— 93 PERCENT STARDUST (ji)

05.01.1998, 24 ans.Naissance & Âge :

eiji nomura
everybody dies in their nightmares

SONNETS OF A SORCERER

A WIZARDING GENEALOGY

nom & prénom nomura (— 埜村) comme un impact, comme une déchirure en plein ventricule gauche - qui renvoie inlassablement à l'attention transparente accompagnée d'un amour factice ; une présence réelle échangée comme si elle n'était pas vraiment indispensable. eiji (— 永次) dont même les arômes du prénom reflètent la complexité - qui n'a de l'adulte capricieux né sous les plafonniers dorés que l'allure mi-désabusée, l’œil vite lassé. patronyme vite contracté pour “ji” ; spontané, fréquent, sans contrefaçon.
âge vingt ans, écoulées comme une marionnette désarticulée - il enfile la peau d'un adulte tel un prince adroit : s'en défait en un claquement de doigts.
naissance 031199 sans artifice, à kantô l'incroyable - il ne possède que des souvenirs poussiéreux des années suivantes, décomposées en rêves brillants et en cauchemars désagréables, qui s'évaporent à mesure que son esprit s'évince de ses anciennes préoccupations.
origine(s), nationalité(s) japonais aux fissures coréeennes - d'apparence sage, le métissé fond à la façon d'une comète ; pommettes relevées & accent maladroit d'ailleurs qu'on doit aux origines d'une "mom" pas vraiment étrangère, mais qui a toujours été plus éloquente que papa.
occupation(s) elles l'attrapent et l'ensevelissent, pareilles à quelques sables mouvants coriaces : double vie menée à même la participation à ses nombreux cours fastidieux, le double cursus qu'il s'est lui-même imposé est monstrueux, bouffe son énergie et étale ses hématomes pourpres à la lisière de ses paupières inférieurs. parce qu'il n'est pas question de décevoir sa famille, l'éternel apprenti médicomage s'adonne dorénavant au cursus arts et spectacles, celui qui fait vibrer ses sens et briller cette frénésie précaire.
situation financière excessive sans aucun doute, ça claque les gallions sans trop y penser parce que c'est pour ça qu'ils sont amassés - pour baigner dans l'exorbitance nauséeuse. eiji qui jouit de quelques privilèges iniques, qui fait partie de ceux qui ne sont pas victimes des interdits ; sanctionnés de peu ; coupables de rien.
statut civil nocturne découragé qui crache sur l'amour. y'a plus de place pour espérer, plus vraiment le temps ni l'envie pour de simples attentes chimériques parce que eiji agit comme un enfant fuyant ; désillusionné ; effrayé quand on commence à balancer des paroles qui veulent impliquer quelque chose de plus grand - davantage vertigineux. eiji est plutôt captivé par l'instant uniquement, par les souffles brûlants contre l'épiderme nue ; par les baisers ardents sous la lune transparente ; puis par l'après, alors que les rayons transpercent les persiennes & que les corps sont enlacés au milieu des draps froissés. il aime à s'y tromper, en tout cas ; l'impression que c'est quand même creux par dessous les côtes. + le goût des hommes & des femmes posé à même ses lèvres de façon indélébile - si ça n'a pas été tout de suite une évidence, plutôt un murmure désagréable répété au milieu de la nuit sans sommeil, c'est à présent une nécessité qu'il apprend à taire - sans honte - aux oreilles de ceux qui ne sont pas prêts à l'entendre vibrer dans leurs tympans.

