( i'll make you cry ) ❜

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glory and gore
delicate in every way but one
(the swordplay)
‧ ACT I

— prénom & nom

baisho nami
倍賞 ‧ 那美
géniteurs vitupérés de leur union prohibée, graciés par le poison léthé. gamine chimère imprégnée des aurores horreurs, ne viendra jamais à elle la promise lumière. vouée aux caprices ténèbres qui vibre dans ses artères, elle a l’identité factice qui brûle l’hémoglobine suranné. nami, la magnificence du chaos, l'idyllique alliance du laid et du beau. vague à l’âme, douce effluve marine qui effleure les narines. perfide mélodie, gamine infernale, elle est un tsunami qui dans toute sa splendeur ravage la sainte terre et de l'eau vermeil altérée en sanguine poussière s'érige l'empire du mal.

— lieu & date de naissance

japan, 31.10.00
 日本 ‧ TWENTY
parenté nécrosée, les débris d'illusions ne résident que dans un morceau de papier souillé par l'usure temporel. l'infamie symphonie calomniant le pourpre pulsant sous l'enveloppe charnelle. elle n'est que spectre d'une providence étrangère, ne se souvient guère de la materne terre. trop vite condamnée au blasphème de l'imposteur, monstre salvateur de ses mains de fer l'a guidé de l'illusoire sacrement à la bible de salem et Lucifer. mais la colère et la peur ne l'ont jamais habité, contes extrapolés de la misère passée entre quelques murs délabrés enflant sa charogne d'une amoindrie vitalité. encore nimbée des tendres candeurs la reconnaissance éclabousse sa psyché. la flagellation s'orne d'une malsaine adoration pour les vermines ambitions. et c'est ainsi que flambe la renaissance; âpre mais surtout ténébreuse.  

— nationalité

land of the rising sun
 KOREAN  ‧ JAPANESE
métissage porteur d'ocres douleurs, l'Asie de l'Est luit sur sa carne d'hiver. cependant de cette souche polychrome ne reste qu'une désuète existence tourmentée par l'infernale fournaise qui se répand dans le mysticisme écarlate. royaumes déchus, échos d'un passé enterré, le faciès constellé d'étincelles égarés dans l'obscurité. ses attraits semblable à Aphrodite, ne sont que les seuls résidus d'une lignée oubliée. et les fragments que l'on voudrait restituer ne seraient que futilités, car elle est aujourd'hui fille de la nuit, nymphe damnée aux gènes dénaturés.    

— baguette

tilleul argenté
28 cm  ‧ monstre du fleuve blanc
l'artefact est céleste, enveloppe végétale mordorée d'un ciel étoilée. la puissante luminescence ne se révèle qu'entre les fils élancés de la devineresse. le revêtement élégant qui sit merveilleusement sa gracieuse apparence. cependant prenez garde, nulle n'est porteuse de cette écoeurante fragilité qui semble les enrober, les incantations murmurées sont en réalité étoffées d'un soupçon de cruauté et d'une magistrale habilité.  



recipe for the perfect wand

— souplesse et élégance
— malice et puissance
— transformation en dague
— constellations imprimées sur le bois

 

— élément, groupe

mizu
水 ‧ water
la flamme du dragon qui la ravage, les prunelles dévorées d'un féroce brasier. ce n'est pourtant pas le feu qui est venu l'embraser, l'ardeur trépassée, l'envahisseur qui s'affaire être un typhon sanguinaire. le liquide opalin qui vient apaiser ses plaies, qui longe la candeur souillée. bien-être ( incertain ) gracie la nébuleuse d'une essence nouvelle et rafraîchissante, nature robuste exacerbée par l'eau divine. princesse guerrière, demoiselle stellaire liée aux contre-courants du temps.

