- bbibbi — elleIRL : woodz, morning rainAvatar, Crédits : 75Messages : 1RPs : 00Gallions :"he's here." blood rushes to my heart; i'm weakvagues mentions de violence et de sang, drogues, dépression.Disclaimer : aucunMulticomptes : 23 yo.Naissance & Âge : ilPronom(s) du personnage : crimsonCouleur de dialogue : la vie en pause, incertain.Occupation : POINTS DE COMPÉTENCE 0
and can't recall the words i meant to speak.
rokurokubi, mordu en 2020, conscient. CONTRÔLE DE LA MORSURE : seuil 2 ; PREDATEUR : seuil 2
xx
dreamcatcher . LECTURE DES RÊVES : seuil 1 ; CONTRÔLE DES RÊVES : seuil 3Particularité(s) :— SORCIER ❝ magic in my veins
IRL : bbibbi — elle
Avatar, Crédits : woodz, morning rain
Messages : 75
RPs : 1
Gallions : 00"he's here." blood rushes to my heart; i'm weak
and can't recall the words i meant to speak.
Disclaimer : vagues mentions de violence et de sang, drogues, dépression.
Multicomptes : aucun
Naissance & Âge : 23 yo.
Pronom(s) du personnage : il
Couleur de dialogue : crimson
Occupation : la vie en pause, incertain.
Particularité(s) : POINTS DE COMPÉTENCE 0
rokurokubi, mordu en 2020, conscient. CONTRÔLE DE LA MORSURE : seuil 2 ; PREDATEUR : seuil 2
xx
dreamcatcher . LECTURE DES RÊVES : seuil 1 ; CONTRÔLE DES RÊVES : seuil 3
- cw:
- vagues mentions de violence et de sang, drogues
and can't recall the words i meant to speak.
cho seungyoun
darling, you're already in my veins.
sur la lisière de ses lèvres, se meuvent des paroles basses, à la réserve pourtant pleine de sureté. ses yeux sont un océan sincère, une invitation à se confier (se confesser), à pleurer contre l'arrondi de son épaule qui semble n'exister que pour cet unique dessein. sa tendresse semble infinie, une paume rassurante et sa gorge qui vibre comme une berceuse.
il a toujours eu les mots, kou.
apaiser, calmer.
aimer.
enfant-soleil, le sourire gourmand sur ses traits dissimule souvent la fatigue et l'inquiétude. et l'âme brûle d'une candeur qui le rend proie à tous ; des babioles et des cristaux remplissent sa chambre (on lui a promis qu'ils portent bonheur), de mauvaises notes (il a cru cet élève inconnu qui lui a proposé de ramener son devoir pour finalement échanger les copies), des herbes médicinales censées tout guérir achetées hors de prix (ses crises insomnies demeurent violentes).
il aime tendre le bras et qu'une main s'accroche à la sienne, il est heureux quand on l'entoure, misérable quand le silence se fait. il a le rire facile, l'alcool parfois triste.
il a le coeur qui vibre en feuilletant les pages de polars moldus qu'il a découvert récemment, son attention se tourne vers tout et l'intéret est aisément attisé.
elle ne l'a jamais crié, ne l'en a jamais grondé.
et parce qu'il n'y a eu qu'elle et lui, c'est son nom qu'il a repris dès que son père indigne leur a tourné le dos.
de ses rivages, il ne pourrait réellement se passer. son premier souffle s'est fait au gré de l'air marin et c'est vers lui qu'il se tourne quand ses pensées se bousculent. il a quitté l'île à plusieurs reprises et y revenir a toujours été une évidence.
les song ont fui la corée du sud des générations de cela, il se rappelle de vagues récits contés par son père, enfant. les souvenirs sont flous, et l'héritage presque méconnu si ce n'est pour la langue qu'il arrive à parler presque couramment.
le cœur aussi immergé que l'esprit, comme une évidence. l'eau, élément privilégié.
fortune maternelle sur laquelle il a toujours reposé, l'argent l'a choyé, l'a souvent rendu naïf et unrelatable. mais c'est tout ce qu'il a connu, et même si l'existence n'a pas toujours paisible, le besoin ne s'est jamais fait un poids supplémentaire sur ses épaules. make a wish, il suffisait de fermer les yeux, pour que tout s'amène à lui.
curiosité de l'autre, tissée au cours de son adolescence. doigts qui se sont enroulés autour d'un poignet gracile, ou d'une épaule carrée. le coeur fait de perpétuelles vibrations, kou ne connait en amour que les excès. il aime sans cesse, adore sans limites.
les tendresses faciles, pourtant, depuis quelques années, c'est vers une seule silhouette que ses iris s'oublient.
le café et les croissants de maman, servis avec son sourire et ses lèvres sur le haut de son front.
ses rires d'enfant quand il l'entendait se plaindre, ses pieds tachés de boue et ses bottines envolées depuis longtemps. puis l'eau glacée pour en ôter les traces.
adulte, ses lèvres continuent à tremper dans ce même café, le sucre oublié, l'addiction bien ancrée.
sortilège maitrisé depuis quelques années seulement, il est parfois encore faible, mais la fumée argentée de ses ailes suffit à apaiser ses troubles.
pénombre prise pour hantise, boule de néant qui lui donne l'impression d'être aspiré s'il venait à faire un pas de plus. parce qu'il faut dormir, quand il fait noir.
l'océan infini, sous un soleil éternel.
