- manon — he/she/theyIRL : omar rudberg, asa ma reine (ava)Avatar, Crédits : 435Messages : 4RPs : 5302Gallions :
- tw / cw:
- sang, trouble de l'alimentation, homophobie
Disclaimer :
BABYLONE BIRD - we're two worlds appart
MILAN HAGIWARA - 'cause i'm all gone
CHARLIE SWARTZSTEIN - you maniac
Multicomptes : 19 yo.Naissance & Âge : he / himPronom(s) du personnage : var(--miz)Couleur de dialogue :
DROIT ET SCIENCES MAGIQUES ;
Magie trop faible, il se retrouve à étudier le droit et les sciences magiques par obligation et y rayonne non par talent mais grâce à de nombreuses heures à étudier
DRAMATURGIE ;
Lui se rêve au devant des scènes, à chanter, réciter quelques textes par cœur et surprendre les foules, alors il a réussi à négocier un double cursus, s'agrémentant de cours supplémentaires de chant et de danse en dehors des heures de cours habituelles, qu'il paie à d'autres étudiants plus âgés.
Occupation :
GODAÏ EAU ;
Maman le voulait auror, le voulait parfait puisque son fils aîné était bien incapable de produire la moindre magie (alors tout reposait sur Havan). C'était presque une obligation, finalement, pour Havan de se mettre à l'apprentissage de cette particularité. Elle a payé pour les meilleurs professeurs, maman, elle a tout fait pour qu'il s'améliore sans grands résultats (avant cette nuit de pleine lune, celle où sur le flanc la morsure s'est plantée dans la chair en violence).
LOUP-GAROU ((BÊTA)) ;
Les soirs de pleine lune, le loup déchire sa chair depuis plusieurs mois, déjà, et la douleur se partage d'un membre à l'autre de la meute. L'instant redouté est pourtant apaisé par cette puissance nouvelle qui l'enveloppe la semaine qui entoure cette date fatidique : psychologiquement, Havan se sait plus puissant depuis cette morsure. Vécue comme une lame à double tranchant, cette transformation le créer monstre au point de rendre sa magie parfois incontrôlable, encore trop peu habitué à cette nouvelle puissance (car presque né cracmol).
Particularité(s) :— STAFF ❝ i wanna hold hands with you
IRL : manon — he/she/they
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CHARLIE SWARTZSTEIN - you maniac
Naissance & Âge : 19 yo.
Pronom(s) du personnage : he / him
Couleur de dialogue : var(--miz)
Occupation :
DROIT ET SCIENCES MAGIQUES ;
Magie trop faible, il se retrouve à étudier le droit et les sciences magiques par obligation et y rayonne non par talent mais grâce à de nombreuses heures à étudier
DRAMATURGIE ;
Lui se rêve au devant des scènes, à chanter, réciter quelques textes par cœur et surprendre les foules, alors il a réussi à négocier un double cursus, s'agrémentant de cours supplémentaires de chant et de danse en dehors des heures de cours habituelles, qu'il paie à d'autres étudiants plus âgés.
Particularité(s) :
GODAÏ EAU ;
Maman le voulait auror, le voulait parfait puisque son fils aîné était bien incapable de produire la moindre magie (alors tout reposait sur Havan). C'était presque une obligation, finalement, pour Havan de se mettre à l'apprentissage de cette particularité. Elle a payé pour les meilleurs professeurs, maman, elle a tout fait pour qu'il s'améliore sans grands résultats (avant cette nuit de pleine lune, celle où sur le flanc la morsure s'est plantée dans la chair en violence).
LOUP-GAROU ((BÊTA)) ;
Les soirs de pleine lune, le loup déchire sa chair depuis plusieurs mois, déjà, et la douleur se partage d'un membre à l'autre de la meute. L'instant redouté est pourtant apaisé par cette puissance nouvelle qui l'enveloppe la semaine qui entoure cette date fatidique : psychologiquement, Havan se sait plus puissant depuis cette morsure. Vécue comme une lame à double tranchant, cette transformation le créer monstre au point de rendre sa magie parfois incontrôlable, encore trop peu habitué à cette nouvelle puissance (car presque né cracmol).
