- cw:
- TW : mort, violence physique, mentale et sexuelle sur mineur
Je vois la vie en rose
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· ✷ ˚ ·Médiateur INFP - A/T ☼ Pisces ↑ Gemini ☽ Libra cutie pie – butterfly – i purple you – dreamy girl – emotional – love issues– needy girl – bubble tea – indecisive – desperate to please – creative – jealousy – i smile like a kid – little sunshine – i'm fine ,ǝɯ ǝʌɐs
a thousand mermaids
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daddy's issues qui s'estompait à chaque élévation des étoiles dans les cieux obscures. souffle serein d'une âmecraquelée d'uneinnocente enfant aux yeux brillant. à l'étincelle et au sourirevivant toujours présent comme lescibles des coups quotidien.
les cris qui s'élève dans la piètre chambre de la maisonnette.visage solaire qui s'illumine entre les derniers flocons de neige de la journée qui s'épuise sur les hauteurs desmonts Taebaek , dans la province duGangwon.
l'amour avait frappé aux portes des campagnessud coréenne , amenant les âmes sœurs à d'abord se haïr, puis à s'aimer, mais toujours là pour ce détruire chacun. du chaos né lalumière , mariage de leurs couleurs respectives.
compagne de route à travers les années, agréable en cours dedivination comme au quotidien malgré sataille légèrement petite. fidélité certaine entre les deux compagnons de vie.
la grue qui se joint aupapillon humain dans une danse solaire. leurs auras puissantes venant caresser les épidermes environnant. air d'une maisondestiné dans se regard brillant aux mille lueurs.
l'indécision face à tant de possibilité de parcours qui s'offrait à elle.formation pour devenir auror que la silhouette paternelle lui pointait du doigt et pourtant, c'estles traces de sa mère qu'elle a décidé de suivre.première désobéissance depuis des années d'une princesse qui se veut pourtant si parfaite pour satisfaire aux attentes sévères.
un nom sortie des étoiles.passion animant maman depuis son plus jeune âge, elle apprit à lire les astres dans ses bras à son jeune âge. installées à même le sol, l'herbe chatouillant l'épiderme de leurs jambes dénudées, le regard brillant de l'enfant qui s'élève vers le ciel. unintérêt médiocre pour la gamine qui ne rêvait que d'apprendre à monter les montures magiques. elle a récemment abandonné le clubd'équitation pour intégrer celuid'astronomie , unique moyen qui lui était possible pour se reconnecter avec sa mère disparue.
les finances qui s'élèvent doucement, mais l'aisance d'une vie plus que paisible est encore loin pour cette petite famille aupassé pauvre . et c'est la disparition de cette figure maternelle qui a permis la découverte d'argent caché, ou plutôt destiné à l'avenir de son seul enfant. utilisé à des fins différentes, la situation familiales'arrange doucement , mais certains mois sont toujoursdifficiles.
l'innocence d'une enfant encore présente, mélangée à cette peur de l'inconnue. malgré quelques faibles baisers échangés à l'abri des regards, l'enfant se balade toujours seulel'esprit enviant les corps entrelacés, les lèvres qui se lient. l'attente du bon moment éternel, comme ci les contes de fées et les histoires de princesse n'étaient fais que pour fairerêver les plus jeunes des êtres de la planète.
0 c'étaient les cris d'un bébé qui brisaient le silence des nuits paisibles à chaque levée de la nuit. quand la lune s'élevait dans le ciel sombre, les premiers cauchemars apparaissaient dérangeant le petit être qui cherchait alors que réconfort pour calmer cet inconfort grandissant qui restait une incompréhension totale pour ses géniteurs. et si elle avait pu parler ses années durant, elle n'aurait jamais pu décrire ce qu'il se passait durant ses mauvais rêves, les images tendant à être floues la plupart du temps. elle peinait toujours à distinguer la moindre silhouette, que parfois elle connaissait.1 le temps passe et les cauchemars n'ont jamais cessés durant des années. ses parents se questionnant sur ce qui amenaient ses séances de cris et de pleures. les journées étaient radieuses, l'enfant solaire ne faisant que sourire et rire en compagnie de sa mère, alors que les nuis étaient presque affreuses, l'enfant solaire n'étant plus. mais sous les douces berceuses de maman, les nuits deviennent parfois un peu plus paisibles, les pleures sont à nouveau remplacés par le silence des nuits. les cauchemars laissent, certains soirs, place aux doux rêves d'enfant pourtant encore un peu flou. la gamine peinant encore à raconter l'issu de ses rêves à sa mère au petit matin, qui dans un élan de lucidité sur ce qui entoure sa fille, fait de son mieux pour l'aider à gérer ce qui lui arrive.2 les premières touches de lucidité finissent par arriver assez rapidement un matin de son enfance joyeuse. la