famille
parents

kwon yeri

nomura hajime

médicomages de renom qui s'appliquent à offrir au reste du monde l'attention qu'ils auraient du réserver à leur fils. oh, ils sont là : par le biais de cadeaux aux prix exorbitants, de fêtes d'anniversaires surprises organisées alors qu'ils demeurent occupés sur une autre hémisphère, à des milliers de kilomètres de lui, et par l'arrivée de lettres envoyées en avance pour le féliciter de ses résultats qui ne sont pas encore officiels, mais c'est une habitude, n'est-ce pas ? contrairement à ce que l'on pense, l'amour ne s'achète pas, et l'affection bâclée à laquelle a eu le droit eiji reste sa plus grande cicatrice : personne ne lui a appris à ((s'))aimer.
particularité les facultés du dreamcatcher relèvent davantage de la malédiction plutôt que du don : tandis que ses propres mirages sont noyés par les démons des autres, eiji ne dort pas, somnole à peine durant ces semi-nuits, constamment troublées par la moindre intrusion accidentelle. et c'est une chose éreintante, en réalité, que de savoir les ambitions et les peurs d'un chacun. l'anomalie demeurée cachée le consume, à la manière d'un incendie incoercible ; au travers de quelques gouttes de potion sans-rêve elle se tait enfin, s'épuise jusqu'à tout-à-fait s'éteindre tant que l'élixir est actif.
mode de vie instantané et vitesse grand v - il s'épuise aux grandes festivités et à la musique bourdonnante, se laisse parfois allé aux concoctions douce anesthésiant les sens et les émotions : l'elixir euphoria est suffisant pour lui permettre de garder la tête hors de l'eau tandis que ses difficultés y plongent jusqu'à toucher le fond. pour autant, il peut se satisfaire de quelques proches pour une soirée improvisée, épuisant toute la nuit sa rétine contre l'écran transparent affichant ce jeu vidéo factice et addictif. il reste cet amateur de cigarettes sorcières orpheus, davantage pour leur goût sucré que pour leur toxicité moindre. ajoutés à ça quelques piercings qui ornent ses oreilles, le seul écart de conduite plus ou moins toléré par ses parents - pas d’exclamation virulente, pas de remarque hypocrite, et ça a été paradoxalement irritant pour eiji qui s'est fait percé dans le but de les faire réagir, attirer un peu l'attention. un échec, vraisemblablement. aussi, une hypermétropie légère qui l'handicape surtout en cours, il est incapable de déchiffrer quoi que ce soit à proximité de ses iris s'il ne porte pas ses verres. il préfère de loin les lentilles parce que moins imposantes, mais il se réhabitue doucement à ses lunettes depuis que katsumi lui a dit que ça lui faisait un beau visage. sa fibre artistique épate, notamment quand il s'agit de flinguer la racine de ses cheveux. à force de sortilèges à répétition, ses mèches sont devenues aussi sèches que du blé - couleurs vives & neutres, juste de quoi changer de l'habituelle qui l'horripile.
aesthetic
━ﾟ.★ OVER THE RAINBOW

to the moon and back » cursed child » green gardens are not what's growing in my psyche » never satisfied » shadows will scream that i'm alone » g o l d » city by night » scorpio sun » unconditional love » afraid to show emotions » summer games » needs someone to hold him tight in the darkest of days » rings » deny reality ⇋ freak out » stay close to people who feel like SUNLIGHT » billionaire boys club » nothing:tm: » happy tears » diamonds dancing » virgo moon » you are made of stars » we all eat lies when our hearts are hungry » king with no crown » happy memories » successful » sooner than later » young gods » everything is b l u e » multicolored hair » CIGARETTES » rich boys don’t have hearts » angel face, devil thoughts » do not tell me what i can and cannot do » [ a - tel - o - pho - bia ] — “the fear of imperfection, the fear of never doing enough.” » free smoke » it don’t matter to me what you say » eternal interlude ---

— they call me
❝ Park Jimin ❞ © skate vibe & pastel breathing.

Magical me

baguette la relique est taillée dans le bois de noyer noir, instable jusque dans sa façon d'obéir à son possesseur. oscillant entre deux extrêmes, si l'équilibre est sa drogue, la perte d'assurance est implacablement son venin ; chasse la magie comme le feu crame les racines d'un arbre squelettique. face aux désillusions de eiji, il s'offusque : sorte d'épreuve malicieuse, elle semble le tester en permanence, joue avec ses humeurs depuis quelques infinités temporelles si bien que l'adolescent a plus ou moins appris à faire sans. occasionnellement, il délaisse la précision de l'instrument au profit de sortilèges exécutés sans baguette - davantage fiables, plutôt réussis. en son cœur, une longue plume d'oiseau-tonnerre, qui ne vient qu'en parfaire la complexité. d'une longueur de 24,2 cm, elle est relativement flexible et affinée : lorsqu'elle se décide à collaborer, elle relâche quelques enchantements élégants, dont les nuances s'étalent de l'azur brumeux jusqu'à l'améthyste.
maison au-delà de quelques sensations ataviques, le bakeneko lui a offert une véritable famille, un foyer où se sentir lui-même - et si la maison kasaï n'était pas une évidence, elle l'est devenue lorsqu'il l'a préférée à celle des mizus.
nature du sang son sang demeure éternellement pur, on peut tracer sa lignée, y voir l'absence de tâche et d'erreur. marbrures serties de pierres précieuses qui brillent à travers l'hémoglobine vermeil - si tant est que cela veuille encore signifier quelque chose.
amortentia la première ne l'a jamais véritablement quitté, comme si elle avait été là dès le début. effluves sucrées qui chatouillent les narines, liquide cousu de grain sucrés et éclatant de souvenirs partagés avec katsumi : le chocolat chaud, mousseux et brûlant, ne s'efface vraisemblablement pas ; ne céderait cette place pour rien au monde. la seconde est empreinte de remords, de regrets et probablement de culpabilité dévorante : associe de façon étrange la pluie et le caramel. une chose qu'il gardera cachée, dérobée à celle qui demeurera son premier amour. la troisième répand un parfum presque masculin, amazingreen qui s'éparpille sur quelques notes d'encens ondoyantes ; rappel à la luxure, aux instants dérobés lors de ces courtes nuits qui n'appartiennent qu'à eux - en guise de fragments de paradis.

