things to say. ((ft. sia))

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things to say [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ;; [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]  (11.01.22)

fuites anticipées : vers les orées mystérieuses. quand de leurs paillettes, les regards brillaient si aisément ! dans ses yeux à lui. à en raviver les plaies ((à vouloir être enterrées)) et ailin ; il ne voulait pas le voir, cet ange aux beautés parfaites, à crever les yeux ! quand de ses douceurs il en rendait allergiques les visages, à le détester, celui brillant plus encore que les étoiles. car il en devenait obsession ! quand toutes les haines dirigées vers lui ne faisaient que se refléter sur les murs. solution trouvée : pour en écraser les lueurs. fuir ! loin de celui parcourant les couloirs, loin, quand il ne voulait plus le regarder.
faire mourir :
les regards,
dans les nuits.
alors les pas à mener vers les guerres, esquiver dans les couloirs, les petits monstres fleuris ! quand lui voulait en rester nécrose dans les ombres. à ne pas vouloir lui faire face, au risque de le pousser aux vices mortels. à ne pas vouloir lâcher les horreurs, quand toutes les rancunes s'en transformeraient en poison sous ses yeux enfantins. alors vas-t-en : ne t'approche pas, mini, où les cauchemars en deviendront tes pires ennemis. quand de ces envies irrésistibles, d'en briser les sourires, ailin : tu étais faucheur, des âmes enjouées ! souvenirs écrasés, et il ne resterait plus rien...

[ d ' e u x ]

alors pas incontrôlables !
à venir le mener : vers les cachettes antiques.
où les odeurs de livres en enivreraient les corps, là, où il pourrait être les corps sur les sièges des tranquillités. éclats perdus, à perdurer, contre les murs entichés, là où les lumières ne feront plus briller les yeux. chemins innovants ! à esquiver les présences comme s'il en avait peur. peur : de ce qu'il pourrait faire. tête finalement relevée, pour observer les étendues ! à gravir les escaliers pour en apercevoir les fines silhouettes : et y trouver, diamant brute à venir embêter de ses impatiences merveilles. profaner les lieux, de ses mots, à déranger les tranquillités, quand d'un geste, il se laissa tomber au fond d'un siège auprès de la belle. croiser les jambes ! l'observer, sans en lâcher les pommettes de visu.

car elle en viendrait :
à se délester de lui,
elle aussi.

"sia...", murmuré ! dans les soupirs lointain, basculer la tête sur la table, pour venir en saisir les livres lus par la belle. feuilleter vaguement les pages, quand les mèches noiraudes s'en étalaient sur les bois. "tu devineras jamais quel emmerdeur j'arrête pas de croiser." car il ne savait pas, ailin, comment gérer les chaos s'émanant d'en ses doigts. faire durer le suspens, attention accaparée, et il espérait, qu'elle parviendrait à en apaiser les maux ! comme calomnie, quand il viendrait en allumer les feux dévastateurs. et les mémoires ne comptaient plus ! car il ne voulait que le haïr , ce gamin aux intentions si pures.

à mourir à chaque regarde :
posé sur lui.

"Mini.", nom prononcé comme pour l'en dégouter. "insupportable." car chacun des recoins : en avaient son image. et avant ! il y a si longtemps ! il en aurait presque oublié les traits de son visage, à présent le voir à n'importe quel moment sans ne jamais vouloir le croiser. car il ne faisait que lui courir après, à le faire fuir lui quand d'un geste : il pourrait venir en écraser les espoirs déjà éteints. et que ne comprenais-tu pas ? quand les lippes en disaient ((que tout était fini)).
mensonge amer !
provocation de plus :
pour se prouver à lui...

...qu'il ne faisait que crever
un peu plus.

prima luce, mk. (c) icon, vocivus

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things to say [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ;; [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]  (11.01.22)

Sorcière aux doigts dorés, à en transformer les banalités en bijoux soyeux, nymphe de ces jardins où la vie est propices ! A tous les miracles du monde. Laissant les perles rouler le long de sa peau, contre ses lèvres où la rosées du matin vient rafraichir les terreurs de ses songes.
Beauté des proses apposées contre ses phalanges, sage et gracieuse petite reine, couronne pourtant bancale, quand les maux du coeur sont tortures, quand l'amour se fait violent dans l'esprit, sans jamais s'offrir à elle, quand elle ne fait qu'offrir son corps à d'autres ;
Sans jamais avoir celui qu'elle désire réellement.
Enfant maudite ! Des coeurs difficile à aimer, quand on porte ce nom qui semble royal, pourtant fardeau des sentiments.

Vie de liberté, elle se sait pourtant prisonnière, de ses propres envies, de ses propres pensées. Réussite qui ronge ses paumes, elles sont faites de tous les joyaux du monde, d'un peu d'or, un peu d'argent. Mais pourtant vides. Battant laissé à l'abandon, comme nécrosé, sans jamais réussi à choyer les âmes autour d'elle.
Elle entend encore sa voix, la nuit. Elle sent encore ce souffle, ce fantôme pourtant bien réel, à ses côtés, quand les rires sont discrets, les secrets sont murmurés aux creux de ses tympans.
Sans jamais avouer, ce péché d'amour !
Maquillant les réelles peines, de le voir regarder ailleurs.
Maquillant les tristesses, quand elle sait que son coeur est ailleurs.
Elle l'a vu, à travers lui, à travers ses yeux. Il n'y a aucun place pour elle.
Pas dans cette réalité. Peut-être ailleurs, ils auraient pu s'aimer. ils auraient pu être beaux, sans jamais sombrer dans l'oubli.

