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Sawano Akira
Sawano Akira
no rest for the wicked ((remi)) ATniWLUOri — she/herIRL : Kwon Minsik (Sik-K) & OriAvatar, Crédits : 1722Messages : 10RPs : 666Gallions :
no rest for the wicked ((remi)) G4wSBVc



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俺は暴力の中に平和を見つけた




☉ SCORPIO ∙ ☾  LEO ∙  ↑  SCORPIO
CHAOTIC NEUTRAL ∙ ISTP-A ∙ 8W7
TW:
Disclaimer :
tom nookMulticomptes : 151195 — 26 yo.Naissance & Âge : ∙ ilPronom(s) du personnage : #CD1B27Couleur de dialogue :
「 FIREWIZARD 」

après 6 ans de médicomagie, et avoir bossé aux urgences, akira décide de changer de cap et rejoint la caserne de fuji.


「 TEMPLE D'IZANAMI 」

combattant des bas-fonds, accro à l'adrénaline. besoin d'évacuer la violence qui consume ses veines. appartient aux abysses et aux vices.
Occupation :
「 HENSOKU ONI & THÉRIANTHROPE 」

anger empowerment
(énergisation par la colère)

« capacité de gagner de la force grâce à la colère. transformation de la colère en une forme d'énergie. le sujet N°127 devient plus fort, plus endurant lorsqu'il est excessivement énervé. »


misfortune spreader
(porteur de malheur)

« le sujet est un porte-malheur vivant, provoquant des accidents, des ennuis ou d'autres malchances autour de lui. d'ampleur variable, les incidents sont souvent mineurs. »


demonic guy
(transformation en oni)

« après analyses sanguines, il est mis en évidence que les métamorphoses intempestives du sujet N°127 sont dues à un cas de thérianthropie. il est intéressant de remarquer que seuls les attributs physiques propres au yokaï oni se manifestent chez le sujet. »

Particularité(s) :
| I'LL RISK IT ALL FOR YOU

(( don't leave me ))
SEIYA // best friend
PANDORE // best friend
REMI // evil twin

| I DON'T WANNA HURT YOU

(( hold with caution ))
HIMARI // favorite victim
ANDREA // homie, roommate
EVIE // homie
OSAMU // homie
ROSE // homie
MARLON // homie

| THRILL ME, CHILL ME, FULFILL ME

(( love, lust, passion ))
SOMI // reckless love (ex)

| NOT MY PROBLEM

(( aren't we all sinners ? ))
SAWAKO // former-victim
BERLIOZ // research partner, rival
MARIE-CLÉMENCE // à venir

| DAMN RIGHT YOU SHOULD BE SCARED OF ME

(( you can call me monster ))
ATLAS // cursed children
CHARON // vipère au poing, traqueur
KELL // wanna punch your faceRelations :
|RPs

14.10.21 PREPARE FOR TROUBLE Rose
28.01.22 NEW PLAN : FUCK IT Kenzo
xx.02.22 TITRE Nanashi
19.02.22 TITRE Pandore
xx.xx.22 TITRE Remi
xx.xx.22 TITRE Andrea


|SMS

PANDOREHIMARILE KRASSEIYAEVIEATLASROSEANDREANANASHIYOU ?
Plume à Papote :
— sorcier ❝ Hellboy - i'm still ANGRY
no rest for the wicked ((remi)) ATniWLU
IRL : Ori — she/her
Avatar, Crédits : Kwon Minsik (Sik-K) & Ori
Messages : 1722
RPs : 10
Gallions : 666

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Couleur de dialogue : #CD1B27
Occupation :
「 FIREWIZARD 」

après 6 ans de médicomagie, et avoir bossé aux urgences, akira décide de changer de cap et rejoint la caserne de fuji.


「 TEMPLE D'IZANAMI 」

combattant des bas-fonds, accro à l'adrénaline. besoin d'évacuer la violence qui consume ses veines. appartient aux abysses et aux vices.

Particularité(s) :
「 HENSOKU ONI & THÉRIANTHROPE 」

anger empowerment
(énergisation par la colère)

« capacité de gagner de la force grâce à la colère. transformation de la colère en une forme d'énergie. le sujet N°127 devient plus fort, plus endurant lorsqu'il est excessivement énervé. »


misfortune spreader
(porteur de malheur)

« le sujet est un porte-malheur vivant, provoquant des accidents, des ennuis ou d'autres malchances autour de lui. d'ampleur variable, les incidents sont souvent mineurs. »


demonic guy
(transformation en oni)

« après analyses sanguines, il est mis en évidence que les métamorphoses intempestives du sujet N°127 sont dues à un cas de thérianthropie. il est intéressant de remarquer que seuls les attributs physiques propres au yokaï oni se manifestent chez le sujet. »



Relations :
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PANDORE // best friend
REMI // evil twin

| I DON'T WANNA HURT YOU

(( hold with caution ))
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ANDREA // homie, roommate
EVIE // homie
OSAMU // homie
ROSE // homie
MARLON // homie

| THRILL ME, CHILL ME, FULFILL ME

(( love, lust, passion ))
SOMI // reckless love (ex)

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 @Ryuzashi Remi  
🐲. No rest for the wicked


outfit + pieds nus 

— 25 Février 2022 —


no rest for the wicked ((remi)) DhOWHTX




Ombre parmi les ombres dans le bas brouillard, dédales feutrés d’un temple qui se fait sanctuaire des cruautés. La journée achève l’obscurité, mais ce n’est qu’en apparence que les rayons de soleil filtrent dans les couloirs boisés. Les murs sont imprégnés d’une noirceur qui ne meurt vraiment jamais. abritent l’air suffocant d’un encens stagnant, allumé par quelque yokaï en charge des lieux, qui balaye dans son sillage le bois cent fois piétiné. bien moins peuplé que lorsque le soleil est couché, la vie ravage toujours ses planchers de sinistres présences ; les monstres au services du maintien de ce toit qui est le leur, lorsque d’autres y trouvent le loisir d’exercer l’art d’une violence maîtrisée. Parmi eux, le fils du démon se fait spectateur discret. à la frontière de l’exutoire et du refuge, akira n’évacue sa haine qu’à la nuit tombée, forces décuplées par les ténèbres. de jour, il rôde et laisse planer derrière lui les rumeurs – raisons de sa présence souvent nébuleuses, tandis qu’on évite son passage lors des mauvais jours qui se lisent sur son visage.

repose contre un immense pilier attenant à une salle d’entraînement. deux sorciers s’affrontent à mains nus, les arts martiaux sont de rigueur. akira a ses yeux plantés sur les gestes des combattants, et pourtant ses pensées sont égarées ailleurs. la présence de son autre maudite à quelques mètres seulement lui ronge l’esprit, et derrière son crâne se délie la toile d’un secret qu’il ne fait qu’effleurer. les exclamations, les coups mats qui frappent et qui plaquent l’aident à réfléchir – rythment les idées qui vont et viennent dans l’esquisse sombre d’un rêve qu’il lui a caché, mais qu’il sait trop réel pour ne pas compter. pour n'avoir existé que dans des fantasmes funèbres. la scène se rejoue inlassablement, et chaque parcelle d’elle qu’elle s’arrache rend remi plus monstrueuse, jusqu’à ce qu’elle n’appartienne plus qu’au néant. le songe s’est arrêté sans lui donner de réponses, sans qu’il n’en fasse un sujet. abandonné à une nuit qu’il n’a pas pu oublier.

jusqu’à ce que les détails deviennent des entailles. de celles qu’il ne peut ignorer tant il a compté celles qu’il avaient appris à connaître par cœur, avant. (pendant cette mi-novembre, où ils avaient partagé le même repaire, alors qu’aucune chaîne autre que remi elle-même ne pouvait retenir le démon en son carcan.) lors de ces matins trop tôt et ces nuits trop tard partagés, la proximité retrouvées – obligée – avait dévoilé de la yakuzas de nouvelles balafres à son portrait. de ces brisures qu’il n’avait pas lui-même été appelé à réparer, ne laissant pourtant personne d’autres hérité de ce sort. une distance soupçonneuse que remi avait imposé en silence, le tenant éloigné de ces secrets. ce n’était pas normal. et sans rien laisser échapper, akira a commencé à veiller aux altérations de sa peau – de ses élans. plus virulents qu’auparavant. mesure du coin de l’œil chaque imperfection venue s’accumuler sur le tableau de sa peau – du moins ce qu’elle lui laisse à peine entrevoir, rejetant avec férocité les gestes inquisiteur venue la démasquer.

confirmant ses doutes à chaque semaine qui passe – akira croyait inventer ces différences, avoir manqué d’attention, mais la diablesse se fait plus insaisissable qu’elle ne l’a jamais été pour lui. les défauts s’encrent plus nombreux à sa vue, n’échappent plus à sa vigilance. et tout en conséquences, son regard s’est fait plus lourd, plus insistant. menace de ses yeux qui savent voir à travers elle. car quelque chose a changé, il suffit qu’il le sente, elle ne pourra plus lui cacher.

dans un flegme qui lui est propre, akira s’arrache au pilier et quitte la salle de lutte. ses pas le guident sans mal à travers le temple, s’écartant des quelques âmes croisés dans les couloirs. les pieds nus crissent presque sur un plancher si bien lustré, tandis qu’il prend la direction de cette salle que tant d’autres prennent soin d’éviter. celle que l’on ne veut pas déranger, devant laquelle on passe sans murmurer. le silence placardé dans les murs, car personne d’autre que lui ne s’y aventure aujourd’hui. devant la porte coulissante, il peut presque la sentir – présence-prestance. et s’il s’y arrête sans même bouger, il n’a qu’à respirer pour que le battant s’ouvre en face de lui, dans une discrétion impeccable – sans en faire frémir l’air. l’accès dévoile une salle aux allures traditionnelle, au milieu de laquelle se meut la maîtresse des lieux. sans s’annoncer, akira passe le seuil et la cloison se referme dans le même silence.

ses mouvements fendent l’air dans une chorégraphie éthérée. la posture noble de la yakuza se décomposent en différentes offensives, désignée chacune par la lame aiguisé de son katana – un de ceux qu’elle possède, puisque les autres trônent fièrement au mur. Les yeux bandés, elle se déplace avec une grâce guerrière dans l’espace, s’appropriant chaque parcelle de cette pièce qui ne reflète qu’elle. morceau personnifié de son décor, akira se tient debout sans avoir bougé. elle ne l’a pas encore remarqué ; ses yeux sont bandés, mais ses sens affûtés ne lui laissent que peu de répit avant qu’elle ne réalise la présence de son autre-démon. figure impassible, il évalue ses options sans la perdre des yeux – bien conscient que mettre un pied dans l’arène, c’est déclencher le conflit qu’il est venu chercher.

jour de grâce où l’entraînement de la sorcière ne se fait qu’à une lame – laissant au kasaï entrevoir une chance de la coincer plus aisément qu’il ne l’avait supposé. remi poursuit son enchaînement dans une discipline immaculée. veille à jouir de l’effet de surprise dont il dispose, akira n’esquisse de gestes que lorsque la démone est en mouvement, profitant de ses propres pas pour couvrir les siens. à l’aide de sa baguette, une diversion ; fait tomber à sa diagonale un parchemin sur le sol. de toute manière, elle sait déjà qu’il est là, et ne s’y trompe pas. son parfum le précède. alors lorsque remi s’approche dangereusement, jouant le jeu privée de sa vue, il feint une nouvelle diversion en laissant tomber à ses pieds nus une des pierres précieuses de la sorcière. simplement pour la faire douter. bluffe ou réelle tentative.

face à face d’un même reflet d’âme. aucun ne bouge. akira retient son souffle, tout en approchant sa main du poignet armé. elle ne le laissera jamais la toucher sans lutter. alors il vient directement la chercher. brusquement les deux bêtes se déchaînent, lorsque remi dérobe sa main à la prise de akira, qui manque de la désarmer. la yakuza riposte immédiatement, et s’il manque de souplesse, akira connaît suffisamment ses mouvements pour parvenir à échapper à sa lame. muets mais habités par leurs instincts, chacun féroce dans leur approche. nouvelle esquive pour le démon, dont chaque pas est une trahison pour lui-même. avant qu’il n’y perde son avantage de la vue, il se place derrière elle et d’un sort informulée, envoie valser le katana qui manquait de le planter. jeux dangereux qu’ils échangent mieux que les mots.

avant qu’elle ne reprenne l’assaut, akira profite d’une nouvelle surprise pour mieux l’emprisonner dans ses propres mains, poignets retenus menottés par ses forces. let me see. sans la laisser respirer, la plaque subitement contre le mur adjacent pour la priver d’une échappée. la lutte soulève sa respiration, tandis qu’il s’évertue à la bloquer de son propre corps. une main gardienne pour en libérer la deuxième, qui vient trouver le cou tatoué de la diablesse. what’s wrong. got some shit to hide ? une intimité que ses gestes n’ont pas oublié – marquée par le souvenir dans la manière dont ses doigts trouvent leur place sur la gorge palpitante. what you gonna do. mh. stab me ? screw me up with a lightning ? le murmure est amer, brûlant de provocation. et à travers les mèches de cheveux qu’il dégage, akira vient trouver les aveux. nouvelle cicatrice abandonnée par les vices, dans le creux de sa peau. juste assez de temps avant qu’elle ne le fasse payer pour cet affront.


❝ résumé,, akira traîne au temple d'izanami avant d'aller confronter remi sur son comportement étrange des derniers mois. elle lui cache quelque chose et il hésite pas à aller à la frappe pour savoir quoi mdr


(c) prima luce, mk.

Yokoi Himari, Pandore Águilar et Ryuzashi Remi ont feelsé sur ce message

Ryuzashi Remi
Ryuzashi Remi
no rest for the wicked ((remi)) ENM4ltEE_oélodie — she/herIRL : ahn lina (c/ cendres ♡).Avatar, Crédits : 314Messages : 1RPs : 4 157Gallions :




shall my young sins, my sins alone,
be everlasting here?






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心なんかもってたら、生きていけない



☉ ARIES ∙ ☾ CAPRICORN ∙ ↑ ARIES
CHAOTIC NEUTRAL ∙ ESTP-A ∙ 8W7

tw:

pronom rp:

activité:
Disclaimer :
anla, l'ombre des autres. & suk, le cafard.Multicomptes : ∙ vingt-quatre ans (18.04.1998)Naissance & Âge : ∙ elle.Pronom(s) du personnage : #A16153Couleur de dialogue :

「 ÉTUDIANTE 」

6ème année en formation de magie pure pour devenir auror (redoublement). choix de parcours insensé pour beaucoup, résulte d'une volonté de renverser ciel et terre. elle souhaite renouer avec les traditions ancestrales de son clan, quand aurors et yakuzas se mêlaient et formaient une caste unique, et particulière.


「 YAKUZA 」

septième enfant de l'oyabun du clan ryuzashi, l'un des plus vieux clans japonais. présent dans les hautes sphères publiques et les domaines illégaux, mais réputés auprès des marchés noirs comme pilier dans le trafic d'artefacts et de créatures magiques. relation d'amour-haine avec les siens. clan très traditionnel, elle veut faire la passerelle vers plus de pratiques modernes.


「 PRÊTRESSE 」

tenancière d'un fightclub clandestin, le temple d'izanami. camouflé dans les basfonds de nagao, il s'illustre par son univers fantasque - entre combats immoraux et grands spectacles martiaux.
Occupation :

「 GODAÏ FOUDRE 」
(dep. 2004)

poursuit un apprentissage rigoureux auprès de précepteurs depuis ses six ans.

branche défense & attaque,, acquise entièrement.
seuil 01, défense
seuil 02, attaque
seuil 03, champ électrique
seuil 04, perception

branche communication,,
seuil 01, système nerveux (acquis)
seuil 02, transmission (acquis)
seuil 03, télépathie (en apprentissage)

(4 PTS EN RESERVE)


「 AYAKASHI 」
(dep. 2017)

maledictus soignée, maintenue secrète tant bien que mal. utilisée comme arme de représailles par son clan. sa foudre et son dragon d'eau sont en perpétuel conflit, forces duales l'ayant déjà amené à une expérience de mort imminente (auto-électrocution).