— occupations

mahoutokoro student
sciences naturelles et de l'environnement  ‧ 4th year 
soyeuse menteuse inspirant l'innocence d'une soif de savoir, l'érudite est véritablement fatale. se délecte d'une passion pour le poison, jamais consommé seulement crée entre ses doigts de fées. la science ombragée par d'illicites substances, alchimiste du maléfice, gamine lunaire aux rêveries délétères. le coeur chimique empoisonné par ce dessein perfide, la nature autrefois verdoyante semble pourrir entre ses doigts. elle ne souhaite faire de l'enfer son linceul mais la gloire et le pouvoir aveugle l'étoile filante.

baisho's secretary
kumicho-hisho  ‧  
(secrétaire prisonnière) douces palabres, jolie imposture qui s'étire jusqu'aux commissures. elle a l'arnaque facile, l'aisance de faire entendre toute cacophonie en la plus belle des mélodies. fresque séraphique, lippes enchevêtrées des pourpres enjôleurs. mirages mille fois fantasmés, qu'importe si les réalités perçues s'éternisent ou s'éteignent, la gamine reste un joyau précieusement poli. le cosmos traçant sa voie lactée sur son épiderme argentée et dans sa poitrine là où fleurit le crépuscule rutile l'intuition infaillible. orfèvre vendant ses conseils tel les trésors les plus rares, elle est l'ombre qui récolte les secrets, celle qui susurre aux oreilles de l'oyabun.

(shino kake) lorsque la céleste sphère se vide de sa lumière, nami participe aux paris clandestins supervisés par joji, distribuant la bête noire soigneusement concoctée. lieu où les âmes vagabondes s'égarent et se noie dans les rivières du désastre, le Styx léchant la moindre poussière de pureté, s'enlise elle aussi dans cette noirceur qu'elle ne peut plus éviter. (pills n' potions), et elle s'élève ainsi toujours un peu plus vers les empyrées, goûte à de nouvelles responsabilités. mais l'insatiable ne se veut réduite au trafic de drogue qui l'effleure davantage, la tire vers ses bas-fonds lorsqu'elle souhaiterait toucher les constellations. avidité supplice parfumée de cette agonisante féminité qui n'a cessé de se dresser comme un obstacle.

(星占い) la lune blême se reflète sur sa paume, les affabulations divines qui prennent vie, artefacts animés (cartes de tarot ensorcelées), elle conte des songes cryptés contre quelques gallions d'or, tout n'est qu'interprétations célestes, dires embrouillés à déchiffrer et les fidèles les plus crédules vénère les mythes narrés, ne jure que par les vagues augures, s'accroche aux moindres détails qui se révèlent réels.

— situation financière

tainted legacy
$$$$$ ‧ dark gold
flot d'un vert sale, qui s'abat en rafale ostentatoire, empire criminel d'une arrogance grandiloquente. l'héritage est tacheté de mensonges, mirage absurde de rives faussement lisses. patrimoine illégitime déléguée par des aïeuls édictés et dans la prospérité bonimenteuse naissent les images factices à multiples facettes (politique, finance, immobilier). celles que l'on s'accolent pour maintenir bonne figure, pour éloigner la lumière des ténèbres.  

— orientation & statut civil

carmen lips
single ‧ make the boys cry
les affections sont comme d'amènes illusions, infante qui n'a connu que quelques rares tendresses, fragments déposés par des frères marqués par le fer rouge de l'impassibilité. l'éternel hiver s'étend dans l'intérieur suprême, l'organe enrobé de glace. malgré l'indifférence qui urge son être, elle est muse des nymphes de vénus et des apollon de mars . aphrodite des contemporaines s'établissant en collectionneuse d'aubaines caresses, véritable reine des coeurs sur son trône de fer, la nébuleuse ne vit que pour la réussite, s'éprend des rêveurs désorientés pour mieux briser leurs idylliques chimères.

— particularité

ekisha
third eye ‧ treasure
dans son carmin se déchaine les guerres astrales, le culte spirituel est une déflagration d'étoiles, une chute de comètes secrètes qui vient percer ses veines d'une puissance presque sainte. d'un passé sacrifié elle a hérité d'un don dit céleste, à ses yeux ce n'est qu'une malédiction chthonienne, stigmates baptisés sur sa psyché. infortune sanctifiée dans les sauvages décadences et l'illusoire blancheur d'une lignée assemblée par l'abandon craintif. mais le fatum s'avère cruel, les nuits sont agités, les fragments symboliques immergent en vagues tranchantes, les toiles de l'avenir se tissent en images violentes, en pistes flottantes. la réalité ébranlée par les futurs instables d'un trouble passé. résiste tout de même la croyance du paterusant de son intuition aiguisée et de la peur des plus pauvres face aux propos extrapolés de la devineresse, maîtresse de destins incertains.
et tel une oeuvre d'art on l'expose lors de soirées mondaines,
joue de son charme pour récolter quelques faveurs.