Dans ces lieux si calmes, à venir apaiser l'âme, dans la tendresse de cet univers où les étoiles sont apesanteurs à ses côtés. Quand de ces jours hivernales, il n'y a que la chaleur d'un café épicé pour réveiller ses sens, de l'esprit épuisé de toujours travailler ;
Toujours s'acharner pour offrir le meilleur. Pour offrir gloire et fierté ! Dans les yeux de cette famille,
La peur d'être déception.
Délicatesse de chacun de ses gestes, quand de ses doigts, les vies pourraient s'envoler à son gré ! Tout arracher. Puissante petite sorcière.
Silence pourtant brisé, à l'approche de l'ami, traitre de ses sentiments. Sans jamais l'étonner, de sa présence entre ces livres, tout lui correspond bien trop, petit jardin secret à se partager, pour apaiser les fatigues.
Ailin. Page tournée alors que les yeux ne savent pas quitter les mots qui dansent sous ses yeux, beauté de l'encre sur le grain dont elle est amoureuse, éternellement, plongée dans ces livres, quand elle ne vient pas y dessiner les rêves. Eh bien, je suis certaine que la réponse ne me surprendra pas. Laissant les lèvres se courber à ses mots, les doigts abandonnent leur lecture, livre refermé et dépose sur la table, alors que les bras se croisent pour y accueillir sa tête. Observant chacune de ses traits,
Le graver éternellement dans son esprit,
Pour ne jamais l'oublier avec le temps.
Notes délicieuses ! S'échappant de ses lèvres aux révélations de l'ennui, de cette âme virevoltant dans les airs, à la poursuite de celui qui ne sait plus aimer.
Oh. Mini. Je t'ai pas entendu prononcer ce nom depuis longtemps. 24h peut-être. Baiser déposé sur la douceur de sa joue, pour en accueillir enfin la présence précieuse à ses côtés, alors que sa tête vient trouver refuge sur son épaule, chaleur qui l'enveloppe alors que ses doigts viennent jouer avec les pages de ses livres. Qu'a-t-il fait cette fois ? A se redresser légèrement pour venir capter son attention, attendant que les récits merveilleux soient contés à ses oreilles !
Pour en entendre les plaintes, rire aux aventures qu'il refuse de vivre.
Rappelle moi pourquoi tu le détestes ? C'est pour une amie.
A en charrier les curiosités.

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things to say [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ;; [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]  (11.01.22)

repos trouvé !
entre les étreintes des livres.
car ô ailin était amant des pages, à vouloir en parcourir les moindres recoins de ces lieux aux parfums ambrés, à en arracher papiers lettrés ! pour en composer les savoir, de ces potions mielleuses. et peut-être qu'en en buvant les saveurs : il en viendrait à enfouir les douleurs infâmes. se montrer fort ! quand il en était effrayé des douceurs. fuir les réalités, à s'envoler pour les cramoisis des enfers, quand les limbes l'en appelaient à elles. brûler les couvertures des livres, les regarder brûler : comme quand il venait en cracher les venins à la plus belle des créatures. à pourtant la trouver immonde ! ou était-ce qu'il en était apeuré, ailin ? maudire les passés, les renier ! faire comme s'il n'existaient aucunement.
et alors toi aussi : tu en crèverais !
à nier les affections,
venir tout effacer comme page blanche.
alors il avait trouvé refuge, celui aux horreurs entre les doigts, quand Belle rejointe, à s'appesantir à ses côtés, finir à en admirer les figures, et il renaissait : loin des gamins tant détestés. muse solaire, à venir en combler les douleurs, comme antidotes à toutes ses horreurs. alors Sia, regarde le comme monstre entre les allées, à faire fuir les plus belles des fleurs, les plus purs des êtres, alors qu'il n'y en avait que les nerfs d'affutés ! dis lui qu'il n'était que trop immonde, quand les salins n'en sortaient que par les lippes : pour ériger chaos de ses mots.

à ne faire que tout
d é t r u i r e

cannelles aux senteurs si épicées, quand de ses frêles figures, elle en calmait les ardeurs si fulgurantes. car de ses voix : en ressortaient tous les vices dissimulés. "hmm." évidence si complète, à souffler, froncer les sourcils ! et il en entendait encore les voix, qu'il voulait abattre dans ses tympans insolents. car elle en connaissait les pires secrets, celles aux pétales si colorés, à déceler là les plus petites fautes ! "quoi. un problème ?", à murmurer, dans les calmes les entourant. "si ça te plait pas t'a qu'à pas écouter.", à lui fermer les oreilles ! quand de ses fragilités, il s'en montrait désagréable. ((habitude)) prise par les mépris. car peut-être que de ses baisers, s'en dessineraient les étoiles, sur ses joues réchauffées. à ne rien ressentir, de ses apparences blafardes, quand pourtant en réchauffaient les cœurs embrumés par les rancœurs futiles !

jusqu'à que renaissent ;
les beautés
du monde.

visage contre lui accepté, à venir d'une main, jouer de ses mèches si noires, si longue, fil d'or au bout des doigts, comme cadeau des cieux. seule Reine, à pouvoir en recevoir les affections masquées. discrètes, et pourtant là, à se cacher derrière les masques de guerrier maudit. "cette fois ?", que les regards en étaient captivés, à venir se redresser vaguement pour se poser contre sa propre paume. "il arrête pas de me suivre dans les couloirs, je le vois partout, c'est infernal.", sacrilège, à en bafouer les promesses. et plus rien ne comptait à présent Mini. détruire les espoirs dans les regards, les massacrer ! pour n'en faire que poussière aux firmaments brisés. "pourquoi je le déteste ? c'est simple.", plisser les yeux, à venir pencher les visages, sans ne la cacher des yeux. "abandonner quelqu'un sans nouvelle, pour revenir ensuite, c'est même pas la peine.", car il n'avait pas cherché, a i l i n . à juste vouloir en haïr celui disparu depuis si longtemps. blessure ô jamais refermée ! car il en avait emporté les sourires avec lui, Mini. "tu peux trouver ça ridicule, je m'en fiche."
apporter les monstres
imbattables !
quand il était persuadé,
des néants.
"alors ton amie, elle a quoi à dire hein ?", reposer son visage sur la table, à enfouir son visage contre son coude pour cacher les sourires (ig)nobles. "j'espère qu'elle a de bons conseils pour m'en débarrasser.", elle, à être des meilleurs mots à apposer sur les maux. alors dis moi, Sia, comment faire, pour ne plus avoir à en croiser son visage ? mentir ! pour ne pas apprivoiser les brumes si vagues créées par les mélanges subtiles. car finalement, les livres en avaient crées chimères impures !