Particularité(s) :

「 FAMILLE 」
pré-liens
jun,, hateful brother (yet so similar).

「 YAKUZA 」
joji,, prophecy buddy. the necessary rivalry and obsessive ambiguity.
minato,, prophecy buddy. love him dead. (dumbass close friend who disappeared with a lot of unspoken behind)
isai,, uc (hateful rivalry)
nami,, uc (rollercoaster)

「 LE TEMPLE 」
pré-liens
akira,, her demonic half.
charon,, strong contrasts.
kian,, little puppet.

「 LE MONDE 」
mazra,, attraction that takes up more and more space
serena,, strange ally between her hands.
hongyi,, uc (enemy)
Relations :

「 RPS 」

(03.02.22) joji, minato
(19.02.22) jun
(25.02.22) akira
(03.04.22) minato
(01.05.22) event, golden week
(05.05.22) os, golden week

par le passé.:


sms & appels.
akira.
Plume à Papote :
— ÉLÈVE ❝ gonna raise hell anyway
no rest for the wicked ((remi)) ENM4ltEE_o
IRL : élodie — she/her
Avatar, Crédits : ahn lina (c/ cendres ♡).
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RPs : 1
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Pronom(s) du personnage : ∙ elle.
Couleur de dialogue : #A16153
Occupation :

「 ÉTUDIANTE 」

6ème année en formation de magie pure pour devenir auror (redoublement). choix de parcours insensé pour beaucoup, résulte d'une volonté de renverser ciel et terre. elle souhaite renouer avec les traditions ancestrales de son clan, quand aurors et yakuzas se mêlaient et formaient une caste unique, et particulière.


「 YAKUZA 」

septième enfant de l'oyabun du clan ryuzashi, l'un des plus vieux clans japonais. présent dans les hautes sphères publiques et les domaines illégaux, mais réputés auprès des marchés noirs comme pilier dans le trafic d'artefacts et de créatures magiques. relation d'amour-haine avec les siens. clan très traditionnel, elle veut faire la passerelle vers plus de pratiques modernes.


「 PRÊTRESSE 」

tenancière d'un fightclub clandestin, le temple d'izanami. camouflé dans les basfonds de nagao, il s'illustre par son univers fantasque - entre combats immoraux et grands spectacles martiaux.

Particularité(s) :

「 GODAÏ FOUDRE 」
(dep. 2004)

poursuit un apprentissage rigoureux auprès de précepteurs depuis ses six ans.

branche défense & attaque,, acquise entièrement.
seuil 01, défense
seuil 02, attaque
seuil 03, champ électrique
seuil 04, perception

branche communication,,
seuil 01, système nerveux (acquis)
seuil 02, transmission (acquis)
seuil 03, télépathie (en apprentissage)

(4 PTS EN RESERVE)


「 AYAKASHI 」
(dep. 2017)

maledictus soignée, maintenue secrète tant bien que mal. utilisée comme arme de représailles par son clan. sa foudre et son dragon d'eau sont en perpétuel conflit, forces duales l'ayant déjà amené à une expérience de mort imminente (auto-électrocution).



Relations :
「 FAMILLE 」
pré-liens
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「 YAKUZA 」
joji,, prophecy buddy. the necessary rivalry and obsessive ambiguity.
minato,, prophecy buddy. love him dead. (dumbass close friend who disappeared with a lot of unspoken behind)
isai,, uc (hateful rivalry)
nami,, uc (rollercoaster)

「 LE TEMPLE 」
pré-liens
akira,, her demonic half.
charon,, strong contrasts.
kian,, little puppet.

「 LE MONDE 」
mazra,, attraction that takes up more and more space
serena,, strange ally between her hands.
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Plume à Papote :
「 RPS 」

(03.02.22) joji, minato
(19.02.22) jun
(25.02.22) akira
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(05.05.22) os, golden week

par le passé.:


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akira.

no rest for the wicked
25 février 2022 w/ @sawano akira - outfit.


le retourneur de temps repose au creux de ta paume quelques secondes avant que tu ne refermes les doigts dessus – tu regardes les encres dansant sur la peau de ta main, indistinctement. y perlent encore quelques gouttes salées, et pourtant les pores paraissent immaculés. t’as les obsidiennes ternes, remi. quelques traces brumeuses qui disparaissent à mesure que les rayons du soleil se lèvent. certains se filtrent à traves la palissade, éveillent de nouvelles âmes à travers les couloirs – et il y celui qui fauche ta personne dans la lumière. auréolée de ce que tu ne pourrais jamais mériter, mais rien qui ne se percute dans ton regard. tellement damnée que même les astres ne pourraient te rendre poussières. tes esprits sont ailleurs, encore là-bas, quelque part dans les vagues – quelque part, dans le chant des écailles. et toujours ces flagrances métalliques au creux des canines, ces parfums d’iode carmin qui ne s’estompent jamais vraiment. nouvelle soirée dans les mauvais gré des tiens. nouvelle heure perdue au creux de la nuit à faire disparaître des immondes qui ne seront jamais pire que les vôtres. oyabun ordonne et son arme répond, simplement. aussi sommairement que d’autres règlements – tu méprises ces chaînes mais jamais tu ne t’y soustraies. ils pourraient t’arracher la peau. te faire rompre l’échine sous les travaux. sous les exils. aucun d’entre eux ne le ferait jamais aussi bien que ta personne. personne d’autre que toi, remi, pour faire pâlir les étoiles. et même celles qui n’existent plus derrière tes pas.

doucement tu refais présence entre les murs silencieux de ta tanière. dans cette piaule épargnée du temps et des manigances. tu inspires, lentement. quelconque exercice de respiration pour faire disparaître les derniers relents du dragon. pour mieux retrouver les apparats d’une impie quelque peu salie, un peu fatiguée. surtout usée. tu pourrais presque ressentir des miettes de tes pensées s’écouler entre tes doigts, tout autant des plaies que tu ne saurais refermer. quelques pas, finalement. le temps de déposer ton précieux objet au-dessus des vêtements que tu enlèves, pour en mettre d’autres plus confortables. le temps également d’allumer une bougie parmi d’autres, sur ce qui s’apparente plus à un tas de cire qu’un autel de mauvais augure. tu fermes les yeux, mais dans cette nuit écourtée qui n’est plus, même le sommeil s’est perdu. visage penché sur le côté et les yeux fermés, tu écoutes – la vie qui n’existe pas et qui pourtant gronde dans les entrailles de ce temple. de ton domaine. les murmures des esprits ravageurs qui hantent les couloirs, s’impatientent des combats, des âmes à régurgiter plus vides que jamais. de ces nomades qui arpentent les lieux mais ne s’arrêtent jamais vraiment. de ces combattants qui s’entraînent des mètres plus loin. des visages, encore, encore. des sourires de haine et des maux de chair. tout un tas d’êtres grouillants dans les bas-monde de ton univers, si près mais si loin de cette pièce qui est tienne. qui ne renferme que les calmes mensonges des abominables vices. tu écoutes, les bruissements des pas. les feuilles qui s’éveillent dans les jardins. les rayons qui percent un instant les nuages de ce ciel perpétuellement bas. mais t’as le squelette en mauvais terme, remi. de ces muscles qui ne peuvent se détendre. chaque parcelle de ton être est en guerre avec les fauches d’une colère vaine. les paupières se soulèvent, sur des charmes amers qui disparaissent. dans les obsidiennes s’élèvent de nouveaux éclats.

et t’as besoin, remi
d’évacuer toute cette haine.
de dégueuler tes incendies au milieu des silences supplices.  

une plainte silencieuse s’élève de tes poumons, de ce soupir trop lourd pour que le monde ne l’écoute. on pourrait presque entendre les orages au-dessus de toi – mais les éclairs grondent seulement derrière tes prunelles. dans cette tête pleine d’immondices. et tu attrapes l’un des katanas accrochés au mur, presque lassée. presque hâtée. impatience en demi-teinte, d’expulser les traces fantômes des membres de ton clan sur tes pensées. de reprendre les mécaniques maintes fois exécutées qui jamais ne perdent leur intérêt. dans cette pièce qui n’appartient qu’à ton règne, où nul ne pourrait te dire – que ce n’est pas assez bien, pas assez précis, pas assez puissant. de cette perfection qu’on attend de ta personne sans jamais admettre un seuil à atteindre, peut-être dépassé depuis longtemps. tes mains trouvent machinalement un morceau de tissu ; tu suis tes mouvements plus par défaut que par réflexion. poupée en valse d’entre les émotions et les entraînements, qui vient bander le chiffon sur ses yeux.

dans le noir,
tu (re)trouves tes émois,
tes carnages –
et tes silences,
nauséabonds,
lugubres,
pourtant rassurants.

pensées furieuses, pensées parasites. si seulement tu savais, que cette nuit morbide n’aurait pour écho qu’une journée des plus insipides. tes pas traversent la pièce tranquillement, de ces foulées accoutumées à l’espace. légères, guerrières. familières de ce tatami dont les traces d’usure semblent lui faire défaut. les bras balaient les horizons, étirements discrets pour prendre ses marques. et d’un roulement d’épaules plus tard, les enchaînements s’amorcent. discipline rigoureuse que tu ne manques jamais même dans les années. personnalisée comme nul autre ne pourrait le faire. t’as calqué le meilleur des maîtres pour en faire ton art – adapté à tes facultés, à tes caprices. tu ressens les orages sous le poitrail prendre place, le long de ta colonne vertébrale, de tes jambes. et de tes bras, puis de ta lame. discrète électricité qui accompagne tes pas de danse, que tu sais invisible mais impérieuse. impétueuse comme les hurlements de ton cœur. tu ne saurais dire, les minutes qui dévalent dans les exécutions des mouvements. maintes fois répétés. maintes fois éreintés. d’une usure que tu cherches mais que toujours tu dépasses – car ce n’est jamais suffisant. rien n’est jamais assez. et le temps se perd dans tes névroses, dans tes limites inexistantes.

comme celui que tu n’entends pas,
que tu perçois trop tard.

un bruissement sourd rompt le calme des lieux – et tu comprends que ce n’est pas hasardeux. tu connais suffisamment ton espace pour évoluer dedans sans porter atteinte à son contenant, même les yeux fermés. tu pestes silencieusement entre tes lèvres fermées, agacée devant les discrétions de ton propre territoire. tanière qui est tienne mais qui ne manque jamais d’accueillir certaines personnes sans te prévenir. tu n’es plus seule, et tu ne saurais dire si tu es contrariée par l’interruption ou satisfaite d’une nouvelle opportunité – celle de lâcher tes tempêtes sur quelqu’un d’autre que toi-même. tes pas glissent sur le sol, encore. nonchalamment, mais précisément. tu ne voudrais mettre un terme à ce qui tourne invariablement vers une partie de jeu – ou de chasse. son parfum parvient à tes sens, et semble (re)trouver les affres de ton cœur atrophié. un sourire creuse tes fossettes immaculées, mais tu te méprends encore de ses intentions. simplement heureuse comme tu pourrais accueillir n’importe lequel de tes précieux amis. et dans les mouvements aveugles mais certains, tu cherches sa présence – t’en rapproches inévitablement. enfant du démon n’a que peu de secrets pour tes sens, et tu t’apprêtes à le faucher dans un accueil de qui pourrait s’apparenter de salut chaleureux.

mais akira n’est pas là pour ça,
et l’amertume renverse la confiance quand tu comprends,
que tu n’aurais pas dû te méprendre.  

tu ressens son mouvement avant même que son poids ne bascule vers toi, et tu pares son pauvre coup simplement. mais rien n’est jamais vraiment très simple, avec akira. vous n’êtes pas immuables mais c’est tout comme – à vous connaître mieux que quiconque. dans les gestes, les parades. les réponses. tu ne pourrais lui admettre, mais il n’est jamais loin de l’ascendant. et parfois il le possède, comme ce que tu ne manqueras pas de comprendre dans quelques minutes. d’une nouvelle bascule tu approches à nouveau ton âme-jumelle, cherches à le faire reculer. vue toujours absente et pourtant tu danses avec lui comme une paire appartient aux enfers. tu veux rompre ses défenses, faire ployer ses postures. à miser tes souplesses contre ses forces. tu pourrais faire ça inlassablement, remi. te battre avec akira, ou même l’oni. tu pourrais, jusqu’à ce que le soleil en tombe. jusqu’à ce que la lune en pleure. tu pourrais, remi. mettre un terme au bon moment, ou l’abattre – avant qu’il ne t’attrape.

mais soudainement ton arme disparait de ton emprise – et ta paume moite se referme sur le néant. tes lèvres se pincent, désormais agacée de la tournure des évènements. user de la magie n’est pas être à armes égales, et ça t’agace – toi qui pourtant le cherchait avec un katana quand il n’avait rien d’autres que ses ruses et ses esquives. tu penses un instant à lui procurer un court-jus – mais un instant seulement. car le suivant tes poignets s’enferment dans son emprise et tu n’as pas plus le temps de soupirer, que tes épaules heurtent le mur adjacent. tu entends l’estampe à vos côtés qui menace de se décrocher, mais tient bon. tu entends sa respiration, malmenée, emmêlée à la tienne, également agitée. et tu entends, le bourdonnement du sang contre tes tempes. le grondement du courroux dans tes veines. les battements furieux de ce cœur en colère – et même les siens, pas si loin. « fuck you–  » l’insulte s’échappe entre tes lèvres aussi spontanément que ta mauvaise humeur, mais t’as le souffle qui disparait avant même de continuer. sa main trouve ton cou d’une familiarité qui résonne comme une vieille habitude. et tu ressens, sa chaleur contre ta peau. le sang de tes veines qui pulse sous sa paume. et tu devines, le sourire du démon – du vainqueur.

mais les nouveaux mots qui viennent t’arrachent un râle que tu aurais aimé transformer en d’autres insultes. en beaucoup d’autres. tu entends plus la menace sous-entendue que le réel affront, pourtant t’as un gargouillement qui filtre entre tes lèvres. un putain de rire d’outre-tombe qui vient peupler le maigre espace entre vos corps – éraillé, inquiétant. « don’t tempt me. » tu souffles, impétueuse. toujours aveugle mais tu as le sentiment de percevoir le moindre des traits de son visage. les moindres muscles de son corps, échauffés contre les tiens. tu ressens son amertume se déverser entre ses doigts, entre ses mots. entre ces coups qu’il retient certainement. quelque chose t’échappe – tu penses. mais quelque part, tu comprends. la situation t’échappe et tu n’aimes pas ça. tu n’aimes pas quand le contrôle ne t’appartient pas. quand ce n’est même pas l’oni qui a le dessus. t’es simplement immobile entre les griffes d’akira et tu pourrais en hurler. tu relèves le menton, cherche à froisser le bout de tissu contre le mur. bandeau qui glisse le long de ton visage à mesure que le lien se défait, pour tomber machinalement à vos pieds. tes obscurs se plantent dans les siennes sans masqueur l’aigreur que tu ressens, creusent derrière les nuages. derrière les barrières de barbelés. minois toujours relevé vers les hauteurs, comme une défiance. comme un appel, à ce qu’il ose faire plus. rien n’a de sens dans l’instant mais tu sais quand les reproches s’écoulent des silences. tes poumons se soulèvent sous ta respiration malmenée, fatiguée. tu voudrais rapprocher ton visage du sien, narquoise – mais son emprise est solide et il t’en empêche. le diable reconnait sans peine les feintes d’un autre. jeu dangereux auquel vous jouez depuis trop longtemps maintenant. alors tu prends appui derrière toi, pour mieux basculer le reste de ton corps vers l’avant. ton bassin vient heurter le sien sans pudeur, espérant la surprise suffisante pour qu’il desserre son étreinte de malheur. suffisamment pour que tu continues le mouvement dans l’idée de le faire reculer – et de tes mains qui se libèrent, l’une s’agrippe à celle qui maintient ta gorge et l’autre se plaque contre son torse pour le pousser vers l’arrière. don’t even dare que tu penses furieuse quand il essaie de se soustraire à tes mouvements, mais en quelques secondes tu renverses le rapport de force et c’est lui, qui se retrouve plaqué contre le mur. cette fois, le tableau ne tient pas et offre un malheureux spectacle échoué sur le plancher. comme vous deux, échoués dans vos colères aux valeurs qui diffèrent. tu ne le retiens pas de la même manière, même si ton corps est si près du sien qu’il en devient brûlant. ce sont les orages qui deviennent menace, qui le garde d’un quelconque affront. de cette électricité ambiante qui se déverse sur ta peau, ruisselle comme des torrents d’eau. d’instinct, seulement, tu ne t’en rends pas réellement compte. aveuglée par la présence trop proche d’akira – par cette rancune qui suinte au fond de son regard. « yeah, i can do that too. » mauvaise perdante, mauvaise joueuse. tes mains relâchent ses épaules avant que tu ne le heurtes de tes étincelles, peu importe les intentions menaçantes tu ne cherches pas à le blesser. pas pour l’instant. tu recules de quelques pas, recherches la surface. cherches à reprendre ce souffle qui te manque – t’en as presque les mains qui tremblent de toute cette fureur que tu accumules rapidement.

