i was never ready for you to leave,,

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Le palpitant cogne si fort contre les parois de sa cage qu’elle a l’impression que le monde peut l’entendre. et cette simple sensation lui est désagréable. elle redresse fièrement la tête, refuse de se montrer si vulnérable tandis qu’elle se plaît à revêtir ce masque d’indifférence et de force au quotidien. les pupilles se dilatent sous la chaleur des émotions. la nuque roule et le cou craque sous la tension qui l’habite. les doigts tremblent, font tomber le portable dans un bruit sourd sur la table d’étude. la mâchoire se serre, à retenir les mots cinglants qui remontent comme de l’acide. [ what is your problem ? ] le souffle se meurt à la lisière de ses pulpes. elle ne comprend pas adora. elle ne comprend pas et ça l’énerve, ça la bouffe, ça lui donne mal à la tête. les paupières se ferment un instant, font voile sur cette réalité pendant que l’écran s’éteint sur les messages échangés. la tension est palpable, coule en ses sillons comme un poison; la colère gronde, se mélange à l’incompréhension. c’est une bien mauvaise solution lorsqu’elle se fait ressentir par la nomura. c’est décidée et en quête de réponses, qu’elle délaisse cette heure précieuse pour ses révisions, attrape ses affaires et file dans l’espoir de mettre au clair cette situation.

quel est le problème ?

les pensées ne sont que des ébauches de peintures sombres; les questions bourgeonnent comme de la mauvaise herbe - les réponses ne sont qu’inconnues à ses yeux. un ballet infernal de et si et de pourquoi. parce qu’elle ne comprend pas la véhémence qui semble habiter rose, cette façon qu’elle a eue de s’exprimer. les années se sont écoulées depuis leur dernier échange, lorsque l’amitié s’est brisée en trois morceaux. n’avait-elle pas avancé comme l’avait cru adora ?

[ et si ]

sac à l’épaule, la gamine avale les mètres jusqu’à ce lieu de rendez-vous. le cœur chantant l’inconfort. et si elle semblait déterminée à avoir la vérité, c’est la peur qui enserre le le. celle de ne pas entendre ce qu’elle désire. c’est une peur insatiable. à se figer en pleine ascension. les doigts qui se serrent autour de la hanse de son sac, le regard qui s’abaisse sur le sol. est-ce une bonne idée ? les poumons se gonflent trop rapidement d’air; elle panique adora. la main qui glisse en ses veines. c’est une terrible sensation bien profonde qui fait trembler l’âme alors qu’elle reprend le chemin, le pas hésitant jusqu’à voir sa silhouette au loin. le masque se fissure et c’est sous ses yeux qu’elle se présente. « rose »  

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Les reminiscences de l'abandon soulèvent son coeur et le broient si fort que ça résonne jusque dans son estomac. la gosse triture nerveusement ses doigts en quête d'un peu de paix intérieure. en vain. le souffle est lourd et l'attente beaucoup trop longue alors qu'elle aimerait déguépir, loin, si loin et éteindre son téléphone pour qu'adora ne puisse plus jamais la joindre. une part d'elle est presque impatiente de la revoir face à elle, elle qui n'a pas choisi de la quitter, elle qui est restée avec les rancoeurs de ses deux meilleures amies sur le coeur pendant de longues années. et l'autre qui aimerait tout foutre en l'air, refuser de lui parler, refuser de l'écouter quand la ligne de l'impardonnable a été franchie.

et que dirait la gamine de quinze ans en les voyant maintenant?
peut-être qu'elle serait heureuse de pouvoir s'expliquer.
peut-être qu'elle aussi aurait préféré partir en courant.

elle la voit arriver de sa démarche inchangée, assurée, presque féline et rose se sent toute petite, si petite et si frêle à ses côtés. adora est tout ce qu'elle n'est pas et elle se souvient soudainement tout ce qu'elle a toujours aimé chez elle, silencieusement, le coeur gonflé de colère et d'amour passé. et déjà, dès qu'elle prend la parole, elle se souvient pourquoi elles sont là, à se faire face. "yeah that's me." l'ironie frappe sa langue. "you wanted to talk?" qu'elle amorce, impatiente que ce dialogue se termine déjà, elle qui n'a jamais vraiment eu peur de foutre les pieds dans le plat ou d'élever la voix, elle a la poitrine qui se gonfle de courage pour ne pas se sentir déstabilisée. "i'm ready to listen." elle n'en est pas totalement certaine, rose, d'être prête à avoir cette discussion mais il est trop tard, elle ne peut plus faire marche arrière.

