Re: (18+) fuck up the friendship —

10.03.2000 — 22 ans effleurés sous les poings.Naissance & Âge :

@Luis Zola

☽. come show your fangs

— 20.02.2022 — outfit

Seiren a déjà fait du mal aux coeurs qui battaient pour lui sans même le savoir, en le regrettant. Pourtant, la tête tourne d’une idée méchante qui ne peut plus être arrêtée : entre les bras de Luis il se perd volontiers, provoque par les mots et les morsures sur la peau pâle. Se sent rayonner par l’envie de l’autre, qu’il sait vorace, et ancienne. Il pourra sûrement s’excuser plus tard. Ce sont ses mains qui parlent pour lui. Et sa haine qu’il exacerbe parce qu’il sait bien qu’ils s’appartiennent, au moins pour cette nuit. Que Luis lui appartient depuis des années, le baiser-brasier qu’il lui donne en est la preuve, et il soupire contre ses lèvres, contre ses dents, heureux de se sentir objet précieux à posséder. « Own it then. » comme s’il ne lui prouvait pas déjà de ses marques et de ses bleus. Seiren qui prend entre ses mains le visage de Luis, un sourire insolent dépeint sur les lèvres qui frôlent les siennes. « Own me. » comme un défi qu’il lui lance, sans savoir s’il en est capable, oiseau de malheur tout juste bon à déverser sa haine par les cris. Seiren tourne la tête en direction du couloir, et l’impatience lui donne l’impression d’être en proie à un incendie. « Where are your manners ? Show me the bedroom. » alors qu’il aurait pu se contenter de se perdre ici, contre la commode. Mais décide de faire durer la torture un peu plus longtemps, marionnettiste ravi de le tenir au creux de ses mains.

Naissance & Âge : 26 yo, 14.02.1996

This weekend I saw you, through eyes that are new
You got me falling for you and I kinda want to

cœur broyé par la multitude de relations qui s'étaient achevées parfois avant même d'avoir commencé, venant mettre à mal tout ce qu'il pouvait idéaliser et tout ce qu'il pouvait envisager comme relation exceptionnelle, exquise. esprit détruit, mis en pagaille par toutes les émotions qui se bousculaient dans le cœur meurtri alors que la raison se battait pour se faire une place au milieu du vacarme provoqué par la simple présence de la peau du denki sous les doigts de son aîné, comme si ce n'était pas déjà assez compliqué comme cela de vouloir s'abandonner dans les bras du premier venu. mais seiren n'était pas un inconnu, ne l'avait jamais été pour le cœur qui avait battu si longtemps en solitaire dans les nuits froides et les journées fades. sûrement était-ce de là que provenait cette haine brutale qu'il ressentait envers celui qui venait mettre le bordel dans sa vie en l'acceptant à ses côtés le temps de quelques heures, juste pendant une durée assez longue pour que cela ressemble à un mirage mais que ce soit bel et bien la réalité. les corps se font monnaie d'échange dans la bataille de dominance qui s'impose sans même un seul mot alors que les lèvres et dents explorent tout ce qu'elles avaient voulues connaître bien des années plus tôt. mais seiren vient attirer de nouveau l'attention de l'aîné, vient provoquer ses réactions vives avec ses paroles et demandes qui font pourtant sourire en coin luis. parce qu'il veut, parce qu'il va le posséder le temps d'une nuit et qu'il veut que seiren s'en souvienne encore et encore, qu'il s'en rappelle jusqu'à la fin. son visage tenu entre ses mains, il observe celui de son amant avant de se pencher un peu et de murmurer. " — your wishes are orders, so..." choix des mots calculés avec soin en quelques secondes alors que ses lèvres cherchent les siennes, en vain puisqu'elles s'éloignent déjà. et il grogne presque lorsqu'il interrompt de nouveau le moment, venant attraper son visage à son rythme. " — i didn't know you were delicate enough to need a bed, baby..." mais ça l'agace de devoir bouger, de devoir se séparer de son corps le temps de quelques pas. pourtant il fait, s'éloignant avant d'attraper son poignet avec une douceur inexistante, le guidant jusqu'à la chambre qui avait connu bien trop d'âmes pour se faire étonnée par la présence d'une nouvelle. " — happy ?" il n'a jamais été patient, l'enfant d'une contrée lointaine, s'étant toujours plu dans des moment où la raison n'avait aucune place et l'improvisation se retrouvait maîtresse des nuits torrides. et il vient pousser le corps de l'autre pour qu'il tombe sur le matelas avant de venir s'imposer sur ses cuisses, les mains faisant glisser la chemise pour qu'elle quitte enfin le corps à moitié nu. " — you can't run away anymore, my angel. you're mine now." et ses lèvres plongent contre les siennes pour les malmener alors qu'il vient tirer sans délicatesse sur ses cheveux, cherchant à le dominer de sa taille.