« what are you trying to do? » mais tu sais remi, tu sais. comme jun quelques jours auparavant, venus pourchasser les secrets dormants dans les placards. comme minato depuis ce début d’année, faisant refaire surface aux fantômes les plus tenaces. « it's the contest of who will be the most shitty ass and nobody told me about it? » les mots se déversent dans un agacement certain, et ton épiderme menace de disparaître sous les éclairs miniatures. mais à l’exception du deuxième yakuza, akira ne peut pas savoir. qui est venu te voir. qui a compris. qui a gratté sous la surface d’une âme en guerre contre les démons. qui est venu toquer à la porte de tes catacombes pour trouver des maux dégoulinants de moisissure. les battements pulsent d’autant plus contre tes tempes, selon que les pensées s’enchaînent dans une vitesse hurlante. « some stupid revenge because i stabbed you? » tu hasardes, faisant mention aux évènements de novembre. « you’re late, again. » l’insistance venimeuse sur le dernier mot, comme une rancune à ce qu’il s’est passé. à ces jours de trop qu’il a mis pour te retrouver. comme un reproche que tu ne voudrais avouer, à ces jours de trop qu’il a mis pour comprendre – ce pour quoi il en fait tout ce spectacle.

et pourtant d’habitude encline aux combats, là t’as pas envie. parce que tu sens que les raisons sont autres, que tout t’échappe. que les mensonges suintent à la surface comme si toute retenue disparaissait progressivement. « i have nothing to hide » (menteuse) – until you catch me. tu recules encore plus en prononçant cette phrase, mais ne le quittes pas du regard. tu ne voudrais pas manquer de vigilance, alors qu’il ne semble attendre que ça. mais t’as des airs d’impie furieuse et même lui, ne se risquerait certainement pas de s’avancer vers toi. pas dans cet état – et la réalisation te frappe soudainement. « ok, fine. » tes paumes se lèvent comme pour tempérer vos consciences (en vain), et dans le même mouvement la pièce retrouve une tranquillité précaire. les étincelles disparaissent de ton corps, restent seulement les fumées sous l’ombre des mèches sombres. « ‘seems you have something to prove… » tu redresses à nouveau le visage dans cette posture qui marque trop souvent tes provocations, silhouette désormais au centre de la pièce. « come. » pas tant un ordre qu’une requête, les lettres se perdent plus dans une plainte que dans un excès de confiance. « here, come! » que tu insistes les bras tendus autour de toi, en dévoilant le morceau de tissu qui apparait magiquement entre tes doigts. tu le secoues doucement, comme un étendard – celui de vos querelles. sourire dantesque étendu sur les lippes, t’as le regard qui beugle à l’insoumission. au carnage. conscience basculée dans les plus bas de tes étages infernaux. « with or without, your call. » d’une provocation qui sonne comme une promesse aux enfers, tu as le dédain de lui laisser le choix. l’issue est incertaine, mais ton intention est claire : s’il veut se battre, tu lui acceptes à forces égales. sans armes, sans triche – pour le moment. la pièce émet un grognement comme pour donner plus de force aux propos. comme une menace également, dans les planches qui craquent sous le tatami. dans les murmures qui s’amassent entre les lattes du mur.

peut-être,
peut-être que tu n’attendais que ça –
qu’il vienne
mais tu n’as rien à sauver,
rien à perdre.
faussement tragique, remi ;
ce démon qui en attend un autre pour retrouver sa respiration.


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Yokoi Himari, Pandore Águilar et Sawano Akira ont feelsé sur ce message

Sawano Akira
Sawano Akira
no rest for the wicked ((remi)) ATniWLUOri — she/herIRL : Kwon Minsik (Sik-K) & OriAvatar, Crédits : 1722Messages : 10RPs : 666Gallions :
no rest for the wicked ((remi)) G4wSBVc



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俺は暴力の中に平和を見つけた




☉ SCORPIO ∙ ☾  LEO ∙  ↑  SCORPIO
CHAOTIC NEUTRAL ∙ ISTP-A ∙ 8W7
TW:
Disclaimer :
tom nookMulticomptes : 151195 — 26 yo.Naissance & Âge : ∙ ilPronom(s) du personnage : #CD1B27Couleur de dialogue :
「 FIREWIZARD 」

après 6 ans de médicomagie, et avoir bossé aux urgences, akira décide de changer de cap et rejoint la caserne de fuji.


「 TEMPLE D'IZANAMI 」

combattant des bas-fonds, accro à l'adrénaline. besoin d'évacuer la violence qui consume ses veines. appartient aux abysses et aux vices.
Occupation :
「 HENSOKU ONI & THÉRIANTHROPE 」

anger empowerment
(énergisation par la colère)

« capacité de gagner de la force grâce à la colère. transformation de la colère en une forme d'énergie. le sujet N°127 devient plus fort, plus endurant lorsqu'il est excessivement énervé. »


misfortune spreader
(porteur de malheur)

« le sujet est un porte-malheur vivant, provoquant des accidents, des ennuis ou d'autres malchances autour de lui. d'ampleur variable, les incidents sont souvent mineurs. »


demonic guy
(transformation en oni)

« après analyses sanguines, il est mis en évidence que les métamorphoses intempestives du sujet N°127 sont dues à un cas de thérianthropie. il est intéressant de remarquer que seuls les attributs physiques propres au yokaï oni se manifestent chez le sujet. »

Particularité(s) :
| I'LL RISK IT ALL FOR YOU

(( don't leave me ))
SEIYA // best friend
PANDORE // best friend
REMI // evil twin

| I DON'T WANNA HURT YOU

(( hold with caution ))
HIMARI // favorite victim
ANDREA // homie, roommate
EVIE // homie
OSAMU // homie
ROSE // homie
MARLON // homie

| THRILL ME, CHILL ME, FULFILL ME

(( love, lust, passion ))
SOMI // reckless love (ex)

| NOT MY PROBLEM

(( aren't we all sinners ? ))
SAWAKO // former-victim
BERLIOZ // research partner, rival
MARIE-CLÉMENCE // à venir

| DAMN RIGHT YOU SHOULD BE SCARED OF ME

(( you can call me monster ))
ATLAS // cursed children
CHARON // vipère au poing, traqueur
KELL // wanna punch your faceRelations :
|RPs

14.10.21 PREPARE FOR TROUBLE Rose
28.01.22 NEW PLAN : FUCK IT Kenzo
xx.02.22 TITRE Nanashi
19.02.22 TITRE Pandore
xx.xx.22 TITRE Remi
xx.xx.22 TITRE Andrea


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PANDOREHIMARILE KRASSEIYAEVIEATLASROSEANDREANANASHIYOU ?
Plume à Papote :
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après 6 ans de médicomagie, et avoir bossé aux urgences, akira décide de changer de cap et rejoint la caserne de fuji.


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combattant des bas-fonds, accro à l'adrénaline. besoin d'évacuer la violence qui consume ses veines. appartient aux abysses et aux vices.

Particularité(s) :
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anger empowerment
(énergisation par la colère)

« capacité de gagner de la force grâce à la colère. transformation de la colère en une forme d'énergie. le sujet N°127 devient plus fort, plus endurant lorsqu'il est excessivement énervé. »


misfortune spreader
(porteur de malheur)

« le sujet est un porte-malheur vivant, provoquant des accidents, des ennuis ou d'autres malchances autour de lui. d'ampleur variable, les incidents sont souvent mineurs. »


demonic guy
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« après analyses sanguines, il est mis en évidence que les métamorphoses intempestives du sujet N°127 sont dues à un cas de thérianthropie. il est intéressant de remarquer que seuls les attributs physiques propres au yokaï oni se manifestent chez le sujet. »



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 @Ryuzashi Remi  
🐲. No rest for the wicked


outfit + pieds nus

— 25 Février 2022 —


no rest for the wicked ((remi)) DhOWHTX



Les cœurs se connaissent pour en être fait des mêmes travers, montés à l’envers. Battent à l’unisson sous la pulsion d’une rage qui les unie. Et lorsqu’enfin le sifflement de la démone file entre ses lèvres, le son de sa voix n’est qu’une mélodie aux oreilles d’akira. fuck you too, il pourrait répondre, modulé d’un sourire salaud, mais elle ne mérite pas qu’il donne écho à ses tendresses si tôt ; alors l’étreinte vient la trouver, caresse redoutable, de celles qu’ils échangent à double-sens. Tantôt provocation, tantôt possession. Jamais innocentes, jamais bienveillantes. De la sentir sous sa coupe, son pouls battant sous la chaleur de ses doigts – voilà de quoi étirer le sourire du démon, qui s’abreuve tant qu’il le peut d’avoir l’ascendant pour l’instant.

Chacune de ses protestations lui donne désir à la faire ployer davantage, car les provocations de remi ont toujours attisé le démon. don’t tempt me., d’un souffle rageur qu’il sent s’échouer sur son visage, malgré la mâchoire serrée de la furie, comme si chaque mot qu’elle lui accordait brûlait ses lèvres. La pression se resserre sur sa gorge, sans jamais l’étouffer vraiment, entre vice et délice. Mais bientôt de nouvelles impulsions s’invitent à ses inspirations, car il n’oublie pas le fond de ses intentions, ni la raison de sa venue. Il n’est pas venu déclencher le feu de ses reins, mais bien celui d’une vérité qu’elle lui garde. Fierté maladive, qu’il laisse échapper consciemment entre ses doigts, en la laissant relever ce menton de l’affront, pour faire tomber le bandeau qui les séparait encore. Les regards s’attrapent immédiatement, comme s’ils se voyaient déjà à travers le tissu. Aucun ne tombe, tout deux maintiennent l’offense, lisent dans leurs noirceurs des intentions qui se trahissent – l’orage au fond de ceux d’akira, qui ne laisse place à aucun doute. L’évidente vengeance dans les tempêtes de remi, qui ignore encore ce qui lui vaut cet affront. Mais dans leur silence, dans cette proximité qui comblent les non-dit, la tension s’installe, nerfs à vifs.

Tentative de réduire davantage cet écart qu’il maintient entre eux, quand il sent sous sa prise les efforts de remi pour s’approcher de lui – souplesse insidieuse à laquelle il s’attendait, pour avoir déjà goûter aux charmes sournois dont elle sait user. Jeu qu’il connaît par cœur. ’think i’m stupid ? Elle s’y essaie, mais abdique aussi vite, sentant trop bien la prise de akira sur ses poignets et de son corps sur le sien, qui la retient. Manque à se moquer de la voir échouer dans sa ruse, mais remi n’en a définitivement pas fini. Quand ses hanches viennent épouser les siennes d’un geste lascif qu’il n’avait pas vu venir, troublant son attention tandis qu’elle s’évertue d’un nouvel élan. the fuck –, mais ses mots ne trouvent plus leur souffle, quand soudain c’est lui qui se fait plaquer contre le mur, et il retrouve sa vigilance un peu trop tard pour tenter de rétablir sa force en s’esquivant. Dommage. Inutile de s’y risquer alors qu’il sent très vite l’électricité se mêler à la chaleur qui les rattrape. Ce n’est plus seulement leurs souffles suspendus entre eux, mais cette menace qui émane de chaque pore de remi, en proie à son élément qui s’éveille sous ses colères. Plus avisé de se garder le moindre mouvement, au moins pour l’instant. L’énergie qui la parcourt charge l’air d’un poids nouveau, ou bien est-ce celui de remi qu’elle tente d’appuyer contre lui – pas serein à l’idée de véritablement se prendre une putain de décharge dans ses parties, cette fois. Pourtant, les seuls éclairs qui le foudroient sont ceux de ses yeux, qu’elle vient planter dans les siens. yeah, i can do that too. feulement rageur pour justifier ses méthodes scabreuses, qui ne font naître qu’un regard plus sombre et exaspéré chez le prisonnier. cheater. Mais par fierté, il ne dit rien, comme si c’était trop simple. Ego heurté d’avoir cédé à ses vilaines feintes.

Frémissements dans les mains qui le retiennent, parcourues sans doute autant par la rage qui imbibe ses veines que l’électricité qui s’accumule – finalement, remi recule. De bonne grâce, laisse de l’espace, pour aller chercher son souffle ailleurs. Comme si elle lui accordait sa miséricorde, l’épargne pour l’instant de tout châtiment. Alors Akira se décolle rageusement du mur où il a fini acculé, refoule cette position du perdant qui l’écœure. what are you trying to do. il rajuste sèchement son pull – balaye l’offense. asking you, witch. ton acerbe qui tranche l’air. moving on my lap to get your way out, and lying to my face. La colère ne l’a pas quitté, elle ne fait que s’amplifier d’être ainsi repoussé. Elle joue trop avec ses nerfs, à revendiquer une ignorance qui n’arrange rien à son cas, le prend pour un con depuis des mois. it's the contest of who will be the most shitty ass and nobody told me about it ? il fait quelques pas vers elle, sans s’approcher outre mesure, mais ses muscles se raidissent, besoin de bouger pour faire circuler l’exaspération et pas lui exploser à la gueule – pas tout de suite. you winning this one. les mots amers, alors qu’elle lui semble tourner autour du pot, comme s’il n’était pas assez clair. Tout deux en proie à cette passion commune, se faisant chacun réceptacle à leurs rages, pour l’attiser davantage, toujours chercher plus loin à repousser les limites, s’entraîner plus bas. La foudre habille l’aura menaçante de remi, mais akira vient lui faire face en toute provocation, car s’ils sont les plus terribles, ils ne le seront jamais assez l’un pour l’autre. some stupid revenge because i stabbed you ? you’re late, again. elle le cherche et croit le trouver, mais la balle ne l’atteint pas ; akira la laisse le traverser sans ciller, puant l’excès de confiance et la fierté qu’il est persuadé de détenir dans ses convictions. what fucking for, remi. you did good. i needed you to act this way. confidence désagréable qui lui semble pourtant évidente. even tho you liked it a bit too much. et le sourire salaud qui fend ses lèvres n’enlève en rien son amertume. Il est capable de reconnaître cet aveu de faiblesse – ou de démence dans lequel il se trouvait, alors qu’il ne comptait plus que sur elle pour arrêter le carnage – pour l’empêcher de sombrer. Mais elle – elle ne lui permet pas cette réciprocité. Et c’est ça qui l’enrage. i’m late again, yeah. Réalisation qui a trop tardé et dont il ne perdra pas de temps à s’en accabler, mais qui l’agace d’autant plus. you’re not going to like it, remi.