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Les poumons se gonflent d’une bouffée d’air aux effluves d’un parfum oublié lorsqu’elle se tient face à elle. rose est belle, rose est piquante - petit bout de femme sous le regard froid, et adora, elle n’apporte avec elle aucune chaleur. le prénom roule sur la langue comme un de ces prénoms interdit. le palpitant se contracte à la simple idée de la voir face à elle; visiblement mal à l’aise et pressée d’en finir au vu du ton employé à son égard. aucune surprise. le sourcil se relève, inquisitrice quand la tonalité est donnée - et si la savage se veut insolente, c’est une tempête qu’elle récoltera. pourtant, c’est le silence qui prend place, les prunelles qui se dilatent - les mots volés par une raison apeurée. mais, très vite, c’est un ricanement las qui s’échappe de ses lèvres. les doigts qui courent dans la chevelure tandis que le bout du nez se fronce. signe d’une nervosité déjà piquée à vive. prête à parler dit-elle, ce n’est pourtant pas l’impression qu’elle donne depuis tout ce temps, surtout pas après les messages reçus. les bras se croisent contre la poitrine; impossible de savoir si c’est pour retenir ce coeur peureux ou pour se donner bonne figure. un peu des deux, sûrement. ❝ funny c’est un ronronnement rauque, à peine murmuré avant de redresser les épaules. tourner la tête en sa direction, le regard qui court le long de sa silhouette avant de faire claquer ses mots dans l’air. ❝ what’s your problem with me ? [ pourquoi tu m’en veux ] les traits sont tirés par cette colère sourde; cette colère gardée depuis tout ce temps qui ne demande qu’à être offerte dans l’espoir d’exploser. ❝ what did you say to ruem ? le ton est froid - porteur d’une rancoeur bien précise. parce qu’aux yeux de la nomura, rose n’avait rien à dire sur la relation qu’elle entretenait avec son frère; elles n’étaient que des meilleures amies. anciennes meilleures amies; elles n’étaient même pas ennemies.  

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Délaissée il y a déjà plusieurs années, les choix de celles qui ont préféré tout à elle ont gravé sa langue d’un goût amer qui se réveille face à l’attitude d’adora. la frustration tente d’être canalisée à l’entente de ses questions, comment ne peut-elle pas comprendre? comment ne peut-elle pas saisir là où est le problème? alors la mâchoire se serre en harmonie avec ses poings cachés par les manches de sa veste qui ne sont pas retroussées aujourd’hui. rose s’essaie au self-control, ne veut pas crier devant les autres étudiants qui ne font que passer autour d’elles ; ancienne habitude de se faire discrète auprès de la kaze. la déglutition est presque douloureuse tant chaque parcelle de muscle est tendue sous sa peau, elle ne sait plus par où commencer la gamine, ébranlée par l’incompréhension qu’adora tente de feindre sur le fait accompli. “what’s my-” problem with you? qu’elle ne réussit pas à énoncer totalement, prise par un rire ironique assourdi par la colère qui bourdonne encore et encore plus fort. “i only told him the truth.” celle qu’elle a toujours essayé d’étouffer, celle qu’elle a piétinée sans remords, celle qu’elle a oubliée jusqu’à la faire douter que tout ce qui s’est passé entre elles a bel et bien existé. “you fucked with my brother but you’re the one who’s mad right now? that is funny. but not surprising after all. who’s next though? oz? peach? keita maybe?” le visage se fend d’une consternation qu’elle n’arrive pas à cacher, le passif-agressif en self-défense écorche la volonté de dialogue ((si un jour il y en a réellement eu une)) et rose est sur le point d’éclater. “actually maybe i’m the fool and nothing really mattered to you and i have to say, my brother is a good catch but wow i wasn’t expecting this.” prise puis jetée, oubliée pour la retrouver dans les bras de celui qui partage son sang - après tout, c’est peut-être elle le problème, elle qui s’imagine et espère plus, toujours plus que ce qu’on sait lui donner, elle qui s’accroche à l’impossible et tombe toujours de plus haut quand rien ne finit comme elle le voudrait.

