, sans plus jamais la lacher, plus jamais l'abandonner ; car sans lui, elle sait qu'elle ne vibre plus ;
Un peu trop vide.
Un peu trop creuse, le coeur et ce trou béant en lui.
Sans jamais savoir comment en soigner les plaies du temps ! Quand amour tambourine dans sa poitrine, de ces harmonies délicieuses, à se laisser sombrer dans ses bras, sans qu'ils ne soient jamais destinés à elle ; elle ne le sait pas, ne vit que dans une illusion certaine.
Se raccroche à ces astres qui rayonnent dans son cosmos.
Et Yul, il est l'une d'elle, à en frôler les mains, en frôler des baisers cosmiques, il en rêve sans même qu'elle le sache, elle est celle qui brise des coeurs, celle qui ne s'en rend pas compte. Divine reine, couronne bancale. Je sais pas, pourtant tu as d'autres amis, au lieu de toujours me supporter, mais tu sais. Je suis un peu égoïste, j'ai pas envie que tu partes, jamais. Je voudrais que tu restes toujours avec moi, mais c'est quelque chose que je peux pas faire. Un jour tu finiras par aimer quelqu'un et toi aussi, tu t'en iras. Et ce jour-là, je viendrais te supplier de ne pas partir,
Te dire que tu étais l'unique ;
Que sans toi, je meurs à petit feu.
Tout n'est qu'un long rêve ! Et la chute sera douloureuse, quand le corps finira par s'éveiller, pour en affronter les réalités, les contractions qui dictent ses pas ; à en sentir son coeur s'échouer sur les rives d'une mer de désespoir. Elle a peur, tremble un peu la nuit, quand elle s'imagine la solitude ;
Quand elle rêve d'un avenir heureux, sans jamais savoir si elle parviendra à l'atteindre.
Car tout n'est que surprise. Hochement de tête, le sourire qui en éclaire les courbes de son visage alors que l'éteinte se resserre pour ne pas le laisser partir, se laisser submerger par sa chaleur, sa présence, un peu de son odeur, des impressions de toujours la sentir partout où le vent la porte. Tu as bien fait, c'est le lieu parfait pour réfléchir et se reposer. Tu m'as déjà vu dessiner en plus, tu dis quoi, je te dessinais tout le temps quand on était ados. En bousculer le corps d'un coup tendre, du coude, en rire, laisser les merveilles s'échapper de ses lèvres, jusqu'à laisser son regard se fondre un peu en lui, avant s'en déposer la tête contre son épaules, laisser les jambes se balancer sous leur banc. Va savoir. Mais objectivement, tu es le plus beau entre vous deux. Tu es différent, un peu spécial hm... Elle se redresse, vient en attraper son visage entre ses doigts d'argent, ongles tels des griffes, elle en frôle la douceur de sa chair. Tu as plus de charme. Tu es incroyablement beau, Yul. Baiser déposé sur le bout de son nez alors que le sourire est toujours rayonnant ! La douceur de son visage, où dans ses yeux, les étoiles renaissent, elles partent à l'aventure, jour et nuit. Répondre à ses baisers, les pincements sur ses joues qui se colorent avec délicatesse. J'ai pas mes affaires, j'avais prévu de te casser la tronche, mais pas de la dessiner. Et le chatouiller, avec tendresse quand il en prononce les menaces merveilles, jamais violentes, jamais pour en terrifier le coeur trop amoureux, d'un être qu'il n'aime probablement pas. Fouille pas, tu pourrais trouver des choses étranges, Yul. Je voudrais pas que tu saches que je te dessine quand tu dors en bavant. Abus, quand elle vient en plaquer ses doigts sur ses lèvres, fausse révélation, faussement choquée alors qu'elle éclate en million de rires. Oh non, maintenant tu connais mon secret ! Tu vas pouvoir me faire chanter et obtenir tout ce que tu veux... Je suis prise au piège par monsieur Sato. En laisser les visages se colorer, de ces jeux enfantins ;
Ils sont encore candides, et peut-être qu'ils ne cesseront jamais de l'être ;
Pas même quand les amours seront rois.