L’ombre du sourire s’efface bien trop vite. Recouverte par le masque féroce de celui qui ne pardonne pas, qui accuse, qui exige la vérité. i have nothing to hide c’est son être tout entier qui transpire de rage, aussitôt que les mots quittent les lèvres perfides. fucking liar. c’est craché avec dégoût. Elle recule et lui s’avance, pas complètement, mais juste assez pour maintenir l’équilibre, dans une danse d’attraction qui ne peut les tenir éloignés. ok, fine. et les mains se lèvent, tension en suspens. Akira ne sait pas à quoi s’attendre, et en réalité il ne veut qu’une chose, qu’elle ne semble pas prête à lui céder. L’électricité s’apaise pourtant. Et Remi avance de nouvelles provocations, préfère se fondre dans l’agression qu’elle maîtrise, plutôt que dans des aveux. Déjà en proie à ses propres démons – remi se fond dans ses folies, se noie dans ses passions de violence qui abreuvent son âme. Appelle le reflet de celle-ci à un combat venu combler les abysses de sa poitrine, appelle, provoque – invoque même akira à venir jusqu’à elle, se saisir de ses prières impies à se joindre au blasphème. Cette garce sait comment lui parler – et davantage, comment provoquer le démon. l’écho du carnage qui habite sa voix comme une promesse de chaos. L’oni sous sa peau déjà brûlante, galvanisé par l’outrage – la rumeur d’une trahison qu’il perçoit dans le cœur de akira. Retentissement dans sa poitrine, quand il se sent pris d’une fièvre d’impatience, prêt à se jeter sur elle pour déverser sa rancœur. Il lui en veut, il lui en veut tellement, il voudrait la massacrer ; rien de tendre dans ses élans, elle ne fait que susciter sa violence, ses excès.

come. here, come ! le sang bouillonne, mais ce n’est pas en prédiction d’un combat dont il ne veut pas. Elle l’appelle, elle l’enrage, elle sait comment le faire vriller ; de son sourire du délire, trop grand et trop fier, de cette insolence jusqu’à ses gestes, comme une humiliation. with or without, your call. ça sonnerait presque à l’indécence, si il n’y avait pas ces regards trop noirs pour y voir leurs flammes. Comme si elle savait jouer fair-play, cette sorcière. à le prendre pour un con, alors que tout deux finirait par tricher dès les premiers coups échangés. A peine la proposition se meurt dans les l’air de la pièce (grondante, imbibée de colère), que Akira s’avance vers elle – et cette fois, ne s’arrête pas avant de pouvoir la bousculer. i’ve nothing to prove et ses mains trouvent les épaules de la démone, pour la pousser brusquement, enchaîne d’un verbe tranchant, dans un ton tonitruant. i didn’t come to fight you pousse encore, s’emporte tant dans les mots que dans les gestes, la secoue, voudrait la faire péter, qu’elle explose, qu’elle parle, qu’elle ouvre sa gueule but you keep lying to my face and i can’t fucking stand it, remi. frappe ses épaules, encore, pour la pousser dans ses retranchements. Elle pourrait le planter, le brûler, le frapper ; ce qui le rend dingue, ce sont ses mots – ou leur absence – ses mensonges, cette trahison qu’il ne s’explique pas – à lui. do i have to undress you myself joint le geste à la parole en saisissant le col de son kimono qu’il tire vers lui or you’re gonna cut the bullshit and explain the wounds all over your body ?! l’oni s’empare de lui, quand les cornes pointent sur son front, soulignant l’incendie au fond de ses yeux. think i’m stupid ?! you playing the bad bitch, but i fucking see you remi, you pushing me away won’t change shit. les yeux de la yakuza ne trésaillent pas, soutiennent les siens qui perdent de leur éclat brun. you can’t hide from me, so fuck your pride and admit it ! parce qu’il y a eu le rêve, aussi. Et ça non plus, il ne l’a pas oublié. you can’t always deal with things alone, it goes both ways – fucking get it in your head ! et lorsqu’elle retrouve contenance et tente une riposte, akira en profite pour se saisir fermement de cette main qu’elle avance et retrousser brusquement sa manche, exposant tatouages et traces voraces. Le dégoût se mêle à la colère sur son visage. … you have no idea how bad i want to slap the bitch outta you. l'évidence impacable exposé sous leurs yeux.


❝ résumé,, remi fait trop la meuf et akira en a ras-la-casquette, alors il l'engueule !!! no rest for the wicked ((remi)) Middle-finger_medium-skin-tone_1f595-1f3fd_1f3fdno rest for the wicked ((remi)) Goblin_1f47a


(c) prima luce, mk.

Pandore Águilar et Ryuzashi Remi ont feelsé sur ce message

Ryuzashi Remi
Ryuzashi Remi
no rest for the wicked ((remi)) ENM4ltEE_oélodie — she/herIRL : ahn lina (c/ cendres ♡).Avatar, Crédits : 314Messages : 1RPs : 4 157Gallions :




shall my young sins, my sins alone,
be everlasting here?






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心なんかもってたら、生きていけない



☉ ARIES ∙ ☾ CAPRICORN ∙ ↑ ARIES
CHAOTIC NEUTRAL ∙ ESTP-A ∙ 8W7

tw:

pronom rp:

activité:
Disclaimer :
anla, l'ombre des autres. & suk, le cafard.Multicomptes : ∙ vingt-quatre ans (18.04.1998)Naissance & Âge : ∙ elle.Pronom(s) du personnage : #A16153Couleur de dialogue :

「 ÉTUDIANTE 」

6ème année en formation de magie pure pour devenir auror (redoublement). choix de parcours insensé pour beaucoup, résulte d'une volonté de renverser ciel et terre. elle souhaite renouer avec les traditions ancestrales de son clan, quand aurors et yakuzas se mêlaient et formaient une caste unique, et particulière.


「 YAKUZA 」

septième enfant de l'oyabun du clan ryuzashi, l'un des plus vieux clans japonais. présent dans les hautes sphères publiques et les domaines illégaux, mais réputés auprès des marchés noirs comme pilier dans le trafic d'artefacts et de créatures magiques. relation d'amour-haine avec les siens. clan très traditionnel, elle veut faire la passerelle vers plus de pratiques modernes.


「 PRÊTRESSE 」

tenancière d'un fightclub clandestin, le temple d'izanami. camouflé dans les basfonds de nagao, il s'illustre par son univers fantasque - entre combats immoraux et grands spectacles martiaux.
Occupation :

「 GODAÏ FOUDRE 」
(dep. 2004)

poursuit un apprentissage rigoureux auprès de précepteurs depuis ses six ans.

branche défense & attaque,, acquise entièrement.
seuil 01, défense
seuil 02, attaque
seuil 03, champ électrique
seuil 04, perception

branche communication,,
seuil 01, système nerveux (acquis)
seuil 02, transmission (acquis)
seuil 03, télépathie (en apprentissage)

(4 PTS EN RESERVE)


「 AYAKASHI 」
(dep. 2017)

maledictus soignée, maintenue secrète tant bien que mal. utilisée comme arme de représailles par son clan. sa foudre et son dragon d'eau sont en perpétuel conflit, forces duales l'ayant déjà amené à une expérience de mort imminente (auto-électrocution).

Particularité(s) :

「 FAMILLE 」
pré-liens
jun,, hateful brother (yet so similar).

「 YAKUZA 」
joji,, prophecy buddy. the necessary rivalry and obsessive ambiguity.
minato,, prophecy buddy. love him dead. (dumbass close friend who disappeared with a lot of unspoken behind)
isai,, uc (hateful rivalry)
nami,, uc (rollercoaster)

「 LE TEMPLE 」
pré-liens
akira,, her demonic half.
charon,, strong contrasts.
kian,, little puppet.

「 LE MONDE 」
mazra,, attraction that takes up more and more space
serena,, strange ally between her hands.
hongyi,, uc (enemy)
Relations :

「 RPS 」

(03.02.22) joji, minato
(19.02.22) jun
(25.02.22) akira
(03.04.22) minato
(01.05.22) event, golden week
(05.05.22) os, golden week

par le passé.:


sms & appels.
akira.
Plume à Papote :
— ÉLÈVE ❝ gonna raise hell anyway
no rest for the wicked ((remi)) ENM4ltEE_o
IRL : élodie — she/her
Avatar, Crédits : ahn lina (c/ cendres ♡).
Messages : 314
RPs : 1
Gallions : 4 157




shall my young sins, my sins alone,
be everlasting here?






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心なんかもってたら、生きていけない



☉ ARIES ∙ ☾ CAPRICORN ∙ ↑ ARIES
CHAOTIC NEUTRAL ∙ ESTP-A ∙ 8W7


Disclaimer :
tw:

pronom rp:

activité:

Multicomptes : anla, l'ombre des autres. & suk, le cafard.
Naissance & Âge : ∙ vingt-quatre ans (18.04.1998)
Pronom(s) du personnage : ∙ elle.
Couleur de dialogue : #A16153
Occupation :

「 ÉTUDIANTE 」

6ème année en formation de magie pure pour devenir auror (redoublement). choix de parcours insensé pour beaucoup, résulte d'une volonté de renverser ciel et terre. elle souhaite renouer avec les traditions ancestrales de son clan, quand aurors et yakuzas se mêlaient et formaient une caste unique, et particulière.


「 YAKUZA 」

septième enfant de l'oyabun du clan ryuzashi, l'un des plus vieux clans japonais. présent dans les hautes sphères publiques et les domaines illégaux, mais réputés auprès des marchés noirs comme pilier dans le trafic d'artefacts et de créatures magiques. relation d'amour-haine avec les siens. clan très traditionnel, elle veut faire la passerelle vers plus de pratiques modernes.


「 PRÊTRESSE 」

tenancière d'un fightclub clandestin, le temple d'izanami. camouflé dans les basfonds de nagao, il s'illustre par son univers fantasque - entre combats immoraux et grands spectacles martiaux.

Particularité(s) :

「 GODAÏ FOUDRE 」
(dep. 2004)

poursuit un apprentissage rigoureux auprès de précepteurs depuis ses six ans.

branche défense & attaque,, acquise entièrement.
seuil 01, défense
seuil 02, attaque
seuil 03, champ électrique
seuil 04, perception

branche communication,,
seuil 01, système nerveux (acquis)
seuil 02, transmission (acquis)
seuil 03, télépathie (en apprentissage)

(4 PTS EN RESERVE)


「 AYAKASHI 」
(dep. 2017)

maledictus soignée, maintenue secrète tant bien que mal. utilisée comme arme de représailles par son clan. sa foudre et son dragon d'eau sont en perpétuel conflit, forces duales l'ayant déjà amené à une expérience de mort imminente (auto-électrocution).



Relations :
「 FAMILLE 」
pré-liens
jun,, hateful brother (yet so similar).

「 YAKUZA 」
joji,, prophecy buddy. the necessary rivalry and obsessive ambiguity.
minato,, prophecy buddy. love him dead. (dumbass close friend who disappeared with a lot of unspoken behind)
isai,, uc (hateful rivalry)
nami,, uc (rollercoaster)

「 LE TEMPLE 」
pré-liens
akira,, her demonic half.
charon,, strong contrasts.
kian,, little puppet.

「 LE MONDE 」
mazra,, attraction that takes up more and more space
serena,, strange ally between her hands.
hongyi,, uc (enemy)

Plume à Papote :
「 RPS 」

(03.02.22) joji, minato
(19.02.22) jun
(25.02.22) akira
(03.04.22) minato
(01.05.22) event, golden week
(05.05.22) os, golden week

par le passé.:


sms & appels.
akira.

no rest for the wicked
25 février 2022 w/ @sawano akira - outfit.

you winning this one. c’est une amertume partagée dans les mots crachés, dans vos regards éventrés. y a ces feulements de guerre indistincts dans l’ombre de vos sourcils froissés, dans le crépitement électriques de tes mauvaises envies. tu pourrais le pourfendre, simplement, encore, d’un éclat d’orage. mais les paroles se cherchent, vauriennes. et les pensées capitonnées se pressent plus nombreuses dans l’appréhension. t’as presque l’impression qu’elles pourraient t’étouffer là, bêtement, sous la confiance dégoulinante du sorcier qui s’approche. qui s’affranchit de tes limites sifflantes sans plus de considération que son humeur fracassante. légèrement brusquée de son indifférence, what fucking for, remi. you did good. i needed you to act this way. – passablement surprise du renversement de situation. seulement l’espace d’un instant, dans cette reconnaissance absorbée sans vergogne par ton égo malpropre. foutue satisfaction dans vos malheurs, que d’être toujours une terreur moindre à ses démons intérieurs. even tho you liked it a bit too much. son sourire trouve un écho timbré sur tes lèvres. and i would do it again. i always would. promesse dérangeante pourtant peu incommode dans ce monde.

vos regards s’accrochent comme les astres se heurtent dans les amas les plus denses. dans ce même environnement poisseux de colères-amères qui renversent les patiences. de non-dits intangibles aux silences pourtant presque trop bruyants. et ces provocations prennent toujours plus de place, lentement. à chaque seconde. dans ces mêmes défiances qui jamais ne s’estompent. obsidiennes qui ne se quittent pas comme par peur du décrochage. les souffles se retiennent seulement entre vos éclats noirs, car tes poumons sont bien vivants. bien méfiants. engloutis dans une misère que tu cherches depuis trop longtemps. fucking liar. c’est craché dans le même dédain que tu lui donnes – d’un dégoût équivalent à ton orgueil insalubre. plus tu recules, plus il s’avance. plus tu redemandes de sa présence. tes pas s’éloignent et pourtant, tout ton être se meurt de sa chaleur. des appâts brûlants que les danses des années passées n’ont jamais suffit à apaiser. plaies jamais vraiment colmatées, que les démons qui vous accordent ensemble.

les provocations retombent salement dans vos décombres – n’ont pour réponse qu’un silence des plus dérangeants. pour toi, seulement. car akira semble prendre mesure de la situation malgré les nuages qui s’amassent au fond de son regard. ceux-là même que tu quémandes, presque en lamentations dans le creux de ton cœur nauséabond. tu n’aimes pas l’attente. le flottement. les enjeux incertains. les motus comme simple réplique. alors tu cherches, remi – à t’absoudre de ses retenues. tu provoques plus encore, appelles au désastre. t’as besoin de vacarme pour éteindre les flammes. pour détourner les regards de ces immondes que tu caches. sourire insolent qui s’aveugle dans les gestes – t’y crois presque quand il te bouscule sans ménagement. t’y crois presque, et tu pourrais en perdre des grammes de consternation. i didn’t come to fight you. les mots tombent comme une sentence que tu n’acceptes pas. tes lèvres se fendent d’un mauvais pli, frustrées. et pourtant – pourtant akira ne masque pas ses rancunes gueulantes. ne retient pas ses mouvements, bousculade incessante. tu deviens poupée de chiffon entre ses mains, épaules mollasses qui se laissent emporter dans ses dérives. tu t’abreuves de sa violence comme un réceptacle absorbe de l’énergie – d’une exaspération teintée d’une certaine satisfaction dans son emportement. ses paroles claquent dans l’atmosphère pesante sans que tu n’y répondes – le regard vorace qui quémande autre chose. plus encore. charogne de cendres ne peut s’éprendre simplement des colères à moitié contenues. go ahead. ton crâne dodeline sèchement dans une autre secousse, mais tu ne quittes pas ses yeux. beat the shit out of me.

