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DOOM.

2 participants
Ryuzashi Remi
Ryuzashi Remi
DOOM. ENM4ltEE_oélodie — she/herIRL : ahn lina (c/ cendres ♡).Avatar, Crédits : 314Messages : 1RPs : 4 157Gallions :




shall my young sins, my sins alone,
be everlasting here?






MOODBOARD
心なんかもってたら、生きていけない



☉ ARIES ∙ ☾ CAPRICORN ∙ ↑ ARIES
CHAOTIC NEUTRAL ∙ ESTP-A ∙ 8W7

tw:

pronom rp:

activité:
Disclaimer :
anla, l'ombre des autres. & suk, le cafard.Multicomptes : ∙ vingt-quatre ans (18.04.1998)Naissance & Âge : ∙ elle.Pronom(s) du personnage : #A16153Couleur de dialogue :

「 ÉTUDIANTE 」

6ème année en formation de magie pure pour devenir auror (redoublement). choix de parcours insensé pour beaucoup, résulte d'une volonté de renverser ciel et terre. elle souhaite renouer avec les traditions ancestrales de son clan, quand aurors et yakuzas se mêlaient et formaient une caste unique, et particulière.


「 YAKUZA 」

septième enfant de l'oyabun du clan ryuzashi, l'un des plus vieux clans japonais. présent dans les hautes sphères publiques et les domaines illégaux, mais réputés auprès des marchés noirs comme pilier dans le trafic d'artefacts et de créatures magiques. relation d'amour-haine avec les siens. clan très traditionnel, elle veut faire la passerelle vers plus de pratiques modernes.


「 PRÊTRESSE 」

tenancière d'un fightclub clandestin, le temple d'izanami. camouflé dans les basfonds de nagao, il s'illustre par son univers fantasque - entre combats immoraux et grands spectacles martiaux.
Occupation :

「 GODAÏ FOUDRE 」
(dep. 2004)

poursuit un apprentissage rigoureux auprès de précepteurs depuis ses six ans.

branche défense & attaque,, acquise entièrement.
seuil 01, défense
seuil 02, attaque
seuil 03, champ électrique
seuil 04, perception

branche communication,,
seuil 01, système nerveux (acquis)
seuil 02, transmission (acquis)
seuil 03, télépathie (en apprentissage)

(4 PTS EN RESERVE)


「 AYAKASHI 」
(dep. 2017)

maledictus soignée, maintenue secrète tant bien que mal. utilisée comme arme de représailles par son clan. sa foudre et son dragon d'eau sont en perpétuel conflit, forces duales l'ayant déjà amené à une expérience de mort imminente (auto-électrocution).

Particularité(s) :

「 FAMILLE 」
pré-liens
jun,, hateful brother (yet so similar).

「 YAKUZA 」
joji,, prophecy buddy. the necessary rivalry and obsessive ambiguity.
minato,, prophecy buddy. love him dead. (dumbass close friend who disappeared with a lot of unspoken behind)
isai,, uc (hateful rivalry)
nami,, uc (rollercoaster)

「 LE TEMPLE 」
pré-liens
akira,, her demonic half.
charon,, strong contrasts.
kian,, little puppet.

「 LE MONDE 」
mazra,, attraction that takes up more and more space
serena,, strange ally between her hands.
hongyi,, uc (enemy)
Relations :

「 RPS 」

(03.02.22) joji, minato
(19.02.22) jun
(25.02.22) akira
(03.04.22) minato
(01.05.22) event, golden week
(05.05.22) os, golden week

par le passé.:


sms & appels.
akira.
Plume à Papote :
— ÉLÈVE ❝ gonna raise hell anyway
DOOM. ENM4ltEE_o
IRL : élodie — she/her
Avatar, Crédits : ahn lina (c/ cendres ♡).
Messages : 314
RPs : 1
Gallions : 4 157




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心なんかもってたら、生きていけない



☉ ARIES ∙ ☾ CAPRICORN ∙ ↑ ARIES
CHAOTIC NEUTRAL ∙ ESTP-A ∙ 8W7


Disclaimer :
tw:

pronom rp:

activité:

