- EKO, pauline — elle.IRL : kim taehyung (energiesombre - avatar).Avatar, Crédits : 465Messages : 12RPs : 1043Gallions :aucun.Multicomptes : 24 yo ; 11.11.97.Naissance & Âge : il / he / him.Pronom(s) du personnage : var(--kas)Couleur de dialogue : POINTS DE COMPÉTENCE (préciser ici ceux que tu as en réserve ou que tu as achetés). NOM DE PARTICULARITÉ NOM DE BRANCHE : nom de seuil maîtrisé, nom de seuil maîtrisé. Particularité(s) :
DANCE WITH ME,MAKE ME SWAY
LIKE A LAZY O C E A N HUGS THE SHORE,
HOLD ME CLOSE,
— SWAY ME MORE —
— ÉLÈVE ❝ i control the world and the bruises on my isotopes
IRL : EKO, pauline — elle.
Avatar, Crédits : kim taehyung (energiesombre - avatar).
Messages : 465
RPs : 12
Gallions : 1043
DANCE WITH ME,MAKE ME SWAY
LIKE A LAZY O C E A N HUGS THE SHORE,
HOLD ME CLOSE,
— SWAY ME MORE —
Multicomptes : aucun.
Naissance & Âge : 24 yo ; 11.11.97.
Pronom(s) du personnage : il / he / him.
Couleur de dialogue : var(--kas)
Particularité(s) : POINTS DE COMPÉTENCE (préciser ici ceux que tu as en réserve ou que tu as achetés). NOM DE PARTICULARITÉ NOM DE BRANCHE : nom de seuil maîtrisé, nom de seuil maîtrisé.
- cw:
- potentiel usage de langage religieux et/ou blasphématoire. sexualité, infidélité, langage potentiellement cru, légère mention d'alcool & de drogues.
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sk8 boi // to [ [love me tender ] ], love my t h u n d e r s // liveyoung & die fast // not gonna lie, sometimes iwanna die //not your a e s t h e t i c type // ((HOIST THE COLOURS HIGH )) // stupidhunger , c r a v i n g for attention //ELIXIR 's addict — feed myégo // i wanna dance with somebody // [ [ CTRL Z ] ] // whenthe night has come and the land isd a r k — i'mso frightened // your l a u g h is music to my soul // ((nervous )) — ex —smoker // not asilly billy, just brain off 99% of the time // crazy aboutstrategie & dilemmas // ((FELIX FELICIS )) // CRAZY in love almost everyday // PRO SOCCERPLAYER — scream for me babe,what's my name ? //trust issues with myself // (( N O T H I N G )) is already too much — are you trying tohurt my feelings ? //TOXIC &EGOISTIC .
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NAKANO — un mensonge dans le sang, une confusion apportée par la lecture des histoires propres aux deux côtés. n'a-t-il de japonais que l'unique désir ardent debrûler en société, de ravir les cœurs & monopoliser les pensées (( vivace idéal d'éternité )).LORENZ — les sons dissonants que l'on peine à mémoriser, l'horripilante nécessité de répéter. un hommage envers un défunt qui brille encore de ses prouesses, dans le corps d'un garçontrop vivant ; les attentes sont titanesques mais il cadenasse ses peurs sous ses pensées, dans une inviolable forteresse.((je graverai mon nom sur les livres d'histoire, ))
je serai le héros dégueulant d'espoir
MINAMI IWO JIMA — les souvenirs sont ternis par le temps, jaunis parl'amertume , poussiéreux comme les secrets que l'on rejette au fond du coffre fort scellé. parfois se souvient-il de l'effervescence des marchés aux vendeurs s'époumonant à en perdre le souffle ; parfois le temps n'y laisse que les bribes d'imagination que l'on pense avérée, et il y a au fond des yeux de maman toute la lassitude envers cette famille qu'elle eut fini parabandonner . il ne reste jamais de bons échos de (( minami iwo jima )) — à peine quelques rires qui, eux aussi, finissent par se dissiper.11.11.97 — né sous les premières neiges de fin d'année il y avingt-quatre ans , là où la morsure du froid-violence laisse contre les peaux le fléau par ecchymoses bleutées. mais jamais n'y eut-il de givre au cœur de lorenz, bien trop tempétueux &brûlant pour ne pas faire éclater les âmes en millier de stalactites colorés. les joues rosissent de son passage quand la colère gagne les poitrines de ses multiples frasques (( mais on ne retient que le rire de l'enfant en guise de poison latent — scorpion cataclysmique )).((ils m'ont vu comme leur plus belle sculpture sur glace, ))
