you do not let go
berlioz tolkien se décline en de trop nombreuses parcelles éparses. son premier, ((berlioz )), est musique à l'oreille : syllabes chaudes aux airs de symphonie, souvenir du seul moyen qu'avait sa mère de l'apaiser enfant. son second ((arsenius )) s'ajoute à l'étrange pattern qu'ont recréé ses parents d'un enfant à l'autre — prénoms cachés inspirés desorciers célèbres : il est l'arsenius jigger des cartes de chocogrenouilles et l'arsène lupin des romans moldus que son père aimait leur lire il y a des siècles, à l'heure du coucher. le plus souvent, on le surnomme “oz „. son troisième estsavage , patronyme chargé desméfaits rocambolesques de son père et de son grand-père paternel. y'avait de la fierté autrefois, entre ces lettres aux accents d'interdit. undélice certain lorsqu'il prononçait ce nom, fierté forgée par la persistance tenace à voir en ce père un héros incompris, robin des bois sorcier dont la silhouette délavée s'agrippe à ses souvenirs érodés. ça lui dessinait un sourire en demi-lune, des commissures aux coins des yeux : volutes d'un bonheur vif à en percer le cœur. bonheur éphémère pourtant, car s'est vite profilé, à l'horizon, le crépuscule doux-amer annonciateur de fin : après que papa ait brutalement disparu de la pellicule, cloîtré derrière des barreaux à l'insu de sa marmaille, il a été remplacé par un autre ; un homme dont berlioz n'aura jamais détenuque le nom ((tolkien )) mais jamais l'affection.
20 ans grugés d'éclats et de ténèbres,montagnes russes permanentes. à tour à tour effleurer le ciel puis sombrer dans le néant, et inversement.
09 09 99, dans le tumulte de NY untrio d'étoiles vagabondes s'est immiscé dans le tableau familial, sans crier gare, muant soudain une famille alors peu nombreuse en véritable constellation. ensemble rare dont des clichés de naissance jaunissent encore sur des pages de vieux journaux, dans lhmes archives de l'amérique sorcière : une “paire de siamois „ aux ventres bombés demeurés liés, et une “fausse jumelle „ née à leur suite. quatre mois et demi plus tard, les garçons quittaient l'hôpitalséparés après une vingtaine d'heures d'opérations. deux décennies plus tard, l'idée que son siamois puisse avoir étésacrifié à son avantage tracasse encore berlioz.
japonais, coréen & américain père d'“occident „ ; mère métisse au parfum d'“extrême-orient „ partie achever sa scolarité à l'étranger. labig apple a réuni le duo haut en couleurs, avant que les écueils d'une vie chaotique ne les pousse à rejoindre les rives du pays du soleil levant, avec une armada de gosses de tous âges.
pur sans réel calcul ni grand intérêt pour la chose — d'un point de vue génétique, médical, ce statut ne confère “aucun bénéfice „ si bien que berlioz, homme de science, ne songe jamais vraiment à cet hémoglobine ayant donné naissance à desguerres .
11 ¼" bois d'if, crin de licorne ((28,6 cm)) raisonnablement “souple et flexible „ .
Les baguettes en bois d'if sont aussi parmi les plus rares et leurs partenaires idéaux sortent eux-mêmes de l'ordinaire, parfois pour de mauvaises raisons. La baguette d'if est réputée pour doter son possesseur d'un pouvoir de vie et de mort, ce qui, bien sûr, pourrait être dit de toutes les baguettes. Pourtant, l'if a une réputation particulièrement sombre et même terrifiante dans le milieu des amateurs de duels et de malédictions diverses. Il est cependant inexact d'affirmer — comme le font ceux qui ne connaissent rien aux baguettes magiques — que ceux qui utilisent le bois d'if sont plus susceptibles que d'autres d'être attirés par les Forces du Mal. La sorcière ou le sorcier le mieux adaptés à la baguette d'if peuvent également se révéler des protecteurs acharnés d'autrui. Les baguettes taillées dans le bois de ces arbres d'une grande longévité ont été vues en la possession de héros autant que de canailles. Là où sont enterrés des sorciers avec leur baguette d'if, un arbre pousse généralement pour garder la tombe. Ce qui est certain, d'après ma propre expérience, c'est que la baguette en bois d'if ne choisit jamais un maître médiocre ou timide.— pottermore
daichi 大地 réclamé par letanuki , oz est “fils de la terre „. l'âme à laflore , quelques grammes dechance au bout des doigts. mais sa veine est individuelle, tandis que l'ensemble de sameutefamille ne se partage qu'une avalanche de malheurs à répétition. or rien ne lui semble plussolitaire , à oz, que de bénéficier seul de ce baiser bienveillant du destin alors même qu'il est né trois et qu'il vit pour sept.
