TC; ❝ jour de la foudre

résumé:

c'est vêtue de son plus beau yukata ( tenue ) que nana s'avance parmi la foule. le jour de la foudre est l'un de ses évènements préférés. c'est avec des étoiles dans les yeux qu'elle observe les décorations et les montures au loin. c'est à peine si elle parvient à se contenir à l'idée de découvrir de ses propres yeux tout ce qui a été préparé par sa maison. lorsque que andrea émerge enfin, elle s'empare de sa main pour le mener vers un dragon. choix qui lui conviendra sûrement. ses doigts effleurent le métal enchanté, activant ainsi l'enchantement. tout sourire, la jung monte en amazone devant, impatiente de démarrer le parcours. « dépêche toi de monter sinon je pars sans toi. » elle lui lance un clin d'oeil amusé avant de l'aider à gravir le dragon. lorsque la monture se met à avancer, nana tourne légèrement la tête vers son ami. « joli yukata. » son attention est très vite happée par le chemin arc-en-ciel qui approche. elle s'empare de sa baguette et murmure un lumos lorsque le dragon s'engage dans le tunnel. les lumières virent au rose sans trop de surprise. nana range sa baguette dans la ceinture de sa tenue. elle se retourne vers andrea, curieuse de voir s'il a lui aussi lancer le sort.

Nombre aléatoire (1,3) : 2

c'est probablement l'un des évènements qui lui a le plus manqué au cours de ces trois dernières années. jamais zaria n'a-t-elle été déçue par le jour de la foudre, évènement annuel fait de lumière et de couleurs, unique soirée au cours de laquelle elle accepte volontiers de ne pas être l'étoile qui brille le plus. c'est toutefois avec le plus grand soin (( et dès l'année précédente )) que zee avait fait préparer sur mesure son yukata. noir, serti de fleurs de cerisier brodées à la main, c'est à un des meilleurs couturiers sorcier du pays qu'elle avait fait une requête spéciale, insufflant un brin de magie à sa tenue. remontant le long du tissu sombre, des nervures dorées pulsent, brillent, éclairs plus vrais que nature, viennent scintiller aléatoirement le long des courbes de la sirène, le long de ses jambes, de ses hanches, remonte jusque la nuque dégagée de ses mèches, longueur brune remontée en chignon indiscipliné, coiffure rebelle. et elle est belle, zaria, insolente sur la créature magique qu'elle a choisi de dompter ce soir ;; a y a k a s h i qu'elle effleure, du bout des doigts, active le charme qui l'anime, monstre marin troublant de réalisme. et c'est un gigantesque pied de nez qu'elle fait aux autres, zee, en chevauchant la créature même pour laquelle on l'a persécutée jusqu'au pire. pourtant ce sont ses doigts tremblants qu'elle serre autour de la monture, assurance feinte de la menteuse qui parcoure les alentours du regard, cherche un potentiel visage familier, mais n'en voit pas. c'est alors sa baguette qu'elle brandit, la danseuse, prononce un lumos qu'elle veut assuré lorsque l'ayakashi enchanté s'engage sur le chemin arc-en-ciel. et ce sont les bulles qui tourbillonnent, illuminent un regard trop éteint ces derniers mois, teintées d'un bleu mélancolique. bleu chagrin.

Nombre aléatoire (1,3) : 3

plaisir d'être de retour dans la maison de toute sa vie. les denki, comme une part de lui mise de côté pendant deux longues années. yuji se sent un peu étrange à l'idée de prendre part aux festivités mais qui ne renoncera pas pour autant. conversations rythmées autour de l'événement, certains visages qu'il voudrait croiser. yuji, il essaie pourtant de ne pas trop y penser. c'est vain d'espérer plus que ce qu'il peut avoir. yukata porté avec fierté, des couleurs qu'il aime. bleu sombre mais pas trop, avec quelques dessins dorés. hésitation quant à la monture magique mais il finit par poser sa main sur un oiseau tonnerre. corps qui se hisse sur celui-ci avant que la créature ne s'élance. vue sublime, le chemin arc en ciel au loin. lumière majestueuse et un lumos qu'il lance, après l'avoir murmuré. les bulles de lumières semblent se réveiller, ou du moins continuer à le faire. la couleur arrive à le surprendre. elles se teintent un rouge vibrant, plus attrayant qu'il ne l'aurait pensé. et yuji, il prend plaisir à regarder le spectacle même si ce n'est que le commencement. solitude éphémère puisque les gens qu'il connait apparaîtront sûrement au fil de la soirée. ponctualité trop grande, à moins que ce ne soit l'excitation liée au festival. orbes émerveillées.