sans comprendre que j'étais l'iceberg du danger
UN MENSONGE POUR L'AMOUR — ce sont des histoires que l'on raconte à la nuit tombée, quand les questions impromptues des enfants ne savent alors plus cesser. et si tous ses frères en buvaient chaque parole pour se montrer dignes héritiés de cette mascarade à perpétuer, lorenz ne s'y estjamais intéressé . n'accorde-t-il à ses doutes pas la moindre place pourle passé , se noyant dans la foule sans n'avoir jamais été confronté aux maux teintés d'absurdité. lavérité pourtant, est qu'aucun d'eux n'est japonais, et que le sang s'oxyderait de se savoirentaché . leurs grands-parents étaient des pionniers de leurs catégories dans l'étude desmoldus & se sont installés à kyoto après la guerre non-sorcière mêlant les deux nations dans un projet magique d'œuvrer à une nouvelle unité. c'est dans un infini espoir d'êtreaimés par leur nouvelle terre qu'ils s'en firent adopter, renonçant alors à leurs noms.((c'est dans mon sang — c'est eux qui m'ont donné ))
ce besoin excessif & constant d'être adulé
FARCEUSE ALLIÉE — les longs doigts s'enroulent sans mal autour d'une baguette peu orthodoxe dont la rigidité se couplant sa propre insouciante & son goût prononcé pour les expériences catastrophiques ont plus d'une fois manqué dela briser . ce sont35,3 centimètres qui provoquent les rires de l'assemblée durant les premières années, les haussements de sourcils évocateurs & les mots déplacés devant sonépaisseur . pourtant, si au creux de sa paume, le tableau semble parfait, ((LORENZ & ELLE )) sont autant de grands complices que des ennemis avérés.
faite de [ [bois de cornouiller & d'un cœur en crin de licorne ] ], il s'agit d'une baguette bruyante qui s'illustre d'un besoin de se faireremarquer , ne manquant jamais à son rôle d'alerter la moitié des élèves à chaque sort utilisé. dotée d'un goût prononcé pour la farce & le rire, il arrive encore que son propre tempérament s'esquisseà l'encontre des désirs de son propriétaire —pourtant , sa loyauté est sans faille et si elle manque certainement de puissance magique, sa volonté deprotéger son sorcier outrepasse bien aisément ce fait.((ça fait longtemps que je l'utilise plus comme avant, ))
je pourrais jurer qu'elle fait la gueule — c'est évident
FEU DE FORET — la flamme brûle au fond des prunelles satinées par le besoin excessif de s'imposer. si l'éternité est un idéal, ça n'est que pour graver en lettres rougepassion son nom sur chacun des cœurs qui continueront pour les siècles à venir à susurrer sa chanson. il y a au ventricule le maelström desémotions qu'un corps ne saurait contenir, les feux follets vivaces qui dominent la canopée de son existence, lessentiments fougueux qui ne brillent qu'en capharnaüm pour hurler et ricocher jusque dans le silence. pourtant, toute l'intensité est un fléau, quand le corps & l'âme se nécrosentde trop ressentir ; quand il voudrait pouvoir s'en mutiler l'artère jusqu'à tout détruire, ou bien fuir (( il y a les influences maudites qui torturent ses pensées de violences inédites )). mais la tête est haute & le sourire franc : fier d'être ((kasai )) — c'est évident.((ils auraient pu m'envoyer ailleurs, ))
mais je ne mérite que le meilleur