Multicomptes : anla, l'ombre des autres. & suk, le cafard.
Naissance & Âge : ∙ vingt-quatre ans (18.04.1998)
Pronom(s) du personnage : ∙ elle.
Couleur de dialogue : #A16153
Occupation :

「 ÉTUDIANTE 」

6ème année en formation de magie pure pour devenir auror (redoublement). choix de parcours insensé pour beaucoup, résulte d'une volonté de renverser ciel et terre. elle souhaite renouer avec les traditions ancestrales de son clan, quand aurors et yakuzas se mêlaient et formaient une caste unique, et particulière.


「 YAKUZA 」

septième enfant de l'oyabun du clan ryuzashi, l'un des plus vieux clans japonais. présent dans les hautes sphères publiques et les domaines illégaux, mais réputés auprès des marchés noirs comme pilier dans le trafic d'artefacts et de créatures magiques. relation d'amour-haine avec les siens. clan très traditionnel, elle veut faire la passerelle vers plus de pratiques modernes.


「 PRÊTRESSE 」

tenancière d'un fightclub clandestin, le temple d'izanami. camouflé dans les basfonds de nagao, il s'illustre par son univers fantasque - entre combats immoraux et grands spectacles martiaux.

Particularité(s) :

「 GODAÏ FOUDRE 」
(dep. 2004)

poursuit un apprentissage rigoureux auprès de précepteurs depuis ses six ans.

branche défense & attaque,, acquise entièrement.
seuil 01, défense
seuil 02, attaque
seuil 03, champ électrique
seuil 04, perception

branche communication,,
seuil 01, système nerveux (acquis)
seuil 02, transmission (acquis)
seuil 03, télépathie (en apprentissage)

(4 PTS EN RESERVE)


「 AYAKASHI 」
(dep. 2017)

maledictus soignée, maintenue secrète tant bien que mal. utilisée comme arme de représailles par son clan. sa foudre et son dragon d'eau sont en perpétuel conflit, forces duales l'ayant déjà amené à une expérience de mort imminente (auto-électrocution).



Relations :
「 FAMILLE 」
pré-liens
jun,, hateful brother (yet so similar).

「 YAKUZA 」
joji,, prophecy buddy. the necessary rivalry and obsessive ambiguity.
minato,, prophecy buddy. love him dead. (dumbass close friend who disappeared with a lot of unspoken behind)
isai,, uc (hateful rivalry)
nami,, uc (rollercoaster)

「 LE TEMPLE 」
pré-liens
akira,, her demonic half.
charon,, strong contrasts.
kian,, little puppet.

「 LE MONDE 」
mazra,, attraction that takes up more and more space
serena,, strange ally between her hands.
hongyi,, uc (enemy)

Plume à Papote :
「 RPS 」

(03.02.22) joji, minato
(19.02.22) jun
(25.02.22) akira
(03.04.22) minato
(01.05.22) event, golden week
(05.05.22) os, golden week

par le passé.:


sms & appels.
akira.


tw glauque, cadavres, sang, violence.


doom.
01 novembre 2021.