Nombre aléatoire (1,3) : 2

Lui qui a campé dans Nagao toute la semaine pour préparer l’événement, ne peut contenir son excitation ; ils ont si durement travaillé. Jojo n’a pas eu le temps de retourner chez lui mettre son yukata et pourtant Granny avait sorti l’un des préférés de son feu jisan. Quelle impression glauque de porter les vêtements d’un homme décédé qu’il n’a jamais connu et dont pourtant il doit remercier la vie. Il est reconnaissant de son agenda trop hectique de ne l’avoir jamais rappelé de retourner à la maison. Il rôdait dans ses habits les plus classiques (jean, tshirt et une paire de sneakers à ses pieds) – c’était pour le meilleur au final, car la marche s’annonçait fastidieuse. Il n’avait pas non plus pensé à faire des plans ou à inviter quelqu’un à la balade. Le quartier étant le sien, celui qui lui traine à la peau tous les soirs enivrants, il finirait par ameuter de la compagnie autour de lui. Ou à terminer sous une nuit solitaire complètement déchiré comme ça lui arrivait souvent. A son tour, il tente un lumos prononcé de vive voix avec sa baguette car la magie informulée du Japon lui fait encore défaut et il admire le paysage qui se révèle sous ses yeux trop cyniques pour en apprécier la beauté. Les lumières éblouissantes l’accueillent à l’entrée et il se demande un instant si la maison n’en a pas trop fait. Il aurait dû préciser d’apporter des lunettes de soleil dans l’invitation... Tenant fermement une bouteille d’eau dans la main, il marche très longuement à la recherche d’un banc (et il se réjouit à l’idée d’être appelé un feignant à cette exposition sans fin)

Nombre aléatoire (1,3) : 1

[outfit] « nyanyanyadepechetoisinonjeparssanstoi ça va ça va …miss impatiente » il finit de prendre une selfie près de la monture, vêtu d’une tenue qu’il avait fait faire sur mesure, expressément pour la soirée. « Merci merci…je l’ai fait exprès pour que tu me trouves beau dedans, sympa ta tenue aussi, ça donnerait presque envie de revenir à l’époque» clin d’œil adressé à la guitariste alors qu’il se tient près d’elle.  Les Denki étaient toujours doués pour pratiquer de bons jeux de lumières. Faut dire que c’était dans leurs cordes et qu’en tant que maison soudée ils savaient comment rendre le tout agréable. Assez pour que tout le monde vienne jeter un coup d’œil pour ce jour de fête. All Hail Denki. Andrea en connaissait une tripotée ! Des potes, des ex, des moins bons potes, des co-équipiers. La seule chose qu’ils avaient tous en communs, c’est qu’ils savaient clairement mettre l’ambiance.  Et cette fête serait une raison de plus pour s’amuser auprès de toutes ces personnes, avant que la rentrée ne commence. Car, soyons honnêtes, personne ne voulait supporter ce deuxième semestre.

Une fois engagé dans le tunnel, Andrea met un certain temps à réaliser qu’il peut lui aussi lancer un sort, préférant admirer les sorts lancés par son amie, mais aussi par ceux qui les précèdent. « Wow ! Attend j’essaye ! » Le gamin dégaine sa baguette et lance un Lumos dont l’intensité est particulièrement mémorable. Et soudain, une nuée de rouge apparait, englobant les autres couleurs le temps de quelques secondes avant d'être nuancé, dans un dégradé, laissant place aux traces des autres participants. Andrea, toujours là pour montrer la présence des kasaï. Il offre un sourire à Nana puis range sa baguette. «ALORS KASAI OU PAS KASAI ! » crie-t-il avant de lancer un second sort avec sa baguette pour faire apparaitre des papillons au-dessus de la tête de Nana.