SPASM (7ème année) — à ainsi porter le nom couronné de laurier d'un athlète passé, ne pouvait-il que s'exprimer là où la gloire & le succès dépendent des violences de son intensité. s'il eut longtemps hésité à emprunter le même chemin que ses plus proches alliés parpeur excessive de ne plus alors être que leur ombre délaissée, ((LORENZ )) n'a aujourd'hui plus le moindre regret lorsque les portes de la victoire s'ouvrent sous ses pieds. les études ne sont pas de ses occupations préférées, quand bien même met-il un point d'honneur à prétendre réviser, mais faut-il décrocher le saint diplôme pour assurer la suite de sa carrière lorsque le temps l'aura rattrapé (( peut-être bien encommentant les exploits d'autrui pour rappeler à tous les siens passés )).GARDIEN DES THD — depuis 2010, le poing heurtant celui d'andrea davis. mur impassable au plus grand bonheur de l'équipe, prodige sur un balais comme s'il eut été né pour voler, n'accordant jamais grande importance aux multiplesos brisés qui furent pourtant un véritable supplice à réparer. c'est au milieu de l'adolescence que les choses se compliquent ; sous leurs maquillages multiples aux couleurs de l'équipe, elles rayonnent de beauté, attirent l'œil et morcellent sa concentration — vient-il accorder plus d'importance à l'après match qu'au souafle redouté. s'il en reste unexcellent gardien , lorenz se voit souvent pris au piège par l'équipe adverse qui envoie ses plus beaux atouts pour désamorcer son danger.— [ [hiatus ] ] au post de remplaçant en2019, 2020 & 2021 , écarté pour sa facilité à être déconcentré mais également pour pouvoir apposer toute son attention surses véritables désirs . s'il est réintégré officiellement à sa place de gardien lors duchangement de post d'evangeline spudmore, sa flamme passionnelle pour le quidditch n'est plus qu'un souvenir teinté de nostalgie qu'il tente de maintenir par loyalté pour ses meilleurs amis —JOUEUR DE SOCCER PRO — depuis février 2022. si le quidditch a longtemps animé ses rêves les plus fous, si marcher dans les pas des plus grands fut un idéal d'enfant, sa vie d'adulte se régente aujourd'hui autourdu soccer moldu . pratiquant dans l'enceinte du dortoir depuis l'enfance, c'est lorsque les restrictions s'allègent avec l'âge qu'il rejoint un club non-sorcier et y trouve alors unenouvelle raison d'être . repéré en 2020 par les recruteurs de l'équipe du japon, il signe uncontrat professionnel en 2022 et occupe une place en troisième division. le rythme estsoutenu et impacte grandement ses résultats scolaires qu'il peine à maintenir, mais remet également en question sa place dans l'équipe des thd.((et j'aime un peu trop leurs regards sur moi, ))
j'ai soif de gloire
NOUVEAU EX-RICHE — la vie est douce lorsque les étoffes les plus fines caressent le derme & que les gallions pleuvent sur le comptoir du commerce comme s'ils n'étaient que poussière dans l'existence (( et peut-être l'étaient-ils vraiment )). c'est pourtantl'absence de maman qui cause les premières difficultés, quand élever seul quatre enfants s'avère pari risqué pour un père noyé sous les flots tempétueux de sa progéniture cyclonique. et si le salaire est flamboyant, les frais de scolarité ne laissent plus que néant (( et dans l'ombre des non-dits, il y a la folie de tous ces jeux d'argent )).LORENZ est un ancien riche auquel les gallions dissipés dans le droit d'étudier ne laissent plus que les livres de seconde main, déjà ((annotés & usagés )). les bourses & l'aide financière de son propre frère facilitent la vie, permettent de respirer, mais sans nul doute est-ce cette soifde facilité inoubliée , ce besoin devenu compulsif deconsommer qui aujourd'hui se révèle être le plus gros de ses multiples péchés. l'argent rentre par bien des moyens, davantage encore désormais qu'il estgrassement payé pour [ [ briller & exister ] ], parfois récompensé pour quelques publicités. et tout seraitparfait , s'il était capable de gérer ; économe & avare en jours impairs, le voilà perdu à dilapider sa fortune en jours pairs & acheter en excès par peur d'à nouveau ne plus en avoir les capacités.((l'argent ne faut pas le bonheur de tous, ))