première informations concrètes qu'elle arrive à attraper est un nom, celui de sa mère : Sooyoung. rêve ou cauchemar, elle ne parvient pas à définir concrètement la finalité des scènes alors elle garde le silence et partage les prochaines informations qui ressorte de ses nuits paisibles et agitées. et pourtant, elle avait prédit la mort de sa mère sans même le savoir. le nom qu'elle avait vu dans son rêve, était le nom gravé sur la tombe de sa génitrice le jour de son enterrement. elle qui l'avait aidé au mieux qu'elle pouvait à contrôler le don qui grandissait en elle.3 l'avancement de son don se fit plus lente depuis la mort de sa mère. d'abord réticente à le laisser évoluer, elle avait espéré de longues années le voir se faire plus silencieux. la douleur de la prédiction de la perte de sa mère l'ayant traumatisée, elle n'avait plus jamais fait part de ses rêves et de ses cauchemars à son père. lui qui n'en voyait pas non plus l'intérêt. en plus de perdre un parent, elle avait perdu celle qui la guidait dans son apprentissage, celle qui la poussait toujours à chercher les informations qui lui parvenait. mais un soir, à l'aube de ses dix-huit ans, elle était parvenue à voir l'image de celle qui lui manquait tant dans un de ses rêves et à partir de là, elle avait reprit le chemin de l'apprentissage, réussissant petit à petit à prendre le contrôle sur ses rêves prémonitoires. le temps était long et il arrivait que certains jours, à force d'entraînement ou d'abus de son don, elle est encore cette impression de rêver, de divaguer dans son rêve alors qu'elle était pleinement réveillée.
0 c'est récemment, durant ses longs entraînements qu'une nouvelle forme de son don est apparue. une simple discussion avec une amie présente pour l'aider, une poignée de main des suites d'un accord commun qu'une vision la frappe et elle a l'impression de se retrouver des années auparavant quand elle était encore au début de son apprentissage. le retour des visions floues, incomplètes et difficiles à expliquer. cette nouvelle forme l'excite plus qu'autre chose.1 la mort de sa mère semblait toujours être le début d'un nouveau tournant dans l'apprentissage de son don. de retour chez son père, elle tombe sur un objet nouveau à ses yeux et c'est en le touchant qu'elle vit quelques brides, quelques courts moments de la mort de sa mère quelques années plus tôt. la vingtaine acquise, mais les images choquent toujours autant la gamine brisée qui sommeille en elle. elle venait de tomber sur l'objet qu'avait tenu sa mère lors de sa mort : un livre qu'elle comptait lui offrir pour noël, celui qu'elle avait tant demandé enfant.
douce odeur agréable qui s'élève des souvenirs de l'enfant qui sommeille en elle. voyant se dresser la maisonnette de ses premières années de vie, les rires enfantin se mélanger à ceux d'une mère à la vie pulsant encore son cœur battant. plante qui venait tremper dans ses verres d'été aux milles bulles qui éclataient contre sa langue. senteur miroir de ses souvenirs joyeux au milieu des monts Taebaek.
le chocolat qui fond dans la casserole posée sur le feu. le corps de l'enfant attendant patiemment devant la petite table pour pouvoir continuer le gâteau. sa mère dansant et chantant devant elle, la cuillère en bois pleine de cette délicieuse substance marron en guise de microphone. les rires et les exclamations de joie qui emplissent la pièce. le fondant au chocolat de Sooyoung étant le meilleur qu'elle ai pu mangé.
l'odeur agréable qui gagne ses narines avant et après chaque averse qui la bloquaient toujours derrière les fenêtres de la maison. l'odeur musquée et fraîche du sol qui imprègne l'air le temps de quelques instants.
sortilège encore trop peu utilisé, mais il prend l'apparence d'un admirable cygne blanc. et tel le cygne et la princesse, l'enfant se reconnaît en cette créature gracieuse, malgré quelques interrogations passées.
TW. violence sur enfant, sang, mort
rien ne semble plus réel que cette représentation de sa propre mort. le soleil rouge de mars qui entoure son corps frêle et parsemé de traces bleutées. le teint pale, trop pale pour laisser la vie danser sur ses traits. le regard dépourvu de ces étoiles brillantes qui semblaient pourtant si éternelles. et elle pourrait reconnaître les marques entre mille. miroir des mains de son paternel qui ont déjà tant explorées et marquées son corps innocent. plus qu'une représentation, un souvenir quasi réel et intact.
sa main frêle agrippant celle de cette mère disparu trop tôt. les sourires, témoins d'une joie solaire, dessinés sur leurs visages. et l'amour d'un être( eux, les autres ) envers un autre( elle ) qui s'échappe de cette image tel une aura puissante. désir profond, parfois malsain, de se sentir aimé d'autrui.