—amortentia

celestial scents
green tea ‧ lavender ‧ rain

thé vert au jasmin, délicate arôme des douceâtres matinées, infusée des cantonades florales, banales et pourtant si belles. laisse sur la langue poudrée l'aube des jours d'été et un parfum séraphin sur le bout de son nez.

LAVANDE, douce fleur aux dégradés de mauve qui de son habillement violacée à toujours laisser l'infante fascinée. à l'âge tendre, cueillie avec ferveur, la nébuleuse frémissant pour sa senteur mélancolique. la lavande exhalant l'accalmie disparate, répugnant quelques instants le danger enivrant. de ses vertus apaisantes, l'effluve se mélange à outrance, l'épiderme finement parsemée de cette addictive fragrance.

PLUIE, le pétrichor mouillé imbibée d'une fraîcheur automnale vient ravir les flammes. emporte les chagrins d'hier et de demain, apaise sa colère et dissimule les perles qui s'écroule sur le rose de ses joues. vulnérabilité à jamais camouflée.

— patronus

light in the dark
unknown ‧
elle brille même dans la pénombre, mais son âme est sombre. sirène affublée d'un masque filandreux, la conscience embrigadée d'idées enténébrées. elle y trouve difficulté à faire apparaître le légendaire. le coeur pourtant traitre de résidus de pureté, c'est une carapace autour de sa poitrine qui échoue chaque tentative.  

— épouvantard

hidden fears
brothers death' ‧

néant
néant
néant
et la faucheuse qui s'abat sur leur carcasse. linceul fraternel grisant sur le bitume nocturne, dans l'ombre de la déchéance se tapit l'escarbille d'innocence. malgré elle attachée, liée par les lois de l'univers aux fraters imposés. leur mort serait fatal sort et coup de poignard dans sa poitrine car de leur trio instable se dessine l'équilibre parfait et y'a ce vide qu'elle ne cesse de vouloir combler telle une machine qui la broie. la souffrance qui s'opère en idées noires, écho du désespoir apaisé par leur fougue sourire, par l'éclair course vers la couronne. s'ils lui sont dérobés, alors supernova explosera, à quoi bon conquérir un royaume fantôme ?     

— riséd

mirror of truth
the crown ‧ oyabun
tw; violence désireuse de ne point sombrer dans l'ombre de ses frères, elle est écrasée par cette éternelle volonté de dérober la lumière d'autrui. princesse-diablesse, aspire à la prépotence, aux hommes courbant l'échine face à sa magnificence. l'air révolutionnaire qui s'échappe de son gosier est un brasier envoûtant. l'ardeur colère enflammant tout son être, son voeu le plus cher brûlant son épiderme. elle sera la première femme oyabun et elle se vengera de ceux qui l'ont traînait dans la boue, des coups perdus, des constellations bleuets explosant sur sa carne, les déchets de la société seront astreints de la respecter.   

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kingdom come
my blood is a flood of rubies,
fire find a home in me
‧ ACT II

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PARADISO PERDUTO au crépuscule les ombres pernicieuses embrassèrent l'iridescente luminescence signant dès lors un destin des plus funèbres.
amants maudits des nuits éternelles, clans sorciers dramatiquement opposés, ils n'avaient néanmoins pu contrôler la fièvre de leur passionné. et de leur idylle a fleurit le fruit interdit, chérubin trouvant vie lors de la saison des morts, les feuilles cramoisies, la nature endormie, date qui s'avèrera perfide ironie, à jamais restera gravé sur le papier jauni.
et de ce fatal sort les âmes ont finit par s'envoler, disgrâce mortelle, l'infante abandonnée pour garantir sa protection avant de disparaître dans un trépas volontaire. fatum morbide causé par les désastres de ses ancêtres, elle a comme la calamité ciselée sur sa chair, comme des contes oubliés martelées au fond de ses prunelles.
l'effluve de la destruction répandue sur son enveloppe charnelle et le manteau de la faucheuse posée sur ses épaules. et par cette sanglante ascendance, elle ne pourrait avoir une vie normale.