Nombre aléatoire (1,3) : 3

réussi : les papillons de couleur rouge et or virevoltent près de Nana, puis volent un peu n'importe où dans le tunnel, avant que l'un d'eux ne viennent se poser dans ses cheveux, telle une décoration

echec: le sort fail, un pauvre papillon sort de la baguette mais vient mourir instantanément, s'évaporant aussi vite qu'il n'est arrivé

Il y a de ces évènements qui ne méritent simplement pas qu’Arabella se donne le mal. Parce qu’elle a déjà trop à faire, parce qu’elle n’a pas envie de se retrouver au milieu d’étudiants incapables de se tenir. Mais cette célébration de la maison de la foudre semble avoir plus d’importance que d’autres. En raison de la taille de l’évènement en lui-même, peut-être. Parce que la Hawkins se découvre quelque chose d’une âme familiale. Alors elle a trouvé un yukata, en a fait quelque chose de moins ennuyeux – de moins traditionnel. Ses cheveux attachés en deux chignons au sommet de son crâne, elle se laisse porter dans la foule, ses talons la poussant à surpasser le reste du monde. Reyn ne répond pas à ses messages, Julian non plus, alors elle râle, elle lève les yeux au ciel, déjà fatiguée que la nuit qui s’annonce. Non loin, reconnaissant la silhouette d’un ami de son frère, elle ne peut s’empêcher de lever un sourcil. « Jones, » qu’elle lance en faisant quelques pas vers lui. « T’as raté ton propre mémo ou quoi ? » Le regard posé sur la tenue du Denki est rempli de ce jugement qu’elle connait si bien. « C’pas avec ça que vous allez battre les Kasai cette année. » Dans le coin de son regard, elle reconnait une silhouette qu’elle connait malheureusement trop bien. « Apprend à lire, Jones, au lieu d’avoir l’air d’un bouffon pendant ta propre soirée. » Un volte-face plus tard et elle attire l’attention de celui que l’univers a choisi comme son frère. « T’as filé tes fringues de merde à ton pote pour ce soir ou bien ? » Une cigarette à la fumée fruitée prend place entre ses lèvres. « Il m’fait honte et je suis même pas dans votre maison de merde. »

OUTFIT -- Freddie fait sa bitch avec @JP Jones et @Reyn Hawkins pour des raisons évidentes.

Jour de la Foudre
turn me on with your electric feel

— outfit —
La semaine avait été particulièrement chargée pour les deux préfets qui pouvaient enfin souffler. Après avoir terminé sa part au QG, Reyn avait emprunté la tyrolienne pour retrouver sa chambre dans le dortoir de la Lune. Juste de quoi prendre une douche rapide et enfiler le yukata offert par Vicky afin de retrouver le reste de ses camarades. Jusqu’à ce que son téléphone sonne et qu’il ne soit forcé de faire un détour chez la grand-mère de JP afin de récupérer sa tenue pour lui. Cette dernière s’était même assurée de bien renouer sa ceinture aux motifs éclairs au passage, rectifiant son yukata là où c’était nécessaire afin que la coupe tombe correctement sur sa silhouette. Après lui avoir promis de retrouver son petit-fils pour s’assurer qu’il soit paré de ses plus beaux atours, c’était en quête de ce dernier qu’Hawkins était finalement parti.

De retour à Nagao, le denki se perd dans la foule, adressant des salutations çà et là aux connaissances croisées en chemin. « Looking good Davis! Et je parle même pas de toi Nana! » Signe de tête à Yuji, perché sur un oiseau-tonnerre. L’ascension commençait déjà pour les montures en tête de cortège et Reyn ne peut s’empêcher de guetter les choix restants, tout en cherchant JP des yeux. C’est pourtant les traits familiers d’Arabella qui attirent ses iris et elle semble le capter au même moment, attirant son attention avant qu’il ne puisse se cacher derrière un passant pour l’éviter. « Coming from someone looking like she just got out of a bath, offense none taken. » Sourire forcé et regard lourd de sens, il tente de se dégager pour rejoindre son ami mais Freddie trouve bon genre d’insulter sa maison. Wrong move.  « Why you here then? If our house’s that shitty? » Qu’il demande avant de lui arracher sa cigarette pour s’éclipser. C’est sur cette dernière qu’il tire avant de lui offrir son plus beau majeur en guise d’adieu. « See ya later sister dearest.. » Beuglé pour la politesse.