(rêve précédent),, contre ta paume se pressent les traces fanées de pleurs inusuels. cette pommette que tu pourrais reconnaître sans même un regard – aux frissons de marbre entre tes doigts. les secondes tombent comme les gravats dans une fosse. tu pourrais presque les entendre dévaler au creux de tes pensées anesthésiées. emportées au loin les fossettes creusées à jamais au milieu des discrètes éphélides. tes doigts s’alourdissent contre la joue rigoureuse, figée à jamais dans ses horreurs. des relents nauséabonds s’emmêlent au poids qui s’affale au creux de tes entrailles. qui s’octroie une place entre les mailles de tes chimères implacables. les immondes des cauchemars précédents imprègnent les nouveaux qui t’accueillent d’une caresse obscène. au lieu de la silhouette ramassée sur elle-même de sawano, c’est celle de ton jeune frère que tu contemples dans un rictus impénétrable. reines des épouvantes pourtant immobilisée dans ses craintes insoupçonnées. percluse entre d’odieux sentiments, la main comme engluée contre la peau froide. vous vous dévisagez tous deux dans un silence des plus affligeants. les étreintes demeurent étrangères à vos tendresses – peut-être qu’elles n’auraient dû. tes doigts se retirent lentement sans faire d’autre effort, que de pendre mollement contre tes vêtements. ton squelette se redresse d’une plainte douloureuse, et tu restes quelques secondes de plus. peut-être des minutes. à dévisager la statue d’un cadet qui n’est plus. tes lèvres disparaissent dans leurs mauvais plis, devant ce spectacle aux plaintes condamnées. tu ne saurais déterminer les causes de ses plaies. des effrois dans ses opales noires. des mots abandonnés entre ses lèvres gercées. tu abandonnes finalement le cadavre affalé contre les pierres, sans un regard en arrière. mais à chacun de tes pas s’alourdissent les pressions sur tes épaules, sur tes genoux. sur tout ton être, comme si la gravité cherchait à te réduire en miettes. à t’arracher de cette terre, que tu reconnais sans peine. domaine dépossédé de toute existence, les bâtiments se dressent sinistrement dans la nuit noire. les graviers grincent leurs avertissements sous tes pas, s’emmêlent à de lointains clapotis indistincts. aucune lumière n’accompagne ton chemin, mais tu n’en as guère besoin. aucun éclat ne pourfend les charpentes, dans cette forteresse d’ordinaire si pleine. tu ne te souviens pas franchir quelconque porte, pourtant tu arpentes le vestibule de la demeure familiale. des traces sombres s’étalent sous tes semelles au milieu des poussières. le silence est accablant, si ce n’est que tu entends plus clairement les gouttes régulières. agacée par ce chuintement dont les échos s’entassent sous ton crâne, encore et encore. t’as l’impression que les murs se pressent doucement contre ta silhouette, courbée dans un effort indistinct. tu distingues des masses gluantes dans leurs fissures –  les pierres pleurent leurs vaseuses laideurs, de ces dégoulis verdâtres comme des rejets de la pourriture de la maison. des armoiries sont de travers, d’autres cadres gisent à terre. leur emplacement marqué par la décoloration du mur. au plafond s’entassent des toiles comme si les années s’étaient succédées, puis éteintes. comme si les lieux n’étaient que déserts, depuis des siècles. tu repousses des décombres, de plus en plus nombreuses à mesure que tu avances. les gravats au creux de ton estomac deviennent des débris que tu contournes. toujours cette pesanteur malheureuse, prompt à te rompre le cou au moindre travers. des odeurs s’imprègnent de tes muscles, à mesure que tu avances dans ces couloirs interminables. sans fenêtre, sans porte. sans d’autre choix que les ténèbres au-delà. puanteur à peine supportable, s’accommode mal du clapotis qui te fait grincer des dents. tu te retrouves les genoux à terre, sans t’en rendre compte. tes mains se pressent autour des encres de ton cou, poumons condamnés, dépourvus de tout souffle. tu ne respires plus. t’as comme l’impression que les dalles deviennent sables et que tu t’enfonces au milieu des décombres. tu deviens une masse informe, d’ongles s’arrachant sur la peau, sur les pierres – à chercher de l’air, à guetter le moindre repère. aucun son ne s’arrache de tes lèvres scellées, panique discernable seulement entre les larmes asphyxiées. tu sombres, simplement. étranglée, par rien de plus que tes propres mains.