mais achète l'éphémérité du mien
[ [ HEROS DES BIMBOS ] ]CÉLIBATAIRE & HÉTÉROSEXUEL — la lueur de la lune éclate sur leurs canines révélées de sourires faussaires ; en serait-ce blasphème que de déshonorer les anges, de détourner les yeux de leurs courbes façonnées des mains des dieux. la liqueur brûle la trachée jusqu'auc o e u r , embrase les cellules & nécrose les peurs (( — et qu'importe qu'il s'agisse d'alcool ou de filtres malicieux, le résultat s'exprime dans les contacts audacieux)). l'adrénaline gangrène les pensées, force les souffles à frôler les lobes et les paupières à se plisser ; puis il y a le thorax qui se gonfle de mots insensés : j'suis amoureux, que l'on entend murmurer à peine les premiers échanges instaurés. l o r e n z, persuadé que le rush qui enfle à l'estomac n'est mué que par la beauté des sentiments, peinant à distinguer les feux follets de l'amour de ceux des corps — l o r e n z, et déjà au petit matin, si v i t e ((lassé )). toujours aux bras des plus révélatrices dans leurs robes fendues, jamais dompté pourtant — jamais entièrement contenu. les doigts entre les siens & le regard tourné vers les autres.((j'aime trop les bimbos, ))
y'a qu'elles qui me rendent beau
LES SOUVENIRS — l'humidité du bois qui craque sous les semelles usées, gonflé par les jours de pluies effrénés. l'instantprécis où le soleil retrouvé vient faire flotter ces effluves particulières & uniques, explosant aux narines comme un trésor choyé au fin fond de sa mémoire épuisée. la chaleur de sa paume contre celle d'une mère autrefois aimante (( autrefois existante )) s'altère lorsque les années passent, ne laissant plus que leflou pourtant si palpable d'une odeur anodine — reconnaissable entre mille.((L'EMOTION ))LE SECRET — s'il ne su tout d'abord aucunement d'où venait ce nouveau parfum discret, ce sont les mois écoulés qui apportèrent une réponse à en couper le souffle. les lèvres ne s'ouvrent pas, ((LORENZ )) refuse que quiconque puisse se douter de cette présence non-désirée qui aurait tôt fait de mettre à mal bien des amitiés, infliger aux pensées des tortures pourtant inexistantes.elle est là malgré tout, et ne peut-il rien faire de plus qu'en taire le nom, masquant l'embarras par quelques rictus impénétrables (( —SOMI )).((LE PARDON ))L'ATARAXIE — le ballon neuf qui emplit les narines d'un subtile mélange de plastique &de chimique procure une extase de l'âme qui ne saurait se définir autrement qu'en un abandon total de son être. les endorphines s'affolent dans leur ruée en tout le corps, la gorge cesse de se nouer & l'estomac semble d'une bien étrange légèreté ; c'est une risible apothéose (( lorsque les dangers n'existent plus & que la peur se désagrège )) que l'on atteint loin des regards — et il s'y reprendra, à renifler plusieurs fois.((LA PASSION )) ((je n'ai jamais osé ))
leur avouer ce qui me composait
LES ANGOISSES — jamais la baguette ne s'est-elle teintée de cette lueur translucide qui transcende les jeunes sorciers qui parviennent à s'en émerveiller. la rage au ventre et l'amertume à la trachée, la pression pèse sur ses épaules à chaque échec qui en vient à semultiplier . l'oxygène se raréfie des quelques sanglots dépités qu'il eut pu verser face à la réussite des autres étudiants, éclatant le thorax d'une jalousie mordorant ses prunelles d'éclairs insolents — condamné à être unpiètre sorcier . les années passent, le temps fait son effet, apprend au cœur à cadenasser ses douleurs pour nejamais rien dévoiler de l'envie cannibale qui ronge encore ses artères.((j'ai mal de vous voir parvenir ))
