WATERCOLOR EYES ☽ MADS

— prénom & nom ;

abandonné dès sa naissance, on laissera un mot : han sol accrocher au berceau. prénom oublier lors de l'adoption, délaisser comme un moins que rien, il deviendras finalement : le tout d'une famille en quête de renouveau.

cadeau du ciel, attendue avec impatience. mads signifie [ don de dieu ] et c'est ce qu'il a toujours representer pour sa famille. ses parents pensaient naïvement qu'il serai sauveur de leur famille en dérive, oubliant presque qu'un enfant ne peut sauver une famille à lui tout seul. il sera pourtant aimer et adoré jusqu'au dernières secondes de la vie de sa génitrice, bien qu'elle ne lui a jamais vraiment montrer.

— lieu de naissance & âge ;

le jour se lève sur l'enfant, un [ 01.07.99 ] dans la ville de  [ drammen (norvège) ] son âme est sceller à celle de sa mère, ses frères et soeur. attendue si longtemps. comme destiné à sauver des coeurs, relever des visage, l'enfant sera un don de dieu dès sa première apparition sur terre. Promesse faite à voix basse dans cet hopital délabrer, je t'aimerai toujours, je t'aime si fort.

— nationalité ;

enfant [ coréen ] adopté par une famille [ norvégienne ] puis par le père flemmings. racine oublié, jusqu'au prénom qu'on a effacer au fil des années.

avant changement:

— baguette ;

• Longueur 35 cm
  
• Bois Noisetier
  
• Coeur Poil de Womatou
  

— élément, groupe ;

faune et flore l'ont choisi, unis avec mère nature. [ daichi ] dans le coeur et dans le sang, ne pourra jamais expliquer cette connexion particulière avec la terre. comme le tanuki, il est malicieux, rusé et futé, se retrouve dans l'immensité de la flore.

— occupations ;

(Diplomé) Technomagie et ingénierie
— PÔLE SCIENCES

Passionné par l'informatique en tout genre, Mads trouve sa plein au sein de l'equipe de technomagie de Mahoukotoru. Il aime ça, les chiffres, les idées farfelues qui prenne vie, les heures à coder devant son laptop, réveiller par la lumière du jour.

Informaticien
— ADMINISTRATION (MAHOUTOKORO)

Amitié tissée avec l'ancien informaticien de l'école, il est seul, un peu vieillot, fatiguer par la vie qui ne cesse de le bousculer. Il cherche une porte de sortie depuis bien longtemps, mais trop fidèle à son poste, refuse de céder sa place au premier voulu. Coup de coeur pour le sourire éclatant et les rires qu'apporte le jeune Bargqvis, il finit par lui offrir sa place.

Ses tâches principales consistent à :

• S'occuper des entrées et des sorties des élèves à chaque rentrée de vacance.
  
• Sécurité de l'intégralité de l'établissement.
  
• Surveiller que personne ne soit dans le besoin.
  
• Faire en sorte que les plateformes informatiques de l'établissement soient en norme et fonctionnent correctement.
  

— situation financière ;

il a connue la misère, les nuits sans sommeil tenu éveiller par un froid glaciale, les doigts entremêler dans des écharpes pour réussir à finir la journée. le ventre gargouille par le manque de vivre, coeur malheureux quand il s'est rendue compte que d'autre avait la chance d'avoir maison et amour, quand lui n'avait que terreur. monsieur fleming l'a sauver de cet enfer, une vie [ paisible ] n'a jamais manquer de rien. et le coeur sait beaucoup trop que tout n'est jamais acquis, qu'il faut sans cesser rester sur ses gardes. relation [ difficile ] avec l'argent, maintenant que tout est à porter de main. mais n'oublie jamais ce gout amer qui reste en bouche, jalousie qui ronge le coeur, quand les autres ont ce qu'on pense ne jamais pouvoir avoir.

— orientation & statut civil ;

addiction étrange à la gente [ feminine ] cache aussi une curiosité mal placer pour ses confrères. il n'a jamais aimer être seul, mads, il aime la compagnie des femmes. Leurs douceurs, leurs rires, leurs mots doux, la tendresse qu'elle offre sans jamais demander en retour. Il les enchaines tendrement et affectueusement, toujours dans le respect qu'il essaie d'avoir. Son [ coeur est pris ] par quelqu'un qui a toujours attendue d'avoir cet amour, crush de longue durée à qui il a finalement donner une réponse positive. Des jours ce sont transformer en mois et se compte à présent en année. Cette routine un peu trop banale qui s'installe, feu éteint depuis bien longtemps, qu'il n'a jamais chercher à ravivez. Car c'est ainsi qu'il aime les choses : solide, stoique et tenace. On devrait s'aimer ainsi et ne jamais chercher plus loin. Il est souvent [ maladroit en amour ] beaucoup ou pas assez, ne trouve jamais le juste milieu qui parait pourtant si simple à avoir chez les autres.

crois naivement au grand amour, il consulte une ekisha spécialiser dans ce domaine. mon coeur est-il lié grande pretresse ? mon âme a t-il sa flamme jumelle quelques pars dans ce bas monde ? la réponse sera courte et simple  : oui, et tu l'a connais déjà.

