— devotion

R U MINE,, may 20th
 @Kida Sawada   ♡

Une seconde a suffit à Sora pour perdre de vu Keita, elle avait deux verres à la main, remplis de ce liquide dont elle ne pourrait identifier la composition. Persuader de retrouver son meilleur ami à l’endroit ou elle l’avait laisser. Son regard parcourt la salle, mais rien en vu, roule péniblement des yeux, mais sans pour autant l’envie de continuer à arpenter la fête. Elle sirote alors sa boisson, d’abord écœurante, puis pas si mal que ça, au fur et à mesure de la dégustation. Je suis à la recherche… Du plus jeune Takano ? sa voix est à peine audible, et ce n’est pas comme si quelqu’un l’écoutait. Ses pas la dirigent vers la pièce maîtresse de la soirée : la cuisine. Les gens sont souvent dispatchées en 2 endroits : la cuisine ou le salon, ici, les rumeurs et les messes basses sont rois, et n’importe qui pourrais y trouver sa place. Elle pourrait s’y fondre, rejoindre les on dit, rires aux bruits de couloirs, anxiété soudaine lui prend le coeur, et dévie son chemin vers un couloir parallèle. Stupide Sora. corps percute un autre, renverse l’intégralité du contenu sur sa victime. Oh Merlin, Je… Silence, réalisation, puis large sourire, amusée. Qu’est-ce que tu fais ici ? Je t’ai trempé… Viens là. et elle l’aide à se redresser, l’être aimer. Je vais t’éponger dans la salle de bain, t’es tout collant. un autre rire, elle fait exprès de poser un doigt sur sa joue pour vérifier sa théorie, avant de glousser. Kida, son ange tombé du ciel.

R U MINE,, may 20th
 @Sakurai Sora   ♡

Vie qui s'offre de nouveau à lui quand renaissance sonne ; coeur qui tambourine dans sa poitrine, et tout revient lentement. Pourtant, c'est à la fois différent, parce qu'il ne sera plus jamais le même. A courir après ces femmes dont il oubliait souvent le prénom, même leur visage. Il ne prend même plus la peine de les regarder, maintenant. C'est l'amour, celui qu'il lui porte depuis un an. Mais c'est un peu maudit, un peu cassé, un peu brisé. Mais c'est beau, à la fois fatal. Verre en main, les rires sont des sons qui valsent de lèvres à lèvres, autant que les paroles, voix qui haussent pour se faire entendre dans cette illusion de chaos. Il a lâché les yeux de son ami depuis quelques temps, à la recherche de quelque chose à boire ; il n'est pas bavard ce soir. Comme deux étoiles qui s'entrechoquent, le liquide se renverse sur lui, déjà prêt à cracher une réflexion alors que les yeux s'adoucissent sous le visage de l'aimée. Hey beauty. Rit quelques secondes avant qu'il l'admire, toujours aussi brillante, elle rayonne, toujours plus quand c'est lui qui la regarde. Probablement la même chose que toi. Marlon a eu envie de venir, mais je m'attendais à mieux. Mais heureux de te voir ici. A presque en oublier sa chemise alors qu'il laisse les yeux glisser dessus, hausse les épaules sans même résister. D'accord. Parce qu'il ne refuserait aucun moment avec elle, encore moins entre eux. Alors que sa main trouve la sienne, s'empare de ses doigts pour l'attirer jusque dans la salle de bain, porte qu'il referme avant de s'asseoir contre le rebord de la baignoire. Tu es sublime ce soir, encore. Honnêteté qui a toujours été réelle quand il s'agissait de lui rappeler sa beauté, à quel point il l'a toujours trouvé magnifique. Comment tu trouves la soirée ? Amusante ? La mienne devient soudainement plus intéressante. Sourire qui brise le sérieux habituel de son visage, il n'a pas vraiment bu, il est juste heureux. Vraiment magnifique, comme toujours. Et il ne peut pas s'en empêcher, quand il l'attire avec douceur vers lui pour en embrasser ses lèvres avec tendresse.