à devoir se séparer,
de chaque souvenir.

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things to say [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ;; [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]  (11.01.22)

Douceur du printemps ; dans un hiver bien trop froid. A en épouser ses lèvres, y déposer les candeurs d'autrefois, quelques pétales sur le bout de sa langue, et y laisser les délices s'écouler le long de sa gorge ; comme divine nymphe goutant aux plaisirs de toute une vie ;
De ces fruits frais, que l'on vient cueillir des mains délicates, de la pulpe qui implose entre les dents, à en ravir les sens, et renaître dans ses entrailles. Magie chimère entre les phalanges, magie merveille, à en faire briller les étoiles !
Voilà qu'on l'admire, que se prend à l'adorer, sans jamais l'aimer. Sia est perdue dans un tourbillon, entraînée par les créatures marines.
Elle s'enfonce.
Encore.
Encore.
Et l'eau s'engouffre dans ses poumons, quand elle vient hurler, à la recherche d'une rédemption. Mais elle est déjà perdue. Dans les bras des naïdes.
Elle est perdue, sans jamais pouvoir retrouver son chemin, condamnée à errer dans sa solitude, sur ces terres désolées de l'avoir accueilli. Il n'y a aucune chaleur ;
Aucun amour prêt à tout lui offrir.
Il n'y a rien.
Dans cette immense cage, dont elle possède pourtant la clé.
Sans arriver ; sans trouver le courage de s'envoler !
A jamais coincé ici.

Et toi, Ailin.
As-tu déjà pensé à t'échapper ?

De ces démons qui guettent dans l'ombre chaque parole, chaque geste. Echapper à ce destin qui frapper les coeurs jusqu'à ce qu'il n'en reste plus rien, misérable chair écrasée, que l'on ne veut plus. Nécrosée par le poison du temps qui n'a fait que couler dans son pulsant !
Elle a le corps lourd, elle a les épaules fatiguées, de porter les sorts du monde ;
De porter la culpabilité des anges.
Sans jamais arriver à le montrer, sans jamais arriver à s'en défaire, maquillage sublimé sur le visage de la nymphe, à ne rien laisser transparaître.
Tout va bien.
Coeur en miettes.
Et le regard qui s'est bien trop accroché à lui, à le graver éternellement dans ses songes, dans sa mémoire, pour que plus jamais il ne lui échappe ! Elle aimerait le serrer si fort contre elle, lui murmurer ô combien elle l'aime.
Mais il ne lui appartient pas.
Destiné à un autre.
En voir des fantômes dans son regard,
Des mensonges et illusions contre sa langue.
A en rire, simplicité de ses réponses quand elle l'observe lui même s'énerver, ne plus savoir comment réellement contrôler ses émotions, quel mirage va-t-il lui vendre ?
Appuyé contre lui, le laisser emprisonner ces mèches sans rien dire, l'admirer, quelques secondes, que les dieux en soient témoin, elle n'irait jamais plus loin.
Jamais plus.
Hm. C'est vrai que c'est pas super comme comportement. A pourtant en laisser les pulpeuses se courber, laissant doux sourire s'afficher, sans aucune malveillance, trop curieuse de ses aventures, de ce qui fait battre son coeur ;
D'horreur, de haine.
C'est comme ça qu'elle l'a toujours aimé.
Vivant.
Je ne trouve pas ça ridicule. Tu as eu mal, alors tu as déjà de toi-même l'abandonner. Fin doigt qui vient se planter sur sa poitrine, au-dessus de son coeur. Tu as fermé ça. Ton coeur. Si tu m'abandonnais, je ferais la même chose. Main qui lui revient alors que ses doigts viennent de nouveau prendre possession d'un livre qu'elle feuillette sans grand intérêt, sans plus le regarder. Si tu m'abandonnais. Je crois que je ferais du vaudou pour me venger. Ou mieux, je te lancerais un sort pour te hanter.
Sans jamais en penser un mot,
Il ne partira jamais, Ailin.
Elle le sait.
Peut-être que c'est elle ;
Qui finira par le quitter.
Come on, babe. Je t'aurais bien dit de lui jeter toi-même un sort, mais c'est cruel. Peut-être que tu devrais accepter ses explications. Non ? Et la tête se tourne lentement vers lui, observant ces mèches sombres dans lesquelles elle vient plonger sa main. Il peut lui mentir, elle finira toujours par lire en lui tel un livre ouvert.
Tel un ruisseau à l'eau si claire.
Elle voit tout, Sia, malédiction.
Tu n'en as pas marre d'avoir mal ?

Tu n'en as pas marre,
De te noyer dans tes propres eaux ?