étudiant ((sciences médicomagiques, spécialité maladies & blessures magique)), 5e • stagiaire à l'hôpital
il a couru, oz, survolé les années : propulsédeux niveaux en avant par ses résultats ((2e année de SHŪSHI )).surdoué , dirait-on, mais comme d'autres dans son cas, il déteste le terme. opte pourhigh potential et le confie rarement. c'est qu'une part de lui persiste à croire que le QI lui aurait été un fardeau plutôt qu'un bénéfice s'il n'avait eu unbut … etpeu de temps pour l'atteindre . tic, tac ((le compteur s'affole)) : “sirius s'éteint en silence „ et “meruem se consume „ à feu violent, mené à sa perte par les poussées d'une magie souillée, auto-immune. alors oz, il serre les dents, pressé d'acquérir les aptitudes nécessaires à la recherche d'unremède , pour offrir à ses frères le luxe devivre plutôt que de seulement survivre.jobbeur depuis ses16 ans , il se rappelle un temps où il se rendait au boulot en courant ((plein d'entrain)).pianiste dans un bar lounge alors, payé pour offrir au monde les notes pour lesquellesrosie et lui partageaient un amour infini. mais le sky lounge a ouvert sa scène à une multitude de bands et d'amateurs désirant percer dans le milieu ; plaque tournante offrant la visibilité comme une opportunité et amoindrissant en retour le cachet offert aux musiciens. il ne lui restait qu'à chercher ailleurs et, dans le même temps, il a tout à fait délaissé la passion au profit deboulots alimentaires lui rappelant moins l'abandon progressif de sa mère. actuellement, c'est au “burger 9 3/4 „ qu'il s'échine à gagner, “tous les étés „ de quoi compléter le maigre salaire de soninternat .
seitokai auparavant membre et passévice-président depuisdébut 2019 . la charge supplémentaire lui aurait été impossible à cumuler avec le reste, si l'edt n'était spécialement conçu pour inclure les horaires des clubs au quotidien des élèves. à vrai dire, il a été “désigné „ plus qu'il n'a postulé ((lui qui n'avait choisi cette activité que pour leprestige sur le cv, doublé depoints supplémentaires )). merlin sait qu'il est un curieux spécimen, oz : généralement en retrait, car peinant à socialiser, mais pourtant “scrupuleux „ quant aux responsabilités qui lui incombent, qu'il s'agisse de larépartition du budget des clubs ou de l'organisation dessorties scolaires et des mémorablesspring break . son grand combat est de permettre aux étudiants plus défavorisés de bénéficier de tous les avantages que l'école a à offrir, afin d'amenuiser l'écart riches//pauvres qui le fait grincer des dents. par contre, ilexècre la manie qu'ont les étudiants de refiler aux membres du seitokai des tâches ne faisant aucunement partie des attributions du conseil, et n'hésite pas à les rembarrer sans façon dans ce genre de cas. raison pour laquelle certains le considèrent comme déplaisant et abrupt.
—musique backbone de sa scolarité, des heures passées à s'enivrer des instruments et rêver d'une autre vie. plus d'une fois ses professeurs ont évoqué undon , affirmé qu'il semblaitprendre vie à travers la musique, insisté pour qu'il y envisage un avenir ; mais une peur étrange l'a longtemps contenu : celle de voir sa véritable passion se crasher lamentablement en échec.
catastrophique un “rouge „ permanent. on se méprend aisément —tolkien est synonyme deconfort après tout, tant dans cette communauté que dans le monde moldu, si familier avec les romans du fameux J.R.R. mais les visages de la fratrie ne sontaucunement connus dans la haute société, car ils n'y sont pas admis : aux côtés de leur beau-père trône leur mère seulement. et pour eux, progressivementéjectés du tableau à l'atteinte de la majorité, le quotidien se tisse degalères et dejobs et dedettes laissées par leur père en héritage traître.
célibataire au myocarde gravé de souvenirs diamants-brutes. aujourd'hui à “eux „ mais demain à “elles „ ; il est de ceux qu'on qualifie d'éternels indécis. et au long de son parcours, lesle voilà devenu homo et autresoh— c'est qu'il redevient hétéro railleurs de son beau-père s'enchaînent comme les clés articulées sur le corps d'un instrument :sans discontinuer ((car si la grande majorité des sorciers n'a que faire de l'orientation, son beau-père voue à labisexualité un mépris tout particulier)). c'est un peu flou, un peu casse-tête, prise de tête même parfois. il n'est jamais tout à fait 50/50, oz. ça varie, vraiment, tout le temps. au fond, il s'agit seulement de capter un regard plutôt qu'un genre, une âme plus qu'une identité. quand il s'attache, oz, il “peine à dire adieu „. est de ceux qui s'obstinent, qui nient la débâcle et qui s'acharnent à sauver les cendres ((autant qu'il s'acharne encore à sauver des patients quand tout semble déjà perdu)). alors ses histoires sont rares. plus on s'ouvre aux autres, plus on se livre au risque de se sentir un peu plusvide après qu'ils soient partis.