il ne veut pas se battre et ça te fout en rogne. la frustration est beaucoup trop grande dans ce besoin de violence. tu n’as peut-être pas d’oni pour compagnon mais t’as des démons, enfant des malédictions. enfant des prophéties qui sèment les abandons comme les cieux déversent des flaques dans ses pleurs miteux. et ça hurle, remi. tout ça hurle en toi d’une tempête aux allures de fin du monde. cœur dégueulasse qui voudrait sortir de ta poitrine, s’affranchir des offrandes et des messes basses. do i have to undress you myself. tes pieds nus ne cherchent qu’à peine à s’ancrer dans les planches alors que tes épaules encaissent un coup tout autre. tu le laisses t’attirer par tes vêtements – tu laisses ton buste se heurter au sien sans plus de retenue. ton visage se retrouve brutalement près du sien. et plus que de ses excès de rage, c’est de nouveau de son souffle que tu t’imprègnes. tu ricanes, mauvaise. « absolutely. » il ne voudrait pas que tu prennes la proposition trop sérieusement – mais la provocation s’enchaîne, encore, naturellement. « do it. » quelques fonds sincères derrière les lèvres sur deux syllabes lancées comme un ordre insolent. les audaces s’emmêlent dans les deux camps – et tout fout le camp. c’est presque un appel. un besoin.

les mots grattent derrière les autres comme des ongles viendraient arracher la peau, chercher les os.
c’est naturel, c’est rageux.
c’est impérieux.
go ahead, if you dare.
come take what you looking for.
i won’t give it to you.


il parle encore mais tu n’écoutes pas – tu te rapproches encore plus de son visage, vient ricaner contre sa joue. la chaleur de sa peau que tu effleures accompagne tes lèvres que tu perds d’un souffle contre sa nuque – tu retrouves des marques communes qui ne pourraient devenir banales. corps pressant contre un autre, à quémander toujours plus de cette violence au milieu des orages. et tu viens mordre sa peau, simplement. de ce geste trop lent à tes yeux, trop rapide pour qu’il te retienne. ou peut-être se laisse-t-il faire. mais il te repousse avant même que tu puisses ne le faire par toi-même et t’as ce sourire dégueulasse qui creusent tes fossettes impies. tes orages accueillent les incendies de ses yeux comme des camarades de bonne fortune. et tes paupières s’affaissent légèrement quand tu relèves le minois, devant les cornes du diable qui montrent finalement leur gloire. et tes dents apparaissent d’un sourire plus grand encore – de ces grandes esquisses similaires aux désastres impardonnables. well, well, well – c’est soufflé mentalement, à l’attention de l’autre. de tes éclairs troqués pour les traces indolore d’une électricité qui trouvent les liaisons nerveuses – my little boy. ce n’est pas prononcé comme une insulte. plus comme une caresse – comme une affection, d’une mère à son enfant. d’une impie à son démon. presque trop heureuse de retrouver son comparse d’infortune, bien qu’encore retenu. (…) playing the bad bitch, but i fucking see you remi, you pushing me away won’t change shit. les mots que tu n’écoutais plus heurtent de nouveau tes pensées et tu souffles – tu souffles tes impatiences, ta consternation. ton ennui démesuré dans cet échange dont tu te passerais volontiers. tu ne masques pas ton emmerdement autant que tu le toises de cette fierté insolente qui ne disparait pas. qu’il t’arrache les vêtements, ça ne suffirait pas.

il pourrait t’arracher le peau même, que t’en crèverait pas.
y a rien à faire,
tu crèves pas –
tu crèves pas.

tu crèves pas, quand ta foudre emporte les derniers battements de ton cœur. tu crèves pas, quand on t’isole, te punit, te mutile, te rabaisse, t’enlève tes émotions, tes réconforts et tes tendresses. tu crèves pas, quand tu ne ressent plus rien physiquement. tu crèves pas, quand tu fonds d’une colère trop brûlante que t’en suffoques amèrement. même quand on t’abandonne – quand le dragon commande – quand tu t’immoles au monde. il y a rien à faire, de toi. you can’t always deal with things alone. le glas s’abat comme l’éclat d’un tambour. les mots dégringolent abruptement, ne s’arrêtent plus dans cette chute qui te parait infinie. tu pourrais le descendre sur place, l’abattre d’un coup de tonnerre. l’audace est démesurée – et trouve la plaie sans difficulté. « i was exiled, remember? » tu réponds dans un crachat de haine et d’amertume. « alone. » fierté bloquée au travers de la gorge. « so yeah, i deal with things alone. » tes lèvres imitent ses moues de dédain mais tu ne trompes personne, remi. il t’a touchée là où ça peut encore faire mal. « ‘cause all my fucking life i had to stand for myself, alone. » tu enchaînes dans tes regards impassibles au mots pourtant insipides. mais c’est dit sans pudeur, sans apitoiement. c’est dit comme un fait simple, non comme une fatalité que tu pourrais regretter. tes excellences sont autant tes lambeaux, tes plaies que tu continues de saigner plutôt que de laisser quiconque les refermer. t’as grandi avec akira – et il sait. il sait où t’atteindre pour te faire ployer.

tu ne parais pas peinée – car ces faiblesses te restent étrangères. mais tu es pincée, bousculée. le rapport s’est de nouveau inversé et tu ne peux lui céder – aucune avance, aucune victoire. pourtant le démon ne se laisse pas faire et t’as même pas fait un geste à son attention, encore incertaine de ce que tu voudrais lui faire (les options sont nombreuses) que le vaurien te bloque sans ménagement. « what– » poignet emprisonné dans ses poignes fermes, encore. again. tu émets un mouvement de recul mais il te retient, et ta seconde main vient s’abattre – trop tard – sur la sienne. il retrousse ta manche comme pour mettre une preuve en évidence. t’as l’impression que tes poumons s’étranglent dans leur souffle –

et c’est un peu l’effet que ça fait.
le monde qui se retient de respirer,
même de tourner.
les esprits deviennent silences,
et les murs grincheux ne sont plus que discrétion.

i don’t need help –
i never have.

pourtant t’es là,
guerres en croix sur tes bras,
entre tes tatouages en étendard.

you have no idea how bad i want to slap the bitch outta you. ce que tu trouves sur son visage te heurte plus que tu ne pourrais l’admettre. tu ne veux pas de ce regard écœuré. pas pour toi. tu ne veux pas de son inquiétude, tu ne la mérites pas. tu ne veux que ses colères, qu’elles te fassent disparaître – qu’elles mettent un terme aux mensonges s’il y tient tant. le silence retombe brutalement quand ses yeux se baissent vers les preuves. c’est implacablement évident sous vos regards en berne – ces traces que tu lui caches depuis nombre de nuits noires. pas un bruit au-dehors, ni même dedans. comme si le temple retenait son souffle, se retenait d’exister. même toi, on ne t’entend plus – c’est comme si tu avais arrêté de respirer pourtant ta poitrine se soulève encore calmement. mais sous ton crâne, remi, c’est un carnage. un flot de pensées crapuleuses qui te mènent vers l’asphyxie. tu ne décroches pas de ta peau aux estampes-merveilles près desquelles siègent les malheurs d’une profane. sur ton avant-bras hurlent les résultats d’une démence que tu voudrais lui taire des années encore. dans ce silence qui s’étend lamentablement, les tensions viennent brusquer tes muscles. électricité statique qu’on ressent discrètement entre vos peaux en collision. c’est une colère sans nom qui monte lentement du plus bas de tes entrailles, « i may not have an oni. » mais c’est dans une intonation beaucoup trop calme que tu manœuvres. « but i have some similar shit. » l’accalmie avant la tempête, ta tempête. « and i can’t even name it because it has no fucking name. » les muscles se tendent de plus en plus et pour la première fois depuis votre confrontation, tu voudrais te défaire de son emprise, de sa présence, de son regard. ‘kinda like sleep paralysis – mais ces mots ne sortent pas, s’échangent contre un rire d’infortune qui revient de trop loin pour n’être qu’un affront. « like a monster against whom i can do nothing. do you believe it? » les mots s’étranglent d’une amertume pressante, et même ta voix prendre des envolées sinistres. « like there’s a beast in this world that i can’t defeat? » the beast in me aside, my dearest exception. toujours entre ces lèvres dédaigneuses, entre deux ricanements des catacombes. les paroles s’enchaînent dans une démence qui prend naissance à la commissure de tes pensées névrosées. détériorées. qui tombent, tombent encore, entre deux trous d’une âme maudite. des paroles qui n’ont aucune sens – qui coulent, coulent encore, et n’ont de valeur que pour toi. comment pourrait-il savoir que sa majesté démoniaque se fait proie de cauchemars qui n’étaient jusqu’à présent que ses œuvres de gloire. « i’m a fucking dragon who can’t even tear some shitty monsters apart. » tu le toises, impassible. ton regard dans les orages et pourtant, c’est le vide qu’on peut apercevoir derrière les nuages.

« what a shame. »
le dégout est démesuré.
balancé comme si tu parlais d’un moins que rien –
pourtant c’est toi que tu accables.
‘fucking family
‘fucking duty
‘fucking curse –


and go fuck yourself. les rancunes se déversement soudainement dans les pensées d’akira. tu reviens vers l’abattoir, reviens te mettre entre les mains du bourreau. tu ne sais pas qui tu cherches vraiment d’entre ton jumeau et son démon – peut-être les deux, simplement. dans le besoin de déranger, de chatouiller les barrières si maigres. parce que tu ne cherches qu’à détruire à défaut de guérir. parce que tu calcines à défaut d’aimer. parce que tu veux avoir mal, tellement mal comme tu ne le ressens plus depuis que même la mort a décidé qu’elle ne voulait pas de toi. avoir mal, plus que seulement dans ces nuits noires quand personne ne te voit – quand les malédictions s’abreuvent de toi. mais c’est à la lumière que tu veux ressentir et t’user et saigner – c’est sous les yeux des autres que tu vous t’ouvrir et vivre. que tu veux retrouver ce sentiment d’exister – pas seulement dans les mauvais grés. pas seulement en régnant sur des cendres qui n’ont de trône que les plaies des misérables. t’as laissé entendre que c’était une bête physique qui te laissait ses marques – mais y a rien de physique à tout ça. à ces lois qui te dépassent.

tu soupires comme tu n’en es plus au dixième près dans votre échange. tu ramènes ton bras sèchement, et rabaisses ta manche promptement. « nevermind. » les tons lunaires, encore. d’orgueilleuse à impassible. soudainement étrangère aux provocations que t’as semé à l’encontre de son démon. « that’s nothing. some bruises. you always see me with scratches, not a big deal. » tu essaies de le convaincre comme tu cherches à le faire envers toi-même depuis des mois. pourtant il y a la force d’une affirmation affolante entre tes lèvres comme s’il n’était question que de quelques contusions sur ton bras. mais ce n’est pas juste ton bras, remi – c’est tout ton putain de corps qui ploie encore et encore sans casser. tu dévisages akira d’un regard voilé – et la nonchalance de tes réponses se heurte aux brasiers dans tes veines. « you interrupted my training for that? » tu es dégoutée, de ses accusations. de ces marques qui balafrent tes tatouages. comme si ce n’était rien. rien d’autre qu’une mauvaise blague. écœurée, d’être humiliée ainsi – dans ces secrets qui te rendent vulnérables. « tsk. » ce sifflement commun de la harpie trop dédaigneuse pour rendre les armes – qui s’apprête à commettre l’irréparable.

« you need to chill or you gonna lose your mind. » l’insolence des mots est tranchante. leur sens renversé, d’autant plus quand personne d’autre que toi ne perd les pédales. « if you came just for that, you can leave. » tu hausses le ton et tes poumons se bloquent un instant – pour mettre plus de force dans le coup de pied que tu lui assènes à la taille pour le faire reculer. « hm? » tu hausses les sourcils comme si tu avais manqué une réponse. tu te rapproches, comme il l’a fait dans les minutes précédentes – pour mieux le bousculer en frappant ses épaules. et tu le fais reculer, à son tour. « get out! » tu grondes, tu le pousses encore. get out get out get out – before it’s too late. mais tu ne le laisses pas respirer et soudainement, ce sont tes jointures serrées qui trouvent sa pommette aussi simplement qu’on repousse un badaud trop insistant. même tes coups les plus sauvages ont ces mouvements grâcieux d’une discipline certaine. « hmpf. » et ça t’arrache une moue peu convaincue – parce qu’il n’est pas venu pour la violence, il te l’as dit.
tu cognes pour rien, ou par désespoir.

but i need to feel.
someone.
something.
anything,
please
.
 


prima luce, mk. (c) icon, prima luce

Pandore Águilar et Sawano Akira ont feelsé sur ce message

Sawano Akira
Sawano Akira
no rest for the wicked ((remi)) ATniWLUOri — she/herIRL : Kwon Minsik (Sik-K) & OriAvatar, Crédits : 1722Messages : 10RPs : 666Gallions :
no rest for the wicked ((remi)) G4wSBVc



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俺は暴力の中に平和を見つけた




☉ SCORPIO ∙ ☾  LEO ∙  ↑  SCORPIO
CHAOTIC NEUTRAL ∙ ISTP-A ∙ 8W7
TW:
Disclaimer :
tom nookMulticomptes : 151195 — 26 yo.Naissance & Âge : ∙ ilPronom(s) du personnage : #CD1B27Couleur de dialogue :
「 FIREWIZARD 」

après 6 ans de médicomagie, et avoir bossé aux urgences, akira décide de changer de cap et rejoint la caserne de fuji.


「 TEMPLE D'IZANAMI 」

combattant des bas-fonds, accro à l'adrénaline. besoin d'évacuer la violence qui consume ses veines. appartient aux abysses et aux vices.
Occupation :
「 HENSOKU ONI & THÉRIANTHROPE 」

anger empowerment
(énergisation par la colère)

« capacité de gagner de la force grâce à la colère. transformation de la colère en une forme d'énergie. le sujet N°127 devient plus fort, plus endurant lorsqu'il est excessivement énervé. »


misfortune spreader
(porteur de malheur)

« le sujet est un porte-malheur vivant, provoquant des accidents, des ennuis ou d'autres malchances autour de lui. d'ampleur variable, les incidents sont souvent mineurs. »


demonic guy
(transformation en oni)

« après analyses sanguines, il est mis en évidence que les métamorphoses intempestives du sujet N°127 sont dues à un cas de thérianthropie. il est intéressant de remarquer que seuls les attributs physiques propres au yokaï oni se manifestent chez le sujet. »

Particularité(s) :
| I'LL RISK IT ALL FOR YOU

(( don't leave me ))
SEIYA // best friend
PANDORE // best friend
REMI // evil twin

| I DON'T WANNA HURT YOU

(( hold with caution ))
HIMARI // favorite victim
ANDREA // homie, roommate
EVIE // homie
OSAMU // homie
ROSE // homie
MARLON // homie

| THRILL ME, CHILL ME, FULFILL ME

(( love, lust, passion ))
SOMI // reckless love (ex)

| NOT MY PROBLEM

(( aren't we all sinners ? ))
SAWAKO // former-victim
BERLIOZ // research partner, rival
MARIE-CLÉMENCE // à venir

| DAMN RIGHT YOU SHOULD BE SCARED OF ME

(( you can call me monster ))
ATLAS // cursed children
CHARON // vipère au poing, traqueur
KELL // wanna punch your faceRelations :
|RPs

14.10.21 PREPARE FOR TROUBLE Rose
28.01.22 NEW PLAN : FUCK IT Kenzo
xx.02.22 TITRE Nanashi
19.02.22 TITRE Pandore
xx.xx.22 TITRE Remi
xx.xx.22 TITRE Andrea


|SMS

PANDOREHIMARILE KRASSEIYAEVIEATLASROSEANDREANANASHIYOU ?
Plume à Papote :
— sorcier ❝ Hellboy - i'm still ANGRY
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après 6 ans de médicomagie, et avoir bossé aux urgences, akira décide de changer de cap et rejoint la caserne de fuji.


