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KITAI, nef — she/herIRL : lee sung-kyung,, reveriedits & sparklecreasAvatar, Crédits : 180Messages : 3RPs : 3 166Gallions :
the gentle art
of making enemies
☾ ✦ ☽
j'évite les tw dans mes rp mais je vous préviens lorsque j'en utilise. j'suis ouverte au tw si jamais y en a dans le votre, btw !Disclaimer : -Multicomptes : 23 ans Naissance & Âge : she/herPronom(s) du personnage : <den></den>Couleur de dialogue :
— étudiante magizoologie
lien fusionnel avec tes études, t'préfères être entouré par ces créatures. t'sais qu'une caresse est suffisante pour qu'il soit fidèle à toi. t'mets tout de côté quand il s'agit des créatures, t'montres cette affection que personne ne leur montre avec tendresse et pour une fois, ton visage neutre s'éblouit. tes lippes tirent sur le côté.
— serveuse all night club
ton patron exploite tes dons pour ces affaires et tu n'as pas d'autres choix que de te plier à ces ordres.
— the pantheon troupe
boucle la fin du mois en ayant recourt à des méthodes peu recommandés, couteau suisse agrippés par l'illégalité, trafic de drogue, escroquerie.Occupation :
— DEMIGUISE
FORME :
seuil 0 × partielle
seuil 1 × accrue
seuil 2 × totale
seuil 3 x objet & autrui
DÉCLENCHEMENT :
seuil 0 × aléatoire
DURÉE :
seuil 0 × une heure
— GODAI FOUDRE
MAN. DE L'ÉNERGIE :
seuil 0 × manipulation
seul 1 × création
1 pts en rés.Particularité(s) :
Relations :
— hyunbin,, vestige d’une nuit d’été.
— kian,, ange gardien.
— jun,, bourreau sans pitié.
— jinx,, symphonie des mélodies.
— garam,, lié par des secrets.
— mei,, collaboratrice dans l’ombre, mentore.
— atlas,, camarade de chambre.
— suk,, miss u.
— inhyuk,, illusion salvateur.
— yu ari,, aura solaire.
— nam geonu,, old bff.
— evans, i don't remember but ty.
— rp en cours ;
— it's time to talk,, kim hyunbin
— like a stranger,, nishino kian
— rainy day,, ,, mo garam
— percutant,, kazama kaito
— sittin' all alone,, jinx cattermole
— attrape-moi si tu peux ,, kirigoe mei
— à l'aube des regrets,, seo inhyuk
— désenchanté,, yu ari
— la rose et le renard,, rp libre
— ton doigt sur la gâchette,, nam geonu
maybe you ? mp toujours
open pour rp hihi.
Plume à Papote :— ÉLÈVE ❝ i control the world and the bruises on my isotopes
IRL : KITAI, nef — she/her
Avatar, Crédits : lee sung-kyung,, reveriedits & sparklecreas
Messages : 180
RPs : 3
Gallions : 3 166
the gentle art
of making enemies
☾ ✦ ☽
Disclaimer :
j'évite les tw dans mes rp mais je vous préviens lorsque j'en utilise. j'suis ouverte au tw si jamais y en a dans le votre, btw !
Multicomptes : -
Naissance & Âge : 23 ans
Pronom(s) du personnage : she/her
Couleur de dialogue : <den></den>
Occupation :
— étudiante magizoologie
lien fusionnel avec tes études, t'préfères être entouré par ces créatures. t'sais qu'une caresse est suffisante pour qu'il soit fidèle à toi. t'mets tout de côté quand il s'agit des créatures, t'montres cette affection que personne ne leur montre avec tendresse et pour une fois, ton visage neutre s'éblouit. tes lippes tirent sur le côté.
— serveuse all night club
ton patron exploite tes dons pour ces affaires et tu n'as pas d'autres choix que de te plier à ces ordres.
— the pantheon troupe
boucle la fin du mois en ayant recourt à des méthodes peu recommandés, couteau suisse agrippés par l'illégalité, trafic de drogue, escroquerie.
