- élodie — she/herIRL : ahn lina (c/ cendres ♡).Avatar, Crédits : 314Messages : 1RPs : 4 157Gallions :
shall my young sins, my sins alone,
be everlasting here?
「 MOODBOARD 」
心なんかもってたら、生きていけない
☉ ARIES ∙ ☾ CAPRICORN ∙ ↑ ARIES
CHAOTIC NEUTRAL ∙ ESTP-A ∙ 8W7
- tw:
- remi appartient à la pègre sorcière, au monde des yakuzas, et a un passé compliqué. plusieurs thèmes peuvent être abordés de près ou de loin dans mes écrits : instabilité mentale, manipulation psychologique, armes blanches, paralysie du sommeil[i]. + mentions de [i]maltraitance infantile, de violence, d'abus mentaux et d'agressions physiques/sexuelles.
- pronom rp:
- j'écris mes rps à la deuxième personne du singulier (tu). ce n'est pas le plus courant, ce n'est pas le plus facile à lire. alors si ça vous gêne d'une quelconque manière, n'hésitez pas à me le dire ! je m'adapte sans problème ♡
- activité:
- je fais au mieux, mais je suis sujette à beaucoup, beaucoup, d'anxiété - et mon activité en est forcément impactée. si je ne réponds pas à un rp/mp assez vite, malgré ma présence parfois, ce n'est pas parce que je ne vous aime pas :( parfois, je ne l'explique même pas. mais je ne vous oublie pas, et vous pouvez bien évidemment me relancer, en toute bienveillance évidemment !
Occupation :
「 ÉTUDIANTE 」
6ème année en formation de magie pure pour devenir auror (redoublement). choix de parcours insensé pour beaucoup, résulte d'une volonté de renverser ciel et terre. elle souhaite renouer avec les traditions ancestrales de son clan, quand aurors et yakuzas se mêlaient et formaient une caste unique, et particulière.
「 YAKUZA 」
septième enfant de l'oyabun du clan ryuzashi, l'un des plus vieux clans japonais. présent dans les hautes sphères publiques et les domaines illégaux, mais réputés auprès des marchés noirs comme pilier dans le trafic d'artefacts et de créatures magiques. relation d'amour-haine avec les siens. clan très traditionnel, elle veut faire la passerelle vers plus de pratiques modernes.
「 PRÊTRESSE 」
tenancière d'un fightclub clandestin, le temple d'izanami. camouflé dans les basfonds de nagao, il s'illustre par son univers fantasque - entre combats immoraux et grands spectacles martiaux.
Particularité(s) :
「 GODAÏ FOUDRE 」
(dep. 2004)
poursuit un apprentissage rigoureux auprès de précepteurs depuis ses six ans.
branche défense & attaque,, acquise entièrement.
∙ seuil 01, défense
∙ seuil 02, attaque
∙ seuil 03, champ électrique
∙ seuil 04, perception
branche communication,,
∙ seuil 01, système nerveux (acquis)
∙ seuil 02, transmission (acquis)
∙ seuil 03, télépathie (en apprentissage)
(4 PTS EN RESERVE)
「 AYAKASHI 」
(dep. 2017)
maledictus soignée, maintenue secrète tant bien que mal. utilisée comme arme de représailles par son clan. sa foudre et son dragon d'eau sont en perpétuel conflit, forces duales l'ayant déjà amené à une expérience de mort imminente (auto-électrocution).
「 FAMILLE 」
— pré-liens
jun,, hateful brother (yet so similar).
「 YAKUZA 」
joji,, prophecy buddy. the necessary rivalry and obsessive ambiguity.
minato,, prophecy buddy. love him dead. (dumbassclose friend who disappeared with a lot of unspoken behind)
isai,, uc (hateful rivalry)
nami,, uc (rollercoaster)
「 LE TEMPLE 」
— pré-liens
akira,, her demonic half.
charon,, strong contrasts.
kian,, little puppet.
「 LE MONDE 」
mazra,, attraction that takes up more and more space
serena,, strange ally between her hands.
hongyi,, uc (enemy)
Relations :
「 RPS 」
(03.02.22) joji, minato
(19.02.22) jun
(25.02.22) akira
(03.04.22) minato
(01.05.22) event, golden week
(05.05.22) os, golden week
- par le passé.:
- (22.09.21) concours de nouilles piquantes
(27.09.21) tournoi des éléments 01
(01.10.21) tournoi des éléments 02
(22.10.21) tc halloween, histoires flippantes.