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(énergisation par la colère)

« capacité de gagner de la force grâce à la colère. transformation de la colère en une forme d'énergie. le sujet N°127 devient plus fort, plus endurant lorsqu'il est excessivement énervé. »


misfortune spreader
(porteur de malheur)

« le sujet est un porte-malheur vivant, provoquant des accidents, des ennuis ou d'autres malchances autour de lui. d'ampleur variable, les incidents sont souvent mineurs. »


demonic guy
(transformation en oni)

« après analyses sanguines, il est mis en évidence que les métamorphoses intempestives du sujet N°127 sont dues à un cas de thérianthropie. il est intéressant de remarquer que seuls les attributs physiques propres au yokaï oni se manifestent chez le sujet. »



Relations :
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 @Ryuzashi Remi  
🐲. No rest for the wicked


outfit + pieds nus

— 25 Février 2022 —


no rest for the wicked ((remi)) DhOWHTX



Le tissu se froisse dans ses mains, aussitôt qu’il l’attire contre lui, d’une violence impérieuse, qui condamne et exige. absolutely. Possède ses élans et la brusque, comme il voudrait la secouer pour la ramener à la lucidité. do it. Mais tout au contraire, Remi se plaît aux jeux mauvais, et se laisse malmener comme une poupée maudite – alors elle chavire et profite de la proximité pour se fondre dans la provocation, renverse les rôles en serpent des tentations. Et Akira la connaît trop bien, dans ses gestes indécents, trop pressants, quand elle dépose ses lèvres électriques sur sa peau brûlante. Étreinte insidieuse de laquelle il ne se défait pas vraiment, malgré ses mains sur chaque épaule de la dragonne. S’il voulait l’éloigner, il le ferait. Mais quelque chose en lui refuse de la repousser – répond à l’appelle des dents qui viennent se planter dans son cou et jusque sous sa chaire, là où se terre l’oni. La morsure a l’effet d’un coup de fouet – juste assez pour qu’il se reprenne, et aussitôt sa voix monte de colère, le ton gronde d’un nouvel écho. think i’m stupid ?! Cette fois la poigne est définitive quand il l’éloigne pour rompre une proximité qui éveille d’autres passions ; celles du démon. Les cornes érigées sur son front comme une offense. Mais Remi a ce sale pouvoir de lui offrir la rage et la colère que demande le monstre dans son cœur, et le hensoku, s’il résiste aux chaînes imposées par Akira, ne refuse jamais les appels outrageux de la yakuza.

Le sourire trop fier de découvrir l’œuvre de ses méfaits, quand elle pose sur les cornes ce regard brillant d’arrogance. well well well Et sa voix s’en mêle, comme une résonnance lointaine qui se fraye un chemin dans sa cervelle. La colère se fait chaleur, éveil depuis ses profondeurs. Et Akira s’accroche à sa conscience, se fond dans le démon, en reconnaît les désirs et les envies, mes surtout la rage d’une trahison. Car ce qu’il ressent, l’oni le vit aussi. my little boy et d’ordinaire, ces appels le soignent, le tempèrent, modulent sa colère. Mais ils sont l’un et l’autre, aujourd’hui, acharnés sur cette moitié maudite qui leur résiste, qui ne cède pas à ses secrets. De quoi déchaîner d’autres folies, pour la faire plier. Pourtant, les yeux noircis par la malédiction de ses gênes, Akira n’abandonne par sa seule raison d’être là. Continue de fulminer des mots qu’il espère, finiront par la blesser, par la toucher. A défaut d’y mettre ses poings, il veut au moins la faire parler. Et finalement, à force de torrent et d’acharnement, de défiance et d’audace dans un verbe acéré, il finit par y arriver, désigner ce point faible mal cicatrisé. Ces tourments qui continuent de la hanter et qu’il lui renvoie à la figure, entre autres vérités mal digérées. i was exiled, remember? La langue claque et finalement elle se dévoile, dragon des mers et son sifflement amer. alone. Et le sang d’Akira ne fait qu’un tour, tandis qu’il la surplombe encore, de cette taille qui semble plus imposante lorsque le démon se glisse dans son ombre. are you fucking exiled, right now ?, il rétorque d’un ton tout aussi emporté que le sien est cinglant. Mais c’est trop tard et la reine des Enfers est blessée dans son ego, lutte pour n’affiche que de la fierté et prendre de la hauteur sur ses malheurs. Elle poursuit en ignorant ses interjections. … all my fucking life i had to stand for myself, alone. Chaque mot qu’elle ajoute aux précédents lui donnent envie de lui faire fermer sa bouche pleine de venin, trop empêtrée dans ses plaies pour voir qu’il essaie de la panser. shut. the fuck. up. Découpe ses syllabes dans l’impatience de sa voix. you’re so full of yourself you can’t fucking see i’m standing next to you. Standing for you, il voudrait dire, mais les mots brûlent au fond du feu de sa gorge, tapie de lave.

Avant qu’une nouvelle déferlante ne prenne le dessus, les gestes entrent en conflit, se retiennent et se repoussent mutuellement, jusqu’à ce que le démon saisisse fermement le poignet de celle qui semble lui échapper – et la retient, avec lui, malgré elle. L’outrage appelle au silence, quand il retrousse brusquement la manche d’un kimono trop ample, étoffe qui étouffe les preuves dissimulées. Impétueux, il expose les plaies, les traces indélébiles à travers des tatouages que ses mains connaissent trop bien. Maudites marques qui lui grignotent le derme, et Akira ne peut quitter des yeux ce qu’il voudrait pouvoir déchiffrer ; savoir d’où elles viennent ces traces voraces, les comprendre pour mieux les soigner, en découvrir l’origine pour pouvoir la venger. Si seulement il savait. Dans le temple la vie s’est tue en même temps que la vérité est apparue. Et Remi non plus, ne dit plus rien. Prête au silence sa voix qui ne le défie plus, lui laisse tout le loisir de contempler son visage à la fois enragé et écœuré. Et pour la première fois depuis qu’il la touche, quelque chose a changé. Sous sa peau remue d’autres secrets. Des millions de petits cris qui fourmilles sous la pulpe de ses doigts, au contact de Remi. Ce ne sont pas ses orages ordinaires, ce sont des menaces qui le repoussent, qu’il ressent en lui plus que sous sa main. Quelque chose d’insaisissable et d’invisible qui lui flanque des frissons. wha- Mais aussitôt la sensation est annihilée par celle qu’il connaît – une électricités qui ne signifie rien de bon. i may not have an oni. but i have some similar shit. Il ne se laisse pas tromper par ce ton trop calme, Akira. Il connaît par cœur la moindre de ses syllabes, la moindre de ses intonations, et pourrait deviner ses gestes au battement de ses cils. Ces mots sonnent de mauvais augures, pourtant il sont une fissure qu’il ne laissera pas se refermer. La première ombre d’un tableau qu’il ne pourrait même pas deviner. Plus que de voir, il a besoin de ces explications. Il a besoin qu’elle s’ouvre. Et s’il doit la fracturer pour y arriver, alors il y perdra la main. and i can’t even name it because it has no fucking name. Sourcille sous l’incompréhension. Remi n’est pas de celles qui se perdent en paroles ; ses mots sont précieux, pesés. Mais ceux-là, il ne les comprend pas. what’s inside her that she can’t name and tear her apart. Naturellement, son regard revient se perdre sur les ruines de violence, y cherche un sens, une griffe, une identité. C’est saccagé à la volée, illisible et morbide. D’un instinct à la fois médical et guerrier, il ne peut s’empêcher de passer le pouce qui retient son poignet prisonnier sur une des crevasses saignées. Comme pour vérifier l’état de la peau, l’avancée des maux. like a monster against whom i can do nothing. do you believe it? Tant qu’elle parle, il la laisse venir à lui, recueille dans son silence la moindre note qui serait celle de trop, fatidique. Mais sous ses intonations, il est presque capable d’entendre un désespoir, une fatalité contre laquelle elle ne cherche plus à lutter. Fate. Mais aussitôt qu’il croit l’entendre, le ton change et redevient funeste. like there’s a beast in this world that i can’t defeat? Elle est de nouveau là, cette détresse lugubre, qu’il n’arrive pas à nommer. Perdu dans des explications qui n’en sont pas assez, toujours voilées par cette démence qui rend tout flou, ces mots fous. Et si Remi s’abandonne à ces humeurs passagères, d’ailleurs et des Enfers, Akira reste ancré, solide et immobile face à elle. Qui ne défaille, qui ne vacille, quand elle se laisse emportée dans les limbes de ses pensées. what a shame. Les mots l’ont apaisés, resté suspendu à ses lèvres et ses secrets à peine dévoilés, ont chassé la colère pour un court instant. Le démon toujours au bord du précipice, qui scrute désormais Remi, retrouve son regard avec ce même faux-calme qui laisse planer la menace. what can. who can. Si tout lui semble sans dessus-dessous, c’est au moins ça qu’il a retenu. Prise d’un mal, qui trouve sa source – en elle. A la façon de l’oni. Et contre lequel elle ne peut rien. Alors qui, alors quoi.

and go fuck yourself. La mâchoire se crispe et se cogne sous le poids d’un soupire qui rejette l’intrusion d’une pensée indésirée. La voilà qui rejette à nouveau la moindre interjection. Akira voudrait rétorquer, le démon voudrait l’étrangler, chacun voudrait à sa manière la voir céder. Est-ce une nouvelle tentative de déclarer la guerre et les colères, est-ce l’appelle à refermer les portes après avoir laissé passer dans la brèche un peu de lumière. you’re giving me headache, il grogne tout simplement, économisant ses questions et sa patience, déjà bien entamée. Tente de rassembler ses efforts, au même moment où elle s’arrache à sa prise, après y avoir trop longuement cédé sans doute. A son tour, elle pousse un soupir, qui semble balayé tous les aveux à peine formulés. nevermind. Soudain le vent change et la tempête part à l’opposé, et Akira comprend qu’ils empruntent une nouvelle direction, détournée de la vérité. that’s nothing. some bruises. you always see me with scratches, not a big deal.these are differents. you kept them from me. La voix est modérée, quoiqu’il reste des braises dans le ton de l’accusation. C’est la preuve irréfutable qu’elles ne sont pas de simples éraflures. Elle les a gardées de sa vue, cachées et tues. Son regard planté dans celui de sa moitié démoniaque, sûr de lui et de ses mots, réclame la vérité. Toute la vérité. you interrupted my training for that? tsk. Envoie valser, dans son arrogance et avec ignorance, le procès qu’il s’évertue à lui faire. Remi tente de retourner la situation, de dédramatiser comme s’il ne s’agissait que d’un sujet banal, d’une affaire inintéressante, sur laquelle il est inutile de s’arrêter. Mais Akira en a décidé autrement, et demeure inflexible, droit et imposant.

you need to chill or you gonna lose your mind. Aucune réaction. La lave s’est un peu refroidie et retrouve la solidité d’un roc, fait face avec aplomb aux élans qu’elle assène, dans l’espoir vain de le voir partir – abandonner. i’m not the one losing my mind. Rien n’est jamais plus clair et plus lucide que pour Akira, même à travers ses colères. Ne perd pied que sous l’impulsion, mais sa raison reste immuable, ses objectifs toujours en vue, et la vérité solide. Il s’emporte et se consume dans la fureur, mais toujours à raison. Dans une même direction. Et c’est en ça qu’ils se complètent, lorsque l’un tempête et que l’autre reste ancré. if you came just for that, you can leave. Alors naturellement, il ne bouge pas. Se tient droit et impassible devant elle, toute de nerf et de colère, qui se laisse lentement dévorée par ses enfers. Le visage de Akira est fermé, résolu. Froissé dans ses tensions, lui aussi, mais décidé. mh ? Et comme elle ne supporte pas cette résistance qu’il lui oppose, Remi se met à frapper. Coup de pied qui le fait recule, mais ne s’en émeut pas. Lucarne toujours aussi dure, qui ne la quitte pas une seconde. i’m not done, yet. Alors elle revient à la charge, furieuse qu’il refuse de dégager du plancher ; frappe, pousse ses épaules, frappe encore pour mieux le faire reculer à défaut qu’il cogne en retour. get out ! Et plus Remi s’évertue, plus Akira se convainc. Pousse, fulmine, insiste, chaque geste est plus énergique que le précédent, et Akira fini par planter son pied en arrière, pour ne plus reculer et encaisser les coups sans sourciller. Toujours le visage fermé et assombri. Dans ses épaules, dans son torse – jusqu’à ce que ce soit sa pommette qui accuse les jointures fermées de Remi. Il aurait pu le parier, alors c’est à peine si son visage dévie lorsque le poing rencontre sa peau, et le coup n’en est que plus brutal, écho dans son crâne. Les yeux se rouvrent après l’impact, et putain qu’est-ce qu’il a envie de la fumer à ce moment précis. Cornes sorties, yeux noirs de seum, son corps chargé à bloc de l’adrénaline que lui envoie son hensoku – mais Akira n’en fait rien. Il la laisse s’épandre en colère et en rage, accueille sa fureur et son désespoir, s’offre en punching-ball sous sa frappe amère. hmpf. Pas certain que ce soit seulement la rogne qui la possède, peut-être que les nerfs s’en mêlent et la font vriller aussi. Mais Akira a tellement mangé de coups – de tout petit, il a appris à se les enquiller – que ceux nés de la frustration de Remi ne lui font pas aussi mal que ceux de leurs luttes acharnées. you done? Dents serrées et souffle maîtrisé pour ne pas péter un câble. Non, il n’y répondra pas, malgré l’envie qui lui palpite dans les doigts. Sa peau se teinte là où le coup est tombé – d’un rouge qui trouve sa place sur sa peau dorée et près d’un œil encore trop noir pour être libéré de l’oni.

Ce n’est pas la seule chose qui se pare de rouge. Lentement, le carmin flamboyant s’empare de sa peau, du bout de ses doigts jusqu’au creux de ses bras, une démarcation du démon qui surgit à demi. Les mains colorées, ornées de griffes laides qui lui poussent à la place des ongles, carne usées et rugueuse qui remplace son teint halé. Mais la violence ne s’empare pas de ses gestes ; Akira maître et hôte de lui-même emprunte à l’oni seulement son apparence sur ses bras. Quand il est à peu près sûr que Remi a terminé sa démonstration de force et fini d’épancher son besoin de violence, il s’en rapproche à nouveau, sans craindre ses assauts. Et cette fois sans rien lui demander, de ses mains démoniaques, lui défait son kimono d’aucune délicatesse et l’envoie se froisser à l’autre bout de la pièce. L’attitude est pragmatique, et il ne s’attarde sur aucune forme de résistance qu’il ignore par sa force ; en fait sa poupée au visage renfrogné. shut up…, semé au passage, pour prévenir les protestations. D’un air docte il porte ses mains au cou de Remi, sur lequel il les appose comme on dispenserait un soin. Les paumes sont chaudes sur un cou parcourut de nerfs. Il sent sont pouls enfiévré par les efforts et la colère, il sent un fond d’électricité amère, il sent – autre chose.