le plancher te recrache auprès de la mare à l’arrière de votre cour. la pesanteur s’est dissoute dans les bourrasques, et tu retrouves une respiration normale. une tempête se lève aussi brusquement que les éclairs s’emparent du ciel. dans un éclat de foudre, tu discernes les branches agitées des arbres, avant de disparaître à nouveau dans la pénombre. tes muscles se glacent même sous le frottement de tes mains, et rapidement des nuages se forment dans tes souffles. les bois décharnés se parent de menaces comme les fenêtres des bâtisses qui te défient de revenir. tu n’es pas – tu n’es plus la bienvenue. quelque chose te retient à l’orée des tiens. peut-être ces éclairs qui t’interpellent, te cherchent, se décolorent sur ton visage froissé par les pressentiments. tu entends dans leurs tambours le bruit des corps qui tombent. le poids des mânes qui s’amassent dans les caveaux de tes maux. tu relèves une jambe, et dans cette foulée tu te retrouves à nouveau dans ces mêmes couloirs. les murs poisseux toujours sans fenêtre, s’éclairent pourtant à chaque coup de tonnerre. ils ne se resserrent plus vers toi, restent simplement droits dans leurs larmes verdâtres. les décombres demeurent, et reviennent les rumeurs des gouttes qui tombent, encore et encore. tu avances entre ces cloisons aux secrets impensables, l’estomac retourné par les effluves nauséabondes. tu reconnais sans peine leur provenance, mais préfère taire tout soupçon. tu voudrais croire que tu es habituée à ces odeurs communes, pourtant leurs effets sont toujours les mêmes. l’environnement est lugubre, tu ne retrouves aucune chaleur de l’endroit qui t’a pourtant vu naître. le tonnerre est aveuglant, oppressant. les gouttes qui s’amassent au loin, également. tu portes finalement tes mains à ton visage, et te retrouves dans les ténèbres les plus opaques.

quand les ombres t’abandonnent, tu es de nouveau aux pieds de ton frère. à la différence que les vers ont font leur affaire. chair en décomposition, dont tu ne distingues plus les traits. cette vision ne t’arrache aucun sentiment. tu ne considères que tes mains, toujours devant ton visage, tâchées de vermeille. les doigts poisseux, collés entre eux par la poussière accumulée sur le sang séché. tu remontes ton attention sur tes poignets, puis tes bras, désormais dénudés. entre tes tatouages sanguinolents ruissèlent des veines noires, qui serpentent sur ton corps comme un poison. aucun miroir ne t’encadre pourtant tu discernes ton visage, devines les yeux plongés dans les mêmes obscurs. aperçois ces lèvres affranchies d’un sourire des plus espiègles. tu ne ressens rien, ni vide, ni peine, ni colère. tu contournes le macchabé, comprends que tu te trouves dans la grande salle de réception. tes pieds nus glissent soudainement sur les pierres humides, et quand tu baisses le regard vers la mare noirâtre dans laquelle tu patauges, tu crois percevoir des éclats d’argent. au milieu des ondulations scintillent des bagues, que tu reconnais sans peine. mais avec crainte. tu redresses les yeux lentement, plus que tu ne le voudrais vraiment. et tes poumons se figent d’un hurlement silencieux si douloureux, que tu pourrais en crever. minato t’observe de ses orbites vides, bouffées par les nuisibles. l’une de ses mains repose dans l’immense flaque, l’autre n’est plus là. une masse est penchée au-dessus de son corps, dont tu ne discernes que l’éclat d’un sourire immonde. les éclairs accompagnent les ricanements de la bête qui