feb 20 @kurenai seiren
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10.03.2000 — 22 ans effleurés sous les poings.Naissance & Âge :

@Luis Zola

☽. come show your fangs

— 20.02.2022 — outfit

Corps n’écoute plus les signaux d’alarme tirés depuis pourtant des heures (des années, mauvaise idée). La tête embrumée par les pensées serties de vice, pour que sa cambrure épouse les mains d’un Luis à sa merci malgré ses dires -ils s’appartiennent au moins autant l’un qu’à l’autre dans cette nuit sans aurore, lorsque les crocs dévorent et que les monstres sortent de la pénombre. Sans doute, le lendemain, Seiren se rendra compte que monstre il l’a été, manipulateur de sentiments enfouis et courant d’air, corps parti en fumée. Mais il ne veut que se perdre, dans les draps qu’il épouse sans cérémonie en poupée de chiffon, lorsqu’il se fait malmener l’espace de quelques secondes, pourtant sourire mutin qui se dessine entre les baisers. « You think? » Malice dans les mots qui se perdent à l’ombre d’une oreille mordue, puisqu’il le défiera sans cesse jusqu’à ce qu’ils s’épuisent. Les mains agiles dépossèdent Luis de ses vêtements, d’abord le haut simple à ôter puisque déjà ouvert, presque inutile, avant de glisser une paume dans un pantalon déboutonné, entre ses cuisses. Et le soupir qu’il lui arrache est déjà signe de victoire. « Yeah, you’re definitely at my mercy, look at yourself... » mouvements lents, un peu maladroits à cause de la position indélicate, qu’il initie pour lui faire perdre la tête. Il joue, Seiren, jusqu’à se brûler les ailes, mais le brasier n’a jamais semblé plus attirant.

Naissance & Âge : 26 yo, 14.02.1996

This weekend I saw you, through eyes that are new
You got me falling for you and I kinda want to

Il se détestait à la simple idée de s'offrir si facilement à quelqu'un qui n'éprouvait rien pour lui, parce qu'il n'était pas idiot Luis. Il le savait qu'il n'était pas celui dont Seiren était fou et qu'il ne le serait jamais, qu'il se montrait objet-jouet en cette soirée où ils profiteraient juste de l'un et l'autre. Mais ça lui suffisait assez, ça ne l'empêchait pas de le désirer ardemment et de vouloir lui faire ressentir toute la vague d'émotions ressenties depuis trop longtemps. Cela faisait bien longtemps qu'il n'en avait plus que faire de la douceur qu'il aurait pourtant offert bien des mois plus tôt, ayant bien trop espéré l'avoir rien qu'à lui. Le lit comme autel du pêché, comme endroit démoniaque où s'offrir sans limite et élégance, il ne prêtait même pas attention aux tissus qui se dérobaient d'un corps ou de l'autre, comme s'ils n'avaient jamais existé. Et le souffle se coupe à la morsure, s'effaçant dans un gémissement rauque avant qu'il ne daigne répondre doucement. " — You're the fucking demon fruit." Qu'il était prêt à croquer sans l'ombre d'une hésitation, échangeant sa place à Ève n'importe quand si ça lui permettait de pouvoir gouter encore et encore au denki. Jardin d'Eden tendancieux dans lequel il se perdrait encore et encore si on lui en donnait la permission. Et le corps s'abandonne déjà aux plaisirs charnels quand les doigts s'approchent de lui, se pose et s'impose à son corps et qu'il se retrouve obligé de serrer les draps d'une main. " — You fucker..." Les yeux se ferment pourtant sous la torture délicieuse imposée, le corps accompagnant presque ses mouvements tant il a rêvé de l'avoir sous lui, de l'avoir rien qu'à lui pour expérimenter tout ce que ses rêves brulants exposaient. " — You know I'll get back at you for this? That you won't come out unscathed from your night in my arms, in my sheets." Parce que la douleur du cœur se devait être dédoublée en douleur physique afin d'expier les pêchés et d'oublier les sentiments bafoués. Et la main libre vient entourer le cou sans une once de douceur, le regard s'ancrant à son jumeau afin de lui faire apercevoir les flammes de désir et de haine qui se mêlent. " — You will be completely at my mercy, too." Mais il se voulait tortionnaire par la lenteur de ses actes, préférant faire monter la pression plutôt que d'offrir la délivrance.

feb 20 @kurenai seiren
outfit

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(18+) fuck up the friendship —