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C’est en toute subtilité que le menton se relève; elle gonflée d’égo et de fierté mal placée. que le regard s’abaisse sur l’ancienne compagnie de route, presque hautain - les prunelles sont dilatées sous la colère grondante. [ prête à exploser ] lèvres pincées, à réprimer les mots venins. elle attend; le sourcil qui s’arque sous l’expression de rose. touchée, piquée à vive. elle s’emporte en des mots, des explications - des accusations qu’elle ne comprend pas très bien. la mâchoire qui se contracte lorsque les mots supposent. à serrer ses bras contre sa poitrine, tente de garder son calme quand elle est littéralement entrain de se faire insulter. ❝ what the fuck savage qu’elle gronde dans un murmure. et si elle était venue pacifiquement; il en est trop pour elle. le coeur bat comme la minuterie d’une bombe. ❝ oh no, slow down, you’re not gonna insult me like that la voix tremble sous la pression. les poumons qui se gonflent. liquide carmin qui bouillonne en ses veines. ❝ so what, what’s the deal in that ? yeah, we fucked so what ? it’s not your problem what i do or not qu’elle grogne. elle ne voit pas le problème adora. les mains qui se serrent autour de ses bras. les oreilles qui bourdonnent. ❝ the fuck, i’m not gonna fuck your family, i’m not a whore. le pas qui se fait, s’avance. elle respire fort adora - parce qu’elle ne comprend pas. elle ne comprend pas le comportement de rose, elle ne comprend pas pourquoi elle est autant affectée. ❝ stop that, i don’t get you rose. what the truth hm ? qu’elle quémande; la voix presque tremblante. comme un appel à l’aide dans cette tourmente. ❝ what the fucking truth !! à se foutre du regard des autres, des possibles commérages parce qu’il y a ce sentiment d’être vide, l’impression qu’on lui a volé quelque chose, ce petit truc qui l’aiderait à comprendre - à se sentir moins seule. parce que même si l’entourage est grand, elle est seule. elle est vide; carcasse parsemée de trous (( normalité )).  

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La voir devant elle est comme un pieu qu'on lui planterait perpétuellement dans chaque parcelle de son corps, encore plus douloureux que d'entendre son nom ou que de se souvenir. elle qui a la chance maudite de tout trouver dans son esprit, elle qui peut se rappeler de comment elle pouvait la regarder, des gestes timides, gênés, d'une enfant qui n'arrivait même pas à la toucher. les lèvres frôlées sans que l'autre ne puisse ressentir ce que rose avait sur le bord, peut-être que si elle savait, elle préfèrerait échanger leur place - tout oublier, tout effacer, ne plus savoir, ne plus ressentir, autant l'amertume que les sentiments mélangés quand elle la regarde là, face à elle.

les années passées sous silence qui pourraient se peindre d'explications, qui pourraient faire pansement sur les plaies encore béantes, étouffées avec les autres aux noms de ren ou de tommy qui ont su doucement cicatriser. il n'y a plus qu'ara dont le départ a été le plus violent. amour adolescent qui n'a laissé que le coeur brisé en mille morceaux sans jamais être totalement recollés. et puis, elle regrette presque ses mots, rose, impulsivité rattrapée par la peine ((et la colère)) qui craque la voix d'adora. "i've never said you were a whore. actually you're right, you do whatever the fuck you want." vraiment? un pas en arrière et elle se retrouve coincée contre le mur du bâtiment face à l'immense escalier dont elle ne peut apercevoir la fin.

sourcils froncés, qui d'elles est le plus en colère?
"what are you talking about?" elle n'a pas peur, rose, se retrouve ébahie par la rage et la peine qui se dessinent devant elle, sur les traits d'ara qu'elle n'arrive pratiquement plus à reconnaître. pourquoi semble-t-elle autant souffrir quand c'est elle qui a décidé de laisser tomber? "the truth is that you're comfortable with sleeping with my brother when you just... gave up on us without a explanation. was i supposed to see you coming to my house or listening to my brother talking about you without saying anything?" ébahie, oui, d'être celle qui doit s'expliquer, comme si ara avait décidé de faire comme si rien de tout ça n'avait existé. si elle savait. "were you like.... playing with me or is that what you wanted from the first day? you didn't want me but meruem? is that it? i wasn't enough?" la fissure s'ouvre de plus en plus - il suffirait de plonger ses mains à l'intérieur de sa poitrine pour constater les dégâts que la comparaison entre son frère et elle est en train de causer. mais elle n'a plus le choix, tente de faire sortir les mots de la bouche d'ara, tente tout pour comprendre pourquoi elle est partie pour revenir près de lui.

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Il y a quelque chose dans cet échange, qu’elle n’arrive pas à comprendre; quelque chose dans les reproches, dans le silence hurlant derrière les mots trop vagues - et ara, elle ne comprend pas. elle ne sait pas pourtant, oh, pourtant. le coeur hurle l’agonie d’un passé oublié. des blessures purulentes qu’elle n’a eu de cesse de recouvrir sans savoir pourquoi elles étaient là, couvertes d’un morceau de soie, juste pour l’image - parce que ça n’a rien à faire là. les sourcils se froncent, se rejoignent en une ligne énervée. ❛ well, i don’t have that impression qu’elle scande, un peu trop fort. un peu trop brutalement; refuse de se faire insulter sans une raison valable ((et reconnue)). les ongles qui pénètrent la chaire de ses bras, à hisser sous la morsure de sa force. mais, la douleur n’a rien à envier à celle de son coeur. rose qui recule, coincée contre le mur. l’espace s’agrandit. [ le trou aussi ]