là où jamais je ne saurais réussir
LA SOLITUDE — longtemps ennemie jurée et esquisse de ses angoisses fondées, c'estsa perte qui s'anime en cauchemar même éveillé. il a encore sur le bout des doigts la chaleur de leurs étreintes et à la cervelle bousillée par le besoin de réprimer survit maladroitement tous les chants qu'elle leur dédiait.sa mère eut longtemps été son épouvantard et, avec elle, le vide soudain qu'elle a laissé.((un jour maman, je te retrouverai ))
juste pour m'assurer de te faire bouffer ton absenceLA PLEINE LUNE — le frisson dévore l'échine pour ne laisser que les perles salées venir se loger tout contre les salières vénusiennes. alors que les paupières se ferment dans le besoin ultime d'annihiler la vision, c'est le carrousel des souvenirs qui se balance à rythme lent jusqu'à venir éclater aux tympans dans un cri de terreur qui ne franchira pas le seul de ses lèvres. ces mêmes lèvres déchirées par ses canines qui s'y sont logées plus jeune, refusant d'offrir àl'ami le hurlement qui l'aurait hanté (( — ce même ami qui le hante )).il est son tout & mêmeses démons .((je n'ai jamais osé t'avouer ))
à quel point tu me terrifiais
LA RÉUSSITE — le reflet se teinte d'or lorsque les gallions s'écoulent en pluie infinie qui ricoche sur ses épaules, ensevelit ses chevilles, dévore son corps. il y a dans son dos cettefoule en délire qui chante son nom comme s'il n'était plus alors que l'unique mot qui fit sens en l'univers, l'unique raison d'être, d'exister, de respirer — l'unique souffle de vitalité. les larges mains couvrent letrophée sur lequel goutte la sueur née à la surface de ses ecchymoses & ce millier de constellations bleutées — c'est uneVICTOIRE & uneCÉLÉBRITÉ méritée.((j'ai cet appétit pour dévorer le monde, ))
le conquérir pour en admirer chaque seconde
—
(( not stalking my girls, just verifying something ))
LA FAMILLE & LE MENSONGE (cw disparition) — à peine fut-il en âge de s'émerveiller face au monde dressé sous ses prunelles avides d'en connaître chaque recoin, à peine eut-il le savoir conscient nécessaire pour apprécier la beauté dans son éphémérité & sa conceptualité, qu'elle emporta avec elle toute la joie qui l'eut constituée.maman est partie , nul ne sait où ni pourquoi (( c'est un mensonge aux mille facettes que l'on ne lui dévoilera pas )) — maman est partie dans la nuit lorsque les enfants aux paupières fermées ne furent en capacité de lui souhaiter bon voyage. la plaie est béante & les années peinent à apposer sur les nécroses la fleuraison des roses ; l'armure est dressée face aux questions teintées d'innocence, au point de ne plus riensavoir démêler . eut-il tant menti, l o r e n z, qu'il en oublie parfois quelle fut la vérité. fut-elle celle d'une mère les ayant tousabandonnés , d'un père sombrant dans une folie latente et ne trouvant son plaisir qu'en divers jeux d'argent, de quatre enfants en proie aux cauchemars dont les sourires n'avaient de valeur que le besoin d'éloigner les sanglots ? ou bien fut-elle toutes ces histoires insensées qu'il en vint à inventer dans l'espoir qu'elles soient vraies, d'unemaman partie étudier les créatures en écosse, d'unpapa écrivain, d'une admiration certaine à la place des battements mortuaires ? il eut tant menti, pour tant de sujet, que c'en devint si difficile de s'en dépêtrer — avec L O R E N Z, les histoires sont si farfelues