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Illusion !
dans ces regards.
à vouloir combler les pensées.
comme s'il en était centre du monde.
mais il n'était rien, Yul, face aux déesses enchanteresses, à ne faire que comme si tout était trop évidents. déchirer ses arts, les recommencer : attraper les étoiles, pour les lui offrir. cœur explosé ,, à sourire quand elle le faisait, presque manipulé de sentiments bien trop douloureux. il s'accroche à ses doigts comme pour ne plus la perdre, resserrer les étreintes : pour ne pas se perdre lui. se sentir vivant ! quand auprès d'elle il avait l'impression de devenir quelqu'un. rendre les espaces soyeux de leurs éclats, éblouir les regards, quand les siens n'en étaient que joyaux vers elle. transformer les larmes en cristaux ,, en créer bijoux d'excellence pour en parer ses cous stellaires. à vouloir être tout ce qu'il n'était pas. car sans elle : solitudes imperméables, à se sentir mourir des distances. et même quand les pluies en tomberaient sur les visages, il resterait immobile pour capturer chacune des gouttes sur ses joues. les recueillir, pour en cacher les larmes.

faire comme si
de rien était :
pour camoufler
les jalousies.

et elles le dévoraient ! à pourtant en cet instant s'être dissipées si rapidement. caresser les peaux comme trésors des cieux qu'il viendrait chérir ,, et lui n'en était plus que simple marionnette prête à faire tout ce qu'elle lui demandait. "hmm. peut-être. mais si c'est que ça, je peux m'arranger pour rester toujours. c'est pas l'envie qui m'en manque, alors c'est pas vraiment égoïste.", quand lui voudrait lui prier d'en faire de même : car si tu savais, qu'il était prêt à tout, pour simplement en voir ton visage. c'est qu'il viendrait le lui promettre, qu'il ne disparaîtrait jamais, à toujours serrer à ses côtés sans même qu'elle ne s'en rende compte. car Yul n'avait nul part où aller, après tout. mais qui sait ? peut-être qu'un jour, attentes bien trop longues ,, espoirs disparu : il finirait par en détruire les quelques sentiments qu'il possédait pour tout recommencer. finir par la laisser partir pour ne plus avoir à souffrir autant de jour en jour. tomber toujours plus bas dans les précipices.
et je t'aime ,,
mais me reconnais-tu ?
dans ces miroirs.
de ces reflets si lointains, à pourtant être toujours sous ses doigts. à ne pouvoir se décoller d'elle, quand les lieux approuvés, il avait l'impression d'en retrouver chaleur contre ses peaux : de revivre ! quand lui n'en lâcherait aucunement la plus belle. "Je trouve aussi. C'est vrai. Mais peut-être que je dis ça juste pour te revoir dessiner ?", astucieux, lui, à rire tout doucement quand les arts en étaient aimés depuis bien trop longtemps dans les secrets. caresser ses mèches ébènes de bout de ses doigts, quand les fiertés venaient sans doute en frapper bien trop ses esprits. à sourire ! rire comme un enfant : à ne l'avoir pas fait depuis des semaines. "Plus de charme ? fais gaffe je vais finir par lui dire, que tu me trouves plus charmant que lui.", à ne faire que chercher un peu plus, quand au fond, il en aimait les quelques paroles prononcées comme prophéties. ne lui offrir que tendresse dans chacun de ses gestes, quand pourtant les vies reprenaient sur son visage. "Me casser la tronche ? Tu voulais t'y prendre comment ?", qu'il la regardait, de ces affections magiques, à venir faire s'envoler les rires ! de ces chatouilles aux couleurs de printemps

ne plus se restreindre :
quand près d'elle,
il s'en sentait lui-même.