Peu à peu dans son attitude, le guerrier laisse la place au soigneur, celui qui s’est imposé il y a de cela plusieurs années. Celui qui connaît les corps et les maux, mais plus particulièrement les tiens, Remi. Alors ses mains glissent de ton cou à tes épaules, y marquent une pause comme s’il prenait le temps de vérifier ce qu’il en sent. Mais le contact est nouveau. Offre des sensations étranges auxquelles il ne s’est jamais confronté. Et cet instant et dérangeant, car c’est la vérité qui s’échappe de tous tes pores, sans pouvoir rien y changer. Les paumes rouges et brûlantes continuent leur chemin jusqu’à tes bras, heurtés et abimés, sans plus aucun manche pour s’y dérober. Un simple débardeur blanc, à la longueur trop courte, qui dévoile également ton ventre où les tatouages se mêlent à l’horreur des plaies mal soignées – ou trop souvent ouvertes. La prise et forte, dominante ; pas d’échappée possible, tandis que Akira te tient entre ses mains, chacune inspectant tes bras. Continuent de toucher, malgré les oppositions, qu’aucun geste ne peut retenir. Le regard voudrait scanner au-delà du derme, sourcils froncés comme pour essayer de voir à travers, de comprendre. can this happen ‘cause of the conflict of your sea dragon and godaï? Pas vraiment une question, davantage une suggestion qu’il se fait à lui-même au cours de son inspection. Sous sa paume palpite quelque chose d’indescriptible, de moche, de laid, de pourri, qui grouille. La magie du hensoku réagit à ce toucher, comme un aimant fait du même métal. no. Ce n’est pas le conflit entre son ayakashi et la foudre. Pas de traces d’orage qui lézarde. Akira s’approche de plus en plus de la vérité, et s’il est incapable de le sentir aux battements de ton cœur, Remi, il le sait dans le silence qui s’impose. Alors il se baisse, s’agenouille pour poursuivre son exploration de ton corps mis à mal, de sorte que son visage puisse observer de plus près les marques abandonnées sur ton ventre. A nouveau ses mains viennent découvrir le message que tracent les blessures, sans ménagement lorsqu’elles passent sur ton estomac et osent repousser le débardeur qui te couvre encore, jusque sous ta poitrine, pour ne franchir aucune limite. D’un geste qu’il a déjà su faire, mais n’est pas nécessaire. Les cicatrices ne ressemblent pas à celles qu’il connaît déjà. N’en ont pas la forme, pas l’aspect, se sont refermées sans être véritablement soignées. you never had those before. Et plus que ces incohérences, alors qu’il te connaît par cœur, Remi, sait comment tu brûles, comment tu te consumes, comment tu saignes, pour t’avoir mille fois soigné… en plus de ces incohérences, Akira trouve dans ta peau malmenée des vestiges d’un rêve auquel il a assisté. Ce sont ces traces voraces de griffures, qui déchirent et qui grattent. Qui défont, qui déchiquètent, qui dépouillent. D’instinct, il passe ses doigts dessus, les griffes du démon en retracent le contour. Sans comprendre, sans admettre ce que ça puisse être, véritablement.

i’ve taken care of you for years. Il se relève d’une force tranquille, mais au fond de lui il bouillonne. why you kept those from me, if there’s nothing to hide. A nouveau lui fait face, d’un regard qu’il soutien avec hostilité. Ses mains tombent dans le vide, pleines de ces sensations étranges récoltées sur le corps de Remi, qui fourmillent encore sous la pulpe de ses doigts. Et il la contemple avec rancœur, parce que malgré tout, c’est ce qui lui reste en travers de la gorge. Dégoûté. Mais pas par ces balafres qui déglingue son corps. Dégoûté par les mensonges qu’on lui sert, comme s’il n'était pas assez bon pour mériter la vérité. Comme Jiji lui a caché son identité. Comme Pandore lui a mentit sur son absence. Pourquoi ce sont toujours ses plus proches alliés qui décident de lui cracher à la gueule. Les yeux sont mauvais, sombres et heurtés, aussi. i’d fucking trust you with my life. Et le verbe est tranchant comme une lame, celle qu’il a la sensation qu’on lui plante à chaque trahison. Car c’en est une. C’en est une et ça le bute d’être pris pour un con. are you too good for me to trust me with yours ? Un orgueil froissé, une accusation de plus dans la voix. i see you, remi. i see you’ve changed. i told you, you can’t hide from me. so stop lying to my face. you won’t get away like this. Parce qu’elle ne se débarrassera pas de lui aussi facilement. Pas lorsqu’ils partagent plus qu’une colère, mais tous les deux se retrouvent dans leurs enfers et la destruction. tell me. S’offrent cette échappatoire qu’ils ne trouvent nulle part ailleurs, et ne peuvent se confier qu’entre eux. Qu’il fait parti de ses secrets et elle des siens. Akira s’accroche, comme la pire des crasses. what is it. Parce qu’au fond il a besoin d’elle, et refuse de la laisse partir. Mais ne le dira jamais. Jamais, jamais, jamais.


❝ résumé,, akira régole zéro . il inspecte remi . il commence à atteindre ses limites . il est blessé qu'elle lui fasse pas assez confiance .


(c) prima luce, mk.

Pandore Águilar et Ryuzashi Remi ont feelsé sur ce message

Ryuzashi Remi
Ryuzashi Remi
no rest for the wicked ((remi)) ENM4ltEE_oélodie — she/herIRL : ahn lina (c/ cendres ♡).Avatar, Crédits : 314Messages : 1RPs : 4 157Gallions :




shall my young sins, my sins alone,
be everlasting here?






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心なんかもってたら、生きていけない



☉ ARIES ∙ ☾ CAPRICORN ∙ ↑ ARIES
CHAOTIC NEUTRAL ∙ ESTP-A ∙ 8W7

tw:

pronom rp:

activité:
Disclaimer :
anla, l'ombre des autres. & suk, le cafard.Multicomptes : ∙ vingt-quatre ans (18.04.1998)Naissance & Âge : ∙ elle.Pronom(s) du personnage : #A16153Couleur de dialogue :

「 ÉTUDIANTE 」

6ème année en formation de magie pure pour devenir auror (redoublement). choix de parcours insensé pour beaucoup, résulte d'une volonté de renverser ciel et terre. elle souhaite renouer avec les traditions ancestrales de son clan, quand aurors et yakuzas se mêlaient et formaient une caste unique, et particulière.


「 YAKUZA 」

septième enfant de l'oyabun du clan ryuzashi, l'un des plus vieux clans japonais. présent dans les hautes sphères publiques et les domaines illégaux, mais réputés auprès des marchés noirs comme pilier dans le trafic d'artefacts et de créatures magiques. relation d'amour-haine avec les siens. clan très traditionnel, elle veut faire la passerelle vers plus de pratiques modernes.


「 PRÊTRESSE 」

tenancière d'un fightclub clandestin, le temple d'izanami. camouflé dans les basfonds de nagao, il s'illustre par son univers fantasque - entre combats immoraux et grands spectacles martiaux.
Occupation :

「 GODAÏ FOUDRE 」
(dep. 2004)

poursuit un apprentissage rigoureux auprès de précepteurs depuis ses six ans.

branche défense & attaque,, acquise entièrement.
seuil 01, défense
seuil 02, attaque
seuil 03, champ électrique
seuil 04, perception

branche communication,,
seuil 01, système nerveux (acquis)
seuil 02, transmission (acquis)
seuil 03, télépathie (en apprentissage)

(4 PTS EN RESERVE)


「 AYAKASHI 」
(dep. 2017)

maledictus soignée, maintenue secrète tant bien que mal. utilisée comme arme de représailles par son clan. sa foudre et son dragon d'eau sont en perpétuel conflit, forces duales l'ayant déjà amené à une expérience de mort imminente (auto-électrocution).

Particularité(s) :

「 FAMILLE 」
pré-liens
jun,, hateful brother (yet so similar).

「 YAKUZA 」
joji,, prophecy buddy. the necessary rivalry and obsessive ambiguity.
minato,, prophecy buddy. love him dead. (dumbass close friend who disappeared with a lot of unspoken behind)
isai,, uc (hateful rivalry)
nami,, uc (rollercoaster)

「 LE TEMPLE 」
pré-liens
akira,, her demonic half.
charon,, strong contrasts.
kian,, little puppet.

「 LE MONDE 」
mazra,, attraction that takes up more and more space
serena,, strange ally between her hands.
hongyi,, uc (enemy)
Relations :

「 RPS 」

(03.02.22) joji, minato
(19.02.22) jun
(25.02.22) akira
(03.04.22) minato
(01.05.22) event, golden week
(05.05.22) os, golden week

par le passé.:


sms & appels.
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— ÉLÈVE ❝ gonna raise hell anyway
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IRL : élodie — she/her
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Naissance & Âge : ∙ vingt-quatre ans (18.04.1998)
Pronom(s) du personnage : ∙ elle.
Couleur de dialogue : #A16153
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「 ÉTUDIANTE 」

6ème année en formation de magie pure pour devenir auror (redoublement). choix de parcours insensé pour beaucoup, résulte d'une volonté de renverser ciel et terre. elle souhaite renouer avec les traditions ancestrales de son clan, quand aurors et yakuzas se mêlaient et formaient une caste unique, et particulière.


「 YAKUZA 」

septième enfant de l'oyabun du clan ryuzashi, l'un des plus vieux clans japonais. présent dans les hautes sphères publiques et les domaines illégaux, mais réputés auprès des marchés noirs comme pilier dans le trafic d'artefacts et de créatures magiques. relation d'amour-haine avec les siens. clan très traditionnel, elle veut faire la passerelle vers plus de pratiques modernes.


「 PRÊTRESSE 」

tenancière d'un fightclub clandestin, le temple d'izanami. camouflé dans les basfonds de nagao, il s'illustre par son univers fantasque - entre combats immoraux et grands spectacles martiaux.

Particularité(s) :

「 GODAÏ FOUDRE 」
(dep. 2004)

poursuit un apprentissage rigoureux auprès de précepteurs depuis ses six ans.

branche défense & attaque,, acquise entièrement.
seuil 01, défense
seuil 02, attaque
seuil 03, champ électrique
seuil 04, perception

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seuil 03, télépathie (en apprentissage)

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「 AYAKASHI 」
(dep. 2017)

maledictus soignée, maintenue secrète tant bien que mal. utilisée comme arme de représailles par son clan. sa foudre et son dragon d'eau sont en perpétuel conflit, forces duales l'ayant déjà amené à une expérience de mort imminente (auto-électrocution).



Relations :
「 FAMILLE 」
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minato,, prophecy buddy. love him dead. (dumbass close friend who disappeared with a lot of unspoken behind)
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「 LE TEMPLE 」
pré-liens
akira,, her demonic half.
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「 LE MONDE 」
mazra,, attraction that takes up more and more space
serena,, strange ally between her hands.
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Plume à Papote :
「 RPS 」

(03.02.22) joji, minato
(19.02.22) jun
(25.02.22) akira
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sms & appels.
akira.

no rest for the wicked
25 février 2022 w/ @sawano akira - outfit.


vos regards dansent de plaies à d’autres et cueillent presque trop facilement, les profondes douleurs que même le temps estompent difficilement. des maux sans terres saines dans les lambeaux des enfants passés et par tous les saints, qu’aucun n’a su préserver. mais tu refuses de courber l’orgueil dans ses attaques malhonnêtes – à vouloir croire qu’il est le plus crapuleux de vous deux quand tout ce que tu retiens, ce sont les mots misères qui trouvent la remi solitaire sans d’autres chemins que le plus direct. « shut. the fuck. up. »  tu ne veux admettre aucune défaite pour ce que tu prends comme des offenses volontaires, dans le nécessaire besoin d’y répondre de tes mots encombrants. de tes outrages pesants, qui renversent une blessure pour s’attaquer à celles de l’autre. « you’re so full of yourself you can’t fucking see i’m standing next to you. » à l’instant proie autant l’un que l’autre et pourtant, pourtant tout démange. la tocade déplorable de lui arracher toute retenue pour mieux vous défaire dans les violences. les gestes maniaques de se montrer inatteignable dans les paroles implacables, que tu penses, mais qui révèlent les fondements de tes problèmes de confiance. l’urgence de reprendre l’ascendant dans cette danse morbide qui ne présage aucune fin acceptable. parce que tu refuses de perdre le contrôle de la situation – ironiquement tout le problème de cette confrontation.

mais les malheurs ne dorment jamais seuls et quand le rapport se tourne à nouveau en ta défaveur, tu n’as d’autres choix que de t’en remettre aux aveux amers. des explications que tu balances sans pudeur qui pourtant résonnent comme une circulation à contre-sens. tu penses prendre l’avantage dans les détails que tu choisis de taire au contraire des demi-secrets que tu dévoiles. tu penses préserver ta souveraineté dans la peau que tu préserves vainement de son regard, une dernière fois. mais la vérité est toute autre. tu ne te rends même pas compte, remi, de ces paroles décousues que tu lui abandonnes en miroir de tes pensées émiettées. tu ne réalises pas l’ampleur des dommages que ces marques laissent dans les silences, de ces traces invisibles qui se creusent également dans ton cerveau. manche rabattue pour mieux dissimuler les conséquences des immondices quand tout ce que tu contiens, manque de se dégueuler dans la gravité des faits avérés.

tu laisses des miettes peut-être dans l’espoir informulable qu’il remonte n’importe quelle piste. qu’il suive n’importe quoi – surtout les secrets dans ta voix. tu ne pourrais jamais l’admettre, d’à quel point tu as besoin de son aide. d’à quel point, il pourrait te rapprocher d’une solution mieux que tu ne le feras certainement jamais seule. tu ne comptes que sur toi-même quand tous les signaux s’alarment du contraire. « what can. who can. » c’est à peine si tu l’entends vraiment, quelque part dans les caveaux des colères souveraines. des douleurs acerbes qui se taisent pour mieux répandre leur haine. ce sont des hurlements d’une âme en peine qui assiègent le cortège des cicatrices funèbres et pourtant, tu ne parviens pas vraiment au retranchement. tu ne peux répondre à ses questions les plus simples, sans mettre un pied près du tombeau que tu retiens. alors tu contournes le problème d’une nonchalance à peine démesurée – mais qui te sied comme à l’accoutumée. voiles gouvernées par les tempêtes que tu maîtrises mieux que tes peines. t’as cette fâcheuse faculté de rester guerrière même quand rien ne s’y prête – à croire que toute ton œuvre, toute ta vie, est une bataille qui ne marque aucune pause. « these are differents. you kept them from me. » les vérités demeurent en suspend entre ses peines exaspérées et les feulements que tu recraches mieux que les abandons. rien d’autre n’a de chute que les coups que tu soulèves, et certainement pas ta personne-même. mais il te faut admettre que l’impassibilité du sorcier ronge tes nerfs aussi solidement que tes propres démons. c’est plus qu’une rage que tu lui assènes dans le poitrail, plus que les grondements des orages. il y a toute cette frustration que tu accumules depuis plus longtemps que cette conversation, tous ces troubles exacerbés par sa venue et ses questions indiscrètes. il y a tous ces mois à s’acharner contre des destins conflictuels, toutes ces heures de sommeil envolées dans la crainte de perdre pieds. et ce sont tous ces morceaux d’une boucherie à peine discernable que tu lui recraches à la gueule en te retenant avec peine. les patiences s’effilochent à mesure que tu regrettes la plus insignifiante des bastons – tout pour ne pas se retrouver coincée dans cette confrontation. « you done? » les coups tombent dans le néant d’une consternation impassible et tu ne pourrais déterminer ce qui te rend encore plus dingue, d’entre son silence et ton absence de mesure. tu dévisages les teintes cramoisies qui apparaissent sur l’épiderme mâché, et plus loin encore. tu observes le démon prendre possession de son corps mais le tout, sans plus d’agitation que les nuages d’agacement dans son regard devenu charbonneux. « no. » mais tu ne fais rien de plus que de te masser machinalement les doigts de ta main. quelque chose bascule dans le battement d’un souffle. tu ne ressens aucune douleur dans tes articulations, la faute à cette insensibilité que tu possèdes – mais tu n’aurais peut-être rien ressenti même sans ce malheur de plus, tellement ce qui t’accable va au-delà des marques bleutées qui ne tarderont pas à se manifester.

