starlight (anla)

(( STARLIGHT ))

my life. you electrify my life. let's conspire to ignite all the souls that would die just to feel alive ;: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] / MARS 2021 · c'est toujours la même sensation grisante. les ondes de la musique qui viennent se confronter aux battements de son coeur. les néons qui donnent une ambiance feutrée. l'écho des voix autour de lui. enfant de la nuit qui s'y sent comme chez lui. seulement cette fois-ci, il a amené quelqu'un avec lui. anla. âme candide en exploration d'un univers inédit. et, comme pour la guider dans l'obscurité, ryō l'entraîne avec leurs deux mains entrelacées. ça lui fait plaisir au gamin. de lui faire découvrir son petit monde. pans entiers d'une vie jusque là imaginée. il lui montre chaque détail. l'observe en coin pour voir ses iris s'illuminer. dose d'adrénaline recherchée, effleurée. le gamin l'abandonne quelques minutes près du comptoir en quête de rafraichissements. silhouette qu'il ne quitte pas vraiment du regard. instinct de protection ancré en lui. lien indéfectible noué au sein de leur meute. responsabilité silencieuse. il s'empare des deux verres qu'il s'empresse d'amener à anla. il réagit trop tard lorsqu'une silhouette le bouscule avec violence. les verres se fracassent sur le sol dans un silence assourdissant. l'homme se retourne avec un rictus mauvais. « watch out dude ! oh i'm sorry. did i interrupt something with your girlfriend ? i can take care of her tho. » c'est trop. ryō voit rouge. il empoigne la chemise de l'inconnu avec force et ses jointures viennent s'écraser contre son nez. « ASSHOLE ! » l'autre ne se laisse pas faire. bientôt un coup vient s'écraser contre sa joue. hémoglobine amère qui perle au creux de ses lippes. les coups fusent. encore et encore. l'autre ne tarde pas à s'abriter près du comptoir. il se moque bien des regards rivés vers lui. des murmures des élèves présents. it's him again. réputation qui lui colle à la peau. ça lui est bien égal. le mizu n'en a pas encore terminé avec lui. perdu dans ses vices de toujours. impulsivité et colère mêlées à ses poings ensanglantés. c'est à peine s'il a conscience de anla près de lui. le sang bat trop fort dans ses veines, lui brouillant presque la vision. les dents serrées, ryō ne parvient pas à se calmer.

∙ vingt ans (02.11.01)Naissance & Âge :

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t’as les souffles mirages, anla. de ceux qui te permettent de croire. la luminescence des néons effleurent les épidermes d’ombres polychromes- et tu te laisses emporter dans les flots sombres. dans la promesse des maraudes au temps, de glaner quelques moments. moment de gloire que tu accordes à ryō, monarque de tes nouveaux éclats. main dans la sienne, tu le suis dans ses pas un peu bancale. presque dans ton élément, mais pas tellement. tu te fonds dans la masse, pourtant. de cette nonchalance que déverse ton être sans mensonge. mômes de l’obscurité à se fourvoyer dans des mondes différents, de ces nuits en collision depuis quelques temps– comme en cet instant. à partager un univers de l’autre. mais ryō ne manque pas– les fissures à la commissures de tes lèvres. le regard météores qu’il dérobe parfois. la chair frémissante aux ondulations sonores. au sommet de vos merveilles lunaires, vous vous moquez de ce fragile plafond de verre. qui se fissure, qui ploie, qui se ramasse– comme ce soir. tu sens la bascule dans les mots fades de l’ingrat. … i can take care of her tho. t’as pas tellement le temps de répondre, pas tellement le temps. de relâcher tes poumons, de tendre la main vers l’âme au désastre. froncement à peine perceptible des sourcils, tu ressens la décharge quelconque seconde avant. « don’t– » mais ryō n’est déjà plus là, loin de toi. loin de vos astres. et quand l’orage éclate, il emporte loin la conscience du fêtard. quand les jointures se fissurent dans l’esclandre, t’as déjà compris qu’il est trop tard. « oh merlin » tu t’approches de quelques pas, semblant de frontière d’entre les mauvaises graines et le reste. « come on ! » t’as les bourrasques en règne dans les opales, quelconque éclat perdu comme un dommage collatéral. t’écartes les bras dans ce flegme assassin, silhouette floue au milieu des décombres. t’as l’impuissance amère, qui s’immisce dans les veines comme pour prendre terre. « no need to beat the shit out of you for some drinks and a stupid clown » mais les mots sont vains. t’es certaine qu’il n’entend pas, à peine s’il te voit. t’effleures à peine ses ravages, anla. mômes de la nuit peut-être, mais vous ne sombrez pas dans les mêmes trépas. t’interceptes le regard du malandrin, te retiens d’hausser les épaules. t’as presque envie de participer à la sentence juste pour dissoudre son arrogance. presque envie de laisser ryō lui emporter ce qu’il reste de sa conscience. mais t’as pas les ténèbres comme domaine, pas envie que ton (votre) crépuscule devienne une peine. tu le sais, avant même de le faire, que ça ne mène à rien. tu le sais, quand tu fonces tête la première, que tu pourrais perdre plus que ce que tu essaies de reprendre. mais t’as des envies stupides, anla. « ryō ! » peut-être égoïstes. ryō, please. les néons se percutent dans son regard désastreux, et tu n’en fais rien. come back. quand tu en entends les murmures de la foule qui s’amasse. tu n’en fais rien, quand tu tends la main. stay safe with me. quand tu attrapes son bras, mais que dans ce malheureux intervalle– la parade de l’autre homme trouve ton visage dans son sillage. une respiration. c’est tout ce qu’il suffit à te rendre inutile, en plus d’être stupide. t’as le squelette qui capitule dans la gravité quand ton minois bascule de l’autre côté. quand le corps auquel tu t’accroches se dérobe entre tes doigts. anla, tu ressens les acouphènes qui dégringolent comme les secondes.