l’incompréhension se dessine, les allusions qu’elle a du mal à capter - une histoire qui semble à peine se dessiner devant ses yeux sans en voir les couleurs. ❛ what qu’elle souffle, les prunelles qui se détachent, le visage qui s’abaisse et ce sont dans ses pensées éparses qu’elle tente de se souvenir. mais, elle ne voit rien; c’est presque vide, légèrement brouillé, elle ne voit pas. ❛ i. i don't know what you're talking about qu’elle marmonne, plus pour elle que pour rose. les lèvres qui tremblent sous la respiration. les mains qui se détachent pour passer dans les mèches brunes. ❛ i don’t get it qu’elle laisse entendre; et si la colère grondait en ses marbrures, ara est penaude devant l’incapacité à répondre correctement. ❛ i don’t understand … what … i’m sorry but … i don’t remember anything … les paupières papillonnent et la réalité frappe en plein coeur; si fort que le corps recule d’un pas, de deux. le visage redressé vers elle, les traits transformés. à tenter de parler, mais rien ne vient. la paume de main contre la tempe, à appuyer au centre de la douleur. ❛ rose, i think something’s wrong with me, it’s seems that you remember something that i don’t

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Y a tout son cœur qui dégringole de sa poitrine et qui se fracasse sur le pavé de la bibliothèque, ça n’a aucun sens. toute cette conversation n’a aucun sens. pourquoi rose se souvient de tout ça et pas ara ? elle n’a pas pu tout s’imaginer, tout inventer. et si c’était le cas ? que rose n’ait fait que rêver de cette relation amoureuse ? “i- i don’t know what to say.” effacée, oubliée. c’est encore plus violent que de découvrir que son frère la fréquente. les yeux grands ouverts, elle cherche une échappatoire, un endroit où se faufiler pour partir, s’enfuir, aller respirer plus loin parce qu’elle commence à étouffer sous la charge que les mots d’adora lui déposent sur la poitrine.

elle a peut-être tout inventé ou ara fait peut-être semblant, pour ne pas assumer, mais la lueur stupéfaite qu’elle perçoit dans ses yeux est bien trop réelle pour qu’elle y décèle une once de mensonge. “maybe… maybe we should stop.” arrêter cette conversation, arrêter de chercher à comprendre, arrêter d’étaler cette douleur lancinante qui lui ronge l’égo. tout arrêter. “maybe i made a mistake. maybe you should forget what i said and… nevermind, i must have mixed up everything and- i’m sorry, i will talk to my brother.” et elle se dérobe sous les nuages trop blancs qui couvrent le soleil, le cœur très lourd d’un poids énorme qui l’empêche de réfléchir correctement. elle commence à descendre les marches en espérant qu’ara ne la rattrape pas, elle ne saurait plus quoi lui dire.

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elle est étouffante, oppressante, cette sensation de ne plus rien contrôler, de ne plus être soit-même. la colère d’être gardée dans la brume de l’inconnu qui grouille en ses veines. la peine immense d’être rejetée. la vérité fracassante de ne pas réussir à avancer comme les autres [ avec ] - la voix qui craque sur les dernières notes de ses paroles, le regard qui lance des appels à l’aide [ réponds-moi ] - sans réponses. rose ne répond pas, ne répond que vaguement, ne laisse pas une trace. et la détresse est puissante, dévastatrice; à en exploser les coeurs les plus torturés et c’est sous un air incompris, qu’elle la voit se dérober en des paroles fuyantes. elle fuit rose, se dérobe sous un regard vitreux. [ oublier ] toujours oublier, moyen de facilité pour les autres, un véritable fardeau pour la brune; parce qu’elle a oublié et ce n’est pas désiré. adora ne sait plus quoi dire, ne sait plus quoi faire. le corps figé et c’est le souffle volé, qu’elle l’a regarde s’éloigner. silhouette disparue, la laissant seule. palpitant qui se fissure au fond de la boîte et c’est un sanglot à moitié étouffé qui s’échappe. à regarder un peu partout, comme à la recherche d’un échappatoire mais, elle est prise au piège. les paumes de mains contre les tempes, la respiration qui s’accélère et si elle voulait des réponses adora, elle ne récolte que des plaies ouvertes, des cicatrices qui s’ouvrent à nouveau. ça suinte, ça en découle de la souffrance, encore et encore. les perles qui s’échappent trop vite de son âme, essuyée rageusement avant de disparaître de l’endroit - incapable de rester ici plus longtemps.