- kunst.trbl — she/herIRL : hendery ; @ my untalented ass Avatar, Crédits : 266Messages : 1RPs : 220Gallions :i am your sweetest nightmare
(sitting on a throne of pain)
- tw//:
- incitation à l'inceste, abus de pouvoir, mention de violences déviances sectaires
Multicomptes : vingt-et-un ans ; 99.06.21Naissance & Âge : #C5A852 ; Couleur de dialogue : a very much i-forced-my-way-to-get-into-the-midnight-club type of guy. Occupation : n/aParticularité(s) :TRYGETTING YOUR GRIP
ON MY FREEDOM
(༄) kell brekker ; a beautiful pain in the eyes
(༄) rose savage ; a demon in disguise
Relations :LISTEN CLOSELY, YOU COULD
HEAR MY SECRETS
(༄) kell brekker ;
I'LL TEACH YOU ABOUT NIGHTMARES
(༄) kell brekker ;
BE MY VALENTINE
(༄) cian yezhov ;
YOU CAN RUN, BUT YOU CAN'T HIDE
(༄) rose savage ;
KISS FROM A ROSE
(༄) kell brekker ;
BUILDING AN EMPIRE
TEXT ME WHEN
YOU'RE FREE
(༄) w/ rose ;
(༄) w/ nae ;
Plume à Papote :— ÉLÈVE ❝ hottest kisser of the year
IRL : kunst.trbl — she/her
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Gallions : 220i am your sweetest nightmare
(sitting on a throne of pain)
Disclaimer :- tw//:
- incitation à l'inceste, abus de pouvoir, mention de violences déviances sectaires
Multicomptes : not such pleasure yet
Naissance & Âge : vingt-et-un ans ; 99.06.21
Couleur de dialogue : #C5A852 ;
Occupation : a very much i-forced-my-way-to-get-into-the-midnight-club type of guy.
Particularité(s) : n/a
Relations :TRYGETTING YOUR GRIP
ON MY FREEDOM
(༄) kell brekker ; a beautiful pain in the eyes
(༄) rose savage ; a demon in disguise
Plume à Papote :LISTEN CLOSELY, YOU COULD
HEAR MY SECRETS
(༄) kell brekker ;
I'LL TEACH YOU ABOUT NIGHTMARES
(༄) kell brekker ;
BE MY VALENTINE
(༄) cian yezhov ;
YOU CAN RUN, BUT YOU CAN'T HIDE
(༄) rose savage ;
KISS FROM A ROSE
(༄) kell brekker ;
BUILDING AN EMPIRE
TEXT ME WHEN
YOU'RE FREE
(༄) w/ rose ;
(༄) w/ nae ;
the sweet surrender of silence forces me to live alone, locked and loaded, where the hell is peace of mind? i wait on you inside the bottom of the deep blue sea, welcome to my cage, little lover — bottom of the deep blue sea ;
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Indécis, peut-être inconscient, qu’en savait-il ? Plus rien ne faisait sens. Tout ce qu’avait connu le chinois ces dernières semaines, c’était le doute. Le doute qui rampait en lui comme ces filets du diables qui vous prenaient au cou pour ne jamais vous laisser fuir. Tout cela semblait briser son peu de stabilité, son esprit torturé, et ses entrailles aussi — lui semblait-il. Sa gorge n’était bordée que d’épines le brûlant à chaque fois qu’il tentait de déglutir. Ses souvenirs refaisaient surface un à un. Il avait besoin de lui, de son calme au milieu de la tempête, de son seul repère pour retrouver l’équilibre de celui qu’il était. Eia. Mais il n’était pas là. Son souffle lui manquait. Il inspirait. Il titubait, aussi, claquant la porte de son cours au plus vite, une nausée le prenant. Il avait lancé une formule de politesse au hasard sur son chemin, laissant derrière lui regards interloqués ou inquiets. Le thé, la chaleur, le sable, les chaînes — tout lui revenait en mémoire alors qu’il peinait encore à rester en vie face à la panique qui l’habitait soudain. Sa gorge tentait de laisser échapper des cris plaintifs, mais tout ce qui pouvait en sortir, c’était l’ombre de râles qui ne formulaient rien, finalement. Ses yeux semblaient brûler autant que sa peau qu’il grattait avec rage — ou que ses pieds qu’il battait sans relâche après s’être laissé tomber au sol, dans un couloir aussi reculé qu’il avait pu se le permettre dans cette minute de panique incontrôlée et incontrôlable. Ses sanglots s’étouffaient au travers de son égo, ils tentaient de se frayer un chemin au travers de sa carapace devenue trop fragile sous les coups d’un paternel trop violent, et d’une mère trop étouffante. Il fallait qu’il disparaisse. Maintenant. Il le fallait. Pourtant, tout ce qu’il entendait, par dessus son souffle erratique, fut l’écho d’une voix qu’il n’avait appris qu’à trop bien trop connaître. Une voix prononçant son nom. Il fermait les yeux — espérant ne jamais les rouvrir. Jamais.
- to put it simply:
- az fait une crise de panique, il perd pieds, et devinez qui vient planter les siens sous son nez.
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