you couldn't save me but you can't let me go

— prénom & nom ;
mio whiteshire fille unique, une famille recomposée dont elle est la seule à porter le nom de sa défunte mère, il s'agit indirectement d'un choix personnel, ou plutôt des conséquences lié à ses actions étant plus jeune de marquer une frontière entre ses frères et soeurs ainsi que sa belle-mère, portant le nom de son paternel.

— lieu de naissance & âge ;
londres, 23 ans née le 22 février 1999

— nationalité ;
japonaise la mère de mio est d'origine coréenne de nationalité brtitanique et son père d'origine japonaise. elle n'a pas passé beaucoup de temps à londres avant d'aller vivre au japon à partir de l'âge de huit ans.

— baguette ;
longueur, bois, coeur en bref
33,3 bois d'ébène coeur de dragon ; elle porte une attention particulière à cette baguette à qui elle murmure ses secrets les plus sombres. étant plus jeune elle sociabilisait parfois plus avec qu'elle les personnes autour d'elle. dans le bois reste gravés des chiffres dorés qui se répètent "222" qui sont pour elle le signe d'être là au bon endroit au bon moment. la baguette même si elle parait rigide est légèrement flexible.

— élément, groupe ;
air, kaze

— occupations ;
5e année psychomagie c'est la curiosité qui a conduit mio dans ce cursus, la curiosité d'en connaître un peu plus  à propos les émotions, les interactions, des échanges et les utiliser, les manipuler à sa guise. si son manque d'empathie était auparavant un complexe, elle l'utilise et le voit comme l'avantage de ne pas être perturbée, influencée par les évènements extérieur. l'impression d'être le loup en plein milieu un troupeau d'agneaux.

— situation financière ;
moyenne mio déteste mentionner l'aide de son paternel, mais pour beaucoup de choses notamment sa scolarité, il reste présent jusqu'à un certain degré, elle a décidé de gérer le reste.

— orientation & statut civil ;
bisexuelle elle a une aversion pour les hommes mais les femmes ne seraient-elles pas plus cruelles entre elles ? dans les deux cas mio éprouve d'énormes difficultés à faire confiance à qui que ce soit et laisser quelqu'un entrer dans sa sphère... même si elle travaille dur pour donner l'impression qu'elle n'est rien de plus qu'une personne crédule. ô ce qu'il serait confortable ceci étant dit de pouvoir se reposer et s'ouvrir à quelqu'un. elle le niera comme elle le pourra mais ne pourra pas échapper à cette évidence une fois seule face à elle-même. mais généralement son esprit est trop occupé pour y penser

— amortentia ;

une odeur musquée cotonneuse à l'image d'une étreinte familière qu'elle ne pourrait pourtant pas nommer car les souvenirs sont brouillés. elle ne pourrait pas mettre la main sur ce souvenir même si elle le souhaitait, ses bras n'étant plus accoutumés au réconfort, à la chaleur d'une étreinte véritable... cela reste une odeur qu'elle apprécie.

la cannelle qui brûle dans des mélanges de boissons d'enfance. le parfum qui lui rappelle le plus sa mère et londres notamment. un souvenir arraché qu'elle retrouve pourtant à certaines occasions.

il y a l'odeur particulière d'une marque de cigarettes à la cerise dont elle ne se lasse pas. ce sont les seules qu'elle achète avec celles mentholées. elle ne supporterait pas l'odeur de l'encens, mais celle-ci est douce et addictive.

— patronus ;
non maîtrisé "moonstone" : elle le murmure presque, il s'agit d'un cygne dont les ailes se déploient, la direction du vent semble scintiller des même reflets que celle d'une pierre de lune derrière ce dernier qui s'est réconcilié de ce qui l'accablait et qui le retenait au sol. l'image d'une liberté à laquelle mio aspire ; enveloppante, rassurante même si l'athmosphère autour est particulièrement froide. mais la maîtrise de ce patronus est encore maladroite et sa main en pâtit d'égratignures faiblement visibles. elle a toujours les mains un peu tremblantes à la fin de ce patronus, ce qui lui indique qu'elle a encore du chemin avant d'atteindre une maîtrise stable.

— épouvantard ;
sa belle-mère spécifiquement dans la salle de bain avec elle

— risèd ;
un reflet flou qu'elle pense être celui de sa mère biologique

— particularité(s) ;
godaï vent

BRANCHE VENT ET TEMPERATURE, SEUIL 1 COURANT D'AIR  ; le seuil le plus difficile selon mio, le plus instable, la direction des vents était aléatoire et difficile à contrôler de même que sa température... lui donnant parfois l'impression d'avoir les mains gelées ou voir brûlées par l'impatience de maîtriser le seuil. la difficulté était de ne pas perdre patience.

BRANCHE VENT ET TEMPERATURE, SEUIL 2 VENTS   ; un seuil beaucoup moins appréhendé, pour elle juste une continuité du premier, un peu plus stable dans la mesure où elle est un peu plus patiente envers elle-même et qu'un sentiment de confiance commence à s'installer. la manœuvre lui demande moins d'efforts mais lui paraissent toujours relativement faible en puissance.

BRANCHE VENT ET TEMPERATURE, SEUIL 3 PREVISIONS  ; le seuil le moins complexe selon elle. lui ayant demandé énormément d'observation ainsi que de l'intuition. même s'il s'agissait du seuil le moins complexe elle y a tout de même passé un temps conséquent.