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things to say [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ;; [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]  (11.01.22)

fleur précieuse,
à garder entre les chaleurs des paumes :
pour en conserver chacune de ses couleurs. et Ailin lui se moquait bien du monde, si les poumons arrivaient encore à en expier les maux. à côté d'elle, dimant délicat qui de quelques regards parvenait à en apaiser les horreurs des paroles. toujours trop violent, toujours trop pénible, pour ceux venant à en croiser les chemins des ombres. à croire qu'il ne faisait que s'amuser de ces jeux menés à la perfection, comme simple divertissement.
alors que tout faisait si mal ! entre ces poitrines oubliées.
détériorées par le temps,
à ne jamais être réparées,
ni même par les douceurs
présentes.
quand il ne restait qu'insolence, peut-être bien trop idiot ! en réalité, à préférer renfermer les moindres maux pour en sembler des plus désastreux. lui, à arracher les noms de ses lippes comme s'il voulait en lancer sortilèges au plus preux des anges. délicatesse à effacer : pour lui en montrer ô combien il n'avait rien de plaisant, Ailin. car à présent, il en deviendrait Enfers de tous. sirène oubliée, chants dont il n'avait fait qu'ignorer les symphonies ,, pour être bercé dans les songes d'une fleur aux pétales qui lui étaient bien trop ouverts. à se dire qu'à elle aussi ; il en réduirait les espoirs en miettes.

destinées semblables :
à ceux détestés et aimés.

car lui prônait ces miracles irréels, à vouloir être oublié. ou plutôt vouloir tout effacer. rayer le passé, débuter un nouveau chapitre : dans un monde qui n'en blesserait plus les fiertés calcifiées. et Sia, sais-tu qu'il en viendrait à fuir toutes les chaleurs du monde ? quand il n'était que risibles songe, ((piètre sorcier)). lui, qui continuerait de ses douceurs à la plus délicate des fées, venir jouer comme enfant perdu dans les dédales de rosiers. à s'en piquer bien trop souvent les doigts, pour tenter d'en retrouver les chemins semés de vermeilles.

car avec elle,
il n'avait rien à cacher,
de ces mensonges
à ces secrets.

et de ses rires somptueux, lui en tracerait poisons contre les peaux, à en perdre le sens des réalités, quand les mots le dépassaient sûrement. un jour : à finir par s'en rendre compte. "pas super, mais ça a l'air de t'amuser.", qu'il viendrait presque la dévisager, à pourtant la trouver sublime, celle qui devait le trouver bien pitoyable. gamin indécis, à vouloir haïr le monde entier. et les récits en seraient bien moins amusants sans doute, si les colères passées il venait à en devenir bien trop léger. quand les nerfs venaient  à brûler ! de ces éclats de vie. alors il venait la regarder faire, de ce doigt contre sa poitrine, à en plisser les yeux : sous les nostalgies des regards. "tss. sauf que c'est pas la même. ça arrivera pas avec toi. sauf si tu disparais sans laisser de nouvelles."
mise en garde fragile !
à juste s'amuser,
car il la connaissait mieux que lui-même.
à juste se méfier du monde, quand il finirait par se détester ,((à prédire)) les malheurs. car un jour, tout retomberait sur ces épaules si certaines de réussir à en faire fuir les plus fragiles, quand ce sera lui qui finira par se fissurer. "du vaudou ? un sort ? raison de plus pour que je le fasse pas.", qu'il reposa son visage au creux de ses bras, pour simple l'observer sans en cligner des yeux. car lui ne viendrait jamais à disparaître. de sa vie à elle, de celle des autres. à avoir bien trop peur d'être lui même a b a n d o n n é. "pour quoi faire. j'ai juste plus envie de le voir et de passer à autre chose. c'est pas compliqué pourtant.", de ces sourcils froncés, quand il en viendrait presque à bouder de ses airs bien trop charmants. "enfin...tu crois je devrais ?"

mots si justes,
à toujours l'étonner.

quand les doigts en semblaient si aimant, quand le visage préférait s'en cacher des siens. et ô peut-être un jour : déciderait-il de passer à autre chose. "pour quoi faire. ça revient toujours. c'est pas si facile, Sia.", à murmurer, quand les soupirs n'en seraient que faiblesses à lui montrer. seulement à elle. quand d'une main s'élevant ses doigts, pour en caresser la joue ! attirer les plus pures des attentions. "t'es heureuse, toi ?", à en relever les visages, venir de nouveau l'admirer, quand les regards s'en faisaient plus malheureux encore. "j'vais finir par te contaminer à détester tout le monde." rire fragile, à pourtant craindre les désastres, à rester auprès des nymphes aux regards étoiles. "promis. la prochaine fois je serai pas là pour me plaindre. qui sait. peut-être même que je t'inviterai quelque part.", n'importe où : loin de tous leurs problèmes, loin du monde.

juste eux !
à fuir les douleurs.

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things to say [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ;; [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]  (11.01.22)

Aussi douce que les fleurs qui renaissent au printemps, aussi légère que les plumes qui volent dans les cieux, quand les oiseaux s'envolent vers d'autres horizons. Colombe silencieuse, à en observer son monde. Observer la vie qui s'agite sous elle, sans pouvoir, sans loi. Aussi libre que le vent, que ces bourrasques qui soufflent sur les corps délabrés, le satin qui caresse les peaux doucereuses.
Elle est fleur dans un champ sauvage, à s'élever quand le soleil l'accueil dans ses bras ! De sa chaleur. Elle est l'innocence, comme elle est l'âme sauvage qui fait tout battre, qui fait tout rayonner. Elle est cette brise d'un fin de printemps, celle qui caresse les visages ;
Fait frissonner les bras.
Mais par dessus tout ; elle est seule d'un amour qui ne lui sera jamais offert ! Jamais dédié. Quand les malédictions invisibles coulent dans son sang, à n'en jamais trouver le repos éternel contre un coeur battant à son rythme.
A ne jamais pouvoir reposer sur cette âme soeur, quand elle n'existe pas, convaincue que seule la solitude sera son grand amour.
Et les yeux se sont trop longtemps posés sur lui, à l'admirer, le détailler, l'imaginer dans ses songes, grand amant ! Amoureux dessiné sur les fresques de son esprit. Il est intouchable, si haut dans les cieux quand elle n'est que nymphe abandonnée, solitaire sur une ile où elle est condamnée à atteindre ! Qu'un jour la faucheuse se montre, et l'accueille dans ses bras divins. Il est trop loin d'elle, quand elle l'admire rayonner, sans jamais se prétendre reine, ni même impératrice.
Elle lui aurait tout donné ; si ses yeux n'étaient pas porté ailleurs, silhouette mirage dans le coin des yeux, quand la haine n'est qu'un prétexte pour tout cacher ; tout gâcher.