(la dernière est déchue ; cruelle et amère, plaie à vif qu'il s'efforce de faire disparaître.)
patronus s'il aspire à la vie, à l'adrénaline qui fait pulser ses veines contre l'écorce de son corps, le mamba noir l'atrophie sans état d'âme - le souffle azurin s'estompe plus vite qu'il ne s'esquisse, lorsque l'animal apparaît pour la première fois sous ses yeux. la surprise désenchante : à avoir longtemps espéré l'élégance d'un félin, la carrure d'un volatile. en vérité ce n'est que sa loyauté sans faille, cette nécessité à défendre les siens, son territoire, qui semble l'emporter sur le reste. elle s'affirme jusque dans son souvenir le plus précieusement gardé, paradoxalement aux apparences qu'il s'obstine à maintenir : ce n'est qu'un solitaire, épouvanté par l'idée même de la solitude.
épouvantard autrefois, l'orage brouillon l'enveloppait entièrement, l'engouffrant dans les méandres d'une pièce sombre, sans issue, sans bruit : la solitude était la pire de ses terreurs. à présent la créature adopte l'illusion d'altitude, vertigineuse et effrayante - eiji, quant à lui, siège sur le point culminant, qui se trouve à plusieurs centaines de mètres, étroit et entourés d'un lac de nuages grisâtres.
risèd nébuleux ; il n'y voit que son parfait reflet, lui-même.
animal de compagnie un jeune niffleur, têtu et timide avec les nouvelles têtes, prénommé merlin par manque cruel d'idée.

031199 quelques cris de joie mélangés à l'euphorie ambiante, premier enfant du couple qui supporte déjà leur fierté. naissance de eiji.
-- -- 04 la première apparition de ses pouvoirs fut abrupte ; disséminée au sein d'une colère aigue, dirigée contre un frère irritant.
040406 entrée à mahoutokoro : eiji est tout aussi confiant que stressé, tandis que deux statues se disputent sa présence. l'eau sage et le feu turbulent débattent plus qu'ils ne s’époumonent, et c'est finalement le second que eiji choisit, le cœur offert au doute.
050406 lorsque son don de dreamcatcher s'exprime, c'est le rêve d'un camarade de chambre qui s'extirpe quelques instants de son possesseur pour le partager à l'hensoku. le lendemain il n'en garde qu'une sensation étrange, inexplicable, pas tout-à-fait certain de ne pas avoir été lui-même plongé dans un rêve.
130406 son don incontrôlable, eiji est épuisé - perdu. consigné à l'infirmerie jusqu'à l'arrivée de ses parents, ils rentrent chez lui quelques jours, et évacue le fardeau de ses nouvelles sensations en avouant cette singularité à ses parents. rapidement, ils prennent des dispositions pour ne pas attirer l'attention, lui imposant le choix de n'en parler à personne et d'avaler quelques gouttes de potions sans rêve, tout au plus, pour en atténuer les effets. eiji s'exécute.
06 → 15 ses années sont teintées de toutes ses mésaventures. il oscille entre investissement inépuisable en cours et sorties, éternellement entouré de ses proches, source infinie de son bonheur. eiji découvre qu'il a un certain potentiel pour aider les autres, et organise quelques séances tardives de soutien, pour les premières années qu'il chouchoute toujours plus. tête de classe, parfois major de promo, il fait un préfet mémorable, de toute évidence. joueur de quidditch relativement doué, il noie sa fatigue dans la potion qui devient rapidement davantage qu'un simple breuvage médicinal : elle anesthésie ses somnolences, bride ses évasions furtives, et lui permettent de se concentrer sur ce qui compte vraiment : sa réussite.
190216 sa chute lors d'un match de quidditch marque momentanément la fin de ces excès. en pleines eaux troubles, il met un terme à sa relation avec yiren quelques mois plus tard, définitivement plus certain de ce qu'il ressent pour elle - et pour les descendantes de vénus en général.
030917 le départ de mimi fait mal - si mal. à la même période il fait la rencontre de joyce. elle devient son excuse, le seul instant d'abdication qu'il s'autorise pour respirer correctement.
--0118 lui c'est autre chose - c'est spécial. c'est brûlant, c'est rassurant, c'est inattendu au point qu'il rechigne un peu à l'idée de lui faire pleinement confiance, au début. mais il finit par le faire, les yeux fermés, le cœur frileux qui lui appartient si vite - trop vite.
--0518 il le déteste. il le déteste tellement.
--0618 la pause aura été de courte durée ; pour oublier sa peine ((sa présence)) il s'agit de se plonger toujours plus dans les bouquins, dans les phrases apprises par cœur, dans ses arts, dans les bras de joyce, aux côtés de ses amis. et sans réellement s'en rendre compte il semblerait qu'il s'amuse à répéter les mêmes erreurs - que le tout recommence.
--1119 il rend visite à katsumi, en italie ; la seule capable d'apaiser un peu ses sanglots silencieux, de le remettre sur pieds sans même parler de ce qui ne va pas. le retour à mahoutokoro est plus brutal, et le silence de son appartement gigantesque l'effraie : il squatte un peu partout, trimbale ses bagages chez leven et s'éclipse à l'occasion chez raijin -- il guérit, lentement mais sûrement.
--0119 le retour de sa meilleure amie lui fait un bien fou ; l'impression de retrouver cette partie de lui-même, manquante depuis quelques années.

