ALM(A)OST ☽ YUJIN

prénom & nom ;
son yujin • alma

유진 • ユジン
الماء  Alma signifie "savante"

Seul héritage laissé par une mère qui s'est envolée. Yujin, sera mon enfant, calme et paisible, doux et gentil. Des yeux qui brillent tel des saphirs, un cœur grand comme l'océan. Être de lumière qui aidera son prochain, toujours près à tendre une main aimante vers celui qui en aura besoin. Désillusion quand il grandira en étant un pieur, qu'un aideur. Mais il promet de rendre ce qu'il a volé (un jour). Quand il sera temps de tiret sa révérence, il saura remercier tous ceux qui ont contribuer à son histoire. Et ceux qui sont délaissé et mis de côté. Promesse imaginaire qu'il scelle de lui à lui : un jour, je serai l'être que tu as souhaité que je sois, maman.

lieu de naissance & âge ;
02/03/98 (23)

vit le jour le 02/03/98 (23) à TSUSHIMA (prefecture de NAGASAKI, japon) sous le signe du poisson.

nationalité ;
coréen naturalisé japonais

famille originaire de la Corée, immigré au Japon depuis 3 générations, il sera nait de deux parents coréen, mais aura la nationalité japonaise.

baguette ;

• Taille — 35 cm
  
• Bois — Noyer noir
  
• Coeur — Épine de monstre du Fleuve Blanc
  

élément, groupe ;
mizu (水)

L'eau lui ressemble, il l'a toujours dit. Comme elle, il est tout ou rien, transparente et paisible, ou solide et brisante. La douceur d'une mer paisible, enferme des secrets dans ses profondeurs. Il sera mizu, enfant de l'océan, héritier des vagues, designer par le koï qui nage à contre-sens.

occupations ;
étudiant bancale

pôle arts
— Arts visuels

Comme une évidence, la seule peut être de sa stupide existence. Personne n'a jamais remis en doute son talent. Ses traits sont certains, sa vision des choses est particulière, on aime dire de lui qu'il a du talent. Et c'est cette idée du talent qui l'entraine jusqu'ici. Il sait qu'il en a, des couleurs qui se dessine dans le ciel, des formes là ou d'autre ne verrai que banalité, une créativité hors du commun s'écoule de ses doigts avec vivacité. Il est sûr qu'il en a, que pour une fois, ce don est un cadeau des dieux.

Carnet de dessin dans le tote bag, cacher derrière l'argentique qu'il oublie toujours de vider. Des gouaches séchées dans l'évier, qu'on lui demande sans cesse de ranger avant de passer à autre chose. Les corps défilent sous ses yeux, et reprennent vie dans les couleurs qu'ils leur donnent, des histoires qu'on ne peut comprendre qu'à travers son regard d'artiste.

Son père est ambitieux, pense à lui comme un artiste dont on se souviendra du nom. Lui, aspire à une vie paisible, loin du monde, loin de la gloire. À ses yeux, ceux qui mérite d'être vue sont ceux qui sont representer dans ses créations. Je suis veilleur tu es musée.

mangaka
— Kyoto Animation

Concours régional remporté à 15 ans, engendre la rencontre des directeurs de Kyoto Animation. Brille-lui-en une ambition qu'il n'a jamais remarquée, pourtant bien visible aux yeux des recteurs. Il sera en stage de découverte de ses 15 à 17 ans, et employer lambda à partir de ses 18 ans. Rien de glorieux, il dessine les fonds de Shojo, retouche les couleurs avant impression, gomme les essaient foireux des maquettes. On lui a promis plus, mais il n'espère rien. Au pire, il continuera à dessiner les pétales de cerisier qui tombe en cascade pendant qu'Hinamori Amu fait sa déclaration à Tsukiyomi Ikuto.

situation financière ;
moyenne • non boursier

Enfance précaire, valse entre les produits dates courtes et les vols à l'étalage. Une vie vagabonde, qu'il embrase avec joie. L'amour du jeu, disaient ses tantes, quand les poches sans fonds sont remplies de conserve. Les plaisirs coupables n’ont pas leurs places dans cette vie précaire, on mange pour survivre, on boit pour ne pas être fripé. C’est plus tard que les caprices s’éveillent, quand il quitte l’île et retrouve son père dans la grande ville. Lui et sa carte bleu brillante, code à 4 chiffres libère des fenêtres qu’il n’aurait jamais envisager.