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01
Havan Solisomar rudberg
Solis
Havan Raphaël
21.02.2003
Elève
Argentin
Elève en droits et sciences magiques & dramaturgie
02
i want to be the light in your life
be the happiest of your good times
be the smile you didn't know you had
be the most satisfied nomad
be the happiest of your good times
be the smile you didn't know you had
be the most satisfied nomad
because home is wherever you go
not a place but a memory for tomorrow
03
L'
Sa première baguette lui a été léguée par maman, grand sourire sur les lèvres, sans autre choix que de l'accepter dans le creux de sa paume. Si l'accident est survenu au point de la briser, c'était involontaire. Car aujourd'hui faite d'un bois à la couleur orangée, de
La carpe koï et le kitsune ont aboyé dans une de ces langues que l'on ne comprend pas. Encore aujourd'hui, Havan ignore s'il s'agissait de japonais ou simplement de jappements, petit enfant perdu dans un pays inconnu, l'espagnol encore seule signature de son existence. C'est pourtant après un cri particulièrement strident qu'elle s'est approchée, statue de pierre pour le recueillir,
Maman l'aurait aimé auror, comme elle, comme celui qu'elle aimerait qu'il nomme papa, mais il n'en a pas les capacités. Magie trop faible, il se retrouve à étudier le
Lignée d'une famille sorcière très ancienne au sang pur, comme maman se plaît à le rappeler, parfois, Havan vit dans le
Un mystère plane, étrangement, autour de cette question. Car personne ne le connaît autre chose qu'hétérosexuel, Havan. Pourtant
Les petits-déjeuners chez papa se composaient toujours d'un fruit et de
Il n'en a produit qu'un songe, qu'un maigre filet, mais l'oiseau a ouvert les ailes et s'est dévoilé
L'on penserait à un sourire, jusqu'à ce que les
Il se voit avec la
- voir +:
- ETAT ET TEMPERATURE, SEUIL 1 ; C'est avec grandes difficultés, que, finalement, après plusieurs années à essayer d'apprivoiser l'eau, le voilà qui parvient à la guider. Si certains ne prendraient que quelques mois ou un an à s'accoutumer, pour Havan, lui, il lui a fallu bien quatre année pour réellement parvenir à contrôler une eau douce.
SOINS, SEUIL 1 ; Cette branche a été plus facile à appréhender (ça ne lui a pris qu'un an de moins!!!). L'eau semble plus facile à gérer lorsque l'on essaie de cohabiter avec elle, plutôt que de vouloir la maîtriser : respirer convenablement sous celle-ci lui semblait plus intéressant et sa concentration magique s'enfuyait donc moins aisément.
SOINS, SEUIL 2 ; Peut-être est-il né pour se faire apaisant, Havan. Depuis sa morsure et ses pics de magie plus aléatoires encore, mais aussi plus forts autour des périodes de pleine lune, aider au soin ne lui a jamais paru aussi aisé. Capacité récemment acquise, il se plaît à croire que dans cette malédiction, le bien être des autres n'a plus de secret pour lui (et ça l'apaise, lui aussi).
écrit des musicals sans jamais les montrer à quiconque depuis tout petit
Il était tout, tout petit, Havan, entre les bras de papa. Et il ne se souvient de rien de ce jour-là. Pas des cris, pas des douleurs, ni des pleurs. Il n'a que le résultat : enfance heureuse aux côtés d'un géniteur souriant de voir son rayon de soleil grandir. Grand timide, borné. Il est le parfait mélange de ses parents, lui dit-il souvent ((("tu as le sourire de ta mère" a dit papa et il aurait aimé ne jamais savoir))).
