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bord des précipices,
curiosité frappant de plein fouet.
à venir en titiller chaque aspérité, de ces regards qu'il observe, ne trompent pas. à tenter d'en quémander informations dans les discrétions factices. lui comme bon enfant qui ne veut que venir en découvrir les secrets éparpillés. à tenter d'en comprendre les esquisses malmenées, pourquoi rage gronde dans les entrailles à l'énonciation de ce simple prénom. à en subir affront quand les balbutiements ne veulent s'estomper ; et le coeur vrombit sans qu'il ne puisse savoir pourquoi. histoire magnanime où il n'en perçoit aucun début, aucune fin, fine ligne teintée de flou qu'il tente de reconstruire du mieux qu'il peut. car la mémoire est cabossée, car le corps est fracassé. et les pensées n'ont de cesse d'interrompre le flot des paroles, à venir en apposer chaque jour passant nouvelle question. et pourtant, il n'y a que les bruits sourds qui s'enfoncent dans les abysses : why would i care ? quand il n'en voit là que responsabilité de ces présages.
c'est lui,
qui a tout détruit.
persuadé d'être le fléau, causant les pertes et abandons. emportant tout sur son passage, ouragan de velours, à seulement en contempler les images. c'est que tout tourne ( trop vite ) et lui n'en reste que sur le pas de la porte, à laisser les écarts se creuser, à éloigner mauvais esprit qu'il porte. should i ? quand le temps s'estompe, que frappe les secondes grandissantes. ennemi ballant qui toque à l'entrée, et les échappatoires s'évadent ; lui reste là, seul dans sa tourmente. de ces réflexions relatives, balance dans le creux des phalanges, pesant pour ou contre, de cette haine qu'il lit dans les iris. talk to me. what happened engravé sur la bordure des lippes, jamais franchissant les sonorités évasives. à s'en sentir coupable, responsables des peines qui pèsent.
you should know better, karma
à en laisser ongles pénétraient la chair quand tout retombe. de ce venin acide perlant sur la langue, à le rejeter comme à chaque fois. il ne parlera pas. laissera les démons l'arracher à ce monde où il pourrait tenter de l'aider. you've done enough et peut-être que désormais, il n'y a qu'animosité qui suinte par chaque pore. et peut-être était-ce l'instant dont il avait besoin, pour en saisir les remontrances ; i'll never ask again quand le soupire murmure les pardons silencieux.
i'm so sorry if all of this is my fault
sans jamais en deviner histoire se logeant dans les profondeurs des grandeurs ; ailin et mini étaient un tout. et lui n'en sera jamais le témoin des savoirs.
*** à en rechercher les calmes apaisants, dominance des couleurs enchantées. lui perdu au milieu des beautés, tâche ajoutée dans ce tableau crayonné, quelle place a-t-il dans cette enceinte. quand il ne cesse d'en fuir les corps qui l'échauffent, à venir en approcher les épidermes, en massacrer les chairs invisibles. karma n'est que le problème dans le système, présage néfaste qui circule entre les couloirs. à en sentir regards jugeurs sur son âme, et tenter d'en cacher les perles nacrées roulant le long des joues porcelaines ; i should have die constamment ancrée, à faire le tour de la boucle, revenir au point de départ ( non-retour ) quand il essayait de ne pas en démontrer faiblesse latente.
à venir trouver réconfort,
entre ces plantes chatoyantes.
lui comme enfant solitaire, vie décousue de ces fils, il n'en cherche pas les compagnies. de ces amitiés viles sur lesquelles il sait pourtant pouvoir compter, mais ô combien tout est compliqué, quand les onyx délivrent accusations. jugement dernier s'abattant, quand le corps ne fait que s'enfoncer dans les décombres. souvenirs cramés luisant sur la peau, à en irradier les pensées qu'il voudrait taire, en vain. à ne pas en remarquer les présences lointaines, silhouette familière s'en dessinant entre les arbres. quand les tintements résonnent jusqu'aux tympans, regard qui s'élève pour en rencontrer visage doucereux. de ce palpitant s'affolant quand il voudrait s'en cacher. pourtant tout vient résonner. this is your chance à en vaincre timidité massacrante, à s'en approcher à pas feutrés, animal sans défense qui se jette dans la gueule des fauves.
voix tétanisée,
quand il tente de l'apprivoiser.
— hi !
de cette main légèrement soulevée, à venir en saluer les martyrs dont il a pris quelque peu connaissance. de ces mois à en observer les actions, à s'aventurer pour en obtenir les identités.
— you're ji mini right ?
et soudainement, les astres s'alignent. coup d'un destin qui se glisse sur son chemin. i wanna know pour en demander pardon à ces divins ; ne tuez pas le rêve.