WOODSTICK FESTIVAL [libre]

woodstick festival

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we rave in the grave

Le concert commence enfin. Et il y en a du monde. Tu te demandes si tout Mahou va venir comme chaque année. T'as fait le paris avec Reo que Alessia débarquerait sûrement avec sa super longue liste d'amis pour assister en vip au concert. T'espères surtout que Nour et Sen ne se sont pas perdus en chemin parce que t'aimerais bien pouvoir te fournir avant que les réels bons sons commencent. Genre se défoncer sur Jarret L'Etau ou sur AhUrIsSAnTe c'est pas une option : c'est une nécessité. 《Il est encore aux toilettes avec sa meuf Eunsoo ?? Y a Expecto The Disco qui va commencer ! Il ferait mieux de se grouiller » dis-tu a Reo, tout en t’allumant une clope. Goût weed cette fois-ci parce que tu les a piqué à Reo. Et que Reo elle aime la weed. « Fait si chauuuuuud » te plains-tu alors en secouant un peu ton t-shirt "Rave in the Grave"" pour te faire un peu d’air avant d’attraper ton téléphone pour scroller un peu ton fil d’actualité sur instagram. «  Ptain… » tu t’étouffes presque avec ta cigarette.  «  Oh nom d’un moldu ! Y a des rumeurs qui courent comme quoi le chanteur de Lupin Park aurait fait son coming out lunaire dans la semaine...du coup on sait toujours pas s’ils viennent demain ou pas…  » annonces-tu en tirant sur ta clope. Le coming out lunaire ou l’art d’avouer à tout le monde que vous êtes un loup-garou. Gros risque. Gros gros risque. Coming out lunaire que t’auras jamais l’intention de faire en public. Déjà que le dire à ses amis c’est chaud. Bref. Expecto The Disco is coming.

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we rave in the grave

Petit short en jean dans lequel elle avait rentré son très iconique t-shirt « rave in the grave » que tous les trois partageaient et portaient tous les ans pour le woodstick festival. si cet empaffé d’eunsoo n’avait pas laisser sa créature le porter à sa place. sacrilège ultime. reo ne lui pardonnerait pas de sitôt un tel affront fait à leur amitié. bro before hoes ? ce n’était donc qu’une phrase lancée telle une bouteille à la mer. un mensonge de plus pour faire croire que leur amitié était éternelle. relation qui n’était en fait qu’un château de sable construit sur des fondations en sable. oui, reo était défoncée. et pas qu’un peu. « rien à foutre de sa gueule. je suis blessée bro. my kokoro is bleeding. » elle posa ses deux mains sur sa poitrine pour mimer une douleur lancinante au niveau de son cœur. et elle ne riait qu’à moitié. elle n’avait vraiment pas appréciée que hyeji soient dans leurs pates depuis son arrivée au japon et qu’elle les empêchait de passer un moment tous les trois. aussi la jeune femme avait pour but de s’en mettre le plus possible d’en le corner afin de profiter du festival sans penser à l’autre couple de crétins. « you’re not alone anymore dédé. » elle ria un bon coup. surement déjà bien trop faite pour se formaliser avec cette histoire de lycanthropie. « pendant trois jours je veux pas entendre parler de loup ni de coréens. on est là pour décompresser ma gueule. »  hors de question de se prendre la tête avec les tracas habituels du quotidien. le woodstick était comme une parenthèse – saupoudrée d’un nuage de fumée, dans leur vie. « aller viens on y va ! » elle lui pris le bras pour l’entraîner vers la scène. pas question de rater expecto the disco.

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« Mais non putain je sais pas où t’as mis ton portable ! » Eunsoo étendit les bras de part et d’autre de son corps, comme pour prouver l’évidence. « Tu l’as peut-être fait tomber dans les chiottes, t’as regardé ? » Un soupir excédé lui échappa. « Il manque vraiment des poches sur ce t-shirt. » Ce qu’il lui manquait surtout, aux yeux de Eunsoo, c’était surtout de prendre ses propres vêtements pour venir au Woodstick. C’était la tradition de leur trio, avec Reo et Dédé. La tradition de toujours porter le t-shirt du festival pour y aller, comme ils le faisaient chaque année. Évidemment, il avait fallu que son a-do-ra-ble petite amie s’en mêle et décide de le porter à sa place ‘pour être dans le coup’. « Oh, bah il est là ! »