R U MINE,, may 20th
 @Kida Sawada   ♡

Coeur attendris par cette rencontre hasardeuse, qui l'eut cru? Elle avait une chance sur un milliard de tomber sur l’être aimé. Sa réaction est presque ridicule, ses joues sont rosées à l’idée de le croiser, il était apprêté, plus que d’habitude, non pas que le bas de pyjama et le tee-shirt trop large ne lui fait pas fondre le coeur, loin de là. Juste qu’apprêter, il était tout aussi séduisant. Arrête de me draguer… Léger gloussement, quand leurs doigts se scellent pour rejoindre la salle de bain la plus proche. Elle imbibe une serviette d’eau et vient éponger les traces collantes sur son visage, prolonge sur son haut, qu’elle éponge comme elle peu. Elle sourit bêtement, peut-être parce que ça ressemble au début d’une mauvaise comédie romantique. Marlon, hein ? Vous êtes venu séduire des premières années ? Pour être sûr que ton fan club est toujours actif ? il l’est, avait-elle envie de dire, fin sourire sur ses lippes. Son cœur ne porte pas celui de Marlon, mais ça ne change rien au fait qu’elle soit reconnaissante de son existence. Sans lui, Kida serait peut-être resté un garçon perdu, sans lui, il serait probablement encore au fond du trou ou elle l’avait laisser pour mort. J’ai perdu Keita en cours de route, il me ment je crois. Il a une aventure avec un garçon en couple. elle avait vu des messages passer, mais n’avait rien osé dire, peut être attendre le bon moment pour que son ami lui en parle. Les mains glissent contre sa nuque, les compliments aussi. Sa peau est toujours aussi attirante, ses yeux d’une douceur sans nom, qu’elle est conquise Sora, à chaque fois que leurs corps entrent en collision. Deux astres lointains qui ne cherchent qu’une chose : l’amour l’un dans l’autre. Et toi ? Tu t’amuses ? Étreinte sucrée qu’elle scelle avec un baiser, puis un autre, et encore un autre, jusqu’à ce que le souffle soit court. T’es encore plus beau que le premier jour ou on s’est vu. Tu te souviens ? Le date avec mes parents ? Le costard trop grand, notre premier baiser dans les escaliers ? Si je n'étais pas sauté, je t’aurais laissé me prendre dans ta voiture. elle glousse, roucoule contre sa peau, avant de s’en détacher et continuer d’astiquer sa tâche. Tu vas refaire un tableau de tes conquêtes avec Marlon ? Vous allez avoir un objectif par mois de nana à sauté ? elle glousse, passe de la tâche à son regard, même pas une question piège, elle se demande juste comment il appréhendait son retour à l’école.

R U MINE,, may 20th
 @Sakurai Sora   ♡

Enfant sauvage au feu qui a longtemps brûlé en lui, parce qu'il y avait toute une rage en lui, Kida, l'incompris, l'enfant sur qui reposait trop d'espoirs quand il ne semblait vouloir en donner aucun. Il voulait juste vivre, qu'on ne l'enchaîne pas, sentir la liberté sous ses doigts. Et peut-être que c'est en lui offrant son coeur, qu'il a trouvé comment se libérer, quand enfin, tout semble plus léger. A pouvoir rire, vivre sans même faire semblant de s'intérieur à tout ce qui l'entoure. Les premières années sont trop jeunes maintenant, tu me prends pour qui? Fausse comédie, quand il en porte ses doigts à ses propres lèvres comme pour en jouer la surprise ! Il a toujours été un grand acteur, jusqu'à ce que le rire brise son sérieux, et il l'admire, laisse ses yeux glisser trop de fois sur son visage qu'il voudrait embrasser pour toujours. T'étais pas genre la présidente de ce fameux fan club? Ca sonne cool, non? Le corps se penche jusqu'à déposer un baiser sur sa joue, parce qu'il n'est tendre qu'avec elle, elle qui connaît tout de lui, arrive à lire en lui comme un livre ouvert. Pas grave. Je peux égoïstement te garder un peu pour moi. peut-être que j'ai fait exprès de me trouver sur ton chemin. Il s'en amuse, car il sait qu'il n'a pas vraiment envie de retourner au coeur de cette soirée sans elle, maintenant qu'elle est là. Hm, c'est pas la soirée de ma vie, je t'avoue. Mais maintenant, elle est bien mieux. Alors qu'il accueille chacun de ses baisers, pour les lui rendre, et tout est sucré avec Sora, tout est mieux, tout est plus doux et coloré. Quand il ferme les yeux et ne voit qu'elle, doigts qui se déposent un instant contre sa joue pour la caresser que que l'étreinte prend fin. Hm... Le poulet de ta mère était délicieux. il rit, passe une main dans ses cheveux, chevelure qu'il a toujours adoré. Tu sais que ce jour là, avant qu'on s'embrasse, j'ai regretté toutes les fois où je t'avais pas assez regardé. Il n'a jamais été doué avec les mensonges avec Sora, parce qu'il sait que ses paroles ne sont que vérité, guidées par les battements de son coeur. J'me foutais que tu veuilles pas coucher avec moi dès la première fois. J'avais juste envie de te découvrir. Nostalgie à en réveiller chaque merveille en lui, passe un bras autour de sa taille, venant la rapprocher contre lui, une nouvelle fois. Non. Je vais être sérieux, et écouter en classe. Je suis un bon gars maintenant. T'y crois toi? Dépose quelques baisers contre ses mains. La seule à qui je veux faire l'amour, tu sais qui c'est. Sourire dans le coin de ses lèvres. Et non, c'est pas la vieille prof de botanique qu'on avait en secondaire. Murmure qui vient briser son sérieux, rire qui l'emporte.