s'amuser comme délicatesse, quand de ses mots il viendrait rire du monde. regardez nous : à sourire de tout. "je bave pas déjà en dormant. tu parles de toi peut-être ?", à l'observer tout doucement, plisser des yeux ! quand il voulait en découvrir tous les secrets. de ses airs choqués, à ses mains sur ses lippes, à le faire sourire bien trop : enfant solaire face à elle qui n'en demandait qu'attention permanente. "Effectivement...qu'est-ce que je pourrais bien te demander en échange hmm ?" ,qu'il s'en penchait vers elle pour la fixer d'un air dubitatif, à pencher la tête, quand il lui souffla sur le visage tout doucement. l'entourer de ses bras comme pour la garder tout proche de lui, à rire délicatement, quand il en laissa son visage se coller à son épaule. "J'irai pas rechercher ces vieux dessins....si tu me fais un câlin.", à ne rien vouloir, en réalité. ne faire qu'en sentir ses parfums, s'amuser bien trop quand les marchés venaient d'être proposé. "à moins que tu aies une meilleure proposition à me faire ... tu sais...en y repensant....c'est affreux ce que tu viens de me révéler", tête hochée, quand il s'en redressa tout doucement, à simplement venir jouer avec ses doigts à elle : comme pour en garder toujours contacts. "je rigole, évidemment. montre moi au moins tes prochains dessins, et j'oublierai le reste. tes carnets doivent vraiment faire peur ... "
à rire des inconnus,
relever le visage vers le ciel :
pour en exprimer les joies ,,
de l'avoir retrouvée.

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Symphonie divine que l'on murmure aux oreilles des rois divins ; des dieux, des nymphes, quand les amours sont les flammes qui animent les êtres. Quand les sentiments sont des étoiles merveilleuses qui illuminent les cieux jusqu'à en retrouver son chemin dans les ténèbres ! Sia en est aveugle, impératrice à la couronne qui n'a jamais su faiblir sur le haut de son crâne.
Doigts cristallins à venir s'emparer des coeurs ; jamais des bons. Sans en voir les signes, sans en apercevoir toutes les beautés qui se trouvent dans son regard ; Yul est sauveur, souvent, Yul est étoile qui l'éclaire dans la nuit, main qui tient fermement la sienne quand elle vient sombrer avec lenteur dans le néant, quand le pétrole recouvre ses chairs, s'immisce dans sa gorge pour en étouffer les désirs, les rêves ; les envies d'aventure et de possession !
Ô jardin des déesses, où les fleurs viennent fleurir face à leur union jamais assez symbolique, parce qu'elle ne sait pas en voir l'amour qu'il lui porte, Sia est aveugle, l'a toujours été, à en briser les coeurs, en faire naître bien des jalousies dans le creux de ces esprits aveuglés par celle qui ne regarde que vers un seul homme ; au nom proscrit entre les lèvres !
Vraiment ? Tu sais Yul, tu ne devrais pas t'empêcher de vivre pour moi. Le sourire vient briser le sérieux de son visage, illumine chaque particule de son épiderme, sur ce visage de poupée, peau jamais souillée, comme divine porcelaine que l'on ne veut pas briser, que l'on ne doit pas briser. Ne jamais en faire éclater les morceaux contre les sols, ne jamais briser les joyaux, parce qu'il n'y aurait plus rien de réparable, plus rien à sauver ; pas même un coeur dans la jeunesse de ses sentiments ! Eh bien si tu dis ça pour que je m'y remettre, ça prouve que tu es un drôle d'opportuniste mon cher. Ses doigts caresses ses cheveux, s'enroulent dans les mèches brunes et lisses, la tête de tourne vers lui, attrapant sa main avec délicatesse. Dis-lui, ça me fera une belle jambe. Rire qui s'envole dans les cieux, vient côtoyer les oiseaux, les pétales des roses qui valsent entre les feuilles, les arbres, à la conquête des nuages rosés ! Et les chatouilles en attaque ;
Glissent le long des corps alors que les sons sont des symphonies singulières que l'on ne sait pas arrêter, ni même calmer.