11.11.98
mizu
Sorcier
le premier est inné, le second imposé.
kou n'a souhaité avoir aucun.
vagues mentions de violence et de sang, drogues.
pourtant il ne bouge pas, continue de se laisser par le bruit des vagues, ses yeux épuisés à force de les traîner sur l'horizon infini. everything is blue. son existence est un azur pâle et serein, kou aurait voulu engraver cette image plus longtemps. et c'est peut-être pour cette raison qu'il y revient aussi souvent, il se trouvait au bord de l'eau la dernière fois où tout allait bien.
il percevait doucement la voix de sa mère derrière lui qui le prévenait de s'enfoncer trop loin dans l'eau. a chaque fois, il lui répondait d'un sourire rassurant et un pouce levé. il ne lui arrivera rien.
aujourd'hui, ces membres semblent éternellement frigorifiés. il a froid et les étreintes de maman ne sufisent pas à lui souffler de la chaleur.
il a mal et l'eau ne l'apaise plus.
une pression contre sa nuque.
kou ne s'est jamais habitué au goût du sang, qu'il soit réel ou synthétique. mais il n'avait pas le choix. il a souvent l'impression d'être un animal en cage, les sens à l’affût et les mains tremblantes dès qu'un liquide vermeille éclate devant son regard.
kou était à peine adolescent quand il avait commencé à chercher différent moyens de calmer ses pensées ou endormir son cerveau qu'il ne se retrouve à vagabonder dans les rêves douloureux de sa mère. ses yeux d'enfants fascinés par les douces couleurs de ses cigarettes improvisées, il ne se doutait pas du besoin qui s'ancrera dans ses veines à mesure que les utilisations devenaient moins espacées.
il continue à quêter cette affliction artificielle, davantage quand son zensha n'est pas à ses côtés et que la douleur frôle insupportable.
parfois, c'est l'ennui qui le pousse à ouvrir l'étui précieux dans la poche intérieur de sa veste, l'attente qu'il essaie de rendre moins longue jusqu'à ce qu'il entende ses pas résonner à l'intérieur de la maison et que son corps rejoigne le sien par instinct.
il n'y a que le silence qui l'entoure quand ses yeux tentent de trouver le sommeil.
c'est un feu différent qui, parfois, s'enlise dans l'écrin vital. wanna be adored. à la recherche continue d'une main tendre au-dessus de sa tête, d'un baiser velours contre l'arrondi pâle de son épaule. c'est comme s'il était à jamais affamé, il est insatiable de ce besoin d'amour, et ses tentatives sont une série d'échec.
ça ne lui suffit jamais. et parfois, à trop s'abandonner, c'est le dégoût amer qui se propage dans tout son être.
.
premiers éclats et cris, son petit corps bercé entre les bras de sa mère. derrière elle, une ombre ; papa.
et aux grains des années, l'ombre n'a fait que se dissiper. papa a disparu, ses traits mués en un mirage méconnu. la lumière s'est évaporée des iris de maman qui ne s'éveillent plus que quand elle survole son visage.
et aux grains des années, l'ombre n'a fait que se dissiper. papa a disparu, ses traits mués en un mirage méconnu. la lumière s'est évaporée des iris de maman qui ne s'éveillent plus que quand elle survole son visage.
il est un enfant du soleil reclus dans un quotidien silencieux. maman et lui. lui et maman.
craintive de l'apparition de son don, elle l'avait listé au gouvernement qui avait entamé ses entraînement. et ses souvenirs des expérimentations ont été assez trafiqués pour que les maigres interactions qu'il avait avec les autres enfants ne soient que de vagues images lointaines.
à chacun de ses retours du laboratoire, elle l'accueillait avec une table remplie de ses repas préférés et un nouveau jouet.
comme des excuses à demi-mots.
craintive de l'apparition de son don, elle l'avait listé au gouvernement qui avait entamé ses entraînement. et ses souvenirs des expérimentations ont été assez trafiqués pour que les maigres interactions qu'il avait avec les autres enfants ne soient que de vagues images lointaines.
à chacun de ses retours du laboratoire, elle l'accueillait avec une table remplie de ses repas préférés et un nouveau jouet.
comme des excuses à demi-mots.
au fil des années, les expérimentations commencèrent à se faire plus rares, son don est maitrisé et considéré comme peu dangereux, étant plus commun que d'autres.
d'autant plus qu'il avait fait son entrée à mahou et devait jongler entre les deux. enfant travailleur et perfectionniste, il a de grands rêves et désire tous les réaliser.
il passe d'un niveau à l'autre assez tranquille. un élève studieux et un camarade attentionné et souriant.
d'autant plus qu'il avait fait son entrée à mahou et devait jongler entre les deux. enfant travailleur et perfectionniste, il a de grands rêves et désire tous les réaliser.
il passe d'un niveau à l'autre assez tranquille. un élève studieux et un camarade attentionné et souriant.
ses retours à la maison sont toujours aussi attendus qu'appréhendés. ce sont des murs trop grands, un luxe bien trop extravagant pour les deux âmes qui y habitent.