HE FLEW LIKE A MADMAN

Fairy tails

#1 pas plus spécial qu'un autre, et pourtant le palpitant rebondissait contre sa poitrine, ses sens demeuraient maintenus aux aguets et sa passion incandescente - enfiler le masque du super-héros représentait probablement davantage qu'un simple passe-temps, un rêve d'enfant qui paraît lointain mais qui guidait si bien ses mouvements, ses ambitions, enflammait un peu son quotidien tout en éloignant toujours plus les frayeurs du silence qui ont empli sa jeunesse. la mascarade a duré quelques années, durant lesquelles il s'efforçait d'aider, de se rendre utile autrement qu'à travers la reconnaissance de ses parents - secret réservé, c'était pour lui, sa propre gloire, pas la leur.

#2 il se rappelle de l'ébranlement, de la secousse ayant fragilisé l'ensemble - le cognard nargue sa tempe gauche, enivre son équilibre mais pas assez pour que ses doigts lâchent le bois. il se souvient de ces quelques instants de battements, où sa respiration chaotique était l'unique sifflement qui résonnait contre ses tympans, où la hauteur sous ses pieds le faisait trembler d'appréhension, alors que sa vision s'engraissait de quelques étoiles parasites, multicolores. et il lui semble avoir finalement abandonné les airs, son corps glissant contre son balai --- alors il se remémore la douleur, les os en miettes et les membres inertes, tandis que son squelette reste figé au sol.

#3 de la chance, d'après les médicomages - beaucoup de chance. accumulation de fatigue, de stress, il s'était fait bouffé par ses propres ambitions, à repousser ses limites toujours plus loin jusqu'à franchir la ligne rouge. la vérité est telle qu'il était abattu, physiquement et émotionnellement, enchevêtré dans un quotidien lourd, saturé d'occupations, nullement guéri de ces nuits étriquées par des rêves qui ne sont pas les siens, tout du moins lorsqu'il parvient à atteindre un sommeil aussi profond. regard un peu perdu, il se fait sermonné, coupable de n'avoir demandé de l'aide à personne : d'avoir attendu l'échéance, qu'on remarque que ça ne va pas. par yiren, d'abord, préoccupée ((bouillonnante)) et engluée à son chevet depuis plusieurs jours ; par katsumi, blême et inquiète ; par leven, posté un peu plus loin, froid et déçu -- puis par ses parents, dont la présence s'évapore quelques heures plus tard, comme s'ils ne s'étaient pas réellement inquiétés, seulement là pour la forme.

#4 quelques semaines de récupération, à coups de potions magiques et de semi-nuits agitées, le temps que ses os se remettent en place et que les lancements perçus dans chaque recoin de son corps s'atténuent et disparaissent. la reprise des cours a quant à elle été un peu plus fastidieuse, ornementée de notes plus basses qu'à l'habitude mais pardonnées en vue des circonstances : il n'avait pas pu reprendre son rythme d’antan, étroitement surveillé par ses camarades qui s'assuraient de son rétablissement en continu. organisés à la manière d'une bande de braqueurs, ses amis s'étaient ligués contre son manque de sommeil : katsumi lui confisquait parfois ses notes, tandis que raijin & leven s'appliquaient à exterminer ses préoccupations néfastes en le tirant jusqu'à des endroits davantage festifs, pour lui permettre de se focus sur son bien être et de s'aérer l'esprit.