mais scandées avec tant de conviction, jusque dans des détails longtemps pensés, que l'on ne sait jamais s'il s'agit d'un mensonge, de vérité, ou d'un subtile mélangedes deux .LES CARTES ME REVELENT — bien aux antipodes des traits que l'on pourrait lui prêter, ((LORENZ )) voue un véritable culte aux méthodes de voyance et aux messages divinatoires. s'il lui arrive fréquemment de fréquenter des oracles en tous genres pour répondre à ses questions, c'estaux questions des autres qu'il prend un malin plaisir à répondre grâce à ses propres tirages. toujours accompagné de son tarot sorcier qui ne quitte jamais son sac & avec lequel il dort toujours pour renforcer le lien malgré les années, il monteà treize ans un système secret dans l'enceinte de l'école. monnayant objets ou rémunération, il commence à effectuer des tirages pour les autres et trouve une véritable popularité chez ses paires ; il est toujours consulté aujourd'hui, à vingt-quatre ans, mais son manque de temps pour la matière a poussé le prixà doubler par rapport à ceux de l'époque.LE BUZZ — si un an sépare lorenz de son frère aîné, n'en est-il en réalitérien ; jumeaux spirituels ayant tardé à se rencontrer, on glousse souvent sur l'impression qu'ils ne partagent qu'une unique et même cervelle. lorsque celui-ci entreprit de diriger sa vie versl'egaming , le soutient qu'il trouva en son frère fut une inépuisable source de force & d'inspiration. connu sous le pseudonyme de onakan (( c'en est amusant, cette volonté de toujours prendre le contrepied de la famille )), les années finissent par payer puisqu'ilsigne un contrat pro au sein d'une équipe d'egamers pour représenter le japon sur l'un des derniers jeux en vogue de l'époque. après deux ans de coopération avec trois autres personnes, il décide de lancer sa chaîne 2-witch parbesoin d'indépendance mais aussi pour pouvoir proposer un contenu le représentant davantage, bien que principalement axé sur les let's play & les jeux vidéos. lorenz est un guest récurrent de cette même chaîne et possède jusqu'à sa fanbase depuis sa première apparition impromptue où, en plein live, il passa devant la caméra presque nu pour accéder à la cuisine. le regard porté au retour caméra à l'instant où il réalise l'événement devintun meme populaire pour tous et de nombreux gifs se trouvent encore en ligneà son plus grand regret .LE RIRE & LES LARMES — les babines frétillent d'un rire dont les échos sont condamnés à un simulacre de silence par la morsure contre l'intérieur des joues. le professeur soupire une première fois ; puis une autre, et quarante trois autres fois avant que son nom ne résonne pour un entretien à la fin du cours. les œillades téméraires sont échangées entre complices, mais c'est la finalité d'une heure de retenue qui achève le gamin qui cesse alors de se préoccuper del'hilarité de ses camarades . l'heure passe, l'ambiance est austère lorsque ses pitreries ne permettent plus aux minutes de s'égrainer par poignées. enfin seuls dans la salle avec son référent en potions, c'est toute la tendresse bordée dedéception qui vient altérer son timbre dans une bien étrange fusion. comment mettre des mots sur des pensées abstraites, comment expliquer une telle dégringolée dans ses notes au fil des années ? commentjustifier son besoin oppressant d'être le centre d'attention comme si le cas contrairele tuerait ? alors il hausse les épaules, lorenz, et feint l'indifférence — encore aujourd'hui, refuse-t-il d'avouer que plus que tout, il craint l'arrivée du jour où il cessera d'être aimé. encore à ce jour, a-t-il sipeu confiance en son être & ses capacités qu'il se limite seul au rôle de personnage secondaire comique comme pour effacer le chagrin face à ses difficultés dans sa scolarité.