disparait dans un recoin sombre, laissant apparaître dans son sillage un trône des plus infâmes. source du clapotis interminable, de la flaque que tu ne quittes pas. des vêtements troués perlent des larmes de sang, innombrables, insidieuses. encore, et encore. tas de chairs sanguinolents qui se fondent ensemble, se décomposent au milieu des décombres. de part et d’autres apparaissent la blancheur des os rongés par les rats et l’humidité. plus rien ne devrait s’échapper de ces corps que des fluides dégueulasses, pourtant ne cesse de se répandre l’hémoglobine. comme pour témoigner des enfers qui ne peuvent s’acquitter. comme pour acquiescer ce qu’il s’est versé dans ses plaies, dépourvues de toute nuisance. ce n’est l’œuvre d’aucune magie. les horreurs n’ont aucun autre nom que les tiens, tu le sais. l’orage se fracasse une nouvelle fois, plonge le spectacle dans les ténèbres et dévoile ensuite le regard de tes effrois. ton frère aîné siège sur les corps comme sur un trône, visage cachectique où s’immole un sourire carnaire. tu fermes les yeux, les rouvres. « they know. » tes paupières s’affaissent à nouveau. ta respiration disparait derrière des batailles que tu accueilles souveraine. et tout explose. dans tes veines se fustigent les patiences, les décences. les manières d’une guerrière. tu n’as pour maître que les colères dans lesquelles tu t’immoles sans sommation. aveuglée par les désordres, les prophéties – et toutes les conneries dont on t’abreuve depuis trop d’années. désemparée par les affres de l’héritier, par les louanges et les promesses qu’on lui accorde. entre ses mains apparaît le visage fermé d’omi, tu pourrais en vomir. encore. c’est la même douleur qui te foudroie, comme ce jour-là. qui manque de t’emmener au trépas. t’as l’impression de mourir une deuxième fois, peut-être une troisième. t’as arrêté de compter, remi, toutes ces fois où ton cœur a cessé de battre. pour repartir sur des tranchées toujours plus sombres à chaque nouveau départ. tu n’as pas bougé, pourtant t’es maintenant sur lui. le corps de ton aîné flanqué contre les dalles de votre empire effroyable. « they know what you did. » tes mains scandent au carnage, mais son visage ne s’émeut pas. ses traits ne bougent pas sous tes coups sauvages, ne disparaissent sous aucune violence. t’as le derme strié de plaies immondes. de cicatrices qui semblent pourrir au milieu de tes tatouages. tes veines sombres dégueulent leurs immondices au milieu des pores de ta chair. et tu hurles, môme maudite. chimère devenue bête au milieu des orfèvres. tu hurles au désastre, au massacre. la foudre aussi, s’exclame. tempêtes devenues similaires, les orages t’acclament. sous tes mains abîmées s’estompent les pommettes humaines, laissent place à de multiples visages. puis, à des écailles. au monstre des mers qui n’a que des promesses amères. tu voudrais l’étrangler, mais tu ne contemples que toi-même, dans ses obsidiennes. esquisse mauvaise sur le museau qui trouve de nouvelles lèvres, et c’est ton propre visage que tu fracasses désormais. dont tu arraches des pans de peau, dans les plaintes de tes enfers. dans les éclats du tonnerre. dans les rires qui sont tiens, mais qui te paraissent lointains. t’as l’épiderme qui s’émiette dans la haine, des morceaux qui tombent entre les larmes enragées comme des bouts de papier. les pénombres monochromes s’illustrent d’une violence sans fard, sans masque. tu voudrais tout faire disparaître, vermine d’outre-monde.