Soulagé qu’elle décide enfin d’abandonner la zone des toilettes, Eunsoo poussa un soupir contenu. Ils rejoignirent le bar assez rapidement pour acheter des boissons, parce que la demoiselle avait soif, avant de chercher l’endroit où ils avaient vu Dédé et Réo pour la dernière fois.  « Ils sont là-bas ! » Si elle avait pu la fermer, avec sa voix suraiguë. En plus cette conne avait fumé des trucs louches depuis qu’ils étaient là. Il roula des yeux en la voyant approcher du duo avec un large sourire, en levant les deux verres qu’elle portait. « Heeeeeeey les copains, on vous a ramené à boire ! Ils sont vraiment pas pratiques ces t-shirts vous trouvez pas ? » Et Eunsoo pinça les lèvres en un sourire crispé. Il aurait vraiment préféré qu’elle soit ailleurs. « J’ai pas manqué Expecto, hein ? » Il ne connaissait pas toutes les chansons, mais il avait la mort dans l’âme d’avoir manqué le premier artiste simplement parce que Hyeji avait dû aller pisser comme une gueuse.  

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Le temps s’écoulait, le regard fixé devant son reflet, elle se trouvait bizarre. chiwa avait demandé à la belle joyce de l’habiller pour le festival ; évènement auquel elle n’avait encore jamais mis les pieds. la musique qui fait vibrer le corps, elle appréciait cela mais de se mêler à tant de monde c’était autre chose. jamais elle ne s’était retrouvée entourée d’autant de monde. pupilles tremblantes qui ne cherchaient seulement à rester avec ceux qu’elle connaissait ; ces trois-là. l’enfant avait peur de se perdre dans cette foule et de se retrouver seule, comme elle l’a toujours été. « j’ai tellement peur de me perdre, ne me quittez pas d’accord ? » chiwa force un sourire à ses colocataires, mais on voyait bien la détresse dans son regard. une chose était sûre, elle allait essayer de s’amuser. dans la réserve, mais elle allait s’amuser. surtout lorsqu’elle est accompagnée de ses colocataires. « joyce, j’ai toujours l’impression que cette jupe est trop courte pour moi. » dit-elle en tirant un peu plus sur la jupe pour recouvrir ses jambes. le regard des autres posés sur elle, ça la dérangeait et elle détestait ça ; même si l’ensemble des filles étaient habillées comme ça, c’était trop pour la japonaise. tout d’un coup, une musique retentit et chiwa reconnu twenty one pills. souriant jusqu’aux oreilles, tout le monde pouvait voir qu’elle aimait ce groupe. « c’est twenty one pills ! on y va ? » attrapant la main de joyce et l’agitant un peu.

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Bruyant. C'est le terme exact pense-t-il tandis que son regard navigue d'un bout à l'autre de la foule qui ne cesse de grandir. Il y a quelques jours encore, jamais n'aurait-il envisagé participer à ce genre d'évènements et pourtant, le voilà, flanqué de @chiwa uno et des deux autres fêtards (@raijin kazama & @joyce dunfear).
Il adresse un regard légèrement ennuyé à ces derniers bien qu'il ne puisse empêcher le coin de ses lèvres de tressaillir face à leurs regards enthousiastes. Il ne saurait dire si l'influence qu'ils exercent sur lui est réellement bénéfique et sa famille aurait, sans aucun doute, condamné ce genre de sortie sans la moindre cérémonie. Pensée qui lui arrache un reniflement amusé alors qu'il plisse le nez pour ravaler le sourire qui menace de lui échapper.

Il a le temps de reconnaître au loin le visage familier de @andrea davis, kasai qu'il lui est arrivé de croiser à de nombreuses reprises au détour d'un couloir et parfois même au sein des dortoirs et il hésite quelques instants avant de se surprendre à lui adresser un signe de la main. Il est cependant bien vite distrait par l'exclamation enjouée de Chiwa et il incline légèrement le visage dans sa direction en haussant les épaules, camouflant le léger intérêt qui ne manque pas de pointer le bout de son nez à l'énonciation du nom de ce groupe qui lui est inconnu - comme la plupart des choses dont raffolent sans aucun doute les jeunes de son âge.
« Ouais, bien sûr. Si tu en as envie... » obtempère-t-il en jetant un coup d'oeil à leurs colocataires qui semblent presque trop à l'aise dans cet élément qui n'est pas le sien. « Et même si les deux idiots décident de s'éclipser à un moment donné... » finit-il par ajouter le visage impassible mais le sourcil haussé trahissant son amusement. « ... je serai là pour te raccompagner de toute façon. »