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my life. you electrify my life. let's conspire to ignite all the souls that would die just to feel alive ;: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] / MARS 2021 · les coups fusent. encore et encore. météorites interdites. colère qui ne s'apaise pas malgré la voix de anla qui s'élève. tentatives vaines pour apaiser son ire. c'est à peine s'il a conscience de ce qu'il entoure. des murmures et des cris mêlés les uns aux autres. des regards désapprobateurs, scrutateurs. il oublie tout ryō. comme toujours, il s'oublie. les vagues se muent en tempête qui fait rage. il lui semble sentir le contact d'anla. mirage qui s'évanouit brutalement. trop soudainement. il ferme les yeux, prêt à recevoir l'impact des jointures contre sa mâchoire. mais le coup ne vient pas. s'abat sur l'autre silhouette suppliante. c'est à peine s'il réalise. la carcasse immobile, les iris qui cherchent à comprendre. puis la panique. la fureur. ryō pousse un sifflement menaçant. l'autre recule, choqué par la tournure de leur querelle. ça le démange, le gamin. de s'en prendre de nouveau à lui. de lui faire payer son erreur. mais il y a anla. anla sonnée par le choc qui lui était destiné. le mizu se baisse à son niveau. silhouette fragile qu'il aide à refaire surface. et déjà, l'hématome colore sa peau d'albâtre. il jure en silence. culpabilité qui déchire plus que les impacts sur son corps. « fuck. i'm sorry anla. » il ose à peine croiser son regard. conscient qu'il n'a rien de bon à offrir. qu'il n'est que synonyme de chaos. le gamin sent bien l'hostilité qui règne autour de lui. « come on. » il la soutient pour l'emmener un peu plus loin. coin isolé où elle peut se poser. le regard fuyant, ryō s'éclipse quelques instants pour revenir avec un chiffon rempli de glaçons. le mizu a le regard fermé lorsqu'il s'installe devant anla. « stay still. » il pose délicatement le tissu contre son épiderme. cela ne va rien arranger. cela ne fera pas disparaître l'orbe bleutée qui naîtra au petit matin. « do you want me to take you to the hospital ? does it hurt a lot ? » corps abîmé, anesthésié à la douleur. si bien qu'il oublie qu'elle existe. il serre les dents, ravivant la coupure de ses lippes. un des nombreux cadeaux que cette soirée a apporté. « i'm sorry anla. » désolé. mot qu'il ne prononce que trop souvent. écarts de conduite qui retombent souvent sur les autres. entourage lassée de sa mauvaise attitude. de la rage qui semble le posséder depuis tant d'années.

∙ vingt ans (02.11.01)Naissance & Âge :