(01.11.21) cauchemar akira
(01.11.21) mauvais songes
(03.11.21) attaqué éclair : fuji
(14.11.21) akira, charon
(14.02.22) gala st valentin
sms & appels.
akira.Plume à Papote :— ÉLÈVE ❝ gonna raise hell anyway
IRL : élodie — she/her
Avatar, Crédits : ahn lina (c/ cendres ♡).
Messages : 314
RPs : 1
Gallions : 4 157
shall my young sins, my sins alone,
be everlasting here?
「 MOODBOARD 」
心なんかもってたら、生きていけない
☉ ARIES ∙ ☾ CAPRICORN ∙ ↑ ARIES
CHAOTIC NEUTRAL ∙ ESTP-A ∙ 8W7
Disclaimer :- tw:
- remi appartient à la pègre sorcière, au monde des yakuzas, et a un passé compliqué. plusieurs thèmes peuvent être abordés de près ou de loin dans mes écrits : instabilité mentale, manipulation psychologique, armes blanches, paralysie du sommeil[i]. + mentions de [i]maltraitance infantile, de violence, d'abus mentaux et d'agressions physiques/sexuelles.
- pronom rp:
- j'écris mes rps à la deuxième personne du singulier (tu). ce n'est pas le plus courant, ce n'est pas le plus facile à lire. alors si ça vous gêne d'une quelconque manière, n'hésitez pas à me le dire ! je m'adapte sans problème ♡
- activité:
- je fais au mieux, mais je suis sujette à beaucoup, beaucoup, d'anxiété - et mon activité en est forcément impactée. si je ne réponds pas à un rp/mp assez vite, malgré ma présence parfois, ce n'est pas parce que je ne vous aime pas :( parfois, je ne l'explique même pas. mais je ne vous oublie pas, et vous pouvez bien évidemment me relancer, en toute bienveillance évidemment !
Multicomptes : ∙ anla, l'ombre des autres. & suk, le cafard.
Naissance & Âge : ∙ vingt-quatre ans (18.04.1998)
Pronom(s) du personnage : ∙ elle.
Couleur de dialogue : #A16153
Occupation :
「 ÉTUDIANTE 」
6ème année en formation de magie pure pour devenir auror (redoublement). choix de parcours insensé pour beaucoup, résulte d'une volonté de renverser ciel et terre. elle souhaite renouer avec les traditions ancestrales de son clan, quand aurors et yakuzas se mêlaient et formaient une caste unique, et particulière.
「 YAKUZA 」
septième enfant de l'oyabun du clan ryuzashi, l'un des plus vieux clans japonais. présent dans les hautes sphères publiques et les domaines illégaux, mais réputés auprès des marchés noirs comme pilier dans le trafic d'artefacts et de créatures magiques. relation d'amour-haine avec les siens. clan très traditionnel, elle veut faire la passerelle vers plus de pratiques modernes.
「 PRÊTRESSE 」
tenancière d'un fightclub clandestin, le temple d'izanami. camouflé dans les basfonds de nagao, il s'illustre par son univers fantasque - entre combats immoraux et grands spectacles martiaux.
Particularité(s) :
「 GODAÏ FOUDRE 」
(dep. 2004)
poursuit un apprentissage rigoureux auprès de précepteurs depuis ses six ans.
branche défense & attaque,, acquise entièrement.
∙ seuil 01, défense
∙ seuil 02, attaque
∙ seuil 03, champ électrique
∙ seuil 04, perception
branche communication,,
∙ seuil 01, système nerveux (acquis)
∙ seuil 02, transmission (acquis)
∙ seuil 03, télépathie (en apprentissage)
(4 PTS EN RESERVE)
「 AYAKASHI 」
(dep. 2017)
maledictus soignée, maintenue secrète tant bien que mal. utilisée comme arme de représailles par son clan. sa foudre et son dragon d'eau sont en perpétuel conflit, forces duales l'ayant déjà amené à une expérience de mort imminente (auto-électrocution).
Relations :
「 FAMILLE 」
— pré-liens
jun,, hateful brother (yet so similar).