Les premières démonstrations de magie se manifestent. Pour rattraper un ballon, pour sauter plus haut que les autres et rire plus fort. Et papa, lui, n'a jamais rien su de tout cela, garde son fils en protection jusqu'à être contacté par le ministère de la magie.
Maman est revenue. Mine farouche et regard hautain, presque, collé sur le visage. Et Havan ne l'a pas reconnue, mais, dans le regard de cette femme, il a lu une douleur innommable après qu'elle ait posé les yeux sur lui. Quelques paroles échangées avec son père et des présentations plus tard, il a vite compris de quoi il en retournait. Et tout sourire, il a annoncé que, oui, ça l'intéressait d'apprendre la magie avec maman (sans se rendre compte qu'il n'en verrait plus papa).
Le déménagement sans accrocs, et, pourtant, il y a dans son coeur une lourdeur inexplicable. Son frère, dès son arrivée, n'a pas su le regarder dans les yeux sans véhémence. De même, son beau-père a gardé le menton haut et ne lui a adressé qu'un simple murmure. Paria de sa propre famille, Havan ne se retrouve qu'au centre des attentions d'une mère réclamant ordre, loyauté et travail (acharné).
Début de ses études en tant que sorcier, c'est avec une difficulté certaine qu'il s'intègre parmi les autres. Il a quelques amis, plus ou moins proches. Et le grand sourire de Rina, parmi eux. Rina bienveillante, Rina, si douce. Elle comprend ses problèmes de magie et l'encourage toujours plus. Et entre jalousie et gratitude, Havan cherche une balance qu'il ne trouve pas (le poing battant de sa mère sur la table reste souvenir trop inscrit dans sa tête, le poids sur ses épaules trop présent).
Elle le veut godaï. Et le poids sur ses épaules se fait plus lourd, encore. Alors il sourit et acquiesce, puisque maman le veut (puisqu'il l'a réclamé). Elle n'accepte pas ses deux enfants incapables et démunis, et, bientôt, trotte dans un coin de sa tête la réalisation qu'il n'aurait jamais dû quitter papa. Il y a pourtant des éclaircis, dans cette épreuve. Rina qui cherche à apprivoiser le feu, Yuyeon, qui veut l'aider à dompter l'eau.
Il y a dans son regard, dans ses émois, des réactions incompréhensibles. Des secrets inavoués, pas même à lui-même. Et dans les sourires de Saebyeog se cachent des sentiments plus profonds, pourtant, que Havan ne prend pas en compte (qu'il ne faut pas prendre en compte car comment réagirait maman). Le cœur n'a pas le droit de s'emballer, alors tout est enfoui (homosexualité refoulée pour le plus grand des biens, calme préservé).
Mais l'été apporte des nouveautés. Des ombres, silhouettes inconnues venues d'ailleurs. Et fasciné, Havan s'est retourné sur celui qui n'aurait pas dû accrocher son regard. Peut-être qu'il ne s'est rien passé, vraiment. Quelques paroles douces échangées, ça ne veut rien dire. Des regards trop longs portés l'un sur l'autre, non plus. Et quand il est parti, le cœur en folie, Havan s'est tourné vers Rina, sur le bord des toits. Car seule présence constante dans sa vie et rires idiots échangés, leurs lèvres se sont rencontrées. Et c'était ça, non, la saveur du véritable amour? Faire comme si de rien n'était, car après tout ce n'était rien qu'un test (adolescence mouvementée par des expérimentations dont on ne sait plus quoi faire).
Maman se fait plus dure, plus violente. Les mots blessent et ses objectifs de perfection se font de plus en plus forts. Elle ne réclame que le meilleur de la part de Havan, le veut auror, dit-elle, une fois ses ASPICs et ajoute de la pression sur ces frêles épaules. Il se doit excellent, se doit bien droit, se doit, se doit et ne vit plus que pour elle, plus pour lui-même. Maigre existence, déjà, pris entre quatre murs, il s'enfonce dans le travail, mange peu ou trop, culpabilise facilement du moindre geste produit. Avant de partir pour ailleurs, Rina et sa douceur, encore, le porte dans son cœur (mais lui mentira car ne se pense que fardeau).
