'cause now i'm breaking at the bridges and at the end of all your lies
de ces remparts qui s'élèvent en son être, haut à en côtoyer le soleil, à ternir ses yeux d'ombre, à le cacher de cette lumière et le laisser dans l'hiver. y a de ces mots qui le composent, de ces reproches qu'il s'impose, y a le coeur instable et les pensées qui implosent. héros, monstre, criminel, les mains tâchées de sang, les souvenirs déambulent dans un esprit funambule. à défaillir, à ne savoir s'il doit tomber en enfer, tomber dans l'oubli, toujours est-il qu'il tombera, s'écroulera dans les abîmes, sous le blâme de ses crimes. le palpitant larmoie, la peine le noie, s'emporte sous leur regard sournois. hanté par ses propres démons, il en perd la raison. identité instable, moralité contestable.
yunho, souviens toi
des mains que t'as lâchées,
des pierres que t'as jetées,
des corps que t'as balancés,
dans ta conquête de liberté.
à se perdre dans sa mémoire embrumée, dans un dédale de souvenirs défaillants, à ne se réveiller que lorsque des bras viennent le secouer. réveille toi, yunho, inscrit dans le regard de cet homme, nuancé d'une inquiétude non dissimulée. et les explications se perdent, silence empereur, lorsque ses entrailles se tordent de peur. (( si seulement le monde se doutait du monstre qu'il abritait en son sein, ces crimes qu'il a couvés, les larmes qu'il a fait couler. si seulement le monde savait, les torches se lèveraient )). alors yunho se tait, le silence gardien de ses secrets. se lève, saisit le bout de papier, lit l'adresse marquée. ça te permettra d'oublier ; et dans les pensées vagabondes, l'idée semble le tenter. alors, le coeur suspendu dans le vide, à se balancer au bout d'une corde usée, yunho s'en va se perdre en ce lieu, à se poser sur un des canapés, à voir la magie danser autour de lui. l'esprit noirci de cette histoire qu'il n'a jamais raconté, de ce passé qu'il a caché, et de l'évidence qu'il n'a jamais avouée.
t'es pas un héros, yunho,
t'es le bourreau.
des mains que t'as lâchées,
des pierres que t'as jetées,
des corps que t'as balancés,
dans ta conquête de liberté.
à se perdre dans sa mémoire embrumée, dans un dédale de souvenirs défaillants, à ne se réveiller que lorsque des bras viennent le secouer. réveille toi, yunho, inscrit dans le regard de cet homme, nuancé d'une inquiétude non dissimulée. et les explications se perdent, silence empereur, lorsque ses entrailles se tordent de peur. (( si seulement le monde se doutait du monstre qu'il abritait en son sein, ces crimes qu'il a couvés, les larmes qu'il a fait couler. si seulement le monde savait, les torches se lèveraient )). alors yunho se tait, le silence gardien de ses secrets. se lève, saisit le bout de papier, lit l'adresse marquée. ça te permettra d'oublier ; et dans les pensées vagabondes, l'idée semble le tenter. alors, le coeur suspendu dans le vide, à se balancer au bout d'une corde usée, yunho s'en va se perdre en ce lieu, à se poser sur un des canapés, à voir la magie danser autour de lui. l'esprit noirci de cette histoire qu'il n'a jamais raconté, de ce passé qu'il a caché, et de l'évidence qu'il n'a jamais avouée.
t'es le bourreau.