Perles roulant sur les peaux, à se parer des plus beaux rires, quand les cloches sonnent les harmonies chaleureuses dans le fond des gorges, dans ces regards qui ne sont que tendresses pour lui, quand elle ne sait rien de tout ce qui brûle en elle, au nom de son existence ; d'un amour jamais partagé. Si je venais à disparaître... Ca serait pour sauver le monde d'un grand méchant, mais bon. D'ici que ça arrive, je crois que tu peux encore dormir tranquillement. S'en amuser sans savoir ce que l'avenir lui préserve, quand elle sait une part de son sang maudit, à regarder cette soeur fragile ; de peur qu'on lui enlève. Et elle partirait en guerre, brandirait bien des étendards au nom de cette famille qu'elle voudrait protéger au prix de sa propre vie. Hm. Passer à autre chose ? Pourtant, j'ai l'impression que c'est pas si facile. Il est resté loin de toi pendant si longtemps, et tu n'as pas toi même été capable de tirer un trait dessus. Tu penses encore réellement pouvoir l'effacer ?
Quand elle aurait désiré, quand elle l'a surement trop souhaité ;
L'oublier lui et cet amour qui persiste en son sein. Quand il n'a été que torture pendant si longtemps, que son coeur n'est plus qu'anesthésié par les maux, à avoir oublié ce que c'était ; d'aimer dans le bonheur. Mais elle non plus, elle n'a jamais pu tirer un trait sur cette histoire qui n'a jamais commencé. Elle non plus, elle n'a jamais pu changer de chapitre quand son livre porte son nom gravé en lettres d'or. Je ne sais pas. Peut-être qu'au fond... Tu attends toujours des réponses ? Que tu veux savoir pourquoi ? Je ne connais pas toute l'histoire Ailin, mais il y a des choses qui doivent sûrement être mises à plat. C'est pour ça que tu as mal. C'est pour ça que ça revient toujours.
De ses doigts qui caressent sa peau, ses mèches, les attentions qui s'affairent contre son épiderme si sacré, qu'elle n'a pas le droit de salir, pas le droit de briser. Quand rien en lui, ne lui appartiendra jamais. Hm... Je ne peux pas dire que je suis malheureuse. Seulement quelqu'un a volé mon coeur il y a longtemps, sans jamais rien me donner en retour. Je suppose que ça aussi, c'est douloureux.
Sans en laisser les vérités caresser ses lèvres qui s'étirent aux mots prononcés, ses phalanges quittent de nouveau sa peau pour se reposer sur le livre ouvert quelques instants plus tôt, les yeux en lisent quelques lettres, vaguement. Je ne déteste pas tout le monde. C'est quelque chose que je ne sais pas faire. Mais je ne refuse pas le restaurant. Rire qui s'envole pendant quelques secondes quand elle ne refusera jamais une soirée à ses côtés, même quelques minutes, quand son âme s'apaise enfin, qu'elle sent le repos la gagner réellement. Tu l'aimes ?
A en redouter les réponses ;
Quand tout n'est qu'évidence pourtant.
Dans les yeux de celle qui ne comprend que trop bien.
Tu as le droit tu sais.

D'aimer quelqu'un d'autre.

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things to say [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ;; [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]  (11.01.22)

que de mots,
dans les effluves,
quand les corps, en serviraient de rameaux.
à n'être qu'esquisse que du malheur, celui qui en joncherait les eaux. à recolorer les rivières, de ces vermeilles pour en abreuver les peines. et Ailin, il était un peu perdu, à faner depuis si longtemps, quand à côté de lui les rivages s'en montraient si fleuris. de ces diamants, au bout des pétales, de ces cristaux de pluie, qui en avaient roulé sur les fibres colorées. et ô de là où il était, il pouvait en sentir ses parfums si fragiles, à lui en sentir la mort, quand tout n'était que perfides hégémonies. car les regards en plongeaient si facilement, dans ceux des inconnus. alors pourquoi avec lui, il ne faisait qu'en ignorer les douceurs ? à tout esquiver, n'être que carnage dans toutes ces octaves disharmonieuses.
à casser les oreilles !
venir faire teinter les faire :
pour faire siffler les vents.
car il était aveugle, Ailin. à ignorer les regards posés sur lui, quand lui-même n'arrivait pas à en comprendre ce qu'il voulait y voir entre les lignes de tous ces livres. de ces innocences, à ces haines merveilles. et que les attendait-il, dans les enfers des lieux ? où les magies lui en seraient un jour arrachées pour le punir, le prévenir ! qu'il en créerait perfides présages à se risquer à mentir comme il le faisait. et Sia, aurais-tu honte de lui, un jour ? quand les ombres auront pris possession de son cœur, pour en détruire tout, quand tout semblera impardonnable, aux yeux de tous !

et dans les silences,
meurent les aurores.