R U MINE,, may 20th
 @Kida Sawada   ♡

Elle rit, Sora, le cœur léger, les joues roses. Elle n’avouera jamais, jeune daichi, qu’elle était bien à la tête de ce projet ! Des banderoles pour l’encourager pour ces devoirs, sa date d’anniversaire qu’elle avait surligner, des mots laisser dans son casier qu’elle récolté, pour le retrouver entre deux cours. Comparé aux autres, elle avait une bonne raison d'en être folle, sakurai, mais elle ne dira rien. Ce serai avoué que ses techniques de drague fonctionne, au lieu de ça, elle répond en haussant les épaules, puis tire sa langue, avant de rire de plus belle. Je ne dirais rien de plus, sans la présence de mon avocat. Le silence est son meilleur allié, pas vrai Kida ? Et puis, je n'ai pas envie que tu sois au courant de tout ce qu’elles font dans ce genre de club. Tu sais, c’est de la sorcellerie pure, on s’échangeait tes mèches de cheveux pour une centaine de gallions ! Mensonge, mais elle en joue, amusée. Son coeur n’avait pas été aussi léger depuis un long moment. Ses mains rejoignent son torse, plongent à coeur joie dans les souvenirs qu'elle peine à oublier. Bien sûr, elle s’en souvient avec exactitude, des mains baladeuse sous la table, des sourires échanger à chaque question posée, il était attirant ce Kida là, joueur, faussement romantique, tailler dans la pierre précieuse d’un amant parfait. Et puis, celui qu’elle a connue après est tout aussi séduisant, pure et brute, comme le plus beau des saphirs. Quand on s’est embrassé dans les escaliers ? Mais tu me regardes tout le temps, tu viens de passer 30 minutes à me reluquer. elle s’offusque, faussement, avant de glousser encore. Tu me regardes quand je dors, quand on déjeune, quand on s’amuse à compter les étoiles, quand on parle de nos enfances, tu me regardes tout le temps… et puis, elle le regarde aussi, tout autant. ses yeux rivés sur ce visage si angélique, qu’elle saisi de ses doigts. Vole un énième baiser, lèvre qu’elle pince légèrement avec ses dents. J’y crois pas un instant à ce Kida studieux… Mais je vais faire genre, pour te faire plaisir. un autre baise, puis un autre, puis ses mains contre sa nuque, le long de son dos, corps qui se cogne aux siens. Faire l’amour, hein ? Encore ? Beurk, madame Togashi… Je suis sure que t’as déjà voulu te la faire... Dans un mal entendu ? rire amusé, son nez se frotte au sien, avant de se défaire (sans aller bien loin), une main qu’elle garde dans la sienne. Viens, on va sur le toit, on compte les étoiles comme on faisait après la chimie. Tu te souviens ? On ne connaissait pas le nom, alors on les renommer... Je me souviens plus de ce qu’on disait, on parle tellement pour ne rien dire. Elle le lève, oui, pour le motivé, pour qu’ils quittent cette pièce pour une autre pièce, mais encore à deux, rien que tous les deux. Et le monde n’a qu’à attendre, tant qu’ils sont ensemble, c’est le plus important.

