quand c'est ? (pandore)

Pandore Debussy
ft. lou de laâge, vocivus, balaclava

A BRIEF HISTORY OF TIME

— prénom & nom ; pandore debussy elle s’imagine marcher dans les rues pavées de Paris, comme si elle marchait dans ses traces à lui, Debussy. Le nom entre fierté et déception — parce qu’elle ne fera jamais qu’essayer, incapable d’y parvenir, de réussir, tout juste capable de les trahir. Ils disent qu’elle a ouvert la boîte, Pandore, qu’elle n’a jamais su faire mieux que l’autre, celle du mythe, que les maux se sont libérés quand son frère s'en est allé. Alors elle a fini par le porter en horreur, Pandore, ce prénom qui n’évoque que ses erreurs.

— naissance & âge ; vingt-trois ans de regards jetés au miroir pour corriger la posture, jetés en pâture à la mère toujours insatisfaite, qui corrige la carrure comme on place un tableau sur un mur. 22 décembre 1996, paris sauf qu’elle a balancé les deux lettres à la gueule d’un ivrogne parce qu’elle n’en voulait pas, du paradis, parce qu’il était réservé à Noé, parce que pour l’un de ses sourires elle aurait mis la tour Eiffel en bouteille et aurait refait la commune.

— origines & sang ; française la France, dans la peau et dans le sang, exhibition maladive, paraître obligé. Ils feignent la fierté sans vraiment le faire, en montrent juste assez pour ne pas s’empêcher de régner. Clichés ambulants. sang pur sans importance à ses yeux mais essentiel pour d’autres, ça donnerait presque le sourire à Maman, parce que pour une fois Pandore ne déçoit pas, même si personne ne dit à voix haute que les dés sont truqués, qu’on ne peut pas rater l’incontrôlable.

— baguette ; bois d'acacia, cœur de dragon, 25cm fine, élancée, elle a vu défiler les diplômes, les mentions, les tentatives pour les impressionner, les a vus se heurter à l’indifférence, aux sourires étriqués qui ne parviennent pas à imiter la fierté. Désormais elle prend la poussière, remplacée par des pinceaux immatériaux, la main tendue vers l’anomalie.

— maison, groupe ; denki l’évidence, main tendue comme une famille choisie, aimante, les autres yokaï restés silencieux et Pandore qui pour la première fois s’est sentie acceptée, complètement, sans préférences ni conditions.

— occupations ; hakushi double-cursus langues et droit et sciences politicomagiques, les diplômes qui s’accumulent pour leur plaisir plus que le sien, le cœur plus attiré par l’adrénaline d’une silhouette à émerveiller. apprentie illusionniste elle prend la main des spectateurs pour les emmener au-delà du miroir, de ces inconnus assis dans l’ombre, qui quémandent quelques émotions et mendient pour un peu d’illusions, et pour quelques instants elle se sent normale, vraiment, loin de l’anomalie post-explosion. Mais depuis quatre mois les mondes sont ternes, tristes, les pendus remplacent les funambules et les falaises ne donnent plus que sur le vide, reflet de sa propre tristesse, de son cœur brisé, là, derrière le miroir. club d'équitation une passion depuis l’enfance, jusqu’à ce que Maman s’en mêle et la veuille championne, nouvelle obsession de perfection, à proscrire la moindre erreur, le moindre faux pas.

— situation financière ; riche ça dégueule de billets, de dorures, de tableaux qui ont coûté des milliers, de décorations et de services en argent pour les invités. La façade est soignée, elle l’a toujours été, assez pour cacher l’intérieur, les rumeurs, les mensonges, les gifles et les préférences (son frère, toujours). C’est un véritable portrait de Dorian Gray, leur famille, mais le tableau est à peine caché, il suffit de tourner la poignée — en or, bien sûr.

— orientation & statut civil ; amoureuse de lui ou d’un souvenir, même si elle a promis de le retrouver pour le faire payer quand son frère s’en est allé, parce que c’était sa faute ; sauf que Pandore elle a la solitude en horreur et Pandore elle est amoureuse, de lui mais surtout d'un souvenir. Alors elle valse entre les draps, dans la lumière néon rouge elle se perd sur les lèvres de tous ceux qui voudront bien jouer le on pour une nuit, l’échine cambrée pour ne plus avoir à regarder le plafond et se retrouver en tête-à-tête avec sa propre solitude. fiancée et puis entre deux distractions ses yeux se perdent sur la bague à son doigt, illusion parfaite pour un sourire à leurs lèvres.

— particularité(s) ; hensoku joncheruines elle s’est faite reine de ses propres illusions, Pandore, les pensées perdues dans les boules à neige de ses propres mondes imaginaires. Elle crée et détruit d’un simple geste, invente au gré de ses émotions, se laisse porter par ce qu’elle ressent. Mais depuis que Noé n’est plus là Pandore est triste, Pandore a laissé les beaux sourires de créatures merveilleuses pour les la(r)mes en acier de créatures sulfureuses, esclave de ses idées noires, déesse monothéique de mondes désormais bien plus sombres.