Il n’en abuse pas, il se prive même. C’est l’argent de son père, pas le sien. Il ne veut pas en dépendre. Lui, il continuera à piquer des sachets de sucre à l’infirmerie, et à favoriser la marche au ticket de métro.

orientation & statut civil ;
celibataire

Relation étrange, presque malsaine avec l'amour. Ce grand n'importe quoi, dont il ne connaît rien, rien du tout. Il l'a trop souvent mélangeait au sex, au désir, à la passion brûlante qui emporte deux personnes sur le même navire. il n'a aucune idée de ce qu'on fait par amour, ni comment aimer. On commence par où ? Quel point faut-il relier ? Quel porte ouvrir ?
Aimer devrait être la chose la plus simple qui soit : on aime quand on se soucie, on aime quand une chanson nous fait penser à l'autre, on aime quand il suffit d'un geste chaleureux et tendre de l'être aimer pour se laisser emporter. Pourtant, ça semble si difficile.

Il faut dire qu'il se hait, aussi, il se déteste. Son apparence est négligée, il est maigrichon, pas très beau, on ne lui offrira jamais un baiser, ni un verre pour se lier. à la création d'Alma, la donne change. Le désir naît dans le creux des reins, les compliments fusent et les verres s'enchaînes. Il préfère soudainement le silence au vacarme des idées sombres que les hommes peuvent faire sur le corps d'une gamine.

Alors il laisse tomber, il ne veut pas savoir. Il est célibataire, les doigts trop mêlés à des garçons qu'il rencontre, et le cœur trop sceller à celle qui partage sa vie depuis bien trop d'année. bisexuel, polyamoureux, la tête dans les nuages.

particularité(s) ;
henge (変化)

CHANGEURS
(MÉTAMORPHOMAGES ET THÉRIANTHROPES)

FACIÈS

seuil 0  inné
seuil 1 instabilité
seuil 2 traits
seuil 3 durée

PHYSIONOMIE

seuil 0 inné
seuil 1 instabilité

amortentia ;

thé vert minceur
Toujours une boite qui traîne quelques parts, toujours une de ses tantes qui s'en fait infuser uns. C'est bon pour le transit, et ça fait maigrir. C'est un cadeau pas cher, que les prétendants offres, mieux qu'un bouquet de fleurs. Une cuillère de miel, ou deux sucres pour plus de goût.

mister freeze gout coca
Sucette glacée partagé à deux au sommet des rochets de l'île de Tsuhima. Les bateaux décollent pour de grandes aventures, et le vent soufflet si fort que les cheveux d'Ireshi ne cessez de coller à la dite sucette. Ils rêvaient de partir eux aussi, s'inventer des destinations qu'ils ne verraient jamais. On partira en Irlande en bateau, ou aux Îles Canaries, et on reviendra jamais. Promesse scellée dans un bisou esquimau. Il l'emmènera un jour au Îles Canaries, Ireshi, il lui offrira la vie qu'elle mérite d'avoir.

savon noir
Angoisse soudaine qui l'emporte le premier soir ou Alma est de sortie. Il fallait faire disparaître les preuves, revêtir le déguisement de Yujin. Il file sous la douche, laisse l'eau brûlante sur sa chaire emporter tout se pèle mêle de sentiment qu'il venait d'accumuler. Ce n'est pas désagréable, loin de là. C'est une renaissance, première fois qu'il étaient Alma, et loin d'être la dernière. Il enduit son corps entier de savon noir, et choisira au matin s'il veut être elle, ou lui.

patronus ;
non maîtriser.

Coeur noirci ne génère jamais rien de positif. Peut-être effacer, presque étouffer par les souvenirs trop amer qui lui colle à la peau. Il a beau essayer, il n'a jamais réussi à faire apparaître quoi que ce soit. Finalement laisser tomber pour se concentrer sur d'autres sort, souhaitant intimement qu'un jour, ses doigts soit en mesure de libéré un souvenir si étincelant qu'il prendra forme sous ses yeux ébahis.

épouvantard ;
abandon

Trop souvent laisser dans son coin, oublier et isoler, yujin manifestera dès son plus jeune âge : une peur de l'abandon. Elle entraînera avec elle, de l'anxiété, de l'agressivité partiel, et un conflit constant envers lui et le monde qui l'entour. Remettant sans cesse en doute la parole ou les actes de l'être aimer. Pourtant effrayer de se sentir de nouveau délaisser, prêt à supplier pour ne pas être quitté.