(CW SEXUALITE & INFIDELITE) OH NON, LOLO A ENCORE PECHO NOS COPINES — les regards se font fauves au travers de la foule lorsqu'il repèrecelle qui agite les reins en un océan de désir tumultueux. le myocarde s'emballe et (( c a v a l e )), l'adrénaline délivre des shots que même les plus puissants élixirs ne sauraient provoquer, les canines scintillent d'un sourire assuré. peu importe qu'elle soit une élève, une fan de son parcours ou même de son frère, peut-être même une ignare de l'entièreté de son existence, du moment qu'elle lui retourne ces œillades qui le poussent à humecter le centre de ses lèvres paranticipation . s'il eut tardé pour connaître ses premières expériences romantiques, ((LORENZ )) dévore aujourd'hui l'attention féminine comme s'il en fut le prédateur au sommet de la chaîne alimentaire, allongeant à chaque festivité — ou presque — la liste interminable de noms écorchés. et n'a-t-il aucune volonté de blesser, lorenz, pas même celle d'asseoir une quelconque dominance ; n'est-ce qu'un appétit féroce pour leurs regards lorsqu'elles feulent contre son corps face au fruit de ses efforts, lorsqu'elles sont si belles qu'il en tombe fou amoureux jusqu'au lever du jour. alors parfois, sa gourmandise dépasse la frontière de son contrôle — des amies des amis, des ex de connaissances, des maîtresses à son propre couple, parle-t-on de lui comme le casanova insatiable en qui l'on ne place jamais confiance plus d'une soirée. pourtant, pour toute la vie ou au cœur de la nuit, dans un mariage ou sur les draps,ne veut-il jamais qu'être aimé .(CW ALCOOL & DROGUE) VERY (GOOD) TRIP — il y a tant de choses qu'il eut fait pour expérimenter, pour rassasier sa curiosité dévorante qui meurtrissait sa cervelle d'idées abstraites. les premières soirées entre étudiants auxquelles il fut convié se flouèrent aux fumées des premières cigarettes sorcières, celles qui éclatent la gorge et font maladroitement dégueuler la fumée dans une quinte de toux destructrice. mais la grimace n'estjamais l'unique puisqu'elle en devint addiction des années durant, ne se soldant qu'à la veille de la signature de son contrat professionnel — de fumeur actif, le voilà relégué aux supplications auprès d'andrea pour un cône discrètement glissé entre ses doigts, là où personne n'observera. nombreuses furent les substances, liquides ou poudreuses, légales ou non, qu'il effleura dans l'unique but d'aromatiser ses soirées aux saveurs de l'exaltation ; toujours incessant premier à s'érafler les artères de nuisances pour quelques rires, c'est sa légèreté & son envie de vivre le tuant à petits feux qui jouèrent notamment sursa grande popularité . s'il est aujourd'hui un adulte conscient et — presque — responsable, il en est tout à fait banal de le voir s'emplir de multiples stimulants lors des nuits festives (( refuse-t-il néanmoinstotalement leurs consommations en dehors de ces instants )).
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bonjour mes chaussettes se portent bien, enfin seulement une sur deux parce que j'ai encore perdu la gauche quelque part du coup la droite est un peu sad mais ça va ça survit dans le coin je- j'suis là à cause de quelqu'un qui m'a mis le couteau sous la gorge et pleuré pendant 20sc pour que je vienne mais du coup j'ai trouvé l'scénar très cool et y'a dd & somi je peux plus les abandonner tout seuls face au monde cruel maintenant puis les gars jsuis claquée jvous fais une vraie présentation un de ces quatre mais well
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Andrea Davis a feelsé sur ce message