— amortentia ; les magnolias il y en avait toujours un dans sa chambre, dans un flacon en verre près de la fenêtre, remplacé quand il fanait. les dragées le sourire aux lèvres quand le visage de Noé apparaît dans son esprit, les traits dessinés par l’odeur sucrée des dragées. la menthe associée à leur nouvel appartement, elle est pourtant prostrée dans le déni, Pandore, persuadée que l’odeur est abstraite, pas humaine.

— patronus ; ombre difforme ses dernières tentatives se sont soldées par l’échec, le patronus est a-forme désormais, parce que l’absence a effacé toute joie et l’antilope avec.

— épouvantard ; la solitude il est sentiment plus qu’image précise, émotion abstraite qui suffit à lui glacer le sang, lui donner la nausée ; alors Pandore se donne et s’adonne, se réfugie dans des bras inconnus qu’elle n’aime même pas, comble le rien par les autres.

— risèd ; Noé comme si elle avait perdu la carte de l’Atlantide, forcée à un monde sans lui ni air, sous l’eau et incapable de nager, à le chercher dans chaque reflet, chaque crise d’angoisse, de colère, les poings serrés, à deux doigts de briser le miroir.

« sonnets of a sorcerer »
☽☽☽.
i'm not a saint, but i could be if i tried / your world starts crashing down / if i love you was a promess would you break it? / sit and watch my heart burn / ta reine / goner / catch my breath / comme un arc-en-ciel dans un trou noir / keep your lips sealed / yeux disent / oups je l'ai touché dans le coeur / les filles désir / larme à gauche / baisers volés / on ne meurt pas d'amour / bouquet de pleurs / je veux tes yeux / tu me plaies / j’espère que tu ne m’en veux pas Amor / (v)ivre de tes lèvres / j’ai peur d’être vaincue par chaos / accord perdu, à corps perdus / j’aimerais au moins pouvoir croire en deux / aïe love / I need my lover dose / sans toi, je prends l’eau / quand je règne dans la nuit, je suis seule sous mes vices / dans la nuit tu me regardes, sous les nuages je divague / aime-moi dans la neige, aime-moi sous le soleil, aime-moi la peau beige, dans les fleurs de vermeille / et la nuit je pleure des larmes qui coulent, le long de mes joues / aime moi jusqu’à ce que les roses fanent, que nos âmes sombrent dans les limbes profondes / tu seras le mien tu verras, je serai ta secte / la nuit tombe et moi, des nues / elle a les yeux couleur du vide / cancer, cancer, dis-moi quand c’est ?

A WIZARDING GENEALOGY

— chronologie ; 22 décembre 1996 Paris, premier cri, naissance, dans un linceul de soie. Mais on ne sait pas si elle est aimée ou même désirée, Pandore, parce que Papa voulait un fils et Maman la dévisage comme si elle se regardait dans un miroir, les lèvres plissées et les mains jointes, le cœur sans doute perdu à des kilomètres, l’air plus marâtre que mère. Vipère au poing.

2000 adieux à la France, presque sans se retourner, en fanfare, parce que les Debussy ne savent pas se faire discrets, obligés aux parades nuptiales pour le cœur des investisseurs, toujours.

décembre 2001 Kantô, second cri, naissance, dans un linceul de soie. Aimé, désiré, Noé prend un bout du cœur de sa sœur pour forger le sien, réunit la famille, exhume l’amour du père, de la mère, de Pandore. Drapeau blanc dans une guerre silencieuse, Noé on ne peut que l’aimer.

2008 un an déjà de larmes cachées, masquées d’un geste sur la joue, parce que Noé est malade et que les cœurs Debussy se sont arrêtés, ne savent plus bien comment fonctionner, même si les sourires sont là une fois la porte passée et les fleurs posées sur la table de nuit, pour espérer en voir un sur ses lèvres. Ils en perdent la notion du temps, depuis que le mot a résonné dans leurs caboches innocentes. Cancer. C’est peut-être parce qu’elle a vu ses larmes qu’elle lui a pris la main, un jour, pour l’emmener derrière le miroir, pour la première fois, au pays des merveilles, à peine capable de comprendre elle-même les créatures et les paysages qui se dessinaient à mesure que ses pensées s'enfuyaient.

2015 Noé guéri, elle redevient à leurs yeux le vilain petit canard, l’altération insupportable, cible de leurs propres messes basses, obligée à fuir, s’enfuir, se réfugier dans l’ombre de Shadow North, manoir excentrique qui la voit normale et repousse les limites de l’anormal. Elle y rencontre un autre moi, un miroir, Dante, maître des illusions. Alors il deviendra le sien, apprentie pour une fois considérée.