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fauchée dans la lueur des néons sans une seconde pour comprendre, tu rencontres la poussière au sol aussi facilement que les feuilles tombent. les astres dégringolent dans ton regard comme dans tes pensées et pendant un instant, tu n’entends rien d’autres que les acouphènes qui t’entraînent. t’es comme anesthésiée, môme qui n’a rien demandé. et tu ne te rends pas compte, des mouvements autour de toi. des grondements mécontents, et des murmures qui se dispersent dans les visages qui vous observent. il y a l’autre qui recule, et une vague de chaleur qui s’imprègne doucement de tes pommettes. l’autre qui recule, mais ryō qui s’avance. qui te trouve dans les ombres dansantes qui t’enferment. tu le laisses faire, le laisses t’éloigner. s’éloigner lui, de ses démons. des autres, de leurs regards noirs. ou de pitié. mais t’as que faire, anla. encore sonnée, pourtant tu ressens de la consternation. les traces d’une colère qui s’emparent de tes prunelles lasses. usée des batailles que tu peines à faire taire. et même les ombres d’une tristesse, quand tu portes machinalement la main à ta joue meurtrie le temps où tu restes seule. tout un tas de sentiments qui se bousculent entre tes lèvres fermées, avant qu’il ne revienne. « hm. » que tu souffles quand il te demande de rester immobile. la morsure du froid te fait prendre conscience de la douleur qui irradie ton visage. si peu habituée à ces coups qui pansent les maux de ryō. « no! » ton cœur manque un battement, tu refuses presque trop vite sa proposition. l’hôpital. et ses malheurs. et ces années que tu lui as laissé. et ces bouts de toi que tu as abîmé entre ses murs. « no need. » tu reprends calmement, comme pour chasser les fantômes. « i have medicine at home. aya's stuff, that makes miracles. » tu soupires, mais redresse les épaules. t’oses pas répondre à l’autre question, et voir les regrets s’amasser au fond de son regard. t’es pas vouée aux mensonges, anla. alors tu ne dis rien, ne touches à rien. ni à sa main, ni à ton visage. tu laisses le doute s’éprendre de l’atmosphère. aux lendemains, l’amertume des comètes. une pensée traverse, te renverse presque – et tu baisses les yeux, penaude. « don't tell my brother what happened. » tes lèvres se pincent, consciente que tu ne lui apporterais qu’une preuve supplémentaire que tes éclats ne mènent à rien. et soudainement, tu te redresses à nouveau, balaie les doutes d’un revers de main. « i was hit by a quaffle or something. » tu observes le mizu, enfin. vraiment. de son regard que tu cherches, que tu accroches. et d’un murmure, tu lui adresses un episkey afin de refermer les plaies de ses lèvres. « better. » un soupir écorche les tiennes à nouveau avant qu’elles ne s’étirent pour creuser tes fossettes. « i’m fine. » tu attrapes l’une de ses mains, presse ta paume contre la sienne. de ta chaleur cherche à apaiser ses tourments. « it happened, it's like that. we can't go back. » tu voudrais, lui dire de ne pas s’excuser. qu’il est comme il est. et c’est vrai, que tu l’acceptes comme il est. dans ses éclats solaires et de colère. mais tu n’en restes pas moins blessée, dans les faits, dans les sentiments. tes émotions en ascension dans ses montagnes russes. alors tu repars en avant, anla. dans vos nuits noires, tu ne perds pas les espoirs. ni les promesses. tu te penches vers lui, traverse la distance comme pour mettre un terme aux détresses. « you promised me to party all night long... » d’un murmure tu trouves son souffle, lui apporte confiance d’un regard. tu maintiens la proximité quelques secondes, profite de sa présence. peut-être même que tu y cherches un certain réconfort – avant de te pourfendre d’un nouvel éclat, et de reprendre gaiement. « so i’m going to have my super night! » tu te relèves d’un saut, trop rapidement. tes pas s’emmêlent dans les lumières qui dansent, mais rapidement tu retrouves terre ferme. la gravité, tu n’en as toujours eu que faire. tu tends la main vers lui, celle-la même qui l’a lâché un instant plus tôt. « some drink? » come on, ryō. the night is ours.

Jeu 07 Oct 2021, 22:57

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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] / MARS 2021 · no need. le gamin ne veut rien entendre. il s'obstine à presser les glaçons contre la plaie, comme si elle allait disparaître d'elle-même. effacer sa nouvelle crise de colère. sa dernière pulsion. c'est à peine s'il entend ses mots. à peine s'il y croit. ses phalanges abîmées se resserrent contre le chiffon. ryō s'en fout de se blesser. de briser sa carcasse encore et encore. il en redemande toujours plus. sensation grisante qui agit comme une drogue dans son système. il ne supporte pas quand ses proches sont atteints par sa faute. par son inconséquence. le gamin garde le silence, le palpitant serré par la culpabilité. un sourire ironique étire néanmoins ses lippes rougies lorsqu'elle mentionne son frère. son alpha. « don't worry about it. we don't get along. i'm not sure he even knows we're friends. » shilo le tuerait s'il l'apprenait. menace pour l'existence de sa soeur. sûrement à raison. il se referme un peu sur lui-même à cette pensée. il ne parvient cependant pas à conserver totalement son sérieux avec anla. « a quaffle really ? in a bar ? » l'amusement fait briller ses prunelles sombres. l'excuse ne tient pas la route, même dans un univers de magie. il secoue légèrement la tête, se retenant de rire. le mizu reste mutique lorsqu'elle referme quelques plaies. il ne le mérite pas. c'est pour cela qu'il ne se soigne jamais véritablement après chaque rixe. se punissant lui-même un petit peu avec la douleur causées par ses éclats. ryō la remercie tout de même, d'une voix blanche. i'm fine. « no you're not. because of me. » il aimerait réparer. retourner en arrière. le gamin retire le chiffon désormais imbibé d'eau et grimace à la vue des galaxies timides qui s'étirent sous son épiderme. le takeda fronce les sourcils, peu convaincu que ce soit une bonne idée de faire la fête après tout ça. « anla you can't be serious. look what just happened. » il se redresse en le voyant chanceler et attrape ses coudes pour tenter de l'aider à trouver l'équilibre. « you should rest. » il lève une de ses mains pour effleurer doucement la pommette marquée. ses obsidiennes fixent cette dernière avec un air dur, comme pour exiger que la plaie se referme d'elle-même à l'instant.