❝ note,, bienvenue dans les "cauchemars" de remi :psy: celui-ci représente la décomposition de la conscience de remi en raison de ses malédictions, et s'illustre dans le fait qu'elle perde le contrôle d'elle-même.
feel free de faire un passage par là si tu veux mettre ton personnage dans un cadre glauque et oppressant !

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Sawano Akira a feelsé sur ce message

Sawano Akira
Sawano Akira
DOOM. ATniWLUOri — she/herIRL : Kwon Minsik (Sik-K) & OriAvatar, Crédits : 1722Messages : 10RPs : 666Gallions :
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俺は暴力の中に平和を見つけた




☉ SCORPIO ∙ ☾  LEO ∙  ↑  SCORPIO
CHAOTIC NEUTRAL ∙ ISTP-A ∙ 8W7
TW:
Disclaimer :
tom nookMulticomptes : 151195 — 26 yo.Naissance & Âge : ∙ ilPronom(s) du personnage : #CD1B27Couleur de dialogue :
「 FIREWIZARD 」

après 6 ans de médicomagie, et avoir bossé aux urgences, akira décide de changer de cap et rejoint la caserne de fuji.


「 TEMPLE D'IZANAMI 」

combattant des bas-fonds, accro à l'adrénaline. besoin d'évacuer la violence qui consume ses veines. appartient aux abysses et aux vices.
Occupation :
「 HENSOKU ONI & THÉRIANTHROPE 」

anger empowerment
(énergisation par la colère)

« capacité de gagner de la force grâce à la colère. transformation de la colère en une forme d'énergie. le sujet N°127 devient plus fort, plus endurant lorsqu'il est excessivement énervé. »


misfortune spreader
(porteur de malheur)

« le sujet est un porte-malheur vivant, provoquant des accidents, des ennuis ou d'autres malchances autour de lui. d'ampleur variable, les incidents sont souvent mineurs. »


demonic guy
(transformation en oni)

« après analyses sanguines, il est mis en évidence que les métamorphoses intempestives du sujet N°127 sont dues à un cas de thérianthropie. il est intéressant de remarquer que seuls les attributs physiques propres au yokaï oni se manifestent chez le sujet. »

Particularité(s) :
| I'LL RISK IT ALL FOR YOU

(( don't leave me ))
SEIYA // best friend
PANDORE // best friend
REMI // evil twin

| I DON'T WANNA HURT YOU

(( hold with caution ))
HIMARI // favorite victim
ANDREA // homie, roommate
EVIE // homie
OSAMU // homie
ROSE // homie
MARLON // homie

| THRILL ME, CHILL ME, FULFILL ME

(( love, lust, passion ))
SOMI // reckless love (ex)

| NOT MY PROBLEM

(( aren't we all sinners ? ))
SAWAKO // former-victim
BERLIOZ // research partner, rival
MARIE-CLÉMENCE // à venir

| DAMN RIGHT YOU SHOULD BE SCARED OF ME

(( you can call me monster ))
ATLAS // cursed children
CHARON // vipère au poing, traqueur
KELL // wanna punch your faceRelations :
|RPs

14.10.21 PREPARE FOR TROUBLE Rose
28.01.22 NEW PLAN : FUCK IT Kenzo
xx.02.22 TITRE Nanashi
19.02.22 TITRE Pandore
xx.xx.22 TITRE Remi
xx.xx.22 TITRE Andrea


|SMS

PANDOREHIMARILE KRASSEIYAEVIEATLASROSEANDREANANASHIYOU ?
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— sorcier ❝ Hellboy - i'm still ANGRY
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Couleur de dialogue : #CD1B27
Occupation :
「 FIREWIZARD 」

après 6 ans de médicomagie, et avoir bossé aux urgences, akira décide de changer de cap et rejoint la caserne de fuji.


「 TEMPLE D'IZANAMI 」

combattant des bas-fonds, accro à l'adrénaline. besoin d'évacuer la violence qui consume ses veines. appartient aux abysses et aux vices.

Particularité(s) :
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(énergisation par la colère)

« capacité de gagner de la force grâce à la colère. transformation de la colère en une forme d'énergie. le sujet N°127 devient plus fort, plus endurant lorsqu'il est excessivement énervé. »


misfortune spreader
(porteur de malheur)

« le sujet est un porte-malheur vivant, provoquant des accidents, des ennuis ou d'autres malchances autour de lui. d'ampleur variable, les incidents sont souvent mineurs. »


demonic guy
(transformation en oni)

« après analyses sanguines, il est mis en évidence que les métamorphoses intempestives du sujet N°127 sont dues à un cas de thérianthropie. il est intéressant de remarquer que seuls les attributs physiques propres au yokaï oni se manifestent chez le sujet. »



Relations :
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tw glauque, cadavres, sang, violence.


doom.
01 novembre 2021.

(rêve précédent),,

Les ombres l’ont mangé tout entière. Disparu de sa vision mais pas de son esprit – Remi laisse derrière elle une trace lourde et poisseuse. Sans rien voir, ses pas le guident et Akira avance dans les pas de celle venue le cueillir au fond de ses propres affres, transe épuisée par les spirales du passé. Pas mortuaires, plus mécaniques que volontaires. Comme il a suivi la lumière venue l’éclairer, une part de lui s’aventure dans les ténèbres qui l’appellent, qu’il connait par cœur – dans lesquels Remi l’a toujours entraîné. Esprit divisé, éparpillé chez celles qui l’ont visité.

