ˏ⋆ ·˚ˎ * あなたにーmy only harmony ((Yul))

c'est que les syllabes en étaient risibles. déchéances des océans, glycines meurtries : car les couleurs s'étaient perdues dans les eaux, car les pétales s'étaient éclatés sur les sols. et Yul, il n'était plus rien. et lui, n'en redorerait pas les noms des familles aux fleurs épanouies. à en être celle qui punirait tous les mots : pour aller au contraires des Odyssées menées dans l'ombre.
et murmurent ,,
les glas :
dans ses oreilles.

enfant des vagues, que les écumes avaient recouvert dès les naissances : quand il n'était plus que débris errant sur les sables. coquillages aux nacres desséchées, à en regarder au loin les horizons si oubliés, de ces années d'innocences. et Yul ,, il n'en était plus que mort de l'intérieur.

adopté sur les méandres, par les supplications d'une mère aimante ((vendu)) comme gamin innocent, dans les griffes d'un monde trop violent. à avoir sombré si facilement, Yul, quand on lui disait qu'il ne pourrait jamais mettre les pieds dans les mêmes mondes qu'eux. qu'importe, quand de nouvelle vie : il en retracerait les éclipses dans les regards de tous. et à présent ,, il jouerait de ses dés, pour en éclater les réalités, dans ces pays qui n'en étaient pas natals..

sagesse ,, dans ces précieux qui en étaient aimés de ses doigts. à en montrer honneur à chaque fois qu'elle en était tenue dans les mains, à toujours en être beauté ((seule fierté)) d'en avoir gagné les respects de ces bois, d'en avoir peur fragile : d'en perdre les contrôles l'un de ces jours pour abattre les maux du monde.

sagesse, au bout des lèvres, à être enfant des eaux : à pourtant en être devenu si loin. car jamais ne l'avait-on mené là où les caractères en seraient épanouis. là où les doigts pourraient en laisser se dévoiler leurs enfers. à tout fuir : sauf les réalités.

livres aux bouts des doigts, de ces mémoires fantaisistes, quand il en retenait langages comme énième nature, quand les codes lui en glissait sur les peaux. régner en maître, dans les domaines. bien trop sérieux, bien trop humble : charité offerte à tous, quand les cours lui réussissaient. 8ème année en double cursus de droit et sciences politicomagiques et langue. à en aimer les rigueurs, à en aimer ce qui lui ferait oublier ,, que tout autour : n'était qu'artifices. et un jour, il en deviendrait juge de ceux voulant briser les lois.

quand on lui en avait tout offert. de ces familles si lointaines, à pourtant n'être que rejet. quand du sang versé, lui avait voulu rester loin de tout cela. gamin bien trop têtu, sans doute, de ces armes qu'il avait monté contre tous : et que même les familles n'avaient pas pu venir récupérer, quand il en avait rejeté toute affiliation.

elle brillait, de loin. toujours intouchable, toujours si charmante. à en être proche, comme en être si lointain. car ses sourires ne lui en étaient jamais adressés, car il n'était qu'épaule pour en accueillir les amitiés parfaites. à être insolence dans les paysages : à toujours en vouloir plus, dans ses silences éternels.
et le remarquerais-tu, un jour ?
à quel point, il en aimait les présences ?
ou en resterait-il, simple figure : inconnue.
à se laisser bercer ;
par ses éclats.

fleurs aux pétales d'argent, baignant de leurs couleurs si vives dans les marrées salines ! et ô qu'il en aimait, ces souvenirs d'enfances, que les doigts venaient saisir un à un comme flocons à récupérer. c'est que le temps avait passé ,, c'est que les figures en avaient grandies. émancipées, loin de ces odeurs frugales ! qu'il voulait à présent effacer des mémoires.

de regards affutés, à en sentir les mirages autour des épaules, pour en découvrir que le monde n'était que superflu d'imprévu et d'inepties. mais ô de ses poils à venir consoler les peines, de ses instincts à découvrir les mensonges ,, il n'y aurait qu'à faire appel, à ceux qu'il trouvait précieux, pour en trouver les plus beaux des présents. f é l i n ; comme pour le représenter, en haut des cieux.  

car entre ses mains, il aurait pu s'en retrouver marionnette : car entre ses doigts, il n'aurait jamais rien été. à l'avoir fuit si vite, à toujours avoir su qu'il ne devrait jamais en fréquenter les allures ! quand pourtant loin des cours ,, il en serait sans doute pourchassé par ses propres démons. de son visage : à signer la reprise des fuites.

peut-être en avait-il eu peur, de regarder derrière les vitres. à se dire qu'elles ne brilleront jamais de leurs éclats, à préférer les fuir : car il ne voulait pas savoir, Yul. alors il viendrait s'échapper ! à chaque fois. planquer les curiosités, quand celles-ci s'avèreront en être si désolantes.
à ne rien vouloir,
y trouver.

c'est qu'il n'en était rien, Yul. simple figure à ne pas s'adonner à ces plaisirs d'en être quelqu'un.