Il n'y a que les cristaux de bonheur aux coins des yeux ;
De la joie qui explose dans ces sourires ; dans ces gorges déployées.
Oh my dear love, si tu savais quelle genre de photo traine sur mon téléphone, surtout les tiennes... But it's kinda cute tho. Visage qui s'en rapproche pour en déposer un baiser contre sa joue, nuances sublimes à en peindre des artifices sur les peaux, alors qu'elle s'éloigne de nouveau, l'observe d'un air bien trop jouer, parce que Sia aime chercher, elle aime s'amuser jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus en respirer ! Demande ce que tu veux Yul, j'aime l'audace, je te donnerais ce que tu désires dans la limite du raisonnable. A en murmurer alors que son corps se rapproche du sien, accueille son visage contre son épaule alors qu'elle entoure sa taille de ses bras, en caresse son dos avec tendresse, délicatesse reine de ses phalanges. Je t'en fais tout le temps, tu pourrais choisir quelques chose d'original genre... Hm... Si tu étais ambitieux, tu pourrais demander ma main dans 5 ans ! A ne pas en connaître les avenirs, ne jamais rien remarquer, à ne jamais penser à la maladresse de ses mots ! Elle s'en amuse comme ultime gagnante de ses propres paris, de son jeu aux actes amers. Mais je te montrerai mes dessins si tu y tiens tant. Doigts d'argent qui viennent relever son visage avec toute l'affection du monde, en dépose un nouveau baiser sur le haut de son front. Et toi, qu'est ce que tu peux m'offrir ? Des rêves ou des aventures ? Qu'elle murmure alors qu'elle resserre son étreinte autour de lui, vient cacher son visage à son tour contre son épaules. Moi je veux juste que tu restes pour toujours.
Pour que je puisse un peu plus me noyer dans tes bras.

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Et dans un autre monde ,,
il viendrait renaître : Yul.
peut-être comme simple fleur, à être peinte par ceux qui en avaient ces regards magiques ,, à sans doute un jour finir par en être arrachée aux tiges ! pour finir entre les doigts d'enfants voulant en sentir les merveilles. ou encore en être bien plus grand : regorgeant de ces beautés dans les regards, où les tristesses n'étaient plus ; où peut-être pourrait-il se tenir près d'elle sans avoir à en sembler si faible. et il aimerait briller, lui aussi Yul. autant que le soleil ! qui dans ses regards en semblaient si rayonnant. à quoi ressemblait-il, lui, dans ces miroirs des âmes ? rien, sans doute. car jamais n'arriverait-il à en toucher les lueurs des astres, lui. alors il voudrait le lui promettre ,, qu'un jour : il pourrait ne faire que rester là, à ses côtés. vie qui en serait dédiée à cela, quand pourtant il ne pouvait pas en gâcher les mondes de ses jalousies dévorantes. ô à s'en détester, de vouloir pourrir les vies : de ces miracles innées. car jamais ne viendrait-il s'en réincarner sans doute, en réalité.
à mourir ,,
sous les mots :
si cruels.
"M'empêcher de vivre ? mais je suis bien, là, pourtant.", à sourire bien trop ! pour en cacher les douleurs. à vouloir faire tout en silence, quand sans doute un jour comprendrait-elle ,, que les regards n'en étaient pas qu'admiration. Sia , tu l'avais ensorcelé, de ces tendresses ; à avoir faire de lui simple marionnettes à vouloir en servir les muses des arts. quand tout exploserait, à l'intérieur, sans ne plus en laisser de traces. "ah oui ? je suis peut-être simplement prêt à tout tu sais.", qu'il en rirait, quand tout ce qu'il désirait était d'en observer ses sourires à travers les feuilles. "Avec grand plaisir, j'ai hâte de voir sa tête.", et tout s'apaisait, à en voir son visage. serrer délicatement sa main dans la sienne, comme pour en sentir le pouls. venir en effleurer les lignes de sa main : chiromancie partielle, pour simplement en garder les contacts.