2017 pour un moment ils se lient dans une danse sous des branches de gui à leur effigie, des bouquets de rose par milliers. C’est comme s’ils pouvaient mettre le temps sur pause, depuis qu’il l’a vue dans les couloirs hantés et qu’elle l’a vu dans l’ombre. Fiore et Pandore, on dirait le début d’un conte pour enfants, où tout se finit bien — si seulement. Pour eux, ça ne durera que deux ans.

octobre 2019 la pièce est vide, comme son cœur. Elle jette des regards angoissés aux draps pliés, à la table de nuit vide, aux babioles encore sur les étagères. C’est le déluge, sur ses joues et dans sa tête, la tristesse s’immisce dans ses os comme une rafale de vent. Et Pandore la laisse faire, accepte la tempête parce que la famille est brisée désormais, retour à la case départ, Papa a perdu son fils et Maman la dévisage à travers le miroir fissuré. Tout ça, c’est sa faute. Ils l’ont dit, répété, c’est parce qu’elle a ouvert la boîte que Noé s’en est allé. Mais Pandore sait que les mots sont sortis de la bouche de Fiore, que c’est à lui d’expier les péchés, qu’il cache Noé et le garde sous clé. Consumée par la haine et la colère, elle plonge dans l’abîme et embrasse la cruauté, l’inhumanité, promet de le retrouver, de le faire payer.

avril 2020 c’était une suggestion, entre deux remarques sur ses kilos en trop ou en moins, parce que leur fille ne l’était plus à leurs yeux (l’avait-elle seulement déjà été?), une ombre leur rappelant l’absence douloureuse de leur enfant choyé. Le voir, au moins une fois, se faire une idée, sans y être obligée (y être tout à fait). Ils auraient tant voulu s’installer et, devant leurs yeux ravis, voir se dérouler un remake de Roméo et Juliette, auraient adoré le voir la courtiser, parce que ça leur redonnait de la prestance, de l’excellence, parce que la réputation bafouée semblait sur le point de s’envoler. Alors ils ont souri, quasiment sincèrement, quand elle leur a montré la bague à son doigt, rassurés par le factice, pourtant, de cette relation fantôme, illusion parfaite. Le coup du siècle.

« the life and lies of pandore »
.✎✎✎

le père émile debussy, 55 ans, domine le tableau familial au-dessus de la cheminée, le dos droit et le regard fermé, d’acier. Il voulait un fils, Émile, une statue de cire pour le modeler, faire un autre lui-même, un héritier parfait pour le combler ; il n’y a qu’un empereur pour tenir un empire, l'entreprise familiale, depuis toujours et à jamais. — la mère clémence debussy, 53 ans, est son propre antonyme, parce qu’elle n’en a jamais eu, de la clémence, parce que la moindre erreur de pandore lui valait la tempête, regard noir et gifles de vipère. C’est la française sortie d’une scène de minuit à paris, celle qui faisait rêver et qui le savait, qui en jouait. Elle a fini reine, impératrice aux côtés de son aimé, la bague au doigt mais le sourire à ses lèvres. Elle aussi voulait un fils, son prince, habillé de bleu, couvert d’or, alors elle est furieuse de se retrouver avec un portrait rajeuni d’elle-même, Clémence, incapable d’éprouver de l’amour pour l’aînée, ramenée de force à son propre âge à chaque regard. — le frère noé debussy, 18 ans, un arc-en-ciel dans un trou noir. C’est le fils parfait, passionné et bien élevé, le prince tant désiré malgré le cœur un moment fissuré. — Loki Papa disait bêtise, Maman caprice, mais déjà neuf ans que le python à lèvres blanches se glisse entre ses mèches blondes, confident au milieu des vipères d’or vêtues. — tatouée le corps pour toile unique, mais les tatouages qui restent discrets, pour essayer de leur plaire, malgré tout, parce que ça ne se fait pas de s’encrer, ça ne fait pas bien ; elle a un voilier minimaliste près du cœur, comme une arche discrète pour son propre Noé, des mains qui tissent la nuit entre les seins, le seul vraiment visible, pied-de-nez aux attentes de perfection, de toile restée vierge ; un serpent sur les côtes, Loki marqué à l’encre sur sa peau. — addict les pilules s’enchaînent pour calmer les migraines, devenues une béquille dont elle n’est pas prête à se séparer, dépendante, camée aux membres tremblants.

défaite de famille sur les photos de famille, il y a la mère et le père en arrière-plan, et c’est tout, parce que Pandore est rayée et Noé enlevé, enlevé par la faute de Fiore (de son aînée). Ils n'ont pas voulu entendre que c'était leur argent, ça aurait été leur faute et ça ne se pouvait pas, le diable ne s’habille pas en Prada.