de ces nuages, à balayer les éclats, lui en serait le plus immonde. il viendrait en faire pleuvoir les larmes, grêles à briser les visages ! quand en tonneraient les éclairs dans le ciel pour en montrer les colères si implosives. alors avec elle, il n'en avait toujours été qu'honnêteté ! à tout lui dire, dans les moindres détails. à la laisser prendre place comme seule Reine de ses royaumes, quand lui en était valet à voler vers tous les mondes, tous les touchers, sans ne jamais se repentir auprès d'elle. "hmm mais pas sûr que je te laisse disparaître comme ça.", que les regards ne faisaient que la regarder elle, créature si mystérieuse, quand lui ne comprenait rien à personne. égoïste, presque, à pourtant avoir peur de voir tout le monde partir. et qui resterait avec lui, quand les neiges auront fondu ? "tu me cherches beaucoup je trouve Sia.", quand il en entendait les chants des sirènes, à tenter de chercher les réponses au fond de lui sans qu'il ne parvienne à se faire une raison.

qu'il n'était rien,
sans ces illusions passées,
sans eux.

"je sais pas. mais je veux l'effacer. c'est tout. pas besoin d'avoir une méthode.", visage à se cacher au fond de ses bras, à le savoir que trop bien : qu'elle y trouvait là vérités qu'il ne voulait pas voir. à se vouloir menteur jusqu'au bout. "et bah j'en ai marre d'avoir mal pour un truc comme ça. tu connais pas un sort pour tout effacer, toi ?", à se demander si elle pouvait en user de ses talents, si le myocarde pouvait se creuser un peu plus pour tout en détruire. et Ailin, peut-être n'étais-tu seulement malhonnête qu'avec toi-même, à vouloir y croire songes anciens, quand se murmureraient les peines au creux des mains. "quelqu'un ? faut lui casser la tête à lui aussi ?", que le visage se redressa tout doucement, à vouloir en éponger ses douleurs quand il serait prêt à tout pour y voir les sourires sur les visages auxquels il en offrait affections platoniques. à en aimer sa voix dans ses tympans, ses étoiles dans les regards, quand les rires s'évadaient autrefois.
quand plus rien n'était sourd,
à ses oreilles,
à le rendre fou.
"y'en a au moins une ici qui a les idées claires. mais bien, je le note dans un coin et j'oublie pas. je te préviens réserve une soirée.", où tout serait bien plus chaleureux ! quand il ne viendrait pas en ravaler les maux. quand elle ne viendrait pas le lire si facilement, si aisément, jusqu'à en détruire les moindres estimes qui le nourrissaient. "dis pas de bêtises.", murmure laissé glissé si facilement, quand d'un soupir, il secoua la tête, enfant indécis. "je l'aime pas. il m'énerve. c'est tout.", nez plissé ! à en redresser le dos pour la regarder dans les yeux. essayer de la déconcentrer, de toutes ses activités. "et au lieu de te concentrer sur ma vie amoureuse, concentre toi sur la tienne, jeune fille." sourire offert : joue embrassée si délicatement, à tout doucement se relever sans pour autant en quitter ses côtés. à juste finir par s'asseoir sur la table, pour ne plus en affronter les regards si perspicaces. "mais qu'importe. je l'aimerai jamais, et ça je peux te l'assurer. mais par contre toi, si je dois frapper quelqu'un hésite pas. ça m'amusera un peu.", épaules élancées : jusqu'à ce qu'il n'en ébouriffe ses mèches. "t'as beaucoup de boulot ?", qu'il s'ennuyait, à vouloir s'amuser, la sortir hors de ses livres qu'il affectionnait pourtant.
à mourir,
d'en changer les sujets :
de lui mentir encore.

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things to say [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ;; [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]  (11.01.22)