「 YAKUZA 」
joji,, prophecy buddy. the necessary rivalry and obsessive ambiguity.
minato,, prophecy buddy. love him dead. (dumbassclose friend who disappeared with a lot of unspoken behind)
isai,, uc (hateful rivalry)
nami,, uc (rollercoaster)
「 LE TEMPLE 」
— pré-liens
akira,, her demonic half.
charon,, strong contrasts.
kian,, little puppet.
「 LE MONDE 」
mazra,, attraction that takes up more and more space
serena,, strange ally between her hands.
hongyi,, uc (enemy)
Plume à Papote :
「 RPS 」
(03.02.22) joji, minato
(19.02.22) jun
(25.02.22) akira
(03.04.22) minato
(01.05.22) event, golden week
(05.05.22) os, golden week
- par le passé.:
- (22.09.21) concours de nouilles piquantes
(27.09.21) tournoi des éléments 01
(01.10.21) tournoi des éléments 02
(22.10.21) tc halloween, histoires flippantes.
(01.11.21) cauchemar akira
(01.11.21) mauvais songes
(03.11.21) attaqué éclair : fuji
(14.11.21) akira, charon
(14.02.22) gala st valentin
sms & appels.
akira.
doom.
01 novembre 2021.
(rêve précédent),, contre ta paume se pressent les traces fanées de pleurs inusuels. cette pommette que tu pourrais reconnaître sans même un regard – aux frissons de marbre entre tes doigts. les secondes tombent comme les gravats dans une fosse. tu pourrais presque les entendre dévaler au creux de tes pensées anesthésiées. emportées au loin les fossettes creusées à jamais au milieu des discrètes éphélides. tes doigts s’alourdissent contre la joue rigoureuse, figée à jamais dans ses horreurs. des relents nauséabonds s’emmêlent au poids qui s’affale au creux de tes entrailles. qui s’octroie une place entre les mailles de tes chimères implacables. les immondes des cauchemars précédents imprègnent les nouveaux qui t’accueillent d’une caresse obscène. au lieu de la silhouette ramassée sur elle-même de sawano, c’est celle de ton jeune frère que tu contemples dans un rictus impénétrable. reines des épouvantes pourtant immobilisée dans ses craintes insoupçonnées. percluse entre d’odieux sentiments, la main comme engluée contre la peau froide. vous vous dévisagez tous deux dans un silence des plus affligeants. les étreintes demeurent étrangères à vos tendresses – peut-être qu’elles n’auraient dû. tes doigts se retirent lentement sans faire d’autre effort, que de pendre mollement contre tes vêtements. ton squelette se redresse d’une plainte douloureuse, et tu restes quelques secondes de plus. peut-être des minutes. à dévisager la statue d’un cadet qui n’est plus. tes lèvres disparaissent dans leurs mauvais plis, devant ce spectacle aux plaintes condamnées. tu ne saurais déterminer les causes de ses plaies. des effrois dans ses opales noires. des mots abandonnés entre ses lèvres gercées. tu abandonnes finalement le cadavre affalé contre les pierres, sans un regard en arrière. mais à chacun de tes pas s’alourdissent les pressions sur tes épaules, sur tes genoux. sur tout ton être, comme si la gravité cherchait à te réduire en miettes. à t’arracher de cette terre, que tu reconnais sans peine. domaine dépossédé de toute existence, les bâtiments se dressent sinistrement dans la nuit noire. les graviers grincent leurs avertissements sous tes pas, s’emmêlent à de lointains clapotis indistincts. aucune lumière n’accompagne ton chemin, mais tu n’en as guère besoin. aucun éclat ne pourfend les charpentes, dans cette forteresse d’ordinaire si pleine. tu ne te souviens pas franchir quelconque porte, pourtant tu arpentes le vestibule de la demeure familiale. des traces sombres s’étalent sous tes semelles au milieu des poussières. le silence est accablant, si ce n’est que tu entends plus clairement les gouttes régulières. agacée par ce chuintement dont les échos s’entassent sous ton crâne, encore et encore. t’as l’impression que les murs se pressent doucement contre ta silhouette, courbée dans un effort indistinct. tu distingues des masses gluantes dans leurs fissures – les pierres pleurent leurs vaseuses laideurs, de ces dégoulis verdâtres comme des rejets de la pourriture de la maison. des armoiries sont de travers, d’autres cadres gisent à terre. leur emplacement marqué par la décoloration du mur. au plafond s’entassent des toiles comme si les années s’étaient succédées, puis éteintes. comme si les lieux n’étaient que déserts, depuis des siècles. tu repousses des décombres, de plus en plus nombreuses à mesure que tu avances. les gravats au creux de ton estomac deviennent des débris que tu contournes. toujours cette pesanteur malheureuse, prompt à te rompre le cou au moindre travers. des odeurs s’imprègnent de tes muscles, à mesure que tu avances dans ces couloirs interminables. sans fenêtre, sans porte. sans d’autre choix que les ténèbres au-delà. puanteur à peine supportable, s’accommode mal du clapotis qui te fait grincer des dents. tu te retrouves les genoux à terre, sans t’en rendre compte. tes mains se pressent autour des encres de ton cou, poumons condamnés, dépourvus de tout souffle. tu ne respires plus. t’as comme l’impression que les dalles deviennent sables et que tu t’enfonces au milieu des décombres. tu deviens une masse informe, d’ongles s’arrachant sur la peau, sur les pierres – à chercher de l’air, à guetter le moindre repère. aucun son ne s’arrache de tes lèvres scellées, panique discernable seulement entre les larmes asphyxiées. tu sombres, simplement. étranglée, par rien de plus que tes propres mains.
