— rainy day

Une ruelle sombre, la lune éclaire pourtant la ville mais Garam ne souhaite qu’avancer dans l’ombre ne désirant absolument pas être vu ici. Il a réfléchit longtemps avant de tirer la conclusion suivante : personne ne viendra l’aider, tous les moyens sont bon pour survivre. Rien ne va plus et la vie du musicien n’est qu’une succession amère de fausses notes. Le problème c’est qu’il ne voie pas d’issue à tout ça, que parfois il est sur le point de tout abandonner. Pourrait-il tirer satisfaction de cet échec ? Et si la vie est une chanson il commence à en oublier les paroles. Il s’engouffre encore plus dans les profondeur de la décadence, si quelqu’un le repère c’est la fin il le sait mais peut être que jouer avec le feu a quelque chose de véritablement stimulant pour lui.  C’est le cœur battant qu’il s’imagine le pire.



Les gouttelettes de pluie ruisselante sur son visage lui donne l’air d’un gars paumé mais c’est un peu ce qu’il est la rockstar dans le fond.  Un paumé. Il devrait en avoir honte d’être tombé si bas d’avoir besoin d’artifice pour ressentir quelque chose de positif mais chacun ses faiblesses dans le fond qui va le juger ? Beaucoup trop de monde. Le silence laisse place à des bruits de pas de plus en plus pressé. L’agitation se fait ressentir est-ce le moment pour lui de paniquer. Il suit du regard au loin le trafique sans oser bouger, il distingue mal les silhouette homme ou femme ? Il ne saurait dire mais l’un des deux part en courant visiblement embêté. Pourquoi son instinct pousse à suivre cette personne ?



Il agrippe la personne par le bras ne sachant pas pourquoi il fait ça, ne sachant même pas ce qu’il pourrait dire mais les morts sortent tout seul calm down. Il ne lui va pas de mal, du moins pas encore. En mauvaise posture ? Ou simplement besoin de fuir  ou surement un mélange des deux.

---

Pris dans le tourbillon de la vie, il ne s’attendait pas à voir une jeune femme, elle semble si innocente avec son visage semblable à un ange. Mais les plus belles fleurs sont souvent les plus dangereuses, il en semble même presque amusé de la situation Garam car c’est dans les moment comme cela qu’il ressent l’adrénaline envahir son corps et qu’il se sent enfin vivant, proie à de multitudes d’angoisses qu’il est agréable de jouer avec le feu, de jouer avec la fin. « Tout le monde sait qui je suis, rien de nouveau » Réponse quasi automatique car il a l’habitude de pas vivre dans l’anonymat, que ce soit du côté des médias ou du gouvernement la gueule d’ange aime voir son visage placarder dans les esprits de tous les citoyens. Il toise la personne en face de lui qui semble assez confiante aussi, il ne semble l’avoir jamais vu pourtant un magnétisme se dégage, elle veut lui donner des ordres ? Montrer qu’elle est plus forte mais elle se trompe de partenaire, si Garam joue alors Garam gagne. « Ah oui ? Qu’est-ce que tu peux en savoir ? Il y’a pas de coin pour moi. Le monde est pour moi » C’est à ça qu’il se limite Gara mua monde et à ses frontières et personne n’a le droit de lui dire ce qui est pour lui et ce qui n’y est pas. Il s’emble s’agacer un peu jusqu’à en perdre même patience, son ton se fait plus brusque alors que les menaces s’intensifie est-ce qu’elle cherche à lui faire peur ? Si oui pourquoi ? Peut être qu’au final elle est comme eux, de toute manière si il y’a bien une chose qu’il a compris c’est qu’il ne pouvait avoir confiance en personne. « Tu sembles vraiment sûr de toi, que l’on me reconnaisse je m’en moque il suffit d’évoquer une mauvaise rencontre au mauvais endroit, les gens comme moi s’en sortent toujours » C’est le principe de la vie les gens s’en sortent les faibles s’enfoncent.
Y’a tout qui ce passe trop vite, il ne comprend pas ce qui ce passe, elle semble en mauvaise posture et vouloir surtout l’entrainer dans sa chute, il reste abasourdie devant autant de confiance mais inavouable secret que de reconnaitre que la situation l’excite. Des hommes s’approchent il se sent en danger il n’a pas d’autre choix que de commencer à courir dans le sens opposé « Bordel je vais te.. » Mais il la voit se figer et le danger s’approche alors il fait demi-tour agrippe sa main et commence à courir avec elle. « Si tu mets de fleurs sur ma tombe autant que tu sois vivante » Puis surtout autant que ce soit lui qui soit le plus grand danger pour elle. La course puirsuite se poursuit dans les ruelles sombre dans la nuit

Puis le silence
Les respirations essoufflée
La peur au ventre
Le vie en jeu.

---