Comme la plus belle fleur d'un jardin, comme plus belle rose blanche parmi des couleurs par centaines, peut-être même plus. Comme celle qu'on a pas le droit de cueillir, de ses épines venin, il n'y a que du poison qui s'en écoule, prête à tout pour protéger son coeur des démons aux mains sales. Comme ses pétales qui se referment à chaque mouvement brusque, comme de peau qu'on la brise encore et encore ;
Elle qui ne demandait que liberté !
Qu'à fuir cette prison dorée, qu'on la libère enfin de ses chaînes. Que les poumons s'emplissent de l'air pur, mais il n'y a que la lourdeur de la pluie dans les airs, tout est trop humide, tout rouille, ses os et ses sentiments, sans jamais la laisser en paix.
Tout se casse un jour, pourtant elle s'accroche encore à ces quelques espoirs, ces étoiles qui brillent dans ses cieux. Mais tout vient à disparaître.
Un jour, elle ne sera plus là.
Lui non plus.
Il ne serait qu'absolution dans l'univers.
Un morceau de souvenir, un morceau d'une époque.
La page d'un livre, une photo perdue dans quelques malles. On ne posera plus aucun nom sur leur visage, seulement des légendes, des anecdotes.
De ceux qui n'ont jamais pu s'aimer comme les coeurs désiraient. Elle a souhaité cent fois qu'il soit bien plus qu'amant, mais jamais les sentiments se sont tournés vers elle. Jamais les intérêt ont été plus qu'une amitié solide, teinté d'argent et de joyaux inestimables ; quand il n'est que son roi ! Son empereur, porte cette couronne sans même s'en apercevoir. Pourtant, le battant s'en va vers des ailleurs qui ne ressemblent en rien à elle. Doux visage longuement observé, des regards où il n'y a que la haine ; celle qui cache les regrets, l'amertume d'une rancune certaine. Ailin n'a pas toujours été couvert de colère, elle le sait. Mais elle ne pourra jamais connaître cet autre lui, pas comme celui qui n'est que fantôme dans sa vie. Elle pourrait lui en vouloir ; mais elle ne connaît que trop bien les contrariétés du coeur. Je peux te lancer un oubliette, si tu souhaites tant l'oublier. En rire doucement, des harmonies délicates alors qu'elle sort sa baguette de sa veste, l'agite délicatement devant son nez, le regardant avec curiosité, sans jamais laisser l'amour en prendre le dessus. Pouf, plus de mini. S'en amuser, quand elle sait qu'il ne serait que trop vide sans lui, comme une boite vide, comme si on venait lui arracher un morceau de son âme. Il serait terne, et ce n'est pas celui-ci qu'elle aime. Tu regretterais sans même le savoir. Tu devrais garder les bons souvenirs, Ailin. Tu n'es plus un enfant, tu devrais avancer. Quand elle n'a fait que reculer, encore et encore.
L'attendre aux aurores,
Espérer sa présence dans ses draps froids, sans chaleur.
Rêver de ses bras, rêver qu'il ne soit qu'à elle ; quand elle sait ce qu'il voudrait cacher derrière son apparence. Non, je veux encore pouvoir l'observer. Les lèvres s'étirent de nouveau alors que sa tête se pose dans sa pause. Il est beau, malheureusement pour moi. Des tortures qui menacent le battant, sans s'en soucier (des mensonges), elle aimerait un jour être libre.
Parfois, elle aimerait ne plus l'aimer.
Je te réserve autant de temps que tu veux, tant que... Je mange bien. Elle l'observe, regarde ses lèvres danser, quand son sourire s'efface de nouveau, au sérieux des mots qui suivent. Ailin se ment à lui même ; maudite de toujours arriver à voir derrière les masques brisés. J'aimerais que tu sois heureux un jour. Et peut-être que tu seras heureux avec lui, tu ne sais pas après tout. Elle hausse doucement les épaules avant de redonner son attention à ses livres. Ne frappe personne Ailin. Frappe toi toi-même à jurer des choses comme ça. T'es débile. Sourire éphémère alors qu'elle n'a fait que vaguement attention à son corps qui a changé de place, concentré ailleurs, se perdre dans ses pensées, encore et encore. Non, pas vraiment. Je suis à jour dans mes révisions. Pourquoi ? Tu as envie de quelque chose ? Relevant la tête vers lui, elle repousse ses livres en s'enfonçant dans son siège, un long soupire qui s'échappe de son être. Karma va bien d'ailleurs ? Un moment que j'ai pas eu le temps de passer un peu de temps avec lui.
Fuir les questions sur ses maux du coeur ;
Fuir, comme toujours.

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laquais des cieux,
à déchainer les tempêtes,
sur tous ceux qu'il aimait.
à leur en arracher les pleurs, leurs couleurs sans ne jamais rien leur demander. caprice fragiles, quand il l'observait elle, si grande, devant les corps amochés, quand elle en était si belle, cette fleur au milieu des tempêtes. c'est que lui resterait aveugle : de ces envies fugaces, à en chérir les présences, quand il n'y comprenait rien. et Sia n'en connaîtrait sans doute jamais ses colères, quand au fond de lui, il n'en était que cendres déjà évaporées. philtre d'amour au parfum de rose, envoûte les esprits pour en faire oublier les horreurs du temps. car tout ne serait qu'interdiction, d'en venir poser les doigts sur les peaux si blanches. enfant des étoiles, à parcourir de ses doigts les constellations, à s'envoler de ces nuits tardives pour s'en rapprocher, sans que jamais personne ne l'aperçoive.

car lui n'était que fantôme :
aux yeux de tous ceux,
pensant le connaître.

alors les valses ne feraient qu'en faire tourner les têtes, n'en feraient que faire rire les nymphes, qui en semblaient si parfaites à ses côtés. ô Sia, à en charmer les regards, à venir rendre mémoriel ses sourires, quand tout semblait se réchauffer, à ses côtés. épaules qui en étaient refuges, visage qui en était soie : pour ne jamais se détacher d'elle. à y voir ronde permanente, quand avec elle il s'en sentait lui-même. à ne pas avoir à se cacher, démon laissé derrière eux, à charmer les douceurs ; à se croire si sensible, quand les pulsants battaient ô jamais de la même manière. étrangeté de cette femme : à qu'il pourrait tout offrir. alors elle pouvait rire de lui, si elle le souhaitait, lui lancer tous les sorts du monde : pour l'achever. car après tout, il ne resterait que de lui les souvenirs d'un enfer ô jamais remarquables, quand il voulait en garder les meilleurs pour ne jamais qu'elle ne le voit comme monstre solaire. "pff.", qu'il en fixait sa baguette, à tenter de venir faussement en mordre le bout quand il finit par tout doucement en rire, de ses artifices mis là pour en égayer les journées. "si c'était si facile, je prends." quand lui venait à en penser que tout serait pour le mieux : quand on viendrait lui en arracher partie de lui.
déjà si fragile,
d'en afficher les faiblesses,
devant elle.
à vouloir l'impressionner, sans doute, lui montrer qu'il n'en serait jamais si sensible, quand déjà il en finissait par s'énerver pour les moindres choses. "évidemment que je suis plus un enfant. tu m'as vu ? je m'en fiche. après tout je peux toujours compter sur toi pour me plaindre.", à venir tourner la tête vers elle, l'admirer de ses regards si doux, quand il rigolerait encore et encore d'en avoir tourmenté les sessions de lecture. et les regards ne pourraient que s'en hausser légèrement, à bien se demander : qui venait posséder les esprits, quand en étaient évoqués les personnes. "ah ce point là ? ", que les épaules s'en sentaient piquées ,, de ces incontrôlables agacements. à se demander, qui ne faisait que tourmenter les fleurs si épanouies. "il peut être beau mais s'il sait pas voir que toi tu l'es encore plus, alors t'as dû vraiment tomber sur le pire de tous.", qu'il ne pourrait qu'en admettre : qu'elle était plus belle des étoiles, même à ses yeux à lui.