à toujours vouloir les entendre !
ces rires :
à les chercher ,,
les recueillir !
du bout des doigts.

les conserver ! les protéger ! comme si tout n'était que trop précieux, à vouloir pouvoir les entendre encore et encore, ses rires. ses éclats de joies. quand lui serait parti. venir la contempler quand il savait qu'elle en possédait là tous ses secrets entre ses doigts. "Kinda cute ? Tss. Quelle réputation tu vas me faire. Qu'importe, j'en ai tout autant de toi, j'imagine que ça compense.", épaules élevées ! comme pour en expier les supplices ,, à se demander : ce qu'elle pouvait bien avoir capturé de lui depuis tout ce temps. "tout ce que je désire rien que ça ?", à la fixer alors, air plus sérieux, quand pourtant les sourires en reprirent rapidement les devants. et si tu savais : qu'il n'avait que toi aux lèvres, Yul. toi. à murmuré dans sa tête ! comme seul présent qu'il souhaiterait. toi et tes sourires. à savoir si bien en bercer les cœurs de tous ce qui l'effrayaient. et pourtant de ces offrandes, il ne ferait que l'accueillir contre lui, bercer ses longues mèches, quand les simples étreintes en étaient suffisantes pour asphyxier les poumons de beautés. "ta main vraiment ? j'ai vraiment le droit de te demander ça ?", qu'il voudrait en rire ! quand pourtant les envies ne lui en manquaient pas Yul. à presque en retenir ces tristesses, qui dans le creux des yeux, n'en feraient que se creuser.
à vouloir lui offrir :
tout de lui.
tout.
"des dessins c'est suffisant...sinon je pense que je vais vouloir me montrer trop avare tu sais ?", car il ne voulait pas en perdre : tout ce qu'ils étaient. "moi ?" sourire léger ! à le bercer de songes ,, d'espoirs anéantis, quand déjà : il y voyait là prières à réaliser auprès des puis enchantés. "Tout. je peux tout t'offrir, si c'est ce que tu veux." à venir resserrer ses bras autour d'elle, cacher le bout de son nez contre ses mèches parfumées, quand les yeux s'en fermeraient de vouloir profiter des instants sans en perturber les essences. et peut-être s'en montrerait-il trop gourmand de vouloir la garder seulement pour lui ,, loin du monde, loin de tous ces regards, quand dans ses bras il pourrait en sentir de nouveau ses parfums. "Hmm...ça peut se faire tu sais....je compte aller nul part, puis...", à soupirer là, quand les mots s'en feraient comme promesses. "moi aussi, je veux rester à tes côtés. après tout qui viendrait t'embêter si j'étais pas là ?" et peut-être un jour : tout en serait plus amusant ,, sans lui. à vouloir la voir vivre : sans en subir ses chaos à lui. "j'vais finir par croire que tu veux vraiment que je t'épouse. je devrais tenter ma chance alors ?" rire ! quand les doigts en caressaient délicatement les cheveux. à dans son dos venir en cueillir simple fleur qui en ornait les arbres au dessus de leurs tête. y faire anneaux si simples ! pour pourtant les lui présenter comme jeu délicat ((quand tout était sincère !)) à ne jamais le lui dire ,, qu'il en pensait chacun des mots. un jour ...
flocons rosé à se déverser sur les joues ,,
silence !
quand tout finirait
par valser sous leurs yeux.