PURGATORIO(tw; violence, mention de harcèlement) monstre à l'halo de lumière, cataclysme terrestre — oxymore qui flambe tout son corps.
poupée de porcelaine, le faciès digne des élégantes princesses n'est que l'apparat d'une usurpatrice, l'apparence trompeuse, le minois fallacieux. sibylline à la figure féerique, elle a ce fantaisiste artifice qui caresse ses traits d'ivoire que l'on dit si précieux.
une fausse sainteté collée à sa boîte crânienne, au revers l'obscure vérité; FINE MAKE ME YOUR VILLAIN, comme le jour et la nuit qui finissent par s'éteindre. l'infante est charriée par les susurres de l'enfer, baignée sous un halo de colorimétrie peignant son coeur d'une bonté fragmentée.
le cérébral ravagé par une lutte mentale, des années à devoir se surpasser. éducation névrosée et méli-mélo de souffrances et de maux, reminiscences du sang frais sur sa peau. l'épiderme d'albâtre égratignée d'un liquide écarlate et cette douleur incessante dans l'abdomen. carcasse outragée d'ecchymoses, gamine aux mille offenses, elle n'a cessé d'être brusquée, cible d'incessantes railleries et de préjudices, l'entité et le corps limogés.
y'a de quoi sentir fondre sur la langue cette amère tristesse, de quoi sombrer. et bien que nami n'ait jamais été frêle demoiselle, la rage dans le ventre ne cesse de se répandre. faisant d'elle une femme-enfer qui de ses lèvres chantent les doucereuses chimères.

INFERNO(tw; pression parentale, violence, manipulation mentale) élue déchue des cieux, impose sa grandeur sur terre, elle est l'exception à la règle, l'unique disciple féminine de l'oyabun.
telle une divinité blasphème, elle s'est greffée à la lignée des héritiers, parasite suintant les rives du Styx. elle est la vague d'une nouvelle ère, elle est le souffle des prochains jours d'hiver, l'éther qui révèlera la suprême devineresse.
lointain succès qui se soulève sous la cage thoracique, l'encéphale épris de grandioses fantasmagories, elles s'abattent sur les cratères de son génie en magnifiques symphonies.
la couronne sera sienne.
ainsi, à l'instar des figures fraternelles, la charogne cogne le sol ébranlée par des piquets qui fend son flanc, des corpuscules sanguines se collant à la carne. elle ne reçoit point de faveur, gamine est entraînée avec autant de rigueur que ses frères, seulement l'infante reste le bijou familiale. diamant si étincelant qu'on l'entraîne parmi les mondanités, qu'on l'exhibe lors des prestigieuses soirées.
silhouette ornée des hautes lumières, de précieuses pierres. le visage placardée sur des panneaux publicitaires, poupée usée à leur guise, poupée chiffon, parfois pleure en silence. les perles salées dérobées des yeux curieux, nymphe se revêtant d'une opacité adamantine, se préservant des cosmiques rudesses.
prétendre toujours prétendre.
et jeune femme devient arme lethal, la sibylline se transforme en femme fatale, péché mortel qui lui ronge la moelle.
et en secret la Mater toujours derrière elle, se tapissant dans la pénombre, distance exigée, néanmoins les luminescences transpercent parfois le coeur, mais ce ne sont que des instants insignifiants qui très vite se meurent.
et elle sait que ces rares tendresses sont avant tout des ruses pour mieux la formater, pour s’assurer qu’elle leur promette fidélité.
stratagème machiavélique qui a tendance à fonctionner, car le coeur crève pour les adorations —  trop jeune pour comprendre, parenté fantomatique, y’a pourtant ce sentiment d’absence au creux de ses côtes, cette famine affective qu'elle s'efforce d'apaiser.


DIVINA STELLAtw : terreurs nocturnes
songes de l'obscurantisme, Nyx coléreuse bombarde sur ses cellules grises des images alambiquées, torture des troubles nocturnes.
et sous l'idéalisation du don se glisse l'infernale fortune,
ses membres se pétrifiant, ses poumons suffoquant de rêves menaçants. la nébuleuse peinée de son sommeil dépravé, de ses soirées agitées passées à essayer d'effacer la laideur imaginaire qui s'est inscrite sur ses geôles cérébrales. on cherche une solution à cette détresse mentale, seulement les raisons sont brouillées par une ligne bancale.
nécessité d'éclaircir son esprit, de différencier les démons agrémentés à sa psyché aux infâmes cauchemars causés par sa particularité.
un esprit sain dans un corps sain, maîtres-mots répétés à tue-tête, c'est ainsi que commence son apprentissage intensif du katana, fascinée par la magnificence des cristallines qui se clivent dans l'air, elle prend très vite goût à manier l'arme blanche.
à cela s'ajoute, l'art de respirer, l'art de méditer, l'art de calmer l'éternel brasier qui semble l'embraser.
et ça marche, si bien qu'elle arrive parfois à fermer les yeux toute une nuit, à oublier pour quelques heures ses soucis, à apprivoiser ce trop-plein d'intensité.    