Ne nous disons jamais à Dieu, disons nous au revoir. Promettons-nous de nous revoir un jour, de rire encore, pleurer encore, parler encore. On a tellement de choses à se dire pour se laisser partir, pas vrai ? Demain est un autre jour et après demain aussi, laissons nous le temps de nous aimer encore.

risèd ;
une mort paisible

Si la vie ne lui a pas fait de cadeau, alors la mort sera son eldorado. Les démons auront eu raison de lui, mais il n'aura pas à les affronter au lever du jour. Il souhaite cette paix banale, s'endormir pour ne jamais se réveiller. Dans les bras d'une mère qu'il a perdue, peut-être que la vie commence quand vient la mort, après tout.

Les sirènes de Nagasaki
( tantes )

Les meres qu’il n’a jamais pu avoir, sa seule famille. Élever à bout de bras par un peu tout le monde, aucune technique particulière pour faire de lui ce qu’il est, elles ont juste : essayé au jour le jour. Aucune d’entre elles n’était faite pour être mère, elles ont toutes utiliser ce qu'on appel la fibre maternelle. Le mot d’ordre était de ne pas laisser l’enfant mourir, mais une fois qu’il est assez âgée pour se débrouiller, alors le laisser tomber du nid pour s’envoler de ses propres ailes. Il avait ses techniques aussi, il savait lequel d’entre elles seraient assez douce pour fondre devant ses yeux de chien battu et lequel aurait les reins assez solide pour le remettre à sa place. Il trouve une certaine harmonie dans ce bordel désorganisé. Dessinera à son tour, son petit chemin, ses petites astuces, sa propre histoire. Il est reconnaissant de l’amour qu’il a reçu dans ce foyer. S’est retrouver à pleurer quand il était temps de se quitter. L’amour qu’il leurs portes est infini, et il prie chaque jour qu’aucune d’entre elles ne retrouve la raison d’une vie bien ranger. Ce serai trop ennuyeux pas vrai ? Où est le défi ? Où est l’amour du jeu ?

Choi Rin
( mère )

Mirage bien lointain, n’existe que dans ses rêves. Une silhouette fine et floue qui se fond dans le lever du jour, disparaît sans cesse sans laisser de traces. Adieu trop brutale, car au final : il n’y a jamais eu droit. Ça ne devrait pas l’atteindre pourtant, ce n'est pas quelques choses qu’il a connue, quelqu'un chose qui devrait lui manquer. S’imaginait la sensation d’aimer et d’être aimé en retour, broder l’image d’une mère qui sera là, bien présente en chair et en os. L’appellerait par des surnoms sucrés, se souviendrait de sa marque de céréale préférée, de l’odeur qu’il aime avoir avant de dormir, de la chanson qu’il siffle quand il est angoissé. Elle n’est pas, ne l’a jamais été, mais laisse une place béante dans son coeur. Maman existe, elle avait ton rire, et ses dents étaient alignées comme les tiens. Elle se levait la première pour danser et ça faisait bouger tous les vieux matelots de leurs chaises pliantes. Ils auraient tout donné pour avoir un sourire, un rire de sa part. Tu lui ressembles tu sais. Douce et délicate, elle ne t’a pas connue bien longtemps pourtant : elle t’a tout donné.

Son Won ho
( père )

Rien avoir, rien du tout. Ils se détestent ou s’aiment trop pour s’autoriser à se le dire. Son père ne l’a connue qu’à travers les récits de ses tantes, ses sœurs aux grands cœurs qui l’ont élevé comme le dernier de la fratrie. Il l’a récupérer à ses 12 ans, un peu paumer, un peu à l’ouest. Élever sur cette île où il n’a rien connu à part les vagues et les mouettes. Relation conflictuelle, sans cesse dans l’attente de l’un et de l’autre, sans savoir ce qu’il a vraiment à attendre. Éternelle insatisfaite, ne verra qu’une perte de temps et d’argent dans ce fils qu’il n’a jamais désiré. Pourtant yujin en a entendue des histoires sur cet amour idyllique, il en entend encore parler de cette amour si pur qu’on ne pouvait le décrire. Ils s’aimaient vraiment, tu sais, avais avouer une de ses tantes, il s’est perdu en cours de route et elle était la seule à l’avoir retrouvé. L’amour avait laissé place à la haine et Yujin en avait payer les frais. Il avait beau essayer de satisfaire les attentes et les demandes de son père, il en était rien. Il lui ressemblait beaucoup trop, elle était encrée en lui. Et il n’arrivera jamais à se défaire de cette image qu’il a si longtemps portée. Plus tard, son père se remaria, Sophie et ses 2 filles entreront dans la vie de Yujin et prendront sans le vouloir le rôle d’enfant qu’il n’a jamais pu avoir. Il arrêtera d’essayer, doucement mais sûrement. Effaçant sa présence de l’existence de son paternel. Regarde-toi, réconfortant les autres avec des mots que j’aurais espéré entendre.