— amortentia ;

fromage fondant et pain assez croustillant, l'odeur du  [ grill cheese ] embaume la pièce. nuit sans étoile, assez claire pour qu'aucune lumière ne soit allumer, juste leurs sept corps cacher dans la pénombre à se passer mutuellement les ingredients pour la recette. serena, aran, maeve, lazar, sont ses frères et soeurs maintenant. ce soir là, il en avait pleinement conscience, et son coeur n'a jamais était aussi heureux.

souhaite moi bonne chance, il se souvient avoir soupirer ce jour là. au lieu de ça, il cogne son épaule, et souffle le [ talc en poudre ] partout sur son leggings. atsumu elle rit, elle rit tout le temps quand il est dans les environs, et il rit aussi, avec elle, et parfois un peu d'elle aussi. ils se ressemble beaucoup trop pour que ce soit une évidence, mais apparement elle n'a jamais sauter aux yeux du norvegien. au lieu de ça, il l'embête, avec amour et beaucoup de passion. et parfois, il sent encore l'odeur du talc dans ses narines, quand il passe le jeudi après midi à la regardait sillonner tout le terrain de hockey.

la soupe est composer principalement d'eau, et de [ brocolis ]. le repas est infecte, amer, manque de sel et est trop liquide pour se boire à la cuillère. pourtant, le coeur de l'enfant est conquit, noora, talia et even n'ont pas le même sourire aux lèvres, pourtant leurs sourires est identique à celui du petit garçon. merci maman, c'est tout  ce que tu peux faire, on la bien compris, mais c'est un plaisir quand même. ce fût le dernier repas qu'elle leurs préparera avant son départ.

— patronus ;

lueur d'espoir qu'il garde sans cesse en lui, courage qui brille comme étincelle étoilé. les souvenirs joyeux ressembles à des [ lucioles ] scintillant autour de lui, dès lors ou le sors est émis. il y voit chacun de ses souvenirs, aussi doux et tendre qu'ils puissent être.

— épouvantard ;

peur de l'abandon qu'il cache (très) mal depuis plusieurs années. une [ ombre noir ] qui sort de la boite, parfois elle devient lui même. jaloux, agressif, refusant de parler, de manger, de s'exprimer. replier sur lui même pour se laisser mourir. parfois elle devient les autres, ils lui tourne le dos, qu'il s'en vont. ses soeurs, sa mère, n'importe qui qui préfère partir que de rester à ses côtés. et la sensation qui l'accompagne est digne d'un poignard dans le coeur.

— risèd ;

âme soeur trouver, coeur sceller et main tendue. l'être ultime, [ extension de lui même ]. celle qui ne partira pas, jamais. celle qui a accepter sans broncher. être de lumière dont le destin est lié à jamais. je t'aime sans avoir à le savoir, sans avoir à le comprendre. cette âme soeur cacher quelques part, c'est son bonheur parfait. elle existe, il le sait, il aimerais le découvrir, si seulement il pouvait comprendre. atsumu.

tw/ suicide • Tragédie familiale n’a fait qu’emporter la génitrice dans les profondeurs des abîmes. Elle se voulait aimante, attentionnée et prévoyante, voulant naïvement reproduire cet enfant dont elle avait été bénie, mais rien n’a marcher, tout était trop. Trop compliqué, trop dur, trop lourd. Ses épaules étaient si frêles, son corps si fatigué, elle a laissé la vie l’emporter, sans jamais réussi à se battre pour l’affronter. Les armes étaient déjà déposées avant même que la guerre ne soit prononcée. Elle a essayer (mal peut être, pas assez fort peut être) mais elle a essayé. Relation conflictuelle avec ses deux filles ainées, qui n’a jamais emmené qu’à des regrets, n’existe aujourd’hui que des souvenirs flouer par les larmes et la rancœur. Elle n’est pas restée bien longtemps dans ce monde, elle n’y avait pas sa place, ne trouvez pas de raison particulière s’en faire une. La mort l’emporte, laissant derrière elle quatre orphelins.

