(f) dominique weasley

dominique « domi » weasley-delacour ellie bamber // rousse ou blonde.
#1 fille cadette de bill & fleur weasley, elle a quitté le royaume-uni dans l'espoir de se trouver : à la fois pour échapper à la réputation de sa famille (héros de guerre, attention corrosive de journalistes cf. rita skeeter, admiration / pression) et pour s'éloigner de sa sœur aînée slash meilleure amie, victoire, qu'elle adore mais dans l'ombre de laquelle elle s'est toujours sentie cantonnée. officieusement, elle fuit aussi une erreur qu'elle ne se pardonne pas ((dérapage avec teddy lupin durant une brève rupture entre victoire et lui)). #2 18 ans ((née en novembre 2001 donc entrée à poudlard l'année de ses 12 ans)) ; actuellement en dernière année de secondaire à mahoutokoro. attirée à l'autre bout du monde par la réserve de dragons de l'école et la perspective d'un cursus en magizoologie/dragonologie post ASPICs ((passion inspirée par son oncle charlie ; elle a été sélectionnée pour une formation en roumanie mais a fait le choix de se dépayser pour se faire un nom par elle-même)), elle est venue achever son second cycle à iwo jima pour se laisser le temps de s'accoutumer au niveau d'exigence de l'école, à la langue et aux mœurs de la communauté. le japon s'est aussi imposé comme terre d'accueil idéale à cause de sa neutralité vis-à-vis de la guerre : ici elle peut être une sorcière lambda. #3 avant son départ, domi était la discrète de la famille. des rêves plein la tête, pourtant brimés par la crainte de mal faire ; des espoirs d'aventure nourris par les livres qu'elle dévore. un calme trompeur masquant une opiniâtreté de cabocharde ; des braises n'attendant que l'opportunité de flamber. un instagram entre aesthetic, memes, recommandations de littérature sorcière et touches d'art de vivre. un équilibre de vulnérabilité et de force, de foi en l'humanité et de méfiance, de douceur et de fougue, de maturité et de caprices, de valeurs et de curiosité face aux risques, de loyauté et de rancune tenace. #4 elle ne manque pas de moyens, mais l'accord passé avec ses parents implique l'obligation de jobber pour contribuer à ses propres dépenses. ils avaient espéré la dissuader, mais cette fois, elle n'a pas reculé. #4 son chemin n'était en rien supposé croiser celui d'aspen rosier ((elle n'en a d'ailleurs rien dit à ses parents, l'une de leurs craintes étant qu'un ancien mangemort revanchard s'en prenne à elle du fait de ses origines)). la première fois, il n'était qu'un inconnu dans le tumulte du tengoku market et elle, l'étrangère, cible aisée dépouillée de son sac par un môme agile. et il s'est empressé de lui venir en aide, aspen ; mais il ne s'agissait que d'un coup monté, pseudo-sauveur complice du voleur. intentions troubles, séduction-mensonge, le but était de s'introduire chez elle pour lui dérober ce qu'il lui restait de gallions ou de possessions de valeur. mais si le courant est passé, elle n'en a pas moins refusé qu'il la raccompagne. lorsqu'elle a proposé qu'ils se revoient, il a aisément accepté pour ne pas attiser sa méfiance, mais sans aucune intention de se présenter au rendez-vous. la deuxième fois, il était client au midas touch ; elle y jobbait, vendeuse le temps d'un été (juillet 2019), l'a aidé à choisir un collier et n'a pu s'empêcher de glisser que sa belle apprécierait probablement plus les cadeaux clinquants s'ils s'accompagnaient de fidélité. il a ri, juré le bijou destiné à sa sœur et en a discrètement empoché un autre dans la foulée : un bracelet ensorcelé dont le vol a valu à domi de se faire renvoyer. la troisième fois, elle l'a giflé aussitôt qu'elle l'a reconnu ((visage familier parmi les badauds d'hinaï)), puis a tourné les talons sans lui adresser un mot. c'est en rentrant qu'elle a trouvé le bracelet qu'il avait glissé dans sa poche juste après son coup d'éclat ; et elle aurait dû le rapporter au magasin ((elle avait prévu de le faire)), mais il trône à sa cheville jusqu'à maintenant, trésor coupable. la quatrième fois, il s'est pointé au burger 9 ¾ alors que domi y bossait, l'a taquinée/agacée tout au long de son service et lui a tenu compagnie, bien malgré elle, jusqu'à la fermeture. quelques semaines plus tard, « aspen » était synonyme d'une marque violacée sous son écharpe, d'un souffle brûlant sur ses seins nus et d'un sourire agaçant gravé sur sa rétine. c'était peu avant qu'elle découvre que le patronyme rosier s'accolait à ce prénom ; peu avant qu'elle comprenne d'où il venait, cet homme à la fragrance de tempête et au sillage bardé d'ennuis. elle est trop jeune pour lui, domi, elle est trop bien pour son univers surtout, elle se répète sans cesse qu'il n'y aura pas de prochaine fois. et lui, il lui assure avec désinvolture qu'ils peuvent bien décliner les instants présents au pluriel sans jamais se promettre d'avenir. bien sûr, qu'il le prend à la légère — ce n'est pas sa gorge à lui qui se serre lorsque résonne, dans le combiné, la voix joyeuse d'un futur beau-frère, crush de longue date auquel elle ne pourrait avouer dans quels bras elle s'efforce de l'oublier ; ou quand se dessine sur l'écran du téléphone le visage d'une grand-mère adorée dont les frères ont péri sous la baguette d'un proche de la famille d'aspen.