Lun 01 Nov 2021, 22:01

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d’une quelconque manière, les mots concernant shilo te peinent. tu y décèles une amertume sans comprendre son fondement. peut-être te méprends-tu un peu (beaucoup), sur leurs sens. et tu penses qu’au contraire, il ne peut être véritablement aveugle à votre relation. à partager la même meute, le même âge. vos chemins ne pouvaient se croiser autrement – loin de te douter, des histoires entre ces deux-là. « hm. » que tu réponds, simplement. lèvres scellées alors que la fraîcheur se presse contre ta pommette abîmée. mais l’amusement que tu décèles ensuite dans ses prunelles t’apportent un soupçon de soulagement – et quelques lueurs mutines dans les tiennes. « who said it was in a bar? » les circonstances n’appartiennent qu’à vous deux. aux démons de ryō et à tes envies lunaires, d’être dans ses pas comme tu pourrais poursuivre une nova. tu ne souhaites pas mêler ton frère à vos moments. à ces interludes suspendus dans tes mauvais temps. à ces chemins que tu empreintes par toi-même, dans les plaies comme les sourires. ceux-là même qui s’estompent dans la moiteur des lieux, et que tu regrettes déjà. soucieuse des tourments du mizu, plus que des élancements que tu ressens. toujours plus concernée par les inquiétudes des autres, et de leurs fantômes. peut-être un jour apprendras-tu à faire la part des choses – à ne pas renverser les écarts des autres pour mieux les supporter. « i’m fine. » les mots se répètent, plus lourdement. syllabes appuyées comme pour leur donner plus de poids. détermination nécessaire dans le regard. tu ne sais pas vraiment, comment estomper ses tourments. comment reprendre le cours de votre soirée autrement. comment vaincre cette bataille, pour une fois. juste pour une fois, pouvoir faire comme s’il n’y avait aucun mal. ses mains te rattrapent quand tes pas chancèlent, comme il le fait chaque fois que tu dérapes. mais ses intentions ne sont pas des plus simples, et quelque part tu y ressens à nouveau de la peine. « i spent my life to rest. » against my will. because everyone lived in fear for me. and me too, a little. aucune douleur ne transparait dans tes paroles. aucun regret, pas plus d’amertume. seulement une profonde lassitude, cette usure d’être toujours maintenue dans les ombres. tu n’es pas née pour rester dans les silences et tu voudrais qu’il le comprenne. tu voudrais que tous, le comprennent. « i don’t want do that anymore. » des éclats s’élèvent entre tes lèvres, en écho à ces pensées agacées. à ces sourcils qui se froncent au-dessus de ton minois aux teintes bleutées. « i– » tu soupires, d’exaspération. de tristesse. dans l’absence des mots. « i will not melt. i will not disappear. » quoique, disparaître tu n’en es jamais vraiment certaine. « i just wanna party all night and have fun and drink until the sunrise and… » tu voudrais tellement de choses, que toutes se bousculent. se dépêchent, de crainte que tout se disperse. mauvaise humeur qui se discerne dans les moues qui te siéent trop souvent. « why can't i spend a night like everyone else? » plus une colère qui transperce qu’une plainte – et l’espace d’un moment, tu en oublies les inquiétudes du mizu. seuls transparaissent les égoïsmes d’une môme perdue entre deux temps. qui voudrait – mais n’obtient pas tant. son regard est un refuge que tu cherches trop souvent. ces prunelles que tu n’as pas quitté une seconde. que tu affrontes sans décrocher, sans perdre pieds. à lui déclamer ton mécontentement sans sourciller. sans courber. « why can't i spend a normal night... with you? » mais les nouvelles paroles se troublent, deviennent quelconque murmure. parsemées des lueurs panachées des néons, tu cherches quelque chose. n’importe quoi. un moment avec ryō pour te sentir exister.

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