R U MINE,, may 20th
 @Sakurai Sora   ♡

Je t'aimais hier,
Je t'aime aujourd'hui,
Je t'aimerai demain.

Ô Sora, connais-tu seulement la pureté de ces mots ?

C'était toujours drôle, avant, quand la vie avait pas ce gout de charbon dans le fond de sa gorge, quand il n'y avait pas autant de regrets que de poussière. Il a merdé, une, deux, plusieurs fois, mais quand c'était d'autres filles, il ne s'en occupait pas. Il les regardait à peine, à vrai dire. Mais quand ce fût elle. Quand l'amour a gravé son nom dans sa mémoire, tout a changé. Lui, ses envies, ses ambitions. Et là aussi, il a tout détruit. Il aurait peut-être dû rester celui qu'il était. Ce garçon qui charmait toutes les filles, qui n'avait pas grandes ambitions si ce n'était que de profiter de sa popularité, de ce qu'on lui offrait. Et rire l'emporte, parce qu'à cet instant, il se sent bien. Il se sent toujours bien avec elle. Il est léger, il se dit qu'il a de la chance. Il en a beaucoup, oui. C'est Sora. Sa sora, un peu. Si j'avais su qu'il y avait un tel business sur ma tête, j'en aurais encore plus profité. Merde, c'est peut-être le moment de recommencer ? Que les poumons viennent se gonfler, et que les rires s'extirpent de ses lèvres. Il est heureux, oui, il peut le dire ce soir. Il est heureux que sa boisson se soit renversée sur lui, d'avoir terminé dans cette salle de bain, de l'entendre rire, parler, la regarder sourire. J'ai pas le droit ? J'adore te regarder, tu sais. Tu es belle, si belle. Je t'admire tellement, je pourrais jamais me lasser de toi. Il y a des baisers qui volent entre eux, il y a un peu d'amour sans qu'on se le dise. Et parfois, les sentiments n'ont pas besoin d'être prononcés. Ils savent, il le sait, Kida. Elle le sait, Sora. Ca me touche beaucoup si tu fais un peu semblant d'y croire, alors je vais faire un peu semblant d'être studieux. On sera de très bon acteurs plus tard. Et il rit encore, ne la laisse jamais réellement s'échapper. T'es malade... Quoi que... Clin d'oeil rapidement lancé alors que le sourire se loge dans le coin de ses lèvres. L'ancien Kida serait malade de les voir ainsi, l'ado qui en avait rien à faire du monde, des autres, ne pensait qu'à sa petite gueule de Sawada. Allez. Et on va encore les renommer, parce que je t'avoue, je connais toujours pas leur foutu nom. Il se laisse attiré, se relève sans lâcher sa main. Et il l'entraine ! Comme dans une course folle, à la poursuite du monde et de leurs rêves. Il monte les escaliers, rapidement sans aller trop vite, parce qu'il ne veut pas la perdre, mais il rit, court un peu, comme s'ils avaient de nouveau 15 ans. Comme si le monde leur appartenait. Et le coeur bat fort, fort quant il pousse d'une main la porte du toit, et laisse l'air contraster avec sa peau chaude. Ca fait du bien. Il marche un peu, lève les yeux vers les cieux avant de les reposer sur elle. Tu as froid ? Et sans en attendre sa réponse, il l'accueil dans ses bras, vient la serrer contre sa poitrine, jamais trop fort, il aurait trop peur de la briser. Et comme ça, je peux te garder pour moi. Mais je te partage un peu avec les étoiles, même si tu es la plus belle de toutes. Il se veut toujours un peu charmeur ; mais ses paroles sont toujours réelles pour elle. On en avait pas appelé une avec nos noms mélangés... Genre... Soda? C'était giga drôle quand on avait fait ça. Un peu bête, mais je me souviens que j'avais eu un fou rire, je pouvais même plus respirer. On est trop bêtes.
Mais avec toi, tout est plus beau ;
Quand les enfances brillent de nouveau.