23.02.2000
Kaze
Etudiant
on remercie le démon qui se promène sur l’épaule de ange pour être venue me voir en mode “je t’attends” et j’imagine que je l’ai écouté ptdrr mais sinon on remercie aussi le bouche à oreille pour avoir connu le forum (cc emmy )
PS : la suite arrive
I was a lilac sky
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les souvenirs chaleureux qui s'inscrivent dans la pensine de la gamine songeuse. réchauffant son cœur meurtrit de cette absence douloureuse. et elle se souvient de ses sourires aimants, de ses rires joyeux qui s'échappaient de ses lippes rose pâle, l'odeur fruité de son parfum d'été qui l'enveloppait dans un voile invisible. tantôt ses caresses dans ses mèches ébènes, tantôt ses doux baisers contre ses tempes le soir avant de s'endormir. et il y avait sa voix qui la calmait après chaque mauvais rêves. elle était celle qui l'avait tant aidé à maîtriser son don, mais elle n'avait pas été en mesure de faire part de l'apparition de son nom un soir dans ses songes nocturnes. elle n'avait pas été en mesure de découvrir la nature de ce rêve qui l'avait tant perturbée à l'époque, mais pas autant que le jour de son enterrement.
douce princesse de son père. image parfaite qu'il avait réussit à en tirer après des années. mais il y avait les traces bleutées qui marquaient son corps tel les étoiles dans le ciel autour de la lune. les ruisseaux de larmes silencieuses qui avaient tant perlés sur ses joues innocentes et creusées. l'obéissance à l'état le plus brute. la peur qui la gagnait à chaque pas de travers. la crainte qui venait piquer son coeur à chaque fois que ses mains s'élevaient. les yeux clos, les lèvres closent, elle subissait dans le plus grand des silences, forgeant à chaque coup l'apprentissage que son père désirait. et parfois il y avait ses caresses étrangement plus douces qui se faisait contre son épiderme fragile et marqué.
à cheval entre un don et une malédiction pour l'enfant brisée qui sommeille en elle. passé les doux souvenirs en compagnie de sa mère à apprendre à maîtriser chaque évolution, il y a les mauvaises surprises, les cauchemars fondus en silence, les larmes victimes des nouvelles visions. comme ci sa mère avait toujours été lié à ce don de voyance qui était né avec elle, alimenté par sa passion des astres. et elle a longtemps repoussé, tenté d'ignorer tout ce qu'elle voyait les soirs dans ses songes, mais elle ne pouvait fuir continuellement. passer une vie de cavale pour quelque chose qui ne la quitterait jamais. alors elle l'avait à nouveau appréhendé doucement quémandant pardon à sa mère pour tant d'année de fuite et de faiblesse.
les derniers flocons de la journée s'écrasent contre les monts Taebaek pour célébrer la naissance de Astréa.
des cris percent le silence de la nuit et les premiers rêves prémonitoires , ou cauchemars, font leur apparition.
premier rêve aux allures de prémonitions qu'Astréa raconte à sa mère au petit matin qui comprend le don qui possède sa fille. elle décide donc de l'aider autant qu'elle pourra à le maîtriser en lui demandant de lui raconter chacun de ses rêves et cauchemars. elle viendra même à lui partager sa passion pour les astres.
les rêves se font plus concret, le brouillard s'estompent et Astréa parvient à intercepter la première information de ses rêves prémonitoires : Kang Sooyoung , le prénom de sa mère. silencieuse, elle garde cette information pour elle pensant alors qu'il s'agissait uniquement d'un rêve basique.
en rentrant d'un après-midi sous la neige avec une de ses amies d'enfance, la nouvelle tombe : Sooyoung est morte et Astréa prendra alors conscience de son rêve quelques mois plus tôt et commencera à haïr son don d'ekisha.
premier Noël sans sa mère et Astréa manque de fuguer de chez elle en pleine nuit pour rejoindre la tombe de sa mère. c'est la première fois que son père lèvera la main sur elle.
Astréa reçoit sa lettre d'admission à Mahou , mais sous demande de son père elle fera ses premières années par correspondance à Taebaek.
l'emprise de son père se fait plus importante sur elle.
après des années à demander à son père, la gamine intègre enfin les couloirs de Mahou. pour poursuivre son enseignement.
par passion d'enfant pour les équidés, la gamine rejoint le club d'équitation.
après avoir vue l'image de sa mère dans un de ses rêves, Astréa décide alors de reprendre l'entraînement de son don d'ekisha par mémoire pour sa génitrice et ne souhaitant plus vivre une vie de cavale perdue d'avance.
nouvelle année et Astréa quitte le club d'équitation pour rejoindre celui d'astronomie pour se reconnecter avec sa mère et dans l'optique de reprendre son entraînement d'ekisha qui a évolué.