"refais ta vie, maman, arrête de penser à lui. il nous a abandonné !" qu'il lui crie à chaque fois,
puis les larmes se glissent sur le visage porcelaine, son cœur se glace douloureusement. il ne veut pas lui faire du mal. "je suis là, je serais toujours là." il la serre entière entre ses bras, la recouvrait entière. elle lui semblait encore plus fragile depuis qu'il avait besoin de courber le dos à chaque fois qu'elle voulait déposer un baiser sur son front.
"refais ta vie, maman, arrête de penser à lui. il nous a abandonné !" qu'il lui crie à chaque fois,
puis les larmes se glissent sur le visage porcelaine, son cœur se glace douloureusement. il ne veut pas lui faire du mal. "je suis là, je serais toujours là." il la serre entière entre ses bras, la recouvrait entière. elle lui semblait encore plus fragile depuis qu'il avait besoin de courber le dos à chaque fois qu'elle voulait déposer un baiser sur son front.
particulièrement actif, kou s'est tenté à plusieurs sports, le quidditch n'ayant jamais réellement trouvé de l'intérêt à ses yeux. malgré qu'il aime être entouré, des crises d'angoisses inexpliquées surviennent sporadiquement.
finalement, c'est le tir à l'arc qui a sa préférence. il commence à y exceller après des années de pratique. son esprit se vide et progressivement, son anxiété se fait moins pressante.
c'est au club de tir que ses yeux survolent le profil concentré d'un camarade. à la fois divin et inaccessible, kou ne se fait aucun espoir. c'est entre les bras de vénusiennes qu'il se perd à découvrir l'amour, illusion au goût d'inachevé dont il se contente.
finalement, c'est le tir à l'arc qui a sa préférence. il commence à y exceller après des années de pratique. son esprit se vide et progressivement, son anxiété se fait moins pressante.
c'est au club de tir que ses yeux survolent le profil concentré d'un camarade. à la fois divin et inaccessible, kou ne se fait aucun espoir. c'est entre les bras de vénusiennes qu'il se perd à découvrir l'amour, illusion au goût d'inachevé dont il se contente.
une fois arrivé au supérieur, suivre la formation d'auror était une évidence et ses prouesses scolaires et physiques lui en ouvrir les portes sont aucun problème.
les regrets sont amers ; il s'est brisé, le corps cassé de l'intérieur. touché par de la magie noire après s'être aventurée trop loin dans une forêt aux multiples rumeurs, kou passe par toutes les phases de déni avant d'accepter sa condition.
il observe ce corps dont il avait toujours pris soin dépérir progressivement sans qu'il ne puisse rien y faire, il bafouille des mensonges à maman quand ses yeux s'imprègnent d'inquiétudes.
puis la confession de cet amour enfoui depuis des années éclot, il n'avait plus rien à perdre après tout.
il n'y a eu que le flou après, des vagues de conscience et d'inconscience alors que son corps reprend doucement ses forces. il est transformé en rokurokubi dans l'espoir de le sauver, mais kou ne ressent aucune reconnaissance envers son zensha. l'amour n'est plus, enseveli par l'aigreur et la haine. "tu n'avais aucun droit sur ma vie."
il observe ce corps dont il avait toujours pris soin dépérir progressivement sans qu'il ne puisse rien y faire, il bafouille des mensonges à maman quand ses yeux s'imprègnent d'inquiétudes.
puis la confession de cet amour enfoui depuis des années éclot, il n'avait plus rien à perdre après tout.
il n'y a eu que le flou après, des vagues de conscience et d'inconscience alors que son corps reprend doucement ses forces. il est transformé en rokurokubi dans l'espoir de le sauver, mais kou ne ressent aucune reconnaissance envers son zensha. l'amour n'est plus, enseveli par l'aigreur et la haine. "tu n'avais aucun droit sur ma vie."
il tente de s'habituer à une nouvelle existence qu'il était loin d'avoir demandé, ne cessant de fuir son zensha vers lequel, pourtant, il ne cesse de revenir parce que son corps et son âme ne s'apaisent qu'en sa présence.
pourtant, sa vie est mise sur pause. tous ses rêves lui semblent à présent impossibles à devenir une réalité.
et surtout, il y'a ce mal en lui qui recommence à le dévorer de l'intérieur. sa transformation ne l'a pas guéri, elle ralentit seulement l'inévitable. kou reste silencieux, amer de ce désir de vivre qu'il avait recommencé à ressentir.
pourtant, sa vie est mise sur pause. tous ses rêves lui semblent à présent impossibles à devenir une réalité.
et surtout, il y'a ce mal en lui qui recommence à le dévorer de l'intérieur. sa transformation ne l'a pas guéri, elle ralentit seulement l'inévitable. kou reste silencieux, amer de ce désir de vivre qu'il avait recommencé à ressentir.
Wakatsuki Hikaru et Xiao Lin aiment ce message