R U MINE,, may 20th
 @Kida Sawada   ♡

Leur pas se succède à vive allure dans les escaliers, slalome entre les corps en transe, et les verres qui se redressent à leur arriver. Deux adolescents, au cœur battant, qui jadis ne faisait qu’un. Le même rire, le même souffle court, le même rythme cardiaque, sous la même lune, les mêmes étoiles. Elle rit, Sora, d’un rire sincère, ses joues sont rosé, peut être par la chaleur que la course-poursuite vers le bonheur avait emporter avec lui, ou juste l’idée de n’être que tous les deux. Ils ne sont plus tous les deux, ils sont deux être différents, il y à lui et il y a elle. Le goût de leur amour flottait entre au-dessus d’eux, mais nous n’existait plus, depuis presque une année entière. Ils sont méga riche, t’as vu la taille du toit ? C’est trois fois la maison de mes grands-parents. Elle s’avance au rebord, sans pour autant se mettre en danger, laisse la nuit l’enivrer un instant. Les joues s’empourprent d’un autre rouge, plus hiverner, bercer par le vent de la nuit qui les entoure. Ses épaules sont protégées, soudainement, elle laisse échapper un gloussement, suivi d’un large sourire. Depuis quand tu es aussi romantique ? Elle s’en fiche des étoiles, Sora, son corps se retourne entièrement, se glissant contre la chemise à l’odeur de vodka, ses doigts prennent en otage les hanches du garçon, pressant ses paumes contre ses poignets d’amour. Sa tête, elle, est nichée contre son torse, hauteur parfait pour entendre son coeur tambouriner dans son abdomen. Tu es en bonne santé apparemment. - dit elle dans un rire, son visage se décolle ensuite, pour l’admirer, ou peut être voler un baiser, personne ne le saura jamais. - Tu devrais venir faire un bilan de santé à l’hôpital, juste histoire qu’on se dise que tout va bien. En plus, t’as arrêté progressivement de fumer, enfin, j’espère que ce n’est pas qu’une tactique de drague pour me récupérer. Car c’est un séducteur hors du commun, Kida, sinon, elle ne serai pas tomber pour lui, elle aurait continué à marcher à ses côtés sans se laisser amadouer. C’est la veste en cuir, avait-elle dit le premier soir, ou juste la douceur des mots qu’ils utilisent.  Oh soda ! Ce sont nos deux nos mélanger, je l’ai écrit sur ton frigo avec des magnets ! Aussi, parce que j’adore le sprite, mais rien avoir. Qui a eu cette idée ? On n'a qu’à en trouver une nouvelle et l’appeler encore comme ça ? elle se retourne, cherche du regard quelle étoile serai parfaite pour être la leur. à eux deux, leur étoile. c’est étrange comme penser, elle n’a jamais eu la sensation de pouvoir posséder quelque chose avant d’être avec kida, bien sûr, sora n’est pas dans la toxicité de posséder une personne, mais au fur et à mesure de la relation, les choses qui leur appartiennent à tous les deux se multiplier. Leur étoile, leur erreur, leur enfant, leur retrouvaille, leur baiser échanger dans la pénombre, leur, je t’aime qui siffle entre deux caressent. Tout ça leur appartient, finalement, étaient-ils encore deux entités bien distinctes ? Sora, n’avait-elle pas choisi d’être un nous, à la minute même ou ils ont partagé un bout de vie ensemble ?

Le ciel est si immense qu’on s’y perd, étendue d’astre lumineux qui ne demande qu’à être choisi. Pourtant, Sora attire son attention sur une bien loin, moins imposante que les autres, mais d’un potentiel monstre. Celle-ci ? Elle lève le doigt à la hauteur des yeux de Kida. - Elle a l’air faible, mais je sens qu’elle peut nous surprendre. un peu comme toi et moi ?