tu observes avec méfiance les marques de l’oni s’éprendre d’encore plus de centimètres de peau. pourtant tu sais qu’il ne t’accordera aucune violence, tu acceptes désormais cette sentence. ce sont des réflexes mécaniques, presque nerveux, que de mesurer l’ampleur de sa présence. que d’évaluer les risques que tu prends, en éveillant son monstre. tu maintiens ta position sans trop savoir quelle direction prendre, le regard vissé sur ses bras qui se colorent plus encore que les griffes apparaissent. ton souffle retombe quelque peu dans cet intervalle douteux mais la frustration demeure d’autant plus grande que tu n’as, jusqu’à présent, ressenti aucun soulagement. « don’t. » tu menaces dans un crépitement d’étincelles qui rebondissent mollement sur l’épiderme écarlate. il ne s’offense d’aucune retenue quand ses gestes deviennent brutalement ordinaires. tu te débats entre ses mains mais tes colères ont soulevé les siennes et par la même occasion, décuplé ses forces démoniaques. c’est un combat sans aucune gloire, aussi fade que l’épuisement qui se ressent finalement dans tes muscles assiégés de cette même fureur insipide. « stop. » le grondement demeure dans un claquement sec sur le palais, comme le craquèlement sourd des murs de la pièce. mais akira n’a plus aucune patience et compte bien obtenir ses réponses. et l’orage a beau gronder dans tes gestes las et dans l’ombre de tes prunelles noires, les forces sont renversées et surtout, inégales. « godammit akira, stop! » une décharge s’échappe de tes paumes contre ses bras nus, et pourtant semble à peine le faire sourciller. entre les bras de l’oni, il a l’avantage de pouvoir encaisser la moindre de tes attaques d’autant plus affaiblies dans tes énergies brûlantes qui retombent. ce que tu ressens désormais comme une injustice pourrait presque te donner la nausée, accablée d’une impuissance que tu détestes tant. « shut up… » il ne tient rigueur d’aucune de tes protestations vulgaires, pas même les plus téméraires dans tes éclairs. il défait ton kimono de gestes méthodiques dont tu voudrais t’éloigner prestement, toi qui pourtant recherchais cette présence ambiguë – et quand le vêtement retombe en boule dans un coin de la pièce, c’est un grondement du temple qui proteste contre l’affront vaurien. la demeure comme la propriétaire ont compris que les vents contraires ne leur appartiennent plus aussi bien. tes doigts se pressent naturellement contre les mains du kasai qui enserrent ton cou, pourtant dépourvues de toute violence. tu cherches à te soustraire une dernière fois de cette emprise mais le démon ne te laisse aucune chance. aucun autre échappatoire que de rester calme – d’un calme que tu as perdu depuis de longues minutes maintenant. tu ressens la chaleur de ses paumes qui se mêle à celle dans laquelle tu t’immoles depuis le début de votre échange. tes paupières se plissent dans les décombres d’une colère toujours plus monstre – tes muscles se consternent dans leur pierre. toujours cette électricité ambiante dont il s’accommode désormais trop facilement. « fuck you. » il y a toujours cette option d’un choc foudroyant que tu envisages un temps, sans pour autant te résoudre à cette solution. quelque chose te retient et tu ne saurais déterminer quoi, d’entre le regard d’akira, les bras de son hensoku et la profonde lassitude qui creuse ses sillons parmi tes fureurs immondes. t’es désemparée et ça t’en cloue les lèvres, pincées de cette consternation qui serpente ton visage d’une grimace qui ne te convient pas.

ses gestes marquent le changement de position et d’adversaire, il (re)devient guérisseur. tu retrouves ses gestes familiers d’une émotion qui te renverse un instant, familiarité perdue depuis trop longtemps qui te bouscule au plus profond de tes sentiments. tu n’en montres rien d’autre qu’une étonnante immobilité – les mains d’akira qui inspectent les parcelles endommagées de ton épiderme ont cette présence rassurante qui te heurte comme un manque. tous ces mois à dissimuler ces cicatrices sont d’autant plus de mois à refouler ses tentatives de soins, qui pourtant ont bercé nombre de tes soirées depuis des années. dans ces émotions en pagaille qui assiègent tes pensées se démarque celle que tu avais presque oublié, du réconfort que tu as toujours trouvé entre les paumes chaudes et précises de ton jumeau maléfique. tu le regardes faire les sourcils froncés, les lèvres serrées, les muscles contractés. tout démontre la contrariété que tu ressens et pourtant, c’est plus encore. d’une impuissance qui te révulse assez pour que, quand ses mains en viennent à tes bras, tu recules soudainement. recherches à t’échapper encore une fois, de son emprise. encore une fois, sans succès. akira te ramène brusquement vers lui, silencieusement, dans la floppée vulgaire sans aucune forme qui s’échappe de travers entre tes lèvres, brouillées par l’impulsion du geste. tes mots se ravalent dans le corps attiré abruptement et tu te retiens presque de lui cracher au visage. « can this happen ‘cause of the conflict of your sea dragon and godaï? » tu ressens autant que lui ce qui se presse sous ses doigts – à la différence près que tu sais la nature de ces veines immondes. ce qui se dépeint contre ses paumes de soigneur, traversent tout autant librement ton corps. vous êtes intimement liés par ces sensations pourries le temps de ces caresses qui n’ont rien d’une douceur. « no – no. » tu soupires d’une lassitude frustrée dans cette réponse synchronisée. ces deux éléments sont déjà entrés en collision et il le sait. foudroiement qui n’a jamais mieux abattu quiconque que ta personne. et c’est ce qui soulève un des problèmes de ce cas général : l’impassibilité de ton dragon contre ces griffes invisibles. l’impuissance de ton godai contre les malédictions informes. tu vois bien qu’il comprend doucement que tu représentes ce qu’on peut communément nommer, un mystère médical. t’as les battements de ton cœur qui s’arrachent un instant quand il s’agenouille devant toi – tu marques même un recul dans tes pas. plus surprise par la poursuite de son exploration que par l’action en elle-même, ce genre de proximité te rappelle d’autres souvenirs que tu refoules pour mieux te concentrer sur ses gestes. « that's enough. » mais il n’en tient toujours pas rigueur et ses mains trouvent ton ventre sans prendre en compte l’énième avertissement. ta mâchoire se contracte d’autant plus que t’as les bras bêtement ballants de part et d’autres, alors qu’il remonte ton débardeur sans demander son reste. ton ventre se soulève doucement sous ta respiration et ses gestes calmes, loin de refléter les vents et marées que tu retiens avec peine. « you never had those before. » pourtant tu ne peux retenir le frisson qui parcourt ton corps quand ses doigts effleurent les blessures qui siègent entre les estampes, près de ton cœur. et tu ne peux t’empêcher de faire craquer les jointures de tes mains pour ne pas te laisser submerger dans cette immobilité – pour faire disparaître le malaise avant même que tu ne le ressentes. que peux-tu cacher de plus maintenant que tout démontre les fêlures que tu contiens. « that’s enough. » tu répètes encore, plus faiblement. une certaine fermeté demeure dans les intonations neutres, mais certaines forces t’ont quittées. ont capitulé dans une défaite qu’il t’a finalement arrachée – partiellement. « i’ve taken care of you for years. why you kept those from me, if there’s nothing to hide. » akira n’a pas le temps de se relever complètement que la réponse raisonne clairement, simplement. « ‘cause i couldn't explain what i didn't understand. » une quelconque tristesse pourrait transparaître dans ces mots, si tant est que tu puisses en ressentir assez. c’est simplement le désarroi devant ta propre situation qui transparait dans tes paroles car au-delà des non-dits et de l’éloignement, c’est avant tout ta propre frustration contre laquelle tu as dû avancer sans comprendre.

tu aurais pu t’attendre à tout un tas de questions, d’accusations. mais certainement pas à la rancœur qui s’affiche dans les abysses de son regard. la même que tu lui renvoies, en ramenant fermement ton vêtement sur ton épiderme. il est étrange l’inconfort que tu ressens quand tu comprends que les émotions de son visage relèvent d’un dégout prononcé pour ce que tu as fait et non ce que tu caches. « i’d fucking trust you with my life. are you too good for me to trust me with yours ? » akira s’est façonné entre tes mains et tes mauvaises volontés sans jamais trop se soulever, non seulement parce que tu feignais de ne pas le remarquer, mais aussi parce que vous vous complétiez presque trop facilement. tu n’as jamais aperçu une telle rancœur dans ses prunelles, pas en ton honneur. et cette situation te déstabilise parce que tu n’as jamais pris le temps de la considérer auparavant. t’as envie de lui répondre, de lui dire oui. dans la provocation, ou parce que quelque part dans tes positions souveraines, tu le penses vraiment. mais tu sais que cette réponse marquerait une rupture que tu ne pourrais te permettre. que tu ne pourrais accepter. le temps n’est plus aux insolences et aux rires indifférents. la blessure que tu constitues dans ses mots te heurte plus que tu ne voudrais l’admettre. que tu ne pourrais jamais le considérer. tu oublies trop souvent qu’akira est un être vivant avant d’être un démon, et qu’il ressent certainement un éventail plus large d’émotions que les tiennes. il a ses mérites d’être parfaitement vivant quand tout ce que tu démontres, sont des colères impérieuses sous diverses formes et couleurs. il poursuit sa démonstration presque implorante en ne rencontrant que ton silence, parce que tu patauges entre tes fureurs, ton hésitation et ton incompréhension. beaucoup de choses t’échappent et tu oublies l’espace d’une seconde, comment vous en êtes arrivés là. « tell me. what is it. » qui d’autres de mieux placé pour s’accrocher à tes secrets que l’autre versant de tes pêchés.

tu prends le temps de mesurer cette nouvelle position qu’il te propose, en silence. tout comme tu prends en considération l’aigreur qui s’est essoufflée dans tes muscles contractés – même si tes veines s’immolent toujours d’une tempête brûlante, tu n’as plus la volonté d’une violence qui ne trouve aucune réponse. une flamme qui s’est éteinte sans trouver satisfaction dans un échange venimeux. tu ouvres et refermes les paumes de tes mains, calmement, pour refluer les énergies électriques, rompre le mutisme des articulations impassibles. reprendre une circulation du sang normale, surtout. tu soupires d’une exaspération retenue, en soulevant ton visage légèrement penché vers ton épaule. « a curse. but you get it, don’t you? » tu observes sa réaction mais il est évident qu’il avait compris dès l’instant où les mêmes choses hideuses qui pulsent dans tes veines se sont dessinées sous ses paumes. tu soupires encore, à croire que tes poumons débordent de souffles incommodes. ton corps s’ébranle, reprend ses fonctions, et contourne le kasai sans un geste de menace. simplement pour s’éloigner vers un amas de bouquins entassés sur une table basse et le tapis qui l’accompagne. tu ne te penches pas vraiment mais le tas s’agite, et l’un des livres rejoint tes mains d’un sortilège informulé. « i don’t have much to tell you about it. » tu te retournes vers lui sans le regarder, concentrée sur les pages que tu tournes sans marquer aucune volonté dans ce geste. presque dépitée de t’en remettre enfin aux révélations. « it took me a while to understand what’s goin on. » l’amertume de cette incompréhension marque tes paroles comme un reflet à ce que tu as ressenti, des mois auparavant. tu continues de feuilleter les pages pour retrouver celles qui t’intéressent tout en retournant vers akira. « hm. » tu marmonnes en ayant finalement trouvé le papier pourtant abîmé d’avoir été trop de fois corné et retourné. « here. » tu lui tends le manuscrit tout en lui désignant une illustration de ta main libre. sur cette peinture marquée par le temps se démarque une forme sombre aux contours floues – même les livres sorciers témoignent des arts japonais en matière d’estampes d’un temps passé. la silhouette qui s’apparente à un démon, semble aspirer l’aura d’un être humain allongé dans une posture funeste. tu oublies presque que ce bouquin est un recueil de magie noire et ne remarque donc pas si cette caractéristique suscite quelconque réaction entre ses mains. « it's not that exact curse but it’s pretty similar in how this shit works. » tu t’es déjà éloignée de quelques pas, te massant la nuque pour dénouer tes muscles endoloris.

tu te retournes à nouveau vers akira, désormais accoudée contre un buffet. les bras croisés, ton regard crache les orages impétueux mais également les lueurs vives de l’intellectuelle qui prend la place de la guerrière. « i think it’s a gift from my grandma cause she’s the only one sneaky enough to use such powerful dark magic. she’s not here anymore but – » tu hausses les épaules en mentionnant feu ta grand-mère, celle qui t’a élevée aussi bien que délivré ce précieux dommage. se doutait-elle avant de disparaître que tu serais la première victime de ses vices ? « it’s a common thing in my family, you know, so i don't really have any doubts. » tu ricanes légèrement, « i’m not even surprised. » minois penché sur le côté mais néanmoins concentrée sur le récit que tu lui accordes. « it happens when i fall asleep. it's like sleep paralysis but worse. » tu t’interromps un instant, ton regard décroche du sien pour trouver le plafond – recherche les mots adéquats pour décrire l’inadéquat. « i'm conscious but i can't move, something is holding me back. rather common in sleep paralysis. but the shapes that other normal people can see are, to me, alive. » tu lui exposes les faits d’une précision méthodique – et tes mots n’ont plus rien des éraflures saccadées de tes dernières explications. tes bras se délient et tes mains s’illustrent de gestes sur ta peau pour accompagner tes propres. « this thing – or demon – hurts me and the wounds stay when i wake up. they're not like others bruises, it's disgusting – » tu soupires, te masses un instant les paupières. et puis tu reprends ton explication, énumères les points importants. « it oozes all the time and doesn't heal. magic can't do anything, potions are ineffective. even when i transform into an ayakashi and return to my human form, it's still there. » les plaies se referment mais jamais complètement, et parfois se rouvrent sous les mauvais grés de ces maléfices qui t’accablent à la nuit tombée. « i think… » tu le dévisages en te mordant les lèvres, les bras se croisant à nouveau contre ta poitrine, songeuse. tu mesures les mots que tu voudrais prononcer, par encore complètement certaine des vérités que tu veux énoncer. « i think this curse rises from what we fear most in the world cause i can’t believe it's something other than that precisely that’s attacking me. » la peur de perdre le contrôle, d’être incapable de se défendre. d’être immobilisée face à ses propres dérives.

les mots qui se poursuivent t’échappent avec une précision nonchalante, mais non dépourvue de sincérité. « it’s not because i don’t trust you. » tu confrontes son regard sans détourner le tien, retrouves tes habitudes sereines. tu n’as que faire de ses protestations ou soupirs mécontents, tu sais pertinemment que ce n’est pas seulement une question de confiance. tu ne remets pas en cause celle que tu lui décernes – mais celle que lui te voue s’il apprenait les fondements de cette malédiction. « aki. » tu ne peux pas perdre akira comme tu as perdu minato. tu crois vaincre seule alors qu’en réalité tu n’es rien sans ceux qui fondent ton tombeau trône. tu as besoin de rassurer autant le démon que le jeune homme – que toi-même également, quelque part. « i can put my life in your hands without hesitation. i know that. i’ve already done it. » tu es pragmatique dans ces faits que tu énonces, sans une hésitation. tu n’es pas sentimentale même si la teneur des propos si prête, tu restes simplement méthodique dans tes affirmations comme il l’est quand il ausculte ton corps. « but this time it’s different, it’s – i didn't want to tell to you about what i didn't want to explain, i mean how i got this. » vous êtes similaires sur de nombreux points. une description ne lui aurait pas suffit, il aurait voulu une raison. mettre une origine sur un mal, trouver comment le soigner. et c'est pour ça, pour ce besoin des détails que tu l’as tenu éloigné de ces malheurs. que tu en as fait des secrets, et des plaies solitaires. vous êtes tous deux consciencieux dans ce que vous exercez le mieux – et c’est précisément pour cette raison que tu es restée muette, et précisément la situation dans laquelle vous vous trouvez à présent. « you don't want to know why. » tu cherches à asseoir l’ascendant de cette affirmation en se heurtant à son regard. évidemment qu’il ne peut se contenter de ces explications sont se questionner sur la source de cette malédiction. « no, i swear. » pourtant tu insistes, espères qu’il n’en fasse pas de même. « don’t ask. » parce que t’es certaine qu’en apprenant la vérité, il ne sera plus jamais tien.


❝ résumé,, remi est trop dans son seum qu'akira insiste et ausculte son corps. elle cède finalement à ses questions et lui explique sa malédiction.


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Sawano Akira a feelsé sur ce message

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