Le couloir est long, et quelques gouttes indistinctes rythme sa marche à l’aveugle. Plic. Ploc. N’en discerne pas la source, lorsqu’elles tombent tout autour et résonne dans sa conscience, lointaines et proches à la fois. Aucune notion du temps ni des distances. Cercle infini, lorsqu’il trouve de nouveau ce point de départ, abandonné un peu plus tôt. A son tour il s’approche d’une silhouette ramassée près d’un lit défait – suit les mouvements de Remi, lorsque lui aussi tend une main vers le visage oublié. Est-ce le sien ? Une brume compacte rend le visage méconnaissable. Comme une palette de peinture où l’ont aurait écrasé les couleurs, pour tout mélanger du plat de la main. Akira scrute cet inconnu défiguré sans en comprendre la familiarité. Sentiment de miroir qui lui arrache un frisson.

L’odeur qui s’élève suggère des relents nauséabonds. Etrangle la respiration. Visage couvert d’un masque indifférent, lorsque le vivant toise le mort figé dans sa posture à jamais. Supériorité dans les traits, avant de s’en détourner sans accorder plus de temps à l’épouvantail. Abandonné à ce regard qui se vide dans le néant de l’infini.

Disparaît avec indifférence sur de nouveaux chemins. Guidé par les bruits du gravier. L’ombre de Remi défile invisible dans une direction incertaine, inconnu. Akira la suit sans autre intention que de la rejoindre, peu en importe la destination. L’édifice se dresse devant une scène sans ciel, avalé par la noirceur d’une nuit éternelle. Contours lugubres qui ne suscitent pourtant aucune prudence à l’intrus, en terre inconnue. Sous ses pieds, les graviers se changent en plancher, et des murs se sont dressés. Pour découvrir un théâtre tout aussi minable que l’appartement qu’il a quitté – à la différence qu’ici, la mort est déjà infiltrée. Les murs suintent, le sol pourri, l’air est toxique. On dit que dans les songes, une maison représente son rêveur. Akira déambule dans cette scène sans rien y toucher, ne voulant pas se mêler aux horreurs, simple visiteur. Arpente les couloirs pour en découvrir les secrets. Pierres chancelantes, fissures empoisonnées. Le désordre se mélange à la vase, putréfaction en surface. Chaque pas le pousse à se replier, de plus en plus étriqué dans ces allées encombrées. Sentiment d’étouffer qui s’accentue, prisonnier de murs sans fenêtre, de couloirs sans portes et de ténèbres sans espoirs.

Plic. Ploc. Pesanteur pèse sur son cœur. Poids lourd d’une odeur qu’il connaît, mais qu’il redoute. Les sons en litanie détestables, qui rendent l’esprit malade, instable. Respiration dérangée par l’absence d’air – autre que vicié. Mais le chemin s’arrête ici. N’offre aucune sortie. Alors Akira tombe sur ce sol poisseux, agrippe le sol pour tout repère. Plus bas que terre, l’oxygène se fait rare. Son propre souffle l’étouffe, dans cette cage humide et pourrie, qui peu à peu se referme, le comprime. Les murs se resserrent sur lui, tombeau forcé jusqu’à s’enfoncer dans un sol qui l’absorbe dans sa terre vaseuse.

C’est le fracas du tonnerre qui le libère de sa torpeur. L’impression de sortir de sous terre – enterré vivant. Visage couvert d’un mélange de boue, marais d’où il ressurgit, cherche l’air que lui offre la tempête au-dehors. Parce qu’il est resté au-dedans. Sans dessus-dessous. Extérieur en intérieur. Les gouttes continuent de tomber, moqueuses. Appel à les suivre, pour trouver le sens de ce labyrinthe qui va le rendre fou. Les effluves lui soulèvent le cœur, rempart invisible pour l’empêcher d’avancer. Alors Akira ferme les yeux. Sait quelle direction emprunter. La plus sordide. La plus crasse. Le bruit des gouttes et parfum de mort sont sa destination – celle où il pourra trouver Remi. Ne se fit qu’à ses oreilles et son odorat, corrompu par ce qui se dégage de ce lieu infâme.