La distance de sa meilleure amie le pourvoit d'une grande confusion dans cet état mental faible qu'est le sien. Les questions se font d'autant plus nombreuses que, enfin, c'est la première fois qu'il entretient une véritable relation avec un homme. Et quand Rina revient, pendant les vacances de Noël, la magie du baiser s'est effacée. Il y a une confusion dans le creux de sa poitrine, une tension entre eux deux sans que jamais rien ne se produise. Et bientôt, trop tôt, il renonce à cet épanchement qui n'était certainement rien qu'une attraction (car les sentiments n'ont pas lieu d'être, non, envers celui qui faisait pourtant battre son coeur très fort, trop fort (mais trop faible, Havan renonce aux meilleures parties de sa vie quand il est sur le point de flancher, à genoux face à elle)).
La distance de sa meilleure amie le pourvoit d'une grande confusion dans cet état mental faible qu'est le sien. Les questions se font d'autant plus nombreuses que, enfin, c'est la première fois qu'il entretient une véritable relation avec un homme. Et quand Rina revient, pendant les vacances de Noël, la magie du baiser s'est effacée. Il y a une confusion dans le creux de sa poitrine, une tension entre eux deux sans que jamais rien ne se produise. Et bientôt, trop tôt, il renonce à cet épanchement qui n'était certainement rien qu'une attraction (car les sentiments n'ont pas lieu d'être, non, envers celui qui faisait pourtant battre son coeur très fort, trop fort (mais trop faible, Havan renonce aux meilleures parties de sa vie quand il est sur le point de flancher, à genoux face à elle)).
Remarque de trop, cerise sur le gâteau. Il ne se souvient plus exactement comment ça s'est passé, Havan. Il s'est soudainement levé, et maman a ouvert les yeux. Il a haussé le ton, et le message est passé : il n'était clairement pas qualifié pour devenir auror. Réalisation peut-être tardive, mais la fatigue physique et mentale de son fils était bien difficile à ignorer. Alors elle change son opinion, lui propose une seconde option, et lui une troisième pour ne pas s'empêcher de rêver (parce qu'il en a, oui, Havan, des rêves, loin de la magie et de ses défauts).
Et le rêve commence à se réaliser. Car tous les efforts fournis le font briller, en tout cas plus sur scène que dans le droit, jusqu'à ce jour-là. Peut-être aurait-il dû se présenter plus attentif, mais le loup, là, évincé, sans plus aucun souffle l'avait presque appelé. Et il n'était pas mort, trop tard pour se reculer, sûrement, ah gentil garçon, tu regretteras de tendre la main à ton prochain, c'est certain. Car la bête s'est jetée sur lui, a enfoncé les crocs dans la chair et, heureusement, immobilisée par son combat, l'idiot a réussi à se défaire de son emprise (à quel prix).
Nouvelles capacités et nouvelle magie, les pleines lunes le prennent de court, Havan. Car il se sent puissant, parfois, et cela surprend. Car la magie s'échappe de lui comme transpirante avant de retomber à plat, comme n'ayant jamais existé. Le cauchemar se transformerait presque fantaisie, si la terreur même de cette douleur et si la société avait meilleur opinion sur les loups-garous n'existaient pas. Mais maman est heureuse, maman le voit progresser et peu importe le moyen employé, elle ne voit que les résultats (ne se doute pas du monstre qui l'habite).
04
Hors-jeu
manon
he / she / they
avatars by me
Ah bah, c'est du propre
Cinq heures du mat' sur le port, un dernier shot
CEST POUR MA VIIIIILLE
(excusez moi je suis fatigay mais on continue les prénoms de lieux hein).
Somi Hanaoka et Cha Yuyeon aiment ce message
Mona St-Laurence a feelsé sur ce message