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Le bruit, le monde, les vibration de la basse déjà trop forte qui résonnent dans sa poitrine : Joyce est au paradis. Et Raijin et elle ont même réussi à vider leur appartement, entraînant dans leur tourbillon de leur enthousiasme leurs deux colocataires. Chiwa a été facile à convaincre, la demoiselle ayant même eu droit de jouer à la poupée – et le résultat est plus que satisfaisant. La jupe courte met parfaitement ses jambes en valeur. Il n’y a que le chemisier qui soit un peu décevant, mais on ne pouvait pas non plus la transformer d’un coup. Le pantalon de cuir (enfin, simili, on n’a pas les moyens) qu’arbore l’Irlandaise aurait sans doute été de trop, ainsi que le crop top dévoilant le ventre parfaitement plat et les multiples tatouages qui recouvrent sa peau. Déjà la clope au bec, qu’elle passe à Raijin, elle tapote gentiment la main de Chiwa, pour qu’elle laisse le tissu tranquille : « Dis pas de conneries, t’es superbe, y a un mec qui vient de manquer de se prendre un poteau quand il t’a vue. » Ce qui n’a pas manqué d’arracher un ricanement à la jeune femme en arrivant, qui a poussé son complice du coude. Mais il ne s’approchera pas de la donzelle, flanquée qu’elle l’est par deux mecs et elle. Et puis pas assez beau gosse pour qu’on le laisse tenter le coup avec leur petite fleur préférée. « Eh, pour qui tu nous prends ? » De la main que Chiwa ne tient pas, elle assène une claque à l’arrière du crâne d’Ezekiel, avant de récupérer la clope pour tirer dessus : « C’est soirée entre colocs, on a dit, on sait s’tenir quand on veut. » Ou pas, c’est vrai, mais avoir amené sa presque petite sœur en ces lieux donne un tout nouveau sens des responsabilités à Joyce. Qui l’enlace en lui promettant : « On va où tu veux et t’es ma meuf pour la soirée. »

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Le sourire jusqu'aux oreilles, le gamin se réjouit d'assister à Woodstick en compagnie de ses colocataires. Aucun commentaire sur leur présence ne franchira ses lèvres mais il n'en pense pas moins. Heureux de cette sortie de groupe, la première depuis bien longtemps, et surtout la première dans ce genre d'événements. Il sait que Chiwa n'est pas dans son élément et qu'Eze n'a probablement jamais mis les pieds dans un festival, aussi l'effort qu'ils font aujourd'hui le pousse à en faire un également et plutôt que de passer sa soirée complètement défoncé sous l'effet du jakojak comme initialement prévu, il se contentera des effets bien plus modérés de son éternel saké. Joyce semble sur la même longueur d'ondes que lui et essaye de rassurer les deux autres tandis qu'il se contente d'un simplement hochement de tête pour appuyer ses propos. « Twenty One Pills ils sont cools, j'nous ouvre le passage. » Attrapant la main de Chiwa, il l'entraîne à sa suite et tous forment une chaîne qui se fraye un chemin au travers de la foule jusqu'à un petit spot pas très éloigné de la scène. « Là vous arrivez à voir ? » Et le kasai de sortir sa flasque de saké pour continuer de s'en abreuver avant de la proposer à Chiwa. « Pour te mettre dans l'ambiance ? » Le groupe entame alors un de leurs plus gros tubes "Passed Out" et c'est un Raijin tout joyeux qui se met à rapper impeccablement les paroles tout en sautant sur place. A défaut de retenir les douze propriétés du sang de dragon, il connaît au moins ses classiques musicaux. 

@Joyce Dunfear @Chiwa Uno @Ezekiel Wakahisa

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Les deux pieds qui se posent avec force sur le sol, inspiration. le sourire qui s'installe fend l'air, elle était enfin dans son élément. woodstick, le souvenir de l'avoir raté l'an dernier restait comme une pilule amère dans sa gorge, comme une légère plaie désormais qu'elle se trouvait sur place à ressentir les vibrations des basses. soupir. à tâtonner machinalement la marchandise dans les doublures du pantalon, l'euphorie déjà présente dans les veines et sur le bord des lèvres ou pend lamentablement la cigarette. prudence.

« z'aller encore traîner des pieds longtemps là … y'as trop d'gens que j'veux voir ça serait la mort de les rater. »

même si la véhémence des mots sort de la gamine c'est le smirk idiot qui reste plantée sous les lèvres, regards aux trois autres un peu loin derrière. brochette hétéroclite des colocataires, réunis hors du trou, jamais assez ensemble elle dira. peut importe.

rayonnante est l'aura, qui agrippe sora par le bras pour le forcer à aller plus vite, impatience qui gangrène l'être. enfant insupportable.