Particularité(s) :
— DEMIGUISE
FORME :
seuil 0 × partielle
seuil 1 × accrue
seuil 2 × totale
seuil 3 x objet & autrui
DÉCLENCHEMENT :
seuil 0 × aléatoire
DURÉE :
seuil 0 × une heure
— GODAI FOUDRE
MAN. DE L'ÉNERGIE :
seuil 0 × manipulation
seul 1 × création
1 pts en rés.
Relations :
— hyunbin,, vestige d’une nuit d’été.
— kian,, ange gardien.
— jun,, bourreau sans pitié.
— jinx,, symphonie des mélodies.
— garam,, lié par des secrets.
— mei,, collaboratrice dans l’ombre, mentore.
— atlas,, camarade de chambre.
— suk,, miss u.
— inhyuk,, illusion salvateur.
— yu ari,, aura solaire.
— nam geonu,, old bff.
— evans, i don't remember but ty.
Plume à Papote :
— rp en cours ;
— it's time to talk,, kim hyunbin
— like a stranger,, nishino kian
— rainy day,, ,, mo garam
— percutant,, kazama kaito
— sittin' all alone,, jinx cattermole
— attrape-moi si tu peux ,, kirigoe mei
— à l'aube des regrets,, seo inhyuk
— désenchanté,, yu ari
— la rose et le renard,, rp libre
— ton doigt sur la gâchette,, nam geonu
maybe you ? mp toujours
open pour rp hihi.
une s e m a i n e,
que ton cœur était lourd.
qui claquait si facilement sur ta langue,
tu jubilais, t’étais la môme qui se régalait du désespoir.
nuit anodine à nagao, rien de paisible, rien de visible à l'œil nu sur ce quartier. tout se faisait dans l’ombre. tu pourrais disparaître des environs et personne ne remarquera ton absence, hyesu, personne ne s'en souciera. peu d’entourage que tu conservais autour de toi. cercle restreint qui tu surnommais hyesu. tu te tordais, tu te pliais face au ordre de ton supérieur. tu maudissais le jour où t’avais posé tes pieds ici, prisonnière de tes actes. qu’est-ce qui t’a pris de croire que ce serait différent ici ? le brouhaha incessant qui s'élevait dans le club, musique en fond, les commandes qui fusaient de droite à gauche, des visages qui se tordaient au goût amer. cocktail que tu préparais avec soin pour faire plaisir au palais des clients, un délice sous forme de supplice, tu les marquais à ta façon. tu leur faisais oublier leur maux à travers tes cocktails.
encore et encore.
un verre.
deux verres.
et ils perdaient le compte.
le temps passait trop vite, jours qui s’ressemblaient et s’mélangeaient dans les brumes de l’alcool et des substances. faux sourire qui ornait tes lippes en un rictus pourtant si convainquant. t’avais toujours été doué pour mimer surtout pour c a c h e r. t’agissais machinalement, c’était ton mécanisme de défense, ton système te poussait à te méfier. tignasse flamboyante au iris caramel, les nuages grondaient autrefois, prêts à foudroyer le premier qui piétinait tes convictions. t’avais du cran et rien ne semblait t’atteindre, rien ne semblait t’effrayer. le revers de la médaille était tout autre.
ta raison s’échappait.
tes fragments de souvenir s'effaçaient.
caboche embrumé par un sort que tu ne doutais.
aujourd’hui, haneul, t’étais le pion parfait entre les mains de la mauvaise personne et t’étais consciente. défaut fatal de rugir, de laisser couler ton poison à travers tes lèvres parce que tu préférais la violence des mots à la violence des poings. le piège qui se refermait sur toi, menace clair, t’avais compris que cette fois-ci : tu n’avais pas d’échappatoire.
aucun sens, aucune suite logique à ce qui t’arrivais. et peut-être que c’était mieux de ne rien savoir ? de rester dans le déni, de te persuader que c’était la fatigue et rien d'autre. tu secouais ton dernier shake pour l’un de tes cocktails, tes poignets étaient douloureux, ce soir mais la fin de service approchait et le nombre de client diminuait. ça te rassurait. tes mirettes se posaient sur ce visage, énième faux sourire de la soirée et cette question que tu répétais en boucle quittait la barrière de tes lèvres sur un ton formel. — bonsoir, je vous sers quoi ?