R U MINE,, may 20th
 @Sakurai Sora   ♡

Ils ressemblent à des enfants, à courir dans les escaliers comme dans les couloirs autrefois. Comme un jeu, celui du chat et de la souris. Est ce que ça n'a pas toujours été comme ça ? L'un pourchasse l'autre jusqu'à l'avoir, le serrer dans ses bras comme le bijou le plus précieux de l'univers. Puis l'un s'échappe, et la course recommence, jusqu'à ce qu'ils trébuchent sur leur coeur. Jusqu'à ce qu'on prononce des mots inavoués jusque là. Les gestes sont des paroles que l'on a encore peur de prononcer. Les regards sont des baisers, quand les lèvres ne se frôlent pas. Des baisers qui glissent sur l'âme entière, jusqu'à en toucher les étoiles. Tu parles. Je pourrais avoir un maison qui fait 2 fois celle ci. Fierté qui crache, cogne, on le reconnaît bien là, le Sawada aux ambitions brûlantes, à l'égo à en cracher son venin. Pourtant, il n'a jamais été réellement mauvais, il a simplement toujours eu ce besoin de plus, de grandeur, folie qui emporte. Son corps qui le sien comme pour s'assurer qu'elle n'ira pas plus loin, et il le sait, au fond, mais si elle sautait, alors il ferait tout pour la suivre, aveuglement, sans avoir peur de la fin. Moi ? Romantique ? Hm... Je ne sais pas. J'ai pris exemple sur toi, avec le temps, je suppose que c'est devenu un peu plus naturel. Parce que tu as une façon d'aimer les gens si belle et particulière. Un sourire sur les lèvres quand il vient lui voler un baiser, innocent, comme des enfants, comme des adolescents qui se voient secrètement après les cours le vendredi après midi. Il sent la chaleur revenir dans ses bras, quand il entoure son corps contre le sien, et que ses yeux se ferment un instant, sourire qui ne cesse de l'illuminer ce soir. Ah? Il rit un peu alors que ses yeux se rouvrent pour rencontrer son regard, dériver avec douceur sur ses lèvres, une main passe dans ses cheveux pour dégager un peu plus son visage. Un baiser sur sa joue gauche, puis droite, un sur son front, le dernier sur ses précieuses lèvres. Elles ont un gout sucré, le gout de l'amour, avec l'acidité des regrets. Je viendrai alors. Et qui sait ? Je me dis que si je sens plus cette vieille clope à la cerise, tu voudras un peu plus de moi... Je rigole, mais imagine quand même. Il rit, parce qu'il n'est pas sérieux, il ne veut pas l'être ce soir. Il veut simplement se sentir un peu plus léger, un peu plus lui même. Parce que ça fait longtemps, et qu'il a besoin de respirer. Ok, deal. Alors, comme mécanisme naturel, il l'imite, lève la tête vers les cieux à la recherche d'une étoile. Pas n'importe laquelle. Celle qui leur ressemble. Car il n'y a certainement rien de plus qu'une supernova en explosion pour les représenter. Calme, mais à la fois effrayante. Brillante, et à la fois destructrice.
Ses yeux finissent par suivre son regard, alors qu'il plisse un peu les paupières pour l'apercevoir. Elle est plus loin, un peu plus faible, et pourtant, elle est là. Comme elle, comme lui. Comme eux. Vraiment ? Pourquoi ? Parce qu'il veut entendre la réponse à sa question de ses lèvres. Même s'il pense savoir pourquoi. Un doigt se glisse sous son menton pour relever son visage, planter ses yeux dans le sien. Tu es fascinante. Il laisse le calme s'emparer des coeurs un instant, il laisse les doutes planer au dessus d'eux quelques secondes. J'ai jamais réellement su pourquoi. Je crois que c'est un tout. Tu rends ce genre de moment spécial. C'est pas grand chose, mais avec toi c'est grandiose. Le sourire s'étire, énième baiser volé. Quel genre de sortilège tu as pu me lancer, petite sorcière ? Joue pincée avec douceur, avec amour, quand il couvre sa jumelle de nouveaux baisers sauvages.
Qu'importe le sort dont il est maudit ;
Il ne viendra jamais se débattre.