aucun faute demoyens et de temps . de sa baguette, il donne parfois vie à son “patronus „ pour sentir la chaleur des sentiments qu'il dégage, mais ne s'autorise rien de plus : tropraisonnable pour s'astreindre à des dépenses supplémentaires là où la vie se charge déjà de lui resserrer constamment la corde autour du cou.
la nature qui s'éveille et qui renaît à l'arrivée du printemps, éternel cycle d'espoir. il l'associe également à l'odeur de la maison, l'appartement partagé avec ses frères et sœurs, qu'oz a truffé de parcelles de son élément.pause café-cigarette association toxique, plaisir coupable. c'est le temps-mort dans un quotidien effréné, la parenthèse apaisement par tous les temps. seul avec lui-même ou en bonne compagnie ((good vibes only)).épiderme-soleil la note pétillante, tout en rondeur, d'une peau chauffée au soleil. la sensation le poursuit depuis qu'un fantôme s'impose à lui à travers de brefsflashs , éclats devisions : un sourire, une nuque, des mains lourdement baguées, qui lui apparaissent au contact d'un sweat-shirt et du bracelet brisé constellé d'émeraudes niché dans sa poche, trouvailles chinées dans un thrift shop. le bracelet est clairement un oubli, petit trésor qu'il aurait pu faire réparer et revendre à bon prix, mais accompagné d'un charme et de l'aura d'uninconnu à l'égard duquel oz se surprend à développer une curiosité teintée de fascination.
hérisson dont la présence “l'apaise „ d'une étrange façon — peut-être parce qu'oz a pris l'habitude de l'invoquer à chaque fois que l'inquiétude luinoue la gorge . peut-être parce qu'il s'est convaincu que la créature atténue les émotions négatives et le gorge d'apaisement, même en l'absence de détraqueur ((effet placebo)). ou peut-être parce que cette magie toute particulière a ce pouvoir : celui deredonner espoir .
Cute and loveable inside and out, those who possess a hedgehog Patronus may thrive on giving and receiving love and may feel they need more of it than others realize. While upfront about their endearment and affectionate personality, hedgehogs are also known to be anxious and overly cautious. They often worry about their own and others of their kind’s safety. Those around must approach the hedgehog with care and precision, though, because when defensive and hurt, hedgehogs are remembered not for their sweetness, but for their sharp spikes.— mugglenet
la perte d'un être cher,épreuve qu'il ne souhaite plus revivre , après avoir vu s'éloigner son père, puis sa mère. le sentiment s'exprime parfois par la vision d'un “meruem à la peau couleur cendre „ transpercée de rayons lumineux, supernova au bord de l'implosion. finalement dévoré par la magie aliénée qui le détruit progressivement depuis des années. et d'autres fois, l'image se transforme. ses frères et sœurs, liés au cœur d'une “toile complexe „ qui s'effrite. il se voit en plein centre peiner à retenir les fils qui, peu à peu, se rompent, les séparant les uns des autres.
liberté dettes et pressions prennent la forme d'entraves le liant des poignets à la gorge, à en couper le souffle. et alors, s'endéfaire lui rend le souffle de vie dont il lui semble avoir été privé à sa majorité. une vie normale, offrant de profiter des plaisirs les plus basiques de l'existence. cesser de courir après les gallions et le temps. et autour de lui, ses fères en santé, ses sœurs comblées, son père innocenté, sa mère revenue à la m/raison.
voyance instinct &contact .culpabilité du survivant d'une curieuse façon. oz qui s'en veut d'être si “en santé „ ; si outrageusement “normal „ là où ses frères morflent et morflent encore. oz qui, parfois, se fustige de ne paspartager le mal de son cadet , de ne pas pouvoir l'en soulager, même à moitié. oz qui culpabilise de ne pas savoir ce qu'ils ressentent, de ne pas tout à fait comprendre ce qu'ils endurent, faute de vivre la situation de leur point de vue.
désespérément “ sage „ et nullement party boy, loin des excès d'une vie tissée de liberté, de soirées sans compter ((il ne s'enivre que de l'intensité de sescours avec un acharnement frisant l'excès, et de ses expérimentations sans nombre, sans nom)), sa vie se décline sur une toile de consommations plus quemesurées . “esprit préoccupé dans un corps sain „ ; seules lescigarettes sorcières s'amoncèlent en cimetière à ses pieds, exutoires lorsque l'inquiétude et la pression le submergent. oreilles dentelées depiercings et passionné par lestatouages , il a en travers du poignet leschiffres et runes constituant le numéro de prisonnier de son père, gravés à l'“encre blanche „. mais il hésite à s'en faire d'autres, oz, soupèse les idées, avance, recule, attends… le bon moment, le bon motif. parce qu'à ses yeux, chaque tatouage renferme un bout d'âme.