tes iris lâchaient déjà ton interlocuteur du regard, tu déversais le liquide dans le verre pour poser le cocktail du client précédent sur le comptoir avant de reprendre le contact visuel avec lui. tu te massais le poignet droit jusqu'à rougir ta peau, en attendant une réponse de sa part. visage étranger et pourtant, tu ne comprenais même pas pourquoi tu lui parlais en japonais comme si c'était une habitude de le côtoyer. hyesu, et si c'était le cas ?
que ton cœur était lourd.
qui claquait si facilement sur ta langue,
tu jubilais, t’étais la môme qui se régalait du désespoir.
nuit anodine à nagao, rien de paisible, rien de visible à l'œil nu sur ce quartier. tout se faisait dans l’ombre. tu pourrais disparaître des environs et personne ne remarquera ton absence, hyesu, personne ne s'en souciera. peu d’entourage que tu conservais autour de toi. cercle restreint qui tu surnommais hyesu. tu te tordais, tu te pliais face au ordre de ton supérieur. tu maudissais le jour où t’avais posé tes pieds ici, prisonnière de tes actes. qu’est-ce qui t’a pris de croire que ce serait différent ici ? le brouhaha incessant qui s'élevait dans le club, musique en fond, les commandes qui fusaient de droite à gauche, des visages qui se tordaient au goût amer. cocktail que tu préparais avec soin pour faire plaisir au palais des clients, un délice sous forme de supplice, tu les marquais à ta façon. tu leur faisais oublier leur maux à travers tes cocktails.
encore et encore.
un verre.
deux verres.
et ils perdaient le compte.
le temps passait trop vite, jours qui s’ressemblaient et s’mélangeaient dans les brumes de l’alcool et des substances. faux sourire qui ornait tes lippes en un rictus pourtant si convainquant. t’avais toujours été doué pour mimer surtout pour c a c h e r. t’agissais machinalement, c’était ton mécanisme de défense, ton système te poussait à te méfier. tignasse flamboyante au iris caramel, les nuages grondaient autrefois, prêts à foudroyer le premier qui piétinait tes convictions. t’avais du cran et rien ne semblait t’atteindre, rien ne semblait t’effrayer. le revers de la médaille était tout autre.
ta raison s’échappait.
tes fragments de souvenir s'effaçaient.
caboche embrumé par un sort que tu ne doutais.
aujourd’hui, haneul, t’étais le pion parfait entre les mains de la mauvaise personne et t’étais consciente. défaut fatal de rugir, de laisser couler ton poison à travers tes lèvres parce que tu préférais la violence des mots à la violence des poings. le piège qui se refermait sur toi, menace clair, t’avais compris que cette fois-ci : tu n’avais pas d’échappatoire.
aucun sens, aucune suite logique à ce qui t’arrivais. et peut-être que c’était mieux de ne rien savoir ? de rester dans le déni, de te persuader que c’était la fatigue et rien d'autre. tu secouais ton dernier shake pour l’un de tes cocktails, tes poignets étaient douloureux, ce soir mais la fin de service approchait et le nombre de client diminuait. ça te rassurait. tes mirettes se posaient sur ce visage, énième faux sourire de la soirée et cette question que tu répétais en boucle quittait la barrière de tes lèvres sur un ton formel. — bonsoir, je vous sers quoi ?
tes iris lâchaient déjà ton interlocuteur du regard, tu déversais le liquide dans le verre pour poser le cocktail du client précédent sur le comptoir avant de reprendre le contact visuel avec lui. tu te massais le poignet droit jusqu'à rougir ta peau, en attendant une réponse de sa part. visage étranger et pourtant, tu ne comprenais même pas pourquoi tu lui parlais en japonais comme si c'était une habitude de le côtoyer. hyesu, et si c'était le cas ?
skate vibe, mk.
melody & lau
melody & lau