BRANCHE VENT ET TEMPERATURE, SEUIL 4 TORNADE   ; le seuil lui demandant le plus d'efforts physique mais celui qui paradoxalement était le plus "amusant". elle semblait y retrouver un peu de sa personnalité destructrice et donc une certaine sorte de réconfort qu'elle n'aurait pu expliquer. que personne n'aurait pu comprendre.

Spoiler:

— anecdotes ; tw : mention de suicide, violence, noyade

anecdote 1  les parents de mio se sont séparés alors qu'elle n'était âgée que de deux ans. et la mère de cette dernière s'est ôté la vie en 2006 après une longue bataille contre sa dépression. mio ira donc vivre avec son père ainsi que sa belle famille au japon constituée de deux soeurs ainsi qu'un frère mais l'accueil sera loin d'être chaleureux... à l'exception de son paternel maîtrisant la foudre, sa belle-mère ainsi que ses enfants maîtrisent tous l'eau et de subtiles distinctions, mesquineries se feront ressentir sur une longue période avant que mio ne commette presque l'irréparable en 2008 quelques années après sa cérémonie. après de nombreuses provocations de la part de son demi-frère, dans l'impulsivité totale elle décidera de jouer sur l'équilibre et le faire tomber du haut des escaliers. cette chute ne lui sera pas fatale mais impactera ses facultés mentales sur une courte période. le traumatisme sera suffisant pour lui retirer l'envie de réitérer la chose. la mère de ce dernier sera intervenue après avoir été témoin d'une partie des faits, punissant mio par le traumatisme de l'eau. une noyade qui restera aussi secrète que ce que la jeune fille à l'époque a fait subir à son demi-frère. c'est une des raisons pour laquelle la grande salle de bain de la maison familiale ravive de mauvais souvenirs : cette salle d'eau complètement submergée d'eau en l'espace de quelques instants. qui se vidait et qui se remplissait alors qu'on attendait de mio des excuses. ce traumatisme aura duré des heures avant d'être interrompu. sans excuses. ses pensées étant déjà faite à un si jeune âge. mais cette action insouciante de sa part ne restera pas impunie, et sous prétexte d'instabilité elle sera alors pendant quelques temps suivie et l'absence d'un jugement correct de la part de son paternel (jugement altéré par des informations faussées de la part de la belle-mère) lui enlèvera alors le nom de ce dernier : aokiji mio pour simplement garder le nom de sa défunte mère.

anecdote 2 lors de sa cérémonie, elle a du choisir entre le feu et le vent, le choix lui a paru comme impossible à faire car dans ses rêves elle rêvait de la grande salle de bain en feu, remplie de flammes dans la pièce il y avait le cri strident de sa belle-mère impliquant qu'elle n'ait pas pu échapper aux flammes. mais autant que cette image lui apparaissait comme apaisante et similaire à son tempérament... celle du vent qui se lève finira par être son choix ultime. elle pensait qu'une part d'elle appartiendrait toujours aux flammes et que cette décision par la suite lui briserait le coeur mais elle n'a jamais eu de regrets finalement.

anecdote 3 contrairement aux rumeurs, elle n'a pas été internée dans un établissement spécialisé mais elle a bien été bannie de la maison familiale à l'âge de douze ans suivie par quelqu'un spécialisé en psychomagie. les médicaments qu'elle prendra durant cette période qui durera des mois aura des effets sur sa personnalité ingérable de l'époque et il s'agira d'une période relativement calme. cette personne sera son mentor officiellement jusqu'à ce qu'elle ait dix-neuf ans, même si elle se sera libérée de son emprise mentale bien après cet âge.

anecdote 4 le dit mentor faisait partie de sa belle-famille et aura pendant longtemps à de nombreuses occasions tenté de se frayer un chemin dans ses pensées pour les perturber. adolescente elle ne comprenait pas cette irruption de pensées de culpabilité, ces images ni même les migraines qui en résultaient. sa mère connue dans le monde sorcier japonais pour s'être exilée à londres, les soudaines pensées défaitiste de mio, ce qui apparaissait comme des formes de dépression auront été perçues par son entourage comme quelque chose de génétique. tout cela a été pendant longtemps un mystère jusqu'à ce qu'elle commence à s'intéresser à légilimancie à l'âge de seize ans (2015). son apprentissage ne commencera que bien plus tard en 2022.

anecdote 5 1. mio a toujours des cigarettes sur elle ; une de ses plus mauvaises habitudes dont elle n'arrive pas à se défaire. elle se fiche bien de l'effet nocif que cela peut avoir sur sa santé... elle a toujours des cigarettes mais n'a quasiment jamais de feu. c'est une occasion pour elle de devenir sociable juste l'espace d'un instant et jauger l'énergie des gens. 2. elle a toujours sur elle une espèce de peluche en forme de fraise qu'elle presse de toutes ses forces quand elle est contrariée ou quand elle est stressée. il s'agit d'une des seules choses qu'elle ait gardé de londres, même si elle adorerait avoir une créature domesticable elle ne se sent pas capable d'avoir la responsabilité de quelqu'un. cependant cela ne l'empêche pas de les regarder en compagnie de leurs propriétaires plus longtemps que ce qui est conventionnellement autorisé et simplement finir par sourire et partir.