Mio et Arin ont pris le relais, deux assistances sociales japonaises dont les hensoku intrigue fortement. Elles étaient gentilles, du moins avec Mads, elles avaient les épaules pour la vie, n’avait pas cette odeur de désespoir sur leurs vêtements. Elles se sont occupé d’eux, traitement un peu lourd pour les premiers fils, indulgences particulières pour les deux garçons. Mio était sévère, elle ne parlait pas à Mads dans sa langue maternelle, forcer à lui faire comprendre l’anglais, et introduisait sans faire exprès des mots en japonais qu’il finit par retenir. Arin était plus tendre, compréhensive, son côté très humain ranimer le coeur de Mads, elle lui apprit l’anglais, un peu la japonais, elles étaient toutes les deux bienveillantes et ne faisait qu’obéir aux ordres. Mads tu comprend ? ça va piquer un peu, mais c’est pour t’aider. Et il accepte, il se laisse faire, parce qu’il voulait les armes que sa mère a jadis laissées au sol, près à affronter cette vie qu’il devait mener.

Noora et Talia étaient des rebelles, elles n’aiment ni l’autorité, ni les consignes, Evan lui était plus frêle, plus doux, plus docile. Il ne parlait pas, presque jamais, il avait été exclu du duo qu’ont formé ses sœurs et peiner à rejoindre le petit frère, il se trouvait un peu au milieu de tout sans le vouloir. Son pouvoir était plus fort que lui, presque indomptable et une part de lui a préféré le faire taire en oubliant qu’il devait tout de même pratiquer pour ne pas être laissé pour compte, mais après tout c’est ce qu’il a toujours été : laisser pour compte. Mads ne pouvait pas comprendre, il était beaucoup trop jeune. Il avait juste l’impression de parler avec un hologramme, Evan n’était jamais là physiquement. Il était perdu dans ses pensers, tout en haut des nuages ou personne ne pouvait le toucher.

Noora s’en fichait pas mal, elle voulait la liberté. Soif de vengeance ou affamé par cette vie qu’elle rêve d’avoir, elle voulait vivre. Enfermer dans les murs de l’Orphelinat ou pris en charge par la clinique ce n’était pas son combat, loin de là, elle rêvait elle aussi, d’un monde ou elle pourrais vivre pour elle même. Et Talia partager cette envie, de manière moins intense, des rêves à la portée de tous. Un repas chaud sur la table, des draps propres, une bibliothèque, des jours sur la chaleur du soleil, la tendresse d’un instant. Talia ne rêvait pas de grand-chose, juste frôler la normalité. Et puis Mads est-ce qu’il rêve ? Il s’en souvient plus vraiment, il regarde ses soeurs s’enfuir et quémande à partir avec elle, non t’es trop jeune, tu ne peux pas comprendre. Bêtises, il comprend déjà tout.

Noora et Talia s’enfuiront et Evan aussi, d’une certaine manière. Les poings liés ont une vie qu’il ne veut pas avoir, il s’enfuira aussi, pour un monde meilleur, auprès de sa génitrice.

Lueur d’espoir dans la pénombre, cacher sous les débris qu’une vie qui n’est plus la sienne désormais. Père Fleming prendra la place qu’il a toujours eue : son paternel. Homme de confiance, droit dans ses chaussures, règle qu’il transmet à ses enfants pour le bon déroulement des choses. Il est estomaqué Mads, il se retrouve avec un cadre de vie, des gens qui l’écoute et qui l’aime, des frères et sœurs. Un peu sur ses gardes, prêt à toute éventualité, il ne se laisse pas amadouer aussi facilement. Pourtant, la main tendue, et le coeur grand ouvert accueillera le garçon, dans les bras de son paternel. Il l’aime, il le respecte, il est inspirant. Il est tout ce que Mads voudraient être plus tard. Le calme avant la tempête, toujours un coup d’avance, les armes fermement dans les mains. Il se souvient alors d’une mère maladroite, peine à tenir sur ses deux jambes, effacer par le temps par cet homme dont le dos n’a jamais courbé. Baissez la tête mon garçon, signifie abandonner, et on n'abandonne jamais ici.

Le seul jour Mads s’autorise à baiser la tête ce sera pour lui dire au revoir, front coller sur son cercueil, souvenir au creux de sa poitrine, continuera a exister Reed Fleming dans le coeur des enfants qu’il a sauver.