le plancher te recrache auprès de la mare à l’arrière de votre cour. la pesanteur s’est dissoute dans les bourrasques, et tu retrouves une respiration normale. une tempête se lève aussi brusquement que les éclairs s’emparent du ciel. dans un éclat de foudre, tu discernes les branches agitées des arbres, avant de disparaître à nouveau dans la pénombre. tes muscles se glacent même sous le frottement de tes mains, et rapidement des nuages se forment dans tes souffles. les bois décharnés se parent de menaces comme les fenêtres des bâtisses qui te défient de revenir. tu n’es pas – tu n’es plus la bienvenue. quelque chose te retient à l’orée des tiens. peut-être ces éclairs qui t’interpellent, te cherchent, se décolorent sur ton visage froissé par les pressentiments. tu entends dans leurs tambours le bruit des corps qui tombent. le poids des mânes qui s’amassent dans les caveaux de tes maux. tu relèves une jambe, et dans cette foulée tu te retrouves à nouveau dans ces mêmes couloirs. les murs poisseux toujours sans fenêtre, s’éclairent pourtant à chaque coup de tonnerre. ils ne se resserrent plus vers toi, restent simplement droits dans leurs larmes verdâtres. les décombres demeurent, et reviennent les rumeurs des gouttes qui tombent, encore et encore. tu avances entre ces cloisons aux secrets impensables, l’estomac retourné par les effluves nauséabondes. tu reconnais sans peine leur provenance, mais préfère taire tout soupçon. tu voudrais croire que tu es habituée à ces odeurs communes, pourtant leurs effets sont toujours les mêmes. l’environnement est lugubre, tu ne retrouves aucune chaleur de l’endroit qui t’a pourtant vu naître. le tonnerre est aveuglant, oppressant. les gouttes qui s’amassent au loin, également. tu portes finalement tes mains à ton visage, et te retrouves dans les ténèbres les plus opaques.
quand les ombres t’abandonnent, tu es de nouveau aux pieds de ton frère. à la différence que les vers ont font leur affaire. chair en décomposition, dont tu ne distingues plus les traits. cette vision ne t’arrache aucun sentiment. tu ne considères que tes mains, toujours devant ton visage, tâchées de vermeille. les doigts poisseux, collés entre eux par la poussière accumulée sur le sang séché. tu remontes ton attention sur tes poignets, puis tes bras, désormais dénudés. entre tes tatouages sanguinolents ruissèlent des veines noires, qui serpentent sur ton corps comme un poison. aucun miroir ne t’encadre pourtant tu discernes ton visage, devines les yeux plongés dans les mêmes obscurs. aperçois ces lèvres affranchies d’un sourire des plus espiègles. tu ne ressens rien, ni vide, ni peine, ni colère. tu contournes le macchabé, comprends que tu te trouves dans la grande salle de réception. tes pieds nus glissent soudainement sur les pierres humides, et quand tu baisses le regard vers la mare noirâtre dans laquelle tu patauges, tu crois percevoir des éclats d’argent. au milieu des ondulations scintillent des bagues, que tu reconnais sans peine. mais avec crainte. tu redresses les yeux lentement, plus que tu ne le voudrais vraiment. et tes poumons se figent d’un hurlement silencieux si douloureux, que tu pourrais en crever. minato t’observe de ses orbites vides, bouffées par les nuisibles. l’une de ses mains repose dans l’immense flaque, l’autre n’est plus là. une masse est penchée au-dessus de son corps, dont tu ne discernes que l’éclat d’un sourire immonde. les éclairs accompagnent les ricanements de la bête qui disparait dans un recoin sombre, laissant apparaître dans son sillage un trône des plus infâmes. source du clapotis interminable, de la flaque que tu ne quittes pas. des vêtements troués perlent des larmes de