(présentation)
— The saddest part in life is saying goodbye
to those you wished to spend your lifetime with —
— The saddest part in life is saying goodbye
to those you wished to spend your lifetime with —
Le 14 mars 2000, une journée qui aurait pu être joyeuse mais qui s'est bien vite transformé en cauchemar. Mika est emmené à l'hôpital pour y donner la vie, Leo n'est pas avec elle. Le seul être qui puisse la rassurer n'est pas là pour lui donner la main, pas là pour la soutenir, pas là pour voir ses enfants venir au monde. La faute au père, bourreau de sa fille qu'il pense protéger mais à qui il porte le coup fatal. Un isolement de trois mois qui se termine par l'abandon forcé de ses enfants qu'elle aime tant. Incapable de pleurer tant elle l'a déjà fait, c'est sans un cri qu'elle fait naître sa fille, puis son fils. Elle dispose de deux heures avant qu'on ne viennent les chercher pour les emmener là où vont les enfants sans parents. Impuissante, l'adolescente observe ses bébés en cherchant mémoriser les moindres détails de leurs visages. Elle caresse, elle respire, elle apaise. Elle est mère à part entière. Avec les étoiles pour seules témoins, elle leur donne les prénoms de Lila et Aster. Ils ne les connaîtront jamais mais elle n'oubliera jamais.
— Les pré-liens sont entièrement libres car Mika n'a connu ses enfants que deux heures avant que son père ne les emportent — Ils ont été envoyés dans la patrie dont les parents sont originaires : le Japon — J'aimerais que les jumeaux aient pu rester ensemble mais suis ouverte à la proposition que ce ne soit pas le cas — Mika est venue au Japon suite au décès de Leo il y a cinq ans dans le seul but de retrouver ses enfants — Elle n'a jamais eut plus d'informations outre le fait qu'ils soient au Japon et espère qu'ils soient nés sorciers et soient donc scolarisé à Mahoutokoro — Les jumeaux sont nés de Mika (américaine d'origines japonaises) et Leo (américain), ils sont donc métisses.
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Poupée que l'on retient dans ses bras autant qu'on le peut avant qu'elle ne soit arrachée. Deux heures pour sentir sa mère, deux heures sans comprendre que ce seront les dernières avec celle qui l'a portée et aimée depuis neuf mois. Puis ce sont des mains moins douces qui l'arrache à l'étreinte maternelle et l'emporte. Ce n'est que grâce à la chaleur de son frère que l'angoisse reste tapie.
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Poupon que l'on retient dans ses bras autant qu'on le peut avant qu'il ne soit arraché. Deux heures pour sentir sa mère, deux heures sans comprendre que ce seront les dernières avec celle qui l'a portée et aimée depuis neuf mois. Puis ce sont des mains moins douces qui l'arrache à l'étreinte maternelle et l'emporte. Ce n'est que grâce à la chaleur de sa sœur que l'angoisse reste tapie.