charmer les regards,
de ses grandeurs.

et Sia, peut-être n'en remarquerais-tu jamais, comment ses yeux ne pouvaient que briller, près de toi. à être l'une des seules à savoir en captiver autant les attentions. quand il n'y avait plus haine et souvenirs, quand elle en serait reine d'un esprit déjà tourmenter. à l'aimer de tant de façon, sans jamais en être celle qu'elle espérait. à tenir à elle, comme précieux joyaux à protéger. "toujours ton estomac qui parle. mais soit je te réserverai un endroit qui pourra te combler.", jusqu'à ce que les rires ne s'estompent, jusqu'à ce que tout ne soit bien trop formel, à présent. "qui te dit que je suis pas heureux ? et encore plus en étant pas avec lui ?", qu'il voulait continuer à mentir, à lui sourire, presque trop idiot, sans doute. à toujours l'avoir été. "Tss. je sais que je suis débile, mais c'est pas drôle si c'est moi qui me frappe.", moue au visage, à regarder dans les airs, presque vexé, quand pourtant les joies ne pouvaient en quitter le corps : de la voir sourire. "hmm...on pourrait...aller boire un coup ?", que le visage se rapprocha du sien, avant de se hocher. "oui. il va bien. on l'invite ? pour que tu puisses le revoir.", qu'il ne viendrait plus la lâcher des yeux, quand les peines en étaient déjà oubliées. "mademoiselle doit se sortir la tête de ses révisions. alors autant s'amuser un peu non ? sinon tu vas finir par fumer là haut.", à en élever sa main, pour caresser le haut de sa tête, à se redresser, pour lui en tendre la main.
quand il voulait simplement,
la voir rester :
à ses côtés.

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C'est toujours plus facile, quand il s'agit des autres.
Quand ce n'est pas elle, le personne principal de cette vie. C'est toujours plus simple simple quand on ne mentionne pas son nom, nymphe éternellement discrète sans pour autant se cacher. Elle aime se noyer de l'ombre, autant que se couvrir de la lumière des dieux lorsque les gloires en sont prononcés !
Elle n'aime pas ces sentiments qui ne cessent de pourrir dans le coeur de son coeur, ses désirs qu'elle voudrait murmurer aux oreilles de bien des fleurs, parce qu'elle voudrait, plus que tout ! Etre aimé, se laisser bercer dans ses bras, là où ses doigts ne se promènent plus.
Il lui manque, un peu plus chaque jour.
Sa chair, son souffle, ses lèvres, sa présence, quant il ne s'est jamais envolé. Toujours présent, et les yeux se posent toujours ailleurs ! Jamais sur elle. Jamais contre elle. Sia est une enfant, quand il y a l'amour et ses préjugés. Sia est innocente, quand elle croit encore qu'il peut l'aimer.
Peut-être que demain,
Il me regardera enfin.

Toujours en vain.
Solitude.

L'organe se bat ! Pourtant vide, des chaleurs jamais familières. Pourtant vide, il n'y a personne pour le chérir, quand elle se veut trop aveugle pour en remarquer les présences qui ne demandent que ça ! D'avoir ses attentions, espérer son amour, chaque jour. Elle ne voit pas, comme le monde est plus beau quand elle ne pense pas à lui.
Elle est ensorcelée.
Qu'on vienne enfin la délivrer.
Elle voudrait enfin, qu'il pense à quelqu'un d'autre, que ce fantôme qu'elle jalouse peut-être dans le fond de sa poitrine. Pourquoi lui ? Sans avoir aucune haine !
peut-être a-t-il raison de l'aimer, petite fée qui brille faiblement dans le noir.
Ce n'est pas facile, Ailin. Les paroles se veulent parfois plus ferme. Parce que Sia, elle sait ô combien les douleurs du coeur ne sont pas à prendre à la légère ! Parce qu'elle voudrait, lui aussi, le délivrer de son mal. Le laisser s'envoler, de nouveau. Pour un jour, le voir réellement briller.
Comment étais tu, avant ?
Oui oui, c'est beau t'y crois. Elle laisse le coeur en rire quelques instant, sans jamais plus poser de mots sur elle et ses amours, elle et son éternel mirage qui n'existe que dans le fond de son regard, lointain, elle l'observe toujours sans même arriver à lui avouer, que les sentiments deviennent douloureux ; lourdeur dans le fond de son corps. Parfait, j'ai hâte. Tu sais toujours choisir les meilleurs restaurants alors je compte sur toi. Essaye de séduire mon estomac. Sourire formé sur les courbes de son visage alors que le dos se détend dans le fond de sa chaise, au soupire qui s'extirpe de ses narines, caresse ses lèvres au passage, quand elle ne peut plus supporter ses mensonges. Tu m'en diras tant. L'ignorant presque, se perdant dans ses pensées alors qu'il en rapproche son visage, les yeux se déposent de nouveau sur lui, rougeurs sur les rondeurs de ses pommettes. D'accord, on va boire et Karma vient avec nous.
Attrapant son visage entre ses phalanges pour déposer un tendre baiser sur sa joue, alors que la tête se tourne vers les livres, sort prononcé pour les regrouper, les regarder se glisser dans son sac alors que sa main vient attraper la sienne ;
Toujours prête pour de nouvelle aventures ;
Quand sa chaleur l'emporte.

Emmène moi loin.

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