Arrivé à hauteur de Jones, il claque des doigts devant son visage pour le sortir de ses pensées. Granny called, I had to fetch your yukata dude. Not cool, put that ‘ish on so I can stay true to my promise to her. » Ordonné tandis qu’il fait barrière de son corps pour empêcher les yeux curieux de profiter du corps dénudé de l’athlète. Il profite de l’interlude pour lancer un accio et récupérer un balai qu’il tend au poursuiveur une fois sa tenue enfilée. « Stop brooding like a hobo on a bench and pull yourself together. You’re giving my sister excuses to bitch around and Merlin knows we’ve got better shit to do than deal with that. » S’il ne voulait pas monter sur une créature, il pourrait au moins participer au parcours en volant en solo. « Alright, gotta find Oz, we’ll catch up at the GQ. Go mingle with the others stupid, don't stay here alone waiting for Merlin knows what. » Une tape dans le dos plus tard, le voilà qui fait volte-face pour partir en quête de Berlioz et Meruem comme il aurait dû le faire une trentaine de minutes plus tôt.

résumé a écrit:Après avoir été récupérer le yukata de JP chez sa grand-mère, Reyn croise quelques camarades. Il complimente les tenues de @Andrea Davis et @Nana Jung, salue @Yuji Imai et tombe sur sa soeur, @Arabella Hawkins, qu'il remet en place avant de rejoindre @JP Jones. Après avoir aidé ce dernier à s'habiller et lui avoir mis un balai entre les mains, il part à la recherche de @Berlioz Savage et @Meruem Savage.

HS : je me suis permise de faire des dialogues en anglais vu que c'est dans cette langue qu'il s'adresse aux concernés, d'où l'italique   tapez-moi si vous préférez que je switch au français  

Jour de la Foudre
turn me on with your electric feel

— outfit —
«there's no future for us anyway ;;
la phrase le hante tandis qu'il se prépare, réminiscence d'un passé pas si lointain, à l'idée duquel il sent se serrer un nœud d'inquiétude au creux de sa gorge. il l'a dégluti de son mieux au cours de la semaine écoulée, tentant vainement de sembler serein sans pour autant parvenir à duper reyn. mais il ne sait pas masquer ses sentiments, berlioz, et le jour de la foudre est chargé, pour leur couple, de souvenirs amers dont ils s'appliquent tacitement à ne pas reparler ((il a l'espoir de voir celui-ci en gommer jusqu'à la dernière trace)) durant les rares moments où ils parviennent à se voir.

il s'est pourtant montré aussi enthousiaste que possible, décidé à se prêter au jeu en guise de soutien pour les efforts monumentaux auxquels se sont adonnés les denki et leurs préfets pour l'occasion. son yukata a vu de meilleurs jours, représentatif du minimum d'efforts qu'accorde oz à son look, mais il a le mérite de respecter le thème. la lune des enfants de la foudre éclipse l'astre nocturne, mais c'est au niveau des jardins portant la signature d'earthbenders qu'il se réfugie comme à son habitude : c'est le point de rendez-vous que reyn et lui se sont fixé, pourtant le temps s'étire indéfiniment sans qu'il ne perçoive trace de celui-ci. sa mine est petty lorsque apparaissent enfin les boucles brunes dans son champ de vision — mais le souffle lui manque à la vue de l'ensemble que porte reyn. you look amazing, il ne peut s'empêcher de commenter, pris de court, avant de se reprendre rapidement, and you're like, super late. that's rude. sa lippe affaissée de mécontentement ne se détend en ébauche de sourire qu'une fois gratifiée d'un long baiser. c'est un peu étrange de s'affirmer ainsi en public : ils ont été presque perpétuellement ensemble ces derniers temps, mais plus souvent en petit comité. who forced that upon you ? i've got to thank them. il ne doute même pas que reyn ait été habillé par… n'importe qui d'autre que lui-même. des montures décollent déjà, le ramenant à l'objectif de la soirée. did you see the others ? il songe enfin à se mettre en quête du petit groupe avec lequel ils ont prévu d'effectuer le trajet, non sans glisser une main possessive au creux de la paume de son boyfriend.

résumé a écrit:oz… arrive and that's it
il attend @reyn hawkins qui a 30 minutes de retard waouh l'audace
et ensuite il commence à chercher les potes avec lesquels ils ont prévu de faire le trajet