AESTHETIC ;;
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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ripped jeans. tsundere. here's to the kids who care more about family than popularity. music is what feelings sound like. alcohol to turn thoughts into speech. ok merlin : how to be fun ? praise kink. im not sad lol. i hope im not my only friend. hotter than your ex, better than your next. sulky, sullen, cold and salty when i'm hurt. i can do this (and even if i can't, i have to). 2 moods: 0%, 100%. we all have our reasons. just do you. [ introvert : immature and mature and goof but also deep and weird and romantic with a developed mind ]. wanna have fun, let's be wild // so much is going on!!! it's too much!! i just wanna sleep in the forest for 190 years!!!! im tired live me alone!!!!!! // why am i alone ?
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bishop briggs ; hi-lo (hollow).» uc.» uc.» uc.
A WIZARDING GENEALOGY
les habitudes ont la dent dure : en cas de dispute, c'est encore devant elle qu'aboutissent les plaignants, attendant qu'elle tranche, qu'elle rende justice. c'est vers elle qu'on se tourne, souvent, pour panser les petites blessures — parce qu'elle a la chaleur d'une maman et que ça, on ne s'en lasse jamais vraiment.
((ruem)). siamois, reflet déformé dans le miroir : si similaires et si différents pourtant. parce qu'oz a eu la santé et une chance insolente, et que ruem, il n'a que ses sourires solaires en guise d'armure contre une santé mortellement défaillante. souvent, ils sont sur la même longueur d'onde. on ne fait pas plus complice, jusqu'à ce que les recherches de traitement arrivent sur le tapis : oz, il voit le refus de ruem comme un abandon, et ça le terrifie, de songer que son frère puisse choisir de cesser de se battre. et lorsqu'on loue oz pour sa dévotion, son choix d'études, son acharnement à trouver une solution, il fuit la discussion pour ne pas avoir à se rappeler la culpabilité qui le taraude au fond. et si c'était sa faute ? il y a toujours un risque à séparation de siamois ((organes, magie, lambeaux de peau) ; toujours un danger pour les deux ou pour un seul, des séquelles dont il est difficile d'envisager la portée. et si c'était ça, la clé : si ruem avait été sacrifié durant le partage ? il a confié l'inquiétude à coco ((elle lui a dit que c'était impossible, que ruem allait bien quand ils étaient petits. elle lui a dit de ne plus y penser — mais ça remonte à si loin, qu'il lui est difficile de se rappeler un temps où son frère n'était pas si usé)) et puis il en a parlé à meruem. c'est un sujet lourd, entre eux, un échange rare, qu'ils taisent le plus souvent, de peur qu'il ne finisse par tout salir.((noor)). jumelle, moitié. interchangeables plus jeunes, les triplés n'ont eu de cesse d'user de leurs ressemblances pour piéger autrui, jusqu'à ce que l'âge trace des différences entre nuri et les garçons. et nuri, elle était eux et une autre à la fois ; à souffrir de les considérer comme un tout dont elle ne faisait pas partie. c'est sans doute le seul terrain sur lequel oz ne peut pas la suivre, parce que c'est une évidence, pour lui — qu'elle fait partie de leur tout, sans restriction. il ne peut nier être obnubilé par la santé de ruem, pourtant, et finit toujours par s'en vouloir d'inconsciemment négligé sa sœur parfois. alors quand elle s'accapare son attention de force ou de gré, il la lui accorde toujours. quelle que soit l'heure à laquelle elle clame être trop ivre pour rentrer, il la rejoint, qu'il la croie ou sache qu'elle ment. nuri, il le sait, elle le fait autant pour elle-même que pour lui : pour lui sortir la tête de l'eau ((de ses inquiétudes incessantes)), pour l'obliger à s'autoriser à vivre un peu, mais aussi parce que s'éloigner l'un de l'autre finit toujours par les laisser vides et maussades.
THE LIFE AND LIES OF BERLIOZ TOLKIEN
Oh, and you're givin' your
all