Noé Noé c’était l’autre partie de son cœur, d’ailleurs elle le lui aurait donné sans hésiter, son cœur, pour remplacer le sien quand Noé est tombé malade, quand Noé s’est battu pour combattre le cancer. Elle lui a créé des mondes, seulement des beaux, parce qu’une fois son cœur réparé Noé était interdit d’aimer. Il est devenu son premier spectateur, le premier à traverser le miroir pour embrasser l’illusion amoureuse, heureuse, oublier l’épée de Damoclès, sauter de la falaise sans penser au reste, juste quelques instants.

descente aux enfers elle a rajouté un préfixe sur à vivre, Pandore, depuis que Noé n’est plus là, se laisse entraîner dans une catabase sans retour possible, se mord la lèvre pour éviter le déluge. Ses émotions aussi embuées que ses yeux peinent à combler le bonheur des spectateurs de Shadow North, qui assistent impuissants à la déchirure des mondes imaginaires, avalés par ses idées noires et par l'absence de couleur bleu ciel.

anomalie entre aversion et attraction, dégoût et fascination, elle contemple son don avec l’incertitude de sa propre normalité, cherche à s’ancrer dans une réalité qui ne semble pas vouloir l’accepter. Pourtant depuis quelques années elle apprend à l’apprivoiser, l’aimer, guidée par son aîné, en admiration devant sa capacité à autant s’approuver, lancée dans une quête prudente pour ne serait-ce que se comprendre.

le coup du siècle menton relevé, doigts enlacés, ils marchent avec élégance, faussement attachés l’un à l’autre ; Pandore rit et Yuko sourit, tous deux appliqués à ce que tout se voie, surtout ce qui ne se voit pas. L’illusion, la supercherie, l’idylle jouée devant les patriarches, pour un sourire à leurs lèvres et la fin des regards en coin, des suggestions entre deux repas mondains. Au fur et à mesure ils apprennent à se connaître, s’apprécier, mais malgré tout les nuits demeurent solitaires, l’appartement partagé n’est exutoire que des cris de colère et des gifles lancées dans l'air, de la mère comme du père (jusqu'à quand?).

My life as a muggle

HJ j'ai encore vu de la lumière donc je suis rentrée pour l'éteindre pcq c'est pas versailles ici

quand c'est ? (pandore) Tumblr_miyfygFlax1r9zaago1_250

Rebienvenue avec Pando d'amour :nabilla:

Je dévore tout demain et je viendrais t'embêter pour un lien :jk:

:jmheart:

déjà cet aes? :jesus:

puis genre lou??
et ta plume?? trop de beauté :pls:

rebienvenue chez toi :heart:

un peu d'émotions là quand même :pls:

Que je suis love du pseudo :bave:

Et de ce beau perso que tu es en train de nous dessiner :urgh:

Et genre cet aes trop beau :jesus:

Hâte pouvoir en lire plus, c'est bien rempli mais il reste du vide quand même, curiositance maximale :pray:

Rebienvenue tout plein :lyly: Courage pour la suite de cette fiche :hehe:

AMOUR DE MA VIE POURQUOI TES PERSOS SONT TOUJOURS SI OUF Grosse claque de nostalgie de TBE, des joues coulent sur mes larmes J'ai tellement hâte de lire la fin de cette fiche mais, stop ta plume, stop tes idées, stop ton talent, tu mets le monde en pls Et trop hâte aussi de voir débarquer le frérot disparu (ptn ça me rappelle quelque chose, je sais pas quoi )

ET CE VAVA MAIS, je pensais pas que je la verrais un jour jouée sur un fow, pourtant elle dégage tellement de choses, au sol je suis du love

ARRÊTE DE ME TUER :sry:

bon j'ai craqué de sommeil j'ai pas eu le first mais tu connais mon amour inconditionnel pour Pando quelque soit la version et encore plus pour son frère ~~ce pl me fait encore des choses~~. Il me manque encore un TBE dans le cœur, encore plus quand je la vois mais je suis toujours aussi dingue de ton écriture, de tes personnages mais surtout de ce personnage

Debussy + Lou + toi + son hensoku je suis :faint:

et je n'ai pas parlé de ton aes que je trouve particulièrement sublime, une douceur macabre que j'adore :omg:

je ne sais pas qui t'a aidé mais c'est avec goût :hihi:

lov u, tu me dois un lien :hearts:

j'entends hensoku, j'accours :smirk:

rebienvenue chez toi :keur:

hâte d'en savoir plus **

je ne te lis définitivement pas assez, ta plume est magnifique et ton personnage est incroyable, je n'ai juste pas les mots. rebienvenue chez toi, tu es le talent absolu. :faint:

ce pseudo, quelle beauté
ce monde que tu viens de poser ??
je fond :sad:

(re)bienvenue par ici :keur:

re par ici boT :heart:

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