Insoutenable. Intenable. L’odeur lui nécrose les poumons. Comprime son souffle prisonnier de ne pouvoir inspirer que ces immondices. Les gouttes sont devant lui, et alors il ouvre les yeux après s’être déplacé à l’aveugle. Pour découvrir un immense tas de chaire – cadavres en décomposition qui le révulse. Recule et détourne le regard, pour trouver les pierres qui dégoulinent encore. Ce qui suinte, ce qui pourri, tout vient de ce cœur décomposé qui bat à la mort. Ultime affront qu’il s’inflige, pour vérifier la vision d’horreur, jette un nouveau regard à la masse difforme, grâce et écœurante. Sa vision se trouble alors que le rêve se transforme sous sa propre interprétation – ce n’est plus n’importe quel tas de chaire. Pendant quelques secondes, Akira voit apparaître ce qu’il croit être les corps d’enfant. No. Se frotte les yeux, une main sur le visage pour retenir l’odeur de l’étrangler davantage. No. Le sang coule en ruisseau jusqu’à ses pieds, et les cadavres retrouvent leur aspect d’origine, qu’il se surprend à détailler en horreur.

They know.
they know what you did.


Et la voix de Remi résonne enfin, parmi le carnage des lieux. Apparaît comme de nulle part, formée par les ombres rassemblées. Façonnée par les ténèbres et le sang qui a coulé. Remi se tient, souveraine, face à ce trône de charogne. Faite de ses propres horreurs ressurgies de l’intérieur ; les malédictions, les damnations. Conjurées en elle se lisent à la surface de sa peau. Akira approche et distingue la peau tranchée de part en part, dégoulinant d’un sang acide, vicié. Les cicatrices s’ouvrent, en plaies béantes, défont les tatouages et serpente le corps de la jeune femme. Sang pulse à lui en faire éclater les veines, enflées et noires.

Le corps de Remi se change au gré de ses maux, déformé par ses colères. Habité par ses vices, suintant de tous ses pores. Akira la voit se changer en bête – laide et mortelle. Lorsque Remi se fend d’un hurlement sauvage avant de s’accaparer une dépouille sous les coups et les férocités. Plus d’acharnement. Laisse charger sa haine, se mélange elle-même à la carne pourrissante, joignant ces liqueurs noires qui s’épanchent d’elle entière – baignée dans l’hémoglobine qu’elle continue de faire couler. Enragée et furieuse, telle qu’il la connaît dans ces moments de transe qu’elle voue à la violence. Contemple le spectacle sans ciller. Il pourrait la rejoindre et peindre de ses propres passions un décor plus macabre. Mais Akira est immobile. Simple spectateur de la fureur. Démon endormi qui ne réclame même pas sa part du morceau.

Les hurlements sont des coups de tonnerre, les rires foudroyant la pierre qui les retient. Le carnage se poursuit dans l’orage. La chaire s’envole, se dissout sous les coups. Spectacle sinistre d’un être en décomposition. Esprit malade qui s’effrite jusqu’à la carne maudite. Bout par bout, tombe jusqu’à se déchirer elle-même. Ronge la moindre trace de vie, de soupir. Consomme la peste et ses vices. Scène de violence féroce, sans rien pour y mettre fin. Qu’une destruction réussie, où plus rien ne subsiste. Dévorée, calcinée d’elle-même.

Akira retrouve sa main posée sur le dos de Remi. Subitement si proche d’elle qu’il peut sentir sa propre odeur d’encre et de sang, de moisissure l’emporter. Le teinter. Paume plongée dans les plaies maudites, criantes. S’enfonce dans le corps malade. Lorsqu’il en retire sa main, c’est comme si Remi dégoulinait sur lui. Crasse et faite d’ombre. Elle n’est plus qu’un spectre. Un fantôme. Et à ses pieds, Akira voit les cadavres ramper jusqu’à lui, le retenir, pour rester.

Il ne sent rien que la haine et la violence de Remi.
Il ne voit rien que ses yeux vidés de couleur, laissés à l’oubli.
Et c’est comme si,
Lui aussi,
Participait à l’arracher à elle-même.

Lorsque ses mains sont pleines de ces bouts d’elle, qu’il a emporté.

Yeux dans les yeux.



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