- spuf, Léa — elle/she/herIRL : jacob bixenman (self) ; signa (diatypose)Avatar, Crédits : 2314Messages : 1RPs : 17186Gallions :I am the monster you created
you ripped out all my parts- TW:
- ((irl)) : peu de choses me triggered, du moment que les thèmes abordés sont traités avec respect et qu'ils respectent ce qui est demandé sur le forum, c'est safe. Je préfère quand même que l'on en discute ensembles si sujet sensible il doit y avoir.
((in rp))
now : violence physique & psychologique, mort & deuil, suicide, usage de drogue (venin de serpent)
past : grossophobie, bullying, abandon
STYLISTE — premier amour, passion prodige pour la couture renaissant de ses cendres, il œuvre à son compte, d'une réputation faite dans les bas fonds aujourd'hui portée aux oreilles d'or des grands
TEMPLE D'IZANAMI — vipère bitume balance sa rage et sa violence au détour de combats crevures. unique endroit où la déraison embrasse la passion de la mort
KIRORSA-KAÏ — shuhensha au marché noir, cherche et revend des artefacts à prix d'or. Occupation : ayakashi (soigné), première transformation le 17.02.2015Particularité(s) : akira — the underdogs
alistair — hey brother
anla — sweet mind to play, iron heart to tease
atlas — a beautifully bad idea
calista — the rose and the snake
felix — lover's gone, friends back in sight
jp — pain in the ass
lloyd — going under tortuous ways
morgane — strange mentorship
pandore— memories never die
remi — u.cRelations :— SORCIER ❝ magic in my veins
IRL : spuf, Léa — elle/she/her
Avatar, Crédits : jacob bixenman (self) ; signa (diatypose)
Messages : 2314
RPs : 1
Gallions : 17186I am the monster you created
you ripped out all my parts
Disclaimer :- TW:
- ((irl)) : peu de choses me triggered, du moment que les thèmes abordés sont traités avec respect et qu'ils respectent ce qui est demandé sur le forum, c'est safe. Je préfère quand même que l'on en discute ensembles si sujet sensible il doit y avoir.
((in rp))
now : violence physique & psychologique, mort & deuil, suicide, usage de drogue (venin de serpent)
past : grossophobie, bullying, abandon
Multicomptes : noé, le soleil • kenzo, la lune •
Naissance & Âge : ((30.04.93)) (( vingt-huit ans )) trempe dans la fleur d'un âge en plein spleen.
Pronom(s) du personnage : ((il/he/him))
Couleur de dialogue : steelblue
Occupation : INTERVENANT — l'ancien couturier prodige déchu dans son ascension offre ses connaissances en mode aux étudiants de Mahoutokoro par interventions, pédagogie bancale, passion féroce enflammant les discours
STYLISTE — premier amour, passion prodige pour la couture renaissant de ses cendres, il œuvre à son compte, d'une réputation faite dans les bas fonds aujourd'hui portée aux oreilles d'or des grands
TEMPLE D'IZANAMI — vipère bitume balance sa rage et sa violence au détour de combats crevures. unique endroit où la déraison embrasse la passion de la mort
KIRORSA-KAÏ — shuhensha au marché noir, cherche et revend des artefacts à prix d'or.
Particularité(s) : ayakashi (soigné), première transformation le 17.02.2015
Relations : akira — the underdogs
alistair — hey brother
anla — sweet mind to play, iron heart to tease
atlas — a beautifully bad idea
calista — the rose and the snake
felix — lover's gone, friends back in sight
jp — pain in the ass
lloyd — going under tortuous ways
morgane — strange mentorship
pandore— memories never die
remi — u.c
Appréhension battant au cœur, si fort. En résonne dans le crâne, rend sourd à l’agitation des couloirs. De ces pas qui se pressent sur le sol, d’un retard presque voulu tant il redoute de se rendre dans la salle de duel. Reprendre un combat laissé en suspens, perdu d’avance.
Ca te va bien. La rage. Les mots poisons sont restés coincés dans un coin de sa tête, en musique rouillée dont on ne peut pas se débarrasser. Il a tort. Elle ne lui va pas bien. Il a peur. Il est fait pour la douceur, certainement pas pour les élans destructeurs. Au-delà des mots c’est la rencontre elle-même qui reste et obsède. Presque autant que le serpent lion.
Minuscule dans la salle, entre tous les autres. Les yeux au sol dans une tentative de s’effacer, être oublié. Que d’autres s’affolent sur l’estrade et lui n’en reste qu’un pauvre spectateur. Pourtant.
C’est son nom que l’on appelle. Couperet à la gorge. Le regard levé en pitié muette. Le lion au menton haut est déjà en place.
Le nom résonne à nouveau et on le pousse. En avant dans la marée, Charon s’en extirpe timidement. Bien loin de l’attitude écrasante de l’adversaire, il semble déjà perdant. Soumis à l’ordre logique des choses, lui en-dessous des monstres aux crocs d’acier comme l’Atlas et sa fierté.
La baguette se brandit dans un salut qui se veut ferme et déterminé. Seulement en surface. Le regard croise le temps d’une seconde comète celui d’Atlas. Un battement de cil en refuge et le souffle se relâche. Il n’avait pas remarqué qu’il ne respirait plus.
Les doigts autour du bois s’y agrippent. Peur de sombrer. De voir la rage revenir.
Elle suinte pourtant, sous la peau.
Dans les veines.
La faiblesse n’existe plus dans les yeux de l’adversaire, il l’a vu.
Ca te va bien. La rage. Les mots poisons sont restés coincés dans un coin de sa tête, en musique rouillée dont on ne peut pas se débarrasser. Il a tort. Elle ne lui va pas bien. Il a peur. Il est fait pour la douceur, certainement pas pour les élans destructeurs. Au-delà des mots c’est la rencontre elle-même qui reste et obsède. Presque autant que le serpent lion.
Minuscule dans la salle, entre tous les autres. Les yeux au sol dans une tentative de s’effacer, être oublié. Que d’autres s’affolent sur l’estrade et lui n’en reste qu’un pauvre spectateur. Pourtant.
C’est son nom que l’on appelle. Couperet à la gorge. Le regard levé en pitié muette. Le lion au menton haut est déjà en place.
Le nom résonne à nouveau et on le pousse. En avant dans la marée, Charon s’en extirpe timidement. Bien loin de l’attitude écrasante de l’adversaire, il semble déjà perdant. Soumis à l’ordre logique des choses, lui en-dessous des monstres aux crocs d’acier comme l’Atlas et sa fierté.
La baguette se brandit dans un salut qui se veut ferme et déterminé. Seulement en surface. Le regard croise le temps d’une seconde comète celui d’Atlas. Un battement de cil en refuge et le souffle se relâche. Il n’avait pas remarqué qu’il ne respirait plus.
Les doigts autour du bois s’y agrippent. Peur de sombrer. De voir la rage revenir.
Elle suinte pourtant, sous la peau.
Dans les veines.
La faiblesse n’existe plus dans les yeux de l’adversaire, il l’a vu.