« nour j'crois que j'ai vu andrea pas loin, j'espère qu'il va nous faire passer en vip, j'veux être tout devant »

en effet, la tête bouclée fait son apparition dans la vague, les yeux qui se posent sur une figure semblable à raijin aussi mais la houle l'emporte et elle se rattrape de peu à hisano, bouée de secours du corps qui s'évade.

attrapant les mains, elle fini par les emmener vers la foule, à s'asphyxier parmi la fureur, sentir l'adrénaline parcourir le coeur. 

@Hisano Ai @Sora Okuda @Nour Fitzgerald

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toi, si t'es venu, c'est clairement pas pour la musique. pas que t'apprécie pas les groupes qui se produisent mais c'est le cadet de tes soucis. si t'es là, c'est pour te montrer, pour voir du monde, pour t'amuser aussi disons le franchement. pour l'occasion t'as enfilé tes vêtements les plus excentriques possibles, de la veste en velour rouge signé Balmain aux doc martens en passant par de petites lunettes rondes. c'est limite si on te reconnait. t'aimes ça. jouer, faire rire, en imposer aussi un peu malgré le look déluré et out-of-fashion since forever. la sirène à ton bras, tu la connais depuis longtemps mais tu la vois pas souvent dans des tenues aussi à ton goût, alors t'en profite pour laisser trainer ta main contre la peau nue de son dos. nesrin. ton amie d'enfance, ton égale. les basses te résonnent dans la poitrine plus que ce que tu ne voudrais mais t'as pas d'autre choix que de supporter ce fracas incessant. ❝ je sais pas toi mais il va m'falloir un verre pour supporter... tout ça. ❞ tu fais, en indiquant les gens d'un signe général. deux shots te glisse dans la gorge, y laissant une trace brûlante. tes yeux se posent sur quelques visages familiers, tu serres quelques mains, nesrin aussi. vous vous fondez dans la foule puante de danseurs excités, tous en sueur, hurlant le prénom de leur bassiste favoris. tu serais bien incapable de dire qui se produit sur scène tellement t'en as rien à foutre. tu finis par reconnaître ton acolyte préféré à quelques pas de la scène et tu t'incruste sans vergogne dans le groupe qu'il forme avec ses colocataires que tu connais pas plus que ça. ❝ j'savais bien que j'te trouverai là. c'est tes colocs ? tu m'présente quand ? ❞ tes yeux détaillent déjà les deux filles qui accompagnent raijin, quand à l'autre mec, un coup d'oeil sur lui t'annonçait déjà qu'il t'intéresserait pas.

Spoiler:

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Le tissu refusait de s'étendre pour cacher davantage sa peau ; la gamine aurait voulu lancer un sort pour l'allonger mais comme c'était joyce qui l'avait choisie elle voulait la garder et lui faire plaisir. les joues de la kaze s'empourprèrent devant les paroles de l'irlandaise. « arrête joyce, c'est pas vrai » qu'elle répond timidement. entre les deux, la belle, c'était elle et non chiwa. elle aurait tellement aimé avoir aussi confiante en elle, mais c'était impossible. le sourire regagne son visage en entendant les premières notes de twenty one pills, encore plus lorsque ses colocataires sont d'accord pour aller les voir. si ce n'était pas avec eux, avec qui la jeune japonaise aurait pu faire son premier festival ? un rire cristallin s'échappe de ses lèvres lorsqu'elle voit eze et joyce se chamailler comme ils avaient l'habitude de le faire chez eux. au final c'était comme s'ils étaient à la maison ; tous ensemble. dans les bras de joyce, ses lèvres reflétaient la chaleur du soleil. « merci, je vous aime tant, vous pouvez pas savoir » la gamine se laisse tirer par le plus jeune et serre les deux mains auxquelles elle s'était liée. hors de question d'en perdre un. « ça va oui, je vois plutôt bien » elle se mit sur la pointe des pieds pour voir au mieux les artistes. les cils de la japonaise papillonnent lorsqu'elle voit la flasque arriver vers elle. l'odeur prégnante du saké lui monte au nez ; elle hésite mais la balance finit par pencher. le métal dans sa main, elle fait couler une gorgée du liquide avant de grimacer. fort, ça l'était. chiwa esquisse un sourire en voyant raijin vider ses poumons sur la chanson et le rejoint en chantant un peu plus doucement. enfant heureuse d'être aussi bien entourée. elle sautille et profite du moment jusqu’à ce qu’une tête inconnue pointe le bout de son nez. se sentant quelque peu observée, elle fait un pas en arrière pour éviter son regard. si la gamine s’était vite attachée à ses colocataires, elle avait toujours du mal avec ceux qu’elle ne connaissait pas.