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TRIVIA

1m64, 48kg, 8w7, neutral evil  

i. sourire solaire mais à l’ombre des commissures célestes se terre les maudits doutes, les tristes vérités qui, sur sa psyché, forment des plaies béantes. elle n'est pas mauvaise de nature, seulement y'a ces abysses profondes qui tente de l'avaler (toute entière), y'a son coeur qui est à l'envers. machine cassée, besoin urgent d'être réparée ii. tache de naissance en forme de croissant lunaire au-dessus de son omoplate gauche. trois grains de beauté éparpillés au creux de son poignet droit et un délicatement placé à côté de ses lèvres rosées iii. bouche boudeuse lorsque les plissures de ses pétales ne sont pas relevées vers le ciel, la pulpe habituellement peinte d'un rose timide ou d'un rouge cerise. iv. cheveux longs souvent écourtés d'un coup de baguette. sa chevelure est décolorée dans un blond de champ de blé, elle retrouve néanmoins de temps en temps son diadème d'ébène. v. encre noire gravée sur sa carne, nogitsune en guise de lien incassable. marque gardée précieusement à l'abri des regards grâce à un sortilège. elle possède une autre gravure indélébile, un triangle qui se remplit le soir et se vide le jour, symbole d'une fratrie unie malgré tout. vi. ongles manucurés puis abîmés dans des cascades de secondes zones, magicienne fiévreuse d'adrénaline. vii. polyglotte, elle est douée pour les langues, la demoiselle parle couramment le japonais, l'anglais et et le coréen (racines qu'elle a demandé à garder) et connaît les bases du chinois et de l'italien. viii. elle aime les averses de pluies et l'odeur qui s'en suit, déteste cependant le brouillard et la bruine. ix. comportement montagne russe, méandre qui la tourmente, il est rare de la voir froide avec qui que ce soit, prétentions permanentes, tente de faire bonne impression. mais son tempérament de feu est agrémenté d'un mental instable qui lui vaut à certains moments de perdre ses moyens. elle peut se montrer soudainement très froide et avoir des propos violents ce qui a tendance à déstabiliser les autres, habitués des rires stellaires, de l'apocryphe bénin qui effleure sa figure. x. cependant cette chaleur déséquilibrée n'est que faux-semblants, un ramassis de mensonges, jolie menteuse, oratrice douée grâce à son intuition aiguisée, ses palabres savent toujours toucher là où il faut. nova des galaxies (au péril d'exploser), elle a cette manie de faire sentir les autres comme le centre du monde alors qu'elle se moque éperdument d'eux. xi. collectionneuse d'armes blanches, sa préférée est le katana mais sa baguette se transforme en dague, l'objet plus discret. xii. elle pratique la méditation afin d'apaiser ses ardeurs, faisant brûler de l'encens pour libérer les acrimonieuse fumigations. elle aime la musique et possède sa propre collection de vinyles moldus. en vérité, elle collectionne un peu de tout des choses les plus triviales à de rares artéfacts. xiii. poèmes floraux sur sa chair, elle exhale l'odeur des fleurs ponctuée d'épices exotiques. adepte de la marque araï il n'est pas rare de pouvoir sentir l'un de leur produit phare sur ses vêtements; araï number five. (péchés mignons), chroniques de salem, le chocolate garden d'espresso patronum ainsi que son vortex mocha et le bubble tea du vr café. l'euphorie frénétique qui valse sous sa carne, les colliers de luxe et les fruits rouges. xiv. l'ekisha excelle dans le commerce et la fabrication de potion et de poisons, elle aimerait ainsi ouvrir un apothicaire à son prochain anniversaire, l'antre renfermerait par ailleurs une boutique clandestine chargée d'articles interdits.