sang, innombrables, insidieuses. encore, et encore. tas de chairs sanguinolents qui se fondent ensemble, se décomposent au milieu des décombres. de part et d’autres apparaissent la blancheur des os rongés par les rats et l’humidité. plus rien ne devrait s’échapper de ces corps que des fluides dégueulasses, pourtant ne cesse de se répandre l’hémoglobine. comme pour témoigner des enfers qui ne peuvent s’acquitter. comme pour acquiescer ce qu’il s’est versé dans ses plaies, dépourvues de toute nuisance. ce n’est l’œuvre d’aucune magie. les horreurs n’ont aucun autre nom que les tiens, tu le sais. l’orage se fracasse une nouvelle fois, plonge le spectacle dans les ténèbres et dévoile ensuite le regard de tes effrois. ton frère aîné siège sur les corps comme sur un trône, visage cachectique où s’immole un sourire carnaire. tu fermes les yeux, les rouvres. « they know. » tes paupières s’affaissent à nouveau. ta respiration disparait derrière des batailles que tu accueilles souveraine. et tout explose. dans tes veines se fustigent les patiences, les décences. les manières d’une guerrière. tu n’as pour maître que les colères dans lesquelles tu t’immoles sans sommation. aveuglée par les désordres, les prophéties – et toutes les conneries dont on t’abreuve depuis trop d’années. désemparée par les affres de l’héritier, par les louanges et les promesses qu’on lui accorde. entre ses mains apparaît le visage fermé d’omi, tu pourrais en vomir. encore. c’est la même douleur qui te foudroie, comme ce jour-là. qui manque de t’emmener au trépas. t’as l’impression de mourir une deuxième fois, peut-être une troisième. t’as arrêté de compter, remi, toutes ces fois où ton cœur a cessé de battre. pour repartir sur des tranchées toujours plus sombres à chaque nouveau départ. tu n’as pas bougé, pourtant t’es maintenant sur lui. le corps de ton aîné flanqué contre les dalles de votre empire effroyable. « they know what you did. » tes mains scandent au carnage, mais son visage ne s’émeut pas. ses traits ne bougent pas sous tes coups sauvages, ne disparaissent sous aucune violence. t’as le derme strié de plaies immondes. de cicatrices qui semblent pourrir au milieu de tes tatouages. tes veines sombres dégueulent leurs immondices au milieu des pores de ta chair. et tu hurles, môme maudite. chimère devenue bête au milieu des orfèvres. tu hurles au désastre, au massacre. la foudre aussi, s’exclame. tempêtes devenues similaires, les orages t’acclament. sous tes mains abîmées s’estompent les pommettes humaines, laissent place à de multiples visages. puis, à des écailles. au monstre des mers qui n’a que des promesses amères. tu voudrais l’étrangler, mais tu ne contemples que toi-même, dans ses obsidiennes. esquisse mauvaise sur le museau qui trouve de nouvelles lèvres, et c’est ton propre visage que tu fracasses désormais. dont tu arraches des pans de peau, dans les plaintes de tes enfers. dans les éclats du tonnerre. dans les rires qui sont tiens, mais qui te paraissent lointains. t’as l’épiderme qui s’émiette dans la haine, des morceaux qui tombent entre les larmes enragées comme des bouts de papier. les pénombres monochromes s’illustrent d’une violence sans fard, sans masque. tu voudrais tout faire disparaître, vermine d’outre-monde.❝ note,, bienvenue dans les "cauchemars" de remi celui-ci représente la décomposition de la conscience de remi en raison de ses malédictions, et s'illustre dans le fait qu'elle perde le contrôle d'elle-même.
feel free de faire un passage par là si tu veux mettre ton personnage dans un cadre glauque et oppressant !prima luce, mk. (c) icon, prima luce
Atlas Deus-Felis aime ce message
Sawano Akira a feelsé sur ce message