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Elle sait qu'elle l'aurait aimé, dans un autre monde, si on leur avait donné une chance, un peu de temps pour apprendre à se connaître, mieux qu'à travers les enfances sauvages. Si on leur avait donné une chance de s'apprivoiser, à s'aimer comme des fauves, se fuir comme des animaux sauvages, à avoir fermé les yeux, longtemps, trop souvent sur tout ce qu'il ne cessait jamais de lui apporter.
Et Sia, son coeur en a toujours décidé autrement,
A aimer d'autres formes, d'autres battant, jamais le sien !
Ô divine torture, quand tout vient se serrer dans ces esprits, dans ces poitrines, et elle ne voit pas à quel point elle lui fait mal.
N'en devine rien à ses regards, poupée trop parfaite, à devoir porter le monde entier sur ses épaules, gloire et merveilles, de son nom qui viendra tout glorifier, encore et encore, car c'est dans l'or qu'elle vient se plonger, qu'elle vient noyer les imperfections.
Et peut-être qu'il pourrait lui donnner,
Tout.
Le monde.
Ce qu'elle a toujours désiré ; liberté.
Mais elle n'en sait rien, coeur amouraché vers des ailleurs différents, il ne l'aura pas.
Pas aujourd'hui, ni demain, quand il ne peu rêver que d'hier.
Alors les âmes se bercent des rires, de ce qu'on leur accorde un peu, comme répit avant tempête, avant la fin, seulement rien, il n'y a rien qui menace les horizons. Seulement la peur de le perdre lui, de se réveille un jour sans sa présence, sans qu'il ne pose les yeux sur elle, entre les couloirs, derrières les feuilles où les âmes sont encore candides. Et j'espère que tu prendras une photo de sa tête oui, je ne voudrais pas manquer ça ! A en laisser les sons de nouveau s'échapper de ses lèvres alors qu'elle le cogne avec tendresse, d'un coup de coude contre lui, quand les doigts sont toujours joints, et ils ne se lacheront jamais, elle s'en est fait la promesse ! Silencieuse, mais forte, si forte qu'elle pourrait lui jurer sur tout ce qu'elle possède de plus cher à son coeur. Ecoute, on verra si tu mérites de m'épouser d'ici là. Tu sais que je ne suis pas n'importe qui. Doigt qui s'élève comme mise en garde ;
Elle se fait enfant face à lui, gamine qui ne sait pas s'arrêter, vient rire de tout, s'amuser des plaisirs qui ne sont plus de son âge, mais elle dévore chacune de ses réactions. Tu devras faire tomber amoureux mon coeur, et il est gardé par dans un grand magicien. Des candeurs qui quittent le bout de ses lèvres alors qu'elle laisse se main retomber, les symphonies emporter sa poitrine et ses poumons, alors qu'elle dépose sa tête contre son épaule, laisse le regard s'échapper au lointain.
Tout ? Je ne sais pas ce que je veux. Hmm... On devrait juste faire le tour du monde, je pense. T'en penses quoi ? La tête se tourne de nouveau vers lui, les lèvres courbées pour en laisser les douceurs fleurir contre elles, bourgeons du printemps qui se saisissent de sa beauté ! Et elle est belle, Sia, quand elle brille sous sa lumière. Oui, oui, d'accord. Tu crois qu'on sera toujours là, sur ce banc, quand on aurait 80 ans ? Moi j'ai envie, c'est bizarre non ? La tête se penche, son buste avec, son regard se plonge dans le sien, elle a besoin d'y croire, de quelques promesses, de quelque chose qui réchauffe et rassure son coeur. Peut-être qu'on sera mariés, et qu'on aura eu une grande vie avec... Tu veux des enfants toi ? C'est terrifiant c'est choses. Ses yeux se perdent de nouveau sur les plantes autour d'eux, et elle n'a pas lâché sa main, Sia, car il la garde un peu sur terre, un peu avec lui. Il a le droit d'être égoïste. Cette vie serait agréable, je pense.
Peut-être dans un autre univers.