quand d'enfances en enfances, il en avait été baladé : de ces lieux magiques aux villes si confuses. à en avoir tant aimé, plonger les pieds dans les eaux turquoises, escalader les rochers ,, pour finir par en dévaler les pentes. mais Yul , tu n'en étais que marchandise dont on ne voulait pas. des rires, s'en étaient fait là éducation bien trop stricte. et les joyaux dans les prunelles ne brillaient plus, à présent. quand mre éhontée, à en laisser les enfantillages entre les mains du grand méchant loup. quand de ses yeux de gamin il n'en avait vu que précipice dans les maux semés dans les rues.
et rien n'était banal, ici.
et tout était chaos, là bas.
car grandir dans les violences : n'en étaient jamais harmonie. lui, de ce paternel qui n'en était que délinquant, à grandir dans les peurs de n'en devenir comme lui. ô Yul en aurait aimé autre chose, quand presque vendu ((abandonné)) entre ses mains, il n'y voyait plus que désespoirs. à traîner dans les rues, ne jamais vouloir rentrer : à se promettre d'en devenir un jour le bourreau de ceux qui l'avaient entraîné dans les tréfonds.

de ces maux insoignables, Yul en était enfant perdu entre les villes. quand de déménagements, Minami rejointe : pour en perdre les notions du temps. c'est que les éclipses en étaient encore plus lointaines, à ne plus se refléter dans les eaux, ni même dans ses regards. gamin perdu, quand il en était si seul. d'un père à ne pas s'occuper de lui, à préférer ne plus poser les yeux sur les affaires illégales dans lesquelles il avait vécu. laisser les pieds errer dehors ,, les corps sur les balançoires bien trop fins. jusqu'à en voir ange rédempteur. s'attacher aux quelques fantaisies offertes, de ces mains tendues, à finir par en être devenu bien trop protégé, par ces familles aux secrets bien gardés. quand ses yeux à lui en étaient si reconnaissants, à ne faire que se poser sur celle qui en faisait rire les poumons.
courent les enfants :
dans ces grands jardins,
comme euphories partagées !
et Sia, tu en marquerais les souvenirs, quand lui en resterait droit à tes côtés. à ne jamais plus bouger, à venir bercer ses épaules de ses jeux, quand enfant : il ne ferait que lui courir après pour en montrer aux anges qu'ils en étaient plus que simples fille et fils. qu'ils étaient tout simplement eux : avant d'être ce que l'on voulait qu'ils deviennent.

et à deux, ils  en créeraient monde parfait. quand lui voulait en devenir pourfendeur de ceux qui voulaient enfreindre les lois. faire comme s'il n'en était plus ces fils aux couleurs si moroses. s'éloigner de ceux qui l'avaient élevé, pour devenir gemme lui-même. briller de ses propres éclats ! quand tout devait en être parfait, quand chaque blocs devaient s'en aligner correctement. de ces échecs : à l'effrayer. et peut-être n'était-il au final rien, Yul. que poussière, que l'on pouvait réduire en cendre : sans que jamais il n'en devienne quoi que ce soit. de ces fiertés dont il voulait se doter ,, il ne devait pas échouer.

j a m a i s.

quand de crises : il en détruirait les décors. et que faire ? si les buts n'en étaient pas atteints ? à avoir rejoint les écoles ,, à s'être dit qu'il en jouerait des lois pour faire prisonnier les ((monstres)). paranoïa à virer en obsession, à devoir s'attribuer un but pour en garder les yeux ouverts : dans ces mondes où les baguettes en étaient devenues espoirs de survie. et Yul, personne n'en remarquerait, dans tes regards, les peurs d'être abandonné comme si tu n'avais jamais compté.
car après tout,
qui finirait par remarquer ,
que tout l'effrayait.

c'est que dans les couloirs :
elle en était devenue trésor.
de ces amitiés, à passer pour inconnu.
et Yul, il en voyait les visages bien trop souvent, quand concentré dans les livres et ouvrages, il n'en voyait plus le monde comme les autres. à être bien trop sévère avec lui-même ,, à rester si loin : de celle qui ne le verrai jamais autrement que comme un ami, quand la perfection en devenait objectif aveuglant. tête de classe, à n'impressionner plus personne, de ses sérieux, de ses calmes pertinents, à ne briller plus que sur les papiers. quand de pulsants acharnés ; il en avait perdu goût des libertés. travailleur acharné, pour en détruire un peu plus les idées d'y voir scintiller les miracles. à ne juste pas vouloir devenir ce qu'il avait toujours côtoyé ,, et Yul en jouerait jeux dangereux, à vouloir s'en montrer roi quand il n'était plus rien, quand il s'en montrerait risible défaillance.
à n'être jamais assez parfait,
jamais assez bien :
dans ses regards à lui.

talents aux bouts des doigts ,, à en aimer les arts, à peindre dans les secrets ! à sculpter les pierres dans les ombres ! sans que personne ne sache, sans que les traits n'en soient jamais dévoilés. quand elle en venait si souvent combler ses carnets de croquis, quand les couloirs lui en servaient de lieux de répits : pour lui aux couleurs si fugaces. car Yul s'était passionné pour les arts, à ne jamais en parler, comme secret le plus gardé au monde. et de ces portraits de pierre, il en briserait les étoiles déjà mortes dans ses regards.
pour finalement :
n'en faire
que croquis volés.

Yul a tendance à beaucoup trop travailler, pour avoir des notes parfaites. dans le cas contraire, il lui arrive de faire des crises d'anxiétés quand les choses ne vont pas comme il le souhaite. ★ peint et sculpte quand il ne travaille et révise pas. ★ sa couleur préférée est le vert sauge. elle le détend, et il en fait souvent des rappels de couleurs sur ses tenues et affaires. ★ il excelle dans la plupart des matières choisies. La langue qu'il étudie plus précisément dans son cursus est le thaïlandais. ★ il est assez silencieux, bien que très dynamique et toujours prêt à aider les autres à ses dépends.