#5 comme si ses propres démons ne suffisaient pas à abîmer ses barrières, il a fallu qu'il ait la capacité d'accéder à ceux des autres. se savoir dreamcatcher n'est pas une aubaine ; à la façon d'une maladie eiji s'applique à faire disparaître ses symptômes les plus problématiques, les mêmes qui l'empêchent d'atteindre un sommeil serein, dérivant vers des doses de potions insensément excessives. autrefois les cauchemars dissociables des siens étaient accumulés de façon plutôt cartésienne, presque contrôlables mais si personnels que eiji répugnait à l'idée de n'avoir d'autres alternatives que de les subir ; sorte de répulsion sans fin, l'intolérance qu'il a développée n'a fait que rendre son pouvoir plus sauvage, inapprivoisé. il s'efforce de mélanger les songes d'un chacun, rendant le schéma de son utilisation confus et brouillon, fracturée en un nuage corrosif qui n'a de cesse de le rendre plus irascible qu'à l'habitude.

#6 paradoxe vivant : parce qu'il a de l'affection à outrance mais est réticent à l'idée d'en accepter. de fermer les yeux et de se dire que y'a pas d'arrières pensées, de plans bien tissés, ou la volonté de pas assumer - de juste l'aimer. le sourire en guise d'astre brûlant & les joues potelés qui le rendent plus accueillant, eiji c'est juste un gosse surprotégé par des diamants et guidé par son besoin d'être entouré, de pas se retrouver seul au milieu de ses démences. parfois ça coince dans la gorge, à la façon d'un fil tendu contre son cou. alors y'a joyce, depuis quelques infinités de temps déjà --- cette jolie mélodie aux accords connus sur le bout des doigts, cette supernova aux couleurs acidulées qui est la seule à pouvoir se vanter d'avoir apaisé un peu son âme. leurs corps s'enlacent contre quelques bribes paradisiaques, le premier qui s'engage à être le refuge de l'autre le temps d'une nuit sans sentiment, sans parole engageante, et c'est une chose qui leur convient.

#7sa joyeuse affection lorsque ses pensées sont défoncées par le shōchū sorcier font écho à son hyperactivité classique. collant comme pas deux, à chercher le contact de ses proches pour quelques déclarations d'amitié saugrenues, eiji est intenable, une fois ses sens enivrés par l'alcool.

#8 échappatoire de prédilection, celui qui abrite les plus exubérantes de ses humeurs, s'explose en quelques particules artistiques : de la danse jusqu'au chant en passant par les colorations immortelles, si ce n'est pas le monde qui l'entoure qui s'expose à ses plus petites fantaisies c'est alors son corps tout entier, initialement fait toile immaculée de blanc, désormais à moitié intacte, qui se pare de ses plus belles œuvres.

☽ ♔ ☆

MY LIFE AS A MUGGLE

Note tiens mais qui voilà INSPECTEUR GADGET :dog:

!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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morte les lyrics pour l'occasion tu prends juste le titre et pas le reste ok

edit;

SKATE VIBEAujourd'hui à 18:37
oui jtm si fort que ça me fait mal au coeur tu vois

AH en effet si on le prend comme ça JPPPPPPPP

+++ TON AES EST OUF ET T'OSE TE PLAINDRE BLABLABLA JSUIS PAS SÛRE BLABLABLA

djdjkckf

heeeeeeey beauté des îles :sehun:

omg, cet aes' ! et ce début de fiche ! :omg:

hâte de voir la suite ! courage pour la finition ! <3

bienvenue par ici :hearts:

05.01.1998, 24 ans.Naissance & Âge :

@"wei ishii" jtm de tout mon coeur bae :bighug:

@"katsumi arai" C TOI LE LOVE DE MA VIE JEXISTE PLUS SANS TOI OK DAMMIT !! pour le talent j'ai appris des meilleurs (aka toi)(tu sais, la meuf la plus balez du graphisme game)(bisous)

@leven ueda JFIREFUOIIjfizejoi prépare-toi ton keum arrive vite
j'annonce :sehun:

@"kayden wattana" salut miss monde :jk:

@"marion creiddylad" merci bby :sad: