BRUME - KOIDE; ❝ desert of waves, wilderness of water

baguette pointée vers l'eau, défiant la tempête prête à s'abattre sur la ville tourmentée, semblable à une illusion floutée par la brume. "non. non. non. courrez !" un moment de lucidité, la gamine cria de toutes ses forces en direction des silhouettes qu'elle avait du mal à percevoir dans la brume blanche. l'entendaient-elles au moins ? pourquoi semblaient-elles familières ? son être entier voulait dévier sa course vers elles mais son intuition lui ordonna le contraire. elle n'était pas sûre que ce qu'elle voyait était réel. elle était perdue. "ma chérie.." la mizu s'arrêta net, un pincement au cœur résonnant dans tout son être. "ma.. maman?" cette voix qu'elle a déjà entendu, qu'elle a trop peu entendu se dispersait dans toutes les directions. d'où venait-elle ? "ma chérie.. on est là.. rejoins-nous.." la voix était claire mais impossible à distinguer dans ce voile blanc, créant de la panique dans le corps frêle de la sorcière. elle ne voulait pas manquer ce qui pouvait, peut être, être l'unique chance de voir ces gens qui l'ont abandonné tellement tôt dans sa vie ; cette famille qu'elle n'a pas pu connaître. voir leurs visages autrement qu'à travers des bouts de papier ayant capturés les seuls souvenirs qu'elle aura d'eux.  "maman ? papa ?" les larmes glissaient le long de ses joues, azalynn avait pourtant réussi à tirer un trait, à avancer sans cette douleur. pourquoi est-ce qu'on lui infligeait ça ? pourquoi est-ce qu'elle était toute seule contre ses démons ? les fins nuages blanchâtres s'apaisaient, laissant place à la réalité ; une immense vague d'eau se déversa sur la ville. la petite était bouleversée et apeurée, son corps refusait de lui répondre ; ses jambes refusaient de la mettre le plus en sécurité possible. à l'aide.


RÉSUMÉ : azalynn distingue ce qui semble être un tsunami mais pense très fort que c'est une illusion car elle ne voit pratiquement rien à travers la brume ; elle préfère quand même s'enfuir et prévient les silhouettes non loin d'elle ; elle stop sa course lorsqu'elle entend la voix de ses parents et de son frère, morts dans un incendie quand elle était toute petite ; elle essaie de les localiser jusqu'à ce que la brume se lève et que le tsunami s'abatte sur koïde ; azalynn est pétrifiée par la peur, affaiblit mentalement par la voix de ses proches. she waits for her superhero @Kana Tsukishima

elle râle la gamine, manquant de glisser à plusieurs reprises sur le sol humide de koïde. nana ne fait pas trop attention aux flaques d'eau nombreuses et à la buée qui recouvre progressivement les vitres. il ne lui reste que quelques ruelles avant d'atteindre la maison où akemi et ren résident. ses pas ralentissent pourtant lorsqu'une étrange brume s'élève autour d'elle. et avec la fumée opaque, des voix. celles de ses proches. de ceux qu'elle considère comme sa famille. la denki observe les alentours, sans apercevoir leurs silhouettes. quelque chose ne tourne pas rond. elle en est certaine. la jung se précipite vers la maison aux teintes bleues et vertes. la lumière qui s'échappe des fenêtres lui indique que les araï sont bien présentes. nana abîme férocement ses poings contre la porte, essayant de conserver son sang froid. « AKEMI ? REN ? C'EST NANA OUVREZ. » voix qui se répercute bruyamment dans la rue déserte. tableau bien sinistre du quartier tel qu'elle le connaît. bientôt, les rues sont submergées par l'eau. le silence qui s'impose peu après et qui fait taire les voix est encore plus frappant. ses iris glissent vers le sol, attirés par le mouvement subtil de l'eau qui semble se retirer. son instinct lui hurle de fuir. sans réponse, la denki se permet d'ouvrir la porte et de s'engouffrer à l'intérieur. guidée par le murmure des voix à l'étage, nana parvient enfin à la chambre de ren. porte qu'elle ouvre sans plus tarder, tombant ainsi sur les deux araï. nana ne prend pas la peine de s'excuser. la situation est beaucoup trop alarmante pour ça. « il faut partir. je ne sais pas ce qui se passe mais cette brume, ces voix et toute cette eau. on est pas en sécurité. » un bref coup d'oeil par la fenêtre l'alarme davantage. une vague. immense. nana tend sa main vers ses amies. « il faut qu'on transplane et vite. » regard inquiet en direction du bras désartibulé de akemi. elles n'ont pas d'autre choix.

— DESERT OF WAVES, WILDERNESS OF WATER
;; november 1st, 2020 feat. @mazra white
il ignorait si c’était l’inquiétude provoquée par la brume ou son entêtement à vouloir à tout prix le contester chacune de ses faits et gestes qui l’animait mais elias se retint de la secouer, se mordit la lèvre inférieur, signe de frustration. comment formuler qu’il en avait que peu faire du sort de son cousin tant qu’elle, n’était pas aux abris ? frustration ultime. il faillit se réduire à la supplier en plus de sa promesse, prêt à tout mais elle finit heureusement par abdiquer, joignant le brun dans sa course.
mais les imprévus se bousculaient. l’eau se dérivait sous leurs pieds et s’il devait s’en sentir soulagé, ce n’était pas le cas. coeur battant, frissonnements le parcourant, sensation d’étouffement et d’agitation. mauvais pressentiment. l’observation dans un souffle retenu de mazra. puis ce silence. ce silence agressif, fracassant, accompagnant un sol défaillant. le regard au loin, il la vit. la vague. démesurée, imposante, effrayante. le temps d’un instant, la terreur le figea. instant suffisant pour mazra pour l’évincer, abruptement dans un hurlement assourdissant.  « NO !! » rugissement presque bestial qui le quitta quand elle le poussa loin d’elle. presque loin. dieu merci à sa force de mouche, quelques pas lui a suffit pour revenir à ses côtés, empoigner une seconde fois son avant-bras, cette fois-ci avec une force si féroce qu’il marquera sûrement sa peau. le cadet de ses soucis. « i. am. not. fucking. leaving. you. » chaque mot ponctué avec brutalité et une rage  ravageur, en réponse à l’effroi qui le prit en proie, et l’acte stupide de mazra qui paraissait blanchir plus que la normale dû à la frayeur, son esprit nota. cet même esprit vif, animé par le joueur de quidditch, lui susurrant une solution. « ACCIO BROOM » une précision supplémentaire aurait sans doute eut été utile à en croire l’épave qu’il attrapa au vol, à la place d’un balai digne de ce nom. ils étaient chanceux s’ils réussissaient à parcourir deux mètres. « it’s going to be okay, trust me » or not - mais pour elle, il n'avait pas le choix, il tenterait.


❝ résumé,, quand ils sont parés à se barrer, l'eau se barre aussi et le tsunami apparaît, boom bitch !! maz essaie de jouer les héros en le poussant pour qu'il se casse sauf qu'il l'abandonnera jamais et l'empoigne encore plus fort. puis dans le vif de l'action, une solution s'impose à lui : son balai qu'il accio, pour essayer de s'enfuir dans les airs. saaauf qu'il a pas précisé quel balai et se retrouve avec une épave qui peut se casser à tout moment. en gros : ils sont dans la merde.

traduction
— non !
— je. ne. t'abandonnerai. pas. putain.
— accio balai
— tout se passera bien (oupas), fais-moi confiance

— DESERT OF WAVES, WILDERNESS OF WATER
[ outfit ] ;; november 1st, 2020 feat. @elias landor
mazra ressent une sensation que jamais elle n'avait ressenti. l'impuissance. dur pour l'intrépide de ne pas se laisser envahir par ce sentiment, elle qui se fait peu d'illusions quant à l'issue de cette catastrophe. le trépas. la vague grandit sous ses yeux horrifiés, et c'est tout qui se paralyse. son corps. ses pensées. sa phobie s'empare de ses songes et vide son esprit. il lui est impossible de trouver une solution pour échapper au tsunami qui va s'abattre. son seul moment de lucidité étant le fait de se débarrasser d'elias qui aurait sûrement plus de chance de s'en sortir sans elle. sa vie pour son ennemi. alors qu'il empoigne son avant-bras, mazra grimace. il lui fait mal. — i said: leave me. les syllabes sont lentes mais fermes alors qu'elle se débat. — i swear, charming, if you don't leave me.... des perles de rage se forment au coin de ses yeux. la colère s'empare d'elle. enfin. seulement, l'emprise du garçon est trop forte. lui, siffle encore et toujours sa promesse entre ses dents, et sa volonté fond. elle a envie de lui demander pourquoi. à la place, sa main libre vient claquer la joue du garçon avec violence. ça y est, elle pleure, mazra. — i can't swim. avoue t-elle enfin alors du coin de l'oeil, elle voit la vague qui gonfle, encore et toujours. — i refuse to hold you down, elias. murmure t-elle. doucement, sa main passe sur la peau échauffée du garçon, fruit de sa terrible frustration. — what do i have to do to make you understand ?!? sa gorge se serre alors qu'elias appelle un balai. quelques secondes passent, supplice, avant qu'un artéfact ne vienne se loger dans la main du bel. un éclair de douleur traverse sa poitrine. il est plein de mousse, sa tige est parsemée de trous béants. même pour nettoyer, ce déchet ne servirait à rien. mais elias semble avoir espoir. alors pour une fois, son coeur suivrait le bel les yeux fermés.


❝ résumé,, bon, toujours la pls. pour elle c'est acté, elle va mourir. elias ne veut pas se sauver sans elle, ça la gave un peu parce qu'elle sait qu'il peut s'en sortir sans elle. sa rage renaît et elle demande une nouvelle fois à elias de se barrer. le menace avant de le claquer parce qu'il ne l'écoute pas. elle lui avoue qu'elle ne sait pas nager et qu'elle refuse d'être un boulet pour lui. seulement, il trouve une solution qui leur permettrait de se sauver. pas de bol, le balai qui arrive est tout pourri et mazra sait qu'ils ne tiendront pas dessus à deux, ni même seul. c'est trop tard pour s'échapper maintenant pour lui, alors elle se résout enfin à lui faire confiance.

traduction
— j'ai dit: laisse-moi.
— je te jure charmant (son surnom), si tu ne me laisses pas....
— je ne sais pas nager.
— je refuse de t'emmener vers le bas, elias. (i guess ???)
— qu'est ce que je dois faire pour te faire comprendre ?!

Lendemain d’une soirée d’anniversaire délicieuse qui avait, pour seul invité, son cher Ichiro. Nae est de bonne humeur lorsqu’elle le réveille, aux alentours de dix heures et demie, pour lui servir un café. Le mois de novembre commence bien et pour continuer sur cette lancée, elle insiste fortement pour se faire inviter à un brunch dans son quartier préféré. « Il y a plusieurs petites échoppes qui vendent des takoyakis sur les rives et j’ai très envie d’en manger » dit-elle en entraînant déjà l'homme dehors. Elle sait qu’il risque de râler, mais elle sait aussi qu’il la suivra et pour s’en assurer, elle noue ses doigts aux siens.

Cependant, rien ne se passe comme prévu et alors qu’ils dégustent les petites boules de poulpe, le monde s’écroule. Soudain, c’est la panique et les gens s’affolent. L’eau se retire mais revient plus forte et ils sont entraînés dans ce torrent d’eau incontrôlable. Terrorisée par cet élément qu’elle aime d’habitude tant, Nae s’accroche à Ichiro. Il est son point de repère, il est celui qu’elle ne veut pas perdre. Et si elle se saisit de sa baguette pour tenter de lancer un protego, ça n’a pour faible résultat que de leur éviter la noyade. Puis le calme revient et c’est le souffle court que Nae s’adresse à son compagnon d’infortune. « Il faut rejoindre la rive » dit-elle. C’est une évidence mais elle n’a que ça pour se rassurer. À peine ont-ils les pieds au sol qu’une nouvelle vague arrive cependant et les larmes qu’elle parvenait à retenir jusque-là se mettent à couler lorsqu’elle entend la voix de sa mère au loin, et celle de son frère qui semble venir de l’eau. « Ao ! » crie-t-elle alors en se précipitant vers le danger. Rien ne compte plus qu’Aozora.

résumé:

— DESERT OF WAVES, WILDERNESS OF WATER
November 1st, 2020
Kell raccrochait à peine d’un appel avec sa grand-mère, son éternelle mine sombre accrochée à ses traits. Sa main balaya instinctivement le brouillard qui passait devant son visage avant que le premier cri ne résonne. Il ne pouvait deviner d’où celui-ci provenait, c’est comme si la rue éclatait sous les hurlements de sa mère : « sauve-moi ! » « Kell, où es-tu ? »
Son regard tentait de balayer les ténèbres qui lui faisaient face et son corps, bloqué sur place, hésitait à courir dans le sens inverse. Mais c’était sa mère qui était bloquée là, et il devait la sauver, et ne pas échouer cette fois. Ses pas s’enfoncèrent alors dans le brouillard, alors que l’eau lui léchait à présent les genoux. Il remarqua à peine que celle-ci s’arrêtait de monter, les cris brouillant tous ses sens. Seule son ouïe semblait la plus alerte.
Et puis soudain, plus rien. Les murmures de sa mère résonnèrent dans son crâne et tambourinèrent contre ses tempes. Les suppliques étaient insupportables et Kell ferma les paupières, posant deux mains sur ses oreilles, bien conscient que sa faiblesse allait le tuer.
« Tu aurais dû être là » « mon fils, mon trésor, maman t’attend ».
Le monde semblait comme arrêté et laissait présager une suite bien plus catastrophique. Le jeune homme finit enfin par se réveiller de sa courte transe et un frisson le parcourut ; dans un éclair de lucidité, il tira sa baguette de sa poche, comme si celle-ci l’ancrait à nouveau dans la réalité.
Mais il fallait bien se rendre à l’évidence ; seul, il n’y arriverait pas. Et son corps finirait bientôt englouti par les trombes d’eau. Mais Kell restait Kell, buté et toujours brisé par les murmures de sa mère engloutissant ses pensées. « Diffindo » cria-t-il, tentant vainement par-là de briser la vague qui arrivait sur lui et lui permettrait un court moment de répit.

RÉSUMÉ
Kell sort d’un appel avec sa grand-mère et se fait avoir lui aussi par la brume. Il entend la voix de sa mère et croit pouvoir la sauver en allant la retrouver là-dedans (le boug est un peu con sur ce coup-là). Il tente un sort de Diffindo, sait-on jamais, ça pourrait fonctionner. We already know @Kana Tsukishima va lui faire comprendre qu’il peut pas s’en sortir solo.

— DESERT OF WAVES, WILDERNESS OF WATER
November 1st, 2020
Le temps était… étrange. Pourtant, avant que l’inquiétude ne t’inonde, ton esprit fut empli d’une douce nostalgie. Celle de ton enfance, lorsque la brume s’élevait sur votre village trop silencieux. Souvenir qui se dissipa dans un battement de cœur qui s’emballe, drôle de sensation qui pulse dans tes veines. En alerte, tu progresses avec prudence, ton regard à la recherche de cette silhouette. Azalynn. Où est-elle ? Autour de toi, les esprits s’affolent, les murmures se mélangent, les rires résonnent et le calvaire recommence. L’oppression qui fait palpiter ton cœur beaucoup trop fort et tu serres les dents, parce que tu te l’étais promis : plus jamais tu ne cèderais. « Assez ! » C’est aussi soudain que ton cri. Le silence. À ton sens c’est pire encore. Tout, mais pas le silence.

Tu te précipites sur la voie, à l’aveugle mais qu’importe. Tu ne partirais pas d’ici sans Azalynn. L’adrénaline qui te guide, lorsque enfin tu l’aperçois, figée, prête à embrasser un destin funèbre. « Lynn ! » Tu hurles à t’en arracher la voix et ton corps vient trouver le sien, qui semble plomber à terre. « Azalynn ! » Tu la secoues sans ménagement, dans la panique, dans l’inquiétude surtout. Ton regard plonge dans le sien et elle te semble si distante que ta gorge se noue brutalement, jusqu’à ce qu’enfin la lueur ne revienne. Soulagement passager, alors que tu l’entraînes dans une course folle. Dans ta foulée, tu perçois une voix, un sort. Attention pleinement capturée par le jeune garçon qui défie la vague. Qui défie la mort. Ta main s’agrippe à son bras, avec une force qu’on ne te soupçonnait pas. « Il faut fuir ! Ne reste pas planté là, idiot ! » Fuite presque vaine sous le tremblement sinistre de la vague qui s’engouffre dans vos rues. Du coin de l’œil, tu remarques une figure. Familière. « Naeun ! » Tu t’apprêtes à courir vers elle, naïveté de croire que tu pourras la sauver, lorsqu’une emprise se referme sur ton bras. Élan coupé, dans un spectacle d’effroi où Naeun disparaît sous les eaux.

RÉSUMÉ
Kana arrive dans l'optique de retrouver Azalynn lorsqu'elle réalise que cette brume n'a rien de celle qu'elle avait l'habitude de voir chez ses parents. Elle sent que quelque chose ne va pas, son corps le lui dit, alors elle décide de partir à la recherche d'@Azalynn Hopkins qu'elle retrouvera figée sur place un peu plus loin. Une fois tirée de ses songes, Kana peut enfin entraîner Azalynn dans sa fuite. Toujours en alerte, la Mizu remarque alors la présence d'un garçon ( coucou @Kell Brekker ) qu'elle entraîne aussi dans leur fuite inespérée. Plusieurs mètres parcourus et son regard trouve @Naeun Lee , qui se trouve en position particulièrement délicate. Et alors qu'elle s'élance pour aller l'aider, quelqu'un la retient. Sentiment d'impuissance qui inonde Kana et son coeur qui se brise à l'idée que son amie ne disparaisse définitivement.

— DESERT OF WAVES, WILDERNESS OF WATER
;; november 1st, 2020 feat. @mazra white
elle persistait dans son idée absurde, de vouloir à tout prix l’écarter et las de devoir répéter bêtement ses protestations, le peu de self control qu’elias gardait, menaçait de s’envoler. un combat de coqs ces deux-là. combat laissant des traces, comme ce poignet endolori de la jeune femme ou cette joue nouvellement marquée piquante du brun. silence de plomb de ce dernier, mêlé à un regard sidéré alors qu’elle finit par cracher l’origine de sa transe. i can’t swim en pleurs suivi d’un murmure de supplication, plus doux, pour qu’il parte. encore. « you're a witch » sourcils froncés, l’air peu impressionné par sa révélation. l’ego sûrement contusionné par le soufflet récent qui parlait, mais l’excuse lui semblait absurde; sa baguette pouvait la sauver. « for the last time, shut up and trust me princess. » le ton tout aussi ferme et déterminé, la patience lui fila entre les doigts, elias. chaque fibre de corps incendié par la détermination, il fit valser l’inutile bout de bois mandé et s’empara, une fois de plus, du faciès paniqué de mazra. contrôler, calmer, lui faire oublier. la vague dévastatrice n’était plus qu’un décor de fond lorsque leurs prunelles s’entremêlaient. calmer, souffler.. lui faire oublier. puis dans un élan inattendu, presque dramatique, il abaissa le visage elias, dissout l’infime distance entre eux. scella ses lippes aux siennes. est-ce que tu finis par saisir qu’il ne t’écoutera pas, princesse ? encore mieux, il tiendra sa promesse; tout ira bien. si le balai ne pouvait leur servir de sauveur, le sortilège de têtenbulle leur épargneront une noyade certaine. implacable, même une fois détaché de ses lèvres, il s’appliqua vivement à lancer l’enchantement sur tous les deux. aussitôt, une bulle d’air se forma autour de leur tête. « hold on to me, yeah ? » ordre déguisé en invitation; le choix ne lui était pas laissé d’un iota et il plaqua, très fermement, le corps délicat de la blonde contre son torse. une simple pensée sur la symbiose parfaite de leurs deux corps lui traversa furtivement l’esprit avant que la vague ne s’abattit.


❝ résumé,, maz est chiante, elle continue de vouloir le faire partir alors que non. elle le claque même, il voit un peu rouge et réagit assez froidement (à l'extérieur) quand elle lui annonce, paniquée, qu'elle sait pas nager. "t'es une sorcière et tu sais pas utiliser ta baguette pour pas te noyer, non mais allô". même si au fond, il panique aussi et veut à tout prix l'apaiser, la calmer et finit par l'embrasser pour la faire taire et lui faire oublier qu'ils risquent de crever. genre, bisou dramatique m'voyez. but c beau un baiser mais ça ralentit pas le tsunami et vu que c'est mort pour voler avec le balai pourri, il lance un sort de têtenbulle pour que maz et lui respirent sous l'eau et la supplie de s'accrocher fort fort fort à lui quand badoom, water is coming.

traduction
— t'es une sorcière
— pour la dernière fois, tais-toi et fais-moi confiance
— accroche-toi à moi, ok ?

— DESERT OF WAVES, WILDERNESS OF WATER
[ outfit ] ;; november 1st, 2020 feat. @elias landor
la vague, immense, continue de grandir alors que les coeurs d'échauffent. la détermination d'elias à ne pas l'écouter l'agace. surtout quand il se permet de faire remarquer que des sorts pourraient parer à sa faiblesse. mazra lève les yeux vers le ciel, sa colère monte. dangereusement. — it's not that easy, SHERLOCK ! aboie t-elle. personnage de la littérature moldue dont le gamin au sang bleu n'avait sans doute jamais entendu parler, mais elle s'en fichait mazra. elle redevenait ce monstre qui ne vit que de violence et chaos. quitte à mourir aujourd'hui, que ce soit comme elle a toujours été: forte. il ne peut pas savoir que c'est précisément à cause de l'un de ces sorts, ratés, qu'elle a failli perdre la vie. elle choisit de ne pas révéler ce secret à l'anglais, reste têtue une dernière fois. seulement, elias, lui aussi s'agace. en temps normal, ça l'aurait amusée. pas là. mazra est trop énervée pour profiter du spectacle de son ennemi perdant son calme. la belle proteste alors qu'il se débarrasse en un geste rageur du balai. — why would i shu... les syllabes sont suspendues à ses lèvres alors que la vague va s'abattre sur le quartier. le souffle lui manque et c'est elias, qui, une nouvelle fois, s'empare de son visage. paniquée, elle cherche le calme dans ses yeux bleus alors que son coeur bat furieusement dans sa poitrine. sans attendre une seconde de plus, le bel vient alors prendre possession de ses lèvres. et le coeur de mazra s'arrête. ou peut-être bat-il encore plus fort ? il se détache d'elle et tout le corps de la blonde qui hurle: encore. le sang vient taper contre ses tempes et elle a juste le temps de hocher la tête avant d'être emprisonnée dans l'étreinte du garçon, qu'elle enlace aussi de toutes ses forces. seulement, la puissance du tsunami détruit tout et ils sont emportés avec la vague. leurs corps sont malmenés, broyés par l'eau.

ISSUE DES DÉS:

❝ résumé,, elle commence à s'agacer car elias va contre sa volonté. elle ne peut pas utiliser un sort pour survivre sous l'eau car c'est exactement ce pourquoi elle en a peur, traumatisée par un épisode du passé. toujours en train de se fight alors que la vague se replie et est prête à s'abattre. back to panic mode, elias la calme et l'embrasse bdshcfjbdjbcfhbfjcb. elle ne comprend plus rien, son corps ne répond plus, alors elle hoche simplement la tête à l'ordre d'elias puis le serre fort alors que le tsunami s'abat.

traduction
— ce n'est pas si simple, SHERLOCK !
— pourquoi je me tai-....